C'est Israel que les occidentaux accusent de terrorisme pas les Musulmans
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Note du traducteur : WTC désigne ici le complexe du World Trade CenterMaintenant qu'une revue scientifique révisée par les pairs a finalement publié la preuve de l'arme du crime (c'est-à-dire la nano-thermite inerte), démontrant hors de tout doute que les tours du World Trade Center (WTC) 1, 2 et 7 ont été détruites par démolition contrôlée, voici d'autres faits à considérer.
Ce ne sont pas des musulmans dans une grotte afghane qui ont pu avoir accès à de la nano-thermitehautement énergique. Ce sont plutôt l'armée américaine et les scientifiques du gouvernement, tels que ceux liés au NIST.
Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction ayant obtenu un contrat de 124 millions de dollars pour la construction de la Naval Sea Systems Command (NAVSEA), à Washington DC, qui supervise l’ Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), lequel a été qualifié dans les années 90 de « Centre national d’énergétique », le terme militaire pour « travail avec des explosifs », et qui était en 199-2000 la « seule source fiable de nano-poudre d'aluminium aux États-Unis ». C’est plutôt Tom Leppert, qui le 11 septembre était PDG de Turner Construction, et qui a même écrit des parties de discours présidentiel.
Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction qui a supervisé en 2000 la démolition du dôme de Seattle (le Seatle King Dome); qui ont participé après le 11 septembre à la collecte de l'épave de la structure d'acier des tours du WTC et effectué d'importantes rénovations dans l'ensemble du complexe du WTC jusqu'à la matinée du 11 septembre, incluant la protection ignifuge des mêmes planchers qui ont été frappés par les avions et, par la suite "ont failli", alors que l'acier avait été certifié ASTM E119 par Universal Laboratories, et alors qu’au coursdes essais parrainés par le NIST sur des planchers similaires, soumis à une plus grande chaleur et avec moins de protection ignifuge que celle du WTC, les échantillons « ont été en mesure de soutenir le stress maximal admissible » sans s'effondrer et pour toute la durée des tests (2 à 3.5 heures). Le 11 septembre, c’est en fait Tom Leppert qui était PDG de Turner Construction et qui reçut ensuite le prix Torch of conscience (flambeau de la conscience) du Congrès juif des États-Unis.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait des tests de caméra sur les tours du WTC avant le premier impact des avions, qui ont dansé et célébré en se tapant dans les mains avant le second impact, alors que la plupart des spectateurs croyaient encore que c'était un terrible accident; et qui ont été pris avec des passeports étrangers, 4700 $ cachés dans une chaussette, des cartes géographiques mettant en évidence certains endroits de la ville et une fourgonnette testée positive pour les traces d'explosifs. Ce sont plutôt les Israéliens Sivan Kurzberg, Paul Kurzberg, YaronShmuel, Oded Ellner et Omer Marmari, dont plusieurs ont été identifiés comme agents du Mossad, qui ont avoué avoir été mandatés de « documenter l'événement ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été capturés le 11 septembre, travaillant en équipe avec des camionnettes pleines d'explosifs, qui ont tenté de faire sauter le pont George Washington avec l’une de ces camionnettes, qui ont fait sauter une camionnette (peinte avec une image montrant des avionsplongeant sur New York) entre la 6e et la 7e av. sur la Rue King. Ce sont plutôt des Israéliens, ce qui explique pourquoi les autorités ont fait de leur mieux pour ignorer et enterrer ces rapports,incluant celui qui rapporte une camionnette suspecte dans le sous-sol du WTC et qui l’on a fait exploser pour affaiblir la structure.
Ce ne sont pas des musulmans qui se sont faits prendre, peu après minuit le 7 Mai 2002, à proximité de la base aérienne de Whidbey Island, à Oak Harbor, Washington, (où la marine effectue des essais de munitions explosives pour des unités mobiles anti-bombe au détriment de la vie marine locale), avec un camion de location qui a testé positif à la présence de plastique explosif (TNT et RDX).
Ce sont plutôt des Israéliens, déguisés en "livreurs de meubles", mais suspects selon les autorités en raison de l'heure matinale. Les affirmations subséquentes des autorités, selon lesquelles la réaction des chiens et les premiers tests d'explosifs étaient erronés, est tellement pleine de trous que cela ne fait que démontrer la puissance du lobby israélien.
Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à New York le 11 septembre et à Londres le matin des attaques du 7 juillet. C’étaient plutôt Benjamin Netanyahu et Rudy Giuliani.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fournit un avertissement avant les attaques du 7 juillet à Londres. Ce sont plutôt Benjamin Netanyahu et le Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont transmis un avertissement deux heures avant les attentats contre le WTC, par l'intermédiaire d'une messagerie instantanée basée à Herzliya. Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce n'est pas un musulman qui a fui les États-Unis le 14 Septembre 2001, c’est plutôt Dominick Suter de Urban Moving Systems (une entreprise de déménageurs) qui a fui en Israël.
Ce ne sont pas plus d’une centaine de musulmans qui, de janvier 2000 à septembre 2001, se sont fait passer pour « des étudiants en art » et tenté de pénétrer les bureaux de la US Drug Enforcement Agency (DEA) et autres bureaux fédéraux, incluant 36 lieux sensibles du Ministère de la défense (DoD); qui ont été capturés avec des plans de bâtiments et des photographies d’agents de sécurité fédéraux; et qui ont plusieurs fois contourné la sécurité en entrant par les portes arrières ou les garages de stationnement et qui sont même entrés dans les maisons de hauts fonctionnaires fédéraux, en évitant celles de leurs voisins. Ce sont plutôt des Israéliens, aucun d’eux n'étant étudiant en arts, mais ayant souvent travaillé pour les services de renseignement militaire israélien.
Pas surprenant que la presse ait laissé sortir l’information de manière limitées en essayant de faire croire que les Israéliens « surveillaient les pirates de l'air arabes" mais ou bien ils ont failli à transmettre l'information, ou bien "l'info n'a pas été prise au sérieux"; c’est le vieux cliché de «l'échec des services de renseignement ». Les opérations israéliennes impliquant de faux " étudiants en arts" sont bien documentées, avec des noms et des descriptions. Un nombre particulièrementélevé de ces Israéliens logeaient à Irving, Dallas au Texas (p.23, lien précédent), à environ dix miles à l'ouest de la maison de Tom Leppert, située à juste un mile au nord de la maison dans laquelle George W. Bush a emménagé après avoir quitté ses fonctions.
Ce ne sont pas les pays musulmans qui ont un énorme réseau d’espionnage aux États-Unis, capable de s'infiltrer dans les réseaux de télécommunication américains utilisant l'information recueillie à des fins de chantage, c'est plutôt Israël.
Le 10 septembre 2001, ce ne sont pas des musulmans qui ont reçu l’avertissement de ne pas prendre l'avion le lendemain, ce sont plutôt le maire de San Francisco Willie Brown et un groupe de hautsfonctionnaires du Pentagone.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont signé un bail de 99 ans sur les tours jumelles du WTC (lesbâtiments 4 et 5 avec 400 000 pieds carrés d'espace de vente), qu’ils ont assuré pour des milliards de dollars contre des attaques terroristes éventuelles, cela six semaines avant les attaques terroristes réelles, et qui ont ensuite engagé (pour la déclaration de sinistre) un « ingénieur en structure » qui affirme à tort que l'acier perd la moitié de sa force à « 400 degrés ». Ce sont plutôt Larry Silverstein(accord négocié par Lewis Eisenberg de la Port Authority), l'ami de Benjamin Netanyahu (ainsi que d'Ariel Sharon et Ehud Barak) ainsi que son partenaire australien milliardaire et « survivant de l'Holocauste » Frank Lowy. Ce dernier s’est battu dans « le mouvement clandestin juif »; a été impliqué dans un scandale de corruption bancaire de haut niveau avec le premier ministre israélien Ehud Olmert; est connu pour avoir fait des pots de vin à Lord (Michael Abraham) Levy; et a étéarrêté plusieurs fois en lien avec un scandale « du fric pour l'honneur » (Levy était "partenaire de tennis" et conseiller de Tony Blair).
Ce ne sont pas des musulmans qui ont la réputation de perpétrer des incendies criminels pour ensuite réclamer des dédommagements aux compagnies d'assurance, tel que le suggère l'expression nouvellement employée « foudre musulmane ». Ce sont plutôt des Juifs, comme en témoigne l'expression bien connue « foudre juive ».
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient l’habitude de déjeuner au restaurant Windows of the World, situé aux 106e et 107e étages de la tour Nord du WTC, mais qui (par une étrange coïncidence) étaient absents le jour fatidique du 11 septembre, évitant ainsi le triste sort des occupants (aucun survivant dans les étages situés au-dessus de l'impact d'avion à 8h46 AM). C’est plutôt Larry Silverstein, épargné en raison d'un « rendez-vous chez le dermatologue », qui a aussi sauvé ses deux enfants qui travaillaient chez Silverstein Properties.
Ce n'est pas un musulman - qui a annoncé à la télévision peu après l'attaque que tous que " Cela... est certainement la marque d’un individu comme Ben Laden » et que les tours du WTC se sont effondrées en raison de "la vitesse de l'avion" et de "la chaleur intense, qui a aussi sans doute affaibli la structure";
- qui, le même jour, aurait conseillé le Cipro à la Maison Blanche, un antibiotique efficace contre l'anthrax, tout juste sept jours avant le début de la campagne de terreur impliquant les lettres contaminées à l'anthrax destinées aux sénateurs démocrates et aux bureaux des médias;
- qui le 11 septembre était le directeur de la division de ‘gestion de crise et des impacts’ chez KrollAssociates;
- qui était conseiller au Council on Foreign Relations (CFR) concernant la « surveillance épidémiologique » et conseiller à la sécurité nationale au National Institute of Health (NIH);
- qui offert un poste de chef de la sécurité du WTC à son "ami" John O'Neill.C'est plutôt Jerome Hauer.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont mené une campagne de terreur en envoyant des lettres contenant des spores du bacille du charbon dont la charge électrostatique a été altérée pour en faciliter la dispersion, de l'anthrax de qualité militaire en provenance du laboratoire de l'US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases (USAMRIID) à Fort Detrick.
Ce n'est pas non plus le suspect retenu par le FBI qui l’a fait, le catholique Bruce Ivins, qui, contrairement aux vrais auteurs des attaques du 11 septembre, n'avait aucune raison de cibler ainsi les médias et les sénateurs de l'opposition, pour les forcer à accepter aveuglément et sous la peur la théorie de la conspiration des « pirates de l'air Arabes ». Ivins est mort d'une surdose, d’un présumé "suicide" enjuillet 2008, après que le FBI eut renoncé à jeter le blâme sur Steven Hatfill parce qu'il n'y avait pas un seul petit élément de preuve contre lui. Logiquement, M. Philip Zack devrait être un suspect, puisqu’il a quitté Fort Detrick dans des circonstances nébuleuses en décembre 1991 après avoir dirigé une clique dénommée le "Camel Club", qui faisait du harcèlement racial contre le Dr égyptien Assaad Ayaad. Une enquête de 1992 a révélé que Zack a été filmé par une caméra de surveillance entrant dans un bâtiment du laboratoire de Fort Detrick à 20:40, le 23 janvier 1992, grâce au Dr. Marian Rippy, un pathologiste de labo et proche ami de Zack. L'enquête a egalement montré que quelqu'un était entré secrètement dans un laboratoire durant la nuit pour y conduire des recherches non autorisées, à l'évidence sur l'anthrax de qualité militaire.
Presque dix ans plus tard, entre le 11 septembre et le début de la campagne de l'anthrax, le FBI reçut une lettre anonyme qui essayait de faire passer le Dr Assaad pour l'un des "bioterroristes". Les lettres à anthrax avaient apparemment été fabriquées pour qu’elle ait l’air d’avoir été écrites par un musulman. Le New YorkTimes a parlé d'un certain « Monsieur Z », qui aurait raté les tests de polygraphe du FBI et aurait été surpris avec sa petite copine à Fort Detrick "entourés seulement par les germes tout gênés devant cespectacle".
Ce n’est pas un musulman qui a affirmé avoir été tué sur le supposé « Vol 77 » d'American Airlines, avoir vécu à Silver Spring au Maryland (comme le fit un certain Rabbin Dr. Dov Zakheim), et avoir travaillé sur des projets top-secrets "très noirs" à l'Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), comme "chef de file réputé en énergétique", dirigeant un «Centre de technologie de fabrication en énergie", réalisant de la "recherche de pointe en systèmes énergétiques" et "occupant un poste au Naval Ordnance Laboratory (aujourd'hui fermé), anciennement à White Oak au Maryland ", à quelques milles de Silver Spring. C’est plutôt William E. Caswell.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré avoir été tués sur le prétendu "vol 77" et qui ont travaillé pour le gouvernement ou la défense, particulièrement la marine. C’est John Yamnicky qui, étrangement, pour la première fois, n'a pas dit à sa fille qu'il partait en voyage, et qui, comme William Caswell, avait travaillé pour la marine sur des projets top-secret "très noirs". Il y en a d'autres, comme par exemple Charles Burlingame, ancien pilote de chasse de la marine qui avait l'habitude de travailler dans l’aile du Pentagone qui a été touchée, qui a formulé une réponse à l'éventualité d'un avion de ligne qui percuterait le Pentagone et dont la fille Wendy a ensuite trouvé la mort dans un « incendie suspect » dans un gratte-ciel de 50 étages au New Jersey en décembre 2006. Ou par exemple Wilson "Bud" Flagg, un ancien pilote d'American Airlines et amiral de la marine. Ou encore Stanley Hall, un expert de la technologie anti-radar et directeur de la gestion de programme à Raytheon, Bryan Jack, un cadre supérieur et haut analyste de budget qui a travaillé au Pentagone.
Chandler Keller, un ingénieur en propulsion de Boeing. Dong Lee, un ingénieur deBoeing qui a travaillé pour leur système de défense intégrée, et qui a travaillé pour la NSA pendant 14 ans. Barbara Olson, commentatrice à CNN et femme du procureur général des États-Unis, qui a affirmé avoir reçu des appels du "vol 77". Ruben Ornedo, un ingénieur en propulsion et communication satellite de Boeing. Robert Penniger, un ingénieur électrique pour BAE Systems.
Ainsi qu'une autre douzaine de prétendus « passagers du vol 77 » qui étaient liées à la défense et au gouvernement qui, nous dit-on, sont tous tombés par hasard sur ce vol exceptionnellement vide. Ces gens, bien-aimés, respectés, considérés honnêtes, de l’étoffe des héros, sont le type même de gens dont le travail pourrait avoir été horriblement exploité à leur insu, et que les auteurs du 11 septembre auraient cherché à éliminer pour les empêcher de parler après les attentats.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont profité de la spéculation sur le transport aérien et les titresd'assurance tout juste avant le 11 septembre. Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont concocté un canular sur des juifs pieux évitant le porc, rejetant l'argent, aimant le célibat, la vérité, le courage, et les droits des animaux, qui étaient aussi des "pirates de l'air et pilotes », et dont près de la moitié se sont révélés plus tard être bien en vie.
Ce sont plutôt des Juifs qui ont concocté un canular à propos de buveurs d'alcool, amateurs de jeux de hasard, fréquentant des clubs de strip-tease, coureurs de jupons, des « musulmans pieux» qui étaient des « pirates-kamikazes et des pilotes », dont près de la moitié se sont révélés plus tard être bien en vie.
Ce n'est pas un musulman qui était ancien chef d'équipe dans une unité d'élite des forces spéciales et dont le père était un haut conseiller, secrétaire et porteur du cercueil d'un homme qui, en 1937, étaitcommandant de l'Irgun Tzvai Leumi, une organisation terroriste juive responsable d'atrocités telles que le bombardement de l'hôtel King David. C’est plutôt Benjamin Netanyahu.
Ce n'est pas un musulman qui a été le mentor de Benzion, le père de Benjamin Netanyahu, et qui a écrit un article dans le magazine sioniste révisionniste Doar Hayom sous le tire "Du carnet d'un fasciste", louant Mussolini et se référant à un ancien commandant de l'Irgun, Ze'ev (Vladimir) Jabotinsky comme « notre Duce » (notre leader). C’est plutôt Abba Ahimeir, le fondateur du maximalisme révisionniste, une idéologie fasciste juive.
Ce ne sont pas des terroristes musulmans qui ont comploté pour assassiner le Secrétaire britannique aux affaires étrangères Ernest Bevin. Ce sont plutôt des terroristes juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont orchestré et qui ont été pris en flagrant délit dans une opération terroriste de faux pavillon ratée en Égypte. C’est plutôt Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont attaqué le navire USS Liberty, tuant ainsi 34 Américains, et qui ont fait pression pour que le président américain déclare finalement "Je me fous éperdument si tous les hommes se noient et si le navire coule. Je ne veux pas embarrasser nos alliés". C’est plutôt Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été évacués " le 9 novembre 2005 " (11 septembre selon les calendriers israélien et européen) juste avant les attaques terroristes d'Amman en Jordanie, apparemment en raison d'une menace à la sécurité, qui incluaient une explosion à l'hôtel Radisson causée par une bombe cachée dans un faux plafond (une étrange coïncidence car elle devait avoirété placée là d’avance). L'histoire officielle a ensuite raconté que c'était le travail de "kamikazes".
Ce sont plutôt des Israéliens qui ont été évacués avant ces attaques, avec aucune victime juive, mais avec une majorité de morts musulmans sunnites de Jordanie. Deux victimes Israéliennes étaient Arabes, et cinq Palestiniens sont morts, y compris le major-général Bashir Nafeh, le chef des renseignements militaires en Cisjordanie.
Ce n’étaient pas des musulmans qui ont été capturés et arrêtés à l'intérieur de la chambre du Congrès mexicain, le 10 octobre 2001, en possession de fusils, grenades, dynamite, détonateurs et câbles, posant comme des « photographes de presse ». C’étaient plutôt l'agent du Mossad Salvador Guersson Smecke et l'immigrant illégal israélien Saur Ben Zvi, au même moment où les sionistes bénéficiaient au maximum d'une opération de faux-pavillon qui allait mobiliser les appuis à une guerre contre les "terroristes musulmans" en Afghanistan, une guerre déclenchée juste trois joursauparavant.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été condamnés et emprisonnés pour une période de six mois en 2004 après avoir tenté d'obtenir frauduleusement un passeport néo-zélandais au nom d'un hommetétraplégique. Ce sont plutôt les agents du Mossad Uriel Kelman et Eli Cara qui cherchaient à créer une fausse identité pour Zev Barkan.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré connaître l'identité des "pirates de l'air kamikazes" Abdulaziz al-Omari et Saeed al-Ghamdi, alors que des individus ayant exactement les mêmes noms et autres détails personnels comme la date de naissance, profession et lieu de résidence se sont révélés par la suite être bien vivants. La population de l'Arabie saoudite en 1975 était de 7 180 000 et même si l'on considère leur haut taux annuel de natalité de 30 pour 1000, et si l'on ignore le tauxde mortalité infantile, le taux de natalité journalier était de seulement 590; il est donc hautement improbable que des personnes partagent les mêmes noms, dates de naissance, lieux de résidence et et professions.
Le passeport de al-Omari avait été volé en 1995 lorsque son appartement avait étécambriolé, à Denver au Colorado (un État où ont été actifs des agents du Mossad), et seuls des crétins voleraient l'identité de personnes ayant une apparence différente mais ayant le même nom, lieu de résidence, date de naissance et profession. Par conséquent, ces hypothétiques "pirates de l'air kamikazes" auraient dû avoir des noms tout à fait différents. C’est le FBI qui a publié une liste prétendant que les auteurs du 11 septembre incluaient Abdulaziz al-Omari et Saeed al-Ghamdi, enplus de plusieurs autres personnes qui se sont révélées bien vivantes. Même si le FBI a admis que certains pirates de l'air pourraient avoir utilisé des identités volées et qu'il n'y a « pas de preuve légale permettant de prouver l'identité des pirates de l'air kamikazes », il a nié avoir mal identifié les prétendus "pirates de l'air kamikazes" et a refusé de changer les noms, les photos ou les historiques sur leur liste - en essayant de se couvrir en incluant des multiples orthographes et alias.
Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à l'origine du coup d'État raté en Turquie. C’est plutôt le crypto-Juif et pseudo-Rabbin agent du Mossad Tuncay Güney, qui a fui au Canada en 2004, et qui vivait en 2001 dans plusieurs villes du New Jersey, lesquels étaient des centres d'activité pour les opérateurs de Urban Moving Systems pour le Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont mis sur pied une "cellule d'Al-Qaïda" en Palestine. C’est plutôt le Mossad israélien.
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient déjà la réputation, avant le 11 septembre, de mettre en scène des opérations terroristes de faux-pavillon, c'est-à-dire d’être capables de frapper les forces américaines pour ensuite en jeter le blâme sur un tiers. C’est plutôt le Mossad .
Ce n’est pas un musulman qui a infiltré le Pentagone et trahi son pays natal en vendant des documents classifiés à un autre pays, qui les a ensuite échangés avec l'URSS. C’est plutôt l'espion Jonathan Pollard, reconnu coupable de trahison résultant en la transmission à l'URSS de secrets nucléaires volés par l'intermédiaire d'Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui menaient un exercice dès 9h00 du matin le 11 septembre, exercice impliquant un avion s'écrasant dans une tour. Ce sont plutôt les responsables du Bureau deReconnaissance Nationale (NRB), à Chantilly en Virginie.
Ce n’est pas un musulman qui, en réponse à la question « Est-ce que les ordres tiennent toujours? » (parce qu’il n’avait pas encore réagi au fait qu'un aéronef avait dévié de dix miles de sa trajectoire et filait à toute vitesse vers le Pentagone, cela plus d'une demi-heure après que les tours jumelles aient été frappées par des avions), s'est retourné pour répondre: « Bien sûr, les ordres tiennent toujours. Avez-vous entendu quoi que ce soit suggérant le contraire?". C’est plutôt Dick Cheney.
Ce n’est pas un musulman qui a été le PDG d'une société qui a conçu le "système de terminaison de vol", un contrôle à distance électronique en mesure de détourner des avions en vol et de les orienter vers un objectif au moyen d'un "système de transmission de commande". C’est plutôt le Rabbi Dov Zakheim.
Ce n’est pas un musulman :- qui, conscient qu'une fraction de billions de dollars représente tout même des centaines de milliards de dollars, a occupé le poste de contrôleur du Pentagone en mai 2001, alors qu'il était déjà de notoriété publique que les systèmes comptables du Pentagone étaient dans le plus completdésarroi avec 6,9 billions $ "ajustés" dans une tentative de faire correspondre les chiffres;
- qui n’a pas imprimé les reçus de ces opérations de 2,3 billions $, opérations difficiles à repérer avec un système informatique pas encore intégré et avec de la vieille paperasse qui pourrait ensuite être efficacement éliminée grâce à un missile ou un crash d'avion qui détruirait l'aile de la division des vérifications comptables du Pentagone;
- qui a ensuite prononcé un sermon commémoratif sur la pelouse du Pentagone devant des centaines de co-religionnaires de 40 pays, six mois après que l’attaque terroriste se soit effectivement produite et qu’elle ait tué au moins 34 analystes-conseillers budgétaires / comptables / experts financiers. C’est plutôt le rabbin Dov Zakheim.
Ce n’est pas un musulman qui était à un petit déjeuner-réunion avec Donald Rumsfeld lorsque le premier avion a frappé le WTC, et qui était au Club sportif de la marine « quand l'avion qui a frappé le Pentagone est passé par dessus le Club sportif de la marine, est allé rebondir en bas de la colline et a frappé le côté du Pentagone ». C’est plutôt Thomas E. White, qui est lié à la fraude d'Enron, qui a participé à des voyages de JINSA en Israël, avec son épouse Susan en 1997, et qui a été introniséSecrétaire de l'Armée le 31 mai 2001, soit 27 jours après que George W. Bush ait nommé le rabbin Dov Zakheim comme sous-secrétaire de la Défense et contrôleur du Pentagone. White et Zakheim avaient été placés par Bush au Pentagone, où plus de 2 billions $ ont été transigés sans reçus, alors que les finances du Pentagone étaient vulnérables à une « attaque terroriste » visant la division de vérification comptable, comme c’est pratique!
