Les peuples Musulmans sont prets au combat : Le " Rendez-vous " de Septembre , tourmente l'armée sioniste
La 'brigade Kfir' est chargée de faire le nettoyage ethnique, le plan du Dajjal est a l'oeuvre, Israel va expulser tous les Palestiniens avant la venue prochaine de leur machiah, l'Antechrist-Dajjal. Il y a des signes qui ne trompent plus personne, le Sceau des prophetes Muhammad saws, a averti de cela, il y a plus de 1400 ans: 'Il n'y a pas eu un prophète avant moi qui n’a effrayé sa communauté avec le Dajjal. Son œil gauche louchera et il y aura une membrane au-dessus de son œil droit. Et le mot “kafir (infidèle)” sera écrit sur son front....' (Hadith rapporté par Safina (ra), Ramûz al-Ahâdith, 140/11).
Al-Nassera – CPI Un haut responsable de l'armée sioniste a confirmé que les troupes et les brigades de l'armée continuent à effectuer des préparatifs militaires pour simuler "toute urgence" face à un mouvement populaire palestinien de solidarité en septembre prochain pour soutenir la résolution de l'ONU de reconnaissance d'un Etat Palestinien indépendant. Le commandant de la "Brigade Kfir" dans l'armée sioniste, Audi Ben Muhe, a déclaré que sa brigade prépare ses soldats avec tous les matériels et moyens de combats, et qu'elle les soumet à des entraînements appropriés pour répondre aux démonstrations qui sont attendues sur l'ensemble des territoires palestiniens pour soutenir l'échéance de septembre. Dans des déclarations publiées par le journal sioniste "Israël Hume" das son édition de mardi 26/7, Ben Muhe a ajouté que l'armée sioniste se prépare sur tous les niveaux pour faire face à tout incident probable en septembre prochain, et qu'elle enregistrera un grand succès si elle surmonte les événements de septembre sans causer la mort ou des blessés des deux côtés. Dans le même contexte, il a souligné que la direction de l'armée sioniste a nommé la "Brigade Kfir" en raison de sa supériorité dans le domaine militaire et numérique sur le reste des brigades. Ce qui a incité l'armée sioniste à choisir cette brigade pour le travail sur les frontières nord et sud des territoires palestiniens occupés en 1948 pour toute confrontation à venir, après qu'elle a déjà travaillé par le passé en Cisjordanie occupée seulement. L'invasion programmée depuis 1999 de la Libye, puis celle de l'Egypte et de l'Algerie, Maroc, Mauritanie, Niger, Mali, Tchad, Soudan est un plan israelienDernière heure: L'Algérie dans le collimateur de l' OTAN
Voici les faits,tels que rapportés par la lettre MED
Les Etats-Unis ont ouvert une enquête au sujet d'un navire battant pavillon libyen, qui aurait mouillé le 19 juillet courant au port algérien de Djendjen, d'où sa cargaison d'armes fut acheminée vers la Libye. Les armes ont été convoyées par des relais de l'armée algérienne à travers le sud-est du Sahara algérien, jusqu’en Libye, où elles ont été remises à des hommes du colonel Kadhafi.
Un responsable du Département d'Etat américain, qui a dévoilé les dessous de cette opération qu’il a vigoureusement condamnée, a accusé l'Algérie d'avoir violé les dispositions de la résolution 1973 du Conseil de Sécurité. "Nous sommes au courant de rapports indiquant qu'un navire transportant des armes destinées au régime de Kadhafi a été autorisé récemment à mouiller (dans un port) en Algérie, et que ces armes sont actuellement en train d'être acheminées par voie terrestre vers la Libye voisine", a précisé le responsable du Département d'Etat.
Les Etats-Unis sont en train de vérifier ces informations, et qui, " si elles s'avèrent justes, constitueraient une violation des résolutions 1970 et 1973 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies", a encore affirmé le responsable américain. Voici l'avertissement lancé par Louisa Hanoune au nom du Parti des travailleurs d'Algérie. « l’Algérie est dans le collimateur des pays occidentaux qui mènent cette offensive contre le régime d’El Gueddafi. La souveraineté des pays du Maghreb est menacée », a-t-elle averti lors de l’ouverture des travaux de son bureau politique à Alger ayant porté sur l’actualité de la scène politique nationale, régionale et internationale. Pour la pasionaria du PT, cette opération militaire est le prélude à l’exécution du scénario américain de la guerre au Sahel. « Cette agression sent l’odeur du plan Pan-Sahel, de l’Africom, et du projet du Grand Moyen-Orient », a-t-elle dénoncé. Selon Mme Hanoune, ces projets visent la dislocation des pays de ces régions en vue d’accaparer leurs richesses. Elle a lancé, en ce sens, un véritable SOS contre la reconduction du scénario du Soudan. « Le Soudan était le plus grand pays de l’Afrique. Sa souveraineté a été réduite en miettes après la scission du Sud », a-t-elle rappelé. Et l’Algérie dans tous ces scénarii ? La lecture de Mme Hanoune est sans équivoque : l’Algérie est sur les tablettes des grandes puissances. « Aujourd’hui, le secrétaire général de l’Ugta, Abdelmadjid Sidi Saïd, a déclaré qu’il a pu extraire l’Algérie de la liste des pays arabes non démocrates, lors des travaux du Bureau international du travail en Suisse », a-t-elle souligné. Elle a également salué la position de l’Algérie concernant l’offensive militaire menée par la France, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada et d’autres pays contre la Libye. .
Nul doute que nous sommes au début d'une campagne ou les partisans de la démocratie par les bombes vont s'en prendre à la souveraineté d'une autre nation Africaine. Une de plus, une de trop.
http://www.cameroonvoice.com/news/news.rcv?id=4256#
L'OTAN sait que son agression continue provoquera la chute de ses harkis locaux du Makhzen, DRS-DST, police secrete de Ben Ali et des harkis dirigés par Tantawi en Egypte. Les harkis de la France-Israel a Alger et Rabat sont dans le collimateur et seront sacrifiés car travaillant a l'invasion, demantelement et regionalisation de l'Afrique du Nord pour le soumettre a Israel dans le cadre du plan du 'Grand Moyen Orient' 2020. La Turquie et les pays limitrophes de la mer Caspienne seront divisées en sous-region de la meme maniere, avant que ces blocs ne soient integres au nouvel ensemble du marché transatlantique. Les pays du Golf seront egalement demantelés et les bani quneyqa3 des Al Saud construisent en ce moment sous le projet 'Mecca 2020' le lieu ou siegera une copie d'un 'super-vatican' de l'Islaam, representé par tout sauf des Musulmans. Parallelement, Israel expulse tous les Palestiniens vers les pays Arabes en pleine revolte contre les dictateurs sionistes selon le plan de Ynnon Oded de 1982, qui prevoit 'la balkanisation' du Moyen Orient et de l'Afrique du Nord... ou 'regionalisation' selon le pleonasme de Brussel. L'Europe elle-meme soumise en ce moment a l'attaque des financiers et banksters sionistes pour mieux demanteler tous les etats-nations et les transformer en sous-regions comme au moyen age. Il est maintenant difficile pour nos ennemis de nier la realité de ces faits.
