6 nov. 2019

Une attaque terroriste de type false flag en Allemagne pourrait servir à neutraliser les critiques du gouvernement

Une attaque terroriste sous faux pavillon en Allemagne pourrait être utilisée comme prétexte pour des procéder à des arrestations de masse des critiques du gouvernement



Par Jane Burgermeister,
Traduction Info Guerilla, http://infoguerilla.fr/

Lundi, 22 novembre 2010 à 22:00



À la suite de manifestations sans précédent en Allemagne, à Stuttgart et à Gorleben, contre l’autoritarisme rampant, le gouvernement tente d’exploiter une prétendue menace contre le Reichstag de Berlin par des terroristes islamistes, dans le but de mettre la vie économique, politique, et sociale du pays, totalement sous contrôle.




En dépit du fait qu’il n’existe aucune menace de violence crédible émanant de terroristes – un avocat défendant un jeune de 18 ans qui a mis en ligne une vidéo contenant une « menace terroriste », a dit récemment que le jeune homme en question avait été instrumentalisé par un policier allemand agissant comme agent provocateur – au moins 33.000 policiers armés sont maintenant en patrouille dans les aéroports et les gares d’Allemagne, avec un nombre inconnu d’agents de sécurité privés.



Le chef de la police allemande Matthias Seeger a déclaré au « Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung » (FAS), que la police avait reçu des instructions pour faire usage de ses armes, et qu’il encourageait activement les gens à tirer et à tuer toute personne soupçonnée d’être un terroriste.





Le Ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière a dit qu’il s’attendait à une attaque « terroriste » entre le 20 et le 28 Novembre, au moment même où le gouvernement se prépare à adopter un budget draconien permettant un transfert considérable d’argent du contribuable aux banques, sous prétexte d’avoir à payer des dettes de réserve fractionnelle frauduleuses.



L’accent mis sur le Reichstag à Berlin est hautement significatif, car ce bâtiment a été le lieu d’un incendie criminel le 28 Février, 1933, qu’Adolf Hitler a alors utilisé comme prétexte pour consolider l’emprise nazie sur le pouvoir juste avant les élections de Mars 1933.



Il existe de nombreux parallèles avec l’incendie du Reichstag – qui semble également avoir été mis en scène selon un livre écrit par « XX » – y compris l’armement de la police juste une semaine avant.



Marinus van der Lubbe, un jeune néerlandais, a pu accéder au Reichstag sans aucun problème en passant par une porte latérale, tandis qu’un agent de police qui avait été informé de l’incendie par un passant s’est abstenu d’intervenir pendant presque une demi-heure avant d’appeler les sapeurs-pompiers aux alentours de 22 heures.



Selon l’historien John Toland (« Adolf Hitler », page 297), Hermann Göring a purgé les rangs de la police prussienne, leur a livré des armes, et leur a aussi donné des instructions explicites d’en faire usage contre les manifestants le 20 Février, juste une semaine avant l’Incendie du Reichstag. Göring a même menacé de sanctionner les policiers qui « refuseraient de faire leur devoir », et d’utiliser leurs armes contre les membres « d’organisations hostiles à l’Etat ».



Hitler utilisa l’incendie du Reichstag comme prétexte pour introduire le « décret présidentiel pour la protection du peuple et de l’Etat », le 28 Février. Ceci a aboutit à la suspension des libertés de réunion et d’expression, à l’autorisation des écoutes téléphoniques, aux fouilles des maisons et à la détention illimitée sans mandat, et a ouvert la voie à des arrestations de masse d’opposants.



En fait, l’incendie du Reichstag est considéré comme marquant le début du régime nazi allemand de la terreur.



En dépit du fait qu’on avait la preuve que Lubbe avait agi seul, Hitler a immédiatement déclaré que les communistes étaient responsables. Il s’est rendu directement dans les bureaux du « Beobachter Vôlkische« , un journal que ses partisans avait acheté pour son compte en 1919, et a ordonné au secrétaire de rédaction en service de nuit de présenter l’histoire de l’incendie de telle manière que les communistes et l’opposition en porteraient la responsabilité.



Göring a même réécrit la déclaration de la police afin d’exagérer la menace, selon Toland.



Hitler convoqua alors le cabinet au bureau de Göring – une majorité d’entre eux n’étaient pas nationaux-socialistes – et cette même nuit un décret a été adopté dépouillant le peuple allemand de tous ses droits civiques fondamentaux.



Le Prince August Wilhelm de Hohenzollern, fils du dernier empereur allemand, qui était un fervent partisan d’Hitler, a assisté à la réunion et a approuvé le décret.



À la suite de l’incendie du Reichstag et des arrestations de masse, Hitler a mené une campagne électorale dépourvue de toute mesure politique concrète, invoquant la culture allemande et le « destin ».



Il est certainement tentant pour le gouvernement d’utiliser les mêmes mesures d’urgences destinées à faire face à une menace terroriste non existante en Allemagne, pour tenter d’écraser les protestations de plus en plus importantes et les exigences de démocratie.



Celles-ci ont atteint une tel niveau, que le gouvernement pourrait penser qu’elles peuvent seulement être stoppées par l’arrestation de milliers de personnes clés dans une action rapide et soudaine.



Même si la Cour suprême de Leipzig n’a établi aucun lien entre Lubbe et les communistes, Hitler a utilisé l’incendie pour arrêter, emprisonner, et souvent tuer les opposants politiques sur la base des connections les plus ténues.



Il serait aisé de concevoir un lien fictif entre les « terroristes islamiques » et les manifestants de Stuttgart 21 ou ceux de Castor 21, ou même entre les figures individuelles de l’opposition et des blogueurs, et ainsi donner aux chefs de la police qui sont au courant une excuse pour procéder à des arrestations.



Par exemple, We Are Change Autriche a mis en ligne une déclaration sur ses forums de discussion cet été provenant soit-disant de moi, dans laquelle j’exprimais un soutien humoristique à Al-Qaïda, tout en masquant l’adresse E-mail qui aurait montré que le message n’était pas de moi. WAC a d’abord prétendu que j’avais posté le message, puis a nié qu’un quelconque message avait été posté, même si j’ai fait une capture d’écran, ce que je suis sûr les gouvernements ont également fait pour leurs dossiers.



En utilisant des méthodes de ce genre, il serait facile d’assimiler ceux qui n’ont aucun lien avec Al-Qaïda avec de vagues partisans du terrorisme.



Le gouvernement pourrait être pressé d’agir, car la CDU/CSU risque de perdre le pouvoir au printemps lors d’une prochaine élection régionale en raison de la frustration des électeurs concernant le projet Stuttgart 21.



Une attaque sous faux pavillon pourrait permettre au gouvernement conservateur de la membre du Bilderberg Angela Merkel de se présenter comme « protecteur du peuple » – et si tout le reste échoue, les résultats des élections peuvent toujours être trafiqués.



Si la CDU/CSU parvient à conserver le pouvoir, elle peut congédier Merkel et « couronner » le ministre de la Défense Karl Theodor zu Guttenberg comme chancelier.



Guttenberg est un mondialiste clé, et il a fait passer des plans le 15 Novembree visant à transformer l’armée allemande d’une force de défense en une force offensive qui peut même s’engager dans des armées privées. Celles-ci seront bien nécessaires pour patrouiller dans les provinces rebelles du nouvel empire financier allemand, alors que les pays s’effondrent les uns après les autres sous le fardeau de la dette artificielle et que les autres tombes sous la coupe du FMI et de l’UE/Bilderberg dans le piège de l’euro.



Le banquier le plus important d’Hitler, Hjalmar Schacht – un bon ami de Max Warburg qui fut impliqué dans la « crise bancaire » et « la consolidation budgétaire » allemandes de 1931 qui a détruit l’économie allemande pour les profits des banques – a noté qu’un état policier fort était nécessaire pour toute société qui donnait aux banques la liberté d’action.



Le professeur d’économie de Vienne Franz Hörmann a récemment expliqué dans une interview à « Der Standard » à quel point le système bancaire est en fait un modèle de fraude et de vol qualifié.



Les mondialistes doivent avoir prévu la nécessité de recourir de façon massive aux forces de police, pour écraser les manifestations de plus en plus importantes contre la façon dont le gouvernement dérobe autant d’argent au peuple pour le remettre aux banques. Une attaque islamique sous fausse bannière contre le Reichstag, ou un aéroport, ou une gare, pourrait leur donner une excuse pour fermer les frontières et procéder aux arrestations des critiques.



Un parent du Prince Wilhelm August de Hohenzollern, Karl Friederich, Prince de Hohenzollern, est une figure influente de la CDU et siège ou a siégé au conseil de la plupart des banques impliquées dans le scandale bancaire actuel, y compris la BayernLB, qui a acheté la banque Hypo Alpe Adria sur les conseils de la banque Rothschild Investment, ignorant la preuve d’une fraude.



Bien que Guttenberg, qui est originaire de la Franconie de Charlemagne, pourrait-être préparé pour devenir le nouveau César ou Kaiser du quatrième empire Allemand – les décrets d’urgence suite à une défaillance de la Grèce pourraient permettre à une dictature de l’UE de voir le jour – les Hohenzollern ont joué un rôle de premier plan jusqu’ici dans les trois premiers « Saint Empires Germaniques« , et il ne peut être exclu qu’ils seront parmi les personnalités de premier plan dans la « Quatrième Reich », ainsi que le prince Adam du Liechtenstein a qualifié l’Allemagne.



http://en.wikipedia.org/wiki/Millennialism



Le Prince August Wilhelm de Hohenzollern a déclaré devant la foule à Hambourg en avril 1937, que « sa foi dans le Führer n’était pas seulement inébranlable, mais qu’elle devenait de plus en plus forte à mesure que les jours passaient« .



Le Führer souhaite juste que le peuple allemand le suivent avec foi – le Fuhrer croit en la loyauté du peuple d’Allemagne, et c’est la raison pour laquelle vous ne pouvez le décevoir« , selon Lothar Machtan, historien à l’université de Brême, qui a écrit « Der Kaisersohn bei Hitler, 2006, Verlag Hoffmann und Campe ».



Karl Friedrich est également le Souverain Grand Maître de l’Ordre du Dragon (voir également ceci), qui semble être l’une des sociétés secrètes mondialistes comme la Skull and Bones dont George Bush est membre.



Un siège clé pour les Hohenzollern est Nuremberg, et le premier acte d’Hitler quand il est entré dans Vienne en 1938 dans le cadre de l’annexion, a été d’ordonner que la « Sainte Lance » conservée au musée soit transférée à Nuremberg.



Dans l’intervalle, des tests d’ADN ont révélé qu’Hitler lui-même était très probablement un descendant des Rothschild, confirmant ainsi une vieille rumeur.



Avec Ludwig Wittgenstein, le fils de l’un des hommes les plus riches d’Autriche, le fabricant d’armement et associé des Rothschild, Karl Wittgenstein, Hitler était au Real Gymnase de Linz, juste à un jet de pierre du château des Rothschild à Ybbs.



Les Hohenzollern, Rothschild… encore eux.



Source: birdflu666

http://infoguerilla.fr/?p=6809#more-6809

Crisis of Fiat Currencies: US Dollar Surpluses Converted into Gold

China, Russia, Iran are Dumping the Dollar






by Bob Chapman,

Global Research, November 22, 2010


International Forecaster - 2010-11-21,

Something is going on that your government does not want you to know about. Very few journalists have written about it and little or nothing has appeared in the mainstream media. The story could be one of major stories of our time.


Western powers have tried to destroy gold as a backing for currencies for many years. Presently the major media won’t touch the story and that is understandable.



Something we have been writing about for years is the Shanghai Cooperation Organization known as SCO. Few have been listening and few have been interested in what their mission is and what they have been up to.
Some of the members are large oil producers and some, like China, are large oil users. Some have very large US dollar surpluses. As well, some are large commodity and gold and silver buyers. In fact, members are in a great part responsible for driving these prices higher. It is debatable, but we believe there is a conscious effort to accumulate gold and silver, dump dollars and to back their currencies with gold.


China and Russia are both large gold producers and for a number of years have been buying up domestic gold and silver production, so that it never reaches the market and does not affect prices. If anything the absence of sales tends to push the markets higher. As a matter of fact Russia and India are visible buyers. Even Iran with its oil surplus recently announced that they had purchased 340 tons of gold. Their recent gold purchases are very significant as affiliate members, which have access to the present and ultimate direction of the group. You might say buying gold has been a protective effort to shield members and close observers from the problems generated by dollar policies. They are accumulating gold, as many have been worldwide, for the past ten years, but particularly over the past few years.


This buying, for protection, has served to thwart the efforts of US policymakers, the Treasury, other central banks in Europe and the Fed, from being able to continue the blatant suppression of both gold and silver prices. The malefactors, except for forays into derivatives and futures, which are transitory, have lost control and suppression of gold and silver prices, and it is only a matter of time before all visages of any control will be visible. Since 1988, in August when Present Reagan signed the Executive Order creating, “the President’s Group on Financial Markets” and the subsidiaries that have grown out of that policy, that the Treasury won many if not most of the battles. The SCO in part changed that and now they and the public are winning the war for a fair and free gold and silver market. The current class action lawsuits, including RICO, are a testament to the market manipulation in silver, which is finally coming to an end. HSBC and JPMorgan Chase, the latter that is the major owner of the Fed, are going to be finally prohibited from rigging these markets. Their officers all belong in jail, but elitists never go to jail; they pay fines, and keep right on robbing the public.


Other SCO members and observers are accumulating gold as well, be it in smaller amounts. We might add that other nations observing Russia and China and their gold purchases are buying as well. These participants must believe that there could be a return to sound money; otherwise they wouldn’t be gold buyers. Buying gold is certainly preferable to holding US dollars, which have consistently fallen in value versus other currencies over the past ten years. Then again all currencies have fallen versus gold over that period, some 19.6% annually. It is nice to see nations are finally waking up to the reality that fiat currencies will all over time deteriorate versus gold. The temptation is enormous to deficit spend.


The most interesting aspect of the SCO is that they do not strive for political agreement such as the European Union. They are interested in economic stability and development and security. There is no overall binding laws. Nations retain their sovereignty, which is the exact opposite of what the elitists in the US and Europe desire, and that is world government. The SCO has provided great flexibility something that is non-existent in elitist controlled countries. Another interesting facet is that the SCO probably represents half of the world’ population, far more than the US and Europe. As these nations accumulate gold so does some of their citizens, which puts strong upward pressures on gold prices on a continuing basis.


In addition some of these nations, such as China, are spending dollars by buying natural resources and other things in other nations in an attempt to relieve themselves of excess dollars earned in trade. Both Russia and China fully realize that the US dollar is in serious trouble and has been for a number of years due to fiscal debt and the unbridled creation of money and credit by the Federal Reserve. They well know the dollar is in serious trouble and what the outcome will probably be.


As the economies of the US and Europe become more deeply mired in problems the economies of SCO nations more and more resemble the free economies of old that were very successful. You might say they have found their way back to basics and sound money. As the dollar comes under further downward pressure more nations will probably join the SCO to escape the clutches of European and American imperialism and bureaucracy, which for some years has been onerous and unsuccessful. What we see is a natural path by nations to extricate themselves from the control of Wall Street and the City of London, which have dominated the world for so long. All these facts considered we believe gold will find its way substantially higher with the participation of these nations, a factor the West never figured on. These ten nations are sucking excess gold out of the market every day and that will continue indefinitely.


These SCO nations are well aware that the surge of hot dollars created by the Fed out of thin air are headed their way and with them inflation. Brazil was the first nation to attempt to stop this onslaught by imposing a 6% tariff on interest and dividend paying Brazilian securities, purchased with US dollars. Over the last two years between stimulus and the Fed $2.5 trillion has been injected into the US and world financial system. As a result commodity and gold and silver prices have exploded. This has caused the dollar to fall in value versus other currencies and gold. There is no question more and higher inflation is on the way, as the Fed gets into QE 2. You can also bet that QE2 will not be $600 billion, but more than $2 trillion. Inflation is already showing up in food, petroleum products, airline fares and in many other items that we use every day. As usual the government says there is little or no inflation. Even competent economists still use government’s bogus figures. What can they be thinking of? They know what is going on as well as we do. That means we are embarking on the highest inflation rates in US history. Thus far the undertow of deflation has been superseded by government banking and Fed aggregate creation. The Fed, in order to subdue deflation and such spending has to always overshoot the inflation they create, so that they can be sure that deflation cannot take hold. This money and credit is in the process of working its way through the economy, spreading inflation as it winds its way through.


The only investors who are being afforded protection are those who have invested in gold and silver and commodities. That is less than 2% of the American population. We predicted in mid-May that QE2 and QE3 would take place for a combined $5 trillion over the next two fiscal years. In fact, the Fed was late in starting in June and as a result 4th quarter GDP growth will probably be 1% and the 1st quarter of 2011 will probably be in the minus column, as unemployment heads to 25% and extended benefits run out. We are not seeing growth; we are seeing forced feeding.


The Fed’s promises are not worth the paper they are written on. Ben Bernanke will print money until he cannot anymore and we have hyperinflation. That is because he has no other choice. He has no way out and he knows it won’t work. Tragically, this is where we are headed and there is no way to stop what the elitists have put deliberately in motion.


As long as quantitative easing is official Fed and Wall Street policy, gold is going to continue to rise with silver, and the stronger the case is that gold is the real world reserve currency. That means all currencies will eventually have to be backed by gold. We believe that elitists have accepted this fact and that was borne out recently by World Bank President, CFR, Trilateralist and Bilderberger Robert Zoellick. We can assure you that was no slip of the tongue. That was a cleverly planted trial balloon to get public reaction.


We do not see QE2 and QE3 as incompetence or bungling. It happens to be the only option available to the powers behind government. The same errors committed during the Great Depression of the 1930s are being repeated and economists, including Mr. Bernanake know they do not work. Yes, the Fed contracted money supply and when they let it loose again, it was too late for it to be in anyway effective. Next comes tariffs as an outgrowth of: currency wars; interest and dividend penalties on the inflow of hot, inflationary dollars and retaliatory tariffs as a result of losing 8.5 million jobs and 432,000 businesses over ten years to free trade, globalization, offshoring and outsourcing. Smoot-Hawley tariffs and even dumb Fed moves were bad enough, but Hoover’s raising of taxes by 150% was a monumental piece of stupidity.


At the root of all this is that the Fed is supposed to be saving the US economic and financial structure. They are not doing that, they are saving the banking system and Wall Street instead and these are the miscreants that caused the problem in the first place. The result of this policy of zero interest rates and easy money is that few are saving.

There you have it, planned destruction. Is it any wonder the SCO members and observers are buying gold on every dip and will not stop doing so until they run out of dollars. Our only question is; what took them so long and why are they not buying more faster?


http://globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=22031

Pakistan and Yemen on top Israel agenda : Pakistan’s Nuclear Factor

Nuclear factor kept Pakistan’s adversaries restrained




By Brig Asif Haroon Raja



After 9/11 terror attacks on twin towers, when the US leadership decided to avenge the attacks by invading Afghanistan and also planned to rope in Pakistan, it rejected India’s offer of providing air bases and full military support. It also ignored India’s advice to tackle Afghanistan and Pakistan in a single swoop. In India’s reckoning, roots of terrorism could not be eliminated without taking on both the countries. The US leaders assessed that Pakistan being geographically contiguous to Afghanistan and also having more knowledge than any other country about the target country as well as Taliban would be most suitable. The US however assured India that it had future plans to deal with Pakistan separately at an opportune time.




People in Pakistan cannot forget the telephone call of US Secretary of State Colin Powel on the fateful night of 13 September 2001. He bluntly told Gen Musharraf, ‘you have to decide whether you are with us or against us’. It was a sort of ultimatum with no leeway for a middle way or a third option. In order to justify his spontaneous capitulation, Gen Musharraf cooked up a story of ‘bombing Pakistan back to Stone Age’. He also conveyed that if he had not accepted US proposal, India’s offer of rendering full services for Afghan venture would have been accepted by Washington. Today he proudly claims that by opting to become a US ally he kept India out and saved strategic assets of Pakistan.



All the serving Generals at that time bought the story and applauded their COAS cum Chief Executive for taking the right decision. Their plea was that Pak armed forces were incapable of fighting combined armed forces of USA, western world and India. For them it was a wise and far-sighted act which saved Pakistan from sure ruination. The entire lot of Pakistan based politicians also voiced similar arguments. It has now been established that the story of Stone Age was concocted. George Bush, Colin Powell and Richard Armitage refuted Musharraf’s claim that he was threatened to bomb Pakistan to Stone Age.



Notwithstanding colossal destruction of Afghanistan, the country is still in existence and on road to recovery. The ones who were forcibly exiled have returned back with a vengeance and have made the lives of occupiers difficult. Likewise, Iraq after colossal devastation has not been wiped off the face of earth. As a consequent to prolonged resistance struggle, bulk of occupation forces has returned home. Left over 50,000 troops are likely to abdicate by end 2011. Likewise, troop withdrawal in Afghanistan will commence in July 2011.



Despite using their full combat power, coalition forces were unable to defeat the people or push the occupied countries to Stone Age. While the spirit of resistance forces remains high, coalition forces in Afghanistan and Iraq are desperate to return to their homes. It is only the egoist US leaders who are dragging their feet and are prolonging the agony of occupation forces and that of resistance forces despite seeing the writing on the wall.



Musharraf having docilely submitted to US dictates and that too without extracting worthwhile benefits, could not prevent the systematic destruction of the country and loss of human lives. In nine years, over 32000 people have lost their lives in war on terror imposed on Pakistan and tens of thousands maimed or injured and thousands orphaned. Property worth billions of rupees has been destroyed by suicide bombers and bomb attacks. Lacs of displaced people belonging to troubled areas are still living in camps. Economically, Pakistan has suffered a loss of over $64 billion. Individual losses and psycho-social trauma caused are incalculable. Loyal people of FATA and Balochistan have become enemies of the state. Unheard of suicide attacks have become a norm.



In addition to man-made catastrophes, Pakistan underwent two natural calamities. 80,000 people perished in 2005 earthquake. Whole towns and villages were razed to ground in Azad Kashmir. In 2009 floods, besides 3000 human losses, damage to property, road infrastructure, bridges, homes, agriculture lands, standing crops and fruit orchards all over the country was colossal. 2.5 million people got displaced.



Besides negative fallout effects of man-made and natural tragedies on Pakistan’s socio-politico-economic health, Pakistan lost its prestige since it betrayed a neighboring Muslim country with which it enjoyed excellent relations and joined hands with unreliable self-styled friends. Latter are treating a betrayer the way it should be treated. Our so-called well-wisher USA mistrusts Pakistan and is showering hellfire missiles on people of Pakistan. Under the garb of friendship it is seeking political destabilization and economic impoverishment of Pakistan so that it could denuclearize it and turn it into a client state. Its real friends are part of the gory scheme.



In hindsight, if we make a comparison of possible destruction wrought on Pakistan in case of US invasion vis-à-vis what all Pakistan suffered in war on terror as a US ally, it will not be too wrong to conclude that Pakistan suffered more by getting aligned with USA. Whatever economic prosperity seen during Musharraf’s rule evaporated in thin air since economic policy was based on consumerism. Pakistan was hijacked by NRO cleansed rulers who have broken all records of corruption. They have pushed Pakistan back into the stranglehold of IMF. With all economic indicators in the negative, the economy is in dire straits and Pakistan is being seen as a failing state. Its sovereignty stand compromised because of America’s intrusiveness and drone strikes.



For nine years, US officials have been pasting serious allegations against its so-called strategic ally Pakistan. They brazenly express displeasure and hurl warnings and threats as if Pakistan is America’s colony. The way our leaders receive slaps without a whimper, it seems that Pakistan has been virtually enslaved. In my view, one-time agony was far better than prolonged agony with no light at the end of the tunnel.



Coming back to the point of invasion and destruction of Pakistan by US led coalition forces, I can say it with certainty that the US would never have dared to invade Pakistan because of its nuclear capability. Had Afghanistan a single nuclear bomb, none from the western world would have taken the risk of invading it. Had Pakistan not betrayed Taliban regime and stayed neutral, or provided political and moral support to it, even then USA would not have felt confident to invade Afghanistan. Northern Alliance would have continued to roam in wilderness. Likewise, had Iraq been in possession of WMDs as was alleged, it would not have been targeted. In order to make sure whether Saddam regime had or didn’t have WMDs, UN nuclear inspectors combed each and every building and bush in Iraq for over two years. Go ahead for invasion was given only when 100% assurance was obtained that Iraq was free of WMDs.



Why is it that the US troops didn’t barge into FATA from next door Afghanistan after its top leadership accused Pakistan of working against American interests in collaboration with Taliban and Al-Qaeda? What prevented USA from attacking Pakistan once it became sure that Pakistan was playing a double game and had become part of the problem? Why didn’t US Special Forces seize Pakistan’s nukes when they got convinced that the nukes were on the verge of being stolen by extremists? Why didn’t India invade Pakistan in 2002 and in 2009 when its entire military strength was deployed along the border in a threatening posture for months? Indian military Exercise Brass-tacks in 1986-7, Indian forces offensive deployment in Kashmir in 1990, Kargil conflict in summer of 1999 and military stand-off in 2002 and in 2009 had distinct probability of converting into a full-fledged Indo-Pak war. Each time the crisis situation got defused due to Pakistan’s nuclear capability and resilient response of armed forces.



But for nuclear factor, the US egged on by India and Israel, or India backed by USA would have invaded Pakistan long time back. Because of threat of nuclear response, all the six intelligence agencies based in Kabul are perforce resorting to expensive covert operations to steal or destroy our nukes all these years. Despite their yearning for the nukes, they have failed to get near our nuclear arsenal and have also desisted from launching a physical attack. It proves my point that nuclear factor, resilience of our armed forces are the only impediments which has kept Pakistan’s adversaries restrained. ISI’s vigilance and competence has defeated their sinister plans.



Gen Musharraf was put to test on the night of 9/13 in which he failed. Had he stood up to American challenge as Gen Ziaul Haq had done against next door super power, he would have entered his name in the pages of history with golden words. Now he will be remembered as another Mir Jaffar. If ragtag Taliban can fight the combined force of 48 countries and bring them to the stage of near-defeat, why couldn’t Islamic Republic of Pakistan with regular armed forces rated among the best in the world and equipped with missiles and nukes do the same? Was it not better to fight the external powers and getting bled and martyred than senselessly fighting own people and killing each other and earning all sorts of bad names?



Brig Asif Haroon Raja, a Member Board of Advisors Opinion Maker is Staff College and Armed Forces War Coursequalified, holds MSc war studies degree; a second generation officer, he fought epic battle of Hilli in northwest East Bengal during 1971 war, in which Maj M. Akram received Nishan-e-Haider posthumously. He served as Directing Staff Command & Staff College, Defence Attaché Egypt and Sudan and Dean of Corps of Military Attaches in Cairo. He commanded the heaviest brigade in Kashmir. He is lingual and speaks English, Pashto and Punjabi fluently. He is author of books titled ‘Battle of Hilli’, ‘1948, 1965 & 1971 Kashmir Battles and Freedom Struggle’, ‘Muhammad bin Qasim to Gen Musharraf’, Roots of 1971 Tragedy’; has written number of motivational pamphlets. Draft of his next book ‘Tangled Knot of Kashmir’ is ready. He is a defence analyst and columnist and writes articles on security, defence and political matters for numerous international/national newspapers/websites.


http://www.opinion-maker.org/category/business-and-economy/

From the destruction of the USA/EU and the US dollars, Israel will rise as the regional superpower, having control on the westernized 'international' financial system and control over the drugs, oil, gas, and other natural resources, at the crossroad of the Middle East, Central, Eurasia, Asia, Africa. Failing to do so will see a massive backlash from the western populations, abandoned and betrayed by the ruling dual citizens (EU/US-Israeli) elite, stealing their money to keep alive Israel through the corrupt banking system. These 'civilized western governments' are now waging a total war against North american and european populations to keep the illusion of the 'Greater Israel', like in Ireland and the UK.

Pentagon, Military Actively War Gaming ‘Large Scale Economic Breakdown’ and ‘Civil Unrest’

 Vigilant Guard 2010 Riot Control, Detention Drills

The majority of Americans believe that recent government intervention into financial markets, the economy and corporate insolvency has reversed the economic downturn which was described by former Treasury Secretary Hank Paulson as being “on the brink” in 2008. The stimulus, bailouts and unrelenting quantitative easing by the Federal Reserve have thus far been perceived as having averted the further erosion of the U.S. real estate and equities markets. And though the Federal Reserve and economic analysts have recently readjusted their economic growth forecasts downward for the next six months, Americans no longer have to worry about, as Rep. Brad Sherman (D-CA) said on the house floor in October of 2008, the sky falling, multi-thousand point drops in stock markets and martial law in America.


The recovery - if our government, the Federal Reserve and mainstream media are to be believed - is on the road to recovery - albeit slowly and with some more pain ahead.

If we’ve “prevented economic collapse” and “avoided the depression many feared,” according to President Obama, inquiring minds are asking why the Pentagon and US Military are actively and aggressively engaged in planning responsive action to large scale economic breakdown and civil unrest scenarios:
Ever since the crash of 2008 the defense intelligence establishment has really been paying a lot of attention to global markets and how they can serve as a threat to U.S. national security interests. At one upcoming seminar next month they’re taking a look at a lot of the issues.
source: see CNBC video report below
According to the report, the Army has spent time on financial market trading floors with JP Morgan and others, in the hopes that they can learn more about how a financial and economic attack may occur, and what the ramifications of such attacks on US stocks and bonds may be.

The Army, in a year-long war games series called Unified Quest 2011, is looking at a variety of possibilities and how to deal with them, including:
  • the implications of “large scale economic breakdown” inside of the United States
  • how to maintain “domestic order amid civil unrest”
  • and ways to deal with fragmented global power and drastically lower budgets
Clearly, the U.S. government is making contingency plans to deal with a worst-case, all-out-collapse scenario of not only the economy, but our social and political systems.

The war gaming, according to reports, began in 2008 at the onset of the economic crisis, but planners from not just the United States, but around the globe, may have been aware of the dire possibility of economic collapse even earlier. It’s well known that the U.S. government as well as foreign counterparts have been preparing bunkers and continuity of government for decades, but recent preparedness activities suggest that the planning in some aspects has been expedited. Anecdotal evidence indicates that the US government has been the leading buyer of freeze died foods for the last couple of years, and private emergency shelter contractors have reported a shortage in equipment and supplies for building personal-sized bunkers.

In a previous report titled Homeland Security To “Regionalize” Emergency Supplies Over Next 90 Days, we pointed out that FEMA, headed by Department of Homeland Security, is decentralizing emergency supplies from one main distribution facility in Washington D.C. to fifteen regional facilities around the country. Even the Russians and the EU are in high gear. Russia has reportedly begun planning and development of 5,000 new underground bunkers for the city of Moscow scheduled for completion no later than 2012. The EU, in 2006, commissioned the building of a “Doomsday Seed Vault” in a mountainside several hundred feet above sea level. The facility was built and fully stocked with millions of seeds from around the world within 18 months.
Though the activities of global governments in recent years could potentially be chalked up to standard national security preparedness and contingency planning, the most alarming indicator that the U.S. government is not just looking at one-in-a-million possibilities in terms of economic collapse is the training of several thousand U.S. Army soldiers to respond to domestic policing and enforcement issues that may include evacuation, detainment and riot response. The real possibility of the need to deploy U.S. military under martial law exists, and the U.S. government is spending millions of dollars training and equipping soldiers to do so if necessary.

For those who may have their doubts about some of the scenarios these soldiers are training for, we point out the sign being held by one of the riot role players below.

(Photo taken by U.S. Airforce Tech. Sgt. Brian E. Christiansen, North Carolina National Guard at Vigilant Guard training exercise Ft. Richardson, Alaska - April 2010)

It is hard to imagine an America under an economic attack so serious that the U.S. economy could suffer a collapse that would essentially put an end to the world as we have come to know it. But for those who think rationally, especially given the current malaise in financial markets and the U.S. dollar, the possibility cannot be ruled out.

As such, any government acting in the interests of national security would take steps to deal with and respond to such an event(s).

For the average populace prole, however, there may not be any real assistance should something like this occur. First and foremost, any government response to an attack on our financial and economic systems will have the primary goal of maintaining order and the rule of law, as well as continuity of government. This is a given.

This means that if, for whatever reason, be it a collapse of the US dollar that leads to disruptions in the flow of U.S. food supplies or an economic war that goes “hot” leading to worst-case scenarios like cyber attacks on U.S. infrastructure elements like electric and water utility plants or an EMP attack, the government’s mandate will not be to provide food and security for your family, but rather, for those who are deemed essential to accomplishing the primary goals.

This means that when and/or if it hits the fan, you’re going to be on your own.

If you haven’t yet, we recommend taking the advice of FEMA (pdf), who suggest that every family have emergency preparedness supplies on hand, including food and water, for at least a couple of weeks.

For the hard core “preppers” amongst us, you may have already considered this possibility and the chance that the fallout from an economic collapse may lead to an inability to perform daily transactions with the U.S. dollar,  food supply disruptions, violence and looting, and even a completely ‘down-grid’ where utilities are completely out of service. If you haven’t, what would you do if you awoke to news of a total meltdown in the US dollar - one that led to rejection of the US dollar as a currency for international settlement?

Will you be the one facing off against highly trained U.S. military personnel holding a “Food Now” sign at an inner city riot?

The U.S. government and many of their counterparts around the world are getting ready - just in case - maybe you should be too.

Author: Mac Slavo
Date: November 22nd, 2010
Visit the Author's Website: http://www.SHTFplan.com/

Il y a 11 ans était lâchement assassiné Abdelkader Hachani

Abdelkader Hachani, victime de 'l’intégrisme éradicateur '?

Ce texte est une version actualisée d’un article écrit peu après l’assassinat de Abdelkader Hachani et que les journaux Le Monde et Libération n’ont pas accepté de publier.


Sadek Sellam et Fatiha Talahite, décembre 1999

Le meurtre politique fait partie des lois non écrites de l’éradication. Abdelkader Hachani en a été victime après avoir eu à subir toutes les rigueurs des lois d’exception en vigueur en Algérie depuis 1992.


Malgré l’opposition du courant salafiste, il amène son parti à participer aux législatives du 26 décembre 1991. Artisan de la victoire du FIS à ces élections, il est la principale cible du coup d’Etat du 11 janvier 1992, dont le président Bouteflika a reconnu récemment que ce fut un « acte de violence ». Abdelkader Hachani, qui savait que les adversaires de la conquête pacifique du pouvoir étaient fournis en armes depuis longtemps, a tenté de contrôler ses troupes, incitées à réagir par la violence à l’interruption du processus électoral et à l’interdiction du FIS. 

En leur recommandant de résister à la provocation par « le jeûne et la prière », il leur préconisa une sorte de gandhisme musulman. Malheureusement, cette tentative avait peu de chances d’aboutir, car le FIS, qui était un mouvement en pleine effervescence, était déjà largement infiltré. De toutes façons, Hachani sera mis hors d’état d’agir en faveur d’un appel au calme, puisqu’il va être arrêté pour avoir supplié les soldats de ne pas tirer sur leurs frères, et enfermé à la prison de Serkadji, où il restera cinq ans et demi sans jugement. Pendant sa détention, il fut témoin d’une tuerie qui fit plus de cent morts parmi les détenus. A son procès, qui se tient enfin en juin 1997, il est torturé durant les suspensions de séance dans les sous-sols du tribunal. Condamné à cinq ans de prison, il est donc immédiatement libéré. Cette libération semble avoir été destinée à lui faire cautionner l’accord secret conclu entre des généraux de l’armée et l’Armée Islamique du Salut, qui devait être annoncé en octobre 1997. Il se refuse à participer à une stratégie visant à compromettre individuellement les dirigeants de son parti (comme le fut Merani après juin 1991, devenu ministre puis désigné sénateur) et à apporter une caution islamiste à la politique éradicatrice. Hostile aux tractations bilatérales secrètes propices aux manipulations faisant de la mouvance islamiste un instrument de la lutte entre clans politico-militaires, il se rapproche des réconciliateurs, partisans d’une solution politique négociée.

Malgré ces réserves, il soutient les aspects positifs de la loi sur la Concorde civile et considère la trêve de l’AIS comme un acquis à préserver. Mais il n’hésite pas à en souligner les insuffisances et défend inlassablement la nécessité d’une solution politique. Pour lui, la mise en avant d’un chef de guerre comme Madani Mezrag est destinée à éclipser les politiques, afin d’assurer la pérennité d’un système dominé par des militaires secondés par des technocrates sans profil politique, les un et les autres craignant le retour des politiques légitimés par le verdict des urnes. Aussi rappelle-t-il à l’ordre Rabah Kébir lorsque celui-ci prend sur lui d’annoncer la fin du FIS, renonçant à exiger une contrepartie politique à son soutien à la loi sur la Concorde civile.

Entre les théologiens comme Ali Benhadj et les chefs de guerre comme Madani Mezrag, Abdelkader Hachani considérait qu’il y a une voie permettant de concilier l’Islam et la démocratie. Il voulait faire évoluer le FIS vers une formation de type musulman démocrate capable de gouverner dans le cadre de la Constitution de 1989, accepter l’alternance et substituer la culture de gouvernement à celle d’opposition. De ce point de vue, on peut le comparer aux islamistes jordaniens du Front de l’Action Islamique, dont les élus légifèrent au Parlement depuis 1989, aux islamo-démocrates du Parti de la Renaissance Islamique qui gagnèrent les élections d’avril 1992 au Tadjikistan ou aux islamistes de l’Islah yéménite qui siègent au Parlement de Sanaa depuis 1994. En interrompant les élections de 1992, les éradicateurs algériens ont eu une réaction analogue à celle des paras russes qui empêchèrent manu-militari l’expérience démocratique de Doutchambé, ou à celle des communistes sud-yéménites qui, avec l’aide d’émirs séoudiens, tentèrent de provoquer la partition du pays dans le seul but de torpiller la démocratie.