Ce ne sont pas des musulmans qui, en 2000 ont co-écrit un document réclamant un « nouveau PearlHarbor ». Ce sont plutôt Roger Barnett, Alvin Bernstein, Stephen Cambone, Eliot Cohen, Devon Gaffney Cross, Thomas Donnelly, David Epstein, David Fautua, Dan Goure, Donald Kagan, Fred Kagan, Robert Kagan, Robert Killebrew, William Kristol, Mark Lagon, James Lasswell, I. Lewis Libby, Robert Martinage, Phil Meilinger, Mackubin Owens, Steve Rosen, Gary Schmitt, AbramShulsky, Michael Vickers, Barry Watts, Paul Wolfowitz, et le rabbin Dov Zakheim.
Ce ne sont pas des musulmans qui avaient un motif pour employer un "système de terminaison de vol" afin de prendre le contrôle du vol 990 d’Egypt Air (un Boeing 767) le 31 octobre 1999 (après une étrange coïncidence où le "conseiller de gestion de la douleur pour les victimes d'accidents d'avion" Ed McLaughlin du Family Enterprise Institute était la seule personne à monter à bord de l'avion fatidique à Los Angeles pour débarquer à New York) et le faire plonger dans l'Atlantique, à 60 miles au sud de Nantucket, tuant les 217 passagers à bord. Aucun d'eux n'était Israéliens, mais 33 étaient des officiers de l'armée égyptienne, incluant deux brigadiers généraux des forces aériennes et deux major-généraux de l'armée. On a ensuite vendu le concept de « pilotes kamikazes musulmans » à un public crédule. Ce sont plutôt des Juifs qui auraient eu besoin de procéder à un essai de détournement électronique d’un Boeing en plein vol, pour leur opération d'attaque terroristeimminente, qui devait ensuite être attribuée à des « pilotes kamikazes musulmans/pirates de l'air » lors de l'« enquête » du vol 990 d'Egypt Air supervisée par le juif sioniste Bernard Loeb, qui avait engagé des traducteurs juifs transcrivant les enregistrements du cockpit, pendant que le FBI menait une campagne de salissage à l’encontre du co-pilote « suicidaire ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont écrit en 1998 à propos d'un "événement transformateur", tel un nouveau "Pearl Harbor". Ce sont plutôt John Deutsch, Ashton Carter et Philip Zelikow.
Ce n’est pas un musulman qui était directeur exécutif de la Commission d'enquête du 11 septembre, dont l'expertise et le travail devait mener à la création et au maintien de certains mythes publics ou"hypothèses", et qui a confirmé que la guerre en Irak avait été menée pour le bénéfice d'Israël. C’est plutôt Philip Zelikow.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont publié en 1996 un document intitulé A Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm (La cassure: Une nouvelle stratégie pour sécuriser le domaine), qui mentionne qu’il faut "retirer Saddam Hussein du pouvoir en Irak" et qui présente le concept des frappes préventives, selon lequel un faux prétexte quelconque peut être employé (opération anti-drogue, anti-faux monnayeur ou contre des armes de destruction massive) pour attirer la sympathie du public américain. C’est en fait l’Institut pour l’avancement des études stratégiques et politiques (IASPS), basé à Jérusalem et Washington, qui a expliqué comment une telle politique bénéficierait à Israël, pour le compte du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu,
Ce n’est pas un musulman qui, dans un livre de 1995, a prédit que "Si l'Occident ne s'éveille pas à lanature suicidaire de l'Islam militant, vous verrez prochainement l'Islam militant attaquer le World Trade Center". C’est Benjamin Netanyahu.
Ce n'est pas un musulman qui en 1991 était responsable de la sécurité, qui a inspecté le garage d'une compagnie musulmane de livraison dans le WTC et qui a conclu que le garage du WTC était vulnérable à un attentat à la voiture piégée, deux ans avant que le garage du WTC ne soit réellement frappé par un attentat à la voiture piégée. Le FBI savait, mais a laissé faire, causant six morts et plus de mille blessés, cela dix ans avant que le WTC soit démoli et une semaine après que la même société de livraison ait quitté le WTC. Ce sont plutôt des officiers de sécurité israéliens et une compagnie de livraison israélienne.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont payé Ali al-Jarrah plus de 300 000 dollars pour services rendus, c'est-à-dire pour avoir posé comme « défenseur » de la cause palestinienne tout en trahissant son pays au bénéfice d'un État ennemi, et qui était un cousin de Ziad al-Jarrah, lequel a été accusé d'être l'un des dix-neuf "pirates de l'air kamikazes" du 11 septembre. C’est plutôt Israël qui a payé cet agent du Mossad.
Ce ne sont pas des musulmans qui :
1) ont diffusé l'épisode pilote le 4 mars 2001 de la série Lone Gunman, un épisode dans lequel une cabale secrète au sein du gouvernement des États-Unis désireprendre le contrôle électronique à distance d'un Boeing à destination de Boston pour le faire crasher dans le WTC;
2) ont déclaré après l'attaque du 11 septembre que personne n'avait jamais imaginéqu'un avion pourrait être utilisé par des terroristes comme missile pour attaquer des bâtiments. C’est plutôt : 1) Fox TV, propriété de Rupert Murdoch, un ami de longue date de Benjamin Netanyahu; et 2) la conseillère à la sécurité nationale Condoleezza Rice / le Président de la Commission des Chefs d'état-major conjoints Richard Myers / le Président George W. Bush / le Vice Président Dick Cheney / et le porte-parole de la Maison Blanche Ari Fleischer.
Ce n'est pas un musulman qui a dit avoir été le premier à apercevoir l'avion frapper la tour nord, qui s'est dit « quel terrible pilote » et « c'est un horrible accident », avant d'entrer dans une salle de classe et d'être informé d'un second impact, alors que le premier impact n'avait pas encore été diffusé en direct à la télévision. C’est plutôt George W. Bush.
Ce ne sont pas des musulmans qui, du mardi 2 octobre au vendredi 5 octobre 2001: 1) ont rencontré, et 2) ont reçu 3 millions de dollars de dons pour un « fond pour les victimes » de la part de Sheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, l'Emir du Qatar, qui a fondé la chaîne Al Jazeera en 1996 avec 150 millions de dollars de subventions, la chaîne qui diffuse des enregistrements vidéo et audio prétendument d'«Osama ben Laden» alias Emmanuel Goldstein.
Ce sont plutôt : 1) George W. Bush, Dick Cheney (un "vieil ami") - Dick Cheney a également rencontré l'Emir le 20 octobre 2001 pour discuter des entretiens "Osama", Rudy Giuliani, Colin Powell, Paul Wolfowitz, et Richard Myers; 2) Rudy Giuliani, Paul Wolfowitz et Richard Myers.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fabriqué le conte de fée concernant la soldate Jessica Lynch prise en embuscade, poignardée, atteinte par balle (tout en continuant courageusement à tirer sur les Irakiens), abusée, violée, tenue en captivité dans un hôpital irakien et plus tard secourue par des forces d'élite américaines. Ce sont plutôt "des responsables américains anonymes" qui ont menti, car en fait il n'y a pas eu de "sauvetage". L'arme de Lynch était enrayée avec du sable. Lynch a été prise en charge et soignée par les Irakiens après avoir été blessée dans un accident de voiture, elle n'avait pas de "trous de balle" ni de "coups de couteau", l'hôpital n'était pas « sous haute garde » et les médecins ont même tenté de retourner Lynch aux forces américaines.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont comploté pour envahir un pays sans défense, en mentant sur les « armes de destruction massive », alors que la décision d'envahir avait déjà été prise en vue d'un « changement de régime », avec entre 655 000 et un million de morts irakiens, le déplacement de plus de quatre millions, le sacrifice de milliers de soldats et la perte de 3 billions $ en vain, dans le seul but d'enrichir quelques criminels de guerre et profiteurs de quelques milliards de dollars dans une guerre par procuration pour Israël. Ce sont plutôt George W. Bush et Tony Blair.Ce n'est pas un musulman qui a ordonné à ses conseillers de planifier la guerre contre l'Irak à peine cinq heures après l’attaque contre le Pentagone le 11 septembre. C’est plutôt Donald Rumsfeld.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont envoyé 250 policiers faire une descente dans une maison deForest Gate à Londres, au milieu de la nuit pour arrêter deux frères, après avoir tiré sur l'un d'eux à l'épaule; sur la base de renseignements d'une source supposée « fiable », source unique concernant une conspiration impliquant une « bombe au cyanure »; avec la libération des frères sans inculpation quelques jours plus tard, avant qu'il ne soit ultérieurement révélé que la source était un homme avec un QI de 69 qui était déjà en prison pour terrorisme. Ce sont plutôt les laquais des juifs suprémacistes: le MI5, Tony Blair et John Reid.
Ce n'est pas un pays musulman qui possède des centaines d'ogives nucléaires et des sous-marinséquipés de missiles de croisière capables de transporter des ogives nucléaires ayant une portée de 900 miles. C'est plutôt Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont un puissant lobby politique capable d'extorquer des sommesénormes. C'est Israël.
Ce n’est pas un musulman qui s'est vanté en disant "Nous musulmans contrôlons l'Amérique et les Américains le savent". C’est en fait Ariel Sharon qui s'est vanté: "Nous, le peuple juif, contrôlons l'Amérique et les Américains le savent".
Ce ne sont pas des musulmans qui commettent de faux « crimes haineux » contre eux-mêmes : des actes de vandalisme contre leurs propres voitures, sur leurs propres tombes, des empoisonnement de chiens, des graffitis de croix gammées sur leurs maisons, découpant leurs propres vêtements pour se dessiner des croix gammées sur le ventre. Ce sont plutôt des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont pris le contrôle du New York Times en 1896, ou qui justement détiennent et contrôlent la plupart des médias de masse aujourd'hui. C'étaient et ce sont en fait des Juifs.
Ce n'est pas dans un pays musulman que l’on écrase à mort des manifestants pacifistes à l'aide debulldozers ou qu’on leur tire dessus, qu’on lance des obus sur des familles pique-niquant au bord d'une plage (ce que l’on nie ensuite) quand on veut déclencher une guerre dans les trois prochaines semaines, que l’on avertit les civils de s’enfuir après avoir fait exploser des ponts afin de pouvoir les tirer comme des canards assis, que l’on tire sur des ambulances de la Croix-Rouge ou des observateurs de l'ONU après leur avoir promis qu'ils seraient en sécurité, que l’ou bombarde une centrale électrique de sorte que plus de dix mille tonnes de pétrole brut s'écoulent dans la Méditerranée pour servir de « châtiment collectif ». C'est plutôt en Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui emploient régulièrement des armes atroces tels que des bombes au phosphore pour infliger des blessures graves et horrifiantes à des civils, qui ont délibérément lancé plus d'un million de petites bombes à fragmentation (dont 40% n'explosent pas à l'impact et 90% sont lancées trois jours avant le cessez-le-feu imminent) afin de pouvoir "tous les avoir pendant que c'est encore le temps". Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce n'est pas une nation musulmane qui détient le record mondial de résolutions de Nations unies non respectées. C'est Israël.
Ce ne sont pas des musulmans qui se sont attroupés autour d’un Juif handicapé parce qu’il se trouvait sur leur terrain, qui l’ont battu à coup de massue, qui l’ont traîné sur le sol, qui l’ont attaché à un poteau pour continuer à le battre et lui donner des coups de pieds à la vue de soldats musulmans qui n'ont rien fait pour arrêter ça, alors que la police leur a simplement conseillé de verser de l'eau sur la tête de la victime pour laver le sang avant que les journalistes et les photographes arrivent. C’est plutôt une bande de quatre lâches, des colons juifs fanatiques qui ontbattu un handicapé palestinien en toute impunité, confiants que les soldats juifs et la police n'agiraient pas de manière impartiale, et qui sont même revenus une semaine plus tard pour tourmenter les voisins, mettre leur maison sans dessus dessous et piller le peu de biens qu’il leur restait.
Ce ne sont pas des soldats musulmans qui ont battu et tué un Juif à coup de massue, de coups de pieds à la tête et de coups de crosse de fusil, et qui après « enquête » ont conclu que les soldats avaient «agi correctement». C’étaient des soldats de l'armée israélienne (la force de « défense ») qui ont percé trois trous dans le crâne d'un adolescent palestinien le tuant sur le coup, alors qu'il attendait tout simplement à un arrêt d’autobus, continuant à le frapper alors qu'il gisait inconscient, puis qui ont inventé une histoire comme quoi le jeune homme aurait «sorti un couteau», suggérant qu'il était «mentalement instable». Cet exemple n'est malheureusement que trop typique de la violence perpétrée par des racistes, fanatiques d'extrême-droite et suprémacistes juifs contre ceux qu'ils perçoivent comme des « animaux à forme humaine ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont créé une organisation mondiale nommée " Ligue anti-diffamation " (ADL) en vue de défendre les criminels musulmans en jouant la carte raciale et en accusant leurs poursuivants d'être " racistes ", " antisémites " et coupables de " crimes haineux ". C’est plutôt un Juif qui a fondé l'ADL du B'nai B'rith, en réponse au lynchage de Leo Frank, président du chapitre d'Atlanta de la société secrète juive du B'nai B'rith, qui avait été reconnu coupable du meurtre de la fillette de 13 ans Marie Phagan qui travaillait à l'usine de crayon deFrank, suivi du lynchage de Frank en réponse à la commutation de sa condamnation à mort à la prison à vie, après que la juiverie organisée ait tenté de jeter le doute sur la culpabilité de Frank en jetant le blâme sur un Noir, même si le meurtre rituel est une tradition juive reconnue. L'ADL a par la suite utilisé pour dénoncer les anti-criminels comme étant des « antisémites » chaque fois que les criminels en question se trouvent à être juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui pour des raisons politiques et pour obtenir des gains financiers, ont démoli le WTC avec des explosifs (nano-thermite) et lancé sur lui des avions télécommandés pour ensuite monter le canular des « pilotes kamikazes juifs » afin de lancer les enquêteurs sur de fausses pistes, en prétendant « investiguer » la démolition tout en promouvant «accidentellement» les mauvaises hypothèses (par exemple, l'utilisation de la bombe-H plutôt que de la thermite), et qui ont ensuite refusé obstinément de considérer une hypothèse qui est conforme avec les éléments de preuve. Ce sont plutôt des Juifs qui ont monté de toutes pièces le canular des « pilotes kamikazes musulmans » et qui ont diffusé des « travaux » fallacieux sur les démolitions, en les hébergeant sur des sites web détenus et dirigés par des juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait de la pseudo-science en refusant d’investiguer la présence du bleu métallique à Auschwitz et des explosifs au WTC, afin que leur « enquête » arrive au résultat requis financièrement et motivé politiquement. Ce sont plutôt Jan Markiewicz , Wojciech Gubala et Jerzy Labedz Sehn de l'Institut de Jan Sehm à Cracovie (fraude d'Auschwitz), et les "scientifiques" et "ingénieurs" de la NIST (fraude du WTC).
Ce ne sont pas des musulmans :
- qui ont pris les commandes de l'« enquête » sur l’effondrement des tours du WTC, pendant que la FEMA menait une opération de camouflage, mélangeant les tableaux 11-51 et 11-52 de NCSTAR1-9 Vol2 dans leur rapport sur l'édifice WTC7, rapport publié deux jours après la mort mystérieuse du témoin oculaire Barry Jennings qui a présenté un témoignage sur les explosions du WTC 7 (4:43: «J'ai été pris au piège quand les deux bâtiments sont tombés ») qui a jeté par terre les hypothèses etconclusions motivées politiquement;
- qui ont été incapables de voir leur erreurs en présumant des températures de gaz fantastiquementélevées afin que cela concorde avec les températures d'acier anormalement élevées, qui ont publié l’hypothèse absurde d'un effondrement basé sur l'« expansion thermique » avec la conclusion logique que la capacité de cisaillement de 180 kip de quatre boulons en configuration assise serait dépassée si l'acier est chauffé de 20 C à 32 C rendant la force capable de résister à l'expansionthermique de 191 kip, indépendamment du fait qu'aucune tour avec une structure acier ne s'est jamais effondrée à cause des « incendies » ou des « impacts », à l'exception des trois tours du WTC le 11 septembre;
- qui ont affirmé qu’un flambement interne des colonnes du périmètre du WTC1 entre les étages 94 à 100, culminant à 55 pouces à la colonne 316 au 96ème étage, ce qui ne peut être concilié avec le fait que le moment d'inertie des colonnes (ou moment quadratique) était d’au moins 342 ins ^ 4 le long de l'axe mineur, ni avec une déviation maximale de 55 pouces étant donné les conditions de limitesfixes et une charge répartie qui aurait dû mener à l’effondrement dans les 102 minutes d'au moins dix étages, dont plusieurs n'avaient pas eu leur protection ignifuge endommagée par un avion et qui ne présentaient aucun incendie. C’est plutôt le NIST, dont les meilleurs scientifiques et ingénieurs ont une connaissance étendue de la nano-thermite, qui ont plus tard affirmé n’avoir trouvé « aucunepreuve » d'explosifs au WTC et qui ont admis ne pas avoir pris la peine d’en rechercher la trace.
Les auteurs du 11 septembre devaient s'assurer que les responsables de l' « enquête » sachent ce qu'ils ne devaient pas trouver.
Ce n’est pas un musulman qui a annoncé le dimanche 16 septembre 2001 qu'un « passeport du pirate de l'air » (supposément celui de Satam al Suqami) a été trouvé « à plusieurs pâtés de maisons des ruines du WTC », alors que d'autres rapports affirmant que le passeport a été trouvé « dans les environs de Vesey Street ». C’est plutôt l'ancien commissaire de police Bernard Kerik, qui a été inculpé en novembre 2007 sur plusieurs chefs, y compris celui de mensonge, de fraude et de complot, ce qui est cohérent avec le fait que les lois de l'aérodynamique imposent que le passeport ait été trouvé dans les environs de Liberty Street. Le scénariste a oublié que Suqami était censé être sur le vol AA11 provenant du nord, et parmi plusieurs tentatives de la part des autorités d’évaluer où le passeport aurait dû être trouvé, aucune n'était correcte!
Ce ne sont pas des musulmans qui ont tué JFK. Ce sont des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont volé les élections en exploitant des machines de vote électronique, qui ont biaisé les résultats de telle sorte que la probabilité de revirement dans plusieurs États, tel qu’observé dans les résultats, était de 250 millions contre un. C’est George W. Bush.
Ce ne sont pas des musulmans qui présentent des traits de mégalomanes suprémacistes en référant à leurs ennemis comme étant des « sauterelles », des « bêtes », des « crocodiles » et des « cafards ». Ce sont plutôt des Juifs.
Ce n’est pas un musulman qui a mis en place un schème de Ponzi qui a engouffré 50 milliards $. C’est un Juif.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait un disque sur le « Wall Street Shuffle », dont certaines chansons incluent des références scatologiques. Ce sont des Juifs.Ce ne sont pas des musulmans qui gouvernent le monde par procuration et obtiennent que d'autres se battent à mort à leur place dans des guerres. Ce sont plutôt des Juifs, dont le modus operandi est de sélectionner des populations d'accueil riches qui les laisseront entrer, posant comme leur « allié », tout en les drainant de leur argent durement gagné, utilisant la tromperie pour amener leur hôtes àcombattre des nations plus pauvres, récoltant le butin de guerre, comme l’opium afghan, les billions perdus du Pentagone, les fonds du programme « Pétrole contre nourriture », etc., ainsi que d'autres escroqueries opportunistes telles que le retrait massif électronique de 550 milliards $ des banques.
Note: certains rapports avancent à tort que la date de cet événement est le jeudi "15" septembre 2008, alors que ce devrait bien sûr être le 11 Septembre, soit le jeudi précédent le 15 Septembre.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été expulsés de nombreux pays à de nombreuses reprises, ce sont des Juifs qui continuent à se faire expulser dès que l'hôte réalise que la seule loyauté des Juifs est envers leur propre tribu, plutôt qu’envers le pays hôte, devant lequel les juifs se font passer pour des "alliés".
Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclenché une guerre mondiale en 1914 dans l'espoir de lancer avec succès leur canular des « six millions » de victimes assassinées, afin d'obtenir leur propre pays et de s'attirer une part importante de la richesse mondiale en « compensations », qui ont échoué, mais qui ont aussi profité de l'occasion pour annexer et piller la Russie en se livrant à de l’oppression et à d’horribles effusions de sang pour régler de vieux comptes avec les Russes qui lesavaient chassés à l'ouest, loin de leur Khazarie natale. Ce sont plutôt des Khazars (faux) « Juifs ».
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait exploser la voiture de François Duprat, le tuant et mutilant sa femme; qui ont battu le Dr. Robert Faurisson au moins dix fois, le laissant avec une mâchoire brisée / des dents brisées / presque tué plusieurs fois / hospitalisé plusieurs semaines à l'hôpital, persécuté dans des batailles judiciaires, fait perquisitionner son domicile par la police; qui ont tenté de tuer Ernst Zundel au moins trois fois dans des incendies criminels et attentats à la bombe, l'ont fait déporter lui et Germar Rudolf en Allemagne pour être emprisonnés pendant desannées; qui ont battu Jurgen Rieger le laissant inconscient et fait sauter sa voiture; qui ont battu David Cole, menacé de le tuer avec sa famille; qui ont persécuté et battu Joseph Burg; qui ont attaqué Frank Walus sept fois et passé proche de le tuer dans une attaque à l'acide; qui ont forcé Ivan Lagacé à démissionner de son poste d'expert crématoire sous les menaces incessantes par des voyous de la Ligue de Défense Juive (JDL); qui ont perpétré de nombreux attentats terroristes en France (acide sulfurique jeté au visage, attaques avec des barres de fer, bâtons de base-ball, gazvaporisé, excréments épandus sur le sol); qui ont jeté l'historien David Irving en prison pendant plus de 400 jours avant qu’il soit libéré suite à l’appel d'une sentence de trois ans d'emprisonnement pour avoir prononcé deux discours et donné une entrevue à un journal 16 ans plus tôt; qui ont fait emprisonner le Dr Frederick Toben en Allemagne dix mois après qu’il ait publié ses opinions surson site australien; qui ont imposé à des dizaines d'autres des peines d'emprisonnement, des amendes et ruiné financièrement par le démolissage de la réputation et des batailles judiciaires.
Ce sont plutôt des Juifs qui tentaient d'étayer leur propre version de la « vérité » qui leur profiteénormément depuis des décennies.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fabriqué un canular sur « six millions » de leurs congénères"assassinés", échafaudant une théorie de la conspiration dénuée de preuve à propos d’un complot visant à les exterminer dans des « chambres à gaz » qui – par le biais d'une énorme et illégitime saisie de terres – leur a permis d'obtenir leur propre État souverain, des profits colossaux en «compensations », des centaines de milliards de dollars en « aide » provenant de l'étranger, des «garanties de prêt », des dispensations / subventions de paiements d'intérêts, etc., tout cela leur servant désormais d'« épée et bouclier » pour pratiquer l'apartheid, opprimer et tuer leurs ennemis en toute impunité. Ce sont plutôt des Juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont été pris en flagrant pour avoir dessiné de la fausse « fumée » sur des photographies de guerre du camp d'Auschwitz. C’est plutôt le Centre Simon Wiesenthal, dont le rôle de gardien de la vérité est aussi approprié que d’offrir au comte Dracula la direction d'une banque de sang.