L'armée des harkis de la France-Israel en Algérie coopere avec l'OTAN. Pauvres bougres, ils n'ont pas encore compris qu'ils creusaient leurs propres tombes et qu'ils s'y jettent d'eux memes en servant Israel et son armée de mercenaires européens de l'OTAN. Ces harkis soutiennent Al Qaeddafi et le CNT dans une guerre civile qui profite uniquement a Israel, parions sur le massacre organisés des generaux egyptiens et algeriens et leurs morts violentes dans des frappes chirurgicales... probablement dirigées par les reseaux clandestins de l'OTAN-Israel pour blamer les 'islamistes' et etendre la guerre civile partout. Des generaux du DRS-DST ont entrepris des demarches pour nous contacter afin de savoir ce qui se tramait (ils sont aveugles et ne peuvent meme pas analyser la situation). Selon leurs sources israeliennes de la DCRI, rien n'est au programme, mais la peur dicte leur mouvements, 'leurs familles et leurs biens ont été mises a l'abri' en Italie, Portugal, Espagne, France, Allemagne, Ireland, Etats-Unis, Canada, Suede, Norvege. Les reseaux du harki en chef, le criminel de guerre Nezzar, font le tour des capitales européenes pour demander des explications et convaincre de ne pas envahir la Libye car faisant le jeu des 'islamistes', leur sur-exposition les meneraient au massacre, mais tel est le plan sioniste, etendre les guerres civiles partout et la destabilisation, voila ce que vous avez gagné a servir Israel....
A ce propos, lire l'excellent article de Rick Rozoff ecrit en 2009 sur le role de l'OTAN dans la soumission des Arabes a Israel et les pans d'invasion des pays du Golf a l'Afrique du Nord.
Islamic-Intelligence Pax talmudica: La franc maconnerie est un outil colonial talmudo-sioniste. Les premiers franc macons sont des juifs sionistes heretiques qui ont été punis par le prophete Salomon, que la paix soit sur lui, car ils adoraient les djinns, comme Pharaon le faisait. Le projet franc maconnique de gouvernement mondial n'est rien d'autre que celui de la domination du talmudo-sionisme et la preparation de la venue de leur faux prophete 'machiah', Antechrist-Dajjal chez les Chrétiens et chez les Musulmans, a partir d'Al Quds (Jerusalem).Anders Behring Breivik, « pionnier du Nouvel Ordre Mondial »C’est ainsi que le terroriste d’Oslo se décrit dans son manifeste à la page 1225, paragraphe : « les pionniers du Nouvel Ordre Mondial » « Nous sommes parmi les pères fondateurs du nouvel ordre mondial. Les martyrs conservateurs d’aujourd’hui, à la fois démocrates et révolutionnaires, on se souviendra de nous, et on sera célébrés comme les pères fondateurs quand notre ordre mondial culturellement conservateur aura été établi d’ici 20-70 ans en Europe. » « The pioneers of the new world orderhttp://infoguerilla.fr/?p=11341&cpage=1#comment-3078 Le franc macon sioniste Breivik, dans son manifeste, a confirmé ce que nos sources nous avaient révélé en Novembre 2008, la France-Israel preparait des attaques a la bombe sale en France. Seul ce blog, sur le net, parlait de ce type d'attaque, la DCRI, sous controle de Tel Aviv, a pris plusieurs coups terribles, qu'elle n'a jamais pu encaissé, l'affaire Breivik va reveler l'ampleur des plans de la France-Israel. Les dernieres revelations, pour les neophytes, de Mediapart demontrent que nos information sur la Libye sont encore plus vraies, et que l'assassinat de Rafik Hariri pour cause de detournements des retro-commissions avec Chirac, est directement lié au mossad et a la maison mossad de France (Sarkozy, Balladur, Squarcini, Gueant, Pasqua, Copevici, etc...). Dans ce genre de situation, le gouvernement en total manque de credibilité fait sauter des bombes, et tue un maximum de civils pour rester au pouvoir. La destabilisation des israeliens d'Europe se fait maintenant a l'echelle continentale, Sarkozy et Gueant n'ont d'autres choix que de declencher leurs attentats pour sauver leurs tetes...Les documents Takieddine, l'enquête Sarkozy/Guéant : le soupçon libyenMediapart publie une dizaine de documents confidentiels qui dévoilent la face cachée du cabinet de Nicolas Sarkozy, du ministère de l'intérieur à l'Elysée.
Grâce à l'appui du ministère français de l'intérieur, Ziad Takieddine a notamment obtenu, en avril 2007, en pleine campagne présidentielle, des commissions occultes sur un marché de livraison de matériel de guerre électronique vendu par la société i2e (filiale du groupe Bull) à la Libye. Sur ce premier contrat, destiné à crypter les communications du régime et à contrer la surveillance des services secrets occidentaux, un montant de 4,5 millions d'euros a été versé à M. Takieddine. D'autres versements suivront.
C. Guéant© ReutersLa collusion de Claude Guéant, alors haut fonctionnaire, avec un intermédiaire de l'armement, proscrite par tous les usages, relève du jamais vu. Selon nos documents, l'homme d'affaires, soupçonné depuis quinze ans d'avoir secrètement financé la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, aurait promis à Claude Guéant «un contrôle total»sur les futurs marchés signés en Libye.
Ces faits engagent bien évidemment la responsabilité de l'ancien ministre de l'intérieur et actuel président de la République, Nicolas Sarkozy, sous le couvert duquel ces agissements ont été opérés. L'Elysée n'a pas souhaité répondre à nos questions.
Les relations Guéant/Takieddine ont débuté en 2003 à l'occasion du projet de vente du système de surveillance des frontières de l'Arabie saoudite. Ce contrat, baptisé "Miksa", porté par le ministre de l'intérieur, promettait à M. Takieddine une commission de 350 millions d'euros, comme Mediapart l'a déjà raconté. Mais les négociations ont été bloquées in extremis, début 2004, par le président Chirac, qui soupçonnait un possible financement politique occulte des sarkozystes en vue de l'élection présidentielle de 2007.
Un an plus tard, en 2005, l'intermédiaire ouvrait un autre front commercial sous le contrôle du ministère de l'intérieur et de son directeur de cabinet: la Libye. De septembre à décembre 2005, Ziad Takieddine a ainsi été l'organisateur des visites à Tripoli de Claude Guéant, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'intérieur, et de Brice Hortefeux, ministre délégué... aux collectivités territoriales.
Après la présidentielle de 2007, c'est aussi l'artisan de la libération des infirmières bulgares, orchestrée par Guéant, avec la participation de Cecilia Sarkozy. M. Takieddine et Claude Guéant l'avaient d'ailleurs tous deux admis, l'an dernier, dans le livre Le Contrat.
Les éléments aujourd'hui en possession de Mediapart, qu'il s'agisse de notes personnelles de M. Takieddine ou de documents de la place Beauvau et de l'Elysée, montrent que derrière ces moments clés se sont en réalité profilées des négociations secrètes de contrats. Des négociations pourtant contestées par Claude Guéant, y compris sous serment, en décembre 2007, devant la commission d'enquête parlementaire sur la libération des infirmières bulgares.
Ziad TakieddineLa lune de miel entre la Libye de Kadhafi et le ministre de l'intérieur français commence dès 2005 et le retour de Nicolas Sarkozy place Beauvau.
Le 22 juin 2005, Nasr Al-Mabrouk Abdallah, secrétaire des Comités populaires de la sûreté nationale, l'homologue libyen de M.Sarkozy, salue ce retour dans un courrier officiel. Le ministre libyen y exprime son «souhait d'établir une coopération sérieuse dans tous les domaines de la sécurité», de même que sa «volonté de vous rencontrer à Paris ou à Tripoli, le plus vite possible».