Les commanditaires de l’assassinat de Hachani se sont attaqués à un homme de paix, qui refusa de se prêter à la manipulation machavélique de ses troupes et à l’exploitation des violences islamistes visant à faire accepter à l’opinion internationale le coup d’Etat de 1992 et la répression féroce qui l’a suivi. Ils ont décidé la liquidation physique d’un gêneur hostile aux fausses solutions et aux mauvais compromis qui, depuis sa libération, réussissait à convaincre ses visiteurs étrangers que l’interruption des élections n’était pas une nécessité historique. Sa fidélité à un projet politique fondé sur l’attachement aux valeurs du Coran et la défense de la démocratie dérangeait les tenants de l’éradication, dont le programme politique se réduit au refus de l’alternance, tempéré par le trucage des élections.

Parmi les personnalités politiques algériennes, Hachani était l’un des premiers à ne pas tirer sa légitimité de la guerre de libération. Il était représentatif d’une génération de scientifiques et de techniciens, produits de l’effort éducatif de l’Algérie indépendante, venus à la politique par le biais d’un ressourcement et d’un enracinement dans l’Islam par refus de la corruption et de la déculturation, et qui ont su gagner la confiance d’une majorité d’algériens. L’assassinat en plein Alger, de ce partisan de la primauté du politique sur le militaire aussi bien que sur le religieux, ruine une bonne partie des espoirs de paix suscités par les déclarations de Bouteflika.

Cet assassinat a eu pour conséquence d’exacerber les divisions et les querelles de tendances et d’influence au sein du FIS. Ce parti, dont la direction a été décapitée et les cadres dispersés par l’exil et la répression, était considéré comme un acteur incontournable par les partisans d’une issue négociée à la crise. Privé de l’un de ses derniers porte-parole légitimes et d’un rassembleur possible, il est plus que jamais exposé aux manipulations et aux manouvres occultes, ce qu’illustre la polémique autour de la lettre de Abbassi Madani. Or, chercher à maintenir la paralysie du FIS par ses dissensions, contribue à priver les partenaires politiques d’un interlocuteur, ce qui ne fait que compromettre encore plus les chances d’un retour à la paix et favorise le pourrissement de la situation.

L’hommage rendu à Hachani après sa mort a largement dépassé le cadre de l’opinion islamique. C’était un homme respecté par ceux de ses adversaires politiques (y compris dans le courant laïcisant) qui, comme lui, refusèrent de se prêter aux manouvres du pouvoir militaire visant à les associer à sa stratégie de manipulation et de disqualification de l’opposition. Cette convergence autour du respect des règles du jeu démocratique et de l’alternance, demeure la seule perspective pour construire une alternative à la guerre civile en Algérie. La concertation avec les réformateurs et les dialoguistes, qui dénoncèrent le saut dans l’inconnu du 11 janvier 1992, lui était préférable à la fréquentation des islamistes prétendus « modérés » devenus une force d’appoint de l’éradication.

La disparition de Hachani, dont l’audience auprès des innombrables « offensés et humiliés » lui permettait de leur désigner d’autres issues que celle du radicalisme activiste, prive la politique de paix du président Bouteflika d’un soutien possible.

http://www.lequotidienalgerie.org/2010/11/23/il-y-a-11-ans-etait-lachement-assassine-abdelkader-hachani/

Afghanistan, Iraq, the lost wars of the defeated US-israel empire

U.S. Wounded - The Hidden Toll of Obama's Surge

 


By Chris Bollyn,
www.bollyn.com
November 25, 2010

OBAMA'S CASUALTIES

More than seventy-one percent of all U.S. wounded (9,256) from the 9-year-old war in Afghanistan have occurred in the 22 months since President Barack Obama became Commander in Chief on January 20, 2009.  Some 6,566 Americans have been wounded since Obama began his ill-advised surge in February 2009.  Is this the change Americans wanted when they voted for Barack Obama?

U.S. Army Staff Sgt. Cole Reece provides care to U.S. Army Sgt. Jonathan Duralde of Bravo Troop 1-71 CAV after he was injured by an IED blast June 25, 2010 near Kandahar, Afghanistan.  Nearly 600  americans have been wounded in Afghanistan every month since June 2010.

As a presidential candidate, Barack Obama called for a greater focus on the war in Afghanistan and a troop "surge". During his first month in office Obama authorized the deployment of 17,000 additional troops on February 17, 2009.  By December 2009, Obama had called for 30,000 more troops to be sent to Afghanistan.  More than 6,500 Americans have been severely wounded as a result of Obama's surge in this most ill-advised and criminal of wars.  Why are Americans fighting and dying in Afghanistan? 


During his first month in office President Obama sent 17,000 more U.S. troops to Afghanistan.

THE REAL COST IN U.S. WOUNDED

As a frequent visitor to iCasualties.org, I noticed that tallies of U.S. wounded had not been updated since July 2010 – until recently. The website's data is based on monthly reports from the Department of Defense. Now that the data on U.S. wounded from August through November 2010 has been added, I can see why the White House held these shocking numbers back.  Nearly 600 U.S. servicemen, about 20 per day on average, have been wounded every month since May 2010.  This is the painful reality of the fraudulent war in Afghanistan that the Obama administration has been hiding. 

In 2008, there were 793 U.S. wounded in Afghanistan. During 2009, the first year of Obama’s presidency, the number of wounded shot up to 2,144, a nearly three-fold increase. Thus far in 2010, the first full year of Obama’s surge policy in action, more than 4,481 Americans have been wounded in Afghanistan -- more than twice the casualties from 2009 and about six times as many as 2008. 

If we still had good photo journalism covering the war from the front lines, like LIFE magazine provided during the Vietnam War in the 1960s and 70s, Americans would be more aware of the real suffering caused by the 9-year-old criminal war of aggression in Afghanistan.  A population that is painfully aware of the human toll is much more likely to take effective action to end the war.


LIFE, 16 April 1965
Helicopter crew chief James C. Farley shouts to his crew while wounded pilot Lt. James E. Magel lies dying beside him, March 31, 1965. This photo by Larry Burrows is one of LIFE's most memorable covers from the Vietnam War.

LIFE, 11 February 1966
LIFE magazine brought the painful reality of the Vietnam War home to millions of Americans every week.  Henri Huet's historic photograph was the cover photo for February 11, 1966.  Why don't we have this kind of photo journalism anymore?  How has the media gone from covering the war to supporting the war?


Dickey Chapelle, war photo journalist (1919-1965)


Last rites for Dickey Chapelle
(Photo - Henri Huet)
It was 1965,
Over Chu Lai in a free fall dive
In a dawn patrol to cover the dead zone ground
She tiptoed through the land mines
All along the enemy lines
But she never saw the one that took her down
She captured the bloody pearls of war so well
That war was bound to steal the end of Dickey Chapelle
- from “Pearl’s Eye View” (The Life of Dickey Chapelle)
Sources and Recommended Reading:

"Facing Reality in Afghanistan" October 4, 2010
http://www.bollyn.com/the-self-inflicted-wounds-of-9-11
"Dying in Vain - Why Afghanistan?" February 8, 2010
http://www.bollyn.com/dying-in-vain-why-afghanistan

More evidence that zionist jewish communities in the US, Great Britain, France, Germany and Israel manufactured 9/11

Update  22 November 2010: Who Destroyed the 9/11 Evidence?

By Christopher Bollyn, 
www.bollyn.com

During the past two months I have been involved in research about the Rothschild/Mossad network behind the criminal destruction of the steel from the World Trade Center.  I have found that the network that arranged for the destruction of the steel - critical evidence from the crime scene - was actually organized by Israel's Mossad and their Zionist agents, the real culprits behind the false-flag terrorism that changed the world.  This article will be the final and conclusive chapter of my book, Solving 9/11 - The Deception that Changed the World

On 19 November 2010 I sent photographs of two of the main people involved in the "recycling" of the 300,000 tons of steel from the World Trade Center to Roy Tov, the Christian Israeli author of The Cross of Bethlehem.  I sent these photos of the culprits behind the criminal destruction of the steel to Tov because he is very knowledgable about the Mossad, having been pursued and targeted by Israeli assassins around the world.  This is what Roy Tov wrote back to me on November 21:

Thanks Christopher,

If the pictures are real, then there is little doubt regarding their allies and employers. The chances they'll answer in such case are slim, or it will be in the form of an attack (lawyers or violent) against you.
In September, when I began my research into the people behind the destrucion of the steel, I called the Hugo Neu company, which was one of the two New Jersey scrapyards that "recycled" the steel.  Hugo Neu was a German Jewish immigrant from Fürth (like Henry Kissinger, another Rothschild agent) who came to America and worked as a bank clerk with Seligman & Co. before becoming the head of Associated Metals and Minerals Corporation (AMMC) in New York in the 1930s with his German Jewish fellows, Meno Lissauer and Walter M. Rothschild, the company's president.  Lissauer's wife, Meta, was also Walter Rothschild's sister.  Hugo Neu started his own scrap metal company in 1945.  The company is now run by his son, John, and has very close business ties to the state of Israel and is invested in a Mossad-linked Israeli venture fund.
Since 2001, the two companies involved in the destruction of the steel, Sims Metal Management and Hugo Neu, have merged into one company.  I called and asked to speak with Alan Ratner, the former head of Metal Management in New Jersey, Daniel Dienst, or Robert Kelman, since these were the key executives involved in the 9/11 steel recycling.  I got through to Ratner's secretary, who gave me his email, but instead of letting me speak to any of these men, I was connected to company's spokesman, Daniel Strechay.

Daniel Strechay is the corporate gatekeeper who speaks for the company who profited from the illegal destruction of the steel evidence from the World Trade Center.

Strechay was completely unwilling to answer any questions.  I told him that the destruction of the steel is a matter of great historic importance and that in the interest of fairness and accuracy I wanted to speak directly with the people involved.  Strechay refused, saying "It's all a matter of public record.  Read the Wall Street Journal."

He then said that the company is very proud of how it handled the steel from the Twin Towers, but was adamant in his refusal to let me speak with any of the men who were actually involved in the operation, and hung up the phone.  Later, I got through to Alan Ratner by email and he wrote back, so I sent him a few questions, but he yet to respond.  Clearly, these men do not want to discuss their roles in the destruction of the steel from the World Trade Center.

I called Kenneth Holden at his home in Scarsdale, New York, on October 16, to ask him some questions about his role in the clean-up of the debris at the World Trade Center.  Holden is the former head of New York City's Department of Design and Construction (DDC), and was the official who oversaw the removal of the steel.  As Mayor Bloomberg said about Commissioner Holden, when he was reappointed as head of the DDC in January 2002:

New Yorkers are fortunate to have Commissioner Holden agree to remain as Commissioner of DDC," said Mayor Bloomberg. "Over the last four months he has done a terrific job managing the clean up of the World Trade Center and so that the reconstruction process for Lower Manhattan can begin. By coordinating the movement of millions of tons of steel and rubble, excavating one of the most dangerous work sites in the world all seemingly ahead of schedule, under budget and without a fatality, Kenneth Holden has been the unsung hero of this enormous task.

Kenneth Holden

THE "UNSUNG HERO" WON'T SING

When Holden gave his statement to the 9/11 Commission on April 1, 2003, he said that he had received "verbal permission" to remove the steel to New Jersey scrapyards, but failed to name the person who had authorized the move.  Oddly, nobody bothered to ask who gave Holden the verbal permission:
Steel and debris from the site was sent to Fresh Kills where it was examined and sifted. As the Department of Sanitation could no longer handle the steel with their equipment, and our engineers thought the steel would destabilize the landfill, DDC received verbal permission to ship the steel to New Jersey. (From whom?) By the end of June 2002, an astounding total of over 1.6 million tons of steel and other debris were removed from the site.

It was Saturday morning when I reached Holden at his home.  I told him I was working on an article about the destruction of the steel from the World Trade Center and wanted to ask him a few questions.  He bawked a bit at first, saying that he was no longer giving interviews on the subject, so I repeated what he told the commission and asked the most important question first:  Who gave you the verbal permission to ship the steel to New Jersey scrapyards?  I was able to repeat the question twice very clearly.  After a short pause Holden said, "As I said, I'm not giving interviews on this subject."  Then he silently ended the call.

I thought for a minute and called Holden right back.  He picked up the phone and I immediately asked, "Was it Chertoff?  Was it Michael Chertoff who gave you the verbal permission?"  Holden was silent on the other end of the line, then he ended the call as he had done before.

"Silence is agreement" is the old Estonian saying that came to mind.  The logic is that Holden could not deny that Chertoff had given him the verbal permission, so he remained silent.  Common sense would suggest that the permission must have come from Chertoff, who as Assistant Attorney General of the United States was the top dog responsible for the federal (FBI) investigation of 9/11.  

Assistant Attorney General Michael Chertoff was "top dog" at the FBI during the "non-investigation" of 9/11, in which the crucial steel evidence was destroyed in Asian smelters before being examined by engineers.  Chertoff's Israeli mother, Livia Eisen, was one of the first Mossad agents.  An Israeli by birth, Michael spent much of his childhood in Israel.

To understand the essence of the crime, I recommend reading the short article "Selling Out the Investigation" by Bill Manning of Fire Engineering.  Manning's piece was published on January 1, 2002.  The destruction of the steel was a crucial part of the 9/11 hoax.  A hoax cannot succeed if there is evidence that reveals the truth and 9/11 is a global hoax.
The Twin Towers were primarily steel structures supporting 220 lightweight concrete floors. 

The towers were well built structures that used more steel than today's skyscrapers.  The debris contained about 300,000 tons of steel that was hastily dispatched by a New York City official to two Zionist-controlled scrapyards in New Jersey - before it could even be inspected by engineers.  These Jewish-owned scrapyards then shipped the steel - hard evidence from the crime scene - to Asian smelters where it was melted down far from the prying eyes of U.S. investigators.  Why was this allowed and who was behind it?

An organization called the NYC Coalition for Accountability Now (NYC CAN) is calling for the public to demand that the district attorney of New York County investigate and prosecute those responsible for the destruction of the evidence from the crime scene.  This is from their open letter/petition of June 23, 2010 to the district attorney's office:
Cy Vance, Jr. District Attorney of New York County
Thomas Wornom, Bureau Chief, Special Prosecutions Bureau

Dear Sirs:

Over the last three weeks you have been informed about the overwhelming evidence that World Trade Center Building 7 was demolished with explosives. I trust that you understand the serious implications of this crime and that you are resolved to prosecute the guilty parties. To provide a critical steppingstone in your investigation, I would like to bring to your attention the widely documented – and widely protested – destruction of physical evidence (structural steel) at the crime scene, which I contend is prosecutable pursuant to Article 205 of the New York Penal Code, § 205.50 Hindering Prosecution.

“[A] person ‘renders criminal assistance’ when, with intent to prevent, hinder or delay the discovery or apprehension of…a person he knows or believes has committed a crime…he...suppresses, by any act of concealment, alteration or destruction, any physical evidence which might aid in the discovery or apprehension of such person or in the lodging of a criminal charge against him;”

I will present publicly available information on the destruction of physical evidence from the World Trade Center site, below my signature, in four sections entitled:

      1. Official acknowledgement of the destruction of physical evidence from the WTC.
      2. Control of the WTC cleanup.
      3. The decision to destroy the physical evidence.
      4. The continued destruction of evidence despite public outcry
The supporting documentation provided in this letter/petition from NYC CAN includes the following:
“In the month that lapsed between the terrorist attacks and the deployment of the [FEMA Building Performance Assessment Team (BPAT Team)], a significant amount of steel debris—including most of the steel from the upper floors—was removed from the rubble pile, cut into smaller sections, and either melted at the recycling plant or shipped out of the U.S. Some of the critical pieces of steel—including the suspension trusses from the top of the towers and the internal support columns—were gone before the first BPAT team member ever reached the site. Fortunately, an NSF-funded independent researcher, recognizing that valuable evidence was being destroyed, attempted to intervene with the City of New York to save the valuable artifacts, but the city was unwilling to suspend the recycling contract.”
- Committee on Science, U.S. House of Representatives, March 6, 2002

“[T]here is so much that has been lost in these last six months that we can never go back and retrieve. And that is not only unfortunate, it is borderline criminal.”
- Joseph Crowley, U.S. Congressman, 7th District, New York

“[O]n September 28, the New York Times learned that the city was recycling the steel. When the Times contacted Kenneth R. Holden, commissioner of the Department of Design and Construction, he said that no one from the investigative team had asked him to keep or inspect the steel. The ASCE, it turned out, had faxed a request, but to the wrong fax machine. Late that afternoon, after reporters shuttled the correct fax number to the ASCE, Holden said that a request had finally reached him."
Commissioner Kenneth R. Holden and his wife Frances McGuire.  Holden was given an award in 2002 by the AIA New York Chapter after he had overseen the criminal destruction of the steel from the World Trade Center.  Why was he being awarded when he should have been arrested?
By September 28, the DDC is publicly known to have been aware of the BPAT’s request for the steel to be saved, however, the decision to recycle the steel stood.

Of course, Mayor Giuliani – previously a U.S. Attorney – and the DDC had to be fully aware of the illegality of destroying the physical evidence prior to their decision to recycle the steel. Their refusal to desist from recycling the steel when asked by the investigative team to do so – still less than three weeks into the cleanup effort, with hundreds of thousands of tons of steel still salvageable, and relatively negligible revenue from selling the steel not an issue because there was virtually unlimited federal funding for the cleanup effort – strongly suggests their contravention of the law was deliberate and motivated by intent to prevent the discovery of a crime they knew had taken place...

Calls to halt the recycling fell on deaf ears. According to Times reporters Glanz and Lipton:

“Officials in the mayor's office declined to reply to written and oral requests for comment over a three-day period about who decided to recycle the steel and the concern that the decision might be handicapping the investigation. ‘The city considered it reasonable to have recovered structural steel recycled,’ said Matthew G. Monahan, a spokesman for the city's Department of Design and Construction, which is in charge of debris removal at the site”

Why didn’t the city simply stop recycling the steel? Again, the outright refusal of city officials to desist from recycling the steel strongly suggests their contravention of the law was deliberate and motivated by intent to prevent the discovery of a crime they knew had taken place.

I strongly support the NYC CAN petition to prosecute those behind the criminal destruction of the steel from the World Trade Center.  My forthcoming article will reveal the key people involved in the terror network behind this crime.

In the meantime, I recommend visiting the website of NYC CAN to understand the basis of their appeal for justice and the extent of the criminal destruction of evidence from the World Trade Center:  http://www.nyccan.org/join.php

http://www.bollyn.com/index.php#article_12402

Afghanistan : Mujahideen Of Islamic Emirate Of Afghanistan Military Operations update 27th November 2010 : NATO commandment does not have a clue of who they are fighting. MI6, RAW, mossad and the pentagone did not identified the 'fake taliban leader'!

The following commentary is an official media release from the Islamic Emirate of Afghanistan (Taliban). Reprinted with permission.



The Americans can no longer conceal their defeat in the Kandahar Operations 



The White House has determined July 2011 as the deadline to begin withdrawing their defeated invader forces from Afghanistan. It is therefore necessary for them to justify this withdrawal in front of their civilians and the world at large by achieving some meaningful or tangible gain in Afghanistan.




To this end they have stationed over 150,000 foreign troops in Afghanistan along with all the military technology they can muster. The Americans have chosen Kandahar as their battleground both for its sentimental and strategic importance.



For the past nine months the Americans have been attempting their utmost to achieve some sort of military or political gain in Afghanistan. They employed all the propaganda tools at their disposal to turn the people away from the Mujahideen. However, failing to win the support of the people, the invaders resorted to the indiscriminate carpet bombings of the people’s lands and the mass murders of the innocent civilians. All this has caused the displacement of thousands of families from their lands and villages. However, despite all their trickeries and force, the battle for Kandahar has settled steadily in the Mujahideen’s favour.



The Mujahideen were, from the start of these operations, to carry out precise Commando-led operations against the nerve centres of the foreign forces and their puppet partners, thus seizing the initiative from the foreign occupiers. Not only did the Mujahideen conduct these operations in Kandahar city, but also extending to surrounding areas such as the airport, Dand, Arghandab, Zhiri, Panjwaee, and Maiwand districts. The head of the foreign barbarian forces, Nick Carter, last month, could not give any information on these operations to the media. This is mostly because the enemy neither knows the military strength of the Mujahideen nor their main bases. The Mujahideen, profiting from the Dagger and Marjah operations, were able to introduce several new tactics that have completely demoralised the invader forces. These tactics are the main reason why the Mujahideen have not abated their operations in the area in the winter season. These new tactics have placed the foreign invaders under significant military and domestic pressure.



Their failure in the Kandahar operations was also the main reason behind Obama’s supporters, the Democrats, defeat in the mid-term elections. Also due to their failures in the Kandahar operations, Obama’s approval ratings in America have sunk to 46% while the myth of America’s military superiority globally has been shattered. This Friday’s NATO meeting in Portugal will also address how the foreigners can prevent the escalating death toll of their soldiers in Afghanistan.



Though the eleventh month in Afghanistan is generally very cold and naturally impedes any military undertakings, the Mujahideen have been so active in Afghanistan that midway through the month, the invaders (who hide 90% of their real casualties in Afghanistan) by their own count have lost over 23 soldiers in this month. In summary it has become clear that after nine years of occupation, the invaders are doomed towards the same fate as those that tread this path before them. Their troop surges, their new strategies, their new generals, their new negotiations, and their new propagandas have been of no avail.



The Islamic Emirate of Afghanistan opines that the Americans have exhausted themselves in Afghanistan over the last nine years, and now will not stay long in our beloved country. What they could not gain in the last few months with their, then, fresh troops, they will not be able to gain in Kandahar, with their, now, demoralised and fearful troops. It is becoming manifest that the Americans will not be able to conceal their defeat in Afghanistan for too long. Therefore, the White House, instead of counting their mounting casualties in Afghanistan, would be better advised to formulate a withdrawal plan, to at least save those troops, which are still alive.


http://inteltrends.wordpress.com/2010/11/20/islamic-emirate-of-afghanistan-the-americans-can-no-longer-conceal-their-defeat-in-the-kandahar-operations/

Divided Belgium uses war on Islaam to divert attention of the world from a coming inter-ethnic civil war between Flemish and Wallons

Did Belgian police jail Muslims on instructions from bloody Russian Czars KGB terrorists? ( Khazar Medvedev is a Birobidjan jew 'converted' to orthodox christianism, similar story for Sarkozy... )

Publication time: 26 November 2010, 12:11
According to a Moroccan newspaper, Le Soir, 9 European citizens of Moroccan origin, 6 Belgians and 3 Dutch, were arrested during a night raid by Belgium police on Tuesday.

Police Christianists accuse them of "suspicion" that they have allegedly "recruited" some "candidates jihadists" for the Caucasus Emirate, collected money for the Jihad in the Caucasus, and allegedly "wanted" to blow up something in Belgium, but the police didn't still invent what it should be.

As reported by the Moroccan newspaper, a certain Andre Vandoren, director of the Belgian government's punitive structure, "the Coordination Agency for the Analysis of the Threat (Organe de coordination pour l'analyse de la menace)", speaking on a second channel of the Belgian TV VRT (Canvas) in a programme Terzake in connection with the War unleashed by Belgium against Islam, was actually forced to admit that Muslims were not guilty of the crimes they are charged with, that police have not a slightest evidence in support of their fantasies, but nevertheless Muslims will remain in jail, because they are Muslims.
The punisher asked his viewers "not to criticize the police" for this anti-Islamic "knockoff". He literally said:

"We'll wait for the results of the investigation, before saying that the police acted prematurely. I do not want that you have a feeling that the police acted hastily".

Meanwhile, the Muslims remain in prison nobody knows for what, awaiting the outcome of the police "investigation".
Many Europeans are outraged by persecution of Muslims.

A reader of an influential French political magazine Le Point (he is not a Chechen, and not a Muslim) indicates that the Caucasian Mujahideen are brave antiterrorist warriors who eliminate Russian terrorist gangs. He writes under the nickname Voltaire:

"Russia should first seek the reasons for terrorism. Ethnic cleansing in Chechnya by the Russian army is the cause. And these "terrorists" are in fact Chechen warriors who fight by their own means against Russian aggression!"
It is to be noted that independent observers have an impression that Belgian police acted in this case under the instructions by the international terrorist network KGB-FSB Russia, which is behind many terrorist attacks in the world, such as nuclear terrorism against Brits when Putin's villains poisoned Litvinenko with polonium-210 in London, as a result of which more than 1,000 British civilians were contaminated with radiation, or a recent terrorist attack on plane of Polish President Kaczynski and NATO top generals at Smolensk.

Despite the fact that Belgian secret police thoroughly conceals that they acted under direct instructions from bloody KGB-FSB terrorists, a Moscow trace is distinctly visible in persecution of Muslims in Belgium.

Let us give an example. Nowhere in the world, except Russia, the Caucasus Emirate is considered a "terrorist organization". However, Belgian prosecutors strangely call in the media this Islamic state exactly the Russian way.
Anyone who is familiar with the situation in the Caucasus can make an unambiguous conclusion: hairy ears of bloody of Russian state terrorists are clearly seen behind the persecution by Belgian police of the supporters of the Caucasus Emirate.

The Caucasus Emirate was not "designated" by the U.S. State Department. Hence, as Belgium is a Democracy's country, Belgian police should proceed according to data from major world antiterrorists, and that is the U.S.

Another example of a Moscow trace in the arrests of Muslims in Belgium is that Belgian police and their terrorist instructors from the KGB-FSB cannot not invent any target for the supporters of the Caucasus Emirate in Belgium.
They tried to name first NATO headquarters, but immediately dropped this stupid idea. Russia considers NATO as its major enemy. For the Caucasus Emirate Russia is nothing but a bloody terrorist enemy. No sane person would ever think, wish, desire or suggest attacking headquarters of the enemies of his own enemy.

The Muslims of the Caucasus have been waging their justified war against Russian invaders on their own Muslim territory for over 400 years, and now they also wage this war on the territory of bloody Russian terrorist enemy. But Russian targets in Belgium do not simply exist. That is why Belgian police and their instructors from the international terrorist network KGB-FSB are unable to invent any plausible lies about these targets.

Department of Monitoring
Kavkaz Center

http://www.kavkazcenter.com/eng/content/2010/11/26/12950.shtml

CAN ISRAEL DEFEAT HEZBOLLAH IN THE COMING WAR? (Part II)

Part II  “Know thyself”  Sun Tzu and Hassan Nasrallah

Sun Tzu and Hassan Nasrallah
Sun Tzu and Hassan Nasrallah

Franklin Lamb’s Saturday Mideast Report –- Al Manar

According to the Lebanese military, at 11 am and again at 1 p.m.  on 1l/24/10, a total of six Israeli warplanes crossed into Lebanese airspace, and violated for the 8256th time UNSC resolution 1701 that ended Israel’s 5th war against Lebanon, on August 14, 2006. Nearly, daily, and sometimes several times daily, warplanes and/or reconnaissance aircraft invade the skies over Lebanon to frighten, attempt to intimidate, and pressure the Lebanese population. They also to try to keep tabs on Lebanon’s resistance, led by Hezbollah.


As every Resistance defender  is aware, if a twice daily high flyover by a US supplied specially programmed satellite imaging camera detects a stone the size of golf ball out of place, since the previous photo, anywhere in an area thought to be visited by Hezbollah forces,  the photos are closely examined by Israel and American analysts.

The moving of a stone or a tree branch or significantly more or fewer goats appearing in a herd, meandering, for example, in  Lebanon’s “nature preserves” is carefully analyzed. The reason, and perhaps encapsulating Israel’s increasing likelihood, according to UNIFIL — United Nations Interim Force in Lebanon and US sources,  of failing in its next war against Lebanon, is that Israel has never even been able to figure out  what became of the hundreds of tons of chipped rock and soil removed during the construction of hundreds of suspected deep Hezbollah bunkers, impenetrable to every weapon but nuclear.  Some bunkers are almost literally under the noses of where suspected  Israeli agents live or where UNIFIL forces patrol daily. “ Do they remove the debris by teaspoons full?”  a UNIFIL official wondered recently.

Also unsettling to the Israeli military and reportedly censored from viewing by Israeli forces  are a collection of Hezbollah training videos thought to have been photographed by US  high altitude  cameras. IDF psychologists reportedly have advised the Israeli Cabinet that seeing the Hezbollah videos may further erode Israeli forces confidence if they are ordered  again into Lebanon.

One such video shows the following:  A line of Hezbollah fighters on mountain bikes in a steep ravine south of the Litani river riding at high rates of speed. The rider must flip the bike  up onto only the back wheel so the soldier’s body is facing the sky and his back flat parallel with and about two feet off  the ground. The examinee must travel at close to 90 mph  holding a RPG in either hand, and a cell phone in the other waiting firing instructions from a subterranean command center. 

The fighter must then fire the rocket thru a swinging small tire approximately 120 meters away on a tree branch.  Achieving fewer than 11 bulls eyes out of 12 requires the arduous physical test repeated.  A commander in UNIFIl, who claims to be familiar with this particular Hezbollah training exercise commented that none of the UNIFIL soldiers from the 28 countries could even do the exercise, much less get one RPG through such a swinging tire.  “ I would doubt very much if any Israeli could do it either. Hezbollah fighters are probably the world’s best. I have never studied the Chinese up close but I’ve seen a whole lot of the others.”
It is these kinds of skills that Hezbollah fighters used to force repeated errors by Israeli forces during the July 2006 war, and although not widely reported, during its 18 years of occupation of Lebanon (1982-2000). Errors, that the Israeli Winograd commission called “ the worst kind of mistakes and failures of the ground forces.” Among the examples  still discussed in Dahiyeh,  and presumably in Tel Aviv and Washington, include  the Hezbollah forces routing of the Israeli  “elite” Golani, Egoz and Magland Brigades at Maron al Ras on the Lebanese-Palestine border between July 25-30, 2006.

Another was the Battle of Bint Jbeil which Dan Halutz  called Israel’s planned “Web of Steel’ which was expected to take less than 48 hours to defeat Hezbollah forces starting on July 24.  But by July 30,  the much battered  Golani forces withdrew and the Israeli air force renewed indiscriminate aerial bombardment.

Down the road from Bint Jbeil, at Aita al-Shaab, Israel lost 26 soldiers and more than 100 severely injured without gaining an inch of territory. Shortly before Israel agreed to a ceasefire,  its forces experienced the catastrophe at Wadi Slouqi, a ravine through which  a column of Israeli tanks were sent to link up with airlifted troops at Ghandouriyah village.  The Israeli plan, read by Hezbollah forces from the onset, was to move toward Tyre and head north.  “They (Hezbollah forces) jumped up out of the ground all around us” one Israeli at the scene testified later. Hezbollah hit more than a dozen tanks, quickly killing 17 Israelis and wounding more than fifty. It became known in Israeli military  circles as “the Black Sabbath, the goddamned Sabbath”, as one Israeli war room officer commented.

Increasingly during the 33 day July 2006 War, Israeli forces refused orders to advance against Hezbollah fighters, happily opting for 14 day jail sentences for failure to obey orders.  Concerning IDF recruitment and  AWOL problems, according to IDF Captain Arye Shalicar of the IDF Recruitment Fraud unit, it is US taxpayers who  foot the bill  for eight companies of private investigators recently hired to track down Israeli draft dodgers.  The popular social networking site, Facebook,  is being used  to track down thousands who lied about being religiously observant and seeking to avoid facing Hezbollah.  Israelis not wanting to join the military often post a photograph on Facebook showing them eating at non-kosher restaurants or accepting invitations for fake Friday night (Sabbath) parties sent by the investigators.
It was against the backdrop of examining these kinds of IDF-Hezbollah confrontations, that  a US Senate Armed Services Committee staffer reports that, “seemingly counterintuitive given the past six decades of US coddling  Israel with all manner of  support and  political cover”, the White House has informed Israel that the days of ‘green lights’ for trampling and carpet bombing Lebanon are over.  Secretary of State  Clinton reportedly told PM Netanyahu during his recent visit to basically ‘forget about it’ when Israel’s Prime Minister repeated ad nausea the mantra that “Lebanon is now Hezbollah and Hezbollah is  now Lebanon” so Israel can exercise “blanket self defense.”  ( Ed: gets to bomb and obliterate at will)
During US Foreign Relations Committee Chairman, John Kerrey’s recent swing through the region he warned Lebanese  and Syrian officials that Israel could attack at any time.  But he also carried the message to Israel that Washington does not want an Israeli attack on Lebanon or on Iran for precisely the same reasons.  Israel can’t win Washington increasingly believes and the risk of regional conflagration from either is too great.
It is in this context that Washington is  using the STL – Special Tribunal for Lebanon as a 6th war against Lebanon, following those 1978, 1982, 1993, 1996, and 2006. It is reported by Haaretz on 11/16/10  that  Israeli Foreign Minister  Lieberman reveal Israel has been helping the STL with its “investigation.”

“Hezbollah’s  greatest advantage against Israel in the next war against Israel”, according to Pentagon sources, including a 22 year veteran who maintains an office in Beirut,   “is not seen in Washington  as  being based on just Hezbollah’s  demonstrated ability to prevail on the battlefield against Israeli ground forces, withstanding potential days or weeks or months of carpet bombing and during hugely asymmetric conflicts. Rather, increasingly Hezbollah’s success against Israeli is being explained by its moral, political, popular, religious, psychological, culture that were enhanced by Hezbollah’s “Lebanonization” and growing acceptance by other sects while being dubbed by some at the Pentagon as now “the 8th greatest missile power in the World.”

There is also the factor of the environment that is embracing Hezbollah and the Resistance. These are  people who will no longer accept to yield to the dictates of  Israel,  the US, Lebanese Forces, Phalanges, or anyone else.  As far as the Resistance is concerned, no one can ask a people that was oppressed, occupied, and disdained by others for decades and centuries, yet managed to gain power to defend itself at a time when everyone abandoned it, to let go of its element of power and become again under the mercy of Israel’s threats as well as those of its local Israel’s allies.

Hezbollah believes it has to win the next war for the sake of the whole country, because the army is poorly equipped and because Lebanon has hundreds, maybe thousands of Mossad agents in Lebanon compromising the country’s institutions. Hezbollah MP, Nawaf Moussawi has said on many occasions that the STL indictment accusing Hezbollah of the Hariri assassination will be dealt with as a US Israeli invasion, and to date Hezbollah has proven to have great skills in countering ‘invasions.’  The Party is not easily provoked or intimidated but when their existence is threatened it fights back.

Hezbollah, has  smashed the myth of Israel’s invincibility, broken the barrier of fear, increased the popular demand for resistance, exposed  the fake peace process and rejected  appeasement, acquiescence and surrender. Hezbollah forces taught the world that Arabs can and will liberate Palestine because  they possess the qualities  and acumen to do it. The kings and the presidents in the region, who for six decades chose their thrones over Jerusalem  quake as does Israel.

This observer is obviously not privy to any security information relating to Hezbollah, and it would be treasonous and unthinkable for anyone in Hezbollah to share any, but among the many scenarios that the Lebanese National Resistance  is said to be preparing for includes a possible invasion from  North  Lebanon using troops from two Arab countries that for years having been trying to train Sunni and Lebanese Forces “ Security minus”  troops.

The plan, if it exists, would try to force Hezbollah from Beirut back to the south, by using a blitzkrieg type of invasion using Arab, American and Israeli forces attacking south Beirut as north Lebanon Sunni and Christian forces  close of roads heading out from Beirut. Phalange forces would try and capture Mt Lebanon, and Arab special forces would hunt Hassan Nasrallah and the Hezbollah leadership amidst “ Dahiyeh option”  ruins.  All to be made perfectly legal and respectable by the all but certain  STL indictments and convictions.

This kind of scenario is reminiscent of  when the French sent  Moroccans and Algerians to fight for them last century against the Turks.  A French General on the scene was asked “you are sending Muslims to fight against Muslims” ?

The general reportedly laughed and replied, “ if  our Arabs win we get the credit , if our Arabs or theirs die, who cares”.

Dr. Franklin Lamb is Director, Americans Concerned for Middle East Peace, Beirut-Washington DC, Board Member of The Sabra Shatila Foundation, and a volunteer with the Palestine Civil Rights Campaign, Lebanon. He is the author of The Price We Pay: A Quarter-Century of Israel’s Use of American Weapons Against Civilians in Lebanon and is doing research in Lebanon for his next book. He can be reached at fplamb@gmail.com

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FRANKLIN LAMB : WILL HEZBOLLAH DEFEAT ISRAEL (AGAIN!) IN THE COMING WAR? – PART I

http://www.veteranstoday.com/2010/11/27/can-israel-defeat-hezbollah-in-the-coming-war/

People behind Wikileaks show their true colors, claim that Sheykh Ussama Ibn Awad Ibn Laden still alive.

WIKILEAKS, A TOUCH OF ASSANGE AND THE STENCH OF AIPAC

“By way of deception, thou shalt do war” 

“Recent admissions that the Israeli lobby, AIPAC, routinely receives masses of classified information makes them suspect #1 for being the source of Wikileaks”

By Gordon Duff,
www.veteranstoday.com

Wikileaks is like a TV show that never gets off the ground.  We started with a “shoot ‘em up” in Iraq, the helicopter slaughter soon forgotten and move on to, well, what?  We got a deluge of material from Afghanistan, carefully gleaned to point fingers at Pakistan.  When it came down to backing any of it up, it went nowhere.


Considering the massive corruption and drug scandals, even the revelations that President Karzai has been in negotiations with pranksters pretending to be the Talbian, all the really juicy stuff from Afghanistan must have been in another drawer. Then we got Iraq.  Ah, Iraq.  There, we could check.  We know the people who wrote the leaked material.  They told us Wikileaks edited it, altered it, redacted it more than the Pentagon.
The “Iraq War Log” was, well…phony. There is one thing that has been consistent about Wikileaks and our prediction is that this next batch, reputed to be millions of highly sensitive documents, will prove our point. Wikileaks is Israel.
Wikileaks is an intelligence operation to weaken and undermine the American government, orchestrated from Tel Aviv, using dozens of operatives, dual citizens, some at the highest authority levels, spies for Israel.   Through leaking carefully selected intelligence along with proven falsified documents, all fed to a controlled press, fully complicit, Wikileaks is, in fact, an act of war against the United States.
HOW CAN ISRAEL SIFT THROUGH DEFENSE DOCUMENTS?