Ce ne sont pas des calculs musulmans qui estiment que la somme d'un ensemble de variables a + b + c + d + e... reste constante à « six millions », lorsque plusieurs variables fluctuent vers le bas, par exemple, de quelque trois millions et de la moitié de cela, en l’absence de toute révision vers le haut. C'est plutôt motivé financièrement et politiquement par des « calculs » juifs.
Ce n'est pas la chimie et la physique musulmanes qui soutiennent que des cadavres peuvent être consumés par incinération rapidement et économiquement, avec entre une livre et un kilo de charbon par cadavre, alors que les briques des fours crématoires ne sont même pas remplacées après quelques 20 000 crémations (ce qui est un peu comme s'attendre à ce qu'une Trabant soit capable de faire 100 000 miles non-stop à 100 mi/h avec 100 litres d'essence et quelques cannettes d'huile à moteur). C'est plutôt motivé politiquement et financièrement par la « physique » et la « chimie » juive.
Ce ne sont pas les musulmans - ni même la « police russe » - qui se comportent comme s'ils avaient écrit Les Protocoles des Sages de Sion. C'est plutôt la juiverie internationale, et si ça siffle comme un serpent et sonne comme un serpent à sonnette, ce n'est pas exactement bénin.
Ce n'est pas le « musulman international » qui a beaucoup de comptes à rendre. C'est plutôt le Juifinternational. Le silence médiatique évident au sujet de l'effondrement de la théorie officielle de la conspiration du 11 septembre a démasqué les grands médias comme étant "les chiens de garde qui n'ont pas jappé".
Afghanistan – Pakistan: Le trou noir de l’Empire
Pourquoi Bush est allé en Afghanistan. Pourquoi Obama y va aussi. Les routes du gaz et du pétrole. Les causes de la remontée des Talibans et de l’effondrement de Karzaï. Qui profite de l’opium ? Pourquoi le Pakistan voisin risque d’éclater.
Interview: Grégoire Lalieu et Michel Collon
Est-il possible de gagner la guerre en Afghanistan? Non, répondent les experts. Pourtant, l’Otan poursuit ses efforts pour venir à bout des Talibans et c’est le Pakistan qui s’embrase. Quelles sont les véritables raisons de cette guerre ? Les visées hégémoniques des Etats-Unis plongeront-elles la région dans le chaos ? Dans ce nouveau chapitre de notre série « Comprendre le monde musulman », Mohamed Hassan répond à ces questions. Et il nous explique pourquoi c’est au peuple du Pakistan de sauver son pays d’une possible disparition…
En 2001, les Etats-Unis lançaient l’opération « Enduring Freedom » en Afghanistan car, selon eux, les Talibans refusaient de céder Oussama Ben Laden. Sept ans plus tard, plus personne ne parle de l’ennemi public numéro un. Quelles sont les raisons de cette guerre aujourd’hui?
Tout d’abord, vous devez considérer que les Talibans n’ont rien à voir avec Oussama Ben Laden. En 1996, Ben Laden, renvoyé d’Arabie Saoudite, trouvait refuge au Soudan. Les Saoudiens firent alors pression sur ce pays pour qu’il expulse le célèbre terroriste. C’est à ce moment que Ben Laden est venu en Afghanistan. Mais les attentats du 11 septembre n’avaient aucun rapport avec ce pays. Il y a juste cette réaction des Talibans lorsque Washington réclama Ben Laden : « Si vous voulez que Ben Laden soit jugé, donnez-nous les preuves et laissons-le juger par une cour islamique dans quelque pays musulman que ce soit ». En fait, les néoconservateurs de l’administration Bush ont surtout utilisé cet événement tragique comme un alibi.
Avec quelles intentions?
Trois ouvrages majeurs nous permettent de comprendre les racines de la vision des Etats-Unis. D’abord, La fin de l’Histoire de Francis Fukuyama. Il prétendait que l’Histoire de l’humanité était arrivée à son terme avec l’effondrement de l’Union soviétique et la domination de la démocratie libérale. Ensuite, Le choc des civilisations, de Samuel Huntington. Selon qui l’Histoire ne dépendrait pas de la lutte des classes mais plutôt d’un conflit entre civilisations. Huntington a donc divisé le monde entre ces différentes civilisations, décrétant que la plus agressive serait l’islamique. Le dernier ouvrage, Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski, considère que celui qui dominera l’Eurasie sera l’unique puissance du 21ème siècle. En effet, la majorité de l’humanité vit dans cette zone et l’activité économique y devient plus importante.
A présent, retournons à la fin de l’administration Clinton. L’année 1997 a été marquée par une sérieuse crise économique : avec l’éclatement de la bulle financière en Asie, le NASDAQ s’est effondré. Lorsque les néoconservateurs ont débarqué à la Maison Blanche avec Georges W. Bush en 2001, la situation économique n’était donc pas brillante. Malgré quoi, ils ont exposé leur objectif très clairement : personne ne doit être capable de rivaliser avec les Etats-Unis. Pour y arriver, la nouvelle administration cherchait à contrôler le monde en contrôlant les ressources les plus importantes, essentiellement le gaz et le pétrole.
Sous l’influence de Brzezinski, Clinton voulait d’abord dominer l’Europe en élargissant l’Otan, et ensuite gagner l’Asie Centrale. Mais les néoconservateurs ont dit : « Non, nous n’avons pas le temps pour cela. Vu cette crise, nous devons créer et contrôler le Grand Moyen-Orient pour disposer du pétrole ». On sent ce changement dans le discours de Bush après les attentats du 11 septembre lorsqu’il dit : « Vous êtes avec nous ou contre nous ». Avec sa conception de l’Axe du Mal, il voulait élargir la guerre.
La guerre d’Afghanistan - qui pour la première fois dans l’Histoire a été planifiée par la CIA sans la collaboration du Pentagone - n’était donc qu’un prétexte pour entraîner les troupes US et leur donner l’expérience nécessaire pour ensuite attaquer l’Irak. Vous devez savoir que le renversement de Saddam Hussein était planifié bien avant les attentats du 11 septembre.
Obama veut incarner le changement. Pourquoi concentre-t-il les efforts militaires en Afghanistan au lieu de l’Irak ?
D’abord, la guerre en Irak a soulevé des difficultés non prévues. Le gouvernement US pensait que c’était la cible la plus facile, car Saddam Hussein ne disposait pas d’une grande armée et une large partie de la population irakienne détestait son régime. Il n’aura fallu que quelques jours, du 20 mars au 10 avril 2003, pour que les Etats-Unis prennent Bagdad. Ensuite, ils ont uniquement protégé l’industrie pétrolière et laissé tout le reste exploser. Paul Bremer, le gouverneur US d’Irak, a détruit les bases de l’ancien régime irakien, démobilisé la police et la structure de l’armée. A ce moment, la résistance a augmenté, et aussi le coût de l’occupation US : huit milliards de dollars chaque mois, (auxquels vous pouviez ajouter un milliard et demi pour l’Afghanistan) ! Durant huit ans, l’administration néoconservatrice a dépensé tout son argent dans cette guerre, sans aucun résultat : ils ne sont parvenus ni à pacifier le pays, ni à créer le gouvernement qu’ils voulaient, ni à obtenir une base populaire, ni à contrôler le pétrole.
Lorsque la résistance irakienne a révélé la faiblesse de l’impérialisme US et son incapacité à remporter le conflit, le peuple des Etats-Unis est devenu plus attentif sur le plan politique. Le manque de soutien de l’opinion publique pour cette guerre a donc aussi poussé Obama à ce changement. D’autant que sur la scène internationale, cette guerre ne faisait pas l’unanimité : la France, l’Allemagne et d’autres pays ont refusé de partir en Irak. Bref, la décision d’Obama est aussi un moyen de maintenir l’alliance de l’Otan. Mais une défaite en Afghanistan pourrait marquer la fin de celle-ci.
Les Talibans n’ont pas toujours été les ennemis des Etats-Unis. L’ancienne secrétaire d’Etat US Madeleine Albright avait salué leur arrivée au pouvoir en 1996 comme un « pas positif ». Il semble même que ce pas ait été encouragé. Ce que l’ancienne ministre pakistanaise Benazir Bhutto résumait ainsi : « L’idée était anglaise, le financement saoudien, la supervision pakistanaise et l’armement américain ».
A la fin des années 70, les Soviétiques vinrent en Afghanistan pour soutenir le gouvernement révolutionnaire menacé par des combats internes. Brzezinski, conseiller du président Carter, entreprit de faire de l’Afghanistan le Vietnam des Soviétiques pour porter ainsi un coup fatal à l’influence du socialisme dans la région. Pour combattre l’Union Soviétique et le gouvernement révolutionnaire d’Afghanistan, les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite soutinrent donc les moudjahidines par l’intermédiaire du Pakistan. Quand l’Armée rouge quitta l’Afghanistan en 1989, les Etats-Unis savaient que les Soviétiques traversaient une sérieuse crise. Ayant atteint leur but, ils se lavèrent les mains et quittèrent la région qui se trouva plongée dans le chaos. En fait, Washington a utilisé les moudjahidines comme un préservatif : quand ils n’étaient plus d’aucune utilité, ils les ont jetés.
Qui en a souffert ?
Les peuples d’Afghanistan et du Pakistan.
En effet, lorsque les services secrets pakistanais ont soutenu les moudjahidines pour combattre les communistes, ils n’ont pas unifié ce mouvement, mais ont soutenu chaque seigneur de guerre séparément. Une fois les Etats-Unis partis, une sévère compétition a opposé les seigneurs de guerre afghans. Le pays a été totalement détruit par cette guerre civile. Des millions de réfugiés ont fui vers le Pakistan, alors touché lui-même par une grave crise, son économie déclinant avec l’arrivée de nombreux Afghans et barons de la drogue.
En effet, lorsque les services secrets pakistanais ont soutenu les moudjahidines pour combattre les communistes, ils n’ont pas unifié ce mouvement, mais ont soutenu chaque seigneur de guerre séparément. Une fois les Etats-Unis partis, une sévère compétition a opposé les seigneurs de guerre afghans. Le pays a été totalement détruit par cette guerre civile. Des millions de réfugiés ont fui vers le Pakistan, alors touché lui-même par une grave crise, son économie déclinant avec l’arrivée de nombreux Afghans et barons de la drogue.
Dans ce contexte, apparurent les Talibans, des étudiants issus de la plus jeune génération de ces réfugiés. Leur arrivée au pouvoir offrait une opportunité aux Etats-Unis et au Pakistan. Mais en fait, ces trois acteurs avaient chacun des intérêts très différents.
C’est-à-dire ?
Le Pakistan, lorsque les pays d’Asie centrale sont devenus indépendants, a réalisé que son principal ennemi, l’Inde, était fort, alors que lui-même se trouvait en position délicate. La bourgeoisie pakistanaise décida, pour se développer économiquement et concurrencer l’Inde, d’utiliser l’Afghanistan comme porte d’accès aux marchés d’Asie centrale. Elle favorisa donc l’accès au pouvoir des Talibans en Afghanistan.
L’intérêt des Etats-Unis était de contrôler et dominer les richesses d’Asie centrale. La compagnie pétrolière US Unocal voulait construire un pipeline dans la région. Mais pour cela, il fallait que l’Afghanistan soit pacifié.
Enfin, l’intérêt des Talibans était de pacifier le pays et d’instaurer une révolution islamique. Ce qui rencontrait les intérêts de l’Arabie Saoudite qui souhaitait exporter l’idéologie islamique en Asie centrale, afin d’affaiblir la Russie et de contrôler le gaz dans cette région.
Appuyés donc par des puissances étrangères, les Talibans ont combattu les seigneurs de guerre et pris le pouvoir. Fatigué, le peuple d’Afghanistan voulait la paix. Les Talibans furent bien accueillis.
Finalement, ce plan n’a pas marché : les Etats-Unis n’ont pas réussi à pacifier la région, le Pakistan n’a pu s’ouvrir un accès au marché de l’Asie centrale et les Talibans ont été renversés.
Pourquoi ?
L’Afghanistan comporte différents groupes ethniques. Le plus représenté est celui des Pachtounes : presque 50% de la population. Ensuite, il y a les Tadjiks, les Hazaras et les Kazakhs autour desquels la rivalité entre les seigneurs de guerre s’articule. Enfin, il y a d’autres minorités. Les Talibans sont Pachtounes. Un trait caractéristique de ce groupe est qu’ils sont très indépendants ! Les Etats-Unis et le Pakistan voulaient les utiliser comme des mercenaires, mais les Talibans avaient leur propre vision des choses. De plus, les Pachtounes ne reconnaissent pas la frontière séparant Afghanistan et Pakistan.
Pourquoi ?
Retournons au 19ème siècle, quand l’Inde était la précieuse colonie de l’Empire britannique, qu’inquiétait l’expansion des Russes en Asie centrale. Pour protéger leur colonie, les Britanniques souhaitaient utiliser l’Afghanistan. Cela a débouché sur trois guerres anglo-afghanes. Ce qui nous intéresse particulièrement est un résultat de la seconde guerre : en 1893, le gouverneur d’Inde, Sir Durand, traça une ligne dans le territoire pachtoune, afin de protéger sa colonie en créant une zone tampon entre l’Afghanistan et l’Inde britannique. Cette ligne est la frontière actuelle entre l’Afghanistan et le Pakistan. C’est pourquoi beaucoup de Pachtounes ne reconnaissent pas l’existence du Pakistan. Quand ce pays est devenu indépendant, le seul membre à voter contre son entrée aux Nations Unies était l’Afghanistan !
Il était donc clair que les Talibans, lorsqu’ils auraient pris le pouvoir, ne se soumettraient pas à ces intérêts étrangers. En mai 2001, six mois avant l’attaque du World Trade Center, Washington allouait sans aucun résultat une subvention de 43 millions de dollars au régime taliban dans le cadre du projet de pipeline d’Unocal. Mais avec le 11 septembre, tout le programme tomba à l’eau.
Les forces de la coalition ont facilement renversé le régime taliban mais n’ont pas réussi à prendre le contrôle du pays.
Pourquoi ?
Tout d’abord, l’actuel gouvernement d’Afghanistan n’est pas reconnu par les Pachtounes. Quand les Talibans ont été renversés, les Etats-Unis ont placé Hamid Karzai comme président. Karzai, qui a travaillé pour Unocal, est un Pachtoune mais il n’a pas de base sociale en Afghanistan. En fait, les Pachtounes, premier groupe ethnique du pays, ne sont pas vraiment représentés dans ce gouvernement.
Il y a juste quelques marionnettes de Washington sans aucune légitimité auprès de la population. Au départ, les Etats-Unis essayèrent bien d’acheter des Pachtounes représentatifs pour participer au gouvernement, mais ceux-ci ont pris l’argent et se sont tirés : comme je l’ai dit, les Pachtounes sont très indépendants !
Deuxièmement, les seigneurs de guerre présents au gouvernement travaillent chacun dans leur propre intérêt. Ils ne paient pas de taxes au gouvernement central, mais s’approprient les richesses. Chaque ministère est le ministère indépendant d’un seigneur de guerre. Une situation chaotique qui paralyse le gouvernement.
Troisièmement, les seigneurs de guerre ne font pas confiance aux Pachtounes. Ils pensent que si ces derniers prennent la majorité au gouvernement, ils imposeront leur vision. Bref, c’est un gouvernement où tout le monde est contre tout le monde. Tous les films que l’Occident s’est faits, ça ne marche absolument pas !
Enfin, nous pouvons dire également que les forces de l’Otan n’aident pas Hamid Karzai dans son travail en bombardant des paysans dans leurs fermes, dans les mosquées, à des mariages ou à des funérailles… L’actuel gouvernement est perçu par une grosse partie de la population comme un instrument de l’agresseur. Tous ces meurtres ont créé un soulèvement populaire et unifié la résistance des Talibans.
Conséquence de cette guerre, la production d’opium a augmenté : plus de 3.000% depuis la chute du régime taliban. Le département d’Etat US a accusé les Talibans d’utiliser la drogue pour financer la résistance…
L’opium est un produit chimique provenant du pavot. Quand la fleur de pavot éclot, vous la coupez, collectez le lait qui en coule et le vendez. C’est ce que font les paysans afghans. Ensuite, des personnes assèchent ce lait, le travaillent dans une machine en ajoutant des produits chimiques pour finalement obtenir de l’opium. Pour produire cette drogue, vous avez besoin d’un laboratoire et de connaissances en chimie. Je ne pense pas que les paysans afghans détiennent tous un diplôme de chimiste. Si c’était le cas, l’Afghanistan serait un pays très développé ! Pour tirer de l’argent du trafic d’opium, vous avez également besoin d’une certaine logistique pour pouvoir ramener le produit en Occident. Les Talibans n’ont rien de tout cela. En fait, l’opium provient des seigneurs de guerre, avec l’aide de la CIA. La plupart du temps, cette drogue vient des services secrets US qui l’utilisent comme un fonds rentable, portant la drogue dans les pays occidentaux, la vendant au prix du marché et utilisant ensuite cet argent sale pour financer leurs guerres.
En Afghanistan, la culture du pavot a commencé avec la guerre contre les Soviétiques et aujourd’hui, l’industrie de l’opium est aux mains de seigneurs de guerre. Or, pour un paysan, cultiver le pavot rapporte beaucoup plus que cultiver des tomates. Pour se constituer une base sociale, les seigneurs de guerre ont donc laissé les paysans cultiver ce qu’ils voulaient.
Par contre, lorsque les Talibans avaient pris le pouvoir dans les années 90, ils avaient brûlé les champs de pavots. Se faisant beaucoup d’ennemis au sein de la paysannerie. C’est pourquoi aujourd’hui, les Talibans n’empêchent plus les paysans de cultiver le pavot, mais interdisent la production d’opium. Ils retirent même des bénéfices grâce à la contribution financière des paysans. En fait, le gouvernement central n’a aucune possibilité de percevoir une taxe dans le Sud du pays, car tout est aux mains des Talibans. Or, un gouvernement incapable de percevoir une taxe n’est pas un gouvernement !
Beaucoup de spécialistes considèrent que la guerre en Afghanistan est impossible à gagner. Le général français Georgelin l’a même qualifiée de « merdier ingérable ». Quelles sont les difficultés rencontrées par les forces de la coalition ?
L’OTAN tue des civils chaque jour. Dès lors, la population s’est rapprochée des Talibans. A présent, ceux-ci contrôlent le Sud du pays, avec un gouvernement de fait dans chaque village. Ils sont mélangés à la population et les forces de l’OTAN enregistrent des pertes. Du coup, dès que quelque chose de suspect bouge, les GI’s ouvrent le feu, tuant des civils par la même occasion. Donc, les Afghans font face, d’un côté, aux seigneurs de guerre impérialistes bombardant des civils et, de l’autre côté, aux seigneurs de guerre régionaux pillant le pays et vendant de la drogue. Voilà pourquoi les Talibans ont le soutien de la population. Non qu’ils aient des idées progressistes, mais elle attend d’eux qu’ils ramènent la paix dans le pays. Exactement comme ils l’ont fait en 1992.
Est-ce pour cela qu’Obama s’est dit prêt à négocier avec les Talibans modérés ?
Il essaie de protéger les Etats-Unis d’une crise qui s’est accumulée depuis les sept dernières décennies. Et c’est très difficile. Obama veut montrer qu’il n’y a pas de guerre contre les musulmans, qu’il rejette le prétendu choc des civilisations. Il s’est donc dit prêt à négocier avec les Talibans modérés. Telle est la nouvelle politique US pour de nombreux endroits du monde où il y a des mouvements musulmans : les diviser entre les bons et les méchants.
Je ne sais si ce genre de négociations pourra mettre fin au conflit. Si Washington essaie cette voie, elle devra probablement programmer une nouvelle propagande montrant les Talibans sous leur bon côté. Mais ils ont des mentalités arriérées : ils ont détruit des temples bouddhistes pour installer la révolution islamique, leurs positions contre les femmes sont primitives et leur vision du monde archaïque. D’un autre côté, pour obtenir le soutien de la population, ils ont quand même appris de leurs erreurs. J’ai évoqué la culture du pavot.
Un autre exemple : contrairement à ce qu’ils avaient préconisé par le passé, les Talibans sont aujourd’hui d’accord avec le fait que les filles puissent aller à l’école. Ils ont évolué et sont plus forts pour résister. Mais ça ne veut pas forcément dire qu’ils seront ouverts pour négocier avec les Etats-Unis. Enfin, vous devez aussi tenir compte du fait que, désormais, le plus gros de la crise n’est plus en Afghanistan, mais au Pakistan.
Pourquoi la guerre afghane a-t-elle provoqué une telle crise au Pakistan ?
Comme je l’ai dit, la ligne de Durand tracée dans le territoire historique des Pachtounes est l’actuelle frontière séparant les deux pays. Ce qui veut dire que vous avez des Pachtounes des deux côtés de la frontière. Au Pakistan, ils sont le deuxième groupe ethnique après les Punjabis. C’est très important. Car l’élite pakistanaise, depuis l’indépendance du pays, a toujours soutenu l’impérialisme US. Vous pouvez travailler en tant qu’agent de votre patron quand vous accomplissez pour lui un boulot au loin, en Amérique du Sud ou en Afrique par exemple. Mais dans le cas de la guerre d’Afghanistan, c’est un suicide car les deux pays sont voisins et se partagent des groupes ethniques.
Il y a des Talibans dans le Nord du Pakistan aussi. Chaque jour, ils attaquent et détruisent les ravitaillements des forces de la coalition supposés passer du Pakistan à l’Afghanistan par un endroit stratégique de la frontière. Pour résoudre ce problème, le gouvernement pakistanais, marionnette de Washington, autorise l’Otan à bombarder les Pachtounes sur son propre territoire. En conséquence, les Talibans pakistanais se sont développés et estiment maintenant que leur ennemi est au Pakistan. Ils ont déclaré vouloir marcher sur Islamabad.
C’est pourquoi la frontière entre les deux pays n’a plus de sens. Et le peuple pakistanais doit faire face à ce problème : où est la légitimité du gouvernement pakistanais s’il laisse l’OTAN bombarder ses propres civils ? Le peuple pakistanais a maintenant deux solutions : devenir nationaliste et refuser le diktat US ou continuer sur cette voie qui mène à la disparition de son pays.
Quelles pourraient être les conséquences de cette crise ?
La clé, c’est la stratégie des Etats-Unis pour bloquer la Chine. Quand le tsunami est survenu, Washington a envoyé une importante aide humanitaire en Indonésie. En profitant pour y construire une base militaire dans la province d’Aceh. Cette base fait face au détroit de Malacca et c’est par ce détroit que passe le pétrole provenant de l’Océan Indien et à destination de la Chine.
Aujourd’hui, les Etats-Unis sont installés à cet endroit stratégique. Au moindre problème avec la Chine, ils seront en mesure de fermer ce détroit et priver Pékin de son pétrole. Tenant compte de cette situation, le géant asiatique - qui a de plus en plus besoin de pétrole pour développer son pays - cherche d’autres voies d’acheminement. Une solution passe par la Birmanie, qui a des ressources et qui pourrait permettre un accès vers le Bangladesh.
Une autre possibilité, c’est le port de Gwandar, construit par la Chine au Baluchistan qui est la plus grande province du Pakistan : environ 48% de la superficie du pays. Mais c’est aussi la province la moins peuplée : 5% de la population totale. Cette province a d’importantes réserves de gaz et de pétrole. Pékin pourrait aussi construire un pipeline partant de l’Iran et passant par le Baluchistan avant de rejoindre la Chine occidentale. Mais les Etats-Unis veulent absolument empêcher cette province de passer dans la sphère d’influence chinoise. D’où leur soutien au mouvement séparatiste du Baluchistan, afin de prendre, eux, le contrôle du port de Gwandar.