Dès lors, des préparatifs sont engagés par Ziad Takieddine, comme en témoignent plusieurs notes manuscrites - en arabe -, transmises aux autorités libyennes et estampillées «très confidentiel-privé». Ces notes sont généralement adressées à Abdallah Senoussi, chef des services spéciaux libyens, beau-frère de Kadhafi et cerveau de l'attentat du DC10-UTA, dont Mediapart a déjà évoqué les liens avec Ziad Takieddine et Claude Guéant.
La visite de Guéant «doit revêtir un caractère secret»
Les marchés qui intéressent la Libye sont tous listés par l'homme d'affaires. Le premier d'entre eux concerne la vente d'un système de fabrication de passeports et cartes d'identités biométriques. Dans l'une de ses notes personnelles, M. Takieddine fait état de «l'accord donné par le ministre Sarkozy à l'exécution de ce projet» et d'un projet d'invitation, pour six jours,«des responsables de la compagnie française Sagem» chargée du projet«sous la supervision du ministre de l'Intérieur de France».
«La modernisation de l'aviation militaire, des mirages F1» est une autre priorité. «Nous souhaitons fixer un rendez-vous avec le responsable des achats militaires, le général Abdel Rahman Al-Sid», note M. Takieddine.
Z. Takieddine© drD'autres marchés sont signalés. «Parmi les sujets importants qui seront discutés, le projet de protection des frontières et des ports, il est souhaitable de préparer les discussions.» M. Takieddine explique que «la compagnie française Sagem est la première au monde dans ce domaine»et qu'il est «très urgent» d'adresser une «invitation officielle de la part des plus hauts responsables de sécurité au président de la compagnie, M. Jacques Paccard et au directeur des opérations, M. Jean-Paul Jainsky, pour déterminer les traits généraux de ce projet». Le patron de Sagem est effectivement invité en Libye avec ses deux adjoints, fin septembre 2005.
La «modernisation et rénovation des avions Sukhoi et Mirage» est l'autre marché en vue. «Nous espérons que vous discuterez avec le président de la compagnie Sagem du sujet de la réhabilitation de ces avions. (...) Il faut que vous sachiez que cette compagnie a pris en charge la modernisation des avions offerts au Pakistan par la Libye». M. Takieddine préconise aussi l'invitation du président d'Europter, Fabrice Brégier, et celle de son directeur général, Philippe Arach, pour poursuivre les pourparlers et fixer les caractéristiques des engins demandés, soit quinze hélicoptères Tigre.
Ce paysage posé, le cabinet de Nicolas Sarkozy, dirigé par Claude Guéant, entre concrètement dans le jeu libyen à la fin de l'été 2005. Et Ziad Takieddine en devient l'intermédiaire privilégié faisant fi de toutes les règles en la matière. Les échanges entre MM. Guéant et Takieddine sont tout ce qu'il y a de plus formels, comme en atteste ce document officiel du ministère de l'intérieur, transmis par le secrétariat particulier (SP) de M. Guéant:
Le 6 septembre 2005, Ziad Takieddine envoie une première note«confidentielle» à Claude Guéant dont l'objet est la «visite du ministre le 6 octobre 2005». Outre quelques sujets politiques à aborder avec les Libyens (terrorisme, immigration, Afrique du Nord...), la question des contrats est prégnante. Sur la protection des frontières, les cartes d'identités, les passeports...
Ziad Takieddine explique que la visite de M. Sarkozy devra être précédée d'une «visite préparatoire du directeur de cabinet» qui «revêt une extrême importance». L'objectif de cette visite préparatoire est, d'après le marchand d'armes, la «formulation du message et thème de la grande visite». Ziad Takieddine poursuit, laissant peu de place au doute quant à la nature réelle de la démarche: «Le "contenu", ainsi formulé", prendra en compte les sensibilités du pays, créant ainsi un "partenariat" qui permettra la réalisation de l'objectif commercial.»
L'enjeu est sensible. «La visite préparatoire est inhabituelle. Elle doit revêtir un caractère secret», écrit Ziad Takieddine, reprenant quasiment mot pour mot des formules déjà utilisées dans une de ses précédentes notes consacrée au contrat "Miksa" avec l'Arabie saoudite: «Pour cette raison, il sera préférable que CG se déplace seul et que le déplacement s'effectue "sans fanfare".»
L'homme d'affaires évoque ensuite un «autre avantage», qui ne peut que susciter le soupçon aujourd'hui. «L'autre avantage: plus d'aise pour évoquer l'autre sujet important, de la manière la plus directe...», note-il. Quel est ce mystérieux «autre sujet important»? La note ne le dit pas, mais se conclut sur une phrase qui en dit long, une nouvelle fois, sur les arrière-cuisines des relations franco-libyennes sous Sarkozy, bien avant la guerre:«Il est indispensable que le volet "commercial" de la visite ne soit pas mis en avant par les préparatifs officiels. Seulement comme un point important dans le cadre des "échanges" entre les deux pays dans le domaine de la lutte contre le terrorisme».
Chronologiquement, les événements s'enchaînent très vite. Le 10 septembre, Nicolas Sarkozy écrit à un obligé de Kadhafi, Nasr El Mabroul Abdallah, pour lui confirmer son désir de se rendre en Libye. Suivant les instructions de Takieddine, Nicolas Sarkozy propose: «Monsieur Claude Guéant, mon directeur de cabinet, pourrait se rendre à Tripoli avant la fin de septembre afin de préparer les entretiens que nous aurons.»
Le 22 septembre, douze jours plus tard, Ziad Takieddine envoie une nouvelle note à Claude Guéant au sujet de sa fameuse visite préparatoire. Au sommaire des discussions: les contrats d'armement, encore et toujours. L'intermédiaire parle de la «protection des frontières effectuée par le pôle de sécurité française dirigé par Sagem et le "refit" des Mirage, Sukhoï (170 en tout)». Autant de sujets qui, en théorie, ne sont pas de la compétence du ministère de l'intérieur français, mais de celui de la défense.
4,5 millions d'euros de commissions occultes
La note évoque encore «l’implication et surveillance des travaux attenant aux contrats de sécurité et la volonté du ministère de vouloir superviser par le ministère (Civipol), afin de garantir la bonne exécution tant des travaux que du contrat» (sic).
Le lendemain, Claude Guéant écrit à son tour au ministre de la sécurité publique libyen pour confirmer son arrivée à Tripoli «le 30 septembre dans la soirée pour en repartir le dimanche 2 octobre».
Une certaine frénésie libyenne semble alors s’emparer de la place Beauvau. Le 15 novembre 2005, c’est au tour de Brice Hortefeux, qui détient alors le portefeuille de ministre délégué aux collectivités locales, de faire part de son désir de «favoriser les relations entre la Grande Jamahiriya et la France dans le cadre de la sécurité intérieure et des coopérations décentralisées».
Mais ces affaires ne sont pas toujours simples à conclure tant les clans s’opposent en France pour la Libye (comme pour l’Arabie Saoudite en 2003). Peu après la première visite de Sarkozy en Libye, M. Takieddine assure dans une note à Albdallah Senoussi que le ministre de l’intérieur a “briefé” le premier ministre et le président de la République des «résultats»de sa visite et surtout des accords ou conventions bientôt signés.