This last week, in a lawsuit over an AIPAC, (Israel’s lobby) employee reputedly fired for being caught spying against the US, news stories across the United States reported that, as part of that $20 million civil case, evidence will be presented that masses of classified material come to AIPAC and Israel continually.  Is AIPAC Wikileaks? The only evidence of any massive leak discovered in the Pentagon is AIPAC.  Last week’s Washington Post story was buried quicker than a carp in a playground: Jeff Stein, at the Washinton Post, reports the following:
Rosen says his actions were common practice at the organization. He said his next move is to show that AIPAC, Washington’s major pro-Israeli lobbying group by far, regularly traffics in sensitive U.S. government information, especially material related to the Middle East. “I will introduce documentary evidence that AIPAC approved of the receipt of classified information,” he said by e-mail. “Most instances of actual receipt are hard to document, because orally received information rarely comes with classified stamps on it nor record’s alerts that the information is classified.”

But Rosen said he would produce “statements of AIPAC employees to the FBI, internal documents, deposition statements, public statements and other evidence showing that [the] receipt of classified information by employees other than [himself] … was condoned … for months prior to being condemned in March 2005 after threats from the prosecutors.”
How does this apply to Wikileaks?  The answer, if we bother to put the pieces together, is staring us in the face.  The proof, the ultimate proof, however, will be in the current batch of documents that have already been prepared, weeks of work by dozens with access to classified documents, and only one group has that access and can operate with impunity, as was shown in a recent story in Veterans Today:
AIPAC is a sham.  The group has, over the years, destroyed anyone who has tried to have it named what it really is, a dangerous foreign lobby and nest of spies.  AIPAC is the most feared organization in Washington and most powerful, above any law.  A former employee of AIPAC, Steve Rosen, who AIPAC claims was a spy, more appropriately a “caught” spy, now claims his former employer does nothing but spy. Rosen stands to get $20 million in his defamation lawsuit against AIPAC.

He isn’t without motive but we have also learned that Rosen has considerable documentation of AIPAC receiving and disseminating classified information, received from, well, we have to call them traitors, inside the US government. We know that a vast spy ring operates in Washington and that Israel is the center of it.

We also know that Israel, Turkey, India, Pakistan, China and Russia trade American secrets back and forth like baseball cards.  We know that AIPAC is deeply involved in this spying. We know that AIPAC claims to hold signed letters of unconditional support from 80% of the members of congress, all of whom received campaign contributions arranged by AIPAC, with many elections financed almost entirely by AIPAC, a group involved, according to the Washington Post and Steve Rosen, in spying on the United States with seeming complicity by the FBI itself.
WHAT DO WE LOOK FOR, HOW CAN WE PROVE ISRAEL OR AIPAC MAY BE BEHIND WIKILEAKS?

Were we to ask author Jeff Gates, he would point to the “storytelling” aspect of Wikileaks, Assange and his “on again-off again” rape charges or that someone that manages to make it to continual television interviews can’t be found by police or security services. We call this “storytelling” and Jeff Gates tells us that Israel, the power behind Hollywood and the American press, is the “storyteller” of all time.
There are better ways to “prove,” a word as subjective as any of the storytelling around the Wikileaks myth itself.  The proof, always depending on who accepts the proof, and as is almost always the case, dependent on whether the press itself chooses to report it, which if Israel is involved, is more than a bit predictable itself. Lack of reporting potential Israeli complicity in Wikileaks, knowing AIPAC and Israel have the longest history of accessing classified information and, by far, the strongest agenda for leaking information, could be seen as conclusive proof itself. 

WHAT WILL BE IN WIKILEAKS?

If dual citizens who make up much of the Pentagon’s leadership are working with Israel or AIPAC to formulate Wikileaks, as seems to be the case, then the upcoming leak will serve a pro-Israeli agenda, even if it damages the United States, as other Wikileaks have.  These are Israeli agenda items:
  • Discrediting Obama foreign policy in order to weaken the president’s influence with congress to push for a halt on new settlements in Palestine and the forced removal of Islamic property owners.
  • Accusations involving Turkey, now feuding with Israel over the killing of Turkish citizens on the Mavi Marmara, now recognized as a purely humanitarian mission.  These accusations against Turkey may include weapons being supplied to terrorists in Iraq, a fanciful abuse of reality.  What will not be reported, if this story is “leaked” either through Wikileaks or the other Israeli sources, “Debka”..”Stratfor”..”FamilySecurityMatters.org”..or the infamous “IsraelNationalNews.com” is Israel’s 40 years of complicity in the very acts they now accuse Turkey of.
  • More importantly, is the issue of blaming Turkey for the actions of the terrorist group, PKK, long funded by Israel and now claimed to be allied to Al Qaeda, is vital to Israel’s strategy against Turkey.
  • Expect Pakistan to be hit, as usual.  An Islamic nuclear power with a top rate million man army that outclasses Israel hands down, Pakistan, primary competitor for US aid dollars, a country that actually has agreements with the United States and real troops fighting alongside Americans, will get their usual Wikileaks bashing.
WIKILEAKS IS CHICKENFEED MEANT TO COVER ISRAEL’S TAIL

Is it a coincidence that documents regarding Israel, their spying, influence peddling, suspicions of complicity  in terrorism, Yemen, Iraq, Pakistan, Somalia, across Europe and even the Detroit bombing, those reports are there, they are classified but you will never see one on Wikileaks.  In fact, they are the only classified information that never gets out to the news.  Is that because, as we have learned, the borders of Israel extend well into Washington DC, well into the Pentagon?  What won’t we see in Wikileaks:
  • Nothing in Wikileaks will accuse anyone, even Pakistan or Afghanistan, or complicity in narcotics trafficking nor mention the huge new narcotics industry operating in Iraq.  Ask yourself why.
  • One of the biggest areas of complaint in the Pentagon, more classified White Papers have been written on this than anything else:  “How Israel is Endangering the United States
  • In fact, the biggest “classified” debate in America is what supporting Israel, a nation with incredible wealth and utterly obnoxious leaders costs the United States.  Rumors of such issues aren’t rumors at all.  When General Petraeus presented his now famous power-point presentation to Admiral Mullen, Chairman of the Joint Chiefs of Staff, outlining how Israel is undermining American foreign policy, he wasn’t operating without tens of thousands of pages of intelligence behind him.  Not one page, not one word of these studies will be in Wikileaks.
  • When Vice President Joe Biden said the following to Israeli Prime Minister Netanyahu:    
“This is starting to get dangerous for us, what you’re doing here undermines the security of our troops who are fighting in Iraq, Afghanistan and Pakistan. That endangers us and it endangers regional peace.”
Are we to believe these statements were taken out of thin air?  In fact, Petraeus, Mullen and Biden are only the tip of the iceberg.  Admiral Mullen, America’s top military leader under the Commander in Chief, has repeatedly cited Israel and America’s relationship, as, not only a liability but something far worse, so much worse that:
As public statements by Admiral Mullen, Vice President Biden, General Petraeus and others, citing America’s relationship with Israel as a military disaster, are obviously “watered down” for public consumption, can you imagine what classified reports are saying?
WHY PRESIDENT OBAMA IS AFRAID AND WHY AMERICA IS PARALYZED

The greatest fear any president has, even more than impeachment, is the fate of Jimmie Carter.  Carter, now pegged as an “Antisemite” and “enemy of the state” in Israel, is still being sold to Americans as something quite the opposite of reality.  Friends in Israel, if they want to start a row, something not too difficult in Israel as you might guess, will walk around carrying one of Jimmie Carter’s books under their arm.  A Yasser Arafat t-shirt and suicide vest are considered only marginally worse. Carter left office under mysterious circumstances.  Several disasters, high interest rates, the hostage crisis and the failed rescue attempt showed signs of conspiratorial meddling.  His real crimes were:
  • Pushing Israel for a durable and lasting Middle East peace
  • Monetary policies that kept America out of debt…
  • Support of Social Security and Medicare/Medicaid
  • Unwillingness to engage in military adventure
When the defense and oil lobby joined with Israel and Wall Street to crush the Carter presidency, the writing was on the wall.  Interest rates, the “October surprise” and the military sabotaging the hostage rescue attempt, these things destroyed President Carter who might, otherwise, have suffered an “accident” like the Kennedy brothers.  Today, millions of Americans who should be praying to return to Carters foreign policy and fiscal conservatism, are taught to look on him as a failure.  However, more and more, historians are seeing Carter as the last American president.  Every leader since has been dictated to by Israel.

 http://www.veteranstoday.com/2010/11/27/gordon-duff-wikileak-predictions-sticking-my-neck-out-2/

1 comments:

AL Bakr said...
Don't just swallow the leaks in totality. Whatever the objective of Wikileak doing this,seem to reveal some form of deception.
How sure that the leak/s is the truth, or the truth maybe not the real truth - half truth.
Strong feeling of US ally in Middle east,where their leaders are not comfortable with the current President of USA -Barack Obama.
Rather ironic the over the exposure
of Middle East Islamic king condemnation of Iran.
So, be more careful and see beyond what are been exposed. Amongst Muslim Brother must continue to show and develop real "uqwah" with and within our fellow brotherhood.

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Israel's american Khazars are pushing the USA into a new war against North Korea and China, to finish the destruction of the USA as a superpower, to allow the use of nuclear weapons against North Korea, then attack Pakistan, Iran, blaming 'illegal transfers of nuclear weaponry systems, technologies' between these three countries.

C'est le site satirique Bakchich.info qui avait sorti l'affaire du Karachigate. Ce genre de scandale aurait fait tomber le gouvernement de n'importe quel etat de droit, mais pas en France ! Attention a la version pakistanaise et a ses rencontres secretes tenues au Maroc et en Turquie avec les differents clans politiques de la droite et de la gauche

Karachi, le bal des faux-culs

 

Video: Selon les provocateurs professionels de la mafia israelienne de France, le pays serait au bord de la guerre civile...

One Million Muslims March to the Capitol next 4th July 2011

War on Islaam : FEDS PLANT INERT BOMB IN PORTLAND BEFORE ARRESTING MUSLIM MAN

Media Circus: police could have arrested the man sooner; they took part in his suspected terrorist act.

What if there was a simultaneous bomb set to go off at the same time?

It is the same thing in Palestine:

Israeli psy-ops typically serve multiple purposes. Wikileaks is no exception.

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Les services russes confirment qu'Israel et ses sections sionistes de France et d'Allemagne ont utilisé une micro-bombe atomique pour assassiner Rafik Hariri a Beyrouth en 2005

Le nuage de fumée typique apres l'explosion de la micro-charge nucléaire qui tua Rafik Hariri le 14 fevrier 2005 et l'enorme cratere creusé sont deux preuves materielles irréfutables de l'utilisation de la forme la plus developpée de micro-charges nucleaires (voire sous nano-forme). Ces informations circulent sur le net depuis le jour de l'assassinat de Hariri. Cette technologie secrete est maitrisée par Israel, la Russie, l'Allemagne, la Grande Bretagne, la France et les Etats-Unis. Elle fut utilisée a plusieurs reprises en Asie contre la Corée du Nord en 2004 et lors des attentats de Bali en 2002.  Le fait que la revue Odnako de Mikhail Leontyev, proche de Poutine et des services, signale et confirme l'utilisation d'une telle arme et que l'Allemagne soit ainsi pointée du doigt par la Russie est une forme d'avertissement a l'égard d'Israel, avant le début d'une nouvelle guerre au Liban. Elle confirme surtout que le Hezollah, tres proche de la DGSE (chargée de canaliser et controler le mouvement a une certaine époque tout comme cela a été fait avec Michel Aoun pour preserver les interets coloniaux de la France dans la region), a acquis une certaine autonomie et une aisance dans la connaissance et la manipulation des reseaux israeliens, notamment ceux issus des rangs francais, italiens, grecques et allemands et possede des cartes strategiques qui auront un impact majeur sur la redefinition des roles au Moyen Orient lors des prochains affrontements. La Russie ne faisant que relayer ses craintes ouvertement en tentant de calmer et canaliser le Hezbollah et d'autres mouvements de la Resistance Islamique au Moyen Orient, tout en prevenant Israel...         


Révélations sur l’assassinat de Rafiq Hariri


par Thierry Meyssan*,
http://www.voltairenet.org/

Alors que la presse occidentale annonce l’imminente inculpation de dirigeants du Hezbollah par le Tribunal spécial pour le Liban, la revue russe Odnako remet en cause l’ensemble de l’enquête réalisée par les Nations Unies. Selon Thierry Meyssan, l’ancien Premier ministre libanais Rafiq Hariri aurait été assassiné avec une arme fournie par l’Allemagne. L’ancien procureur allemand et premier responsable de l’enquête onusienne, Detlev Mehlis, aurait falsifié un indice pour masquer la responsabilité de son pays. Ces révélations embarrassent le Tribunal et renversent la donne au Liban.



Les multiples conflits du Proche-Orient se cristallisent désormais autour du Tribunal spécial pour le Liban (TSL). La paix et la guerre dépendent de lui. Pour les uns, il doit permettre de démanteler le Hezbollah, de soumettre la Résistance et d’instaurer la Pax Americana. Pour les autres, il bafoue le droit et la vérité pour assurer le triomphe d’un nouvel ordre colonial dans la région.

Ce tribunal a été créé, le 30 mai 2007, par la Résolution 1757 du Conseil de sécurité pour juger les commanditaires supposés de l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri. Dans le contexte de l’époque, cela signifiait ni plus, ni moins, juger les présidents syrien et libanais en exercice Bachar el-Assad et Emile Lahoud, les bêtes noires des néoconservateurs. Cependant il s’avéra que cette piste ne reposait sur aucun élément concret et qu’elle avait été alimentée par de faux témoins. N’ayant plus personne à juger, le Tribunal aurait pu disparaître dans les limbes de la bureaucratie lorsqu’un coup de théâtre le plaça à nouveau au cœur des conflits politiques régionaux. Le 23 mai 2009, le journaliste atlantiste Erich Follath révéla dans le Spiegel Online que le procureur s’apprêtait à inculper de nouveaux suspects : des dirigeants militaires du Hezbollah. Depuis 18 mois, son secrétaire général, Hassan Nasrallah clame l’innocence de son parti. Il affirme que cette procédure vise en réalité à décapiter la Résistance pour offrir la région à l’armée israélienne. De son côté, l’administration états-unienne se pose soudain en défenseur du droit et assure que nul ne saurait se soustraire à la Justice internationale.

Quoi qu’il en soit, la mise en accusation —que tous s’accordent à dire imminente— de leaders chiites pour l’assassinat d’un leader sunnite est de nature à enflammer la fitna, c’est-à-dire la guerre civile musulmane, plongeant la région dans de nouveaux soubresauts sanglants.

En visite officielle à Moscou, les 15 et 16 novembre, Saad Hariri —actuel Premier ministre et fils du défunt— a répété que la politisation du tribunal risquait d’enflammer une nouvelle fois son pays. Le président Medvedev lui a répondu que la Russie voulait que la Justice passe et réprouvait tout effort pour discréditer, affaiblir ou retarder le travail du tribunal. Cette position de principe repose sur la confiance accordée a priori par le Kremlin au TSL. Or celle-ci sera sûrement ébranlée par les révélations d’Odnako.

En effet, nous avons souhaité faire le point sur l’assassinat de Rafiq Hariri. Les éléments que nous avons découverts font apparaître une nouvelle piste dont on se demande pourquoi elle n’a jamais été explorée jusqu’ici. Au cours de notre longue enquête, nous avons rencontré de nombreux protagonistes, trop sans doute, de sorte que nos investigations se sont ébruitées et ont affolé ceux pour qui la piste de la Résistance armée libanaise est une bonne aubaine. Tentant de nous intimider, le Jerusalem Post a lancé une attaque préventive, le 18 octobre, sous la forme d’un long article consacré à notre travail. De manière purement diffamatoire, il y accuse l’auteur de cet article d’être payé un million de dollars par l’Iran pour disculper le Hezbollah.

Venons-en aux faits, le convoi de Rafiq Hariri a été attaqué à Beyrouth le 14 février 2005. L’attentat à fait vingt-trois morts et une centaine de blessés. Un rapport préliminaire diligenté par le Conseil de sécurité souligne les réactions peu professionnelles des policiers et magistrats libanais. Pour y pallier le Conseil missionne ses propres enquêteurs et leur fournit des moyens très importants dont le Liban ne dispose pas. Dès le départ de ces investigations, il a été admis que l’attentat avait été perpétré par un kamikaze qui conduisait un camionnette bourrée d’explosifs.

La commission des Nations unies ayant été créée pour apporter le professionnalisme qui manquait aux Libanais, on s’attend à ce qu’elle ait suivi scrupuleusement les procédures criminelles classiques. Or, il n’en est rien. L’analyse de la scène du crime, en se basant sur sa topographie qui est intacte et sur les photos et vidéos du jour, n’a pas été réalisée en détail. Les victimes n’ont pas été exhumées et autopsiées. Pendant longtemps, rien n’a été entrepris pour vérifier le modus operandi. Après avoir écarté l’hypothèse d’une bombe enfouie dans le sol, les enquêteurs ont considéré comme certaine la version de la camionnette sans la vérifier.

Pourtant, cette version est impossible : chacun peut observer sur la scène du crime un profond et vaste cratère qu’une explosion en surface ne peut creuser. Devant l’insistance des experts suisses qui refusent d’avaliser la version officielle, le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) a procédé à une reconstitution à huis clos, le 19 octobre dernier. Elle ne s’est pas tenue au Liban, ni même aux Pays-Bas où siège le TSL, mais en France, un des principaux Etats à financer le Tribunal. Les bâtiments de la scène du crime y ont été reconstruits et de la terre de Beyrouth y a été transportée. Le convoi a été reconstitué y compris avec une voiture blindée. Il s’agissait de démontrer que la hauteur des immeubles en béton avait confiné l’explosion, de sorte que le souffle avait pu creuser le cratère. Les résultats de cette coûteuse expérience n’ont pas été divulgués.

Ce qui frappe en regardant les photos et les vidéos prises juste après l’attentat, c’est d’abord l’incendie. Partout des carcasses de voiture et des objets de toutes sortes brûlent. Puis, ce sont les corps des victimes : ils sont carbonisés d’un côté et intacts de l’autre. C’est très étonnant et cela n’a rien à voir avec ce que provoquent des explosifs classiques.

La théorie d’un mélange de RDX, PETN et TNT dans la camionnette du kamikaze n’explique pas ces dégâts.

Si l’on observe de près les photos du cadavre de Rafiq Hariri, on remarque d’étranges détails : sa riche montre en or massif a fondu sur son poignet, au contraire, le col en tissu raffiné de sa chemise de luxe est intact autour de son cou.

Que s’est-il donc passé ?
L’explosion a dégagé un souffle d’une chaleur exceptionnellement intense et d’une durée exceptionnellement brève. Ainsi, les chairs exposées au souffle ont été instantanément carbonisées, tandis que l’envers des corps n’a pas été brûlé.

Les objets à forte densité (comme la montre en or) ont absorbé cette chaleur et ont été détruits. Au contraire, les objets à faible densité (comme le linge fin du col de chemise) n’ont pas eu le temps d’absorber la chaleur et n’ont donc pas été touchés.
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La dépouille de Rafiq Hariri.
Sur les vidéos, on voit également que des membres de certains cadavres ont été sectionnés par l’explosion. Curieusement, les coupes sont nettes, comme s’il s’agissait de statues de calcaire. On ne voit pas d’os brisés et proéminents, ni de chairs arrachées. C’est que l’explosion a absorbé l’oxygène et déshydraté les corps qui sont devenus friables. Plusieurs témoins, présents à proximité de l’attentat, ont d’ailleurs fait état de troubles respiratoires dans les heures qui suivirent. A tort, les autorités ont interprété cela comme la somatisation d’un traumatisme psychologique.

Ces constatations sont le b. a.-ba de toute enquête criminelle. Il fallait commencer par cela, mais elles ne figurent pas dans les rapports des « professionnels » au Conseil de sécurité.

Lorsque nous avons demandé à des spécialistes militaires quels explosifs pouvaient provoquer ces dégâts, ils ont évoqué un nouveau type d’arme qui fait l’objet de recherches depuis des décennies et de compte rendus dans des revues scientifiques. En combinant des connaissances nucléaires et nanotechnologiques, on parvient à créer une explosion dont on contrôle précisément la puissance. On programme l’arme pour qu’elle détruise tout dans un périmètre donné, calculé au centimètre près.

Toujours selon nos spécialistes militaires, cette arme provoque aussi d’autres dégâts : elle exerce une forte pression sur la zone de l’explosion. Lorsque celle-ci s’interrompt, les objets les plus lourds sont projetés vers le haut. Ainsi, des voitures se sont élevées dans les airs.

Un détail ne trompe pas : cette arme utilise une nano quantité d’uranium enrichi dont les radiations sont mesurables. Or, un passager de la voiture blindée de Rafiq Hariri a survécu. L’ancien ministre Bassel Fleyhan a été transporté dans un prestigieux hôpital militaire français pour y être soigné. Les médecins ont constaté avec étonnement qu’il avait été en contact avec de l’uranium enrichi. Personne n’a fait le lien avec l’attentat.

Techniquement, cette arme prend la forme d’un petit missile de quelques dizaines de centimètres de long. Il doit être tiré depuis un drone. En effet, plusieurs témoins ont assuré avoir entendu un aéronef survolant la scène du crime. C’est pourquoi les enquêteurs ont demandé aux Etats-Unis et à Israël qui disposent de satellites d’observation positionnés en permanence de leur transmettre les clichés dont ils disposent. Les Etats-Unis avaient également déployé des avions AWACS sur le Liban ce jour-là. Ces enregistrements permettraient de vérifier la présence d’un drone et peut-être même de suivre son trajet. Mais Washington et Tel-Aviv —qui ne cessent d’exiger la coopération judiciaire de tous avec le TSL— ont refusé ce service.
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Le Hezbollah a intercepté et publié des vidéos des drones israéliens effectuant des repérages des habitudes de Rafiq Hariri et de la scène du crime.
Lors d’une conférence de presse, le 10 août dernier, Hassan Nasrallah a projeté des vidéos tournées selon lui par des drones israéliens et interceptées par son organisation. Ils auraient observé durant des mois les déplacements de Rafiq Hariri, avant de concentrer leur surveillance sur le virage où l’attentat a eu lieu. Tel-Aviv aurait donc réalisé les repérages préalables à l’assassinat. Ce qui, ainsi que le souligne M. Nasrallah, ne veut pas dire qu’il l’ait perpétré.

Qui donc a tiré le missile ?

C’est là que les choses se compliquent. Selon les experts militaires, en 2005, seule l’Allemagne était parvenue à maîtriser cette nouvelle technologie. C’est donc Berlin qui aurait fourni et programmé l’arme du crime.
Dès lors, on comprend mieux pourquoi l’ancien procureur berlinois Detlev Mehlis —un magistrat très controversé au sein de sa profession— a tenu à présider la Commission d’enquête onusienne. Il est en effet notoirement lié aux services secrets allemands et états-uniens. Chargé en 1986 d’élucider l’attentat contre la discothèque berlinoise La Belle, il n’avait pas hésité à masquer les implications israélienne et états-unienne pour accuser mensongèrement la Libye et justifier le bombardement du palais de Mouammar Khadafi par l’US Air Force. Au début des années 2000, M. Mehlis a été grassement rémunéré comme chercheur par le Washington Institute for Near East Policy (le think-tank du lobby pro-israélien AIPAC) et par la Rand Corporation (le think-tank du complexe militaro-industriel états-unien). Autant d’éléments qui jettent un doute sur son impartialité dans l’affaire Hariri et auraient dû le faire récuser.

Mehlis était assisté du commissaire Gehrard Lehmann. Cet officier est lui aussi un agent notoire des services secrets allemands et états-unien. Il a été reconnu formellement par un témoin comme participant au programme d’enlèvement, de séquestration et de tortures, mis en place en Europe par l’administration Bush. Son nom est cité dans le rapport ad hoc du Conseil de l’Europe. Cependant, il a échappé à toute poursuite judiciaire grâce à un alibi aussi solide que peu crédible, fourni part ses collègues de la police allemande.

Mehlis et Lehmann ont promu la thèse du kamikaze et de sa camionnette bourrée d’explosifs afin d’écarter toute investigation sur l’arme allemande qui a servi à commettre le crime.

Des échantillons de terre ont été prélevés sur la scène du crime. Après avoir été mélangés, ils ont été divisés en trois bocaux qui ont été envoyés à trois laboratoires différents. Les deux premières analyses n’ont trouvé aucune trace d’explosif. Le troisième bocal a été pris par Mehlis et Lehmann, et envoyé par leur soin au troisième laboratoire. Celui-ci y a trouvé les traces d’explosifs recherchés. En principe, si l’on décide de recourir à trois experts judiciaires, c’est qu’en cas de désaccord entre eux, on se reportera à l’avis majoritaire. Que nenni ! Mehlis et Lehmann ont violé les protocoles. Ils ont considéré que seul leur bocal était fiable et ont emmené le Conseil de sécurité sur une fausse piste.

Le caractère profondément malhonnête des investigations du duo Mehlis-Lehman n’a plus besoin d’être démontré. Leurs successeurs l’ont reconnu à demi-mots et ont annulé des pans entiers de procédure.

Parmi leurs manipulations, la plus célèbre est celle des faux témoins. Cinq individus ont prétendu avoir été témoins de la préparation de l’attentat et ont mis en cause les présidents Bachar el-Assad et Emile Lahoud. Alors que ces imputations faisaient chauffer le chaudron de la guerre, leurs avocats démontrèrent qu’ils mentaient et l’accusation se dégonfla.

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Le président de la Commission d’enquête de l’ONU, Detlev Mehlis, a violé les règles de procédure pénale, fabriqué de fausses preuves et utilisé de faux témoignages, pour disculper l’Allemagne et accuser la Syrie.
Sur la base de ces faux témoignages, Detlev Mehlis arrêta, au nom de la Communauté internationale, quatre généraux libanais et les fit incarcérer durant quatre ans. Pénétrant avec ses cow-boys au domicile de chacun, sans mandat de la justice libanaise, il interpella également les membres de leur entourage. Avec ses assistants —qui s’expriment entre eux en hébreu— il tenta de manipuler les familles. Ainsi, au nom de la Communauté internationale, il présenta des photos truquées à l’épouse d’un des généraux pour le convaincre que son mari non seulement lui cachait son implication dans le meurtre, mais la trompait. Simultanément, il tenta une manoeuvre similaire auprès du fils du « suspect », mais cette fois pour essayer de le convaincre que sa mère était une femme légère et que son père, désespéré, venait de sombrer dans une sorte de folie meurtrière. L’objectif était de provoquer un crime d’honneur au sein de la famille et de ternir ainsi l’image de gens respectables et respectés.


Plus incroyable encore, Lehmann proposa à un des quatre généraux incarcérés de le libérer s’il acceptait de porter un faux témoignage contre un dirigeant syrien.

Par ailleurs, le journaliste allemand Jürgen Cain Külbel mit en évidence un détail troublant : il était impossible de provoquer l’explosion avec une télécommande ou d’utiliser une balise sur la cible sauf à désactiver le puissant système de brouillage dont le convoi de Rafiq Hariri était équipé. Un système parmi les plus sophistiqués au monde, fabriqué… en Israël.

Külbel fut sollicité par un militant pro-palestinien connu, le professeur Said Dudin, pour promouvoir son livre. Mais Dudin, en multipliant les déclarations outrancières, s’appliqua surtout à le saboter. Külbel, ancien officier de police criminelle d’Allemagne de l’Est, ne tarda pas à découvrir que Dudin était connu de longue date pour être un agent de la CIA infiltré dans la gauche allemande. Il publia d’anciens rapports est-allemands attestant du fait et fut alors condamné pour divulgation illégale de documents et brièvement incarcéré ; tandis que Dudin s’installait à l’ambassade d’Allemagne à Beyrouth et tentait d’infiltrer les familles des quatre généraux.

Passé inaperçu au Proche-Orient le rôle de l’Allemagne dans cette région doit être souligné. La chancelière Angela Merkel a envoyé un contingent très important pour participer à la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) après la guerre entreprise par Israël contre le pays du Cèdre à l’été 2006. Les 2 400 soldats allemands contrôlent de dispositif maritime pour empêcher l’approvisionnement en armes de la Résistance via la Méditerranée. A cette occasion, Mme Merkel a déclaré que la mission de l’armée allemande était de défendre Israël. Ce discours a provoqué un vent de fronde parmi les officiers. Par centaines, ils lui ont écrit pour lui rappeler s’être engagés pour défendre leur patrie et non un Etat étranger, fusse t-il allié.

Fait sans précédent, le 17 mars 2008 à Jérusalem et le 18 janvier 2010 à Berlin, les gouvernements allemand et israélien ont tenu un conseil des ministres commun. Ils y ont adopté des programmes divers, notamment en matière de défense. A ce stade, il n’y a plus beaucoup de secrets entre Tsahal et la Bundeswehr.

L’enquête de Detlev Mehlis a sombré non seulement dans le ridicule des faux témoins, mais dans l’illégalité de l’arrestation des quatre généraux. Au point que le Groupe de travail sur les détentions arbitraires du Conseil des droits de l’homme de l’ONU est intervenu pour condamner fermement cet excès de pouvoir.

Toutefois, l’opprobre qui frappe le travail de M. Mehlis ne doit pas éclabousser le Tribunal spécial pour le Liban qui n’est aucunement responsable de ses manipulations. Mais, là encore, les choses se compliquent. La crédibilité du TSL dépend de sa capacité à réprimer en premier lieu tous ceux qui ont tenté de masquer la vérité et d’accuser mensongèrement les présidents Bachar el-Assad et Emile Lahoud pour provoquer une guerre. Or, le Tribunal refuse de juger les faux témoins, donnant l’impression qu’il couvre les manipulations de la période Mehlis et poursuit des objectifs politiques similaires (cette fois contre le Hezbollah, peut-être demain contre d’autres). Pis, le Tribunal refuse de remettre, à Jamil Sayyed (un des quatre généraux illégalement emprisonné), les procès-verbaux d’audition des personnes qui l’ont accusé, lui interdisant ainsi de demander réparation et donnant l’impression qu’il couvre quatre années de détention arbitraire.

De manière plus prosaïque, le Tribunal fuit ses responsabilités. D’un côté, il doit juger les faux témoins pour dissuader de nouvelles manipulations et pour manifester son impartialité ; d’un autre il ne veut pas se lancer dans une opération « mains propres » au cours de laquelle il lui faudrait peut-être arrêter le procureur Mehlis. Cependant, les révélations d’Odnako sur la piste allemande rendent cette stratégie intenable. D’autant qu’il est déjà bien tard : le général Jamil Sayyed a déposé une plainte en Syrie et un juge d’instruction syrien a déjà inculpé le procureur Detlev Mehlis, le commissaire Gerhard Lehman et les cinq faux témoins. On imagine la confusion qui s’abattra sur le TSL si la Syrie saisit Interpol pour les faire arrêter.

De même que la commission Mehlis devait apporter le professionnalisme qui manquait aux forces de l’ordre libanaises, de même le TSL devait apporter l’impartialité qui risquait de faire défaut aux juridictions libanaises. On est loin du compte et ceci soulève la question de la légitimité de cette institution.

Kofi Annan souhaitait que le Tribunal pour le Liban ne soit pas une juridiction internationale, mais un tribunal national libanais à caractère international. Il aurait été régi par le droit libanais tout en étant composé pour moitié de juges internationaux. Cela n’a pas été possible car la négociation a tourné court. Ou plutôt, un accord a été trouvé avec le gouvernement libanais de l’époque, présidé par Fouad Siniora, l’ancien fondé de pouvoir des entreprises Hariri, mais n’a pas été ratifié ni par le Parlement, ni par le président de la République. Du coup, cet accord a été avalisé unilatéralement par le Conseil de sécurité (Résolution 1757 du 30 mai 2007). Par conséquent, le TSL est hybride et fragile.

Ainsi que l’a précisé Kofi Annan, ce tribunal n’est comparable à aucun des tribunaux mis en place jusqu’ici par les Nations Unies. « Il n’est pas un organe subsidiaire de l’ONU, ni un élément de l’appareil judiciaire libanais », c’est tout juste « un organe conventionnel » entre l’exécutif des Nations Unies et l’exécutif libanais. Si l’on se réfère à l’exigence internationale de séparation des pouvoirs et d’indépendance de la Justice face à l’Exécutif, on ne peut pas considérer le TSL comme un véritable tribunal, juste comme une commission disciplinaire conjointe des exécutifs libano-onusiens. Quelque soient ses décisions, elles seront donc frappées de suspicion.

Pis, à tout moment, n’importe quel gouvernement libanais peut y mettre fin, puisque l’accord n’ayant pas été ratifié n’engageait que l’ancien gouvernement. Du coup, l’actuel gouvernement de coalition libanais s’est transformé en champ de bataille entre partisans et adversaires du tribunal. Tentant de préserver la stabilité gouvernementale, le président de la République, Michel Sleimane, dissuade semaine après semaine le Conseil des ministres de passer au vote sur toute question relative au TSL. Ce barrage ne tiendra pas éternellement.

Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, la suspicion atteint maintenant le président du TSL, Antonio Cassese. Ce spécialiste réputé du droit international fut président du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie. Or M. Cassese est un fervent partisan de la colonisation juive de la Palestine. Ami personnel d’Elie Wiesel, il a reçu et accepté un prix honorifique de sa main. Il aurait donc dû se récuser et démissionner lorsque Hassan Nasrallah a révélé que des drones israéliens avaient repéré durant des mois les habitudes de la victime et la scène du crime.

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Selon le président du Tribunal spécial pour le Liban, Antonio Cassese, la Résistance armée en Palestine, Liban, Irak et Afghanistan doit être jugée pour « terrorisme ».
Plus grave, le juge Cassese incarne une conception du droit international qui fait clivage au Proche-Orient. Bien qu’il ait retiré ce point de son curriculum vitae officiel, il participa en 2005 aux négociations entre les Etats membres de l’Union européenne et ceux de la Méditerranée (« Processus de Barcelone »). Sa définition du terrorisme bloqua les discussions. Selon lui, le terrorisme est exclusivement le fait d’individus ou de groupes privés, jamais d’Etats. Il s’ensuit que la lutte contre une armée d’occupation ne saurait être considérée comme de la « résistance », mais comme du « terrorisme ». Dans le contexte local, cette position juridique relève de l’ordre colonial et disqualifie le TSL.

Les méthodes du Tribunal spécial ne diffèrent guère de celles de la Commission Mehlis. Ses enquêteurs ont collecté des fichiers de masse : sur les étudiants libanais, les bénéficiaires de la Sécurité sociale, les abonnés d’Electricité du Liban et de l’Office des eaux. Le 27 octobre, ils ont même tenté, hors de la présence de magistrats libanais, de s’emparer par la force des dossiers médicaux d’une clinique gynécologique fréquentée par les épouses de membres du Hezbollah. Toutes ces investigations sont évidemment sans lien avec l’assassinat de Rafiq Hariri. Tout porte les Libanais à croire que ces informations sont destinées à Israël dont le TSL n’est à leurs yeux qu’une simple émanation.

Tous ces problèmes avaient été parfaitement anticipés par le président Poutine qui avait vainement proposé, en 2007, une autre rédaction de la résolution instituant le Tribunal spécial. L’ambassadeur Vitaly Churkin avait dénoncé les « lacunes juridiques » du système. Il s’était indigné que le Conseil de sécurité menace de recourir à la force (Chapitre VII) pour créer unilatéralement cet « organe conventionnel ». Il avait souligné que le Tribunal devait œuvrer à la réconciliation des Libanais, mais était conçu de sorte qu’il les opposerait un peu plus. En définitive, la Russie — comme la Chine— avait refusé d’approuver la Résolution 1757.

Reste que la vérité émerge peu à peu. Les interceptions de vidéos de drones israéliens, rendues publiques par le Hezbollah, montrent une préparation israélienne du crime. Les faits révélés par Odnako montrent l’usage d’une arme allemande sophistiquée. Le puzzle est presque complet.

 Thierry Meyssan
Analyste politique français, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace. Il publie chaque semaine des chroniques de politique étrangère dans la presse arabe et russe. Dernier ouvrage publié : L’Effroyable imposture 2, éd. JP Bertand (2007).

http://voltairenet.org/article167550.html

Israel won the egyptian elections. The coming death of Mubarak will trigger a good Revolution, despite US, France and Israel wills...




EGYPT: A FARCE OF AN ELECTION




The American-funded and American-backed tyranny in Egypt is very much reminiscent to US backing of the Shah’s regime in Iran prior to the Islamic revolution in 1978. The US gave the Shah all sorts of state-of-the-art weapons, hoping to maintain and perpetuate his grip on power. The notorious Savak was given a free rein to kill, torture, and rape Iranians while the regime made sure to suppress every gesture of public dissent.

U.S is responsible for Egypt ‘s election joke

By Khalid Amayreh,

There is no doubt that the United States is at least morally responsible for the scandalous election joke which took place in Egypt on 28 November. The brazen falsification of the Egyptian people’s will would not have occurred had it been for America’s unethical embrace of Mubarak’s regime.





With a turnout not exceeding 10-15% of eligible voters, the elections have been described as “brashly fraudulent” and “probably the most fraudulent in Egypt’s history.”



The elections were marred not by a small number of irregularities. On the contrary, the regime has employed every conceivable illegal, even criminal, method to intimidate and scare away voters suspected of intending to vote for the opposition, especially the Muslim brotherhood.



According to independent sources the regime resorted to widespread fraud, barring independent monitors from polling stations, ballot-box stuffing and vote buying to ensure victory for pro-regime candidates.



In some areas, government candidates were seen passing cash and food to voters near polling stations.



Moreover, the voting on Sunday saw more than sporadic violence. Pro-regime baltagiya or gangs of intimidating young men were seen hanging around polling stations to scare off brotherhood supporters. One woman was quoted by the Associated Press as saying that “people are scared to leave their homes. Everyone is afraid of the thugs.”