Avec, d’un côté, le problème des Pachtounes, et, de l’autre côté, la possible sécession de sa plus grande province, le Pakistan risque une balkanisation : l’éclatement en une série de petits Etats. Aujourd’hui, le peuple pakistanais devient plus attentif. C’est à lui que revient le devoir de stopper ce désastre et de virer les Etats-Unis du Pakistan. Mais c’est aussi la responsabilité de tous les mouvements démocratiques révolutionnaires de la région. En effet, si le Pakistan connaît le même sort que la Yougoslavie, toute la région devra faire face à des très graves problèmes.
Mohamed Hassan recommande les lectures suivantes :
Ahmed Rashid, Taliban. Militant Islam, Oil and Fundamentalism in Central Asia, Yale University Press, 2001 (existe en français: Ahmed Rashid, L’ombre des Talibans, Autrement, 2001)
Antonio Giustozzi, War, Politics and Society in Afghanistan, 1978-1992, Georgetown University Press, 2000
Alfred W. McCoy, The Politics of Heroin in Southeast Asia. CIA complicity in the global drug trade, Harper & Row, 1972 (existe en français: Alfred W. McCoy, La politique de l'héroïne l'implication de la CIA dans le trafic de drogues, Ed. du Lézard, 1998)
Michel Collon, Media Lies and the Conquest of Kosovo, Unwritten History, 2007 (existe en français: Michel Collon, Monopoly, L’Otan à la conquête du monde, EPO, 2000)
Obama speech in Cairo confirms that his war in Afghanistan-Pakistan is to help israelis build a pipeline
The planned route of the TAPI pipeline Obama is sending 17000 troops to die for Israel in Afghanistan
By Christopher Bollyn,
'All tyranny needs to gain a foothold is for people of good conscience to remain silent'. - Thomas Jefferson
President Barack Obama's speech in Cairo on June 4 was a carefully prepared speech meant to explain the administration's policies in the Middle East to the people of the region. I listened to see how he would explain his controversial decision to increase the number of U.S. troops and military activity in Afghanistan and Pakistan, a decision I strongly oppose. What I heard in Obama's speech about Afghanistan was very discouraging in that it revealed the appalling continuation of the blatant 9-11 deception by the new administration.
Here is the essence of what Obama said about 9-11 and the war in Afghanistan and Pakistan:
The first issue that we have to confront is violent extremism in all its forms. In Ankara, I made clear that America is not and never will be at war with Islam. We will, however, relentlessly confront violent extremists who pose a grave threat to our security because we reject the same thing that people of all faiths reject, the killing of innocent men, women, and children. And it is my first duty as president to protect the American people.
The first issue that we have to confront is violent extremism in all its forms. In Ankara, I made clear that America is not and never will be at war with Islam. We will, however, relentlessly confront violent extremists who pose a grave threat to our security because we reject the same thing that people of all faiths reject, the killing of innocent men, women, and children. And it is my first duty as president to protect the American people.
The situation in Afghanistan demonstrates America's goals and our need to work together. Over seven years ago, the United States pursued Al Qaida and the Taliban with broad international support. We did not go by choice. We went because of necessity. I'm aware that there's still some who would question or even justify the offense of 9/11. But let us be clear. Al Qaida killed nearly 3,000 people on that day.
The victims were innocent men, women, and children from America and many other nations who had done nothing to harm anybody. And yet Al Qaida chose to ruthlessly murder these people, claimed credit for the attack, and even now states their determination to kill on a massive scale. They have affiliates in many countries and are trying to expand their reach.
These are not opinions to be debated. These are facts to be dealt with. Make no mistake, we do not want to keep our troops in Afghanistan. We see no military -- we seek no military bases there. It is agonizing for America to lose our young men and women. It is costly and politically difficult to continue this conflict.
We would gladly bring every single one of our troops home if we could be confident that there were not violent extremists in Afghanistan and now Pakistan determined to kill as many Americans as they possibly can. But that is not yet the case.
And that's why we're partnering with a coalition of 46 countries. And despite the costs involved, America's commitment will not weaken…
This is how Obama explained the U.S. war effort in Afghanistan and Pakistan: As a necessary confrontation with 45 nations against the violent extremists behind the attacks of 9-11. We would bring our troops home, he said, if there were no "violent extremists" in those countries "determined to kill as many Americans as they possibly can."
What is the real reason behind Obama's war in Afghanistan?
THE 9-11 DECEPTION
Al Qaida was behind the mass murder of thousands of people on 9-11, Obama said. This is not an opinion to be debated, he added. "These are facts to be dealt with."
If the Obama administration were truly concerned about facts, he might take note of the disturbing fact that not a single 9-11 victim's case has gone to trial after nearly 8 years. If the legal case were so solid that Osama Bin Laden and his agents committed 9-11, why has the evidence not been presented in an open trial in a U.S. court? The military is supposedly holding Khalid Sheikh Mohammed, the person who is the "confessed" mastermind of 9-11, in Guantanamo. Why is he not put on trial in an open court? Why have the surviving airplane parts not been identified? Why has the evidence of thermite in the collapsed towers not been addressed?
One of the 9-11 facts the Obama administration will have to deal with is the evidence of super-thermite in the dust of the World Trade Center. This thin layer of super-thermite was evidently used to pulverize the concrete in the twin towers on 9-11. The people who applied tens of tons of thermite to the interiors of the twin towers are, in fact, directly responsible for the murder of 3,000 people on 9-11. If Al Qaida had teams of men spraying super-thermite and placing explosive charges in the buildings leased and owned by Larry Silverstein and the Israeli commando Frank Lowy, let's see the evidence. Otherwise, let's find out who really put the super-thermite in the twin towers.
The United States went to war in Afghanistan out of "necessity," Obama said, yet the American public has not been given any solid evidence to prove that the Taliban of Afghanistan had anything to do with 9-11. Why then is the Zionist-run Obama administration sending more troops to Afghanistan? And why have they expanded the war into Pakistan?
I have discussed in several articles the powerful Zionists behind the Obama White House. Obama was sponsored and molded since 1992 to be the first black president of the United States by the daughter of Philip Morris Klutznick, the former president of the B'nai B'rith and mega Zionist from Chicago. The chief of staff of the White House is Rahm Emanuel, an Israeli national whose father was a member of a Zionist terrorist organization in Palestine that was allied with Nazi Germany. These are a few real facts, not opinions, that need to be dealt with.
Understanding the Zionist nature of the Obama administration, the question that must be asked is why is the administration expanding the war in Afghanistan and Pakistan? The American people certainly have no real interest in Afghanistan or Pakistan and the Afghans and Pakistanis have no real interest in America. There must be a Zionist strategic goal in controlling these two Central Asian nations, but what is it?
As I pointed out in my article from 2001, "The Great Game: The War for Caspian Oil and Gas," the Israelis are deeply engaged in the region:
Turkmenistan and Azerbijan are also both closely allied with Israeli commercial interests and Israeli military intelligence. In Turkmenistan, a former Israeli intelligence agent, Yosef A. Maiman, president of Merhav Group of Israel, is the official negotiator and policy maker responsible for developing the energy resources of Turkmenistan.
"This is the Great Game all over," Maiman told the Wall Street Journal about his role in furthering the "geopolitical goals of both the U.S. and Israel in Central Asia. "We are doing what U.S. and Israeli policy could not achieve," he said, "Controlling the transport route is controlling the product."
"Those that control the oil routes out of Central Asia will impact all future direction and quantities of flow and the distribution of revenues from new production," said energy expert James Dorian recently in Oil & Gas Journal on September 10, 2001.
Foreign business in Turkmenistan is dominated by Maiman's Merhav Group, according to the Washington Report on Middle East Affairs (WRMEA). Maiman, who was made a citizen of Turkmenistan by presidential decree, serves as Turkmenistan's official negotiator for its gas pipeline, special ambassador, and right-hand man for the authoritarian President Saparmurad Atayevich Niyazov, a former Politburo member of the Central Committee of the Communist Party of the Soviet Union.
The Merhav Group of Israel officially represents the Turkmen government and has brokered all of the energy projects in Turkmenistan, contracts worth many billions of dollars.
ISRAEL & THE TAPI PIPELINE
The main Zionist goal in Afghanistan and Pakistan is to "pacify" these nations to allow the Turkmenistan-Afghanistan-Pakistan-India (TAPI) gas pipeline to be built. This line, once completed, could be extended to China. This project is the pipe dream of Joseph A. Maiman (a.k.a. Josef, Yosef, Yossi), one of the most powerful men in Israel.
Yosef A. Maiman
The Jerusalem Post of 23 July 2004, described Maiman as one of the leading miners of the gas of Central Asia, specifically Turkmenistan:
Though his sprawling multi-billion-dollar empire stretches from Channel 10 TV, where he is a partner, to Central Asian gas fields, where he is a leading miner, Maiman was born humbly, in a displaced persons camp in Germany, and grew up in Peru.
Maiman's Merhav Group started off in 1976 with Third World debt-financing, but later diversified into agriculture, energy solutions and telecoms. Today, it is the Republic of Turkmenistan's single largest foreign partner.
Just two weeks ago, the Israeli foreign ministry announced it would open a new embassy in Ashgabat, Turkmenistan, "saying it was a natural step in burgeoning bilateral ties, and reflected a new momentum in Israel's overall ties with the Central Asian countries," according to the Jerusalem Post of 21 May 2009.
Turkmenistan is reported to be "the second largest holder of gas reserves in the world, with some 28 trillion cubic meters of proven gas reserves," second only to Russia. The "former" Israeli Mossad agent Joseph A. Maiman is reportedly the owner or co-owner of much of that gas and has been the key person managing the development of Turkmenistan's gas fields. If the TAPI pipeline were to be completed, the Israelis connected with Maiman and Merhav would collect tens of billions of dollars by selling the gas of Turkmenistan to Pakistan, India, and China. This is certainly one of the key Israeli strategic goals in Afghanistan and Pakistan. The pipeline is meant to pass through Kandahar, the area where Canadians are serving and which Canada is obliged to defend until 2012.
The planned route of the TAPI pipeline
Mr. Maiman is also a business partner of Rupert Murdoch and Ronald Lauder. In November 2002, Yossi Maiman and the former head of the Mossad, Shabtai Shavit, launched a new political party with the former head of the Shin Bet, Ya'acov Perry. These people are all closely tied to the false-flag terror attacks of 9-11. Their roles are described in my chapter entitled, "The Architecture of Terror."
To really understand why the Obama administration is sending more troops to Afghanistan and waging war in Pakistan it is essential to understand what is at stake and who will benefit from the TAPI pipeline. Obama's speech in Cairo today was a blatant deception about the real purposes of the war in Central Asia.
OBAMA IN DRESDEN
Obama flew to Germany after speaking in Cairo and landed in Dresden, the Saxon capital city on the Elbe. Dresden was completely obliterated in a Allied fire-bombing attack on Valentines Day and Ash Wednesday 1945. Eyewitnesses to the holocaust of Dresden estimate that more than 500,000 people were killed in the attack in which the entire inner city was incinerated. Obama will visit the Buchenwald concentration camp in the outskirts of Weimar. I spent a month in Dresden and visited Buchenwald. I discovered that the death rate for German prisoners held in Buchenwald during the Soviet occupation was much higher than the death rate in the camp during the war.
Here are a few extracts from my Letter from Buchenwald:
According to a U.S. Army report dated May 25, 1945, a total of 238,980 prisoners had been held at Buchenwald in the period from July 1937 to April 1945. Of this number 34,375 died. This report, which shows a mortality rate of some 14 percent, was based on camp records confiscated by the U.S. Army.
Shortly after the U.S. Army "liberated" Buchenwald, it was turned over to the Soviet Union and became the so-called Special Camp No. 2 from 1945 to 1950. As the guide book, written by Sabine and Harry Stein says, "Prisoners moved into the barracks again hardly four weeks after the last survivors had left the National Socialist concentration camp in Buchenwald. Buchenwald became a place of isolation and death for another four and a half years...."Hunger and isolation seriously affected everyday life.
Hunger was almost omnipresent. Mass deaths ensued when the restricted rations were cut temporarily."More than one third of the total number of 122,671 prisoners died in the course of being there," the guide says about the post-war Soviet prison camp. "The victims of Buchenwald Special Camp were buried in mass graves. Their relatives did not receive any official notification."The history of Special Camp No. 2 and the existence of mass graves was subject to taboo in the German Democratic Republic," the guide says.The official mortality rate in the Soviet camps during the post-war period was more than twice that of Buchenwald during the war. According to camp records kept by the Soviet Union, the Soviet prison camp system in Germany held 122,671 prisoners between 1945 and 1950 of which 42,889 died. This is a death rate of nearly 35 percent. In addition, 756 persons were executed.
To understand what really happened in both of these places, I recommend reading my articles from Buchenwald and Dresden.
Sources and Recommended ReadingAbout Buchenwald and Dresden:Bollyn, Christopher, "Letter from Buchenwald," November 12, 2005
Bollyn, "Letter from Slaughterhouse Five," February 19, 2004
Bollyn, "The Passing of Kurt Vonnegut - An Eyewitness to the Holocaust of Dresden, April 12, 2007
About Afghanistan and the Deception of 9-11:"Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe," Steven E. Jones et al, The Open Chemical Physics Journal, March 2009
President Obama's Speech on a New Beginning, Cairo, Egypt, June 4, 2009
Bollyn, Christopher, "The Great Game: The War for Caspian Oil And Gas," September 25, 2001
Bollyn, "Israeli Control of the Mass Media & the 9-11 Cover Up," September 2007
Bollyn, "The Architecture of Terror: Mapping the Israeli Network Behind 9-11," July 25, 2008
Bollyn, "Obama and the Jews," April 2008Bollyn, "The Israeli Who Will Run the Obama White House," November 6, 2008Keinon, Herb, "Israel opens 3 new diplomatic missions," Jerusalem Post, May 21, 2009Schechter, Erik, "I spy," Jerusalem Post, July 23, 2004"Turkmenistan: World’s Second Largest Holder of Gas Reserves," NewsCentralAsia.net, October 24, 2008
LE BILAN AMER DES PERTES AMERICAINES EN IRAK!
Le bilan amer des pertes réelles américaines en Irak
Khaled Al-Maîni
14 mai
Le volume des pertes matérielles et humaines des troupes d'occupation américaines en Irak a déstabilisé l'économie, principal facteur de la puissance US et de son hégémonie mondiale. Actuellement les responsables se sont résignés à retirer leurs troupes, au constat des pertes justement, mais une grande interrogation demeure quant à leurs chiffres réels. En effet, nous avons, d'une part, des chiffres de tués et de blessés relativement bas, communiqués par le Pentagone et, d'autre part, des chiffres nettement plus élevés retenus par de nombreuses sources américaines indépendantes ou neutres qui se sont inquiétées très tôt du taux élevé de ces pertes.
Dans ce papier qui vise à cerner la situation des pertes réelles américaines, nous allons procéder d'une façon méthodique, selon des critères objectifs et sur la base de rapports émanant de sources américaines fiables ainsi que des procédures de publication des communiqués officiels par les divers services militaires, pour convenir d'une équation permettant de déterminer le volume réel des pertes. Nous tiendrons compte de la différenciation des pertes, humaines et matérielles, et leur ventilation en pertes tangibles et non tangibles, ces dernières désignant des facteurs psychologiques et sociologiques tels que l'atteinte au moral, au prestige et à la position du pays . La désinformation de l'opinion américaine: Depuis la guerre du Vietnam, les services d'information militaires américains ont pris l'habitude de minimiser les pertes de leurs troupes au combat. Au début il s'agissait tout juste de quelques milliers de morts, mais avec le temps elles se sont avérées des dizaines de milliers (plus de trente mille), ce qui a conduit à la chute du Président Johnson à l'époque. En Irak, avec le déclenchement de la résistance et la recrudescence de ses attaques, l'Etat Major des troupes d'occupation a essayé de minimiser ces attaques et d'occulter les chiffres de leurs pertes, pour éviter, soi- disant, de conforter l'ennemi et de lui donner l'impression qu'il marquait des succès. L'administration américaine a déployé des efforts impressionnants pour truquer les chiffres des pertes, considérés comme des armes de guerre, et abuser son opinion. Elle a ainsi opéré à deux niveaux. Le premier niveau correspond aux chiffres auxquels on peut accéder facilement sur les sites officiels du gouvernement. Ce sont les chiffres publics et officiels.
Le second niveau correspond à ce qui est occulté et auquel on ne peut accéder qu'à travers une loi relative à la liberté d'accès à l'information, appelée loi FOIA*. Ce niveau renferme des informations sur les pertes réelles, humaines et matérielles dont la publication comporte des risques politiques et économiques importants. L'administration américaine a usé de divers moyens pour contrôler son opinion publique américaine notamment à travers "l'orientation de l'ensemble de l'arsenal médiatique" du monde à sa disposition, des contraintes et des pressions exercées sur le reste des moyens d'information nationaux et internationaux. La longue durée du conflit, la croissance du nombre des morts, des blessés et des suicidés et la montée en flèche du coût économique et financier de la guerre ont conduit de nombreux chercheurs et des commissions indépendantes à faire la vérité sur les pertes réelles américaines, loin de toute politisation, de l'occultation et du camouflage du Pentagone. L'administration s'entête à propager les chiffres du Pentagone selon lesquels il n'y aurait eu que quelques quatre mille et quelques centaines de tués, alors que tout le monde sait que ce chiffre ne tient pas compte des morts des "entreprises de mercenaires", en service dans les troupes américaines dans le cadre de la privatisation de la guerre.
Ces mercenaires s'occupent d'une large palette d'actions allant de la maintenance des systèmes d'armement, aux opérations militaires, à la garde rapprochée des diplomates américains. Leur effectif dépasserait les 160.000 membres. Le chiffre officiel des tués ne comprend pas non plus celui des soldats contractuels engagés dans le dessein d'obtenir la nationalité américaine, ni ceux des entreprises asiatiques et notamment indiennes qui s'occupent des services de cuisine, de nettoyage et de manutention… Le critère du nombre de blessés et d'attaques: Nous avons utilisé plusieurs critères pour affiner notre recherche et parvenir à plus de précision sur les pertes réelles et nous avons fait de nombreux recoupements. Les armées traditionnelles utilisent des formules multiples pour parvenir à obtenir le nombre de tués par rapport à celui des blessés en se basant entre autres sur la durée du conflit, la nature de la guerre et le niveau du développement des moyens d'évacuation des blessés. La guerre en Irak appartient à ce qu'on appelle une guerre asymétrique, c'est-à-dire une guerre de libération ou de partisans. Pour déterminer le rapport des tués aux blessés, nous avons tenu compte et fondé notre recherche sur les rapports officiels de l'armée américaine donnant le nombre des tués et des blessés depuis 2003 et jusqu'à la fin de 2008.
Le nombre des blessés enregistrés auprès du ministère des anciens combattants pour les motifs les plus divers (couverture sociale, demande de soins et d'indemnités…) est de 224.000. Sur la base de un tué pour sept blessés, le nombre de tués serait de 32.000. Ce chiffre est confirmé par de nombreuses sources fiables et de commissions américaines indépendantes. En tête de ces commissions, il y a la Commission Baker-Hamilton, désignée par le Congrès, qui a été aidée par 183 experts civils et militaires et qui a produit un premier rapport, reconnaissant pour la première fois que "le nombre d'attaques au mois d'octobre 2006, a atteint le chiffre de 180 par jour et celui des tués 102".
Un autre rapport américain qui n'est pas moins important donne une idée sur les pertes réelles américaines. Il émane du GAO (Government Accountability Office) en date du 23 juillet 2008 et qui donne pour la première fois le nombre d'attaques exécutées par la résistance irakienne: 164.000 attaques considérées comme importantes et violentes, ce chiffre ne comprenant pas les attaques effectuées au sud et à l'est du pays. Ainsi, en ajoutant les 300 militaires tués lors des premières semaines de l'invasion américaine et jusqu'au mois d'avril 2003, les 1315 tués des entreprises de mercenaires, le nombre total des tués américains en Irak serait de 33.615, et ce jusqu'à la fin de 2008. On ne dispose pas par contre d'informations fiables sur le nombre de tués dans "les missions hors combat", les suicidés ou les blessés morts dans les hôpitaux allemands ou lors de leur évacuation, et qui traditionnellement ne sont pas comptés dans les morts officiels. Les pertes matérielles Le coût matériel, financier et économique de la guerre en Irak n'est pas moins important. Il est même plus important dans le cas des USA, compte- tenu des conditions de son financement.
En 2003, le coût était estimé à 4,4 Milliards $. En 2008, il monte 12 Milliards $. Selon des sources américaines, notamment la commission économique conjointe du Congrès américain, l'étude Joseph Stiglitz, lauréat 2001 du prix Nobel d’Economie, professeur d’économie à l’Université de Columbia et co-auteur, avec Linda Bilmes, de The Three Trillion Dollar War : The True Costs of the Iraq Conflict. Effectué sur la base de documents officiels et avec le concours de l'organisation des anciens combattants. C'est une guerre à 3000 milliards $. Ce coût comprend les opérations, y compris les salaires du personnel militaire et des mercenaires, plus le coût du matériel, équipements et armements (blindés, chars, hélicoptères, avions) dont la moitié est devenue obsolète et le restant nécessitant des réparations et des remises en état pendant cinq ans comme le signale le rapport Baker-Hamilton- dans sa recommandation 48.
Ce coût comprend aussi les dépenses engagées pour la couverture sociale et médicale des militaires blessés ainsi que des intérêts des emprunts faits pour le financement de la guerre, hors budget officiel. En résumé: Nombre de tués de 2003 à 2008: 33.615 Nombre de blessés de 2003 à 2008: 224.000 Nombre d'attaques de la résistance irakienne de 2003 à 2008: 164.000, non comprises celles effectuées dans l'Est et le Sud du pays. Coût financier 3Trillions $ Je ne prétends pas être parvenu à des résultats d'une précision absolue mais ces résultats proviennent de sources exclusivement américaines. Je n'ai pas mentionné les pertes immatérielles en rapport avec l'effondrement du moral des troupes, la montée du niveau de haine contre les USA dans le monde, de son discrédit et celui de son discours sur la démocratie, son influence et sa place dans le monde…en plus de la montée du chômage, de l'endettement. Il est attendu que juste après la fin de la guerre ou peut-être après le retrait des troupes américaines des villes, on ait un bilan officiel de cette guerre. *Le Freedom of Information Act (FOIA) est une loi américaine signée le 4 juillet 1966 par le président Lyndon B. Johnson, et entrée en application l'année suivante.
Fondée sur le principe de la liberté d'information, elle oblige les agences fédérales à transmettre leurs documents, à quiconque en fait la demande, quelle que soit sa nationalité [1]. Contexte du vote de la loi et dispositions Le FOIA a été voté dans le contexte de la guerre du Vietnam, l'opinion publique exigeant un accès plus aisé aux documents de l'administration américaine. Toutefois, cette liberté d'accès est restreinte par neuf exemptions, pour raison de sécurité nationale, de secret défense, de politique étrangère, de secrets de fabrication, de respect du secret médical et de la vie privée, ainsi que les informations géologiques et géophysiques (y compris les cartes) concernant les puits.
Traduit de l'arabe par Ahmed Manai
IMBROGLIO GEOPOLITIQUE : Idriss Deby pion d’Israël contre le Soudan !
A l’issue du sommet des Etats Sahélo-Sahariens qui vient de se tenir à Sabratha en Libye sous l’égide du président Mouammar Kadhafi, toute l’opinion africaine a retenu que le guide Libyen a promis de trouver une solution définitive au conflit Tchad- Soudan, fût-ce – a – t – il précisé – par les sanctions ou la force.
L’Afrique toute entière souhaiterait bien que cette promesse ne soit pas un simple vœu pieux. Surtout que ce qui se passe en réalité entre ces deux pays – du moins depuis 1990 - est loin, bien loin, de ce que s’entêtent à marteler bon nombre d’objecteurs ou de directeurs de consciences, à savoir des agressions alternées de l’un contre l’autre.