© ReutersDans cette même note, M. Takieddine assure que «Sagem est la société à laquelle le ministre (Nicolas Sarkozy, NDLR) a l’intention de confier le contrat de surveillance des frontières en entier».
Lors d’un rendez-vous en janvier 2006 avec Alain Juillet, le conseiller “intelligence économique” de Dominique de Villepin, alors à Matignon, Ziad Takieddine dévoile crûment la réalité de sa mission:
«Concernant vos analyses sur “le retour des Libanais”, écrit Takieddine, je tiens à vous dire que j’adhère totalement (…). Il y a toutes sortes de Libanais, vous le savez bien, je ne remplis pas les mêmes fonctions que Tamraz ou Traboulsi (d’autres intermédiaires libanais, NDLR): j’ai une fonction de conseil, d’ “évangélisation” du client, qui va bien au-delà de l’inévitable répartition des commissions sur les grands contrats internationaux. Tamraz, viré, car n’a aucune valeur ajoutée autre que le mal nécessaire à la répartition des dites commissions.»
En mai 2006, plusieurs contrats de consultant entre la société Sagem Défense sécurité et des sociétés offshore de Ziad Takieddine (Tri star holding, Como Holding et Al Charara company) sont préparés.
Sagem, soutenu par Sarkozy, sera finalement mis en échec à Paris par le clan Chirac, qui impose que le contrat de rénovation des mirages tombe dans l’escarcelle du groupement conduit par Dassault – tout en décapitant la direction de Sagem — l’épisode est évoqué par Jean Guisnel son livreArmes de corruption massive (éd. La Découverte, 2011).
Mais Ziad Takieddine, qui continue de s’appuyer sur l’équipe Sarkozy, ne s’avoue pas vaincu pour autant. En avril 2006, il introduit en Libye un groupe spécialisé dans la guerre électronique, I2e, basé à Aix-en-Provence, et son patron Philippe Vannier, actuel PDG du groupe Bull.
«M. Vannier a compris que le pays possède un système de radar fait par Electronica, écrit M. Takieddine dans une note personnelle datée février 2006. Les communications transitant par ces systèmes ne sont pas suffisamment protégées, voire écoutées ou brouillées». Objectif: «sécuriser ces installations» et «mettre en place un système émetteur-récepteur crypté». Cryptowall, le système de cryptage vendu par I2e, basé sur ses propres algorythmes, est particulièrement efficace et «difficile à casser».
Infirmières contre contrats
Système Echelon© (dr.)Les documents préparés par I2e vantent ainsi sa capacité à contrer le système d’écoute et d’interception américain Echelon: «Nos procédés sont complètement uniques et offrent une solution inviolable au système d’espionnage anglo-américain. Les intérêts vitaux de la Libye ne seront pas épargnés par le système Echelon. Le ministre de l’Intérieur français dispose d’une réelle connaissance corroborée par une collaboration avec la société spécialisée dans ce domaine. Il nous appartient par conséquent de vous assister à mener une investigation approfondie sur la nature des informations risquant d’être obtenues par Echelon.»
Les documents d’I2e se revendiquent donc ouvertement du ministre de l’Intérieur… Un certain Nicolas Sarkozy à l’époque.
Un premier contrat de 33 millions d’euros vise à équiper l’état-major de la marine libyenne. Le 10 avril 2007, I2e signe parallèlement des contrats de consultants avec deux sociétés offshore de M. Takieddine (Como holding et Tri Star holding).
Selon les documents en notre possession, I2e verse des commissions au marchand d’armes entre décembre 2007 et octobre 2008 – 2,4 millions d’euros pour Como holding et 2,07 millions d’euros pour Tristar. Soit un total de près de 4,5 millions d’euros de commissions que la loi française proscrit depuis 2000.
En vertu d’un autre contrat de sécurité signé par i2e avec les autorités libyennes, visant à la sécurisation des déplacements “VIP”, la société Tristar de M. Takieddine se voit promettre une nouvelle commission qui s’élève, cette fois, à 30% du montant du contrat (7 millions d’euros).
L’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 ouvre un nouveau chapitre plein de promesses. C’est en tout cas ce qu’espère Ziad Takieddine, dans une note confidentielle du 11 juin 2007:
25 juillet 2007, Tripoli© ReutersM. Takieddine préconise alors la création d’une «nouvelle société placée sous le contrôle du Gouvernement (…) afin de développer les exportations de matériels français en Libye (…), pour la promotion des matériels et systèmes de défense et de sécurité et la négociation des contrats correspondants».
« Les Libyens sont soucieux de faire profiter leur économie des retombées des contrats, via des transferts de technologie», poursuit Ziad Takieddine, qui cite pêle-mêle :
«— Une centrale Nucléaire
— Airbus A330 qui a déjà été choisi, mais arrêté en attendant l’arrivée du nouveau Président Français, et la mise en place de sa nouvelle politique, incarnant ainsi la rupture avec la politique du passé.
— Remise en vol des Mirages F1
— Les avions de chasse Rafales.»
Une autre note confidentielle du même jour (11 juin 2007) annonce un projet de déplacement à Tripoli de Brice Hortefeux, récemment nommé ministre de l’immigration et de l’identité nationale. Et la première mention du dossier des infirmières bulgares, dans les notes Takieddine, est directement corrélée avec les contrats.
«Le Ministre, Monsieur Brice Hortefeux, doit se rendre à Tripoli prochainement. Il pourrait y préparer l’officialisation des commandes pour la France
Les sujets:
— Les infirmières Bulgares : Le Ministre est chargé de la négociation de l’accord en vue du dénouement de cette affaire par la France. Le Ministre discutera avec les autorités compétentes en charge de ce dossier (…).
— La coopération et accords entre les deux pays, dans le domaine de la sécurité (frontières, cartes d’identité, passeports,et autres), Immigration. Signature d’accords souhaités par la France, faisant suite a la dernière visite du Ministre en Libye. »
En réalité, le premier rôle sera abandonné par Hortefeux au profit de Guéant.
Le mensonge de Guéant devant les députés
Entendu par la commission d’enquête parlementaire sur la libération des infirmières bulgares, le 13 décembre 2007, l’ancien secrétaire général de l’Elysée a déclaré que le projet de la libération des infirmières lui avait été soumis par Moussa Koussa, haut responsable du renseignement libyen, puis qu’il avait été évoqué lors de deux conversations téléphoniques entre Nicolas Sarkozy et Mouamar Kadhafi, les 28 mai et 29 juin 2007.
Claude Guéant a aussi assuré que la libération des infirmières obtenue le 24 juillet 2007, lors de son second déplacement à Tripoli en compagnie de Cecilia Sarkozy, après un premier voyage le 12 juillet, n’avait été assortie d’aucune contrepartie.
«Quels arguments avons-nous défendu ? Des arguments humanitaires, d’image et d’ordre politique, a-t-il expliqué sous serment. Il n’y a eu aucune contrepartie, je l’ai déjà dit et je le répète: la France n’a pas déboursé un centime ; la France n’a pas conclu le moindre contrat pendant les discussions sur la libération des infirmières et du médecin ; la France n’a pas échangé leur élargissement contre des perspectives de coopération supplémentaires.»
L’annonce de la signature d’un accord-cadre de coopération franco-libyenne et de sept accords bilatéraux, lors de la visite de Nicolas Sarkozy à Tripoli, au lendemain de la libération des infirmières, a évidemment induit l’idée d’un deal. La France offrant une réhabilitation politique ; et la Libye, des contrats.