Another Cairo man said “it would be an insult to language to call what is happening elections.”



According to a coalition of local and international human rights observers, the elections “lacked any transparency and were marred by widespread fraud.”



In addition to the atmosphere of fear and terror fostered by the security forces and the regime’s civilian thugs, independent monitors from human right groups were barred entry. Some were arrested.



One human rights monitor, who had obtained accreditation from the election commission, was quoted as saying that “the security is running the show.



In fact, one could go on and on and one, describing the dirty game of raping the collective will of 80 million Egyptians who tried but failed to restore their dignity and freedom, usurped by an autocratic and corrupt regime.



In his landmark speech in Cairo on 4 June, 2009, President Obama undertook to repair the troubled relations between the United States and the Muslim world. He said “I have come here to seek a new beginning between the United States and Muslims around the world; one based upon mutual interest and mutual respect.”



The American president made numerous other remarks which promised good will toward Muslims in general. He also invoked the spirit of democracy, saying people everywhere should be able to have a say in how they are governed.



“But I do have an unyielding belief that all people yearn for certain things: the ability to speak your mind and have a say in how you are governed; confidence in the rule of law and the equal administration of justice; government that is transparent and doesn’t steal from the people; the freedom to live as you choose. Those are not just American ideas, they are human rights, and that is why we will support them everywhere.”



In truth, the Egyptian regime wouldn’t have reached this level of depravity, corruption, tyranny and repression were it not for U.S. support, acquiescence and silence.



U.S. officials often claim they are encouraging despotic governments in the Arab world to initiate democratic reforms and respect human rights and civil liberties. However, everyone, including the repressive regimes themselves, knows well that the U.S. doesn’t really mean it and that all the reluctant and half-hearted public statements about democracy and human rights in countries like Egypt, Saudi Arabia, Jordan and the rest of America’s puppet regimes in the Arab-Muslim region are only meant to mislead and deceive the masses.



One actually wouldn’t indulge in far-fetched prognostication if one presumed that the U.S. itself privately asks these repressive regimes not to take its human rights-related criticisms too seriously since these criticisms were meant only for propagandistic reasons.



In the final analysis, the U.S. has never ever demonstrated a real, absolute and consistent commitment to democracy and human rights anywhere in the world. This ugly portrait of America’s moral duplicity is illustrated by the long standing relations between the big empire and a long list of tyrants, including filthy tyrants, around the world. The list is too long to confine to a few lines.



The American-funded and American-backed tyranny in Egypt is very much reminiscent to US backing of the Shah’s regime in Iran prior to the Islamic revolution in 1978. The US gave the Shah all sorts of state-of-the-art weapons, hoping to maintain and perpetuate his grip on power. The notorious Savak was given a free rein to kill, torture, and rape Iranians while the regime made sure to suppress every gesture of public dissent.



Even as the Shah’s regime was showing signs of morbidity and fatigue, President Carter continued to describe the shah’s Iran as “an Island of stability in one of the more troubled areas of the world.”



We know the rest of the story.



To be sure, today’s Mubarak’s Egypt is not exactly a carbon copy of the Shah- era Iran. But the similarities are striking. Today, in Egypt as was then in Iran, repression is rife, corruption is rampant, poverty is shocking, and political repression is prevalent.



There is so much frozen rage and too much police state. People are routinely arrested, mistreated and even tortured for merely expressing their thoughts. The regime itself is increasingly insecure and it often tries to make up for this insecurity by stepping up repression of political activism or anyone deemed a threat to the regime.



An in the midst of this lugubrious atmosphere, President Mubarak is in the process of grooming his son, Gamal, to succeed him as Egypt, mainly thanks to Mubarak’s absolute autocracy, has been effectively transformed into a republic in name but a kingdom in reality. It is a republic kingdom!



May God shield Egypt from the evils of its enemies, internal and external. Amen.


http://desertpeace.wordpress.com/2010/12/01/egypt-a-farce-of-an-election/

Sarkozy continue de provoquer les musulmans en soutenant les genocides israeliens en Palestine, Liban, Soudan, Algerie, Iraq, Yemen et Afghanistan au travers de societes de mercenariats de type CIVILPOL ou BLACKWATER/XE


Des mercenaires français en Irak?

Article de Gilles Munier,



paru dans Afrique Asie (décembre 2010)



La guerre d’Irak a fait voler en éclats la Convention internationale contre le recrutement, l’utilisation, le financement et l’instruction de mercenaires, votée par l’Assemblée générale des Nations unies en 1989 et ratifiée par 32 Etats. A l’écart du conflit irakien après le discours mémorable de Dominique de Villepin à l’ONU en 2003, la France y participe désormais, peu ou prou, avec un ambassadeur de choc et des sociétés dites de sécurité.




Nicolas Sarkozy est-il en guerre contre la résistance irakienne ? En autorisant des « sociétés de sécurité » françaises à s’implanter à Bagdad, il a engagé la France dans un engrenage dont il ne mesure pas vraiment les risques. Les « gardes du corps » français, qui, sous couvert de protection rapprochée, accueillent et accompagnent les hommes d’affaires, sont perçus par la population comme des « contractors » - mercenaires - au même titre que les employés de la quarantaine de SMP (Sociétés Militaires Privées) étrangères qui sèment la terreur dans le pays. Et, elles le sont d’autant plus que Boris Boillon, l’ambassadeur de France, tient des propos laudateurs effarants sur la sécurité dans le pays, célèbre les vertus de l’occupation américaine et de la bonne gouvernance du régime pro-iranien.



L’American way of war



Certes, les « contractors » de Geos, la plus grande entreprise de sécurité privée française, de Gallice-Security et d’Anticip SAS, qui se partageant les miettes laissées par les SMP anglo-saxonnes, n’ont rien des tueurs engagés par leurs concurrentes, ni des aventuriers recrutés par Bob Denard, le célèbre « soldat de fortune » français. Geos, créée par Stéphane Gérardin, ancien du service action de la DGSE, est présidée par le général Jean Heinrich, ancien patron de la DRM (Direction du renseignement militaire). La société Gallice est dirigée par Frédéric Gallois, ancien chef du GIGN (Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale), et Anticip par Richard Terzan, ancien expert des « risques spéciaux » de la Lloyd’s, un des leaders historiques de l'assurance. Toutes se placent dans la perspective d’une modification de la loi du 14 avril 2003 «relative à la répression de l'activité de mercenaire ». En effet, l’Elysée veut réintroduire en douceur le mercenariat dans le droit français. Après avoir vanté l’American way of life, Nicolas Sarkozy tente d’imposer l’American way of war, pour reprendre une formule de G. H Bricet des Vallons, auteur d’ Irak, terre mercenaire. Le marché du mercenariat étant estimé à 100 milliards de dollars pour les dix prochaines année, en ces temps de crises les arguments avancés sont évidement d’ordre économique : « il ne faut pas laisser ces contrats juteux aux autres pays », « le budget de la Défense serait mieux utilisé » et « cela permettrait de reclasser les militaires en fin de carrière… de réduire le chômage » … La décision d’externaliser des activités militaires combattantes n’étant, semble-t-il, qu’une question de temps, la société parisienne Vitruve DS, dirigée par Didier Raoul, ancien commandant des forces spéciales, a réclamé la privatisation de l'Ecole des troupes aéroportées de Pau (Etap), proposition jugée « inadmissible », portant atteinte « aux fonctions régaliennes de l’Etat », par Martine Lignières-Cassou, députée socialiste du Béarn, membre de la commission Défense nationale.



Des Français



dans les SMP anglo-saxonnes



En attendant une éventuelle modification de sa législation en matière de mercenariat, la France ferme les yeux sur la présence d’anciens militaires français dans les SMP anglo-saxonnes. « Franck Hugo », mercenaire en Irak en 2003-2004, ancien légionnaire ayant participé à la tentative de coup d’Etat de Bob Denard aux Comores en 1995, aurait négocié, en accord avec l’antenne DGSE à Bagdad, la libération de Christian Chesnot et Georges Malbrunot enlevés par l’Armée islamique en Irak. Deux SMP étatsuniennes : EHC (Earthwind Holding Corporation) de Bruno Trinquier et Eagle Black Group dirigé également par un Français, recrutent des « contractors » hexagonaux, tout comme l’australienne Unity Resources Group, basée à Dubaï, responsable de 38 tirs sur des civils irakiens… tous justifiés, bien sûr. La justice australienne lui reproche seulement d’avoir tué trois diplomates australiens qui roulaient trop près d’un de ses convois. Enfin, Philippe Legorjus, ancien commandant du GIGN, patron d’Atlantic Intelligence a créé une filiale avec le Stirling Group britannique pour accéder au marché de la « gestion des risques internationaux », sans enfreindre la loi de 2003.



Sahwa et contractors : même combat !



En Irak, la protection est facturée 6 000 $ par jour par Anticip, plus si des déplacements sont effectués dans le pays. Pour l’instant, aucun homme d’affaires n’a été victime d’attentat ou d’attaque, et c’est tant mieux. Mais qu’adviendra-t-il lorsque Al Qaïda en Mésopotamie mettra ses menaces à exécution ? En 25 mars dernier, le Front pour le Djihad, la Libération et le Salut national (JLNSF), d’Izzat Ibrahim al-Douri, a averti les entreprises étrangères qu’elles étaient des « cibles légitimes » pour la résistance, les assimilant à des forces occupantes. Que penser du risque insensé pris par la société Gallice en s’associant au cheikh de la milice tribale sahwa des Abou Rish, un des pires suppôts de la CIA, pour assurer la protection du ministère irakien des Affaires étrangères ? La signature du premier contrat étatique accordé à une entreprise française de sécurité - 500 000$ - tient certainement plus au désir du ministre kurde Hoshyar Zebari de faire une fleur à son vieil ami Bernard Kouchner qu’aux capacités, reconnues, de cette société. Que se passera-t-il le jour où des « gardes du corps » français dégaineront leurs armes pour protéger une délégation, ou pour se sortir d’un guet-apens? Il ne sera alors plus question de mission défensive, mais de guerre ouverte avec toutes les conséquences qui en découlent. Voilà vers quoi conduit la politique mercantile, et à courte vue, de Nicolas Sarkozy en Irak. La légalisation de SMP françaises, avec leurs « bavures » inévitables, salirait encore plus l’image qu’a actuellement la France à l’étranger.







Appendice :



Le « nouvel eldorado » irakien



Alors qu’une quarantaine de chefs d’entreprise français s’apprêtait à quitter Paris pour Bagdad, où ils se déplaceraient en convoi blindé, précédé par une automitrailleuse de Gallice, le « Haut tribunal pénal » irakien condamnait à mort de Tarek Aziz, Saadoun Shaker et trois anciens dirigeants baasistes. Pendant que Boris Boillon, ambassadeur-Rambo, présentait l’Irak comme un « nouvel eldorado » et que Anne-Marie Idrac, ministre du Commerce extérieur, visitait la Foire internationale de Bagdad, protégée par les mercenaires de Triple Canopy, les forces de sécurité irakiennes attaquaient la cathédrale syriaque catholique Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours où étaient retranchés des terroristes, provoquant le massacre d’une cinquantaine de fidèles. Le lendemain, des bombes et des obus de mortiers explosaient dans les quartiers chiites, faisant encore plus de victimes. Le ministère français des Affaires étrangères a condamné ces attentats, mais n’a rien dit en faveur de Tarek Aziz ni de ses compagnons, tous « amis de la France ». Faut-il rappeler, comme l’a fait Maître Vergès lors d’une conférence de presse avec Mme Shaker, à Paris, le 12 octobre, que la peine de mort, suspendue en 2003, au moment de leur arrestation, par l’Autorité provisoire de la Coalition, ne peut s’appliquer à aucun d’entre eux, même si elle a été rétablie ensuite?

http://www.france-irak-actualite.com/

UK & US ACCUSED OF FRAMING MEGRAHI & NEGLECTING HIM IN PRISON



Monzer al Kassar reportedly worked with the CIA unit known as Corea. (Franklin, Dutroux, Mossad, McKee)

On 2 December 2010, it was reported that the family of Abdulbaset al Megrahi is preparing to sue Britain for false imprisonment. (Family of alleged Lockerbie bomber 'preparing to sue Britain for false imprisonment' )


Libya's Colonel Gaddafi, in a speech at the London School of Economics, via a live video-link, alleged that the case against al Megrahi had 'been fabricated and created by Thatcher and Reagan.'

Gaddafi suggested that CIA agents carried out the 1988 Lockerbie Bombing.

(Involved in the story is CIA asset Monzer al Kassar, who reportedly had links to Oliver North and Mohammed Atta. (Monzer al-Kassar - Wikipedia / Madcow Morning News.) The alleged maker of the Lockerbie bomb, Marwan Khreesat, was a Jordanian intelligence service (GID) agent with links to the CIA. (Pan Am Flight 103.)


Were these passengers on PanAm 103 killed by the CIA? The US ambassador to Lebanon, John McCarthy, and the South African Foreign Minister Pik Botha had their travel plans altered at the last minute in order to avoid PA103. Charles McKee and Matthew Gannon allegedly changed their plans at the last minute to fly on PA103. ("Cover-up - Lockerbie")

Was there an attempt to kill al Megrahi?



According to Gaddafi, al Megrahi's health "was not looked after in prison.
"He didn't have any periodic examination...

"After he passes away, his family will demand compensation because he was deliberately neglected in prison."

If all the evidence had been heard in the appeal case, then the world would have got to hear more about Major Charles McKee and heroin.

Reportedly, Major Charles McKee and his team of US agents had gathered evidence concerning CIA smuggling of heroin from South Lebanon into the USA on PanAm flights.
McKee and his team were on PanAm 103.
Reportedly, the CIA brought down PanAm 103 in order to destroy McKee and his evidence.

Enron CEO Ken Lay died from 'a heart attack'.
Slobodan Milocevic died of 'a heart attack'.
Robin Cook died of 'a heart attack'.
~~

http://aangirfan.blogspot.com/

Pourquoi le FBI orchestre-t-il de faux complots terroristes ?


Par Paul Craig,

Osman Mohamud, un adolescent somalo-étasunien, est le dernier piégé à Portland en Oregon. L’article de William Mall et Nedra Pickler de l'Associated Press (27/11/2010) est en manchette sur Yahoo News : « Un adolescent d'origine somalienne manigance un complot à la voiture piégée dans l'Oregon. »

Le titre est trompeur, puisque l’article montre clairement qu'il s'agit d'un complot orchestré par des agents fédéraux. Dans ce reportage d’actualité, nous avons ceci : « La bombe était un faux subtil fourni par des agents [du FBI] et, selon les autorités, le public n'a jamais été en danger. »

Il a été fourni à l'adolescent une bombe bidon et un faux détonateur.

Trois phrases plus tard, les journalistes contredisent les dires des autorités en citant Arthur Balizan, un agent spécial du FBI en poste dans l'Oregon : « La menace était bien réelle. »      

Les reporters contredisent ensuite Balizan : « Nick Shapiro, porte-parole de la Maison Blanche, a déclaré samedi que le président Barack Obama était au courant de l'opération du FBI avant l'arrestation de vendredi. Shapiro a dit que M. Obama affirmait que le FBI avait le contrôle total de l'opération et que le public n'était pas en danger. » 

     Puis, Shapiro se tacle en déclarant : « Les événements des 24 dernières heures soulignent la nécessité de rester vigilant contre le terrorisme ici et à l'étranger. » L'histoire atteint un sommet kafkaïen quand Obama remercie le FBI pour sa diligence à nous sauver du faux complot qu’il a manigancé.   
  
 Après avoir tergiversé pour savoir s'ils font état d'un complot réel ou orchestré, les journalistes penchent enfin du côté de l'orchestration. Les documents publiés par le procureur Dwight Holton « montrent que l'opération d'infiltration a commencé en juin. » De toute évidence, l'adolescent visé à Portland n'était pas très chaud pour marcher. Le FBI a dû le travailler pendant six mois. Les journalistes comparent « le coup monté de Portland » à l'arrestation récente en Virginie de Faroque Ahmed, qui a été attiré dans le piège d’un « attentat à la bombe, un stratagème orchestré pendant les six derniers mois par des fonctionnaires fédéraux. »     

 Réfléchissez à ceci. Le FBI a travaillé un an pour convaincre deux individus de participer à des complots bidons. Si vous n'êtes pas trop intelligent et que des loustics d’apparence coriace vous accostent, se disent d’Al-Qaïda et espèrent votre aide dans une opération terroriste, il se pourrait que vous ayez peur de dire non, ou bien que vous ne soyez fier prendre part à un retour de flamme contre une population indifférente aux massacres perpétrés par son gouvernement contre des gens de votre ethnie d’origine dans votre pays d'origine. Quelle que soit sa manière de succomber, si le FBI ne l’avait pas impliquée dans l’action, il est invraisemblable que la personne prise au piège soit allée plus loin que parler au FBI. Dans d'autres cas, le FBI appâte des gens avec de l’argent pour qu’ils participent à ses faux complots.     

Depuis le 11 septembre, la seule « action terroriste » domestique que je sache qu’il n’est pas sûr qu’elle était organisée par le FBI, est l’« affaire de Times Square, » pour laquelle Faisal Shahzad a plaidé coupable d’avoir tenté de faire sauter une voiture piégée à Manhattan. Cette intrigue, aussi, est suspecte.
On pourrait penser qu'un véritable terroriste aurait une véritable bombe et non pas un pétard fumigène.      Dans son article du 19 mai 2009 (publié à nouveau le 27 novembre 2010), Joe Quinn, du site Sott.net, rassemble quelques intrigues bidons, dont certaines ont été confirmées par des aveux sous la torture et d'autres par des jurys ignorants et peureux. Le régime trouve un complot, un accusé, puis le torture jusqu'à ce qu'il avoue. Ou bien, le gouvernement fabrique une affaire et prend des jurés qui savent qu'ils ne pourront plus regarder leurs voisins en face s'ils laissent partir des gens déclarés « terroristes » par les médias.     

La plus flagrante de ces affaires est peut-être celle des « sept de Miami, » un lamentable équipage de Chrétiens, Sionistes et Musulmans, qui se qualifiaient eux-mêmes de « Mer de David » et vivaient discrètement dans un entrepôt de Floride en attendant la fin des temps bibliques. Se faisant passer pour Al-Qaïda, voilà alors le FBI qui se pointe et leur offre 50.000 roupies et une cérémonie d'assermentation à Al-Qaïda.      

Le FBI leur raconte avoir besoin d’eux pour faire sauter la tour Sears de Chicago et divers édifices gouvernementaux. Knight Ridder, un journaliste honnête, a révélé : « Le ministère de la Justice (sic) a dévoilé les arrestations lors d’une série de conférences de presse mises en scène dans deux villes, mais la gravité des charges par rapport à la nature apparemment dilettante du groupe a suscité des soucis chez des défenseurs des libertés civiles, » qui ont noté que le groupe n’avait « aucune arme ni explosif. »      

Le ministère de la Justice (sic) et les médias subjugués on fait grand cas des « bottes militaristes » portées par les pauvres « comploteurs, » sauf que le FBI avait acheté les bottes pour eux.     
La plus grande pièce à conviction contre le malheureux groupe était qu'ils avaient pris des photos des « cibles » en Floride, sauf que le gouvernement leur avait fourni les appareils photo.      
Le gouvernement a même loué les voitures que conduisaient ses pigeons en prenant les photos.      Il s'avère que le groupe voulait juste les 50.000 roupies, mais peu importe, un jury zunien les a reconnus coupables.  
  
Quand le régime étasunien en arrive à de telles extrémités pour transformer des pauvres types en « terroristes, » il sert un objectif inavoué. Quel pourrait être cet ordre du jour ?      Il répond à de nombreux desseins. L’un d’eux concerne la justification des guerres d'agression, des crimes de guerre en vertu de la norme de Nuremberg créée par le gouvernement étasunien lui-même. Une façon d'éviter l’accusation de crime de guerre consiste à créer le terrorisme qui justifie les agressions flagrantes contre l’« axe du mal. »     
Un autre calcul concerne l’instauration d’un État policier. Un État policier a la possibilité de contrôler les gens qui s'opposent à leur appauvrissement au profit des cousus d’or beaucoup plus facilement qu'une démocratie dotée de libertés civiles constitutionnelles.      

Une autre arrière-pensée concerne l’enrichissement. Qu'elles soient réelles ou orchestrées, les affaires terroristes ont créé un marché de la sécurité. Michael Chertoff, le citoyen israélien à double nationalité ancien patron de la Sécurité intérieure, est le lobbyiste qui représente Rapiscan, la société qui fabrique les appareils pornographiques de scanographie corporelle qui, suite à l’affaire du « terroriste au slip piégé, » regorgent désormais dans les aéroports. 

La Sécurité intérieure a annoncé l’achat de scanners pornographiques pour les trains, bus, métros manifestations sportives, palais de justice, etc. Comment pourraient y réchapper les centres commerciaux et les routes ? Récemment, sur l’autoroute inter-États 20 à l'ouest d'Atlanta, les camions devaient passer sur un appareil similaire. Tout le monde a oublié que le kamikaze aux sous-vêtements piégés était dépourvu des papiers exigés et avait été escorté à bord de l'avion par un fonctionnaire [à l’aéroport d’Amsterdam surveillé par cette même compagnie israélienne qui est en place, entre autres, à Boston, ndt].[Image]

© InconnuFaux jetons costumés : Chertoff, ancien patron de la Sécurité intérieure et Gonzalez, ancien ministre de la Justice (sic).

      La « guerre contre le terrorisme » donne l'occasion de devenir très riche à des gens qui ont des relations. S’ils lèguent aux Étasuniens un État policier tiers-mondiste, ils iront vivre à Gstaad.     
Ceci en dépit du fait que tout le monde sait sur la planète que les membres d'Al-Qaïda ne sont pas des mères allaitantes, des enfants, des personnes âgées en déambulateur et en fauteuil roulant, des membres du Congrès, des militaires, des religieuses, etc., qui complotent d’amener une bombe à bord dans leurs sous-vêtements, leurs chaussures, leur shampooing et pot à maquillage.      

À vrai dire, une bombe à bord d'un avion de ligne est un événement rare. Qu’y a-t-il réellement derrière tout ça ? Se pourrait-il que le gouvernement ait besoin d’attentats terroristes pour abolir complètement la Constitution ? Le 24 novembre, la Radio national publique a diffusé un reportage de Dina Temple-Raston : « Les responsables de l'administration sont à la recherche d’une possibilité de codifier la détention sans procès et attendent une loi censée sortir du Congrès en début d'année prochaine. » Cette loi ne sortira évidemment pas du Congrès. Elle sera rédigée par la Sécurité intérieure et le ministère de la Justice (sic). Le Congrès impuissant ne fera que l’approuver sans discussion.      

L'abolition de l'habeas corpus, la protection des libertés la plus importante et nécessaire jamais institutionnalisé dans la loi et la constitution du gouvernement, est devenue nécessaire pour le régime, car un jury pourrait acquitter un soi-disant « terroriste » ou une victime de coup monté au sujet de laquelle le régime avait déclaré avant le procès qu’elle sera maintenue pour toujours en détention, même si elle est acquittée par un tribunal. Le ministre de la Justice (sic) a déclaré que tout « terroriste » acquitté après jugement par un jury restera en détention quel que soit le verdict. Ce genre d’évolution dévoilerait le caractère totalement débridé de la « justice. »      

Les États-Unis d'Amérique, « la ville sur la colline, » « la lumière du monde, » s’est transformée en Naziland. Elle adopte la mode gestapiste d’ignorer le verdict des tribunaux et d'exécuter ou détenir indéfiniment en camp l’accusé disculpé. En légiférant sur la légalité de la détention illimitée, le régime Obama est en train de parachever le rêve de Dick Cheney. Le droit a disparu dans les oubliettes d’un Âge des Ténèbres.  Cette politique gestapiste est désormais déclarée officielle au ministère de la Justice (sic).      Toute personne qui pense que les États-Unis constituent une société libre où les gens jouissent de la « liberté et de la démocratie, » est mal renseignée.

Article original en anglais :  Why does the FBI Orchestrate Fake Terror Plots?
Traduction : Pétrus Lombard. 

Paul Craig Roberts a été secrétaire adjoint au Trésor durant le premier mandat du Président Reagan et rédacteur en chef adjoint au Wall Street Journal. 

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=22189

'Pax Judaica' : Destruction d'Al Aqsa, annexion de Gaza à l'Égypte et de la Cisjordanie à la Jordanie. Le plan de la decennie Netanyahu pour preparer la venue du prophete des mecreants sionistes israeliens; l'Antechrist-Dajjal


"Un ballon d'essai pour la réaction arabe"
Un responsable sioniste: l'effondrement d'al-Aqsa est proche

Al-Qods occupée - CPI
www.palestine-info.info

L'un des dirigeants du front intérieur sioniste, leader de la brigade Jérusalem (Al Qods occupée), le Général Han Livni, a mis en garde d'une catastrophe prévue dans la mosquée sainte d'al-Aqsa et de l'effondrement de la Mosquée Marawani.

Des observateurs ont considéré que ces déclarations représentent un ballon d'essai pour la réaction arabe, ajoutant que la décision de démolir "al-Aqsa" a été prise par les Sionistes depuis longtemps.
Dans ses déclarations publiée le vendredi 3/12, par le journal hebdomadaire sioniste "Jerusalem", Livni a ajouté que l'effondrement se réalisera, la seule question est: Quand sera-t-il et combien seront les victimes (morts et blessés)?

Lorsque nous nous préparerons pour le mois de Ramadan, l'une des grandes craintes soit l'effondrement de la mosquée d'al-Aqsa, où la situation sera détériorée, c'est une proposition très probable et nous manœuvrons sur cela et planifions pour l'affronter", a-t-il ajouté.

Livni a déclaré qu'ils préparent des équipes d'urgences, toutes les fois où les musulmans accomplissent leurs prières. Non seleulement la police sioniste est mise en état d'alerte, mais les équipes du front intérieur se préparent pour ça.

Le front intérieur sioniste a présenté durant la semaine dernière à la municipalité de l'occupation  d'al-Qods des propositions et examens en cas du déclanchement d'une guerre générale et des catastrophes probables à al-Qods occupée, ainsi le front interieur a effectué la semaine dernière une grande manœuvre militaire à al-Qods.

En plus de ses avertissements, Livin a souligné les grands efforts prodigués pour la stabilité du lieu dans les esplanades d'al-Aqsa qui sera le lieu des affrontements probables, prétendant que cette situation suscite les inquiétudes des responsables sionistes envers la sécurité des croyants.

Notons que des grands affrontements ont eut lieu dernièrement dans la ville occupée d'al-Qods et aux alentours d'al-Aqsa à cause des creusements deliberés et les dangereux tunnels sionistes sous la mosquée al-Aqsa.
Washington – CPI
www.palestine-info.info


Le criminel de guerre John Bolton met enfin le plan sioniste officiel sur la table. 

"Je crois que le modèle exemplaire de la résolution de deux états, palestinien et israélien, a échoué et qu'il n'y personne au côté palestinien qui peut se confier à cela", a déclaré John Bolton, l'ex-ambassadeur américain à l'ONU.

Bolton qui a annoncé son intention de proposer sa candidature aux prochaines élections présidentielles américaines, a proposé, au lieu de la résolution de deux états, une autre solution de trois états qui comportera la motivation après la reconnaissance de tous les côtés pour annexer Gaza aux égyptiens et la Cisjordanie à la Jordanie.

Il a promis de présenter les engagements nécessaires pour réaliser la paix ou de la réaliser lui- même à l'avenir en cas de victoire aux élections américaines.

Bolton a condamné les actuelles négociations américano-israéliennes pour prolonger le gel de la colonisation en échange des imprudentes récompenses militaires et politiques à l'entité sioniste.

Il a assuré que ces négoications aident à détruire les relations entre les deux côtés, indiquant qu'il est facile de reprendre des bonnes relations avec Tel-Aviv, sous l'ombre d'une nouvelle présidence à la Maison Blanche, en faisant allusion à son insatisfaction à la direction actuelle de Barak Obama.

D'autre part, Bolton a affirmé l'échec de la politique d'imposer des punitions contre l'Iran, considérant que le seul moyen d'agir contre son programme nucléaire est de lancer une attaque militaire limitée.

Bolton qui parlait aux journalistes, a assuré son désir d'être candidat aux prochaines élections présidentielles américaines, disant que son pays a besoin à reprendre sa forte position internationale, d'être plus fort, prêt pour attaquer l'Iran et renoncer à la résolution de deux états.

Tous les pays Musulmans sont occupés et dirigés par des sefarades ultra-racistes ou des traitres. L’emir du Qatar, Hamad Bin Khalifa: entre le soutien d’Aljazeera et le feu de Wikileaks


« On ne peut pas blâmer les israéliens de ne pas faire confiance aux arabes, ils ont été tant trahis… » Telle est la remarque du chef d’Etat du Qatar, révélée par un nouveau câble diplomatique paru sur WikiLeaks. L’Émir Hamad bin Khalifa al-Thani a fait ces commentaires lors d’une réunion avec le sénateur américain John Kerry le 23 février 2010.


Le câble écrit précisément : « Les dirigeants israéliens doivent représenter le peuple d’Israël, qui lui-même ne peut pas faire confiance aux arabes. C’est compréhensible explique l’Émir puisque les israéliens ont été menacés depuis tres longtemps.

(On se demande par qui, tous les pays Musulmans etant sous occupation, n'ayant jamais été libérés comme les faux revolutionnaires de tous poils essaient de nous le faire croire. Israel et les tyrants seferades ultra-racistes (Maroc, Algerie, Syrie, Arabie Saoudite, Yemen, Emirats, Koweit, Jordanie) qui organisent le chaos en terre d'Islaam et le pillage de toutes richesses  ou des domestiques locaux (le reste, Kahddafi en tete) jouent des jeux de roles dont les seuls perdants sont les peuples Musulmans et les seuls gagnants les israeliens. Le cas du Qatar est tres révélateur... Une coupe du monde dont le monde sait qu'elle n'aura pas lieu du fait de la guerre de prise de controle par Israel des champs petroliers, gaziers et miniers en face de l'Iran... le Qatar est mal placé en cas de guerre... Le pays abrite une base nucléaire américaine, il sera selon toute probabilité anéanti par les missiles iraniens et/ou sino-pakistanais, lors de la bataille pour la prise de controle de cette zone ultra-riche, du fait de l'echec total des sionistes a pouvoir prendre le bassin de la mer Caspienne. Avec ces cables, on comprend egalement que les israeliens de Washington, Londres, Paris et Berlin tentent de se replacer sur la scene moyenne orientale en tentant de briser des axes naissants qui lui sont nefastes, mais rien de nouveau pour les peuples Musulmans...Si ce n'est que Israel se dirige bien vers la ou nous les attendons, eux et leurs pantins arabes).
Le câble écrit précisément : « Les dirigeants israéliens doivent représenter le peuple d’Israël, qui lui-même ne peut pas faire confiance aux arabes. C’est compréhensible explique l’Émir puisque les israéliens ont été menacés depuis très longtemps ».



Selon le document, l’Émir a dit à Kerry que le moment était venu pour installer une paix israélo-arabe, et que, à son avis, la meilleure façon d’atteindre ce but était pour Israël de rouvrir les négociations avec la Syrie via la médiation turque.

L’Emir du Qatar : “Israël doit être félicité pour toujours vouloir la paix”. « On ne peut pas blâmer les israéliens de ne pas faire confiance aux arabes, ils ont été tant trahis… » Telle est la remarque du chef d’Etat
du Qatar, révélée par un nouveau câble diplomatique paru sur WikiLeaks.

L’Émir Hamad bin Khalifa al-Thani a fait ces commentaires lors d’une réunion avec le sénateur américain John Kerry le 23 février 2010. Le câble écrit précisément : « Les dirigeants israéliens doivent représenter le peuple d’Israël, qui lui-même ne peut pas faire confiance aux arabes. C’est compréhensible explique l’Émir puisque les israéliens ont été menacés depuis très longtemps ».

Selon le document, l’Émir a dit à Kerry que le moment était venu pour installer une paix israélo-arabe, et que, à son avis, la meilleure façon d’atteindre ce but était pour Israël de rouvrir les négociations avec la Syrie via la médiation turque.

« Selon le Qatar, le moment est venu d’aller à Damas. Le gouvernement syrien peut aider les extrémistes arabes à faire des choix difficiles, mais seulement si les États-Unis, dont la participation est essentielle, arrive à convaincre la Syrie d’entamer de nouvelles négociations et soutient les efforts de médiation de la Turquie entre Israël et la Syrie », rapporte le câble classé secret.

« La Syrie pourrait être sevré de son principal allié iranien » car «elle n’a nulle part où aller » a déclaré al-Khalifa.

L’Émir du Qatar a également dit que son pays « pourrait pousser le Hamas vers la paix ». Bien que « le Qatar n’accepte pas l’idéologie du Hamas, nous pourrions jouer un rôle précieux en tant qu’intermédiaire » a-t-il dit.

Il a poursuivi en disant « que le monde arabe croit avoir battu Israël avec le Hamas à Gaza et le Hezbollah au Liban, les israéliens devraient être félicités pour avoir le mérite de toujours vouloir aller vers la paix ».

« Quand on pense que beaucoup dans la région estiment que le Hezbollah a conduit Israël hors du Liban et que le Hamas a fait de même depuis cette petite bande de terre appelée Gaza, il est effectivement étonnant de constater que les Israéliens veulent encore la paix ». Cependant, toujours selon l’Émir, « la région est encore loin de la paix ».

Qatar a rompu ses relations avec Israël au début de 2009, en réponse à l’invasion israélienne de Gaza. Depuis, on estime que les relations secrètes sont au plus haut niveau. D’ailleurs un autre câble cite le chef de la division Moyen-Orient du ministère israélien des Affaires étrangères, Yaakov Hadas, affirmant que les discussions avec le Qatar en vue de renouveler les relations bilatérales officielles commencent à porter leurs fruits.

« Le Qatar a d’ailleurs invité Hadas à Doha pour discuter de la réouverture de la mission israélienne dans le pays », a déclaré le câble.

« Les Qataris ont besoin de comprendre qu’ils ne peuvent pas s’attendre à coopérer avec nous sans accepter la réouverture de notre mission là-bas ».


http://www.alterinfo.net/L-Emir-du-QatarHamad-bin-Khalifa-entre-le-soutien-d-ALJAZEERA-ET-le-feu-de-Wikileaks_a52351.html

WikiLeaks: More Israeli game theory warfare?


By Jeff Gates,
Online Journal Contributing Writer
http://onlinejournal.com/


“The United States is the real victim of WikiLeaks. It’s an action aimed at discrediting them.” --Franco Frattini, Foreign Minister of Italy



The impact of the WikiLeaks release of diplomatic cables fits the behavior profile of those well versed in game theory warfare.

When Israeli mathematician Robert J. Aumann received the 2005 Nobel Prize in economic science for his work on game theory, he conceded, “the entire school of thought that we have developed here in Israel” has turned “Israel into the leading authority in this field.”


The candor of this Israeli-American offered a rare insight into an enclave long known for waging war from the shadows. Israel’s most notable success to date was “fixing” the intelligence that induced the U.S. to invade Iraq in pursuit of a geopolitical agenda long sought by Tel Aviv

When waging intelligence wars, timing is often the critical factor for game theory war planners. The outcome of the WikiLeaks release suggests a psy-ops directed at the U.S.

Why now? Tel Aviv was feeling pressure to end its six-decade occupation of Palestine. With this release, its foot-dragging on the peace process was displaced with talk of an attack on Iran.

While the U.S. bore the brunt of the damage, the target was global public opinion. To maintain the plausibility of The Clash of Civilizations, a focus must be maintained on Iran as a credible Evil Doer.

With fast-emerging transparency, Israel and pro-Israelis have been identified as the source of the intelligence that took coalition forces to war in Iraq. Thus, the need to shift attention off Tel Aviv.
WikiLeaks may yet succeed in that mission.

Foreseeable futures

Game theory war planning aims to create outcomes that are predictable -- within an acceptable range of probabilities. That’s why Israeli war planners focus on gaining traction for a plausible narrative and then advancing that storyline step by gradual step.

For the Zionist state to succeed with its expansionist agenda, Iran must remain at center stage as an essential villain in a geopolitical morality play pitting the West against Islamofascists.

To displace facts with false beliefs -- as with belief in the intelligence that induced the invasion of Iraq -- momentum must be maintained for the storyline. Lose the plot (The Clash) and peace might break out. And those deceived may identify the deceiver.
Thus the timing of this latest WikiLeaks release. Its goal: to have us believe that it is not Tel Aviv but Washington that is the forefront of geopolitical duplicity and a source of Evil Doing.

Intelligence wars rely on mathematical models to anticipate the response of those targeted. With game theory algorithms, reactions become foreseeable -- within an acceptable range of probabilities.
Control enough of the variables and outcomes become a mathematical inevitability.

The WikiLeaks’ motive

Was the reaction to this latest WikiLeaks foreseeable? With exquisite timing, the U.S. was discredited with an array of revelations that called into question U.S. motives and put in jeopardy U.S. relations worldwide.
As the Italian Foreign Minister summarized: “The news released by WikiLeaks will change diplomatic relations between countries.”

The hard-earned trust of the Pakistanis disappeared overnight. Attempts to engage Iran were set back. The overall effect advanced The Clash storyline. If Washington could so badly misread North Korean intentions, then why is the U.S. to be trusted when it comes to a nuclear Iran?

This Wiki-catalyzed storyline pushed Israel off the front page in favor of Iran.

Even U.S. detainees at Guantanamo are again at issue, reigniting that shameful spectacle as a provocation for extremism and terror. U.S. diplomats will now be suspected of spying and lying. What nation can now trust Americans to maintain confidences?

In short, the risks increased for everyone.
Except Israel.

Should Israel launch an attack on Iran, Tel Aviv can cite WikiLeaks as its rationale. Though an attack would be calamitous from a human, economic and financial perspective, even that foreseeable outcome would be dwarfed by the enduring hatred that would ensue.