Et si cette entreprise de normalisation est menée jusqu’au bout, ce que l’on se complait à qualifier d’opinion internationale aura droit à de bien cocasses surprises. Notamment sur ces mouvements de rébellions Tchadiens et Soudanais qui n’ont rien de commun ni de comparable, et surtout - comme cerise sur le gâteau - la vérité sur la cynique détermination de certains lobbies à déstabiliser et à faire main basse sur le Soudan.
Seuls les observateurs les plus perspicaces de la politique Africaine, ou les moins formatés par cette prétendue bienpensance sentant bon la condescendance occidentale, ont compris, depuis belle lurette, la profonde réalité de ce qui se passe au Soudan. Et corrélativement au Tchad voisin.
Ils ne sont en tout cas pas nombreux à admettre que l’incendiaire instabilité qui calcine le Soudan depuis près d’une dizaine d’années, ainsi que cet acharnement irréductible d’une certaine « opinion internationale » à l’endroit de son président, ne sauraient uniquement être expliqués par l’explosion des velléités sécessionnistes de quelques groupuscules ethniques militarisés – aussi antagonistes qu’aux motivations échevelées - , ou encore du fait de la gesticulation juridico- terroriste de quelques apprenti-sorciers au service d’une justice internationale en mal d’expérimentation.
La réalité est beaucoup plus effrayante : car il est de plus en plus visible qu’une coalition désormais identifiée veut à la fois la peau du président El Béchir, le contrôle politico-administratif du Soudan, ainsi que la mainmise absolue sur ses énormes richesses minières et énergétiques. En somme, le beurre, l’argent du beurre, la vache, la fermière, et même… la ferme !
De même, les offensives militaires effectuées depuis bientôt six ans contre le régime Tchadien voisin – systématiquement qualifiées « d’agressions du Soudan contre le Tchad » - ne sont, et n’ont jamais été, que la solution du désespoir de patriotes Tchadiens. Des patriotes et non des « mercenaires » - comme on se complait à dire uniquement au palais rose à N’djamena - ayant été contraints à la solution extrême de l’affrontement militaire face au président Idriss Deby qui a verrouillé toute possibilité d’alternance politique, et même du moindre dialogue objectif et sincère avec les acteurs politiques de son pays où, ce n’est un secret pour personne, la dictature et la violation constante des libertés fondamentales sont la seule règle de gouvernement.
La plus flagrante preuve du cynisme politique du président Deby est la démarche absolument absurde qu’il adopte ces temps derniers où il crie à hue et à dia, après la tenue du sommet des États Sahélo-Sahariens, sa volonté de faire la paix avec le Soudan. Il ne fait nullement allusion à dialoguer, ou à faire la paix avec l’UFR qui est le mouvement politico-militaire le plus important, et par voie de conséquence incontournable dans le contexte politique Tchadien.
Cela veut clairement dire que le problème du président Deby ne se situe pas au niveau des politico-militaires qu’il connait bien, et dont il n’ignore rien des nobles motivations ni des objectifs politiques. Sa seule obsession étant de pouvoir se mettre d’accord avec le Soudan, ainsi – pense-t-il - l’UFR, qu’il croit soutenu par le Soudan, n’aura plus de protecteur, et devrait donc logiquement se retrouver hors- jeu.
A la limite, daigne-t-il inviter tout opposant à – non pas dialoguer dans un cadre formel mais – plutôt de venir se joindre à la plate forme du fameux accord du 13 Août 2007 qui est – à l’heure qu’il est - fort décrié par ses malheureux signataires qui n’en finissent pas de le qualifier d’escroquerie politique.
Il serait difficile d’évoquer les rebelles tchadiens sans parler de ceux, Soudanais, qui logent au vu et au su du tout N’djamena à l’hôtel Kempinsky et sont entretenus au doigt et à l’œil par le régime en place. Ces rebelles sans réelle idéologie, et seulement animés par une rigide logique de sécession du Soudan, n’ont jamais reculé devant rien pour atteindre leur principal objectif : la partition de cet immense pays, et au bout du compte l’instauration d’une république islamique.
Pourtant, le président Omar El Béchir n’a jamais hésité à négocier avec ces mouvements, certes sans foi ni loi, mais animés par des Soudanais. D’ailleurs après le succès de la médiation Qatarie avec le MJE il y a quelques mois- suivie de leur offensive d’il ya quelques jours- le président El Béchir est toujours disposé à dialoguer. Contrairement à Idriss Deby !
En dépit de cette positive propension à la normalisation du climat politique dans son pays, le président Omar El Béchir a fort à faire sur d’autres plans. Car depuis près de huit ans, une insidieuse et cohérente stratégie de déstabilisation d’envergure internationale s’est tissée autour de sa personne et de son régime. Elle aura atteint son point d’orgue avec ce mandat international que vient de lancer la Cour Pénale Internationale à son encontre, lui un président de République en fonction.
Cette hallucinante conspiration contre le Soudan a fini par être étalée ces derniers temps au grand jour à la suite de la divulgation de scandaleux documents qui font aujourd’hui le tour des salles de rédactions ainsi que des salons feutrés de certaines chancelleries Africaines.
En effet, dans la cynique et criminelle optique d’envahir le Soudan, mettre son président sur la touche ou en prison – et accessoirement l’exécuter – et surtout assouvir des appétits pétroliers gargantuesques, et couper l’herbe sous les pieds des chinois - ainsi que des éventuels partenaires économiques nouveaux en Afrique - les États Unis ont mis les petits plats dans les grands. L’accusation pourrait sembler excessive s’il n’y avait pas, pour recouper les faits, des documents, des témoignages, des rapports officiels vérifiables.
Et bien évidemment, quand on parle des USA, Israël n’est jamais loin. Israël que l’on imaginerait encore plus enflammé par sa haine atavique contre tout ce qui est arabe, n’a guère hésité à mettre en marche – et les preuves foisonnent à ce sujet - une sorte d’Internationale Juive pour s’occuper particulièrement du Soudan, particulièrement impardonnable à ses yeux d’héberger sur son sol des supposés Palestiniens militants actifs du Hamas.
Et pour régler ses comptes avec Khartoum, l’État Hébreu n’a eu qu’à appuyer sur un bouton pour mettre à contribution deux prestigieuses personnalités, aujourd’hui aux premières loges en France, que sont le juif Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République, et le non moins Juif Bernard Kouchner, à la tête de la diplomatie française. Cela pourrait paraitre tout simplement incroyable, mais les agissements de l’un comme de l’autre ne laissent guère beau coup de doutes quant à l’authenticité de cette insolite collusion.
Personne n’a d’ailleurs oublié que, par solidarité politico ethnique vis - à -vis de son frère juif Sarko, Kouchner avait préféré jeter ses convictions socialistes aux orties au lendemain de la dernière élection présidentielle en France afin d’obtenir en contrepartie ce que de nombreux observateurs considèrent comme le plus grand ministère du gouvernement français. La France n’étant rien dans le monde sans sa diplomatie.
Ce lobby juif en question - à la détermination féroce quant à la déstabilisation du Soudan - a néanmoins tenu à avancer à visage couvert, et pour ce faire, il a pu et su trouver un pion en or en Afrique, près du Soudan, tout près du Soudan : il s’agit de l’ogre de N’djamena, le bien nommé Idriss Deby Itno.
C’est ainsi qu’il serait simpliste de penser que tout ce qui se passe aujourd’hui au Soudan ne pourrait s’analyser uniquement qu’à l’aune des turbulences politico sociologiques ayant installé une guerre insupportable ainsi qu’un véritable drame humanitaire sur le sol du pays le plus vaste d’Afrique.
En fait, les malheurs du Soudan proviennent de ce qui fait sa force : l’immensité de son territoire, la multiplicité de ses énormes richesses pétrolières, minières, et énergétiques qui ont suscité d’indescriptibles convoitises de la part des grandes puissances en mal d’hégémonie néo coloniale. Bien entendu, la plus grande force de ce pays n’étant autre que son chef d’État, El Hadj Omar Hassan El Béchir, un homme de fortes convictions et de caractère qui - contrairement à bon nombre de dirigeants Africains - sait ce qu’il veut pour son pays, et surtout n’a jamais accepté la moindre compromission dès lors qu’il est question de la souveraineté de la Nation Soudanaise.
UNE INTERNATIONALE JUIVE CONTRE KHARTOUM.
A en croire donc tout ce qui se dévoile aujourd’hui sur l’opération planifiée de la fragilisation du Soudan, il s’est posé un problème sérieux aux yeux des puissances conjuguées et déterminées à faire main basse sur l’un des sols les plus riches du continent Africain : comment mettre Omar El Béchir à terre en donnant l’impression de rendre service à la communauté internationale ?
C’est ainsi que l’option de désarticulation de ce vaste territoire fut méthodiquement planifiée et mise en marche : des groupuscules prétendument rebelles se formèrent – armés et soutenus par des sponsors identifiés par la suite – montèrent violemment et sauvagement à l’assaut du gouvernement de ce pays qui, jusque là, ne s’était distingué en Afrique que par sa bonne santé économique et le nationalisme indestructible de son leader.
Qu’une certaine presse occidentale hagarde ait tenté de justifier les motivations séparatistes de ces groupuscules rebelles, et même, que certains gouvernements aient – contre toute décence - refusé de condamner les inadmissibles actes de barbarie perpétrés sur les pauvres populations par de prétendus « libérateurs » aux mains rouges de sang, n’ont guère détourné le chef de l’État Soudanais de son obsession à faire face, et même de faire front à cette cabale internationalisée. Une cabale que l’on a scientifiquement saupoudrée de sensiblerie en criaillant sur tous les toits au génocide et à la catastrophe humanitaire.
En fait, la vérité est toute simple : Israël et ses alliés naturels - que sont les États-Unis d’Amérique et la France - s’acharnent en coulisses, depuis près d’une dizaine d’années, à tenter de renverser le régime du président Béchir afin de placer à la tête de l’État soudanais des hommes plus réceptifs à leurs … appétits pétroliers.
Surtout que, pour la commercialisation du pétrole soudanais, le président El Béchir a opté depuis de nombreuses années de traiter avec des partenaires plus sensibles à la notion de commerce équitable comme la Chine, qui est, on le sait, l’antithèse des puissances impérialistes d’occident qui trouvent un incroyable plaisir à dépouiller les pays d’Afrique de leurs ressources minières, pour ne leur offrir en contrepartie que des brimborions et des cacahuètes.
Encore que, par ailleurs, outre le fait de ne penser qu’à dépouiller le Soudan à peu de frais de son pétrole, la coalition israélo-franco-américaine affiche une soif inextinguible à traquer les résistants des mouvements nationalistes palestiniens, notamment ceux du Hamas, ayant trouvé refuge dans ce pays ou ailleurs. On peut donc comprendre la haine viscérale d’Israël pour le Soudan, coupable à ses yeux d’accorder égards et gîte à ses ennemis jurés.
Mais bien avant la mise en marche de la vendetta Israélienne contre le Soudan, il faut dire que depuis au moins l’année 2002, les États Unis d’Amérique poursuivent une vicieuse politique de contrôle géostratégique en Afrique. C’est ce qu’on a appelé au pays de l’oncle Sam : « la nouvelle course à l’Afrique »
En effet, si le grand déploiement économique des pays d’Asie en Afrique est qualifié par les spécialistes de « Grand Jeu », ceux-ci parlent plutôt de nouvelle “Course à l’Afrique” pour ce qui concerne le nouvel intérêt de la part des grandes puissances occidentales, notamment les USA.
Ainsi, selon « The National Security Strategy of the United States de 2002 » – la balise directrice des stratégies globales du gouvernement Américain - le “combat contre le terrorisme mondial et la nécessité d’assurer la sécurité énergétique des USA requièrent des États Unis qu’ils augmentent leur engagement en Afrique. »
« Combat contre le terrorisme », « assurer la sécurité énergétique des États-Unis » : Voilà les prétextes fourre-tout qui ont toujours justifié les pires vilénies des américains à travers le monde. Personne n’a oublié que c’est au nom de ces deux motifs que l’Irak avait été envahi en 2001 et Saddam Hussein exécuté.
En parlant de nouveau « d’assurer la sécurité énergétique » pour justifier un « engagement des USA en Afrique », il est clair que ce sont les pays producteurs de pétrole qui sont visés. Et quand on ose seulement penser que le Soudan possède d’immenses gisements d’or noir, le compte est bon pour le pays d’Omar El Béchir qui, en plus, traine la réputation d’avoir hébergé Ben Laden à une certaine époque.
Ainsi, le prétexte de terrorisme peut tranquillement être accolé au « souci de la sécurité énergétique »pour réserver au Soudan le sort de tous les États étiquetés de « voyous » par les administrations Américaines.
C’est donc dans cette logique que les USA ont ameuté - dès 2004 – tous leurs alliés objectifs et affidés pour une « coalition volontaire » afin d’établir des arrangements sécuritaires sur le continent Africain. Dans la même foulée, le Commandement US d’Europe, basé à Stuttgart, en Allemagne - et chargé des opérations militaire en Afrique subsaharienne, notamment au Tchad - a augmenté ses activités en Afrique de l’Ouest, tout en focalisant son attention sur les pays affichant d’importantes productions ou réserves de pétrole dans ou autour du Golfe de Guinée (en gros de la Côte d’Ivoire à l’Angola).
Précision de taille : depuis 2004 le Commandement militaire US pour l’Europe consacre pas moins de 70% de son temps et de ses moyens logistiques à la collecte, la compréhension, et la gestion des affaires africaines, alors que celles-ci avaient une part encore insignifiante en 2003.
Ce n’est pas gratuit, et de nombreuses études sont menées en permanence au Département d’État Américain pour que les États-Unis occupent désormais une position d’importance sur le continent noir.
Il n’est donc pas surprenant que Richard Haass, actuel président du Conseil sur les Relations étrangères au Département d’État, ait jugé utile et opportun d’affirmer dans la préface de son rapport de 2005, sous le titre « More Than Humanitarianism: A Strategic U.S. Approach Toward Africa »( Plus que de l’humanitarisme : une approche stratégique US de l’Afrique): « À la fin de la décennie, l’Afrique subsaharienne est susceptible de devenir une source d’importations énergétiques US aussi importante que le Moyen-Orient.»
Et de préciser dans le même rapport que : «l ’Afrique de l’Ouest dispose de quelques 60 milliards de barils de réserves pétrolières avérées. Son pétrole, à faible teneur en soufre, est un brut doux fort apprécié par l’économie US. Les agences et les boîtes à idées Américaines prévoient qu’un baril de pétrole sur cinq entrant dans le circuit économique mondial dans la deuxième moitié de cette décennie viendra du Golfe de Guinée, et que la part provenant du Golfe de Guinée dans les importations US passera de 15 à 20 % en 2010, et à 25% en 2015. Le Nigeria fournit déjà 10% du pétrole importé par les USA. L’Angola en fournit 4%, et sa part devrait doubler d’ici la fin de la décennie. La découverte de nouvelles réserves et l’expansion de la production pétrolière sont en train de faire d’autres pays de la région des exportateurs importants de pétrole, notamment la Guinée équatoriale, São Tomé et Principe, le Gabon, le Cameroun et le Tchad. La Mauritanie deviendra un exportateur de pétrole en 2007. Le Soudan, limité par la Mer rouge à l’Est et le Tchad à l’Ouest, est un important producteur de pétrole. »
Un important producteur de pétrole dont aucun chiffre n’est précisé sur la production ni sur les potentialités, mais qui – à d’autres niveaux – mérite des attentions particulières.
UNE AMBASSADE D’ISRAEL AU SOUDAN.
Des attentions qui ont commencé par la recherche de la maitrise politique de ce pays grand comme cinq fois la France, et dont le président est du genre pas malléable du tout. C’est alors qu’Israël s’engagea jusqu’au cou dans le soutien matériel et logistique des rebelles Soudanais.
En 2008, Abd Al-Wahed Al-Nour, le chef du très sanguinaire Mouvement de libération du Soudan, dans un élan d’enthousiasme irrépressible à cause du soutien qu’apporte Israël à leur mouvement par le biais du Tchad - affirmait sur les antennes de la chaîne de télévision Al-Arabiya : « le Mouvement de libération du Soudan déclare haut et fort que dès que nous arrivons au pouvoir, nous ouvrirons une ambassade israélienne à Khartoum». Ils sont en tout cas nombreux à savoir, de N’djamena à Tel Aviv, que le Tchad reçoit depuis plus de cinq ans des armes fournies par l’État hébreu, et destinées aux différents mouvements rebelles du Soudan, et du Darfour plus particulièrement.
Ceux qui pouvaient encore douter de l’implication directe ou induite d’Israël dans tout ce qui peut se passer au Soudan n’ont qu’à se référer auprès de ceux qui se souviennent de la réunion tenue le 20 mars 2007 à la Mutualité à Paris par les membres d’un certain "collectif Urgence Darfour", où la volonté des lobbies juifs d’en finir avec le président El Béchir et son régime avaient clairement dépassé le stade des simples intentions.
En effet, appuyés par les juifs français, Bernard-Henri Lévy et Bernard Kouchner, le Conseil représentatif des institutions juives, l’Union des étudiants juifs de France, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, entre autres, des orateurs aux yeux injectés de sang avaient exigé « une intervention internationale au Darfour contre le gouvernement de Khartoum, et recommandé à la communauté internationale d’armer les rebelles du Mouvement de libération. »
C’est pourquoi, aujourd’hui plus qu’hier, Israël qui – bien que niant avoir signé des accords de défense avec le Tchad - ne se limite pas seulement à l’envoi du matériel militaire aux rebelles du Darfour du SLA d’Abd Al-Wahed Al-Nour - quoique ces derniers soient jugés ces derniers temps un peu timorés, mais se charge également de leur formation tant en Israël qu’en France.
C’est surtout le cas du MJE de Khalil Ibrahim dont ses éléments sont assimilés aux troupes de Deby. Ce sont d’ailleurs les hommes du MJE entraînés et armés à Am-Djéres et Tiné, puis emmenés à N’djamena par des avions français qui ont combattu, début Février 2008, les forces de l’UFDD dirigées par le Général Mahamat Nouri et les autres dans le cadre de la Coordination Militaire Unifiée (CMU), aux côtés de la soldatesque de Deby et des soldats français d’origine africaine et antillaise.
Assuré donc du soutien d’Israël dans la croisade contre le président Omar el Béchir, Idriss Deby Itno multiplie rodomontades et bravades contre le Soudan.
On l’a vu, il y a une semaine, avec l’aviation tchadienne qui a effectués – avec insolence - des raids aériens en territoire soudanais, pratiquement jusqu’à 60 kilomètres à l’intérieur des terres de ce pays, bien qu’aucun rebelle tchadien ne se trouve en territoire soudanais. Alors que les doungourous de Idriss Deby, avec à leur tête le chargé des relations publiques pour le Tchad devant le Conseil de Sécurité, le Franco-juif et très anti-arabe, Bernard Kouchner qui n’a jusqu’ici cessé de présenter le Soudan comme l’agresseur… par rebelles interposés du Tchad.
LE TCHAD AGRESSE LE SOUDAN SOUS LE SILENCE INTERNATIONAL.
Bien évidemment, l’agression tchadienne perpétrée contre le Soudan, au nez et à la barbe du monde entier, qualifiée par N’djamena - de « droit de poursuite » - n’a pas ému le moins du monde les bien pensants de la communauté internationale qui savent jouer très promptement les vierges effarouchées quand il faut condamner « l’agression du Tchad » pour un oui ou pour un non.
Il y a quelques jours encore, des rebelles du MJE darfouri armés par le Tchad, et partis de N’djamena, ont tenté une incursion dans les localités de Kornoi et Umm Burra avant d’être repoussés fermement par une armée Soudanaise qui a su, à l’occasion, faire montre de sa vigoureuse puissance de feu. Là encore, ni la France, ni le Conseil de Sécurité des Nations Unies n’ont condamné. Pourtant tout le monde avait vu ces rebelles partir de la capitale Tchadienne et prendre la direction de la frontière Soudanaise.
Ces deux attaques consécutives ont étonné le monde entier, les Africains, notamment, surpris de voir le Tchad faire preuve d’un tel culot et attaquer une armée aussi puissante que celle du Soudan – classée 7ème parmi les plus grandes armées d’Afrique.
Il faut dire qu’en fait le Tchad tire sa petite audace - à laquelle le Soudan aurait répliqué depuis, si de nombreuses personnalités et chefs d’États africains ne lui conseillaient la retenue – au soutien que lui apporte de plus en plus l’armée sioniste.
Pendant ce temps, la propagande israélo-occidentale peut toujours en mettre plein les oreilles au monde entier, en évoquant de supposés génocides perpétrés au Darfour par le régime du président El Béchir, alors qu’en réalité celui-ci ne fait que défendre son pays contre les attaques d’un immense mafia internationale dont les racines se trouvent en Europe (la France), en Amérique (Les États-Unis), au moyen Orient (Israël) et surtout en Afrique, à ses portes : le Tchad.
Le Tchad où le combat des patriotes de l’UFR est présenté à une certaine opinion internationale – et même devant le Conseil de Sécurité – comme une folle cavalcade de mercenaires Soudanais. Voilà un ridicule amalgame qui ne profite à personne, et surtout pas au régime d’Idriss Deby qui s’obstine à vouloir croire qu’il pourrait éternellement faire de la symétrie avec de fausses fenêtres.
Un amalgame qui n’honore pas non plus la France qui connait parfaitement la réalité du contexte politique Tchadien, mais s’obstine à maintenir au pouvoir – au grand dam de tout le peuple Tchadien – un autocrate dénué de toute ambition démocratique pour son pays.
En 1989, la manne du pétrole au Tchad avait suscité les convoitises des multinationales occidentales, notamment ELF Aquitaine, une société française d'extraction pétrolière. C’est ainsi que fut propulsé Idriss Deby par le gouvernement français de l’époque pour servir de pion. La machination a marché sur le dos du peuple tchadien. Une minorité de la population tchadienne avait cru en Deby un temps, quand il est arrivé au pouvoir…par les armes en 1990 avec son fameux slogan : « je vous apporte, ni or ni argent, mais la liberté ». Bluff ! Mais le masque fut tombé trois mois après l’avènement de MPS. Beaucoup de cadres civils et militaires, paysans, commerçants, étudiants et autres ; ont été contraints au maquis et au choix des armes auquel ils ont été acculés par un régime autiste, corrupteur, et criminel qui broie et élimine tous ceux qui s’imaginent que la Démocratie pourrait changer le Tchad.
La lutte des combattants de l’UFR est légitime, et le temps finira par leur donner raison. La France le sait, toute l’Afrique le sait, et tout le peuple Tchadien le sait.
La Rédaction de Tchadvision
http://www.tchadvision.com/Detail2.asp?item_id=467&
Y-a-t-il un lien entre les tensions americano-sioniste aux Emirats et au Bresil sur le nucleaire civil, Areva gene-t-il la diplomatie israelienne ?
La liste des passagers du vol AF 447 devrait etre publiée bientot, elle sera tronquée, mais il vous sera tres facile alors de comprendre que ce vol etait tres sensible. Sarkosy recoit la diplomatie iranienne ce Mercredi et le Bresil est considéré comme la chasse gardée des anglo-saxons. Ce qui est étonnant c'est que Sarkosy n'a meme pas voulu envisager la piste 'terroriste', de peur que les francais ne decouvrent reellement ce qu'est sa diplomatie ? On comprend également que ni les autorites ni les journaleux ne se sont defoulés sur les Musulmans comme a l'accoutumé, le syndrome des attentats de Londres peut etre ? La reponse est dans la liste des passagers... et le manque de cooperation des Etats-Unis... la competition entre Areva et l'industrie nucleaire US, du Moyen Orient a l'Amerique du Sud, il vous faut comprendre les tenants et les aboutissements de la strategie 'Areva' de Sarkosy pour comprendre que la nucléairisation de certains pays fait dresser les cheveux des israeliens et d'une partie de l'establishment americain et britannique!