Selon les notes de Ziad Takieddine, Claude Guéant avait mis en place le scénario de la libération des infirmières en concertation avec Abdallah Senoussi, le bras droit et beau-frère de Kadhafi. Ce qu’il a caché lors de son témoignage sous serment devant les députés.
Un cabinet d’affaires américain, nommé Patton&Boggs, a même été chargé du montage juridique par les Libyens. Le premier ministre du Qatar, Hamad Ben Jassem, jouant comme cela avait été dit un rôle de médiateur entre l’Europe, la France et l’Etat Libyen. L’avance par le Qatar du montant de l’indemnisation des familles des enfants victimes du Sida a été évoquée, mais jamais confirmée. Le rapport de la commission d’enquête parlementaire a jugé «l’étendue de l’intervention du Qatar (…) pour l’heure inconnue».
La gestion de l’opération associe étroitement le secrétaire général de l’Elysée et le marchand d’armes. En juillet, Claude Guéant transmet depuis la présidence de la République deux documents à Ziad Takieddine pour validation.
Dans un courrier adressé aux autorités libyennes le 20 juillet 2007, Claude Guéant dresse le programme des partenariats futurs entre l’Union européenne et le Libye. Il annonce déjà l’intention de la France «de renforcer sa coopération bilatérale, dans le domaine du développement technologique, du nucléaire civil, de la défense et de la formation».
M. Kadhafi© ReutersDans un autre envoi à M. Takieddine, le 29 août 2007, Claude Guéant transmet à Saif al-Islam Kadhafi un projet de déclaration du colonel Kadhafi sur la question des “contreparties” à la libération des infirmières. Il reçoit en retour une version corrigée.
Grâce à Guéant, la novlangue du business – “gagnant gagnant” – influence désormais le discours de Kadhafi…
Dès le 3 septembre 2007, M. Takieddine reprend sa plume pour souligner que «les relations avec le Président NS sont excellentes et de bon augure pour les relations entre les deux pays. Le Leader attend beaucoup de sa visite pour laquelle il convient de fixer une date rapidement».
L’homme d’affaires espère toujours obtenir la constitution de sociétés d’Etat chargées de chapeauter le commerce franco-libyen:
Jusqu'en mars dernier, Ziad Takieddine n'aura pas cessé ses diligences. Le 5 mars, la douane l'avait arrêté au Bourget, de retour de Libye, porteur d'une somme d'1,5 million d'euros. Une simple enquête préliminaire avait été ouverte contre lui pour "manquements aux obligations déclaratives" et "suspicion de blanchiment".
NATO is under Israeli control like France, Germany, Great Britain and the US.After Oslo: Time to Crack Down On Mossad Terrorismby Wayne Madsen
State-sponsored terrorism is defined by Encyclopedia Britannica as the “systematic use of violence to create a general climate of fear in a population and thereby to bring about a particular political objective [and] is employed by governments — or more often by factions within governments — against that government’s citizens, against factions within the government, or against foreign governments or groups.”
On July 22, a bomb, said to be an Oklahoma City-type explosive device, crafted with fertilizer and diesel fuel, blew up in downtown Oslo, Norway, in the heart of the government district. Shortly thereafter, a man dressed in a Norwegian police uniform opened fire on a Labor Party youth camp on the island of Utoya in Tyri fjord. Access to the island was by boat only. Over 100 people were killed in the twin terror attacks.
Almost immediately, the world’s corporate media began pushing the story that those who were responsible for the blast and mass shooting were associated with “Al Qaeda” and other radical Islamist groups. CNN’s Washington, DC chief anchor Wolf Blitzer, a former spokesman for the powerful American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) lobby and a correspondent for the Jerusalem Post, began his late afternoon program by pointing to “Al Qaeda” and radical Islamists as the chief culprits for the terrorist attacks in Norway.
CNN paraded out a number “experts,” in actuality, propagandists for the Israeli agenda linked to neo-conservative outlets and the Pentagon’s “terrorism industrial complex,” before the cameras to advance the radical Islamist meme even as Norwegian authorities pinned blame on the attack on at least one perpetrator, a Norwegian named Anders Behring Breivik. CNN constantly showed footage of frightened people in downtown Oslo running for their lives from the site of the blast, as well as still photograph of a pall of light-brown smoke over downtown Oslo. Of course, CNN’s intention was to evoke memories of the 9/11 attack in Manhattan.
Breivik, who sometimes anglicized his name as Andrew Berwick in his numerous web postings, was said to be a right-wing Islamophobe who sympathized with Zionism and who was a Freemason… Breivik was also reported to be a fundamentalist Christian but he adopted a stance against the Lutheran Church, the state church of Norway, and argued for a “collective” counter-reformation to return the Protestant churches to the control of the Vatican and the Pope. Breivik lambasted the Lutheran Church and other mainstream Protestant churches, condemning “Priests in jeans who march for Palestine.”
More incredibly, the London tabloid of Rupert Murdoch’s scandal-plagued News International, The Sun, went to press with the following false headline: “Norway’s 911: ‘Al Qaeda’ Massacre.” On March 29, 2011, Harvard Law School’s extremist Zionist Professor Alan Dershowitz penned a piece in the Murdoch-owned Wall Street Journal, a newspaper that actively discriminates against the hiring of non-Jews as reporters and editors in violation of U.S. civil rights and equal opportunity employment laws, in which he called Norway anti-Semitic. Dershowitz cited as an example former Norwegian Prime Minister Kare Willock’s criticism of President Barack Obama’s choice of Rahm Emanuel as his chief of staff because he is Jewish. In fact, Emanuel’s pro- Israeli sympathies as a former member of the Israel Defense Force are what prompted many political observers in Washington and elsewhere to question his primary loyalty to the United States.
A network of Israeli bloggers pushed a claim of responsibility on a previously-unknown group called Ansar al-Jihad al-Alami (the Helpers of the Global Jihad). The group’s claims were picked up and run by several corporate media outlets and then pulled when it was discovered the claim was a hoax. Mossad has a program to distribute bogus claims of responsibility for Islamist terrorist attacks via “Jihadist” websites that are actually operated by the Mossad and a network of “hasbaratchiks,” Israeli and foreign Jews who act as propagandists on the web. These hasbara (propaganda) agents and volunteers operate through such programs as Megaphone and GIYUS (“Give Israel Your United Support.”) After the attempt to blame the Norway attacks on Islamists failed, the “hasbaratchiks” shifted to “sock puppet” troll mode, posting comments on blogs that criticized allegations that Mossad and Zionists were behind the Norway attacks, emphasizing that such beliefs were “anti-Semitic” and wild “conspiracy theories.” Some Israeli “sock puppets” even offered lunatic suggestions that Breivik was planted by Islamists to make Israel and Zionists look bad.