That too is foreseeable -- from a game theory perspective of those marketing The Clash.
The effect of the U.S. invasion of Iraq was predictable. King Abdullah of Saudi Arabia foresaw it, noting simply that the U.S. invasion would “give Iraq to Iran as a gift on a golden platter.”
With the elimination of Sunni leader Saddam Hussein, the numerically dominant Shiites of Iraq were drawn into the political orbit of the Shiite-dominant Iran.

Game theorists focus their manipulation of affairs on their control of key variables. Then events take on a life all their own. The impact of this discrediting release was wide-ranging and fully foreseeable.
A Mossad case officer explained Israel’s success at waging war by way of deception: “Once the orchestra starts to play, we just hum along.”
These, after all, are the leading authorities in the field.

Jeff Gates is author of “Guilt By Association -- How Deception and Self-Deceit Took America to War.” See www.criminalstate.com.

http://onlinejournal.com/artman/publish/article_6654.shtml

'L'anti-terrorisme' francais fonctionne exactement sur le model de la repression coloniale israelienne. Il est basé sur le mensonge, la falsification de documents officiels et l'utilisation massive de la torture. Le role de 'l'anti-terrorisme' francais est de couvrir le terrorisme de l'etat francais et de ses faux groupes islamiques (comme le GIA/AQMI) dans ses colonies en Afrique pour perpetuer le vols des richesses et faire la chasse aux veritables opposants politiques afro-maghrebins. La legislation sert a couvrir et maintenir les criminels de guerre francais et leur pantins afro-maghrebins hors d'atteintes des juridictions internationales en faisant condamner les opposants politiques pour terrorisme!


'L'anti-terrorisme francais' ou l'art de legiferer contre l'ennemi geo-stratégique Musulman pour maintenir les colonies afro-maghrebines dans le pre-carré francais a l'aide du terrorisme d'Etats.



Selon les telex de Wikileaks, le model francais 'anti-terroriste' serait loué par les officiels américains, qui en matiere de violations des droits sont a la tete du peloton avec Israel et la France. Pourquoi ? Quel est le but de la manipulation en filigrane ?


La majorité des Musulmans arretés en France sont des opposants et prisonniers politiques, la legislation 'anti-terroriste' sert a couvrir ce fait et rien d'autre, car la France est incapable et inefficace a lutter contre le terrorisme, qu'elle crée pour justifier de sa présence dans ses colonies. Il est porté a la  connaissance de tous que la France ne peut pas torturer en metropole, quoique plusieurs plaintes pour tortures ont été déposées contre les services francais ou la police francaise en France, toutes par des Musulmans. La sale guerre contre l'Islaam qui a debuté au debut des années 1990 en France, avec le coup d'etat francais en Algerie de 1991, pour consolider le pouvoir des generaux deserteurs de l'armée francaise en Algerie et conserver la main mise sur les hydrocarbures et les reseaux de financement occultes de la vie politique francaise. La France, tout comme la Grande Bretagne  ou les Etats-Unis torturent au maghreb, en Egypte, en Jordanie, dans les pays du golf et meme jusqu'au Yemen et au Pakistan. 


Prenons un exemple simple, le juge Trevidic trouve des cassettes videos dans son coffre-fort. Dans ces cassettes, nous retrouvons selon la presse, les videos de 'confessions d'algeriens' dans le cadre de l'assassinat des moines de Tbhirines en 1996. Les témoignages et 'confessions' ont été apparement obtenues sous la torture. Le juge Bruguiere qui a oublié de prendre ces cassettes, n'est ni arreté, ni questionné. Les cas de tortures, meme si ils ne peuvent dependre de la justice francaise ne sont pas traités. Aucune enquete sur le comment du pourquoi la DST a obtenu les cassettes de la part des algeriens? Encore moins d'enquetes  declenchées en France sur de possibles commanditaires francais, policiers, magistrats ou politiques de la torture ?  Pourquoi ces gens ont tant de pouvoirs ?

L'anti-terrorisme francais viole toutes les regles basiques du droit international et nous Musulmans sommes, je suis tres bien placé pour en parler, les premieres victimes des ces mensonges de policiers, des services, de magistrats corrompus, de ministres de tutelles qui couvrent la repression coloniale et sauvage. Cette sale guerre secrete contre l'Islaam en France profite a qui ? Qui controle et verifie que les rapports de police, des services, sont veridiques ?  Si vous possedez un site ou un blog qui parle de l'Islaam, des  Musulmans, du Djihad, vous etes sous etroite surveillance. Donc automatiquement, soumis aux injustices et au fichage 'S' systematique, de la falsification des vos pieces d'identité et passeports pour provoquer votre arrestation et vous nuire de la part de flics peu scrupuleux, a la solde de réseaux etrangers, ultra racistes, comme les reseaux franco-americano-israeliens, qui feront tout pour couvrir leurs interets et ceux de leurs commanditaires, coupable de coup d'etats, guerre civils, attentats, massacres.  

Au nom de la France-Israel-Afrique, ils feront tout pour vous museler par tous les moyens, et dans 99% des cas, cela se fait illegalement.  Mais les faussaires utilisent la loi a leurs avantages  pour mener une guerre totale et secrete contre l'Islaam et les Muslmans en usant de n'importe quel faux pretexte pour 'eliminer toute menace' sur la base de seuls soupcons des individus. Soupcons pre-fabriqués d'avance ! C'est du terrorisme d'etat, rien de plus, rien de moins !

Alors qu'il est clair que les commanditaires des attentats de 1995 courent toujours et que la planete entiere sait qu'ils sont actuellement au pouvoir ou mis a l'abris par le gouvernement ... 'L'anti-terrorisme' francais, avec une partie des services, de la police et de barbouzes, de magistrats peu scrupuleux sont une menace pour la communauté musulmane en France, mais également toute personne s'opposant a la politique des reseaux de la corruption en France, en Afrique et en occident en général. La sécurité des biens et des personnes ne peut etre confiée a des irresponsables lourdement impliqués dans le terrorisme international ou le couvrant deliberement, dans des  guerres civiles, des coup d'etats, des crimes de guerre  a l'echelle continentale et autres violations flagrantes des droits basiques des etres humains...  Il existe des centaines de cas, voir des milliers de cas, mais les personnes derriere les pseudo-revelations de wikileaks, a savoir les israeliens de Washington, eux sont satisfaits du traitement colonial fait aux musulmans par l'entremise de lois coloniales, racistes destinées a museler ceux des Musulmans qui osent denoncer les criminels de guerre francais et israeliens au sein du gouvernement ou ailleurs ! Ils souhaiteraient que cette legislation basée sur le non-droit, la torture, le bidonnage de fausses preuves, soit étendue a toute l'occident, comme la guerre qu'Israel mene contre l'Islaam depuis certaines 'forteresses' ou bastions occidentaux 'anti-musulmans', dirigés par des agents politiques a la double nationalité, franco-israelienne par exemple, qui menent une guerre par procuration pour le compte d'Israel en occident. Israel tente d'imposer et d'étendre a toute la planete son model de repression des Musulmans, de sa sale guerre sur la base du non-droit, de l'absence totale de preuves, comme c'est deja le cas en Palestine occupée depuis pres de 65 ans.  C'est le but de ces telex et la manipulation en toile de fond... 

Abu Suleyman

Wikileaks et la lutte contre le terrorisme en France




Voici quelques jours un article intitulé Wikileaks: comment Washington voit la lutte contre le terrorisme en France  faisait pour quelques heures la une du Monde. Cet article a étrangement suscité bien peu de réactions des lecteurs malgré la gravité du sujet abordé. On pouvait pourtant  y lire que  les magistrats spécialisés dans l’anti-terrorisme "opèrent dans un autre monde que celui du reste de la justice." et qu’en France, "les critères de preuve pour conspiration terroriste sont bien plus faibles que ceux dans les autres affaires criminelles".

Notons tout d’abord que ces révélations n’apportent pas grand-chose de nouveau: en effet, dans son rapport  datant de 2008, l’organisation Human rights watch soulignait déjà les critères peu exigeants en matière de preuve de notre législation anti-terroriste lorsqu’il s’agit de décider de l’arrestation de suspects ou de l’ouverture d’une instruction par un juge. Sur la base d’indices minimes, voire inexistants, elle permet le maintien en détention provisoire des suspects pendant des mois, voire dans certains cas pendant des années, tandis que les liens étroits entre les juges d’instruction spécialisés et les services de renseignement dans les affaires de terrorisme mettent sérieusement à mal le droit des accusés à un procès équitable. 

La même année, les observations finales  du comité des droits de l'homme de  l'ONU en ce qui concerne la France soulignaient dans ses points 14 et 15,  les problèmes liés à la garde à vue  et à la longueur de la détention provisoire dans les affaires de terrorisme. Enfin, même le syndicat de la magistrature, sur son site web, dénonce depuis longtemps  la législation anti-terroriste à la française. Toutes ces critiques ont été jusqu’à présent royalement ignorées par nos politiques.

Tout ceci peut sembler abstrait aux lecteurs. Peut être pensent ils comme jadis moi-même qu’on ne va jamais en prison sans qu'il n'y aie une  bonne raison. Donnons donc une illustration concrète, déjà évoqué dans une précédente chronique, des abus auquels  mène parfois une telle politique (désolé, je radote parfois ): j’apprends par un beau matin de 2009 qu'un ancien étudiant de mon groupe de recherche, Adlène Hicheur,  vient d’être arrêté par une horde de robot-cops armés jusqu’aux dents alors qu'il dormait paisiblement chez ses parents, pour suspiscion de terrorisme, et que même le ministre de l'intérieur Mr Hortefeux vient lors d'une visite à Lyon de s’exprimer à son sujet. Après de nombreux mois où je ne savais trop que penser des faits reprochés à AH, j'ai fini par en apprendre un peu plus sur cette affaire qui est bien loin de tout ce que nous avons pu lire, entendre ou voir dans les media. Qu’en est-il en réalité ? AH débattait et exprimait ses opinions sur des forums  internet « suspectés d’être en relation avec des organisations islamistes ». Si AH avait été un citoyen ordinaire, il y a fort à parier qu'il aurait été relâché après quelques jours de garde à vue. Mais pour son malheur, AH a fait des études, de brillantes étude même puisqu’il est titulaire d’une thèse en physique des particules et travaille au CERN. Son profil attire donc nos fins limiers et le voici  trainé dans la boue et accusé des pires maux. On apprendra ainsi « qu’il correspondait avec un membre haut placé de l’AQMI », qu’il est le « prototype du terroriste solitaire », puis, n’ayons pas peur du ridicule, qu’il « projetait un attentat contre la caserne du 27ieme BCA à Annecy » (Mr Frédéric Péchenard, cité dans Le Monde du 17/11/2009). De telles affirmations, qui constituent une violation du secret de l’enquête, une atteinte à la présomption d'innocence et salissent gravement et inutilement la réputation de AH, sont distillées par « des sources proches de l’enquête »  sans que ceci ne semble gêner quiconque. 

 Qu’en est-il aujourd’hui ? Après 14 mois de détention provisoire qu'il ne s'explique toujours pas, sinon par une volonté délibérée de lui nuire et de la casser psychologiquement, AH croupit toujours à Fresnes et ses demandes de remise en liberté sont systématiquement refusées par le juge des libertés (?). Pourtant, AH n’a commis aucun fait matériel avéré et l’enquête, vraisemblablement terminée depuis longtemps, a du se borner à l’analyse de quelques disques durs. Enfin, AH ignore jusqu’aux chefs d’accusation qui lui sont reprochés. Cet exemple illustre donc le fait qu’il est aujourd’hui possible en France de maintenir une personne en détention provisoire, sans preuve matérielle avérée ni chef d’accusation précis, pendant plusieurs années ! Gageons  que lorsque les personnes qui agitent le chiffon rouge sécuritaire auront fini d’utiliser le cas d’AH, toute cette affaire se terminera, dans un silence assourdissant, par un non lieu, mais que les personnes anonymes qui sont à l’origine de la situation Kafkaesque dans lequel AH se débat aujourd'hui ne seront, elles, jamais inquiétées.  


http://www.mediapart.fr/club/blog/jplees74/011210/wikileaks-et-la-lutte-contre-le-terrorisme-en-france


Comité international de soutien à Adlène Hicheur

Voici plus d’un an, le 8 octobre 2009, notre collègue Adlène Hicheur était arrêté au domicile 
de ses parents  à Vienne, dans l’Isère, puis après plusieurs jours de garde à vue était 
mis en examen pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste[i]
Il est depuis incarcéré à Fresnes en détention provisoire. Il est à noter qu’Adlène est le 
seul mis en examen dans cette affaire. 

Adlène a constamment clamé son innocence et se débat depuis son arrestation 
dans un univers digne de Kafka. Depuis près d'une année toutes les demandes 
de mise en liberté provisoire présentées par l’avocate d'Adlène sont refusées, 
sans qu'aucune preuve tangible ne soit avancée pour étayer les accusations.  
Contre toute attente et sans qu’il soit possible d’en connaitre les raisons objectives, 
sa détention provisoire a de nouveau été prolongée de quatre mois fin septembre 2010. 
D’après les informations que nous avons pu nous procurer, les raisons justifiant 
’arrestation et le maintien en détention provisoire d’adlène depuis 13 mois semblent  
très minces : discussion sur des forums internet en lien avec des organisations islamistes 

En tant que collègues d'Adlène, nous avons été choqués par son arrestation et 
sommes inquiets de son maintien en détention. Aucune évolution de sa situation ni 
perspective de procès ne semblent pour l’instant se dessiner et nous nous inquiétons 
de son avenir et de la possibilité qu’il ait, s’il était finalement innocenté des charges 
qui pèsent sur lui, de poursuivre sa carrière de chercheur en physique des particules. 
Compte tenu de cette situation qui semble devoir perdurer (la durée de la détention provisoire
peut atteindre jusqu’à deux ans dans ce genre d’affaires), nous avons  décidé la 
création d’un comité de soutien ayant pour but de prêter assistance et soutien à Adlène 
dans sa défense contre des accusations qu'il a toujours niées.

[i] De nombreux rapports internationaux ont souligné l’arbitraire de la législation 
antiterroriste française, dont les critères sont peu exigeants en matière de preuve lorsqu’il 
 s’agit de décider de l’arrestation de suspects ou de l’ouverture d’une instruction par un juge. 
Sur la base d’indices minimes, voire inexistants, elle permet le maintien en détention 
provisoire des suspects pendant des mois, voire dans certains cas pendant des années, 
tandis que les liens étroits entre les juges d’instruction spécialisés et les services 
de renseignement dans les affaires de terrorisme mettent sérieusement à mal le droit 
des accusés à un procès équitable. Voir à ce sujet  le 
rapport de l'organisation Human Rights Watch   ainsi que les observations finales
(2008)  du comité des droits de l'homme de  l'ONU en ce qui concerne la France et
en particulier les points 14 et 15 en page 4. 


N.B.: Les membres de ce comité de soutien agissent à titre individuel et leur action n'engage en rien les institutions auxquelles ils appartiennent

http://soutien.hicheur.pagesperso-orange.fr/

Video :Nouvelles provocations racistes de l'extreme droite juive  sioniste Sarkozyste en France, suite a des rencontres  tenues a la Knesset israelienne. Israel ordonne a l'extreme droite européene de declencher la guerre civile en occident !


 


Censure des médias à propos des connections islamophobes israëliens


Par Forsane Al 'Izza,


http://www.forsane-alizza.com/




Le chef de file du Vlaams Belang Filip Dewinter sera reçu mardi à la Knesset, le parlement israélien, qu’il visitera en présence du président de l’assemblée, Reuven Rivlin. 

M. Dewinter sera accompagné de Frank Creyelman, le président de la commission des Affaires étrangères du parlement flamand, lui aussi, issu des rangs du Vlaams Belang et membre de l’European Freedom Alliance (EFA, une association de partis d’extrême-droite). M. Dewinter est en Israël depuis samedi, où il a participé à différents événements centrés sur l’ islam, à l’invitation de politiciens partageant ses idées anti-Islam. Dans une allocution donnée samedi, il a affirmé qu’ »Israël mène en partie notre lutte contre les islamistes et contre le terrorisme ».


« Nous devons unir nos forces pour combattre l’islamisme ici et chez nous », a-t-il ajouté. Lundi, M. Dewinter a visité la frontière avec la bande de Gaza et la ville de Sderot, régulièrement la cible de roquettes palestiniennes. Il n’a par contre pas visité les territoires palestiniens, ni rencontré aucun interlocuteur palestinien. (AHO)

Cet islamophobe bien connu des identitaires en Europe s’est exprimé à de nombreuses reprises contre la liberté des musulmanes de porter le voile et s’oppose catégoriquement à l’islam.

Exemple de ses allocutions:
« Les imams comme Nordin Taouil sont les maquereaux d’Allah et, par un chantage moral, ils forcent les musulmanes à se prostituer religieusement…. »
« Il est donc impropre de comparer le foulard porté par une musulmane à la croix qui orne le collier d’une catholique ou à la kippa d’un juif… »

« En accordant à l’islam les mêmes droits et facilités qu’à d’autres religions reconnues comme le catholicisme, le protestantisme et le judaïsme, on pose les bases d’un « pilier » islamique. »
( Il est donc absolument contre le fait d’accorder les mêmes droits pour tous…)


« Les émeutes de plus en plus violentes vont lentement mais sûrement monter en puissance jusqu’à une sorte de guérilla ethno-religieuse. L’exigence formulée par le Vlaams Belang d’un déploiement de l’armée si nécessaire, pour rétablir la loi et l’ordre, est donc une nécessité évidente. »

« Pour finir, permettez-moi de contester le titre de ce colloque. Le slogan «L’islam peut nuire à votre liberté» ne convient pas. Ce devrait être «L’islam nuit à votre liberté». Au rythme actuel, c’est juste une question de temps pour que l’Europe devienne l’Eurabia. Quiconque veut arrêter l’islamisation de l’Europe doit d’abord et avant tout fermer le robinet de l’immigration, et renoncer au multiculturalisme comme idéologie officielle de l’état. »

Et là c’est le summum de la haine :

« Ce n’est qu’en faisant preuve de fermeté et de caractère, en osant à nouveau nous centrer sur notre singularité et notre identité culturelle, absolument pas ouverte à toute forme de pensée unique multiculturelle, et en osant défendre la supériorité de notre civilisation qu’il sera possible d’éviter l’islamisation de l’Europe et de rendre l’Europe aux Européens. »

En outre 

Le député d’extrême droite néerlandais Geert Wilders a plaidé en Israël contre la restitution de territoires en échange de la paix avec les Palestiniens, proposant l’installation « volontaire » des Palestiniens en Jordanie, qu’il décrit comme le véritable Etat palestinien.
« Le conflit ici au Moyen-Orient ne porte pas sur le territoire et les frontières, mais sur l’opposition entre le jihadisme islamique et la liberté occidentale », a affirmé dimanche le député islamophobe, selon le texte de son discours, lors d’une conférence à Tel-Aviv à l’invitation de son collègue israélien d’extrême droite Arieh Eldad.

« Les gens se trompent en pensant qu’en abandonnant la Judée-Samarie (Cisjordanie, NDLR) et Jérusalem-Est pour les donner aux Palestiniens, cela mettra fin au conflit entre Israël et les Arabes », a-t-il estimé, selon la même source.

Il a défendu les colonies juives en Cisjordanie comme des « petits bastions de la liberté, défiant des forces idéologiques qui nient, non seulement à Israël, mais à tout l’Occident le droit de vivre dans la paix, la dignité et la liberté ».

« Puisque la Jordanie est la Palestine, le gouvernement jordanien doit accueillir tous les réfugiés palestiniens qui veulent s’y installer », a ajouté M. Wilders, selon le texte. Il reprenait ainsi une vieille idée de l’extrême droite et d’une partie de la droite israélienne: le « transfert » de gré ou de force des Palestiniens en Jordanie !
La Jordanie a dénoncé la conférence Tel-Aviv qui « refuse la solution à deux Etats garantissant la création d’un Etat palestinien indépendant (…) et appelle au transfert des Palestiniens en Jordanie ».

« La Jordanie dénonce et refuse ce comportement absurde et prévient qu’il mine les efforts destinés à parvenir à la paix dans la région », a déclaré le vice-Premier ministre et porte-parole du gouvernement jordanie, Ayman Safadi, dans des propos rapportés par l’agence de presse jordanienne Petra.
Amman a « protesté » contre cette conférence « dans une lettre au gouvernement israélien dans laquelle il demande à Israël de condamner les positions exprimées par la conférence et proclamer qu’elles sont en contradiction avec la position officielle israélienne », a-t-il dit…

Par ailleurs, une délégation de parlementaires européens d’extrême droite et de la droite nationaliste, dont Heinz-Christian Strache, chef du parti d’extrême droite autrichien FPOe, effectuaient lundi une tournée dans les colonies de Cisjordanie, a annoncé un porte-parole des colons.

Belle démocratie qu’est l’état d’israël vous trouvez pas?

Et ce n’est pas tout !

Des connections plus que douteuses avec des islamophobes partout en Europe comme L’Ordre indépendant du B’nai B’rith (בני ברית) (de l’hébreu : « Les fils de l’Alliance »)  a la réunion du 18 décembre entre islamophobes de Résistance Républicaine et Riposte Laïque : associations en lien avec la maçonnerie . En réalité, il s’ agit des mêmes personnes.

Sont aussi connectés à ce réseaux Bivouac-ID, Coranix,tribune de Genève, Point de Bascule,Bloc identitaire, Drzz, dont la publicité figure même sur le site internet Juif.org et qui vient de se voir récompensé pour être l’ un des meilleurs blogs non-juif défendant Israël…Et bien d’autres…

Rebelles.info même chose : Rioufol, Millière, Zemmour, Del Valle… également en lien avec le Lion Ardent que l’ on ne présente plus (MPF, LDJ, Bétar…)

La ligue du droit des femmes est une organisation féministe créée par Simone de Beauvoir (pas franchement nationaliste) et dont l’ ancêtre est le MLF…

Vanneste de l’ UMP sera également présent.

Voici leur vidéo de propagande :

Alors toujours sceptique à propos de l’islamophobie stimulée, orientée, dirigée et financée en France ?
Est ce que les autorités veulent que cela se termine dans un bain de sang un jour ?

Car c’est exactement le projet des sionistes cela ne fait aucun doute.

L’équipe Forsane Alizza


http://www.forsane-alizza.com/islamophobie/nazi-accueilli-au-parlement-israelien-rdv-islamophobes-a-paris-5332


Details of Israel's plan to destroy the USA and Europe and take new worldwide leadership


GORDON DUFF: IN MOTION: THE PLOT TO DESTROY THE UNITED STATES 

By Gordon Duff,
www.veteranstoday.com


SEE IT COMING AND STOP IT, EVEN IF IT COSTS YOU EVERYTHING

“The 2010 election had one purpose, war with Iran, even if the risk is world conflict and the real loser, no matter what happens on the battlefield is the United States.”

Plans are in motion for a “false flag” attack on America. Iran will be blamed, everyone knows that and Iran will be totally innocent. This is the last thing Iran would ever want. The most likely scenario is a nuclear attack. Two bombs are missing, bombs built by Israel in South Africa and lost long ago. These were supposedly Saddam’s bombs. Now we are told Iran has them. Israel has had them all along and the fear, they may be inside the United States already.



The Israeli game with these weapons is one of the worst kept secrets in the world and has already cost the deaths of many. It will take nothing short of the detonation of one of this Hiroshima sized Israeli nukes to push America into Israel’s war with Iran, much as hunting for these nukes which Israel informed President Bush were in Iraq, led “the decider” to making one of the many blunders of his career. Our next 9/11 will be nuclear.

The purpose will be to push America into a 20 year war that will destroy Iran and Pakistan, take oil to over $300 per barrel and collapse the dollar and Euro. Iran isn’t Iraq of 2003, toothless and starving. This will be America’s last military adventure, and the end of America’s place in the world as we know it. We know the details of the proposed military campaign and the military and political leaders who support it are the worst imaginable incompetents and traitors.

Invading Iran is an impossible task for America. Other than there be no reason whatsoever to engage in such folly, something that, of recent years, seems to concern fewer and fewer Americans. Turn on the TV, if the “rodeo clown” says “wipe ‘em out” then we do it.

Invading Iran is an impossibility for America. Going to the moon was easier. No matter how senseless, how impossible, the decision has been made, more in Tel Aviv than Washington, for sure, but one that will be obeyed.

There are only two scenarios that can fulfill the nightmare Israel and her shiny new congress have in store with us. One is a preemptive nuclear attack on Iran and the other full scale total war with up to 500,000 Americans being drafted into the military.

FAILURE OF THE “VOLUNTEER ARMY”…..AS ISRAEL SEES IT

Forcing America to return to a draft and begin a major war, one America can never really win as with Iraq and Afghanistan and, let us not forget Vietnam, is something absolutely vital to hang around the neck of a Democrat, especially one of African American ancestry.

Anyone who doesn’t think the real heart of American politics has always been racism is a liar. Family values means “white” family values. African Americans know shame at the relief they have felt seeing Muslims targeted for persecution. Every political position in today’s America is derived from institutionalized racism, be it immigration, health care or “constitution.”

When a return to the “constitution” is brought up, by people who wouldn’t know the document from a Croatian take-out menu, the reality is always race, fear, hate and envy, the glue that holds American society prisoner. Decades ago, and even more recently during our last presidential election, African Americans were represented as animals, “goyim” to the Jews. Now we play “Kill the camel jockey.” Is this why the Christianized army we sent to Afghanistan murders innocent civilians for sport?

An America in total economic collapse will require another “decider” and more “Patriot Acts,” even more totalitarian and vicious than the last, that and an end to the even farcical elections that are now inundated with drug money and cash from US based foreign corporations.

This is the plan and a criminal gang in America, some in government and the military but more behind the scenes, “banksters” and media moguls, many with ties to Israel, are working feverishly to bring it about. However clever the planners may think they are, their mechanations can be tracked through the media, the army of “Wolf Blitzers” that “work” the American people with the subtlety of carny shills.

WHY DO THEY HATE US SO MUCH?

Why would anyone want to destroy America, kill millions, leave the nation that has been there to save the world over and over a virtual wasteland? If you think America’s castrated government or the military, now relegated to acting as virtual mercenaries for drug lords, oil cartels and bizarre Zionist plots, have the will or ability to stop what has already begun, you have not been paying attention for some time. While the “circus of deception” went on, the utterly phony “war on terror,” imaginary enemies, the 9/11 disaster, orchestrated by Israel and its puppets,

Israel has decided that America is going to war with Iran. The new congress, the one Israel openly boasts is under their total control, will make it happen, it was why they were put there. The upcoming war will leave the United States crippled, castrated, a “third world” nuclear power like the old Soviet Union. The plot isn’t against Iran and Pakistan, that’s just an excuse. The real enemy is what is left of a free and democratic America.

The real goal is to end America’s leadership role in the world.

Israel has plans for Russia, China and India, especially India, to rule the world with them pulling the strings. America had been their “milk cow” for some time, now that cow is going to slaughter.


HOW IT BEGINS

This is how it is going to play out. The news media has gotten their orders, Wikileaks is part of it. From now on, key members of congress will, on cue, begin harping about the threat of Iran. Governments in the Middle East that are under the total control of Israel and the American military will aid in every way possible. Thus far, of all the Islamic nations in the world, only Syria and Afghanistan are not taking orders from Tel Aviv.

The next step will be to replace key military staff as was done prior to 9/11, with “Israel friendly” third stringers, “dominionists” and “Israeli firsters” who place “end times” religious mythology over the welfare, safety and sovereignty of the United States. This group has been infiltrating the American military for years and has gained control of every service but the Marine Corps, starting with the United States Air Force.

The military pundits, with their laundered payoffs and free trips to Israel and the dozens of propaganda websites have already begun. If you have a computer, you can check this easily. Simply go into your email, it will be filled with warnings of Iran and nuclear terrorism. An Israeli teenager paid dearly to bring you that message, spending a difficult night in a hotel with one of our political or military “pro-Zionists.”

Our newly elected “Tea Party’ gang will be visiting Israel soon, watch and see, there is a “Monica Lewinsky” in their future. This is how it works, how it has worked for a long time and why we have sunk so low.

Anyone who talks about “liberal” media is part of it. A cursory check of who owns the media, “liberal” or any other media is easy. Israel owns our media, all of it. The stories will start with tales of Iran controlling the Shiite government of Iraq. Then you will hear of them controlling Karzai’s government in Afghanistan.

STEP ONE

Then the stories will start, Iran has to be tied to terrorist attacks on American troops. Watch for this. Americans will start dying and Iran will be blamed. Wikileaks started this with their fanciful stories about Iranians training Iraq in making explosives. A few years ago, we invaded Iraq because we believed they were building nuclear weapons, or so we were misinformed, now they can’t build pipe bombs without Iranian help? Wikileaks is a clear demonstration at how childish, how outlandish the lies are going to be. Wikileaks is prestaging terror attacks on Americans as much as if they made the bombs themselves, no question about that.

Every media outlet that, under specific directions, carries the “party line” on Wikileaks and the rest of it, no matter how absurd, carries these fabrications without question or embarrassment, should be considered a terrorist organization and their employees enemy combatants.

It will be Israel doing the killing just as with 9/11 and the USS Liberty and, frankly, so many other times Americans have died, like the Marines killed in Beirut, an attack Israel admitted knowing of in advance. More and more, we are finding everything was “known” in advance, “known” because those who knew planned it.

Getting the scene set, all the assets in place, buying or blackmailing congress, keeping the president surrounded by Israeli advisors as he is today, silencing voices of reason in the military, all this is going on right now.

Years have been spent branding Iran and Pakistan as dangerous, the press continually ignoring reports that Iran has no nuclear program or endlessly repeating outrageous rumors that Pakistan’s nuclear weapons are almost in the hands approaching “Taliban” forces. With Karzai’s government Afghanistan openly negotiating with the Taliban after American forces, 9 years of fighting, have only managed to secure 3% of the country, building a case for war tied to Iranian “interference” in that conflict is going to be unmarketable.

This leaves Pakistan. Drone attacks in Pakistan have brought about considerable destabilization and an increase in terrorism in Pakistan. They have, as seemingly planned, worked to harm American interests in the region while attempting to bring about the dissolution of Pakistan. Continual reports of American contractors in Pakistan, working for the CIA and State Department, aiding terrorists, go unreported in the American media. Even when caught with weapons and explosives inside Pakistan, such reports are suppressed.

Increasingly, evidence is showing that the Mumbai attack, the massive terror assault on India blamed on Pakistan, was orchestrated by one of these American groups.

THE MONEY ISN’T THERE, AND WE KNOW IT

However, considering the financial collapse engineered though Bush era deregulation frauds combined with unstable tax policies and massive increase in government spending, combined with cost of two failed wars, America’s options are limited. There is simply no revenue to pay the current military without rollbacks or sustain moderate capabilities and readiness. America is too broke, not just to fight a new war but to continue the two that are going or even maintain a fully peacetime force at near current levels.

In fact, our military expenditures need to be cut by 30% or more, as studies being reviewed by the Department of Defense and congress are showing. We have the choice of cutting back now or dealing with consequences later, including, not only cuts in military and veterans health care but substantial cuts in pensions and disability compensation as well.

Another war, and there is no question that another war is planned, will push American debt to $20 trillion or more, half being military expenditures, always a combination of pork, payoffs and “misplaced” weaponry and the rest looted from the economy by the planned massive manipulation of oil prices made possible by the shutoff of world petroleum supplies.

“IRAN WILL SHUT DOWN HORMUZ AND WORLD OIL IN ONE HOUR”

In March, 2010, a Chinese built missile factory opened in Iran. The plant builds a variety of missiles, primarily anti-ship, with ranges from 100 to 300 miles or more. These are advanced weapons that can be launched from hardened facilities along Iran’s rugged coastline, from aircraft, both fixed and rotary, from patrol boats, from nearly anything. One of these missiles can sink a frigate, perhaps even a destroyer. Several can disable an aircraft carrier. Approaching Iran from sea is impossible.

Iran controls Hormuz, not just with missiles but patrol boats as well, and not just from their own shore but from the islands in the gulf, some of which were seized 30 years ago and are still held.

The government of the United Arab Emirates has discussed, from time to time, a canal bypassing the strait, through to Oman and into the Persian Gulf. However, the cost would be outrageous as a ridge of hills would have to be crossed, something difficult to manage with a lock system capable of handing the largest ships in the world, oil supertankers.

The missiles, the torpedo boats and the almost impossible network of islands and swamps along the coast would make suppressing Iran’s capabilities impossible. The strait would close, oil would stop, Iraq, Iran certainly, Kuwait and Saudi Arabia. In days, currencies would collapse, stock markets shut down, gas lines would form and gas rationing would be required around the world. All western economies would disappear overnight.

WHY PAKISTAN HAS TO FALL
There is simply no way into Iran by land. We can barely keep American troops in Afghanistan supplied with many routes being hundreds of miles long, narrow roads from the Port of Karachi in Pakistan. Recently we found how easily this supply line could be cut off. Agreements with Iran, not to mention religious affiliations between Shiites in Iraq, the majority there and the Shiite based government in Iran, make an approach through Iraq impossible.

We could also consider that our existing forces in Iraq and the entire Persian Gulf could be cut off by Iran with no resupply by sea possible for, not only Iraq but Qatar, Bahrain, Kuwait and Iraq. These nations and the US forces there would be immediately isolated. The only way in to Iran, restricted because of the topography, is through the province of Baluchistan, a remote area of Pakistan that borders Iran.

                    BALOCHISTAN                    

This isolated region has become the staging area for attacks against Iran, supposedly by Jundallah “rebels” but actually orchestrated by the Mossad and CIA. There are two independence movements wanting to break Baluchistan from Pakistan. One of the leaders I met in Islamabad while he was recovering from gunshot wounds. The other lives in Israel, surprise-surprise.

Because of the topography of Iran, the only way to approach Tehran is over more than a thousand miles of valleys. They can only be approached through Pakistan and there is only one port that serves that region. The only way to resupply other than through this small Chinese built port, Gwadar, is to truck into Kandahar, hundreds of miles, then back down into Pakistan, following the 500,000 man army into Iran in something closely akin to Napoleon’s ill fated invasion of Russia, but even worse if that is possible.

The military analogies are inescapable, Dien Bien Phu and Stalingrad are two that come to mind. Though the government of Pakistan lacks strong civilian leadership and is largely dependent on US aid, the use of Pakistan’s territory for another aggressive war in the Middle East that will perceived by almost all the world’s population, not just Muslims, as a sign of Israel’s control of the United States and its ability to get America to commit any crime, will not be acceptable to the people of Pakistan. It is also highly unlikely that even Karzai’s government in Afghanistan would abide such an action.

Thus, America could become beset, not just from Pakistan but by its own allies in Afghanistan and, quite possibly, the newly trained and surprisingly effective army in Iraq as well.

America would become a rogue state, even if purporting to respond to a devastating terrorist attack. In the aftermath of 9/11, America lacks any credibility. The second a disaster strikes inside America, the world will immediately assume the worst, Israel has deemed such an act necessary to push America to war. No rational person could assume otherwise.

MISSION IMPOSSIBLE

In order to stabilize the situation with our allies, those likely to become enemies, it will likely necessitate the decapitation of several regimes, Afghanistan, Iraq and Pakistan initially. Others will quickly fall into line though some will be directly under the control of Iran, Kuwait, Saudi Arabia and the UAE, in particular. They will become indefensible except through massive airlift, resources that will be needed elsewhere. Half the troops needed to secure America’s lines of supply left military service after multiple deployments in Afghanistan and Iraq for nearly a decade. Many are sick, some are homeless and hundreds of thousands are simply “fed up.”

This leaves the new citizen army, the one America had to turn to because of a “9/11 – Pearl Harbor” disaster fewer and fewer believe the cover story on as days go by. Even in America, despite what Israeli Prime Minister Netanyahu thinks, you can only fool people so many times. The most glaring example of the lack of foresight some of our “War College” grads have can be seen in the Gwadar Port facilities, the only place American can use for supplies for the most difficult invasion in history, with, perhaps, the exception of Okinawa.

ECONOMIC BELT TIGHTENING AT HOME

The 2010 election paid for a war, there is no question of that. Many of the puppets in America’s government had to be replaced as there was fear some of them might object to something as obscene as what is in the planning. Lies, fear mongering and childish rhetoric had never reached the levels seen in 2010. Never had a nation, since Germany in 1932, gone over to the “darkside” as clearly as America has done, a rejection of decency and common sense.

When the bill becomes due, and it most certainly will, that “smaller government” so many thought they would get will most certainly come true. What won’t happen is a return to constitutional rule, that will be gone forever. Habeas Corpus won’t be missed so much in a country where those without the cash to buy their way out of military service, yes, that great American tradition, will be one step ahead of the press gangs working to keep the military training camps filled to capacity. America may, quite likely, have bitten off a bit too much, a world war, and this time, no allies, none, not a chance.

LESS GOVERNMENT, THE DREAM OF AMERICA’S “RIGHT”
NEOCONS/LIBS (BOTH LEFT AND RIGHT)
SOCIAL SECURITY: Plans for less government have always been around, we have seen attempts to put these plans in place many times, starting with attempts to have Social Security declared unconstitutional back in the 1930s. This will be first to go, Social Security. Getting rid of Social Security has long been a dream of the GOP, either through outlawing it as “Socialism,” or “borrowing” the trust fund to cover war expenses or, more recently “privatization.” Now, none of those will be needed. The money will simply disappear overnight, not to pay war expenses, not hardly. It will be split up and stashed in Swiss bank accounts the same place the “bail out” money went, the same place every 401k in America went, the same place the assets of our largest banks went.

MEDICARE/MEDIAID: They will be the next to go. States will be asked to pay fund this themselves. There won’t be any more questions about illegal aliens using our medical care, there won’t be any, not for them, not for the poor or not for the senior citizens who paid into medicare all their lives. Just because it was paid for doesn’t mean the government can’t simply break its promise, there are loyalties more powerful and more important that our government has than to the people. 9/11 proved that to any rational person.