Areva -a-t-il plus d'influence sur Sarkosy que la destinée d'Israel ?
Nous avons a ce jour notre idée sur ce qui s'est passé mais nous attendons que Sarkosy accuse certaines personnes pour le griller devant toute la planete, c'est peut-etre pour cela que la racaille de la DCRI n'a pas encore fait sa sortie mediatique sur demande du CRIF ! A mon avis, il vous sera difficile de faire taire Lulla !
Souvenez de l'avion de la Flash Airline en 2004, les israeliens avaient pris les commandes de l'appareil a distance et l'avaient precipité dans la mer rouge, puis il s'en etait suivi des prise d'otages aussi bidons les unes que les autres, de Chenot Malbrunot a Aubenas... Chirac refusait alors de s'engager dans la guerre contre l'Iraq et de soutenir l'effort de guerre israelien, aujourd'hui l'Iran est dans le collimateur, Sarkosy est un farouche supporter d'Israel mais peut-il reellement se ranger a ses cotes sans qu'il ne mette son pouvoir en danger, les militaires suggerant clairement dans l'article ci-dessous que la construction d'une base militaire a Abu Dhabi, gage de garantie de la securité d'installation nucléaire francaise la bas ? entraine de facto la France dans n'importe quel mecanisme militaire au Moyen Orient. La strategie 'Areva' est a plusieurs niveaux de lecture, et elle gene incontestablement ses rivaux US, britannique ainsi que la diplomatie de Tel Aviv...
Abu Suleyman
Airbus AF-447 : et s’il s’agissait d’un attentat ?
2 juin 2009
2 juin 2009 (Nouvelle Solidarité) – Si l’hypothèse principale retenue par les médias pour expliquer « la disparition » étrange de l’Airbus A330 d’Air France reliat Rio à Paris est celui de la foudre, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour croire que l’hypothèse d’un attentat ne peut être écartée d’un revers de manche.
Ensuite il s’interroge sur le message électronique annonçant une panne de circuit électrique : « Il y a cinq sources d’énergie électrique à bord d’un appareil. Pour qu’il y ait une panne totale, il faudrait que ces cinq sources ne fonctionnent plus. Lorsque tout tombe en panne, une batterie prend de façon transitoire et partielle le relais, ainsi qu’un moteur qu’on utilise généralement au sol. Une sorte d’éolienne est déclenchée pour générer de l’électricité. Pour que le commandant de bord n’ait plus aucune capacité à piloter l’avion, il faudrait que toutes ces sources d’électricité soient endommagées. Ça me paraît difficile. »
Enfin, il n’hésite pas à affirmer que l’on « peut très bien imaginer qu’une bombe a provoqué une dépressurisation de l’appareil, et que l’avion prenne du temps à se démonter en morceaux. De même, ça peut carrément être une grosse bombe qui a fait exploser tout l’avion, ce qui expliquerait que l’appareil n’a pas eu le temps d’envoyer un signal d’alerte. »
« Nous n’évoquons pas cette éventualité pour nourrir une quelconque théorie du complot, d’autant moins que les services spécialisés estiment n’avoir pas eu d’indice d’une particulière montée de tension, ni avoir identifié de menace spécifique. Pour autant, ne laissons pas complètement de côté cette éventualité, à tout le moins tant que des éléments techniques ne l’auront pas exclue. N’oublions pas que des groupes moyens-orientaux sont très implantés en Amérique du Sud, et qu’ils y font d’ailleurs l’objet d’une surveillance attentive des services spécialisés. L’histoire ne manque pas, hélas, d’attentats non revendiqués, non annoncés, et ne faisant l’objet d’aucune explication. Mais la France, très engagée au Moyen-Orient, dans le Golfe, en Afghanistan, et ailleurs, n’aurait-elle reçu aucun avertissement ? Et si c’était le cas, l’aurait-elle dit ? Il ne s’agit que d’une hypothèse parmi d’autres, et rien de plus. Mais ne la balayons pas d’un revers de manche... »
Sans tirer de conclusion, signalons l’inquiétude exprimée par certains de nos militaires depuis le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN.
D’après Le Canard Enchaîné du 27 mai, parlant de la nouvelle base française d’Abou Dhabi, située à 220 km des côtes iraniennes et que le président Sarkozy vient d’inaugurer, ces spécialistes « décèlent chez Sarkozy ‘un comportement à risque’, car, lors d’une crise majeure, la France pourrait être impliquée dans un éventuel conflit. Et sans qu’elle l’ait voulu, en cas de raids israéliens ou américains contre des sites nucléaires iraniens. »
L’avenir de la résistance palestinienne (1)
Centre Az-Zaytouna – CPI
http://www.palestine-info.info/
Après la guerre agressive israélienne menée contre Gaza et la baisse des opérations de résistance en Cisjordanie, une grande interrogation se pose sur l’avenir de la résistance palestinienne.
Les données actuelles indiquent que la résistance passe une période difficile, que des frappes l’attendront dans un avenir proche. De la même façon qu’"Israël" souffre de crises, sur le niveau intérieur comme sur le niveau extérieur. Il faut indiquer que la résistance est désormais soutenue politiquement comme populairement. En général, la résistance est en ascension. Tout le monde devra la prendre en considération.
Préambule
La résistance vit une période exceptionnelle. Une partie du peuple palestinien est contre elle. Cette partie va jusqu’à arrêter toute personne qui porte l’arme contre l’occupant. Plusieurs pays arabes travaillent contre elle et participent au blocus imposé sur elle. Il y a également cette guerre agressive israélienne menée contre Gaza. Toutes ces données et tant d’autres font que se pose une vraie interrogation sur l’avenir de la résistance palestinienne.
La résistance à l’intérieur comme à l’extérieur
La résistance palestinienne se fait sur deux volets. A l’intérieur se trouvent les mouvements du Hamas, du Djihad Islamique, de la Résistance Populaire, des Saraya Al-Djihad et d’Abou Ali Mostapha. A l’extérieur, il y a le Front Populaire, le Fatah Intifada et d’autres qui se trouvent dans des camps du Liban.
C’est la résistance de l’intérieur qui se trouve au milieu du combat, au front face à l’ennemi sioniste.
La résistance de l’extérieur, bien qu’elle soit toujours prête, est enchaînée par des donnes arabes et internationales : les relations avec le gouvernement libanais, le conflit entre les Syriens et les Israéliens… Sans oublier que l’extérieur est le reflet de l’intérieur et vice-versa.
Pourquoi freiner la résistance ?
De plusieurs problèmes, difficultés, ennuis et soucis souffre la résistance palestinienne.
Premièrement : La résistance est toujours sur le qui-vive, étant toujours face à "Israël" qui possède une machine de guerre impressionnante, des plus grandes. La résistance fait avec, baisse et monte en puissance. Mais elle améliore toujours sa capacité, son endurance face à cette machine.
Deuxièmement : La résistance devra faire face à un grand défit intérieur. En effet, la déclaration de Yasser Arafat, président de l’OLP, de laisser tomber le terrorisme (la résistance armée), faite en 1985, constitue un point tournant contre la lutte armée, confirmé par l’accord d’Oslo, entre autres. De tels accords obligent des Palestiniens à interpeller d’autres Palestiniens, pour protéger la sécurité d’"Israël" !
Une armée de Palestiniens commence à poursuivre tout Palestinien qui pense à la résistance contre l’occupation. En plus de cela, la résistance est en face de défis : défis d’organisation, d’armement, de financement…
Troisièmement : Il y a aussi ces pays arabes qui contrarient la résistance, en préférant reconnaître "Israël" et une normalisation des relations avec elle. Ils vont jusqu’à participer au blocus mené contre la bande de Gaza. Quelques-uns d’entre eux étaient même aux côtés des occupants durant la guerre agressive israélienne menée contre Gaza (2008-2009), en participant au contrôle d’armes arrivées aux résistants.
Certains sont de mèche avec des pays occidentaux qui frappent la bande de Gaza par un blocus financier. De plus, les pays arabes qui payent 53% des salaires des fonctionnaires de l’autorité palestinienne font des pressions sur les Palestiniens pour qu’ils reconnaissent "Israël" et respectent les accords signés par l’OLP.
Quatrièmement : Au niveau international, il y a de grandes puissances telles l’Amérique et l’Europe qui font opposition à la résistance palestinienne. Elles se réunissent derrière "Israël" pour la protéger et pour étouffer la résistance palestinienne, politiquement, médiatiquement et militairement. De cette façon, on comprend bien combien les défis qu’envisage la résistance sont grands, difficiles, durs de conséquences, pour une résistance déjà vulnérable.
Cinquièmement : Une partie des intellectuels palestiniens, notamment en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, sont pris par l’ambiance de négociations avec "Israël". Ils appellent désormais à la reconnaître et à arrêter la résistance. Ils croient qu’il faut donner une chance à l'établissement de l’Etat palestinien par des moyens pacifiques. Sur la scène palestinienne, la situation est telle qu’il y a des Palestiniens qui haïssent d’autres Palestiniens – des résistants. Ils vont jusqu’à louer la coopération avec l’ennemi et l’attaque contre la résistance comme un service fait à la patrie !
Le rapport écrit par le Centre Az-Zaytouna d’études et de conseils, résumé et traduit par nos soins, est basé sur une étude écrite par Dr. Abdou As-Sattar Qassim.
Après la guerre agressive israélienne menée contre Gaza et la baisse des opérations de résistance en Cisjordanie, une grande interrogation se pose sur l’avenir de la résistance palestinienne.
Les données actuelles indiquent que la résistance passe une période difficile, que des frappes l’attendront dans un avenir proche. De la même façon qu’"Israël" souffre de crises, sur le niveau intérieur comme sur le niveau extérieur. Il faut indiquer que la résistance est désormais soutenue politiquement comme populairement. En général, la résistance est en ascension. Tout le monde devra la prendre en considération.
Préambule
La résistance vit une période exceptionnelle. Une partie du peuple palestinien est contre elle. Cette partie va jusqu’à arrêter toute personne qui porte l’arme contre l’occupant. Plusieurs pays arabes travaillent contre elle et participent au blocus imposé sur elle. Il y a également cette guerre agressive israélienne menée contre Gaza. Toutes ces données et tant d’autres font que se pose une vraie interrogation sur l’avenir de la résistance palestinienne.
La résistance à l’intérieur comme à l’extérieur
La résistance palestinienne se fait sur deux volets. A l’intérieur se trouvent les mouvements du Hamas, du Djihad Islamique, de la Résistance Populaire, des Saraya Al-Djihad et d’Abou Ali Mostapha. A l’extérieur, il y a le Front Populaire, le Fatah Intifada et d’autres qui se trouvent dans des camps du Liban.
C’est la résistance de l’intérieur qui se trouve au milieu du combat, au front face à l’ennemi sioniste.
La résistance de l’extérieur, bien qu’elle soit toujours prête, est enchaînée par des donnes arabes et internationales : les relations avec le gouvernement libanais, le conflit entre les Syriens et les Israéliens… Sans oublier que l’extérieur est le reflet de l’intérieur et vice-versa.
Pourquoi freiner la résistance ?
De plusieurs problèmes, difficultés, ennuis et soucis souffre la résistance palestinienne.
Premièrement : La résistance est toujours sur le qui-vive, étant toujours face à "Israël" qui possède une machine de guerre impressionnante, des plus grandes. La résistance fait avec, baisse et monte en puissance. Mais elle améliore toujours sa capacité, son endurance face à cette machine.
Deuxièmement : La résistance devra faire face à un grand défit intérieur. En effet, la déclaration de Yasser Arafat, président de l’OLP, de laisser tomber le terrorisme (la résistance armée), faite en 1985, constitue un point tournant contre la lutte armée, confirmé par l’accord d’Oslo, entre autres. De tels accords obligent des Palestiniens à interpeller d’autres Palestiniens, pour protéger la sécurité d’"Israël" !
Une armée de Palestiniens commence à poursuivre tout Palestinien qui pense à la résistance contre l’occupation. En plus de cela, la résistance est en face de défis : défis d’organisation, d’armement, de financement…
Troisièmement : Il y a aussi ces pays arabes qui contrarient la résistance, en préférant reconnaître "Israël" et une normalisation des relations avec elle. Ils vont jusqu’à participer au blocus mené contre la bande de Gaza. Quelques-uns d’entre eux étaient même aux côtés des occupants durant la guerre agressive israélienne menée contre Gaza (2008-2009), en participant au contrôle d’armes arrivées aux résistants.
Certains sont de mèche avec des pays occidentaux qui frappent la bande de Gaza par un blocus financier. De plus, les pays arabes qui payent 53% des salaires des fonctionnaires de l’autorité palestinienne font des pressions sur les Palestiniens pour qu’ils reconnaissent "Israël" et respectent les accords signés par l’OLP.
Quatrièmement : Au niveau international, il y a de grandes puissances telles l’Amérique et l’Europe qui font opposition à la résistance palestinienne. Elles se réunissent derrière "Israël" pour la protéger et pour étouffer la résistance palestinienne, politiquement, médiatiquement et militairement. De cette façon, on comprend bien combien les défis qu’envisage la résistance sont grands, difficiles, durs de conséquences, pour une résistance déjà vulnérable.
Cinquièmement : Une partie des intellectuels palestiniens, notamment en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, sont pris par l’ambiance de négociations avec "Israël". Ils appellent désormais à la reconnaître et à arrêter la résistance. Ils croient qu’il faut donner une chance à l'établissement de l’Etat palestinien par des moyens pacifiques. Sur la scène palestinienne, la situation est telle qu’il y a des Palestiniens qui haïssent d’autres Palestiniens – des résistants. Ils vont jusqu’à louer la coopération avec l’ennemi et l’attaque contre la résistance comme un service fait à la patrie !
Le rapport écrit par le Centre Az-Zaytouna d’études et de conseils, résumé et traduit par nos soins, est basé sur une étude écrite par Dr. Abdou As-Sattar Qassim.
Netanyahu’s new quest: The game is on
By Ramzy Baroud
Online Journal Contributing Writer
Jun 1, 2009
“We’ve accomplished quite a few things, and I think the most important one is to cement the principle that the path to peace is through negotiations and not through violence.”
These were the ‘encouraging’ words modestly uttered by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu during a joint press conference with the US president. The president was Bill Clinton, and the date was October 2, 1996.
“We’ve accomplished quite a few things, and I think the most important one is to cement the principle that the path to peace is through negotiations and not through violence.”
These were the ‘encouraging’ words modestly uttered by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu during a joint press conference with the US president. The president was Bill Clinton, and the date was October 2, 1996.
In the occupied Palestinian territories, the situation then seemed incredibly grim. But there was no Israeli wall. The settlements were smaller in size and in population. Gaza was besieged, but not to the point of total suffocation.
Prime Minister Netanyahu paid a highly anticipated visit to the White House on May 18, 2009, this time meeting with Barack Obama.
“I share with you very much the desire to move the peace process forward. And I want to start peace negotiations with the Palestinians. I would like to broaden the circle of peace to include others in the Arab world,” said Netanyahu.
One need not emphasize the harm inflicted upon the Palestinian people during those years. The violence, which Netanyahu seemingly decried in ’96, visited Palestinians countless times. Starting December 27, 2008, and for 22 frightening days, much of Gaza was decimated by the Israeli army, using US weapons, killing and wounding thousands. There is now a giant wall, hundreds of miles in length, snaking around the West Bank, separating Palestinians from their land, livelihoods and any possibility of a true state. There are Jewish settlements, joined by Jewish-only roads that hopelessly fragment the occupied West Bank. They all are illegal under international law, as is the so-called Separation Wall, as are the brutal attacks and siege on Gaza, as is the Israeli military occupation altogether.
We are told that Obama is serious about peace in the Middle East. He maybe is. But even such assumed seriousness might not be able to change the disturbing pattern that forced Clinton before him, according to former top Middle East advisor Aaron David Miller to utter the following words: “Who the f*** does he think he is? Who’s the f***ing superpower here?”
In recent meetings between the two leaders, Obama clearly highlighted his country’s commitment to a Palestinian state, and, surprisingly, made mention of “Gaza” during the press conference. But the words of praise of Israel’s greatness were at an all time high. “Obama talked about the ‘extraordinary relationship [with Israel], the special relationship . . . the stalwart ally . . . the historical ties, emotional ties [and] the only democracy in the Middle East . . . a source of admiration and inspiration for the American people,’” observed commentator George Hishmeh.
Following his meeting with Obama, Netanyahu made a visit to the US Congress, where he conferred with the “great friends of Israel.” On his visit to Capitol Hill, he met House Speaker Nancy Pelosi and House Minority Leader John Boehner. The Israeli leader also met members of the Senate Foreign Relations Committee and Jewish legislators. He was given the same exceptional treatment enjoyed by other Israeli leaders. Senate Foreign Relations Committee Chairman John Kerry was “encouraged by a number of things” Netanyahu had said. Following meeting with congressional leaders, Netanyahu observed, as if breaking some unexpected news: there is “an American consensus” regarding “the special relationship we have between Israel and the United States.”
The game is on. Netanyahu will once again try to overwhelm the president of the United States by rallying the Congress behind him in preparation for any possible confrontation with Obama’s administration. Obama, on the other hand, will attempt, however bashfully, to assert a new direction in US foreign policy -- through tempting Israel by embracing harsher Iran policies and pressuring the Arabs to normalize with the Jewish state in exchange for Israel’s mere promise of moving the peace process forward.
In 1996, Netanyahu spoke of the immediate danger facing Israel, in reference to Iraq. Now Iraq -- which had no weapons of mass destruction, after all -- is no longer an “existential threat” to the state of Israel.
And now the Israeli leader has set his sights on Iran. “The challenge is the potential arming of Iran with nuclear weapons capabilities. That is a great danger to all of us . . . We have to do this in tandem . . . I was very encouraged to learn that this is the American policy. We’re going to try to do it together, because if we do it together we’ll get a lot further, a lot faster.”
It might not take 13 more years before Netanyahu’s wishes come true, before getting a lot further, a lot faster, i.e. unleashing a war against Iran. But mark my words, Netanyahu, as well as those before him, as well as those after him, have no intentions of making peace with the Palestinians. He is simply waving a carrot before Obama to get what Israel wants, an attack on Iran. It’s as simple as that.
If Obama hesitates in confronting the new Israeli agenda, and if the Congress continues to treat Israel’s security obsessions as top American priorities, there is no telling what the Middle East will look like the next time Netanyahu arrives in Washington to meet the new American president.
Ramzy Baroud is an author and editor of PalestineChronicle.com. His work has been published in many newspapers and journals worldwide.
His latest book is The Second Palestinian Intifada: A Chronicle of a People’s Struggle Struggle” (Pluto Press, London), and his forthcoming book is, “My Father Was a Freedom Fighter: Gaza’s Untold Story” (Pluto Press, London).(Pluto Press, London,) and his forthcoming book is, “My Father Was a Freedom Fighter: Gaza The Untold Story” (Pluto Press, London).
Ussama Bin Laden: 9/11 “It was Jews”
- Osama Bin Laden was immediately blamed for the 9/11 attacks by the Jewish owned media, and top level U.S. government officials, although no evidence has ever come forth proving this assertion. In fact, on Usama Bin Laden’s FBI’s most wanted terrorists poster, 9/11 is not at all listed as one of his crimes.(fbi.gov)
Immediately after the attacks Bin Laden was interviewed by Pakistani newspaper Ummat. When asked if he was involved in the attacks he stated:
“I have already said that I am not involved in the 11 September attacks in the United States. As a Muslim, I try my best to avoid telling a lie. I had no knowledge of these attacks, nor do I consider the killing of innocent women, children and other humans as an appreciable act. Islam strictly forbids causing harm to innocent women, children and other people. Such a practice is forbidden even in the course of a battle.”
He went on to say:
“In the same way, whether it is President Bush or any other U.S. President, they cannot bring Israel to justice for its human rights abuses or to hold it accountable for such crimes. What is this? Is it not that there exists a government within the government in the United Sates? That secret government must be asked as to who carried out the attacks.”
He further goes on to state:
“I have already said that we are not hostile to the United States. We are against the [U.S. Government] system, which makes other nations slaves of the United States, or forces them to mortgage their political and economic freedom. This system is totally in the control of the American Jews, whose first priority is Israel, not the United States. It is clear that the American people are themselves the slaves of the Jews and are forced to live according to the principles and laws laid down by them. So the punishment should reach Israel. In fact, it is Israel, which is giving a blood bath to innocent Muslims and the U.S. is not uttering a single word.”
North Jersey: epicenter of 'Kosher Nostra' and Mossad activity
By Wayne Madsen,
Online Journal,
Contributing Writer,
Jul 30, 2009, 00:22
(WMR) -- The recent rolling up of a Syrian Jewish criminal syndicate that was involved in buying off local elected and appointed government officials in north Jersey is but one in a long series of law enforcement operations directed, sometimes unsuccessfully due to the immense power of the Israel Lobby in the United States, against Jewish criminal networks in the New Jersey-New York region. These criminal networks also have one important thing in common: close connections to Israeli politicians and businessmen.
The FBI used a confidential witness to identify a number of Syrian Jewish rabbis who were using synagogues and yeshivas as money laundering fronts reportedly for the illegal sale of knock-off designer handbags and even human organs. The witness, Solomon Dwek, is a major real estate developer and gambling boat owner who was arrested in 2006 for trying to pass a bad check and defraud PNC Bank of $25 million. Dwek is a member of the powerful Syrian Jewish clan in New Jersey and New York, which has been called the SY Empire” and the “Dwek clan.”
Dwek’s father, Isaac Dwek, is a rabbi of a synagogue and yeshiva school in the Syrian Jewish enclave of Deal, New Jersey, on the Jersey shore. Deal is a nexus for the radical Israeli right that is opposed to any peace agreement with the Palestinians and the ultra-orthodox Israeli Shas Party, a member of the current Israeli coalition government, has held fundraisers in Deal. The Syrian Jewish community is also heavily involved in worldwide Chabad Houses, which WMR has previously linked to drug smuggling and money laundering, particularly in Mumbai, Bangkok, and other Asian cities. In 1992, the Syrian government lifted travel restrictions and limits on the disposition of property for the Syrian Jewish community. Syrian Jews were relatively free to travel, including to the United States.
Among the rabbis arrested was Saul Kassin, the 87-year-old chief rabbi of the 80,000-member Syrian Jewish community in Brooklyn and New Jersey. Rabbis from Brooklyn and Deal were also arrested for money laundering operations that used the tax-exempt status of Jewish religious organizations to avoid detection and reporting to the government.
The mayors of Hoboken, Secaucus, and Ridgefield were also arrested as part of the bribery probe of the Syrian Jewish syndicate, as well as a Jersey City state assemblyman and an Ocean Township mayor and assemblyman. A member of New Jersey Governor Jon Corzine’s cabinet was also arrested, along with appointed officials in Bayonne, Hoboken, and Jersey City.
The latest reported criminal activity among the region’s Syrian Jewish community is nothing new. One prominent member of the community, which traces its origins back to the Syrian city of Aleppo, was Eddie Antar, the owner of a regional chain of consumer electronics stories called “Crazy Eddie’s,” who fled the United States for Israel after being indicted for fraud. Antar had laundered some $80 million through Panamanian and Israeli banks, much of it ending up at the Bank Leumi in Tel Aviv, Swiss banks, a “folding tent” Liberian company, and a Liechtenstein foundation. Antar used a fake passport and the alias of David Jacob Levi Cohen to enter Israel. Antar also used the alias of Alexander Stewart. Antar was eventually arrested near Tel Aviv and was extradited back to the United States where he eventually received an eight-year prison sentence. The chief federal prosecutor against Antar was Michael Chertoff.