When the “Islamist” connection to the holocaust in Norway was shown to be non-existent after Norwegian security and police agencies began looking at the evidence, the corporate media switched its propaganda line from “radical Islam” being responsible to “far –right extremism” opposed to multiculturalism and immigration in Europe as the culprit. Even outlets that in the past had been known for their independence from the corporate media line, including Al Jazeera and RT [formerly known as Russia Today], echoed the line that Breivik primarily represented right-wing opposition to Muslim immigrants in Europe. Al Jazeera repeated the line that Breivik was a “lone madman,” the insinuation being that he was not linked to any wider network. While Breivik certainly was associated with the far-right xenophobic elements in Norway, Europe, and North America, there was no mention by the corporate media of his admiration for such American Zionist Islamophobes as Richard Pipes and Pam Geller. Geller led the bigoted anti-Muslim campaign against an Islamic Center near the site of “Ground Zero,” the former World Trade Center site, in lower Manhattan. Breivik posted a number of his anti-Muslim and pro-Zionist screeds on the Norwegian website www.document.no, which is operated by Hans-Kristian Rustad, a Norwegian pro-Israeli journalist.
No corporate media outlets reported that the brand of far-right extremism of Breivik is closely associated with Zionist-supported far-right anti-immigrant political parties and movements in Western Europe, including the mis-named Progress Party of Norway, the Dutch Freedom Party of Islamophobe Geert Wilders, the Sweden Democrats, Finland’s True Finns Party, the Danish People’s Party, the English Defense League, the Pro-Germany Citizen’s Movement, and a pan-Nordic fascist terrorist group called “Nordiske.” Breivik also expressed support for the Tea Party in the United States…
The European anti-Muslim xenophobic network is linked to the notorious publication of Prophet Muhammad cartoons by the neo-conservative Danish newspaper Jyllands-Posten and Norway’s Dagbladet. The Euro-xenophobes are supported by the longtime Zionist Bernard-Henri Levy, the French philosopher who is a friend of French President Nicolas Sarkozy, and disgraced former International Monetary Fund managing director Dominique Strauss-Kahn. It is noteworthy that Levy is one of the major backers of the Libyan rebels fighting Muammar Qaddafi. Norway announced it was pulling its aircraft from the NATO campaign in Libya at the end of July. Norway also announced its support for Palestine’s sovereignty resolution in the UN General Assembly in September.
As more and more evidence pointed to Oslo being yet another example of a state-sponsored terrorist attack by Israel’s Mossad, the corporate media studiously avoided mentioning how the Norwegian government through its recent actions, had become a major problem for Israel and its allies abroad, especially on the Palestine sovereignty issue… In addition, Norwegian police and intelligence are painfully aware of Mossad’s past operations in Norway, including the infamous Lillehammer Affair in 1973. On July 21, 1973, Mossad agents assassinated Ali Hassan Salameh, a Moroccan waiter in Lillehammer, wrongly believing he was the operations chief for the Palestinian terrorist group “Black September.” Norwegian police arrested the Mossad agents who killed Salameh and uncovered an intricate network of Mossad safe houses, phone numbers, and Norwegian sleeper agents for Mossad.
Just as was the case with the coordinated bombings of Madrid trains on March 22, 2004 and London buses and trains on July 7, 2005, viewed by European security services as being the work of not “Al Qaeda” but domestic “radicals,” there was no link to Islamist radicals with the attacks in Norway. However, there was every indication that the attack on Norway was intended to shake up the Norwegian population and damage the reputation of the left-of-center Norwegian government of Prime Minister Jens Stoltenberg.
The corporate media insisted that Breivik was solely responsible for Norway’s worst violent attack since World War II. Norwegian police reports that a second gunman, described as having “thick dark hair and a non-Nordic appearance,” were suppressed in much of the corporate media. The time line of the Oslo attack causes anyone’s imagination to be stretched on being sold a “lone gunman/bomber” theory.
At 3:26 pm Oslo time a massive car bomb was detonated outside the office of the Prime Minister of Norway. Since July 22 was a public holiday, there were relatively few people inside the Prime Minister’s office or the surrounding offices of the Petroleum and Energy Ministry and the VG [Verdens Gang] newspaper, Norway’s largest paper.
As police responded to the downtown Oslo blast, Breivik was said to have taken a boat the Utoya island dressed as a policeman and began opening fire on young members of the Norwegian Labor Party youth camp meeting. The shooting allegedly began at 4:50 pm. Norwegian SWAT team “Delta” had trouble getting a helicopter started and struggled to find a boat to get to Utoya island. The SWAT team finally arrived on the island at 6:20 pm only to find scores of the next generation of Norwegian Labor Party leaders dead. Breivik calmly surrendered to the police. When Breivik arrived on Utoya he told police on the island that he was there for a routine security check following the bombing in downtown Oslo.
Norway’s Acting Police chief Sveinung Sponheim said the police were still investigating whether Breivik was acting with a larger network. Sponheim’s revelation countered the “lone wolf” theory advanced by corporate media outlets in Western nations.
Norway’s coalition Labor-Socialist Left government has been seen as hostile to the interests of Israel and the United States. There is now a widespread belief that the terrorist attack against Norway was engineered to shock erstwhile peaceful Norway, a nation where police generally still patrol the streets unarmed, into adopting the police state tactics of the United States, Israel, Britain, and other Western nations. Norway’s pro-Palestinian foreign policy also irked the Zionist and the far-right anti-Islamic factions in Europe and North America, as well as the governments of Israel and the United States.
In a move that complements American and Israeli propaganda that Norway has not stepped up to the surveillance state model imposed by other Western governments, the suspicious WikiLeaks decided to release U.S. State Department cables from the U.S. embassy in Oslo that criticized Norway for not recognizing the “Al Qaeda” threat and maintaining an insufficient security apparatus to combat Islamist terrorism and Pakistani immigrants.
The Barack Obama-appointed U.S. ambassador in Oslo, Barry White, who is Jewish and received a 2005 award from the pro-Israel American Jewish Committee, complained that the Norwegian Police Security Service (PST) rejected two twelve-person British MI-6 intelligence surveillance teams to monitor an “Al Qaeda” cell in Norway. Last November, the Norwegian government was shocked to learn that the U.S. embassy was operating a Surveillance Detection Unit in Oslo that was monitoring Norwegian citizens. Norwegian Justice Minister Knut Storberget said he was not informed of the presence of the U.S. spy unit in Oslo, which employed retired Norwegian police and intelligence officials. The Norwegian Data Protection Commissioner, Bjorn Erik Thon, said he had never seen such an intelligence operation in Norway. White complained that Norwegian security officials were apathetic and incompetent in dealing with the Islamist “terrorist threat.” The failure of the Norwegian SWAT team to quickly respond to the massacre on Utoya may indicate that Norway’s law enforcement and security networks and command-and-control systems had been interfered with by infiltrators with knowledge of the Norwegian systems. Those retired police and intelligence officials working for the U.S. embassy’s surveillance unit are likely suspects in sabotaging the Norwegian police reaction capabilities on 7/22. Just 48 hours before the bombing in Oslo, police units were engaged in a terrorist bombing exercise at the Oslo Opera House, near what would later be “ground zero.” In addition, in the days before the terrorist bombing, there was suspicious sewer work being conducted in the area near the Prime Minister’s office.
In March, the leader of the Socialist Left, Kristen Halvorsen, the Minister of Education of Norway and a former Finance Minister, called for military action against Israel if it attacked Gaza. The Socialist Left and Labor Party, along with the Norwegian Peace Association and the Norwegian energy and telecommunications union, strongly support the Boycott Israel campaign, which includes backing the pan-European Boycott, Divestment, and Sanctions (BDS) committee and an embargo on arms sales to the Jewish state. In August 2010, the Norwegian pension fund divested in two Israeli companies controlled by Israeli billionaire Lev Leviev, Africa Israel Investments and its subsidiary Danya Cebus.