TAX INCREASES: The time for borrowing, counterfeit money, the “Federal Reserve System” and selling T -Bills will be over. China and Iran are close. China will be finished with us, India too and no more Arab money. The dollar, the instrument we use to buy oil, fertilizer, metals and so many other things, will be worthless. We are going to have to invent a new form of monopoly money or go on the barter system. The dollar, as a world currency, will disappear.

SCHOOLS SHUT DOWN: One good thing, schools will shut down. Thus, America’s inferior education system will no longer do the damage it once did. Along with that, mothers will be home to take care of children, a “blast from the past.” The downside, of course, the mothers will have lost their jobs, the homes will be unheated, some with no electricity, more with no water, all eventually repossessed and, unless the government starts giving out food as it had in the past, we will see starvation. The money that financed Food Stamps will be long gone.

MILITARY AND VETERANS PENSIONS HALVED:   Long seen as “freeloaders,” veterans and military retirees will be cut off. Pensions once seen as a “promise” have long been referred to as “entitlements.” Any entitlement can be “unentitled” and these will.  (VN:  then don't fight for them anymore,  let the mercenaries go in the millions to lose their limbs and be permanently maimed)

MILITARY PAY CUT: Troops in Vietnam were paid $30 dollars a week. We are going to see that again.

THIS IS THE INEXORABLE FUTURE, BOUGHT AND PAID FOR

The draft, worthless money, gas lines, martial law, metal detectors in supermarkets, cameras everywhere, everything filmed, recorded, everyone every day, biometrics, face recognition, these things will be part of our lives from now on. These are the plans and putting this machinery in place, much of it “designed” in Israel, is what Americans voted for, this and the invasion of Iran, part of a war where only Americans will fight and die.

No one cares about Iran. No knowledgeable person ever thought they had nuclear weapons or wanted them. It was never about them. They were never a target, they were never a threat. The threat, the target, was always the United States. We were the danger, a free people.

Free people can’t be trusted, can’t be managed.   The plans are in place to bring that to an end. How many Americans will continue to be a part of it?

http://www.veteranstoday.com/2010/11/11/gordon-duff-in-motion-the-plot-to-destroy-the-united-states/

Islamic Emirate Of Afghanistan: Military Operations, update 02 December 2010




Zilhajj 24, 1431 A.H, Wednesday, December 01, 2010

Mujahideen operations against the enemies of Islam terrorists in Afghanistan are reported to Theunjustmedia.com by the official Islamic Emirate of Afghanistan spokesmen Qari Muhammad Yousuf Ahmadi and Zabihullah Mujahid by e-mails.

In the Name of Allah, the Most Beneficent, the Most Merciful.

All Praise and thanks are due to Allah, the Lord of all that exists and may peace and prayers be upon the Messenger of Allah, his family, companions in entirety.
17 US invaders killed while on raid operation against civilians Dec. 01 – As many as 11 invading Americans were reported to have been killed with 6 more terribly wounded in a clash with Mujahideen occurred when the US invading force intended to invade the homes of the innocent non-combatant civilians Yaqoobi, Khost last night (Dec. 01) after about 12:00 am. According to the report from Kost province, five of the martyrdom-seeking Mujahideen of the Islamic Emirate Afghanistan armed with explosives and weapons, in an attempt to foil the US invading forces’ raid, had previously rented a nearby compound in the are and put up a strong resistance as soon as the US invaders tried to plot invasion of the civilian houses, and  all five brave Mujahids have became martyrs in the massive airstrkes from the enemy helicopters after fighting a deadly battle against the US invaders and killing and wounding scores of American terrorist on the spot. Reported by Zabihullah Mujahid

Hawza (district) commander along with five killed in Paktia Dec. 01 – In Gardez, the capital of Paktiya province, Mujahideen got the vehicle of the Hawza (district) commander blown off with IED, killing the puppet commander along with soldiers and  wounded another two on tonight at about 8:00 pm, local time, according the report. Reported by Zabihullah Mujahid

Mujahideen attack destroys on NATO supply convoy destroys 3 vehicles, kills 2 Dec. 01 – Mujahideen of the Islamic Emirate in Qarghayee, Laghman province attacked the NATO supply convoy along Kabul-Jalalabad highway Wednesday destroying two oil tankers and one military vehicles besides killing 2 security guards. Reported by Zabihullah Mujahid

PRT building attacked in Laghman Dec. 01 – Mujahideen officials say the attack on the NATO invaders’ PRT building located in Alishang, Laghman caused the invaders fatal losses and severe damages Wednesday (Nov. 01), adding it is unclear how many were killed. Reported by Zabihullah Mujahid

Landmine blast in Nangarhar kills 2 minions, wounds 3 Dec. 01 -  At least five puppets were killed or wounded as a result of blast detonated at their military vehicle Wednesday at around 10:00 am in the province’s Bati Kot district, the report said. Reported by Zabihullah Mujahid

5 puppets killed or wounded when IED hits enemy vehicle Dec. 01 – Mujahideen of the Islamic Emirate in the province’ Sayed Karam district got the enemy ranger vehicle blown apart using IED which left 3 minions dead as well as severely wounding another 2 on Wednesday morning at about 8:00 am local time. Reported by Zabihullah Mujahid

Attack on Giro district in Ghazni causes heavy losses on enemy Dec. 01 – Mujahideen attacked the district center of Giro district of Ghazni whit heavy and small arms, inflicting heavy losses on the enemy without knowing how many were killed or wounded, according to the report from the area. Reported by Zabihullah Mujahid

District in Kapisa province comes under Mujahideen attack Dec. 01 – In the late night hours of Wednesday, Dec. 01, at about 1:00 am, Mujahideen of the Islamic Emirate killed launched an attack on the Bulghin district center of Kapisa province, storming the district headquarter with rocket-propelled grenades, missiles and heavy and small automatic machine guns, Mujahideen officials said, adding it is not quite clear how many enemy soldiers were killed and wounded. Reported by Zabihullah Mujahid

Huge explosion in Logar eliminates US heavy armored tank, 5 killed American invaders Dec. 01 – Mujahideen of the Islamic Emirate had one of the terrorist invaders’ armored tank blown apart in Charkh district of Logar province last night at approximately 1:00 am. Three US invaders were reported killed in addition to another two being badly wounded in Mujahideen IED blast. Reported by Zabihullah Mujahid

3 US invading terrorists killed, 1 wounded as enemy tank annihilated by IED Dec. 01 – Some 3 invading American soldiers were killed and another one seriously wounded in Yahiya Khyl district of Paktika when a roadside bomb planted by Mujahideen hit and destroyed the enemy military tank on Tuesday at around 9:00 am, local time, according to Mujahideen report from the area. Reported by Zabihullah Mujahid

American tank obliterated in Khan-e Sheen Dec. 01 – A US invaders tank was obliterated by an IED at 10:00 am this morning while coming out of its base in Khan-e-Sheen district’s Diwalak area. All terrorists onboard were killed and wounded. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

Invaders tank destroyed in Sangin, 2 killed Dec. 01 – At least 2 American terrorists were killed and 2 wounded at 11:00 am when they stepped on an IED in Sangin district’s Gharhgi area located in Sarwan Kala. A few moments later a tank was destroyed, killing and wounding all onboard by a roadside bomb when the invaders convoy came to take away the dead and wounded from the previous blast. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

Tank destroyed in Zhiri, fighting reported Dec. 01 – Reports from Zhiri district say that heavy fighting and explosions took place in Pashmool and Sang-e-Sar areas through much of yesterday.

Mujahideen say that an IED ripped through US invaders tank, killing and wounding all onboard in Sang-e-Sar area in the afternoon hours yesterday. The wreckage of the tank is still lying at the scene.

Mujahideen add that heavy fighting also took place in Pashmool area nearly all day but the number of killed and wounded invaders is not known although 1 Mujahid was injured in the fighting. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

4 invaders killed and wounded in Marjah firefight Dec. 01 – At least 2 American terrorists were killed and 2 wounded when Mujahideen attacked their foot patrol at 02:00 pm this afternoon in Marjah’s Haji Khandad Aka Block area. 2 Mujahideen were also injured in the hour long fighting. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

2 American tanks obliterated in Helmand Nov. 30 – A US tank was destroyed by an IED at 03:00 pm in Khane-Sheen’s Diwalak area. Mujahideen say that half an hour later, another tank was obliterated similarly in the mentioned area. All invaders onboard were killed and wounded but their exact numbers are not known. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

IED’s annihilate 2 US tanks Nov. 30 – Reports from Sangin district say that a US invaders tank was annihilated by an IED in Charkhakyano Manda area while on a patrol at 09:00 am and the second one was destroyed similarly in the mentioned area at 01:00 pm. All terrorists involved in the blasts were killed and wounded. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

5 invaders killed and wounded in Marjah firefight Nov. 30 – At least 2 American terrorists were killed and 3 wounded when Mujahideen attacked their foot patrol at 10:00 am in Marjah’s Loe Yazda area. 1 Mujahid was also injured in the 2-hour firefight. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

Sangin blast claims 3 invaders lives Nov. 30 – At 08:00 am this morning, some 3 American terrorists were killed and another 3 seriously wounded when an IED detonated on their foot patrol in Sangin district’s Sri Gari area located in Sarwan Kala. It is worth mentioning that the barbaric invaders have been conducting a huge operation for the past couple of days in Sarwan Kala, where they have been demolishing civilians homes, trees, fields and water supplies so their tanks can make headway. Reported by Qari Muhammad Yousuf Ahmadi

These operations were part of the new Al-Fath (victory) Operation, which was declared on May 10th, 2010, by The Council of Leadership of the Islamic Emirate of Afghanistan.

O Allah, make them and their weaponry a booty for the Mujahideen

O Allah, you are our support and you are our only Victor; by your order we attack; by your order we retreat and by your order we fight

O Allah, the sky is yours; the earth is yours; the sea is yours, so whatever forces they have in the sky, drop them. Destroy all their forces in earth and sink all their forces in sea

O Allah, deal with them for verily they can never disable you

O Allah, retaliate upon them, afflict them like you did to Pharaoh and his nation

O Allah afflict their country with floods, make them in need of money and food and persons

O Allah defeat them, destroy them O the All-Strong, the All-Mighty

Allahu Akbar

"Honor, Power and Glory belong to Allah, His Messenger and the believers, but the hypocrites know not"

U.S. And NATO Allies Escalate Military Buildup Against Iran


Rick Rozoff,
http://rickrozoff.wordpress.com/

The new Strategic Concept adopted by the North Atlantic Treaty Organization at its summit in Lisbon, Portugal on November 19-20 reiterated the U.S.-led military bloc’s determination to expand military partnerships and deployments throughout the so-called Greater Middle East, including in the Persian Gulf. [1]
The Alliance’s doctrine for the next decade contains the assertion that “we attach great importance to peace and stability in the Gulf region, and we intend to strengthen our cooperation in the Istanbul Cooperation Initiative,” [2] the reference being to the decision reached at the bloc’s 2004 summit in Turkey to upgrade partnerships with the seven members of NATO’s Mediterranean Dialogue program – Algeria, Egypt, Israel, Jordan, Mauritania, Morocco and Tunisia – and the six members of the Gulf Cooperation Council – Bahrain, Kuwait, Oman, Qatar, Saudi Arabia and the United Arab Emirates – to the status of the Partnership for Peace program used to graduate 12 Eastern European nations to full NATO membership over the last 11 years. 


Bahrain, Kuwait, Qatar and the United Arab Emirates have formally responded to the initiative by forging bilateral relations with NATO, and Oman and Saudi Arabia have cooperated with the military alliance in ad hoc endeavors ranging from conferences to hosting visits of NATO naval groups. [3]

The United Arab Emirates (UAE) is also one of NATO’s 48 Troop Contributing Nations for the war in Afghanistan and provides air bases to NATO member states for the war in that country. Until recently Canadian aircraft and troops operated out of Camp Mirage in Dubai, reportedly at the Al Minhad Air Base, where Dutch, Australian and New Zealand military forces have also been based for the Afghan war and operations in the Arabian Sea. 

Britain also employs the Al Minhad Air Base as a “final hopping point” for transport planes to “carry troops and supplies to Afghanistan.” In addition, the base supplies logistical support to British warships in the Persian Gulf. In the words of a British military official, “It’s the right distance from the UK and the right distance from Afghanistan, in a safe country.” [4]

As is evident by the location of the 13 nations targeted by the Istanbul Cooperation Initiative, from Mauritania on the west coast of Africa to the monarchies and sheikdoms of the Persian Gulf, NATO is complementing and reinforcing U.S. military objectives and deployments from the Atlantic Ocean to the Indian Ocean. There is a NATO overlay to the Pentagon’s Africa Command and Central Command, converging in Egypt, the only African nation still in the second command which reaches to the Chinese and Russian borders in Kazakhstan to the east.

The USS Abraham Lincoln and USS Harry S. Truman nuclear-powered supercarrier strike groups are currently in the Arabian Sea along with the only non-American nuclear aircraft carrier in the world, France’s Charles de Gaulle [5], conducting operations from the Horn of Africa to Afghanistan.

Over 150,000 troops under U.S. and NATO command are waging war in Afghanistan, including in the provinces of Herat, Farah and Nimroz on Iran’s eastern border.
In 2004 NATO airlifted Afghan government troops loyal to President Hamid Karzai to Herat province to depose the province’s governor, Ismail Khan, whose son was killed in the process, and seize the Shindand Air Base, 20 miles from the Iranian border. 

Earlier this year the Pentagon announced plans to spend $131 million to upgrade the air base. As a press report last May put it, the expansion and modernization of the base is occurring “as the U.S. works to strengthen the militaries and missile defenses of allies in the region and presses at the United Nations for a new round of sanctions aimed at forcing Iran to curb its nuclear program.” [6]

To the south of Afghanistan’s Nimroz province is the Pakistani province of Balochistan, where the U.S. and NATO have been conducting helicopter raids and surveillance flights and where it was recently reported that “the United States military and its coalition partners in Afghanistan” have been granted the right to “maintain a presence” at a Pakistani military base in the capital of Quetta. [7] By some accounts the Pentagon and NATO are establishing an air base in the province. [8]

North of Afghanistan’s border with Iran is the former Soviet republic of Turkmenistan, which adjoins Iran from Afghanistan to the Caspian Sea. In January of 2009 General David Petraeus, at the time head of U.S. Central Command and now commander of all American and NATO troops in Afghanistan, led a delegation to Turkmenistan to consolidate transit and other support for the war in Afghanistan and to build bilateral military ties.

Last summer a news source by no means unfriendly to U.S. foreign policy objectives revealed that “The U.S. has gained access to use almost all the military airfields of Turkmenistan, including the airport in Nebit-Dag near the Iranian border, which was reconstructed at American expense. In September 2004, at the Mary-2 airfield, U.S. military experts appeared and began reconstructing the facility with the help of Arab construction companies, which provoked the protest of Moscow….” [9]

North of Turkmenistan along the Caspian coastline, one nation removed from Iran, is Kazakhstan, the largest and richest nation in Central Asia and one which has a 4,251-mile border with Russia and a 951-mile one with China. [10]

Last month the U.S. State Department signed an agreement with the country that allows U.S. military aircraft “to fly across the North Pole and through Kazakhstan air space to supply American forces in Afghanistan,” thereby “mak[ing] it faster and cheaper to send troops and materiel to the Afghan war zone.” [11]
The U.S. has also recently confirmed that it will supply Kazakhstan with six retrofitted UH-1 Iroquois (Huey) helicopters to be used in the Caspian Sea where border demarcation issues exist among its five littoral nations: Kazakhstan, Iran, Russia, Azerbaijan and Turkmenistan.

In late October Kazakh President Nursultan Nazarbayev met with NATO Secretary General Anders Fogh Rasmussen and afterward announced that Kazakh troops would be assigned to NATO’s International Security Assistance Force headquarters in the Afghan capital. Kazakhstan and Azerbaijan, on opposite ends of the Caspian Sea, along with Azerbaijan’s South Caucasus neighbors Armenia and Georgia, are the only non-European nations that have been granted a NATO Individual Partnership Action Plan.

Secretary of State Hillary Clinton recently returned from visits to Kazakhstan, where she attended the Organization for Security and Co-operation in Europe (OSCE) summit in the nation’s capital and met with President Nazarbayev and Foreign Minister Saudabayev to discuss “various aspects of the U.S.-Kazakhstan strategic partnership,” [12] and afterward to Kyrgyzstan, Uzbekistan and Bahrain.

On December 2 Hillary met with Kyrgyz President Roza Otunbayeva [13] and indicated that the Pentagon has no intention of leaving the Transit Center at Manas (formerly the Manas Air Base) in Kyrgyzstan where the latest figures estimate that 50,000 U.S. and NATO troops transit each month into and out of Afghanistan. According to a Reuters dispatch, “Clinton said Washington would examine again in 2014 whether it needed the Manas base.” [14] 

On the same day a Kyrgyz website disclosed that Foreign Minister Ruslan Kazakbaev met with Dirk Brengelmann, NATO’s Assistant Secretary General for Political Affairs and Security Policy, to discuss bilateral cooperation.

Clinton next travelled to Uzbekistan on December 2 in the first visit by a Secretary of State to the country since Colin Powell’s nine years ago.

During her trip the local press quoted earlier statements by two of Clinton’s subordinates at a subcommittee hearing of the U.S. House of Representatives Committee on Foreign Affairs on November 17:
Assistant Secretary of State for South and Central Asian Affairs Robert Blake affirmed that “This administration considers Central Asia to be an important pillar of our security policy and regional US interests,” and Deputy Assistant Secretary of Defense for Afghanistan, Pakistan and Central Asia David Sedney said, “We must increase our engagement with Central Asia at all levels.” [15]

Across the Caspian from Kazakhstan, the U.S. and NATO have cultivated Azerbaijan as a military outpost on the sea and in the volatile South Caucasus region. [16] Azerbaijan borders Iran.

The Azerbaijan-NATO Cooperation Institute and the Romanian embassy – the current NATO Contact Point Embassy in Azerbaijan – will host a conference entitled “NATO After the Lisbon Summit: New Strategic Concept” in the capital of Baku on December 7. 

Recently Borut Grgic, founder of the European Policy Centre’s transCaspian Initiative and senior fellow at the Atlantic Council – the U.S.-based pro-NATO think tank [17] – stated:
“NATO has a stabilizing role to play in the region, most of all in providing the broader security framework for the countries of the South Caucasus. 

“I think all three South Caucasus countries can become NATO member states….” [18] All three nations – Azerbaijan, Armenia and Georgia – have NATO Individual Partnership Action Plans and have troop contingents assigned to NATO’s International Security Assistance Force in Afghanistan. Georgia is a U.S. and NATO frontline on the Black Sea and in the Caucasus. The American guided missile destroyer USS Gonzalez visited the Georgian Black Sea port of Batumi last week and on December 3 American ambassador John Bass stated:
“The United States remains firmly committed to Georgia’s sovereignty and territorial integrity. We enjoy a strong defense relationship, defense cooperation, and we’re currently working closely with the Ministry of Defense and other ministries in Georgia to improve Georgia’s ability to defend itself.” [19]

On December 1 the chairman of the Armenian parliament’s Committee on Defense, National Security and Internal Affairs gave a lecture at the NATO Defense College in Rome. On December 3 NATO Deputy Secretary General Claudio Bisogniero met with Armenia’s representative to NATO, Samvel Mkrtchyan, to discuss current and future cooperation. Armenia borders Iran and has maintained good relations with its neighbor. It is also a member of the Russian-led Collective Security Treaty Organization. Ties with Iran and Russia will not grow any closer as Armenia is further integrated with NATO.

After leaving Central Asia, on December 3 Clinton was in Bahrain to deliver a special address at the Manama Dialogue 2010 Regional Security Summit sponsored by the London-based International Institute for Strategic Studies and the Kingdom of Bahrain. 

Her comments included:
“Amongst other things, we seek to strengthen the Gulf security dialogue, which represents our primary security coordination mechanism with the Gulf Cooperation Council countries. The dialogue is designed to bolster the capabilities of GCC partners to deter and defend against conventional and unconventional threats and improve interoperability with the United States and with each other. We all know that efforts to deepen cooperation, coordination and transparency among this region’s militaries would yield broad benefits that extend to the whole range of modern threats.” [20] 

The Gulf Security Dialogue is, in the State Department’s own words, “the U.S. Government’s principal security coordination mechanism with the nations of the Gulf Cooperation Council. The Dialogue supports our enduring interest in the region, focusing on a wide range of political-military issues, including shared strategic challenges in the wider region and enhancing partnerships in the areas of security cooperation, counterterrorism, border security, nonproliferation and maritime security.” [21]

Bahrain lies directly across the Persian Gulf from Iran, hosts the headquarters of the U.S. Fifth Fleet, is an active member of NATO’s Istanbul Cooperation Initiative and has security personnel assigned to NATO’s International Security Assistance Force in Afghanistan.

The United Arab Emirates, the only Persian Gulf state that is an official Troop Contributing Nation for NATO in Afghanistan, has just hosted a two-day Middle East Missile and Air Defense Symposium in Abu Dhabi. On the first day, Deputy Chief of Staff of the United Arab Emirates Armed Forces Major General Ali Mohammed Subaih Al Kaâ’bi said that “an integrated missile defence Center of Excellence along with CENTCOM [U.S. Central Command] is now a reality.”

Central Command chief Marine General James Mattis gave the second keynote address on December 5 and said “CENTCOM is eager to engage in countering ballistic and cruise missiles and providing a robust missile defence….” [22]

The conference’s first plenary session was chaired by Lieutenant General (Retired) Stanley Green, the Vice President of International Business Development, Air and Missile Defense at Lockheed Martin (and formerly with Raytheon Company), and Major General Richard Shook, Mobilization Assistant to Commander of the US Air Forces Central Command, gave a presentation on “Regional Integrated Air and Missile Defense – The Operational Picture.”

Brigadier General David Mann, commander of the 32nd Army Air and Missile Defense Command, delivered a presentation entitled “A Regional Approach to Missile Defense – The Integrated Air and Missile Defense Center (IAMDC).”

The second plenary session heard from – as they are described by the sponsors of the event – Clayton Holt, Middle East Division Chief, Directorate of International Affairs at the Pentagon’s Missile Defense Agency, on the subject of “Ballistic Missile Defense Overview,” from Captain Hervé Boy, chief of the Program Expertise Office at the French Navy Headquarters, on “Maritime Assets and Interoperability in the AMD System,” and from Major General (Retired) John Urias, Deputy Commanding General of the U.S. Army Space and Missile Defense Command (and Raytheon Integrated Defense Systems vice president for Force Applications Programs), on “Integrated Air & Missile Defense – A Theater Imperative.”

The December 6 sessions were addressed by Major General (Retired) John Brooks, Vice President, International Business Development, President, Northrop Grumman International, Inc.; David Des Roches, Director, Gulf and Arabian Peninsula Office of the Assistant Secretary of Defense, International Security Affairs; the Pentagon’s Colonel Ole Knudson; and Colonel Marc Miglior, Project Officer in Charge, Air Defense and Ballistic Missile Defense, French Air Force Headquarters. [23]

Last year French President Nicolas Sarkozy opened a military complex – with a navy base, air base, and training camp – in the United Arab Emirates, his country’s first permanent base in the Persian Gulf. In doing so Paris joined the U.S., Britain, Canada, the Netherlands. Australia and New Zealand in maintaining a military presence in the country.

The U.S. is consolidating a global interceptor missile system not only in all of Europe as was formalized at last month’s NATO summit, but throughout the Black Sea region and into the Middle East. Two years ago the U.S. deployed an anti-missile Forward-Based X-Band Radar with a 2,900-mile range in Israel which it staffs with approximately 120 service members, and will station 24 Standard Missile-3 interceptors in Romania.
The U.S. and NATO have also been pressuring Turkey to host missile shield facilities. According to one report, Prime Minister Recep Tayyip Erdogan “is concerned that Turkey’s participation might later give Israel protection from an Iranian counter-strike.” [24]

Earlier this year Washington announced the sale of land-based interceptor missiles to Bahrain, Kuwait, Qatar and the United Arab Emirates. It has supplied both Patriot Advanced Capability-3 and Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) missile systems to Gulf Cooperation Council states – Patriot missiles to Bahrain, Kuwait, Qatar and Saudi Arabia and a THAAD missile shield system to the United Arab Emirates – and has deployed sea-based Standard Missile-3 interceptors in the Gulf on Aegis class warships. [25] There are currently three Aegis class guided missile destroyers in the Persian Gulf and Arabian Sea: USS Halsey, Momsen and Shoup.

On October 21 the U.S. announced a $60 billion arms deal with Saudi Arabia for advanced fighter jets, helicopters, missiles and other weaponry and equipment in what has been calculated to be the largest weapons deal in American history. The month before, the Financial Times estimated that Washington plans to sell $123 billion worth of arms to Saudi Arabia, Kuwait, Oman and the United Arab Emirates. [26]

Britain recently concluded two weeks of joint military training with the air force and navy of the United Arab Emirates at the Al Dhafra Air Base. The war games, under the codename Operation Air Khanjar, included aerial combat exercises with Royal Air Force [RAF] Typhoon jet fighters and airborne surveillance aircraft and Emirati F-16s and Mirages. 

The two countries’ navies also participated as “training increased in complexity as the operation developed, with more advanced flight manoeuvres and joint exercises with the British HMS Cumberland, which was conducting maritime security operations in the Gulf.”

“The Royal Navy relies on the UAE for ports, and the RAF participates in training alongside Emirati forces at the Air Warfare Centre.”

The Emirates’ Al Minhad Air Base, in addition to accommodating Western military aircraft, “provides logistical support to British vessels deployed in the Gulf for ‘broader regional stability’ and enhanced ties with the UAE.” [27]

NATO has announced that it is prepared to extend its six-year-old NATO Training Mission – Iraq, which has trained over 10,000 military personnel – officers and troops – and internal security forces, beyond 2011. [28]
After the NATO summit in Portugal, an editorial in the Washington Post stated:
“NATO’s Lisbon summit meeting last weekend was encouraging. All of the alliance’s members – and the more than 20 other nations that have joined the international force in Afghanistan – signed on to a plan to continue the mission until at least the end of 2014….

“The Afghan experience….offers the United States the assurance that should it have to undertake wars such as Afghanistan in the future, it will not need to act alone.” [29] 

When a confrontation – or far worse – with Iran occurs, the U.S. and NATO will have military forces in place all around the nation. 

1) Lisbon Summit: NATO Proclaims Itself Global Military Force
Stop NATO, November 22, 2010

http://rickrozoff.wordpress.com/2010/11/22/lisbon-summit-nato-proclaims-itself-global-military-force

2) NATO In Persian Gulf: From Third World War To Istanbul
Stop NATO, February 6, 2009
http://rickrozoff.wordpress.com/2009/08/26/nato-in-persian-gulf-from-third-world-war-to-istanbul
3) NATO’s Role In The Military Encirclement Of Iran
Stop NATO, February 10, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/02/10/natos-role-in-the-military-encirclement-of-iran
4) The National, December 5, 2010
5) Arabian Sea: Center Of West’s 21st Century War
Stop NATO, October 25, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/10/25/arabian-sea-center-of-wests-21st-century-war
6) Bloomberg News, May 20, 2010
7) Asian News International, November 25, 2010
8) Daily Times, November 28, 2010
9) Catherine A. Fitzpatrick, Is the U.S. Violating Turkmenistan’s
Neutrality with the NDN?
EurasiaNet, August 1, 2010
http://www.eurasianet.org/node/61652
10) Kazakhstan: U.S., NATO Seek Military Outpost Between Russia And China
Stop NATO, April 14, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/04/15/kazakhstan-u-s-nato-seek-military-outpost-between-russia-and-china
11) Central Asia Newswire, November 15, 2010
12) RTT News, November 29, 2010
13) Kyrgyzstan: Bloodstained Geopolitical Chessboard
Stop NATO, June 16, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/06/16/1848
14) Reuters, December 2, 2010
15) UzReport, December 3, 2010
16) Pentagon Chief In Azerbaijan: Afghan War Arc Stretches To Caspian And
Caucasus
Stop NATO, June 8, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/06/08/1761/
17) Atlantic Council: Securing The 21st Century For NATO
Stop NATO, April 30, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/05/01/atlantic-council-securing-the-21st-century-for-nato
18) News.Az, November 26, 2010
19) Civil Georgia, December 3, 2010
20) International Institute for Strategic Studies, December 3, 2010
http://www.iiss.org/conferences/the-iiss-regional-security-summit/manama-dialogue-2010/plenary-sessions-and-speeches/special-address/hillary-rodham-clinton
21) U.S. Department of State, March 22, 2010
http://www.state.gov/r/pa/prs/ps/2010/03/138732.htm
22) Khaleej Times, December 5, 2010
23) Institute of Near East and Gulf Military Analysis (INEGMA)
http://www.inegma.com/?navigation=event_details&cat=fe&eid=46
24) Zaman, November 30, 2010
25) Middle East Loses Trillions As U.S. Strikes Record Arms Deals
Stop NATO, September 2, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/09/03/middle-east-loses-trillions-as-u-s-strikes-record-arms-deals
26) Arabian Sea: Center Of West’s 21st Century War
Stop NATO, October 25, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/10/25/arabian-sea-center-of-wests-21st-century-war
27) The National, December 5, 2010
28) Iraq: NATO Assists In Building New Middle East Proxy Army
Stop NATO, August 13, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/08/14/iraq-nato-assists-in-building-new-middle-east-proxy-army
29) Washington Post, November 25, 2010
….
NATO: Afghan War Model For Future 21st Century Operations
Stop NATO, November 19, 2010
http://rickrozoff.wordpress.com/2010/11/19/nato-afghan-war-model-for-future-21st-century-operations

Truth Jihad Radio exclusive: "A person in my family was involved in 9/11"

Kevin Barrett's radio show schedule

Truth Jihad Radio Sat. 12/11/10, 5-7 pm Central, American Freedom Radio (archived here.) Call-in number: (402) 237-2525 or post your questions to my Facebook page.

Why can't Wikileaks, with all its amazing resources, break any 9/11 stories? It's not like it's all that hard. This Saturday, 12/11/10, I'll be breaking two!

Rushing in where Assange fears to tread, I will be interviewing two people who have had to live with the emotionally devastating reality of knowing that people they are/were close to are 9/11 criminals.

My first hour guest, Witness #1, says it flat-out: "A person in my family was involved in 9/11."

My second-hour guest, Witness #2, was shocked and traumatized upon learning of smoking-gun evidence that former colleagues were involved in the controlled demolition of the World Trade Center.

I have met both of these people in person. Both are unusually well-educated (they've done doctoral work) and palpably sincere. Both have been devastated by the knowledge that people they were close to are 9/11-complicit. Both have been hesitant to come forward for various reasons, including concern for their own safety. (I will be discussing matters with one of these witnesses that, not long ago, s/he begged me not to discuss publicly: "You want to get me killed?" As for the other witness, this will be his/her first-ever public statement.)

Those who would prefer that this information not be aired should know that it is already in the hands of several people, and that any action taken against either of my radio guests would only serve to publicize it and underline its veracity. 
http://truthjihadradio.blogspot.com/2010/12/truth-jihad-radio-exclusive-person-in.html

Depuis 30 ans, la Grande Bretagne, les Etats-Unis, la France, l'Allemagne et Israel preparent la guerre sunnite-shiite qui doit permettre a Israel de prendre le controle total de tout le Moyen Orient

La guerre sunnite chiite n’aura pas lieu (Israel disparaitra)

Existe-t-il un axe chiite menaçant la stabilité de l’ouest de l’Asie et de l’Afrique du Nord?
Existe-t-il une animosité arabo-perse ancrée dans l’histoire et sous-tendant les relations internationales dans la région?
Est-elle multiséculaire et est-elle aujourd’hui perçue comme une lutte pour la suprématie régionale?

Si on en croit les commentaires des médiats sur la dernière vague de documents publiés par WikiLeaks, alors tel est le cas. « Israël voit les informations de WikiLeaks sur l’Iran comme une aubaine pour sa propagande, » lit-on sur un titre de Reuters. « Coupez la tête du serpent: comment les dirigeants Arabes exhortent les Etats Unis à attaquer l’Iran », affirme le Daily Mail. « Israël affirme que WikiLeaks montre la ‘cohésion’ sur l’Iran, » proclame l’Agence France Presse (AFP). « Les Etats Arabes stigmatisent l’Iran, » titre le Guardian. Un thème est commun à tous ces gros titres: il existe apparemment un consensus « arabe » ou « sunnite » en faveur d’une guerre contre l’Iran.

Il est très simple de démentir ce mythe selon lequel il existe une fracture chiites-sunnites ou une sorte d’éternel affrontement préparant à une future guerre avec l’Iran. 

A priori, la Syrie « arabe sunnite » a des relations très cordiales avec l’Iran « perse et chiite. ».
De son côté, l’Iran « chiite et perse » est accusé de soutenir le Hamas« arabe et sunnite ».
Apparemment, le Hezbollah « arabe et chiite » est un fidèle allié de l’Iran non arabe mais chiite. »

La Turquie « sunnite » et non arabe est à la pointe des efforts pour une solution diplomatique au dossier nucléaire iranien.

L’Egyptien Hosni Moubarak, un dirigeant laïque, selon les normes en vigueur et à aucun titre « sunnite », accuse l’Iran de soutenir les « Frères Musulmans », une organisation créée plus de 70 ans avant la révolution de 1979 en Iran, par des nationalistes « arabes » et des islamistes « sunnites ».

Sayyid Qotb un des dirigeants des Frères musulmans et référence centrale pour de nombreux mouvements « islamistes » contemporains a été très lu par les Iraniens et ses livres ont été traduits par l’ayatollah Ali Khamenei, l’actuel chef suprême de l’entité à priori « chiite perse » d’Iran. 

Le problème pour les Etats qui veulent la guerre avec l’Iran n’est pas un quelconque renouveau chiite, mais leur propre déficit de légitimité.

Cette situation est aggravée par le fait que la popularité de Hassan Nasrallah surpasse celle des dirigeants actuels de la région, notamment de ceux qui sont perçus comme trop dépendants des Etats Unis ou trop asservis à Israël.

Ce qui n’a rien à voir avec l’alliance de l’Iran avec le Hezbollah, bien entendu, ni avec la philosophie démocratique ou non de Nasrallah; mais avec le fait que Nasrallah est perçu comme quelqu’un qui tient tête à Israël. 

C’est la même raison qui sous-tend la relative popularité des dirigeants Iraniens et du Hamas. Leurs politiques populistes entrent en résonance avec les aspirations de beaucoup de monde dans la région.
Ceci est très bien rendu dans un livre récent d’Elaleh Rostami-Povey intitulé Iran’s Influence (Zed, 2010). Le livre s’appuie sur une recherche de terrain approfondie et toute une série d’entretiens réalisés en Asie occidentale et en Afrique du Nord. Il montre clairement que la popularité des dirigeants politiques de la région est liée à leur opposition à la politique israélienne en Palestine et aux guerres conduites par les Etats Unis en Irak et en Afghanistan. 

En bref, tenir tête à la politique étrangère américaine et à Israël est la manière la plus sûre d’accéder à la popularité politique. 

Un sondage effectué en juin 2010 par Zogby International et l’université du Maryland et couvrant l’Egypte, l’Arabie saoudite, la Jordanie, le Maroc, le Liban et les Emirats Arabes Unis conforte cette observation.
Le sondage révèle un fort soutien au programme nucléaire iranien, chez les Egyptiens tout particulièrement, Il suggère aussi qu’Israël et les Etats Unis sont perçus par respectivement 88 % et 77 % des sondés comme les plus fortes menaces pour la sécurité de leurs pays. A l’inverse, seulement 10 % considèrent l’Iran comme une menace. Ce qui a beaucoup à voir avec la perception de l’Iran comme poursuivant une politique étrangère indépendante et s’en tenant à des principes sur la Palestine, et que plus généralement, ce pays tient tête à l’hégémonie israélienne. 

L’analyse des politiques dans le monde ne doit pas commencer ou s’arrêter avec les proclamations des gouvernements, notamment parce que les « guerres » à grande échelle ne sont plus le monopole des Etats.
Bien plus de personnes ont été tuées en Irak après la fin des combats importants entre armées nationales que pendant la guerre proprement dite. La plupart d’entre elles ont été tuées par des acteurs non étatiques, toute une série d’entreprises privées, d’affiliés à AlQaïda et de milices sectaires. Et plus de personnes ont péri le 11 septembre que dans l’attaque contre Pearl Harbour. En outre, les guerres actuellement en cours en Irak et en Afghanistan ont débordé de leur contexte régional, des bombes ont explosé dans des capitales ailleurs dans le monde. Les Etats ne peuvent plus contenir les guerres [sur le champ de bataille] et il y aura toujours un effet « boomerang». 

Cette nouvelle réalité de la politique internationale implique une nouvelle logique centrale: la prévention de toute nouvelle confrontation militaire doit devenir une question de principe, pas seulement de stratégie.
Nous sommes entrés dans une ère nouvelle où les guerres entre deux pays engendrent facilement de multiples confrontations régionales ou même globales, avec des victimes un peu partout. De sorte qu’aujourd’hui « notre » sécurité est de plus en plus entremêlée à celle des Irakiens, des Afghans, des Palestiniens, des Israéliens, des Coréens et des Iraniens. Leur sort est devenu le nôtre. 

Il est temps que cela se reflète dans la diplomatie internationale. C’est pourquoi il est inutile de déformer et de simplifier à l’excès la complexité des mondes « islamiques » dans des catégories comme chiites, sunnites, Perses ou Arabes.

N’oublions pas que c’étaient Saddam Hussein et le Shah d’Iran qui croyaient aussi à une confrontation atavique entre « Arabes » et « Perses ». L’idéologie officielle du premier reposait sur une haine viscérale de la menace « perse » contre le « monde arabe ». D’un autre côté, le Shah d’Iran s’était auto-intronisé « Lumière des Aryens » et célébrait le patrimoine iranien non musulman (i.e. préislamique) de façon mégalomane.