Syrian-Jewish businessman Norman Jemal, the head of another influential Syrian-Jewish family and a consumer electronics competitor of Crazy Eddie, saw his store chain Nobody Beats the Wiz, collapse into bankruptcy in 2003.
Another prominent Syrian Jew was Edmond Safra who founded Banco Safra in Brazil in 1955. The Beirut-based Safra family had long served as important bankers for the Ottoman Empire. Safra eventually became a billionaire banking and investment tycoon. Safra founded the Republic National Bank in New York in 1966. In 1999, Safra was killed in an arson attack on his Monte Carlo home. Safra’s U.S.-born nurse, Ted Maher, a former U.S. Army Green Beret, was arrested and charged with starting the fire but his conviction was overturned. Safra’s killer or killers still remain at large. Safra’s security chief, Shmuile Cohen, had recruited a number of Israeli military special forces personnel to guard Safra, but Shmule and the guards were given the night off by Safra’s wife. Before his death, Safra was negotiating the sale of Republic Bank to HSBC. Safra was also cooperating with the FBI in its probe of the use of U.S. banks by the Russian-Israeli mafia to launder billions of dollars. There is speculation that Safra was murdered by the Russian-Israeli mob to keep him from divulging more details of their operations to the FBI.
After the recent bust of prominent Syrian-Jews in New Jersey and New York, the FBI and Justice Department revealed their investigation had lasted for 10 years. The Safra murder occurred 10 years prior to the recent corruption arrests. WMR has learned that the FBI is actually probing a much bigger criminal syndicate, one that involves more powerful politicians and businessmen involved in real estate and financial services in New York and New Jersey. The arrest of mayors, other small-time politicians, and rabbis may lead to higher-ups if there is cooperation from those already arrested from plea deals with prosecutors.
One prominent member of the Syrian Jewish community is Joseph Cayre, the real estate business partner of Larry Silverstein and Lloyd Goldman in the pre-9/11 lease of the World Trade Center from the New York-New Jersey Port Authority and the subsequent redevelopment of the “Ground Zero” site. Silverstein, Cayre, Goldman, and New York Mayor Michael Bloomberg have recently been feuding with the Port Authority over the terms of the redevelopment scheme. Part of the redevelopment strategy is central to the “Cornerstones Project,” a project to establish four mega-entertainment and sports complexes in Manhattan connected to two other such centers on Coney Island and at the Meadowlands Xanadu entertainment and shopping complex in East Rutherford, New Jersey, next to Secaucus. The Xanadu project is being underwritten by Goldman Sachs and is a favorite of Governor Corzine, a former chairman of Goldman Sachs.
In the criminal complaint against Rabbi Eliahu “Eli” Ben Haim of the Ohel Yaacob congregation in Deal, a co-conspirator only identified as “I.M.,” who is based in Israel and was a principal source of cash for Ben Haim, is cited. It is odd that “I.M.” is only identified by initials when two other co-conspirators of Ben Haim are identified by their full names: Schmulik Cohen of Brooklyn and Arye Weiss, also of Brooklyn. “I.M.”s modus operandi is described in the criminal complaint:
“Defendant BEN HAIM also mentioned that he owed another individual $495,000. This individual, according to defendant BEN HAIM, had wired money from Hong Kong to Israel, and stated that ‘he has money in Hong Kong from his -- the kickbacks from the factories.’ Defendant BEN HAIM also further described the activities of Coconspirator I.M. in the following terms: ‘the head contact’s in Israel . . . He has different people, he has, . . . he has a hundred cus-, no customer in New York [u/i] [unintelligible] money in Israel [u/i] real estate investments, they, they want to hide their money. They don’t want it to show. So they give the cash here to him and he gives me the cash . . . You see the merry-go-round? This guy’s been doing it for 20, 30 years.’ Defendant BEN HAIM also indicated that he would pick up cash, as coordinated by Coconspirator I.M., at locations in Brooklyn. The CW [confidential witness] offered to pick up the cash that defendant BEN HAIM anticipated would be available to him the following week.”
The complaint provides even greater details of “I.M.’s” money laundering activities:
“Defendant BEN HAIM told the CW about ‘customers from two, three years ago that are calling me,’ and indicated that “[t]hat’s a signal that the market is tight.’ Defendant BEN HAIM also discussed his source for cash, Coconspirator I.M., and stated that he spoke to Coconspirator I.M. ‘[e]very day - every other day.’ Referring to Coconspirator I.M., defendant BEN HAIM then asked the CW ‘[d]id you know that he had me in the last 4 years send out wires every time to a different place in the world to a different name? It’s unbelievable. I never saw anything like it.’ When the CW asked whether defendant BEN HAIM was referring to different locations in only Israel, defendant BEN HAIM replied ‘[n]o, all over the world . . . All over the world. From Australia to New Zealand to Uganda. I mean [u/i] every country imaginable. Turkey, you can’t believe it. . . . All different names. It’s never the same name. . . . Switzerland, everywhere, France, everywhere, Spain. . . . China, Japan.’ Defendant BEN HAIM also explained that the market for cash was tight ‘only in the beginning of the year and the end of the year.’”
It appears that the FBI was being careful about naming “I.M.” due to his extensive contacts from Israel to countries around the world, an indication that “I.M.,” unlike the rabbis and the New Jersey politicos, is a big fry who is laundering large sums of money, possibly from gambling operations, through synagogues and Jewish charities. It is known that Solomon Dwek was involved in a casino boat business and that jailed GOP lobbyist Jack Abramoff was similarly involved in taking control of Sun Cruz Casino boats in Florida. Abramoff also funded radical Israeli settler movements on the West Bank.
WMR has learned from a reliable source that the identity of “I.M,,” if revealed, would serve as a body blow to the Likud government of Netanyahu and his major coalition partners, Yisrael Beiteinu of extreme right-wing Foreign Minister Avigdor Lieberman and the ultra-orthodox Shas Party. The revelation of “I.M.’s” identity, we are told, will also provide encouragement to the Palestinians to stand their ground against Israeli encroachment in east Jerusalem and the West Bank. In fact, the timing of the recent arrests in New Jersey and New York may be directly tied to Israel’s move to build a residential complex in east Jerusalem over the objections of President Barack Obama.
On July 26, 2009, the Israeli newspaper Yedioth Ahronoth reported that Rabbi David Yosef, the son of Shas spiritual leader and former Chief Rabbi of Israel Rabbi Ovadia Yosef, left the Long Branch, New Jersey, home of Ben-Haim for Israel just hours before the FBI raid that saw the arrest of Ben-Haim. In May, Aryeh Deri visited the Syrian-Jewish community in the New York-New Jersey region seeking funds for a new political party. Deri’s successor as the head of Shas, Eliyahu “Eli” Yishai, currently serves as interior minister and a deputy prime minister of Israel.
Ovadia Yosef recently condemned President Barack Obama for pressuring Israel on the freeze of settlements. Yosef also called for the rebuilding of the Jewish temple on the site of the Al Aqsa mosque in Jerusalem, one of Islam’s holiest sites. Yosef complained that there “are Arabs there.”
The North Jersey/Brooklyn area has long been a hub for intelligence and criminal activities by Israeli nationals. In many cases, those arrested have gotten off with light or no sentences. WMR has reported extensively on these, including:
On the afternoon of September 11, 2001, New Jersey police arrested five Israeli employees of Urban Moving Systems of Weehawken, New Jersey, which is nestled between Jersey City and Hoboken, near Giants Stadium in East Rutherford, next to Secaucus. The Israelis were earlier seen celebrating, high-fiving, jumping up and down, and videotaping the first and second plane attacks on the World Trade Center.
The five Israelis were later linked to an Israeli-owned office moving company called Urban Moving Systems headquartered in Weehawken, New Jersey at 3 West 18th Street. Another Urban Moving office was located on West 50th Street in Manhattan. Urban Moving’s owner, Dominik Otto Suter, identified by the CIA and FBI as a Mossad officer, fled to Israel shortly before he was to be re-questioned by the FBI. The five Israelis, after being jailed for five months, were quietly deported to Israel without criminal charges being filed.
Online Journal,
Contributing Writer,
Jul 30, 2009, 00:22
(WMR) -- The recent rolling up of a Syrian Jewish criminal syndicate that was involved in buying off local elected and appointed government officials in north Jersey is but one in a long series of law enforcement operations directed, sometimes unsuccessfully due to the immense power of the Israel Lobby in the United States, against Jewish criminal networks in the New Jersey-New York region. These criminal networks also have one important thing in common: close connections to Israeli politicians and businessmen.
The FBI used a confidential witness to identify a number of Syrian Jewish rabbis who were using synagogues and yeshivas as money laundering fronts reportedly for the illegal sale of knock-off designer handbags and even human organs. The witness, Solomon Dwek, is a major real estate developer and gambling boat owner who was arrested in 2006 for trying to pass a bad check and defraud PNC Bank of $25 million. Dwek is a member of the powerful Syrian Jewish clan in New Jersey and New York, which has been called the SY Empire” and the “Dwek clan.”
Dwek’s father, Isaac Dwek, is a rabbi of a synagogue and yeshiva school in the Syrian Jewish enclave of Deal, New Jersey, on the Jersey shore. Deal is a nexus for the radical Israeli right that is opposed to any peace agreement with the Palestinians and the ultra-orthodox Israeli Shas Party, a member of the current Israeli coalition government, has held fundraisers in Deal. The Syrian Jewish community is also heavily involved in worldwide Chabad Houses, which WMR has previously linked to drug smuggling and money laundering, particularly in Mumbai, Bangkok, and other Asian cities. In 1992, the Syrian government lifted travel restrictions and limits on the disposition of property for the Syrian Jewish community. Syrian Jews were relatively free to travel, including to the United States.
Among the rabbis arrested was Saul Kassin, the 87-year-old chief rabbi of the 80,000-member Syrian Jewish community in Brooklyn and New Jersey. Rabbis from Brooklyn and Deal were also arrested for money laundering operations that used the tax-exempt status of Jewish religious organizations to avoid detection and reporting to the government.
The mayors of Hoboken, Secaucus, and Ridgefield were also arrested as part of the bribery probe of the Syrian Jewish syndicate, as well as a Jersey City state assemblyman and an Ocean Township mayor and assemblyman. A member of New Jersey Governor Jon Corzine’s cabinet was also arrested, along with appointed officials in Bayonne, Hoboken, and Jersey City.
The latest reported criminal activity among the region’s Syrian Jewish community is nothing new. One prominent member of the community, which traces its origins back to the Syrian city of Aleppo, was Eddie Antar, the owner of a regional chain of consumer electronics stories called “Crazy Eddie’s,” who fled the United States for Israel after being indicted for fraud. Antar had laundered some $80 million through Panamanian and Israeli banks, much of it ending up at the Bank Leumi in Tel Aviv, Swiss banks, a “folding tent” Liberian company, and a Liechtenstein foundation. Antar used a fake passport and the alias of David Jacob Levi Cohen to enter Israel. Antar also used the alias of Alexander Stewart. Antar was eventually arrested near Tel Aviv and was extradited back to the United States where he eventually received an eight-year prison sentence. The chief federal prosecutor against Antar was Michael Chertoff.
Syrian-Jewish businessman Norman Jemal, the head of another influential Syrian-Jewish family and a consumer electronics competitor of Crazy Eddie, saw his store chain Nobody Beats the Wiz, collapse into bankruptcy in 2003.
Another prominent Syrian Jew was Edmond Safra who founded Banco Safra in Brazil in 1955. The Beirut-based Safra family had long served as important bankers for the Ottoman Empire. Safra eventually became a billionaire banking and investment tycoon. Safra founded the Republic National Bank in New York in 1966. In 1999, Safra was killed in an arson attack on his Monte Carlo home. Safra’s U.S.-born nurse, Ted Maher, a former U.S. Army Green Beret, was arrested and charged with starting the fire but his conviction was overturned. Safra’s killer or killers still remain at large. Safra’s security chief, Shmuile Cohen, had recruited a number of Israeli military special forces personnel to guard Safra, but Shmule and the guards were given the night off by Safra’s wife. Before his death, Safra was negotiating the sale of Republic Bank to HSBC. Safra was also cooperating with the FBI in its probe of the use of U.S. banks by the Russian-Israeli mafia to launder billions of dollars. There is speculation that Safra was murdered by the Russian-Israeli mob to keep him from divulging more details of their operations to the FBI.
After the recent bust of prominent Syrian-Jews in New Jersey and New York, the FBI and Justice Department revealed their investigation had lasted for 10 years. The Safra murder occurred 10 years prior to the recent corruption arrests. WMR has learned that the FBI is actually probing a much bigger criminal syndicate, one that involves more powerful politicians and businessmen involved in real estate and financial services in New York and New Jersey. The arrest of mayors, other small-time politicians, and rabbis may lead to higher-ups if there is cooperation from those already arrested from plea deals with prosecutors.
One prominent member of the Syrian Jewish community is Joseph Cayre, the real estate business partner of Larry Silverstein and Lloyd Goldman in the pre-9/11 lease of the World Trade Center from the New York-New Jersey Port Authority and the subsequent redevelopment of the “Ground Zero” site. Silverstein, Cayre, Goldman, and New York Mayor Michael Bloomberg have recently been feuding with the Port Authority over the terms of the redevelopment scheme. Part of the redevelopment strategy is central to the “Cornerstones Project,” a project to establish four mega-entertainment and sports complexes in Manhattan connected to two other such centers on Coney Island and at the Meadowlands Xanadu entertainment and shopping complex in East Rutherford, New Jersey, next to Secaucus. The Xanadu project is being underwritten by Goldman Sachs and is a favorite of Governor Corzine, a former chairman of Goldman Sachs.
In the criminal complaint against Rabbi Eliahu “Eli” Ben Haim of the Ohel Yaacob congregation in Deal, a co-conspirator only identified as “I.M.,” who is based in Israel and was a principal source of cash for Ben Haim, is cited. It is odd that “I.M.” is only identified by initials when two other co-conspirators of Ben Haim are identified by their full names: Schmulik Cohen of Brooklyn and Arye Weiss, also of Brooklyn. “I.M.”s modus operandi is described in the criminal complaint:
“Defendant BEN HAIM also mentioned that he owed another individual $495,000. This individual, according to defendant BEN HAIM, had wired money from Hong Kong to Israel, and stated that ‘he has money in Hong Kong from his -- the kickbacks from the factories.’ Defendant BEN HAIM also further described the activities of Coconspirator I.M. in the following terms: ‘the head contact’s in Israel . . . He has different people, he has, . . . he has a hundred cus-, no customer in New York [u/i] [unintelligible] money in Israel [u/i] real estate investments, they, they want to hide their money. They don’t want it to show. So they give the cash here to him and he gives me the cash . . . You see the merry-go-round? This guy’s been doing it for 20, 30 years.’ Defendant BEN HAIM also indicated that he would pick up cash, as coordinated by Coconspirator I.M., at locations in Brooklyn. The CW [confidential witness] offered to pick up the cash that defendant BEN HAIM anticipated would be available to him the following week.”
The complaint provides even greater details of “I.M.’s” money laundering activities:
“Defendant BEN HAIM told the CW about ‘customers from two, three years ago that are calling me,’ and indicated that “[t]hat’s a signal that the market is tight.’ Defendant BEN HAIM also discussed his source for cash, Coconspirator I.M., and stated that he spoke to Coconspirator I.M. ‘[e]very day - every other day.’ Referring to Coconspirator I.M., defendant BEN HAIM then asked the CW ‘[d]id you know that he had me in the last 4 years send out wires every time to a different place in the world to a different name? It’s unbelievable. I never saw anything like it.’ When the CW asked whether defendant BEN HAIM was referring to different locations in only Israel, defendant BEN HAIM replied ‘[n]o, all over the world . . . All over the world. From Australia to New Zealand to Uganda. I mean [u/i] every country imaginable. Turkey, you can’t believe it. . . . All different names. It’s never the same name. . . . Switzerland, everywhere, France, everywhere, Spain. . . . China, Japan.’ Defendant BEN HAIM also explained that the market for cash was tight ‘only in the beginning of the year and the end of the year.’”
It appears that the FBI was being careful about naming “I.M.” due to his extensive contacts from Israel to countries around the world, an indication that “I.M.,” unlike the rabbis and the New Jersey politicos, is a big fry who is laundering large sums of money, possibly from gambling operations, through synagogues and Jewish charities. It is known that Solomon Dwek was involved in a casino boat business and that jailed GOP lobbyist Jack Abramoff was similarly involved in taking control of Sun Cruz Casino boats in Florida. Abramoff also funded radical Israeli settler movements on the West Bank.
WMR has learned from a reliable source that the identity of “I.M,,” if revealed, would serve as a body blow to the Likud government of Netanyahu and his major coalition partners, Yisrael Beiteinu of extreme right-wing Foreign Minister Avigdor Lieberman and the ultra-orthodox Shas Party. The revelation of “I.M.’s” identity, we are told, will also provide encouragement to the Palestinians to stand their ground against Israeli encroachment in east Jerusalem and the West Bank. In fact, the timing of the recent arrests in New Jersey and New York may be directly tied to Israel’s move to build a residential complex in east Jerusalem over the objections of President Barack Obama.
On July 26, 2009, the Israeli newspaper Yedioth Ahronoth reported that Rabbi David Yosef, the son of Shas spiritual leader and former Chief Rabbi of Israel Rabbi Ovadia Yosef, left the Long Branch, New Jersey, home of Ben-Haim for Israel just hours before the FBI raid that saw the arrest of Ben-Haim. In May, Aryeh Deri visited the Syrian-Jewish community in the New York-New Jersey region seeking funds for a new political party. Deri’s successor as the head of Shas, Eliyahu “Eli” Yishai, currently serves as interior minister and a deputy prime minister of Israel.
Ovadia Yosef recently condemned President Barack Obama for pressuring Israel on the freeze of settlements. Yosef also called for the rebuilding of the Jewish temple on the site of the Al Aqsa mosque in Jerusalem, one of Islam’s holiest sites. Yosef complained that there “are Arabs there.”
The North Jersey/Brooklyn area has long been a hub for intelligence and criminal activities by Israeli nationals. In many cases, those arrested have gotten off with light or no sentences. WMR has reported extensively on these, including:
On the afternoon of September 11, 2001, New Jersey police arrested five Israeli employees of Urban Moving Systems of Weehawken, New Jersey, which is nestled between Jersey City and Hoboken, near Giants Stadium in East Rutherford, next to Secaucus. The Israelis were earlier seen celebrating, high-fiving, jumping up and down, and videotaping the first and second plane attacks on the World Trade Center.
The five Israelis were later linked to an Israeli-owned office moving company called Urban Moving Systems headquartered in Weehawken, New Jersey at 3 West 18th Street. Another Urban Moving office was located on West 50th Street in Manhattan. Urban Moving’s owner, Dominik Otto Suter, identified by the CIA and FBI as a Mossad officer, fled to Israel shortly before he was to be re-questioned by the FBI. The five Israelis, after being jailed for five months, were quietly deported to Israel without criminal charges being filed.
Information Spectrum, Inc. (ISI) of Cherry Hill, New Jersey, a subsidiary of the Fairfax, Virginia-based defense contractor, Anteon, took over the operation of the Jersey City police computer system that handled all incoming emergency phone calls on September 11 . . . According to Jersey City Police officials, after the emergency call system was changed from a Wang to a Windows environment, 8,000 emergency 911 system calls registered on September 11 were scrubbed from the archives. In fact, archives dating back to 1989, including those dealing with the 1993 bombing of the World Trade Center, were similarly affected.
In October 2000, an Israeli veteran of the Israel Defense Force overheard a conversation between three men in the Gomel Chesed Cemetery in Newark, New Jersey. The three men speaking in Hebrew were discussing the “planes hitting the twins,” a reference to the 9/11 attacks some 11 months later. The FBI Newark office was informed of the conversation. There was no follow-up by the FBI.
A Syrian Jew named Rimon Alkatri was indicted by a New York City grand jury for phoning a false terrorist threat to the New York City police in May 2006. The indictment charged Alkatri with making a false terrorist threat in the first degree. Alkatri was arrested on July 31, 2006, a little over a week from the hype generated by the “great airplane liquid bombing hoax.” Alkatri, who owns the El Castillo de Oro jewelry store on Knickerbocker Avenue in Brooklyn and who arrived in the United States in 1996, was arrested by police while he was leaving his apartment in a Syrian Jewish neighborhood on East 9th Street. In May, Alkatri, using the alias Jose Rodriguez, and claiming to be from Israel, said he overheard five Syrian employees of his store use the phrase “Allahu Akbar” (God is great) and that they were plotting to hide explosives in hollowed-out jewelry and perpetrate a suicide bombing in the New York subway system on the Fourth of July. Police later discovered that the five Syrian “conspirators” identified by Alkatri were not even Muslims, but Christians and Jews. Alkatri, who could have been sentenced to seven years in jail, was given a six-month sentence.
In 2003, Yehuda Abraham, a dual U.S.-Israeli citizen, global diamond dealer, and native of Afghanistan, was charged with money laundering for an Indian weapons smuggler named Hemant Lakhani who was attempting to purchase Russian portable missile launchers to bring down American passenger planes, including Air Force One, in the United States. Abraham was later convicted in the scheme that also involved a Malaysian bagman associated with the Southeast Asian Al Qaeda offshoot Jemaah Islamiya. Abraham and Lakhani conducted their meetings near Newark International Airport. Abraham was sentenced to home detention.
In 2003, Israeli-born Mark Brener, proprietor of Emperor’s Club VIP and three money laundering firms -- QAT Consulting Group, QAT International, and Protech Consulting -- moved from South Brunswick, New Jersey, to an affluent condo in Cliffside Park, New Jersey, with his 19-year-old girlfriend Cecil (“Ceci”) Suwal. Emperor’s Club VIP was the escort service that enmeshed New York Governor Eliot Spitzer and, which more recently is said to involve another governor, reportedly Ed Rendell of Pennsylvania. Brener received a 30-month prison sentence.
The targeting of New Jersey Governor Jim McGreevey, a former mayor of Woodbridge, New Jersey, by Israeli intelligence operative Golan Cipel in a homosexual “honey trap” resulted in McGreevey’s sudden resignation from office in 2004. McGreevey appointed Cipel to a top homeland security job for the state of New Jersey. The Emperor’s Club VIP expose about Spitzer came on the same day that it was reported that emails from the McGreevey administration were erased from the state’s computer systems. Cipel today works as an independent consultant.
In December 1995, Israeli Interior Minister Haim Ramon barred from entering Israel six U.S. citizens, all members of the terrorist Jewish Defense League, as well as Rabbi Abraham Hecht of the Syrian Jewish community in New York, for involvement in illegal activities in Israel. Hecht had suggested that assassinated Prime Minister Rabin could have been a “moser,” a Jew who handed over Jews or Jewish property to non-Jews, and deserved the death penalty.
* * * * *
WMR has also learned from sources in China of a significant Turkish angle to the illegal Israeli-run human organ smuggling trade. Apparently, Turkish military surgeons have worked with ethnic Uighurs to harvest organs from young Chinese. The center of the human organ trade is in Israel. Recently, police in Shenzen, China raided a Uighur-run restaurant where younger customers had a habit of disappearing. Police then discovered the restaurant had a grisly secret business: that it was an organ harvesting center, operated with medical expertise from Turkish military surgeons who identified usable organs for wealthy Israelis, as well as Arab potentates. The Turkish military surgeons apparently got their start after the 1999 Izmit-Istanbul earthquake, the first major operation for the organ harvesters.
The Shenzen eatery’s refrigerators were primed for cryogenics, the storage of human organs until transport to customers. The human remains -- limbs, spines, and heads . . . were boiled down and dumped into the sewer or sold to pig farmers for slop. Bones were crushed and likewise went down the sewer pipes. Police were originally stymied in collecting evidence in their investigation of the criminal enterprise.
Previously published in the Wayne Madsen Report.