Halvorsen had recently met with a delegation of American Jews who complained about Norway’s “anti-Semitism,” the tired and worn-out canard used by Zionists in confronting anti-Israeli sentiment around the world. In January, Halvorsen and her husband, Christo Halvorsen, a producer for the Norsk Rikskringkasting (NRK) television and radio network, took part in an anti-Israel and U.S. march in Oslo where picket signs with phrases like “USA and Israel: Axis of Evil” appeared. The Halvorsens and NRK were subjected to a vicious campaign launched by Zionists and the Israel Lobby in Norway.
Norwegian Foreign Minister Jonas Gahr Støre of the Labor Party has been criticized by the Israel Lobby and Zionists for comparing Israel’s treatment of Palestinians to Nazi Germany’s treatment of Jews. Støre has also called for the demolition of Israel’s “Separation Wall” that runs through Palestinian territory on the West Bank, a stance that has earned him enmity and hatred from Israel’s government and their Zionist allies in the West. Store paid a visit to Utoya before the massacre. The Foreign Minister was on the island as some of the Labor Party youth were participating in a “Boycott Israel” demonstration. The city of Trondheim was criticized by Israel for funding a trip to the UN in New York for Norwegian students to participate in a play called the “Gaza Monologues.” Israel also blasted Norway for distributing a film called “Tears of Gaza.”
After Israel offered assistance to Norway, including forensic and medical assistance, as well as the evacuation of the wounded from the 7/22 attack, Norway declined the offer. The rejection of assistance from Israel indicates that the Norwegian government was suspicious of the offer from Israeli Defense Minister Ehud Barak. Other Israeli military teams in the West Bank have been accused of trafficking in human organs, an expose brought to light by the Swedish newspaper Aftonbladet in August 2009. That same month, Israel’s anti-Arab and anti-Muslim Foreign Minister Avigdor Lieberman accused Sweden and Norway of anti-Semitism, adding the outrageous charge that Norway was pro-Nazi, even though Norway’s anti-Muslim and pro-Zionist activists were affiliated with neo-Nazi organizations. On December 11, 2010, a suspicious terrorist explosion took place in downtown Stockholm, injuring two people and blamed on a Swedish-Iraqi suicide bomber. The bombing took place two weeks after the Swedish media reported that a Surveillance Detection Unit, operated form the U.S. embassy in Stockholm, was spying on Swedish citizens.
In the past few months, the Mossad has committed blatant acts of espionage and possible other terrorist attacks against nations it perceives as pro-Palestinian. During last year’s devastating earthquake in Christchurch, New Zealand, a team of Mossad agents was caught in the city. One of the agents died in the quake. The Mossad agents were found with multiple passports and thumb drives believed to have been used to download sensitive data from New Zealand government computer systems. New Zealand’s Prime Minister John Key, who seemingly came from obscurity in New Zealand politics and whose Jewish mother immigrated from England, disregarded claims of Mossad espionage during the quake, even though he spoke to Israeli Prime Minister Binyamin Netanyahu four times on the day of the quake, after the dead Mossad agent was discovered by New Zealand police and intelligence.
New Zealand’s Southland Times was criticized by New Zealand’s Jewish community and Israel for promoting “conspiracy theories,” the typical modus operandi for pro-Israeli Jews, known as sayanim and katsas, who are used by Israel abroad as propaganda and espionage agents. Ironically, Key was meeting with Obama at the White House as the bombing and shootings were occurring in Norway. Key was believed to have attended the homo-erotic annual meeting of a men-only fraternity composed of American and foreign political and business elitists at the secluded Bohemian Grove in northern California, a conclave that also saw the attendance of Israel’s most notorious agent-of-influence in America, Henry Kissinger, who also serves as Obama’s “special envoy” to the Russian leadership. Key’s Labor Party predecessor, Helen Clark, was the subject of criticism in leaked 2004 State Department cables from the U.S. embassy in Wellington for cracking down on a Mossad team’s acquisition of forged New Zealand passports. Once again, the cable leaks were courtesy of the suspect WikiLeaks operation.
One of the Mossad perpetrators, Zev William Barkan, who fled New Zealand to avoid arrest, had also been reported in the Cambodian capital of Phnom Penh, where he and other Israelis were producing pornographic and “snuff” movies, in which unsuspecting vagrants were murdered on camera.
In Egypt, Mossad agents have been accused by the present government of fomenting riots between Muslims and Coptic Christians. A recent explosion of seized Iranian weapons and ammunition being stored at a Cypriot naval base, a blast that killed the head of the Cypriot Navy, remains suspicious. The blast followed the decision of Cyprus’s left-of-center government to recognize the sovereignty of Palestine. The resulting public outrage over the blast resulted in the resignation of pro-Palestinian Foreign Minister Markos Kyprianou and a major political embarrassment for Cyprus’s president Dimitris Christofias, a member of the Communist AKEL party.
Mossad is a master at false-flag terrorist attacks designed to alter perceptions and punish opponents of Israeli policy. The fingerprints of Israeli intelligence are all over the 9/11 attacks on the United States, the 3/22 train bombings in Madrid, the 7/7 transit bombings in London, and, now, the 7/22 attacks in Norway… While the Israeli-influenced corporate media has droned on and on about the dangers of Islamist terrorism, it is now obvious that the major threat to public safety comes from the State of Israel, a rogue nation that does not hesitate to murder the innocent to achieve its sordid political aims.
http://www.veteranstoday.com/2011/07/29/126037/ |
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RAMADHAN KAREEM
Les israeliens de la guestapo du CRIF controlent la DCRI (Direction Centralisée de la Racaille Israelienne de France : D-CRIF), anciennement DST (Direction Sioniste du Terrorisme).
Roland Dumas : « Les Israéliens en font à leur guise en France… »
Coups et blessures : 50 ans de secrets partagés avec François Mitterrand… (Roland Dumas)Roland Dumas : « Les Israéliens en font à leur guise en France… »
Dans son dernier livre intitulé « Coups et blessures : 50 ans de secrets partagés avec François Mitterrand », l'ancien ministre des Affaires étrangères Roland Dumas parle de ses souvenirs auprès de l'homme, mais dénonce également l’ingérence israélienne dans les affaires françaises…
« Les Israéliens en font à leur guise en France, et manipulent les services de renseignements français (DST) comme bon leur semble », dénonce-t-il, non sans courage.
Dans son livre paru au mois d’avril dernier, le diplomate Dumas estime que les révolutions arabes sont l’événement le plus important après la fin du colonialisme et la chute du mur de Berlin. Leur impact sur Israël sera formidable. Selon lui, l’Égypte est en train de payer le prix de l’humiliation qu’elle a fait subir au peuple palestinien, et ce, par son laxisme avec les Américains et les Israéliens. L’ancien ministre des Affaires étrangères s’est aussi longuement attardé sur la Syrie. Il révèle avoir rendu visite à l’ancien président syrien Hafez al- Assad en 1992, sur une suggestion de Shimon Perez qui était alors chef de la diplomatie israélienne. Il rapporte leur longue discussion sur le Liban, durant laquelle Hafez al-Assad s’est attelé à lui expliquer que le Liban est une terre syrienne et que les problèmes sont dus aux Britanniques et aux Français qui ont opéré un partage injuste. Dumas affirme qu’il sentait qu’Assad voulait le taquiner sans aller pour autant jusqu’à remettre en question les frontières léguées par le colonialisme. « Bien au contraire, c’est une chose qu’il a refusée, lorsque certains leaders maronites la lui ont suggérée, comme l’a rapporté Karim Bakradouni », un ancien responsable des Phalanges libanaises (Kataëb). Dumas dit aussi avoir connu le président syrien actuel Bachar al-Assad. Il le qualifie d' « homme charmant qui détient un esprit plus ouvert que celui de son père, un esprit pétillant, qui ne récuse pas les questions embarrassantes », estimant que les israéliens se trompent de ne pas négocier avec lui.