A coup sûr, leurs idéologies appartiennent à ce vieux « Moyen Orient » dont plus personne ne veut le retour parmi ceux qui s’intéressent à cette région.

06/12/2010
Par Arshin Adib-Moghaddam
Antiwar (USA) 30 novembre 2010

Traduit de l’anglais par Djazaïri
http://mounadil.wordpress.com/

Quand l'OTAN finance les partis politiques occidentaux pro-israeliens avec l'argent de la drogue afghane. Y-a-t-il un financement des partis politiques en France grace aux trafiques de drogue, comme a l'epoque de la 'french connexion' du mossadnik Pasqua ... Les réseaux franco-israelo-pakistanais etant tres liés a la maison Pasqua

L’opium, la CIA et l’administration Karzai
 En Afghanistan, l’OTAN lutte contre les champs de pavot cultivés par les insurgés et protège ceux de ses alliés

par Peter Dale Scott*,

Pour Peter Dale Scott, il ne sert à rien de se lamenter sur le développement de la culture des drogues en Afghanistan et sur l’épidémie d’héroïne en mondiale. Il faut tirer des conclusions des faits établis : les Talibans avaient éradiqué le pavot, l’OTAN en a favorisé la culture ; l’argent des drogues a corrompu le gouvernement Karzai, mais il est surtout aux Etats-Unis où il a corrompu les institutions. La solution n’est donc pas à Kaboul, mais à Washington.


L’important article d’Alfred McCoy paru sur TomDispatch, le 30 mars 2010 [1], aurait dû inciter le Congrès à se mobiliser pour procéder à une véritable réévaluation de l’aventure militaire états-unienne totalement inconsidérée en Afghanistan. La réponse à la question que pose son titre - « Quelqu’un est-il en mesure de pacifier le plus grand narco-État au monde ? - trouve facilement sa réponse dans l’article : c’est un « Non ! » retentissant.... sauf à modifier fondamentalement les objectifs et les stratégies définis, aussi bien à Washington qu’à Kaboul.

McCoy démontre clairement que :

- l’État Afghan de M. Hamid Karzai est un narco-État corrompu, auquel les Afghans sont forcés de payer des pots-de-vin à hauteur de 2,5 milliards de dollars chaque année, soit un quart de l’économie du pays.
- l’économie afghane est une narco-économie : en 2007, l’Afghanistan a produit 8 200 tonnes d’opium, représentant 53 % du PIB et 93 % du trafic d’héroïne mondial.
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Carte de l’Afghanistan montrant les plus grands champs de pavot, et l’intensité du conflit en 2007 et 2008
- Les options militaires pour faire face au problème sont au mieux inefficaces, et au pire contre-productives : McCoy avance que le meilleur espoir réside dans la reconstruction des campagnes afghanes jusqu’à ce que les cultures vivrières deviennent une alternative viable à celle de l’opium, un processus qui pourrait prendre de 10 à 15 ans, voire plus. (J’argumenterai plus tard en faveur d’une solution intermédiaire : que l’International Narcotics Board accorde une licence à l’Afghanistan afin que ce pays puisse vendre son opium légalement).
L’argument de McCoy le plus fort est qu’à son pic de production, la cocaïne colombienne ne représentait qu’environ 3 % de l’économie nationale, et pourtant, les FARC comme les escadrons de la mort de droite, tout deux largement financés par la drogue, continuent à se développer dans ce pays. Éradiquer simplement la drogue, sans disposer au préalable d’un substitut pour l’agriculture afghane, nécessiterait d’imposer d’insupportables pressions à une société rurale déjà ravagée, et dont le seul revenu notable provient de l’opium. Pour s’en convaincre, il suffit de se souvenir de la chute des Talibans en 2001, qui fit suite à une réduction draconienne de la production de drogue en Afghanistan sous l’impulsion de ces mêmes Talibans (de 4 600 tonnes à 185 tonnes), laquelle transforma le pays en une coquille vide.

À première vue, les arguments de McCoy semblent indiscutables, et devraient, dans une société rationnelle, provoquer un débat posé suivi par un changement majeur de la politique militaire états-unienne. McCoy a présenté son étude avec un tact et une diplomatie considérables, afin de faciliter un tel résultat.

La responsabilité historique de la CIA dans le trafic de drogue mondial

Malheureusement de nombreux facteurs font qu’une issue positive de ce type a peu de chances de voir le jour dans l’immédiat. Il existe de nombreuses raisons pour cela, parmi lesquelles des réalités désagréables que McCoy a soit oublié, soit minimisé dans son essai – par ailleurs brillant – et qui doivent être abordées si nous souhaitons vraiment mettre en place des stratégies sensées en Afghanistan.

La première réalité est que l’implication grandissante de la CIA, et sa responsabilité dans le trafic de drogue mondial est un sujet tabou dans les cercles politiques, les campagnes électorales, et les médias de masse. Ceux qui ont cherché à briser ce tabou, comme le journaliste Gary Webb, ont souvent vu leurs carrières détruites.

Alors qu’Alfred McCoy s’est impliqué plus que quiconque pour faire prendre connaissance au public de la responsabilité de la CIA dans le trafic de drogue au sein des zones de guerres états-uniennes, je me sens gêné de devoir affirmer qu’il minimise ce phénomène dans son article. Il est vrai qu’il écrit que « l’opium émergea comme une force stratégique dans le milieu politique afghan durant la guerre secrète de la CIA contre les Soviétiques », et il ajoute que cette dernière « fut le catalyseur qui transforma la frontière pakistano-afghane en la plus importante région productrice d’héroïne au monde ».

Mais, dans une phrase très étrange, M. McCoy suggère que la CIA fut entraînée passivement dans des alliances impliquant la drogue au cours des combats contre les forces soviétiques en Afghanistan dans les années 1979-88, alors que la CIA a précisément créé ces alliances pour combattre les Soviétiques :
Dans un des ces accidents historiques teintés d’ironie, la frontière sud de la Chine communiste et de l’Union Soviétique coïncidèrent avec la zone asiatique de production d’opium, le long d’une chaîne de montagne, attirant la CIA dans des alliances pleines d’ambigüité avec les chef tribaux des hauts plateaux de la région.

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Gulbuddin Hekmatyar
Il n’y eut pas de tel « accident » en Afghanistan, où les premiers barons de la drogue d’envergure internationale – Gulbuddin Hekmatyar et Abou Rasul Sayyaf – furent en fait projetés sur la scène internationale grâce au soutien massif et mal avisé de la CIA, en collaboration avec les gouvernements du Pakistan et d’Arabie Saoudite. Alors que d’autres forces de résistance locales furent considérées comme des forces de seconde classe, ces deux clients du Pakistan et de l’Arabie Saoudite, précisément en raison de leur manque de soutien au niveau local, furent des pionniers dans l’utilisation de l’opium et de l’héroïne comme moyen de bâtir leur force de combat et de créer une ressource financière [2]. De plus, tous deux devinrent des agents de l’extrémisme salafiste, s’attaquant à l’islam soufi endogène à l’Afghanistan. Finalement, tous deux devinrent des agents d’Al-Qaïda [3].

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Abdul Rasul Sayyaf
L’implication de la CIA dans le trafic de drogue durant le conflit soviéto-afghan n’était pas une première. D’une certaine manière, la responsabilité de la CIA dans le rôle dominant que joue aujourd’hui l’Afghanistan dans le trafic mondial d’héroïne, est une réplique de ce qui arriva plus tôt en Birmanie, au Laos, et en Thaïlande entre la fin des années 1940 et les années 1970. Ces pays sont aussi devenus des acteurs majeurs du trafic de drogue grâce au soutien de la CIA (et des Français, dans le cas du Laos), sans quoi ils n’auraient été que des acteurs locaux.

On ne peut parler d’« accident ironique » dans ce cas non plus. McCoy lui-même a montré comment, dans tous ces pays, la CIA a non seulement toléré mais aussi soutenu la croissance des actifs des forces anti-communistes financées par la drogue, afin de contenir le danger représenté par une intrusion de la Chine communiste en Asie du Sud-Est. Des années 1940 aux années 1970, et comme en Afghanistan aujourd’hui, le soutien de la CIA participa à transformer le Triangle d’Or en un fournisseur majeur d’opium au niveau mondial.

Durant cette même période, la CIA recruta des collaborateurs tout au long des routes de contrebande de l’opium asiatique, de même que dans des pays comme la Turquie, le Liban, la France, Cuba, le Honduras, et le Mexique. Ces collaborateurs comprenaient des agents gouvernementaux comme Manuel Noriega au Panama ou Vladimiro Montesinos au Pérou, souvent des personnalités expérimentées appartenant aux services de police soutenus par la CIA ou aux services de renseignement. Mais des mouvements insurrectionnels en faisaient aussi partie, des Contras du Nicaragua dans les années 1980 (selon Robert Baer et Seymour Hersh) au Jundallah [4], affilié à Al-Qaïda et opérant aujourd’hui en Iran et au Baloutchistan [5].

Le gouvernement Karzai, et non les Talibans, domine l’économie de la drogue afghane

Le meilleur exemple d’une telle influence de la CIA sur les trafiquants de drogue aujourd’hui se trouve sans doute en Afghanistan, où le propre frère du président Karzai, Ahmed Wali Karzai (un collaborateur actif de la CIA) [6], et Abdul Rashid Dostum (un ancien collaborateur de l’Agence) comptent parmi ceux qui sont accusés de trafic de drogue [7]. La corruption liée à la drogue au sein du gouvernement afghan doit être en partie attribuée à la décision des États-Unis et de la CIA de lancer, en 2001, une invasion avec le soutien de l’Alliance du Nord, un mouvement dont Washington savait qu’il était corrompu par la drogue [8].
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Carte de la CIA montrant les routes de l’opium de l’Afghanistan à destination de l’Europe, en 1998. Selon les informations de la CIA, mises à jour en 2008 : « La plus grande partie de l’héroïne en provenance de l’Asie du Sud-Est est acheminée par voie terrestre, à travers l’Iran et la Turquie, jusqu’en Europe via les Balkans. » En fait, la drogue est également convoyée à travers les États de l’ancienne Union soviétique, le Pakistan et Dubaï.
De cette manière, les USA ont consciemment recréé en Afghanistan la situation qu’ils avaient créée précédemment au Vietnam. Au Vietnam aussi (comme Ahmed Wali Karzai un demi siècle après), le frère du président, Ngo Dinh Nhu, utilisait la drogue pour financer un réseau privé lui permettant de truquer les élections en faveur de Ngo Dinh Diem [9]. Thomas H. Johnson, coordinateur des études de recherche anthropologique à la Naval Postgraduate School, montra l’improbabilité du succès d’un programme de contre-insurrection quand ce programme soutient un gouvernement local qui est de manière flagrante l’objet de dysfonctionnements et de corruption [10].

Ainsi je m’oppose à McCoy quand celui-ci, à l’image des médias de masse US, dépeint l’économie de la drogue afghane comme étant dominée par les Talibans. (Selon les propres termes de McCoy : « Si les insurgés prennent le contrôle de cette économie illégale, comme l’ont fait les Talibans, alors la tâche deviendra presque insurmontable. ») La part des Talibans sur le marché de l’opium afghan est estimée en général entre 90 et 400 millions de dollars. Or l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC) estime que le total des revenus issus du commerce de l’opium et de l’héroïne est de l’ordre de 2,8 à 3,4 milliards de dollars [11].

Clairement, les Talibans n’ont pas fait main basse sur cette économie, dont la plus grande partie est contrôlée par les partisans du gouvernement Karzai. En 2006, un rapport de la Banque Mondiale avançait « qu’au plus haut niveau, 25 à 30 trafiquants majeurs, la majorité d’entre eux basés au sud de l’Afghanistan, contrôlent les transactions et les transferts majeurs, travaillant étroitement avec des soutiens occupant des positions politiques et gouvernementales au plus haut niveau » [12].

Les médias états-uniens ne se sont pas intéressés à cette réalité factuelle, pas plus qu’à la manière dont cela a influé sur les stratégies politiques de leur pays en Afghanistan, en matière de guerre et de trafic de drogue. L’administration Obama semble avoir pris ses distances d’avec les programmes d’éradication peu judicieux de la période Bush, qui ne rencontreront jamais l’adhésion « cœur et âme » de la paysannerie afghane. Elle préfère mettre en place une politique d’interdiction sélective du trafic, en ne s’attaquant de manière explicite qu’aux trafiquants qui aident les insurgés [13].

Reste à savoir si cette politique sera efficace pour affaiblir les Talibans. Mais cibler ce qui constitue au plus un dixième du trafic total ne permettra clairement jamais d’en finir avec la position actuelle de l’Afghanistan comme le principal narco-État. Cela ne permettra pas non plus d’en finir avec l’actuelle épidémie mondiale de consommation d’héroïne ayant commencée à la fin des années 1980, qui a déjà créé 5 millions de toxicomanes au Pakistan, plus de 2 millions en Russie, 800 000 aux États-Unis, plus de 15 millions à travers le monde, dont un million en Afghanistan même.

La politique d’interdiction sélective du gouvernement Obama aide aussi à expliquer son refus de considérer la solution la plus humaine et la plus raisonnable à l’épidémie mondiale d’héroïne afghane. Il s’agit de l’initiative « poppy for medicine » (Opium pour la médecine) de l’International Council on Security and Development (ICOS, autrefois connu comme le Senlis Council), qui vise à établir un programme délivrant des autorisations, permettant ainsi aux agriculteurs de vendre leur opium pour permettre la production de médicaments essentiels et très demandés comme la morphine ou la codéine [14].

La proposition a reçu le soutien des parlements européen et canadien ; mais il fut l’objet de sévères critiques aux USA, principalement parce que cela pourrait engendrer une augmentation de la production d’opium. Cependant, cela fournirait une réponse à moyen terme à l’épidémie d’héroïne qui dévaste l’Europe et la Russie – situation qui ne sera pas réglée par l’alternative présentée par McCoy de substituer d’autres cultures durant les 10 ou 15 prochaines années, et encore moins par le programme d’élimination sélective de fournisseurs d’opium conduit par l’administration Obama.

Une conséquence rarement citée de l’initiative « poppy for medicine » serait de réduire les recettes engendrées par le trafic illicite qui permet de soutenir le gouvernement Karzai. Pour cette raison, ou simplement car tout ce qui se rapproche d’une légalisation des drogues reste un sujet tabou à Washington, l’initiative « poppy for medicine » a peu de chance d’être soutenue par l’administration Obama.

L’héroïne afghane et la connexion mondiale de la drogue de la CIA

Il y a un autre paragraphe dans lequel McCoy, de manière erronée à mon avis, concentre son attention sur l’Afghanistan comme nœud du problème plutôt que sur les États-Unis eux-mêmes :

Lors d’une conférence sur la drogue à Kaboul ce mois-ci, le chef du Federal Narcotics Service russe a estimé la valeur actuelle de la culture de l’opium en Afghanistan à 65 milliards de dollars. Seulement 500 millions de dollars vont aux fermiers afghans, 300 millions aux Talibans, et les 64 milliards restant à la « mafia de la drogue », lui garantissant de vastes fonds pour corrompre le gouvernement Karzai (souligné par l’auteur) dans un pays où le PIB est de seulement 10 milliards de dollars [15].

Ce paragraphe oublie d’évoquer un fait pertinent et essentiel : selon l’ONUDC, seulement 5 à 6 % de ces 65 milliards de dollars, soit de 2,8 à 3,4 milliards, restent en Afghanistan [16]. Environ 80 % des bénéfices issus du trafic de drogue proviennent des pays de consommation – dans ce cas la Russie, l’Europe et les États-Unis. Ainsi, nous ne devrions pas croire un instant que le seul pays corrompu par le trafic de drogue afghan est le pays d’origine. Partout où le trafic est devenu important, même dans les lieux de transit, il a survécu en étant protégé, ce qui en d’autres termes, s’appelle de la corruption.

Il n’existe aucune preuve montrant que l’argent de la drogue gagné par les trafiquants alliés à la CIA ait grossit les comptes bancaire de la CIA ou ceux de ses officiers, mais la CIA a indirectement profité du trafic de drogue, et a développé au fil des ans une relation très proche avec celui-ci. La guerre secrète de la CIA au Laos fut un cas extrême. Durant celle-ci, l’Agence mena une guerre en utilisant comme principaux alliés l’Armée Royale Laotienne du général Ouane Rattikone et l’Armée Hmong du général Vang Pao, toutes deux en grande partie financées par la drogue. L’opération massive de la CIA en Afghanistan dans les années 1980 fut un autre exemple d’une guerre en partie financée par la drogue. [17].

Une protection pour les trafiquants de drogue aux États-Unis

Dès lors, il n’est pas surprenant que, les années passant, le gouvernement états-unien, suivant la voie tracée par la CIA, aient protégé des trafiquants de drogue contre les poursuites judiciaires dans le pays. Par exemple, aussi bien la CIA que le FBI sont intervenus en 1981 contre l’inculpation (pour vol de voiture) du trafiquant de drogue mexicain et tsar des renseignements Miguel Nazar Haro, affirmant que Nazar était « un contact essentiel, je répète, un contact essentiel pour le bureau de la CIA à Mexico », sur les questions de « terrorisme, renseignement, et contre-renseignement » [18]. Lorsque le procureur général associé Lowell Jensen refusa de donner suite à l’inculpation de Nazar, le procureur de San Diego, William Kennedy, exposa publiquement l’affaire. Il fut rapidement viré pour cela [19].

Un exemple récent et spectaculaire d’une implication de la CIA dans le trafic de drogue fut l’affaire concernant un collaborateur vénézuélien de la CIA, le général Ramon Guillén Davila. Comme je l’explique dans mon livre, Fueling America’s War Machine (à paraître) [20] :

Le général Ramon Guillén Davila, chef de l’unité anti-drogue créée par la CIA au Venezuela, fut inculpé à Miami pour avoir fait entrer une tonne de cocaïne aux États-Unis. Selon le New York Times, « la CIA, malgré l’objection de la Drug Enforcement Administration, approuva l’envoi d’au moins une tonne de cocaïne pure vers l’aéroport international de Miami comme moyen d’obtenir des informations sur les cartels de la drogue colombiens ». Le magazine Time rapporta qu’une seule cargaison représentait 450 kilos, et était précédée d’autres « pour un total d’environ une tonne » [21]. Mike Wallace confirma que « l’opération secrète de la CIA et des gardes nationaux rassembla rapidement cette cocaïne, plus d’une tonne et demie, qui fut introduite clandestinement de Colombie vers le Venezuela » [22]. Selon le Wall Street Journal, la quantité totale de drogue introduite clandestinement par le général Guillén serait de plus de 22 tonnes [23].
Mais les États-Unis n’ont jamais demandé au Venezuela l’extradition de Guillén afin de le juger ; et, en 2007, lorsqu’il fut arrêté au Venezuela pour conspiration de meurtre à l’encontre du président Hugo Chavez, son inculpation était toujours quelque part à Miami [24]. Pendant ce temps-là, l’agent de la CIA Mark McFarlin, que Bonner, le chef de la DEA, souhaitait également inculper, ne le fut jamais, et dut simplement démissionner [25].

Pour résumer, il n’arriva rien aux acteurs principaux de cette affaire, qui n’a probablement fait surface dans les médias qu’en raison des protestations générées à la même époque par les articles de Gary Webb parus dans le San Jose Mercury au sujet de la CIA, des Contras et de la cocaïne.

Les banques et le blanchiment de l’argent de la drogue

D’autres institutions ont un intérêt direct dans le trafic de drogue, dont les grandes banques, qui effectuent des prêts à des pays comme la Colombie et le Mexique, sachant pertinemment que le flot de drogue aidera à garantir le remboursement de ces prêts. Plusieurs de nos plus grandes banques, comme City Group, Bank of New York et Bank of Boston, ont été identifiées comme participant au blanchiment d’argent, mais n’ont jamais subi de pénalités assez importantes pour les obliger à changer de comportement [26]. En bref, l’implication des États-Unis dans le trafic de drogue rassemble la CIA, des intérêts financiers majeurs et des intérêts criminels dans ce pays et à l’étranger.

Antonio Maria Costa, chef de l’ONUDC, a déclaré que « l’argent de la drogue, représentant des milliards de dollars, a permis au système financier de se maintenir au plus haut de la crise financière ». Selon l’Observer de Londres, Costa déclara avoir vu des preuves que les recettes du crime organisé étaient « le seul capital d’investissement liquide » disponible pour certaines banques au moment du krach de l’année dernière. Il affirma qu’une majorité des 352 milliards de dollars de profits liés à la drogue furent ainsi absorbés par le système économique. Costa déclara que les preuves montrant une absorption de l’argent illégal par le système financier lui furent soumises par des agences de renseignement et des procureurs il y a 18 mois environ. « Dans de nombreux cas, l’argent de la drogue était le seul capital d’investissement liquide. Durant la seconde moitié de 2008, la liquidité était le problème majeur du système bancaire, ainsi le capital liquide devînt un facteur important, » dit-il [27].

Un exemple frappant de l’importance de la drogue à Washington fut l’influence exercée dans les années 1980 par la Bank of Credit and Commerce International, banque pratiquant le blanchiment de l’argent de la drogue. Comme je l’explique dans mon livre, parmi les personnes haut placées profitant des largesses de la BCCI, ses propriétaires, et ses affiliés, nous trouvons James Baker, secrétaire au Trésor sous Ronald Reagan, qui refusa d’enquêter sur la BCCI [28] ; le sénateur démocrate Joe Bidden et le sénateur républicain Orrin Hatch, et plusieurs membres importants du Comité Judiciaire du Sénat, lequel refusa d’enquêter sur la BCCI [29].
Finalement, ce ne fut pas Washington qui agit en premier afin de mettre un terme aux activités bancaires de la BCCI et de ses filiales illégales aux États-Unis, mais deux personnes déterminées, l’avocat de Washington Jack Blum et le procureur de Manhattan Robert Morgenthau [30].

Conclusion : la source du problème mondial qu’est la drogue n’est pas à Kaboul, mais à Washington

Je comprends pourquoi McCoy, dans son désir de changer une politique vouée à l’échec, prend plus de précautions que moi-même lorsque j’évoque à quel point certaines institutions états-unienne puissantes – gouvernement, renseignements et finance – et pas seulement le gouvernement Karzai, ont été corrompues par l’omniprésent trafic de drogue. Mais je pense que son approche pleine de tact se montrera contre-productive. La source principale du problème mondial qu’est la drogue n’est pas à Kaboul, mais à Washington. Mettre fin à ce scandale demandera la divulgation de faits que McCoy ne désire pas aborder dans son article.

Dans son ouvrage magistral, The Politics of Heroin [31], McCoy parle de l’histoire de Greg Musto, expert en drogues à la Maison Blanche sous Carter. En 1980, Musto dit au Strategy Council on Drug Abuse de la Maison Blanche que « nous allions en Afghanistan afin de soutenir les cultivateurs d’opium dans leur rébellion contre l’Union Soviétique. Ne pourrions-nous pas éviter de faire ce que nous avons déjà fait au Laos ? » [32]. Se voyant refuser l’accès par la CIA à des données auxquelles il avait légalement accès, Musto fit part de son inquiétude en public en mai 1980, notant, dans un éditorial du New York Times, que l’héroïne en provenance du Croissant d’Or était déjà (et pour la première fois) en train de causer une crise médicale à New York. Et il avertit, avec prescience, que « cette crise est amenée à s’aggraver » [33].

Musto espérait qu’il pourrait contribuer à un changement de politique en mettant le problème sur la place publique, et en l’accompagnant d’un avertissement fort au sujet d’une aventure en Afghanistan financée par la drogue qui pourrait se révéler désastreuse. Mais ses mots emplis de sagesse furent sans pouvoir contre l’implacable détermination de ce que j’appelle la machine de guerre US au sein de notre gouvernement et de notre économie politique. Je crains que le message sensé de McCoy, en étant bienséant là où il est justement nécessaire de ne pas l’être, subira le même sort.


 Peter Dale Scott
Ancien diplomate canadien et professeur à l’université de Californie

http://voltairenet.org/article167734.html 

The Political Persecution of a 7/7 Truther



A.J. Hill 'Muad'Dib' is on the right.  

by Debra Siddons,
(for henrymakow.com)

Several weeks ago, the Supreme Court of Ireland proved to everyone just how corrupt they are  when they extradited A.J. Hill, also known to supporters as "Muad'Dib", for mailing DVDs of His Film, the "7/7 Ripple Effect" to a U.K. courthouse.

A.J. Hill is now in prison in the U.K., awaiting trial there.  He faces the possibility of life in prison if convicted of the ludicrous charge of "...intending to pervert the course of justice..." for telling the truth to prevent a miscarriage of justice.  When did telling the truth become a crime?  Life in prison for telling the truth?

If you are touched by this true story, you are probably wondering what you can do. We need to unite and continue to get the truth out to as many people as will listen.

We know the solution is NOT to return to the U.S. Constitution or the British legal system or the Magna Carta, or any other set of man-made rules, which have ALL failed to provide true freedom, true justice or true peace.  The fact that we are in this mess right now should serve as PROOF to everyone that all of these nice and noble sounding constitutions don't work and in fact were given to us by the N.W.O. to deflect us from the ONLY Solution that will defeat the N.W.O.  The Solution that THEY don't want YOU to know about.


 RETURN TO GOD'S LAW

A.J. Hill produced the "7/7 Ripple Effect" documentary film to expose the British government's official cover-up of the July 7, 2005 London tube-train bombings.  He then had the spiritual backbone to send DVDs to a U.K. courtroom to correct the judge and the QC barrister's attempt to mislead the jury during the trial of the three accused.  All three men have since been found not guilty on those charges, but the British government is so embarrassed that it is punishing A.J. Hill for making the film and trying to silence him by throwing him in prison.  This is a clear cut case of malicious political prosecution.

The DVDs of the "7/7 Ripple Effect" should have been received as an Amicus Curiae (friend of the court) brief, as they were intended, to prevent a miscarriage of justice.  Anyone with an open-mind who watches the film, which is less than an hour in length and uses only mainstream media reports, should be able to see that A.J. Hill's Intentions were pure and truthful.

Anyone with an open-mind who researches this case should be appalled to learn that NOT ONE SINGLE JUDGE IN IRELAND VIEWED THE DVD BEFORE CONCLUDING THAT A.J. HILL'S INTENTIONS WARRANTED EXTRADITION.  How could a court determine his Intentions without ever viewing the DVD?

The only reasonable explanation is that the Irish Courts were under direct orders from the British crown to hand A.J. Hill over to silence Him and make an example of him.

If you doubt that things are really this bad, please study this case. See for yourselves. This is NOT about DVD's, it is about THIS DVD:- "7/7 Ripple Effect", which can also be downloaded for free at http://jforjustice.co.uk

If you already know that things are this bad, and are looking for ways to help, please get involved.  Get the word out to others, both about this case and about the film.  If you have the facilities to do so, please make copies of the "7/7 Ripple Effect" and give them out to everyone you know.  Forewarned is forearmed, but time is running out, as this gross injustice should hopefully prove to everyone.

Wake-up Fremen/Free-men.  It is time to follow Muad'Dib's Example and fight for what is right in God's Eyes.  If you won't stand up for someone else now, who will be left to stand up for you when they come to imprison YOU for telling the truth?

--
Release AJ Hill Campaign Blog

Debra can be reached at: online.debra@gmail.com


http://www.henrymakow.com/the_political_persecution_of_a.html

False flag Swedish bombs: Once again the same actors (MI6, mossad) had foreknowledge of the event, at least 4 hours before the bombs detonated.

Swedish prime minister is directly linked to Israel, who is running the wikileaks operation, as a psychological tool to prepare for the next rounds of pre-staged wars. What did Assange told to the Swedish military intelligence to provoke his expulsion from the country by the israelis networks led by the prime minister. What did Assange say to the british court to provoke an immediate retaliation of the London zionist jews? Are Assange and some parts of the Swedish government becoming a threat to the Netanyahu's operation ? The Swedish bombs are again originated from London zionist terrorists controlling MOD... This operation is part of a blackmail between zionist jews in Great Britain, Israel, United States. Assange probably understood that he was just a puppet and began to speak out in jail. We all know that american zionist jews from the AIPAC provided most of the documents to Assange's website and that Netanyahu organised the clean up according to Israel war plans. What is it that NATO is doing exactly in Sweden ?

Abu Suleyman

Inside Job: Swedish Bombs

AANGIRFAN.BLOGSPOT.COM 

The 'terrorist' explosion in Sweden, on 11 December 2010, was presumably the work of the military, using some brainwashed patsy.

The Swedish media reported on 12 December 2010:

A few hours before the explosions in downtown Stockholm, someone in the Swedish military contacted a friend to warn them to stay away from Stockholm's Queen Street, where the bombs went off. (
The "terrorist bomb" in Sweden just got a bit weird.)


"A Swedish Armed Forces (Försvarsmakten) employee warned an acquaintance to stay clear of an area in central Stockholm on Saturday where, several hours later, two explosions went off in what is being called a terrorist attack.

"If you can, avoid Drottninggatan today. A lot can happen there…just so you know," the message said, according to the TT news agency." (Military staffer knew about attacks: report - The Local)

In 1951, CIA agent William Colby, based at the CIA station in Stockholm, supported the training of stay-behind armies in neutral Sweden. (Sweden)
Since then the CIA and its friends have been very active in Sweden.
aangirfan.blogspot.com  

Pipelinestan : Israelis puppets in India, Pakistan, Afghanistan, Turkmenistan signed TAPI gas pipeline deal owned by israelis in Tel Aviv (Mehrav company)


Indian energy minister Murli Deora, Pakistani President Asif Ali Zardari, Turkmen President Kurbanguly Berdymukhamedov and Afghan President Hamid Karzai after signing TAPI agreement in Ashgabat, Turkmenistan, 11 December 2010


TAPI Pipeline - The Real Reason U.S. is in Af-Pak

By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com



TAPI Gas Pipeline Deal Signed


As I have reported since shortly after 9/11, the real reason for the U.S. invasion and occupation of Afghanistan is to build and secure a 1,080-mile long gas pipeline designed to carry trillions of dollars of Israeli-owned gas from Turkmenistan to Pakistan and India. The false-flag terror attacks of 9/11 were part of a strategic Israeli operation to bring the U.S. military into Afghanistan on a long-term mission on behalf of Israel’s Turkmen gas enterprise. 

 The Turkmenistan-Afghanistan-Pakistan-India (TAPI) pipeline is the real reason that U.S. soldiers are fighting and dying in the southwestern Afghan provinces of Helmand and Kandahar.  9/11 was just the cover story for this pre-planned war of aggression - and it is nothing but a complete hoax.

The TAPI pipeline is planned to be built along the Herat-Kandahar highway across western and southern Afghanistan.  The route of the proposed pipeline is exactly where most U.S. troops are fighting and dying.  American, Canadian, and European boys are dying for Israeli profits.

On December 11, a preliminary agreement was signed in Turkmenistan’s capital, Ashgabat, by representatives of the four countries to proceed with plans for the American and Israeli-backed pipeline. Here are the basic points about the TAPI pipeline:
Construction of pipeline will be completed by 2014 (note this is the new end-date given for the U.S. military mission in Afghanistan, but don't believe it)

1,680 kilometer gas pipeline will supply 3.2 billion cubic feet of natural gas per day (much of this gas will come from Israeli/Mossad-owned gas fields in Turkmenistan, meaning immense profits for the Mossadniks who pulled of 9/11)
A Pakistani cartoon depicts their military chief as a Zionist stooge
BALKANIZATION OF AF-PAK REGION

U.S. GANGSTER DIPLOMACY - U.S. Deputy Secretary of State Richard Armitage threatened to bomb Pakistan "back to the stone age" unless it joined the fight against al-Qaeda.  General Musharraf said that Armitage delivered the threat to Pakistan's intelligence director.  "The intelligence director told me that Mr Armitage said, 'Be prepared to be bombed. Be prepared to go back to the Stone Age'," Pakistan's President Pervez Musharraf said.  Armitage is most likely the diplomat who threatened the Afghan government two months before 9/11 - "You will either accept our carpet of gold or we will carpet-bomb you."
The C.I.A.'s armchair warriors bomb targets in Pakistan on a daily basis and the United States has 3,000 Special Forces in Pakistan, according to Zainab Cheema’s recent article about what the Zionist "War on Terror" and Mossad's TAPI project really mean for Pakistan:

Pakistan’s balkanization is just as much about keeping rivals out as it is about securing the best perch in the playground. The Iran-Pakistan Friendship pipeline (IP) in the works (formerly the Iran-Pakistan-India pipeline before the US weaned away India with its nuclear fuel deal) is planning its route through Balochistan. While Pakistan can occasionally make such inconvenient deals with a neighbor that Israel and the US are determined to exterminate, the groomed Balochi tribes would follow more the acceptable Karzai pattern of subservient obedience. Meanwhile, terrorizing the PK is laying the ground for the US’s own pipeline project snaking its way through Turkmenistan-Afghanistan-Pakistan-India (TAPI).

Sources and Recommended Reading:
Energy Resources - 'Saudi, Israel tie-up' in Turkmenistan, UPI, December 10, 2009
"US 'threatened to bomb' Pakistan", BBC News, 22 September 2006
“The War On Terror Is A Shortcut To Pakistan Army’s Impending Demise”, by Zainab Cheema, November 22, 2010
“$7.6bn TAPI gas pipeline project comes back to life”, Daily Times (Pakistan), December 12, 2010

“Turkmen natural gas pipeline Tapi to cross Afghanistan”, BBC News, December 11, 2010

“New Backing for Gas Line Through Asia”, by Andrew E. Kramer, New York Times, December 11, 2010

"Facing Reality in Afghanistan", by Christopher Bollyn, October 4, 2010
"U.S. Wounded - The Hidden Toll of Obama's Surge", by Christopher Bollyn, November 26, 2010
“Dying in Vain - Why Afghanistan?” by Christopher Bollyn, February 8, 2010

“Afghanistan - Obama's War for Israel”, by Christopher Bollyn, July 6, 2010

“The Spoils of War: The Minerals of Afghanistan”, by Christopher Bollyn, January 7, 2002

Bioterrorism: Israel is now using mosquitoes as a vector for bioweapons. This is far more dangerous than any nucelar weapon and can kill entire populations on a continent

Scientist Who Studied Mosquitoes and Disease Transmission Commits “Suicide”

 

IS THIS THE REASON WE ARE BEING DISTRACTED WITH NUKE THREATS, TSA BODY GRABBERS, AND OTHER non issues?? Is the REAL THREAT going to be a BIOWEAPON? DO NOT TAKE VACCINES!!!!! Well, the coincidences are too numerous to ignore. But you read and decide. 

 

First of all, is this just another "coincidental" death of another microbiologist since 9-11 and that pushes the number past89 of them studying various diseases, but what makes this one even more interesting, is the school she attended and the project she was working on. Notice its by "genome" that our DNA is changed or identified and then targeted by whatever bioweapon being used or developed. Microbiologists are able to look at a bug and tell you BY THEIR DNA SEQUENCING which BIOWEAPONS LAB IT CAME FROM. Is that why they had to die??


Now we also know that is what Cheney's think tank the New American century said in their Pax Americana report, remember??? That is the report where they said all this I am about to tell you plus the invasion of Iraq would only be possible if there were a "PEARL HARBOR TYPE EVENT" Does 9-11 ring a bell? Remember it was neocons who did 9-11, we proved that here on this site and it was the neocons that wrote this Pax Americana paper that resulted in 9-11. Gee, another "Arrogant" coincidence? Or Occums Razor? They said that they were going to use ".... bioweapons by GENOTYPE, for POLITICAL purposes", which means use on us. Othewise why make the point and distinction? Now, have they planned this? Check out the second video ofthis linkand watch it all the way through and you decide.

They tell us in that video in the link to the 2nd video, in the denver airport that is exactly what they intend to do AND THEY EVEN TELL US THE NAME OF THE VIRUS THEY INTEND TO USE. . If anything brings them down it will be their ARROGANCE in assuming we would not guess what they were doing. I have. Pay attention to the concrete tunnel with water sprinklers for a tunnel that has no wood or burning parts to it. So, is this death of a mother of a 3 year old and a good career and husband a result of something other than suicide??? Is she one of many???? And if suicide, why such a very painful and long suffering way to go??? Did she whistle blow to the wrong person??? Just wondering what really is going on with all these dead microbiologists and energy scientists.

November 21, 2010 byAlexU.S. News, and obtained from the Intel Hubhttp://theintelhub.com/2010/11/21/scientist-who-studied-mosquitoes-and-disease-transmission-commits-suicide/


Police: USF biologist dies in an apparent suicide by cyanide
TampaBay.com

TEMPLE TERRACE — A University of South Florida molecular biologist died Monday night in an apparent suicide by cyanide at a Temple Terrace hotel, police said.
Chitra Chauhan, 33, of Tampa was pronounced dead at University Community Hospital about 10:30 p.m., Temple Terrace police reported.
The discovery of the toxic substance also prompted evacuation of 75 to 100 guests at the Extended Stay America hotel on Morris Bridge Road, where Chauhan had taken a room.
Chauhan was a post-doctoral researcher in the Global Health department in the College of Public Health. (VN:  I believe that is Southern Florida, the home of wealthy Khazars) She has a 3-year-old child with her husband, Bharath Balu, who is also a researcher in the department….
She earned her doctorate from the Institute of Genomics and Integrative Biology in New Delhi, India, in 2005, then studied mosquitoes and disease transmission at the University of Notre Dame.  (Catholic isn't it?)
Photo By [Luis Santana | Times


The article is reproduced in accordance with Section 107 of title 17 of the Copyright Law of the United States relating to fair-use and is for the purposes of criticism, comment, news reporting, teaching, scholarship, and research

 http://vaticproject.blogspot.com/2010/11/scientist-who-studied-mosquitoes-and.html

15 Decembre 2010 : Israel lance sa guerre civile en France : Le CRIF, l'ambassade israelienne et l'OTAN viennent de debuter leurs operations de guerillas civiles en France. Sarkozy, Hortefeuj, Gueant, Guaino ordonnent a l'extreme droite juive sioniste, dont la fistonne Lepen, de charger les Musulmans

La droite française prépare l’affrontement !
La droite française prépare l’affrontement !