Dans son ouvrage, Roland Dumas consacre tout un chapitre à l’Iran qu’il a, par ailleurs, visité plusieurs fois et où il a rencontré son ancien homologue Ali Wilayati et l’ancien président Ali Akbar Hachemi Rafsandjani. « La bombe nucléaire iranienne est, à mon avis, à l’instar des armes de destructions massives de Saddam Hussein, c’est-à-dire que je n’y crois pas. Tout ce qui se passe n’est que de l’intoxication. Les tergiversations de la politique française sont dues à des immixtions aux origines connues », a-t-il précisé, signalant que la présence d’Israël aux portes rend toute analyse différente suspecte. Dumas défend le point de vue iranien selon lequel il est nécessaire d’édifier des réacteurs nucléaires pour ses besoins énergétiques puisque son stock en pétrole devrait se tarir dans 60 ans. « Ce qui est vrai est que les Iraniens veulent poursuivre leur programme nucléaire civil et que tous les rapports indiquent qu’il n’y a pas d’armes nucléaires », conclut-il.
Roland Dumas évoque également l’affaire des otages français détenus au Liban au milieu des années 80. Il explique le retard de leur libération par l’intrusion de Jacques Chirac et de son équipe dans les négociations menées par Mitterrand avec les Iraniens. Il dévoile que Jacques Chirac, au summum de sa campagne électorale, a accordé aux Iraniens un marché plus séduisant que celui proposé par Mitterrand, afin que leur libération se fasse grâce à lui et favorise ainsi son avenir politique.
L’ancien ministre des Affaires étrangères n’hésite pas à parler de son parcours personnel, de sa vision politique et de ses choix de vie, en tant que résistant, sympathisant puis socialiste dès 1942, ancien journaliste, avocat, député, dandy, ministre puis président du Conseil constitutionnel. Il mentionne son militantisme pour la défense des militants algériens du Front de Libération Nationale (FLN) dans les années 60, ses secrets avec les présidents et avec les rois arabes…
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Reports of open massacres in Benghazi : Qatari, french, british, US troops killing unarmed civilians, dozens persons (identified as 'pro-Al Qaeddafi') killed this week end. Libyans are suffering from food restrictions imposed by NATO in the blessed month of Ramadhan and NATO invasion is near. Thousands of refugees in Tunisia are going back home in Libya despite NATO threats to kill them
In what could be a huge turning point for this poorly improvised war, the rebels have killed their own commander
By JAMES M. DORSEY (Al Arabiya)
The mysterious killing of the commander of Libyan rebel forces foreshadows the difficulties a post-Al Qathafi Libya will encounter once it embarks on a transition toward democracy irrespective of who was responsible for the assassination.
Libyan rebel leader Mustafa Abdul Jalil’s assertion that forces loyal to Libyan leader Col. Muammar Al Qathafi were responsible for the killing of General Abdul Fatah Younis and two other commanders does little to address the issues raised by the incident.
Perhaps most importantly, Mr. Jalil was denying by implication that the commander had been killed by rebel fighters.
Countering reports that General Younis had been arrested hours before his death for questioning about his relationship with Mr. Al Qathafi, Mr. Jalil suggested that the commander had been killed as he was returning to the rebel capital of Benghazi from Port Brega.
Mr. Jalil’s statements raised more questions than they provided answers. General Younis was known to have always travelled with a large security detail.
Mr. Jalil said the killers belonged to an armed gang, one of whom had been arrested, but suggested that General Younis’ body had yet to be found.
General Younis has been a controversial figure since his defection to the rebels in February. A close associate of Mr. Al Qathafi, who was with him since the mercurial colonel staged a military coup in 1969, General Younis said at the time of his defection that he could not justify the Libyan leader’s brutal crackdown on anti-government protesters.
From the moment he defected, General Younis, who served under Mr. Al Qathafi as interior minister and head of special forces, was locked into a fierce rivalry with another general, Khalifa Hifter, who had switched his allegiance for command of the rebel forces. Many rebel fighters distrusted him.
His death not only raises questions about the degree of unity within the rebel Transition National Council (TNC) at a time that the rebels have failed to make significant military advances but also calls into question the image of a movement seeking freedom and democracy that the leadership forum has been seeking to project.
The TNC has been recognized by the United States, Britain, the European Union, the Arab League and NATO as the sole legal governing authority in Libya.
The TNC’s resorting to tribal politics in the immediate aftermath of General Younis’ death however suggests the challenge post-Al Qathafi will face in trying to build institutions from scratch in a nation that has been ruled on the basis of tribes for the four decades.
TNC officials are reported to have spent significant time from the moment of General Younis’ reported detention and certainly from the moment that news of his killing started to leak in an effort to mollify angry members of the commander’s Obeidi tribe, one of the largest and most influential in largely rebel-held eastern Libya.
Many Obeidi are believed to be convinced that the TNC may have been involved in the commander’s death.
Mr. Jalil sought to counter those allegations by taking two tribal elders with him rather than members of the TNC when he announced General Younis’s murder in a terse statement at a Benghazi hotel.
Mr. Jalil repeatedly paid respect to the Obeidis for their sacrifice and understanding and praised them for the understanding they had displayed.
Dozens of angry tribesmen gathered outside the hotel hours earlier when Mr. Jalil first scheduled his delayed news conference initially believed to have been intended to confirm reports of the general’s detention for questioning.
Armed tribesmen were reported to have arrived at the hotel during the news conference firing automatic weapons in the air and at the hotel’s windows. Witnesses reported clashes between the Obeidis and other tribes.
The tribal clashes and the tribal politics surrounding General Younis’ death cast a shadow over plans to avoid once Mr. Al Qathafi has been removed from office the problems Iraq faced because of the disbanding of Saddam Hussein’s military by to keep the Libyan leader’s security forces intact and integrate them with the rebel forces.
The move would be designed to avoid the kind of sectarian violence that post-Saddam Iraq experienced. General Younis’ death suggests that a substantial peacekeeping force with a robust mandate will be needed to prevent tribal clashes and oversee the creation of a nominally unified Libyan force.
Working in favour of integration and a smooth transition is the lack of a sense of revenge and the fact that at most five percent of the Libyan population benefited truly from the Al Qathafi regime.
Ironically, in a country that didn’t tolerate dissent and association with the regime was the only way to advance, much of the rebel movement has a history with Colonel Al Qathafi.
Rebel leaders have said they only want to prosecute Mr. Al Qathafi and his closest associates and those with blood on their hands. The problem is that does not bode well for integration of the armed forces although in practice a degree of leniency may well be applied.
The mystery surrounding General Younis’ death constitutes not only a blow to the rebels but also to its NATO backers who may now be dealing with a divided movement that can’t live up to its billing and that if and when it takes over power from Mr. Al Qathafi may not have the wherewithal to build the kind of institutions Libya will need to successfully transit from autocratic one-man rule to a more open society.