Malgré le passage en force de la loi sur les retraites puis le remaniement ministériel, Nicolas Sarkozy et l’UMP sont affaiblis. Seule l’absence de perspective réelle de la part du PS permet à Nicolas Sarkozy de continuer à se maintenir dans une partie de l’opinion publique française. Cette absence de perspective du PS n’est d’ailleurs pas le fruit du hasard. Elle est l’illustration de l’identité de vue entre l’UMP et le PS sur les problèmes essentiels : soumission de la France aux grandes banques mondialistes (le « socialiste » Strauss Khan en sait quelque chose…), soutien inconditionnel à Israël et au sionisme, et alignement sur la politique nord-américaine (poursuite de la guerre en Afghanistan). Ce sont autant de sujets jamais abordés par « nos » présidentiables, tellement ils sont tous d’accord entre eux sur ces points-là. Les aborder risquerait d’ouvrir les yeux de beaucoup de gens qui découvriraient alors une réelle identité de vue entre UMP et PS.

Pourtant, la droite française, divisée et à bout de souffle, semble rechercher une fuite en avant, une relance en quelque sorte. Après l’échec du débat sur l’identité nationale, qui avait pour but de stigmatiser la communauté musulmane, on voit que l’insécurité et les banlieues ont pris la relève dans la préparation psychologique de l’opinion. Avec les banlieues dites sensibles – et toujours associées plus ou moins à l’Islam et aux musulmans – on se demande si le pouvoir ne souhaite pas la réédition des émeutes de 2005. Mais cette fois-ci, l’idée est d’aller jusqu’à l’épreuve de force. Après Sarkozy qui ne cède pas sur les retraites (contrairement à de Villepin avec son projet de Contrat Première Embauche), on pourrait alors avoir un Sarkozy qui sait « faire face » à l’émeute, contrairement à Chirac-Villepin qui n’ont pas réagi assez fermement aux yeux des partisans de la manière forte.

La comparaison viendrait alors naturellement à l’esprit de beaucoup de Français soucieux d’ordre, et Nicolas Sarkozy se poserait en champion de la sécurité. L’élection présidentielle serait alors placée uniquement sur le terrain de l’insécurité et de la stigmatisation des musulmans. Ce positionnement aurait pour conséquence de rendre le PS encore plus inaudible, et de couper l’herbe sous le pied – en partie – du Front National. Ce scénario n’est pas du tout impossible. N’oublions jamais à qui les émeutes de 2005 ont profité électoralement !  La leçon n’a pas été perdue pour tout le monde, et la même méthode pourrait être utilisée pour donner le même résultat…

Le climat politique devient, chaque jour, plus malsain en France. On sent qu’un conditionnement de l’opinion publique s’est accentué depuis 2007 et l’arrivée de M. Sarkozy à la Présidence. On oppose quotidiennement des catégories de Français à d’autres, on sème toutes les graines de discorde et de haine, méthodiquement. Dans quel but, sinon pour provoquer l’affrontement. Ce conditionnement va de pair avec l’aggravation de la crise financière mondiale et de l’USraël, c’est-à-dire du sionisme. C’est tout un système de domination et de contrôle du monde, donc de la France, qui est en train de s’effondrer. On mesure aisément l’importance des enjeux et donc des méthodes que le pouvoir mondial n’hésitera pas à utiliser.

Nous reviendrons sur tous ces risques de provocation qui s’accentuent dans notre pays. Nous sommes dans la période de tous les dangers. Faute de solutions réelles de nature à soulager les difficultés des Français, il est à craindre que la manipulation, la provocation et la haine ne prennent le dessus, afin de perpétuer le système, en s’appuyant sur le parti de la peur.

Parti Anti Sioniste

Le dernier a avoir voulu auditer la banque des israeliens de New York et de Londres, la reserve federale, fut JF Kennedy abattu par les israeliens. Ron Paul sera-t-il victime d'un tir de sniper ou les commanditaires d'Israel tenteront-ils de frapper et de provoquer une guerre Arabie Saoudite-Iran avant le debut Fevrier 2011?


Explosion de la bulle des dettes publiques occidentales 
 
Par GEAB,
Le second semestre 2011 marquera le moment où l'ensemble des opérateurs financiers de la planète va finalement comprendre que l'Occident ne remboursera pas une partie importante des prêts réalisés au cours des deux dernières décennies. Pour LEAP/E2020, c'est en effet vers Octobre 2011, du fait du plongeon d'un grand nombre de villes et d'états américains dans des situations financières inextricables suite à la fin du financement fédéral de leurs déficits, tandis que l'Europe fera face à un besoin très important de refinancement de ses dettes (1), que cette situation explosive se dévoilera dans toute son ampleur.

L'amplification médiatique de la crise européenne en matière de dettes souveraines des pays périphériques de l'Euroland aura créé le contexte porteur pour une telle explosion dont le marché américain des « Munis » (2) vient d'ailleurs de donner un avant-goût en Novembre 2010 (comme anticipé par notre équipe dès Juin dernier dans le GEAB N°46 avec un mini-crash qui a vu s'envoler en fumée tous les gains de l'année en quelques jours. Cette fois-ci ce krach (y compris la faillite du réassureur monoline Ambac (3)) a pu se dérouler en toute discrétion (4) puisque la machine médiatique anglo-saxonne (5) a réussi à focaliser l'attention mondiale sur un nouvel épisode de la sitcom fantaisiste « La fin de l'Euro ou le remake monétaire de la grippe H1N1 » (6). Pourtant la simultanéité des chocs aux Etats-Unis et en Europe constitue une configuration très inquiétante, comparable selon notre équipe au choc « Bear Stearn» qui précéda de huit mois la faillite de Lehman Brothers et l'effondrement de Wall Street en Septembre 2008. Mais les lecteurs du GEAB savent bien que les chocs importants font rarement la une des médias plusieurs mois à l'avance, alors que les fausses alertes en sont coutumières (7) !

Evolution des sorties nettes des SICAV (mutual funds) investies dans les « Munis » (2007-11/2010) (en milliards USD) - Ces sorties ont été supérieures à celles d'Octobre 2008 - Source : New York Times, 11/2010
Evolution des sorties nettes des SICAV (mutual funds) investies dans les « Munis » (2007-11/2010) (en milliards USD) - Ces sorties ont été supérieures à celles d'Octobre 2008 - Source : New York Times, 11/2010
Dans ce numéro 50 du GEAB, nous anticipons donc l'évolution de ce choc terminal des dettes publiques occidentales (en particulier des dettes américaines et européennes) ainsi que les moyens pour s'en prémunir. Par ailleurs, nous analysons les conséquences structurellement très importantes des révélations de Wikileaks sur l'influence internationale des Etats-Unis ainsi que leur interaction avec les conséquences globales du Quantitative Easing II programmé par la Réserve fédérale US. Ce numéro de Décembre du GEAB est bien entendu l'occasion d'évaluer la pertinence de nos anticipations pour 2010, avec cette année un taux de succès de 78%. Nous développons également des conseils stratégiques pour l'Euroland (8) et les Etats-Unis. Et nous publions l'index GEAB-$ qui permettra désormais chaque mois de suivre synthétiquement l'évolution du Dollar US par rapport aux principales devises mondiales (9).

Dans ce communiqué public du GEAB N°50, nous avons choisi de présenter un extrait de l'anticipation sur l'explosion de la bulle des dettes publiques occidentales.

Ainsi, la crise de l'endettement public occidental s'accentue très rapidement sous la pression de quatre contraintes de plus en plus fortes :

. l'absence de reprise économique aux Etats-Unis qui étrangle l'ensemble des collectivités publiques (y compris l'état fédéral (10)) habituées ces dernières décennies à un endettement aisé et à des recettes fiscales importantes (11)

. l'affaiblissement structurel accéléré des Etats-Unis tant en matière monétaire, financière que diplomatique (12) qui réduit leur aptitude à attirer l'épargne mondiale (13)

. le tarissement mondial des sources de financement à bon marché qui précipite la crise de surendettement des pays périphériques européens (de l'Euroland comme la Grèce, l'Irlande, le Portugal l'Espagne, … et aussi du Royaume-Uni (14)) et commence à toucher les pays-clés (USA, Allemagne, Japon (15)) dans un contexte de refinancement très important des dettes européennes en 2011

. la transformation de l'Euroland comme nouveau « souverain » qui élabore progressivement de nouvelles règles du jeu pour les dettes publiques du continent.

Ces quatre contraintes génèrent des phénomènes et des réactions variables selon les régions/pays.

Le contexte européen : le chemin du laxisme à la rigueur sera en partie payé par les investisseurs

Du coté européen, on assiste ainsi à la transformation laborieuse, mais finalement incroyablement rapide, de la zone Euro en une sorte d'entité semi-étatique, l'Euroland. Le côté laborieux du processus ne tient pas uniquement à la faible qualité du personnel politique concerné (16) comme le martèlent à longueur d'interviews les « ancêtres » comme Helmut Schmidt, Valéry Giscard d'Estaing ou Jacques Delors. Eux-mêmes n'ayant jamais eu à faire face à une crise historique de cette ampleur, un peu de modestie leur ferait du bien.

Ce côté laborieux vient également du fait que les évolutions en cours dans la zone Euro sont d'une ampleur politique gigantesque (17) et qu'elles sont effectuées sans aucun mandat politique démocratique : cette situation tétanise les dirigeants européens qui du coup passent leur temps à nier qu'ils sont bien en train de faire ce qu'ils font, à savoir, bâtir une sorte d'entité politique qui va se doter de composantes économiques, sociales, fiscales, … (18) Elus avant que la crise n'éclate, ils ne savent pas que leurs électeurs (et du même coup les acteurs économiques et financiers) se satisferaient dans leur majorité d'une explication sur le cours des décisions prévues (19). Car la plupart des grandes décisions à venir sont déjà identifiables, comme nous l'analysons dans ce numéro du GEAB.

Enfin, il tient au fait que les actions de ces mêmes dirigeants sont disséquées et manipulées par les principaux médias spécialisés dans les questions économiques et financières, dont aucun n'appartient à la zone Euro, et qui tous au contraire sont ancrées dans la zone $/£ où le renforcement de l'Euro est considéré comme une catastrophe. Ces mêmes médias contribuent très directement à brouiller encore plus le processus en cours dans l'Euroland (20).

Cependant, on peut constater que cette influence néfaste diminue puisque, entre la « crise grecque » et la « crise irlandaise », la volatilité induite sur la valeur de l'Euro s'est affaiblie. Pour notre équipe, au printemps 2011 elle deviendra un phénomène négligeable. Il ne restera donc plus que la question de la qualité du personnel politique de l'Euroland qui sera profondément renouvelé à partir de 2012 (21) ; et, plus fondamental, le problème considérable de la légitimité démocratique des formidables avancées en matière d'intégration européenne (22). Mais d'une certaine manière, on peut dire que d'ici 2012/2013, l'Euroland aura bien mis en place les mécanismes qui lui auront permis de résister au choc de la crise, même s'il lui faudra légitimer a posteriori leur existence (23).

Comparaison des rendements sur les obligations d'état à 10 ans dans l'Euroland - Source : Thomson Reuters Datastream, 16/11/2010
Comparaison des rendements sur les obligations d'état à 10 ans dans l'Euroland - Source : Thomson Reuters Datastream, 16/11/2010
En la matière, ce qui va contribuer à accélérer l'explosion de la bulle des dettes publiques occidentales, et qui interviendra de manière concomitante pour son catalyseur US, est la compréhension par les opérateurs financiers de ce qui se cache derrière le débat des « Eurobligations » (ou E-Bonds) (24) dont on commence à parler depuis quelques semaines (25). C'est à partir de la fin 2011 (au plus tard) que le fond de ce débat va commencer à être dévoilé dans le cadre de la préparation de la pérennisation du Fonds Européen de Stabilisation Financière (26). Or, ce qui apparaîtra brusquement pour la majorité des investisseurs qui spéculent actuellement sur les taux exorbitants des dettes grecques, irlandaises, etc …, c'est que la solidarité de l'Euroland ne s'étendra pas jusqu'à eux, notamment quand se poseront les cas de l'Espagne, de l'Italie ou de la Belgique, quoiqu'en disent les dirigeants européens aujourd'hui (27).

En bref, selon LEAP/E2020 il faut s'attendre à une immense opération d'échanges de dettes souveraines (sur fond de crise globale en matière de dettes publiques) qui verra offrir des Eurobligations garanties par l'Euroland à des taux très bas contre des titres nationaux à taux élevés avec une décote de 30% à 50% puisque, entre temps, la situation de l'ensemble du marché des dettes publiques occidentales se sera dégradée. Les dirigeants de l'Euroland nouvellement élus (28) (après 2012) seront démocratiquement très légitimes à réaliser une telle opération dont les grandes banques (y compris européennes (29)) seront les premières victimes. Il est fort probable que quelques créanciers souverains privilégiés comme la Chine, la Russie, les pays pétroliers, … se verront proposer des traitements préférentiels. Ils ne s'en plaindront pas puisque l'opération aura notamment pour conséquence de garantir leurs importants avoirs en Euros.

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IMPORTANT : Les versions anglaise et allemande du livre de Franck Biancheri « Crise mondiale : En route pour le monde d'après – Europe et monde dans la décennie 2010-2020 » sont désormais disponibles. Vous pouvez les commander directement sur le site des éditions Anticipolis (www.anticipolis.eu).

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Notes:

(1) Plus de 1.500 milliards € par an en 2011 et 2012, en incluant bien entendu le Royaume-Uni.

(2) C'est le marché des bons municipaux US (les « Munis ») qui sert à financer les infrastructures locales de transport, de santé, d'éducation, d'assainissement, … Il pèse près de 2.800 milliards USD.

(3) Source : Reuters, 08/11/2010

(4) Dans un article du 20/11/2010, SafeHaven d'ailleurs ouvertement de l' « omerta » des grands médias financiers sur le sujet.

(5) Le Financial Times a par exemple recommencé depuis un mois à consacrer deux ou trois articles par jour en une de son site à la soi-disant « crise de l'Euro » ainsi qu'à manipuler les informations comme les déclarations des dirigeants allemands, afin de créer artificiellement des sentiments d'inquiétude. Enfin, même certains médias français commencent à se rendre compte de la formidable machine d'Agitprop qu'est devenue le Financial Times comme le prouve ce récent article de Jean Quatremer du journal Libération.

(6) A titre de comparaison, aucun investisseur n'a perdu d'argent dans les « épisodes grecs et irlandais » de la « crise de l'Euro », alors qu'ils sont des dizaines de milliers à avoir perdu des sommes très importantes dans le récent crash des Munis US … pourtant les médias parlent du premier et pas du second.

(7) Comme déjà analysé dans les GEAB précédents, LEAP/E2020 tient à rappeler que le discours sur la « crise de l'Euro » est du même ordre que celui sur l'épidémie de grippe H1N1 il y a un an, à savoir une vaste opération de manipulation d'opinions publiques destinée à servir deux objectifs : d'une part, détourner l'attention des opinions publiques de problèmes plus graves (avec H1N1, c'était la crise elle-même et ses conséquences socio-économiques ; avec l'Euro, c'est tout simplement pour détourner l'attention de la situation aux Etats-Unis et au Royaume-Uni) ; d'autre part, servir les buts d'opérateurs très intéressés à créer cette situation de crainte (pour H1N1 c'était les laboratoires pharmaceutiques et autres prestataires connexes ; pour l'Euro, ce sont les opérateurs financiers qui gagnent des fortunes en spéculant sur les dettes publiques des pays concernés (Grèce, Irlande, …). Mais tout comme la crise de la grippe H1N1 s'est terminée en mascarade avec des gouvernements empêtrés dans des stocks monstrueux de vaccins et de masques sans plus de valeur, la soi-disant crise de l'Euro va se finir avec des opérateurs qui devront convertir à vil prix leurs bons si « rentables » tandis que ce sont leurs Dollars qui continueront à se dévaluer. L'été 2010 a pourtant déjà montré la direction des évènements. Source : Bloomberg, 18/11/2010

(8) Conformément à la méthodologie d'anticipation politique, notre équipe a bien entendu examiné depuis plusieurs années la possibilité que l'Euro disparaisse ou s'effondre. Sa conclusion est sans appel car nous n'avons identifié qu'une seule configuration où une telle évolution serait réalisable : il faudrait qu'au moins deux Etats importants de la zone Euro soient dirigés par des forces politiques souhaitant renouer avec les conflits intra-européens. Cette option a, selon notre équipe, une probabilité égale à zéro pour les deux prochaines décennies (notre durée maximale d'anticipation en matière politique). Donc, exit ce scénario, même si cela rend triste certains nostalgiques du Deutsche Mark, du Franc … , certains économistes qui croient que la réalité prête la moindre attention aux théories économiques, et certains Anglo-Saxons qui ne peuvent imaginer sans douleur un continent européen qui trace son chemin économique et financier sans eux. Même Mervyn King, le patron de la Banque d'Angleterre, croit à une intégration accélérée de la zone Euro sous l'effet de la crise, d'après Wikileaks qui relate ses conversations avec des diplomates américains (source : Telegraph, 06/12/2010). Notre travail, pour ce qui est de l'Euro, se concentre donc sur l'anticipation du laborieux parcours d'adaptation de la zone Euro à son nouveau statut d'Euroland, dans le contexte de la crise systémique globale. Au passage, il est utile de noter que cette débauche de critiques et analyses que prodiguent pour l'essentiel les médias américains et surtout britanniques a une utilité indéniable pour les responsables de l'Euroland : elle éclaire tous les recoins du chemin de la zone Euro, condition sine qua non pour éviter les écueils. C'est paradoxal, mais c'est un avantage dont ne bénéficient ni les dirigeants britanniques, ni les dirigeants américains … sauf quand ils lisent GEAB.

(9) Et non pas par rapport à des devises « sur mesure » comme c'est le cas pour le Dollar Index.

(10) Le New York Times a mis en ligne un jeu très instructif intitulé « Vous réglez le problème budgétaire » qui permet à chaque internaute de tenter de rétablir l'état des finances publiques fédérales en fonction de ses priorités socio-économiques et politiques. N'hésitez pas à vous placer dans la peau d'un décideur de Washington et vous constaterez que seule la volonté politique manque pour régler le problème. Source : New York Times, 11/2010

(11) Sources : CNBC, 26/11/2010 ; Le Temps, 10/12/2010 ; USAToday, 30/11/2010 ; New York Times, 04/12/2010

(12) Les Etats-Unis finançant leurs déficits par une ponction quotidienne énorme de l'épargne mondiale disponible, la crédibilité et l'efficacité diplomatique du pays sont donc deux paramètres essentiels pour sa survie financière. Or les récentes révélations de Wikileaks sont très dommageables à la crédibilité du Département d'Etat, tandis que le récent échec complet des nouvelles négociations Israël-Palestine illustre une inefficacité croissante de la diplomatie américaine, déjà bien sensible lors du dernier G20 de Séoul. Voir analyse plus détaillée dans ce GEAB N°50. Sources : Spiegel, 08/12/2010 ; YahooNews, 07/12/2010 ; YahooNews, 08/12/2010

(13) Même les responsables chinois estiment que la situation fiscale américaine est nettement pire que celle de l'Euroland. Source : Reuters, 08/12/2010

(14) Islande, Irlande … Royaume-Uni, Etats-Unis, c'était la suite infernale de l'insolvabilité souveraine qu'avait anticipée LEAP/E2020 il y a plus de deux ans. Le processus suit son cours à une vitesse plus lente que nous l'avions prévue mais l’année 2011 risque de s'avérer une année de « rattrapage ». Le Royaume-Uni tente actuellement de se sauver au prix d'une formidable amputation socio-économique dont les violences étudiantes, y compris contre la famille royale (phénomène rarissime), témoignent de l'impopularité. Mais l'ampleur de son endettement, son isolement financier et le sauvetage par l'Etat de ses bombes bancaires (comme l'a fait l'Irlande) rendent cette fuite en avant très périlleuse, socialement, économiquement et financièrement. Quant aux Etats-Unis, leurs dirigeants semblent tout faire (en « ne faisant rien ») pour s'assurer que 2011 soit vraiment l'année de la « Chute du Mur Dollar » comme l'avait anticipé LEAP/E2020 en Janvier 2006.

(15) Comme le souligne Liam Halligan dans le Telegraph du 11/12/2010, cette évolution des taux ne présage rien de bon pour la dette US et traduit ce que l'équipe de LEAP/E2020 a anticipé il y a plus de deux ans déjà : nous atteignons le moment de vérité où l'épargne mondiale disponible ne suffit plus à satisfaire les besoins de l'Occident, et en particulier le besoin gargantuesque des Etats-Unis.

(16) Elément souligné depuis plus de quatre ans par l'équipe du GEAB.

(17) Fonds Européen de Stabilisation Financière, réglementation des hedge funds, limitation drastique des bonus bancaires, réglementation stricte des agences de notation, surveillance budgétaire, prochain renforcement de l'ensemble de la régulation financière du marché intérieur européen, première agence de notation de l'Euroland, … Sources : European Voice, 26/10/2010 ; Deutsche Welle, 05/11/2010 ; Reuters, 13/07/2010 ; ABBL, 08/12/2010 ; BaFin, 16/11/2010

(18) Wolfgang Schauble, le ministre des Finances allemand est pour l'instant le seul homme politique à oser clairement annoncer la couleur dans sa récente interview au magazine populaire Bild, dans laquelle il indique que, d'ici dix ans, les pays de l'Euroland auront réalisé une véritable intégration politique. Karl Lamers, son collègue en charge des affaires européennes au sein de la CDU identifie quant à lui la crise à une chance pour l'Europe et pour l'Allemagne, tout comme d'ailleurs la trop rare voix américaine de Rex Nutting dans le Wall Street Journal du 08/12/2010. Côté technocrate, le président de la BCE, Jean-Claude Trichet, appelle lui à une « fédération budgétaire » de l'Euroland. Sources : EUObserver, 13/12/2010 ; DeutschlandFunk, 09/12/2010 ; EUObserver, 01/12/2010

(19) Depuis plus d'une décennie, les opinions publiques des pays de l'Euroland sont en effet beaucoup plus « intégrationnistes » que leurs élites. Ainsi, le rejet du projet de Constitution européenne en 2005 en France et aux Pays-Bas n'aurait jamais eu lieu sans la participation d'une partie des « pro-Européens » au vote « Non ». Ils rejetaient ainsi ce qu'ils estimaient être un projet trop timide en matière politique, démocratique et sociale.

(20) Les dirigeants européens sont un peu comme la tortue de la fable de Jean de La Fontaine « Le lièvre et la tortue » … mais dont la course serait commentée par des lièvres !

(21) A ce propos, ces futurs dirigeants politiques de l'Euroland seraient bien inspirés de s'entraîner à apprendre au plus vite à gérer l'Euroland grâce aux deux jeux interactifs, Economia et Inflation Island, que la Banque Centrale Européenne vient de mettre à disposition du public.

(22) Comme le répète LEAP/E2020 depuis près de deux ans, l'austérité européenne n'est politiquement viable que si elle s'accompagne d'une indéniable équité fiscale et sociale et de la mise en place de grands projets démocratiques et sociaux à l'échelle de l'Euroland. C'est là que se trouve à moyen/long terme la vraie faiblesse de l'Euroland ; pas dans les dettes souveraines des pays périphériques. En guise d'illustration de cet aspect, il est utile de regarder la très intéressante série de reportages vidéos que le New York Times a réalisée au cours de l'été 2010, intitulée « The Austerity Zone: Life in the New Europe ».

(23) Au vu de l'évidente difficulté des élites américaines à comprendre les processus en cours en Europe, LEAP/E2020 souhaite apporter sa contribution au débat qui fait actuellement rage sur les campus universitaires US où l'austérité budgétaire entraîne des coupes sombres dans les enseignements linguistiques. As always, behind budgetary justifications, several 'hidden agendas' can be identified as well as candid lack of understanding of what's going on in the rest of the world regarding languages. A perfect example of both trends seems to be Richard N. Haas, former key official of the US State Department in G.W. Bush administration, and now the president of the influential Council of Foreign Relations, who strongly advocates pushing French, German and Russian languages out of US campuses. With such 'enlighthened and fair' advisers (qualified as having « an intellectual deficit » to understand 21st century world at the GlobalEurope seminars of The Hague and Washington in 2004/2005), US students are doomed to be less and less able to understand tomorrow's world. Therefore, LEAP/E2020 finds timely to circulate again its 2007 anticipation entitled 'Which languages will the Europeans speak in 2025?'.

(24) Ce seront des obligations qui seront empruntées par l’ensemble des pays de l'Euroland et par d'autres états-membres de l'UE qui souhaiteront s'y associer comme l'ont fait en Mai 2010 les autres pays, sauf le Royaume-Uni, pour le Fonds Européen de Stabilisation Financière.

(25) Malgré les dénégations des officiels français et allemands, ces Eurobligations sont au menu de toutes les discussions informelles des dirigeants de l'Euroland. Source : Euroinvestor, 10/12/2010

(26) Il est probable d'ailleurs que la montée en puissance des renouvellements politiques prévus en France dès le Printemps 2012, et peut-être à cette date aussi en Allemagne, feront de ces sujets de vrais thèmes de campagne dès la fin de l'été 2011.

(27) Liam Halligan, décidément l'un des meilleurs observateurs britanniques de la crise globale, a ainsi tout-à-fait raison de souligner dans le Telegraph du 27/11/2010 qu'Angela Merkel (et bien d'autres responsables de l'Euroland) a bien l'intention de faire payer aux investisseurs une part significative de leurs paris irlandais, grecs, … Mais cela se fera de manière organisée, selon une stratégie efficace et brutale dont les Etats forts ont l'habitude ; pas dans la panique, à l'occasion d'une mini-crise.

(28) Et dont nous répétons que, selon nos anticipations, ils seront probablement les dirigeants politiques les plus indépendants du lobby bancaire depuis les années 1990.

(29) Ce sera aussi un moyen organisé de réduire « manu militari » le bilan dégradé des grandes banques européennes.

Mercredi 15 Décembre 2010

- Communiqué public GEAB N°50 (15 décembre 2010) -



Jeudi 16 Décembre 2010

http://www.leap2020.eu/GEAB-N-50-est-disponible--Crise-Systemique-Globale-Second-Semestre-2011-Contexte-europeen-et-catalyseur-US-Explosion-de_a5617.html

Israel behind civil wars in the West : The case of the 'English' Jewish Defense League (EDL another MI5 creature designed to spark a civil war to protect the zio elite in London)

EDL - the writing on the wall


Written by Karima Hamdan
Another weekend, another EDL protest in a city in England. This time it is Peterborough and early reports suggests that despite the heavy police presence, the 500 plus tattooed protesters screaming out anti-Muslim invective engaged in several acts of violence and there were several arrests.

In mid-2009, when the English Defence League was formed, it comprised a disparate group of football thugs at a loose end when not beating each other up on match days. Everyone expected them to get bored and wander off to the nearest pub but here we are 18 months and 20 violent demonstrations later and the EDL seems to be going from strength to strength.
There are some in the Muslim and wider community who are quite unfazed by the EDL; their reasoning is that we have always had some violent football hooligans in the UK and they have simply shifted their dead-eyed gaze from ‘Pakis’ to Muslims, so no change there... apparently. However, a recent radio documentary for the BBC Asian Network called ‘Who’s afraid of the EDL’ has put paid to this idea.
Anyone listening to the documentary would never again be able to accept the EDL rhetoric that they are not against all Muslims, just ‘extremist’ ones. It is entirely clear that the only Muslims deemed acceptable by the EDL are those whose lifestyles and actions are so distant from Islam that they are no longer recognisable as Muslims. This point was reiterated last month in a Radio 5 Live interview with Stephen Lennon (aka Tommy Robinson), the leader of the EDL, in which he stated that “The root cause of the problem is Islam. It’s the Quran”.
The EDL’s definition of an ‘extremist’, therefore, is a Muslim who believes that the Quran is the unaltered word of Allah; just as its definition of a ‘moderate’ is someone who feels that the Quran can be jettisoned from Islam if it is deemed too non-PC at any particular time.
Indeed, Guramit Singh - the Beavis to Tommy Robinson’s Butthead - waxes lyrical about how as a Sikh he is uniquely placed to fight Islam because he follows in the footsteps of many Sikh gurus who fought the Moghuls in India. Quite what the Guru Gobind Singh (who compared the cutting of a Sikh’s man’s hair with incest, and declared any Sikh who did so an apostate) would make of the beardless, bald Guramit is anyone’s guess.
Aside from exposing the real nature of the EDL, which many of us suspected anyway, the documentary also interviews EDL expert Dr Matthew Goodwin, a lecturer from the University of Nottingham.
Goodwin notes that the EDL’s current modus operandi of bussing in protestors to hold violent demonstrations has not been seen in the UK on such a scale for the last 40 years. He also pointed out that the EDL’s current strengthening of ties with right wing US groups like the Tea Party, as well as fringe elements like the Quran-burning Pastor Terry Jones (whom the EDL has invited to speak at a rally next year), is completely unprecedented in the history of the UK’s far right. He warns that as these ties deepen, allowing the EDL to gain access to the resources, planning and finances available to the right wing in the US, the EDL will become an even greater force to be reckoned with.
The police, who are already struggling to cope with the demonstrations, have had their resources stretched further with the EDL now utilising ‘flash mobs’. This is where a local division arranges a protest (usually in front of a mosque or halal takeaway or school) on short notice, typically via text message and using a social networking platform, enabling the mob to arrive en masse, with the constabulary playing catch up. One senior police officer is quoted as saying that ‘we never expected them to still be going 18 months on’. In an era of severe cuts to public services that are anticipated to bite in the coming months, one wonders about the ability of the police (with fewer resources) to control the EDL.
The popularity of the EDL is not limited to the 1,000 or so football thugs that regularly turn up to its demonstrations. It takes great pains to show its commitment to diversity that has become a bit more sophisticated than its initial attempts, where the mob would stop “Sieg Heiling” for five minutes and trot out the only black and brown men on the demonstration, kiss them in public whilst drunkenly slurring about how much they love ‘pakis’ and ‘blacks’. Their main Facebook page is ‘liked’ by nearly 65,000 people and they boast of having a groundswell of diverse support including a Jewish Division, a Pakistani Christian Division, a Sikh Division, a Homosexual Division, as well as nearly 900 serving military personnel who are fully paid up members. They assert that the support among squaddies runs deep, with a spokeswoman for the EDL, whose husband is a serving soldier, claiming that: ‘The soldiers are fighting Islamic extremism in Afghanistan and Iraq and the EDL are fighting it here… Not all the armed forces support the English Defence League but a majority do.’

So there we have it: a veritable army of violence-prone, anti-Muslim thugs, coupled with a police force with a diminishing ability to cope. When this is played out against a backdrop of shocking Islamophobic rhetoric spewed forth by a cabal of right wing newspapers and journalists (as 
we and manymany others have reported on in the past), we can see that British society has a definite ‘situation’ on its hands.

A quick word to those who labour under the misconception that whilst our press is robust, it is also regulated. It should be pointed out that the media industry, which informs the opinions and decisions of the vast majority of people in this country, is policed by that most craven, gutless and toothless of watchdogs, the Press Complaints Commission (PCC). The PCC is entirely funded by the industry it seeks to regulate, a situation that has been described as the mafia running the local police station. It lacks any sort of legal power, makes all of its decisions in secret and, because it is not constituted as a public body under freedom of information legislation, its actions cannot be scrutinised by anyone except itself.
It should come as no surprise that a recent report, launched just 2 weeks ago by the European Muslim Research Centre (EMRC) based at Exeter University, about Islamophobia and anti-Muslim hate crimes, showed that not only are Muslims targeted in racist and anti-immigrant street violence that has been ongoing since the 1960s, they are now experiencing increased levels of violence, threats and intimidation aimed at them specifically because of their religion.

This has led several Islamophobes to accuse Muslims of being whingers complaining about an entirely fabricated problem, on the basis that the reported numbers of anti-Muslim hate crimes are low compared with, for example, anti-Semitic hate crimes. There are several reasons for this. Firstly, the Jewish community has an extremely well organised and well funded organisation called the Community Security Trust, which encourages, enables and facilitates the accurate and speedy reporting of any hate crime suffered by Jews in this country. It also produces a slick, glossy annual report which is circulated widely among MPs, journalists and other opinion makers. Ethnic minorities (of which Muslims form a substantial part) on the other hand have always traditionally under-reported hate crime, whether it was Paki-bashing in the 1960s or Muslim-bashing in the 2010s, there has been a reluctance to approach the police. This is understandable against the backdrop of a 70% increase in the rates of police ‘stop and search’ within the Asian population.
But, never fear! Help is at hand in the form of the All Party Parliamentary Group on Islamophobia, launched on 25 November 2010. At its inaugural meeting, members (who include the niqab-allergic Jack Straw) waxed lyrical about their deep desire to do right by the Muslim community. The Muslim lobby group, iEngage, was to serve as the secretariat for the group with the expectation that it would ensure that the worries, concerns and expectations of the British Muslim community were not lost on the inhabitants of the Westminster village. Well, iEngage was going to be the secretariat of the group until it fell foul of the beady glare of one of the UK’s most anti-Muslim journalists: Andrew Gilligan.

For those who don’t quite remember anything else about Gilligan aside from some vague recollections about a sexed up dossier, 45 minutes and Dr David Kelly,former London Mayor Ken Livingstone sums it up nicely“Basically what Gilligan did was what has destroyed so many otherwise good coppers, they’ve caught a criminal but they haven’t got the evidence, so they falsify the evidence. If Gilligan hadn’t distorted what Kelly had said, grossly exaggerated it, Kelly would be alive today.

Despite his protestations to the contrary, Gilligan is finding it difficult to distance himself from this. Mehdi Hasan has also done a masterful job in dissecting Andrew Gilligan’s many character flaws in his excellent article, ‘The Truth about Andrew Gilligan’.  It is also telling that Gilligan is becoming the favourite journalist of the EDL.

These days, Gilligan seems to be channelling the spirit of the paranoid 1960s General Douglas MacArthur, although Gilligan is seeing ‘Islamists’ rather than ‘Reds’ under his bed. On his Telegraph blog, Gilligan described iEngage’s link with this All Party Committee as an ‘Islamist bridgehead into Parliament’. That was enough to put the wind up several MPs, who insisted that iEngage should be sacked from the committee.

So there we have it. The first decision of the All Party Parliamentary Group into Islamophobia is to respond to a witch-hunt by one of the country’s leading anti-Muslim journalists by sacking its secretariat, which was one of the few things lending it any credibility in the first place. One can only wonder why, when there is such a large and obvious Islamophobic problem as the EDL, along with the right wing hate mongers in the press, is there any need for a navel gazing, All Party Parliamentary Group to endlessly prevaricate and pontificate over it.

A beefing up of the Press Complaints Commission’s legal rights, in addition to making it properly independent and transparent would have solved at least half the problem. The other half could be solved by a more effective use of the police in preventing the EDL from marching and screaming out its incitement in predominantly Muslim areas. This excellent article written by a journalist arrested during the 1980s miners’ strikes points out that when the government has a will to crush a movement, it can very effectively deploy the police in order to do so.

Moreover, the stifling of the freedom to protest can easily be justified given the clear link between activities of the EDL and recruitment by violent Islamic extremists. Conversely, whenever Muslims’ protest in an offensive way - such as the recent poppy burning debacle - there is a sharp rise in the membership and activities of the EDL. With this vicious cycle of two extremes feeding off each other, one can see that the usual exemption of freedom of speech (i.e. ‘yelling fire in a crowded theatre’) pales into insignificance when what these two groups are trying to do is set fire to a whole society.

Ignoring the EDL hasn’t worked. If anything, it has metamorphosed from a drunken rabble into an organised, uniformed quasi-military force, their black shirts eerily echoing the brown shirts of the Hitler youth, whose membership went on to become the core of the Nazi army. No one should be deceived into thinking that this is a rag-tag bunch of unemployed football hooligans; in fact, they are the foot soldiers of an orchestrated movement, as explained by the businessman architect of their strategy, Alan Lake. What Lake has done is to provide a broad, networked platform that links pseudo-intellectuals like Daniel Pipes and Robert Spencer (seen as the brains that can win the arguments) with the tattooed thug that is the brawn that will hammer these arguments home:

“We have got people out there who can win these arguments, people like Robert Spencer, Daniel Pipes, Brigitte Gabriel.”

“Another strategy we're trying to do in the UK, is reach out to more physical groups like football fans, get them involved. Well actually they're contacting us, because they're concerned, and these are people who are happy to go out on the street. I mean your average intellectual is happy typing on his PC, but we've reached the end of that road. You're not going to get a fat lot more mileage out of that... So if you can engage with the physical groups, people who are quite happy to go on the street, the thing about the football fans is they go see a match, and then after the match, they're already there on the street, so if you can then bring them off for a demo that works really well. You get the numbers. And they're not scared as well. Everybody else is scared of being beaten up and attacked. They're not scared of that.”

Now, more than ever, the All Party Parliamentary Group must prove that it is not some over funded talking shop and that it takes serious and effective measures against what has to be one of the most pressing problems within Cameron’s big society. Ask any Muslim, and you will find that there has been an astonishing rise in the number of hate crimes directed against Muslims, both as individuals and institutions, like mosques and schools. By the mercy of Allah, most of the attacks against mosques have been poorly planned and executed and have not resulted in any loss of life or injury, but how long will it be before a mosque is effectively targeted and there are injuries and fatalities? This rubicon will signal the beginning of the end of our society as we know it and when it starts to spiral out of control, all that politicians will be able to do is lament that they didn’t do something sooner.

"All that is necessary for the triumph of evil is that good men do nothing." (Edmund Burke)

“Whoever among you sees an evil, then let him change it with his hand; if he cannot, then with his tongue; and if he cannot, then with his heart – and that is the weakest of faith.”
(Prophet Muhammad, sallallaahu alayhi wasallam, peace be upon him)


http://www.ummahpulse.com/2010/12/edl-writing-on-wall.html










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