Copyright © 2009 WayneMadenReport.com
Wayne Madsen is a Washington, DC-based investigative journalist and nationally-distributed columnist. He is the editor and publisher of the Wayne Madsen Report (subscription required).
4 comments:
It would be fascinating to know just how often and to what extent criminal activities within our borders are facilitated by Israeli security organizations. The fact that this must be open knowledge all the way to the top of the Israeli leadership means with a broad grin they shake our hand with one hand while twisting the knife in our back with the other.
Mr. Madsen's report does not at all tar all Israelis/Jews with the same brush as he is well aware that there are Israelis and Jews scandalized by the criminal behavior he is reporting on. My point is that it defies logic to think that criminal enterprises such as these could operate unseen to the extent they have for so long without the Israeli intelligence apparatus becoming aware of them. If they could find a way to benefit the state or the state's intelligence arm, I feel that Israel has a long history of turning a blind eye to such actions. Look at the other areas Israel nationals are involved in criminal activity; Ecstacy rings, prostitution rings, weapons smuggling rings, financial fraud, surveilance abuses, false flag operations, and on and on. True these crimes are not limited to Israelis, but that doesn't mean one must ignore the Israeli's criminal activity because of it.
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Busted: The Orthodox Criminal Network
The FBI's mass arrest on July 23 of Orthodox rabbis, their partners-in-crime, and the venal and corrupt politicians who accepted bribes from a Jewish gangster-turned-witness provides essential insight into the extensive Othodox Jewish criminal network that dominates Israel, New York, New Jersey, and to a great extent the United States of America. Having written a great deal about this subject, particularly in relation to the false flag terror attacks of 9-11, there are a few important things that need to be pointed out about this developing story.
"TERRIBLE BLASPHEMY"
This is a very important story, not only for the insular and segregated Orthodox Jewish community in which this criminal network operates but for the larger intercommunal relationship between Jews and the U.S. general public, which is incensed and indignant about being ripped off for hundreds of billions of taxpayer dollars by notorious Jews like Bernard Madoff, Maurice Greenberg of A.I.G., and Ben Shalom Bernanke of the Federal Reserve. "If the charges against the rabbis are proved to have been correct," one veteran Brooklyn rabbi told the Israeli press, "it'll be the worst and most terrible blasphemy that will ever be remembered about the New York Jews."
While the controlled media wrongly puts the focus on the corrupt minor politicians who allegedly took bribes, the real crooks are those who paid the bribes and used dirty money to corrupt politicians. The main players in this criminal network are among the leading members of the Sephardic Jewish community of Brooklyn, New York City, and Deal, New Jersey. The key players, such as the FBI's cooperating witness Solomon "Shlomo" Dwek and the 87-year-old "chief rabbi" Shaul J. Kassin, are both high-ranking members of this closed community, which is actually Israeli (or Palestinian prior to 1948). A member of the Dwek clan, Rafi Dwek, for example, is director-general of the Likud party, the extreme right-wing party of Ehud Olmert, Ariel Sharon, and Benjamin Netanyahu.
Shlomo Dwek, the Talmud teacher and Jewish gangster-turned-witness who helped expose a small part of the international Orthodox criminal network
Israeli members of this Syrian Orthodox Jewish community are discussed in my articles about the secret visit of Ehud Olmert to New York City on the very eve of 9-11. During this top-secret visit on September 10, 2001, Ehud Olmert, then the Likud mayor of Jerusalem, met with two other Likudniks from the Syrian Jewish community, namely Shaul and Meir Levy, founders and owners of the "Wings" beach store chain. Having visited one of these massive "Wings" stores in North Miami Beach, I am convinced that the Levy brothers deal in more than beach towels and suntan lotion.
The tiny Syrian Jewish enclave of Deal, New Jersey (population 1,000), has been mentioned in my 9-11 research, for example in the chapter on the Architecture of Terror. When the FBI busted 5 prominent rabbis from this secretive group of Syrian/Israeli Orthodox Jews, I was very interested and watched to see how the media covered this story, which is far more important than many realize. This story reveals the fundamental Jewish method of corruption and political control, which is the subject of my earlier 9-11 article about Italian Gangsters and their Jewish Bosses. While the rabbis and the Jewish "charities" were laundering tens of millions of dollars, venal politicians were being bought off by the rabbi's son for a few thousand dollars, literally for pennies on the dollar. Two things are striking about this latest story: the depth and extent of the Jewish criminal network and the cheapness and degree of corruption of our political leaders. The Jewish criminal network is just as entrenched in Chicago, Miami, Washington, D.C., and Los Angeles as it is in New York and New Jersey.
The Dwek and Kassin families are very close and have been since at least the early years of the 1900s when they studied Talmud and Kabbalah together in the yeshiva in Jerusalem (then part of the district of Syria in the Turkish Ottoman Empire). The Kassin family came to America from Palestine in August 1933. Rabbi Jacob and his wife Mazal arrived in New York with their first four children, the eldest being Shaul, the now indicted rabbi. Mazal, the rabbi's 30-year-old wife was unable to read or write, according to immigration documents, which is not unusual for this segregated and backwards community. Orthodox Jewish women are known to be treated as untouchable second-class humans and are made to ride in the back of the bus even today in Israel. Non-Jews, "Goyim" or Gentiles, are considered to be even lower and are despised by Orthodox Jews yet they choose to live and carry out their criminal schemes in America, which has a population which is overwhelmingly non-Jewish.
"WE DON'T WANT GENTILE CHARACTERISTICS"
The Syrian Jewish community is known for its strict racial Edict that acts like "an invisible fence" and bans members of the community from marrying anyone outside of the community. "Never accept a convert or a child born of a convert," the son of rabbi Kassin told Zev Chavets of the New York Times in 2007, summarizing the message of the Edict. "Push them away with strong hands from our community. Why? Because we don't want gentile characteristics."
To understand the ties between the key families in this story, I recommend Sarina Roffé's articles on the Kassin and Labaton rabbinic dynasties. Sarina is an expert on Syrian Jewry and a member of Brooklyn's Syrian Jewish community and the Jewish Genealogical Society, Inc. of New York.
The "Syrian" Jewish community is well known for its notorious criminals. One of the most infamous is Eddie Antar, a.k.a. Crazy Eddie. In the '70s, he created an empire in the home electronics business. When he was caught defrauding investors of nearly $100 million dollars, he fled to Israel, was extradited, prosecuted (by then U.S. Attorney Michael Chertoff), and sent to prison. Antar, who still lives in the community "enclave", told the Jewish Week that the recent mass arrest of rabbis doesn't surprise him at all. “Most people in this community are law-abiding hard-working Americans and the alleged actions of a few people are no reflection on the entire community. But I'm not surprised when I see this kind of thing happen.”
Small, tight-knit communities such as the Syrian Jewish enclave in New Jersey and Brooklyn are particularly prone to financial crime, he said. “It happens all the time in all kinds of closed, insular communities, and these crimes are the toughest to crack,” he said. “The people are bound not just by economic incentives, but cultural, religious, ethnic and family ties. They tend to be highly coordinated, and they can take years to investigate.” When the dust settles “hundreds” of people could be implicated, Antar predicted. Antar's prediction that many more people are involved comes from a person who knows the Orthodox criminal network from the inside.
ORTHODOX RABBIS = CRIME BOSSES
The most obvious question that a person would ask after hearing the report of the mass arrest of Orthodox rabbis: What kind of religious community is this Orthodox Jewish community in which its leaders are venal crooks who engage in serious criminal activity as easily as one drinks a glass of water?
"These rings, led by clergymen, cloaked their extensive criminal activities behind a facade of rectitude," New Jersey District Attorney Ralph Marra said, describing a disgraceful picture of religious leaders heading money-laundering crews and acting as crime bosses. They moved "at least tens of millions of dollars through charitable, nonprofit entities controlled by rabbis in New York and New Jersey," Marra said. Exactly where the "tens of millions of dollars" came from has not been explained, but connections to the illegal drug trade and the Madoff scam are both very likely.
"Crime Boss" Shaul J. Kassin, 87, chief rabbi of the Syrian Jewish community
"Religious leaders allegedly acted like 'crime bosses'", was the Marra quote that became the title of a July 26 article in the Israeli newspaper Ha'aretz. "For these defendants, corruption was a way of life."
Israelis, however, are well aware of the gangster methods and tactics of the Orthodox Jewish community, something most Americans are only becoming aware of as a result of this mass arrest. Small Orthodox Jewish parties, such as Israel's theocratic Shas Party, have long wielded enormous clout in Israel's coalition governments and used political extortion to obtain special privileges for the Orthodox community. Orthodox religious practices and conversions, for example, are the only ones recognized in the "Jewish state." The Shas party's seed money was raised in rabbi Kassin's living room in Deal, N.J., in the early '80s.
In most cases the indicted rabbis used Jewish and Zionist "charitable organizations" to launder money that they believed came from bank fraud and selling counterfeit goods. Dwek told the rabbis he was trying to hide large amounts of cash. In some instances, he said, the money came from the sale of fake Gucci bags. It should be noted, however, that the Orthodox Jewish community has a long and documented history of involvement in the sale of narcotics and illegal drugs, such as Ecstasy. The Syrian Jewish community is very powerful in Latin America. Another Kassin family member, a Miami resident from Colombia named "Victor Tesone Kassin," for example, was indicted in a $100 million money laundering operation to wash drug profits from Colombian narcotics with drug financier Isaac Kattan in 1982 following a similar investigation called Operation Greenback. This operation involved a bank in Miami and Switzerland. Switzerland and Israel played roles in the recently busted Jewish money-laundering operation and are also thought to be involved in the disappearance of tens of billions of dollars from the Madoff scam as well.
A Brooklyn Jewish man, Levy Izhak Rosenbaum, is charged with enticing poor people in Israel to give up a kidney for $10,000 so he could sell their organs for $160,000 each, according to Marra. Some, if not all, of the kidney removal operations were reportedly carried out at New York's Mount Sinai hospital.
The arrest of the Orthodox rabbis led some to dub the affair "Kosher Nostra." The rabbis, including two synagogue leaders, are suspected of organizing a money-laundering network that allegedly worked through charities in Deal, Brooklyn and Israel, Ha'aretz reported. The 15 people arrested on money laundering charges were all Orthodox Jews and/or Israelis, including the "kidney trade middleman," a.k.a. Levi-Yitzhak Rosenbaum. There were so many detainees that a bus was used to transport them. This massive arrest, however, is seen by many as only the tip of the iceberg.
Officials say investigations originally focused on an international Orthodox Jewish network that laundered tens of millions of dollars through charities controlled by rabbis in New Jersey and New York. This money-laundering network is most likely connected to the $50 billion Bernie Madoff scam. Madoff, as I pointed out in my articles about his scam, managed the Sy Syms school of business at the Orthodox Jewish community's Yeshiva University. Another Sephardic family, the Recanati family, has a great deal of influence in the shipping and selling of crude oil and at the Israel Discount Bank, the corrupt private bank where Sy Syms was a director for many years. Like the 9-11 crime and cover-up, at every key nodal point of this vast criminal financial network -- one finds an Orthodox Jew.
Levy Itzhak Rosenbaum used his gun to threaten poor kidney donors who got cold feet. He made more than $150,000 for each kidney he traded.
Please have a look on http://www.bollyn.com/ for all the references.
L’Otan, gardien militaire de la sécurité d’approvisionnement énergétique des pays membres
Alerte OTAN
Sur ce thème, le CSO a participé à l’animation d’un atelier lors de la Conférence Internationale « No to Nato – no to the war » à Strasbourg. En voici un résumé. Le texte complet de cette intervention est disponible sur le site http://www.csotan.org/textes/texte.php?art_id=443&type=articles L’OTAN s’est autoproclamée en 1949 comme "Alliance des démocraties, des Pays de la Liberté..." entre puissances coloniales principalement et les USA. Le discours actuel n'a pas vraiment changé et reste hypocrite : au nom de la défense de la démocratie, les pays de l'OTAN ont soutenu le pillage des ressources naturelles des pays colonisés, les dictatures voire, les installant (Guatemala, Iran, Congo, Chili etc...). Que l'on soit pendant ou après la "guerre froide", le rôle de l'OTAN reste de voir comment préserver l'accès aux ressources énergétiques de la planète à une poignée de super riches ! Autrement dit, comment assujettir les pays concernés, au moyen de la douceur du libéralisme ou du mécanisme de la dette ou de la pure menace militaire, afin de s'emparer de leurs richesses naturelles et de les contrôler.
Car en terme brutal, dans le système économique mondial actuel, "il n'y en a pas assez pour tout le monde" donc au plus fort de s'en emparer. Autrement dit : la loi du plus fort est, tout compte fait, toujours la meilleure.
Comment l’Otan présente son rôle à ce propos ?
Depuis 1999 et l’élaboration de son Nouveau Concept Stratégique, l’Otan redoutant les risques d’interruption ou de crise dans le flux des ressources vitales entendons par là énergétiques, a chargé au Sommet de Riga en novembre 2006, le Conseil en session permanente de « procéder à des consultations sur les risques les plus immédiats en matière de sécurité énergétique, afin de définir les domaines dans lesquels l'OTAN pourrait apporter une valeur ajoutée s’agissant de préserver les intérêts des Alliés en matière de sécurité et, sur demande, de contribuer aux efforts nationaux et internationaux ». Ce programme a été confirmé dans sa continuité lors du sommet de Bucarest (2008) et reste à l'ordre du jour du sommet de 2009.
Dans ses documents officiels, l’Otan présente son « rôle dans la sécurité énergétique » en donnant l’exemple de l’Opération Active Endeavour (missions en Mer Méditerranée) : le texte consultable sur le site de l'Otan met bien en évidence que la sécurité énergétique et plus généralement son approvisionnement sont désormais des domaines que l'OTAN s'attribue. Cela concerne le pétrole, le gaz, le charbon, l'énergie nucléaire, les minerais stratégiques et prochainement l'eau et les aliments. C'est ici qu'apparait une confusion entre sécurité des populations et celle des intérêts économiques des états membres de l'OTAN, les plus puissants étant les plus entendus dans cette logique qui s'étend ...de l'Arctique à la Mer Rouge, de l'Afrique à l'Amérique Latine et à l'Asie. Egalement, dans cette stratégie, l'OTAN empêche militairement d'autres pays dont la Russie, la Chine et des états de l'ex-camp socialiste à développer leur sécurité.
Une première conclusion s'impose : les mouvements pacifistes et progressistes d’Europe et des Etats-Unis doivent lutter pour la dissolution de l’Otan et pour instaurer un système économique répondant aux besoins des populations et non à la cupidité de quelques multinationales.
- En Afrique, l'OTAN envoie ses navires de guerre pour chasser les pirates. Mais il y a piraterie et piraterie et les "tankers" déchargeant massivement des déchets nucléaires produits par les pays membres de l'OTAN, ceux acheminant des armes, ceux traitant la pêche industrielle au détriment des populations locales, eux...ne sont nullement inquiétés ! En fait l'OTAN installe une police militaire navale dans les régions où circule l'approvisionnement énergétique occidental. L'échec du commandement militaire intégré Africom par l'OTAN s’est commué en pénétrant l'Afrique autrement, et cela même au prix de concessions pour le partage des butins avec d’autres alliés.
- En Arctique, région d’intérêt stratégique pour l’Otan depuis qu'avec le réchauffement climatique, la fonte des glaces permettra d'accéder aux ressources gigantesques de pétrole, de gaz et de charbon, de minerais, 5 pays bordent l'Océan Arctique : la Russie et 4 membres de l'Otan, le Canada, les Etats-Unis, l'Islande et la Norvège. La Russie représente un adversaire...et probable nouvel ennemi !
- En Amérique Latine, depuis avril 2006, l'OTAN a participé à des manœuvres navales dans les Caraïbes appelées "confraternité avec les Amériques". Officiellement elles resserrent les liens militaires et luttent contre le trafic de drogue, contre le terrorisme. Mais .... le gouvernement hollandais (patrie de l'actuel président de l'OTAN) accusait le Venezuela de vouloir annexer une île proche de ses côtes. Quant au terrorisme il avait un nom: le gouvernement Chavez ! L'Amérique Latine a de nombreuses ressources énergétiques (pétrole et gaz essentiellement) ce qui permet à certains de ses Etats de réduire leur dépendance aux Etats Unis. 12 Etats ont d'ailleurs créé l'Union des Nations Sud-Américaines, union économique, monétaire et politique, incluant un volet militaire ce qui déplait aux Etats-Unis et à l'OTAN qui les considèrent comme dangereux voire terroristes ! Jusqu’à présent, l’OTAN n’est présente en Amérique Latine qu’occasionnellement, au travers de ces manœuvres conjointes. Mais si la crise économique s’aggrave, l’accès aux ressources énergétiques devient plus difficile et coûteux, on peut s’attendre au pire.
- En Asie Centrale: pas de sécurité énergétique de l'OTAN sans guerre ! Afghanistan, Pakistan, Irak, les 5 ex-républiques soviétiques (Kazakhstan, Kirghizie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan), sont des pays en jeu pour contrer la Russie et la Chine mais … ils sont regroupés dans l'organisation de coopération de Shanghai où l'Iran les rejoindra incessamment. Il existe également des accords entre les pays autour de la mer Caspienne. Quant à la Géorgie, l'OTAN y est alors qu'elle n'en fait pas partie...
The War on Terror is a Zionist racket
“Of course the people don’t want war….but after all, it’s the leaders of the country who determine the policy, and it’s always a simple matter to drag the people along, whether, it’s a democracy or a fascist dictatorship or a parliament or a Communist dictatorship,” – Dr. Herman Georing, Hitler’s propaganda minister.
The former British Minister of Environment, Michael Meacher, in his article titled The war on terrorism is bogus (Guardian, September 6, 2003) – wrote that the 9/11 attacks gave the US an ideal pretext to use force to secure its world domination.
On February 7, 2001 – former CIA director George Tenet (born as David Cohen) eerily described to the Congress what did occured six months later: “Terrorists are also becoming oprationally more adept and more technically sophisticated (inside Afghanistani caves!) in order to defeat counter-terrorism measures…”
The Project for the New American Century (PNAC), was a Zionist think tank, which during 1997-2006 – played a very significant role in reshaping the Middle East map by Washington which has made Israel is the greatest beneficiary of the so-called “War on Terror”. Zionist William Kristol and Robert Kagan who founded the PNAC – urged Bill Clinton to invade Afghanistan and Iraq, though, both countries posed no military or economic threat to the US. The Jewish controlled mainstream media provided support to PNAC hoax by inventing propaganda lies of WMDs, Saddam’s involvement in 9/11; his invasion of Kuwait, and his use of chemical warfare against Shias and Kurds – which all were carried out by western blessings. However, to sell their evil agenda against the Muslim world – they needed a “New Pearl Harbor” some horrible tragedy to happen on the very soil of America – which did happen on September 11, 2001. Nine days after the 9/11 (September 20, 2001) – PNAC sent a letter (authors included Rumsfeld, Cheney, Wolfowitz, and Scooter Libby) to Dubya Bush urging him to bring a ‘regime change’ in Iraq, while projecting Islamic Iran as “the future threat” to the US: “Over the long term, Iran may well prove a large threat to US interests in Persian Gulf as Iraq has. And even should US-Iranian relations improves, retaining forward-based forces in the region would still be a essential in US security strategy given the longstanding American interests in the region…”
The PNAC, after successfully completing its goal of destroying any possible threat to the zionist entity – closed down their shop in 2006 – and most of its members joined the American Enterprise Institute (AEI), another Jewish think tank with intimate links to the Likud Party in Israel.
Gideon Long (Reuters, May 28, 2003) quoting Amnesty International Report 2002, wrote: “Washington’s war on terror has made the world more dangerous by curbing human rights, undermining international law and shielding governments from secrutiny….”
One of the other Zionist think tanks which plays an important part in American imperialism around the world – is The International Crisis Group . Its board members include Jewish billionaire George Soro, Morton Abramowitz, Kenneth Adelman, Zbigniew Brzezinski, and former president of Council on Foreign Affairs, Leslie H. Gelb.
Mahboob Khawaja PhD in his July 14 article under the title The War on Terrorism that America lost, wrote:
The premise of the American led “war on terrorism” was based on the Nazis blueprint of flagrant lies and perpetuated “fear” to drain out all the positive and creative thinking of the American people and to enslave them for years to come while the Neo-conservatives dominated Bush Administration with overwhelming indoctrination of Nazism continued the militancy towards freedom of thought and conscience, human rights and legal justice denying America’s own history and rich values. America lost the war the day it invaded Iraq. The American Empire had no purpose and strategy to fight Islamists and its delusion represents failure and self-defeat on all the fronts.
The overriding motivation for the wars in Iraq and Afghanistan are shielded by political smokescreen that the US and UK will run out of sufficient hydrocarbon energy supplies in 2010, whereas, the Arab and Muslim world would control almost 60% of the world oil producing capacity and perhaps more significantly 95% of the remaining global oil production capacity. The news media reports indicate that the US is predicted to produce only 39% of the domestic oil production in 2010, whereas in 1990, it produced 57% of its total oil consumption. The UK Government had projected ”severe” gas shortages by 2005, and indicated that 70% of the electricity will be drawn from gas and 90% of gas will be imported. It is interesting to note that Iraq is said to have 110 trillion cubic feet of gas reserves in addition to approximately 15 – 20% of the world oil reserves. In another research report by the Commission on America’s National Interests (July 2000), it observed that the most promising new energy resources are found in the Caspian Sea, Central Asian region and it would avoid the US exclusive dependence on the Saudi Arabian oil imports. The report outlined the feasible routes for the Caspian Seas oil deliveries, one hydrocarbon pipeline via Azerbaijan and Georgia and another pipeline through Afghanistan and Pakistan would ensure the future strategic demands of the US government. To counteract the USSR influence in Afghanistan, Taliban group was created with active support of the US intelligence agencies and the Peoples Party of Pakistan under the former PM Miss Bhutto. The Taliban group was helped to form a government in Afghanistan and to ensure the future passage of a hydrocarbon pipeline via Afghanistan and Pakistan onward to the Arabian Sea. The leadership included Osama bin Laden, the close affiliate of the US sponsored war against the Soviet Union. For years, the US officials held discussion with these groups to finalize formal agreement for the passage of the oil and gas pipelines in Afghanistan. If the author of the Forbidden Truth has any credibility, the US and Taliban negotiators continued discussion of the possible pipeline until August 2001. After the 9/11 attacks, the US government was outraged and asked Pakistan’s military leader General Pervez Musharaf to dismantle the Taliban government from power in Kabul. The US government never made any claim or evidence public to suggest that Taliban as a group were involved in the September 2001 attacks on the US.
After President Barrak Obama was sworn in as the new President, America looked morally exhausted and militarily lost, being unable to think of the much needed strategic change but more importantly, searching desperately for a navigational change in wars against the Islamists.
Gwynne Dyer, a well known British author (“The International Terrorist Conspiracy”), asserts that terrorism is not an ideology but a political technique and those groups willing to opt for violence in support of their goals, may resort to it. Dyer maintains that “there is no shadowy but powerful network waging a terrorist war against the West, the whole thing is a fantasy….there never was much of an Islamist “terrorist network” anyway – certainly nothing to compare the extensive cooperation between the extreme left-wing “urban guerrilla” of the developed world (Germany’s Baader-Meinhof Gang, Italy’s Red Brigades, the Japanese Red Army etc.)…..”
Video: Operation in Afghanistan is rooted in Israel
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Who Put Super-Thermite in the Twin Towers?
The discovery of chips of highly-explosive super-thermite in the dust of the World Trade Center is an essential key to unraveling the entire 9-11 hoax. Understanding the lies about 9-11 reveals in turn the mass deception behind the wars of aggression in Afghanistan and Iraq and the utterly fraudulent "War on Terror." One soon realizes that the whole anti-terrorism Zeitgeist of the past 8 years is nothing but a pack of lies.
The discovery of super-thermite in the dust of the demolished towers opens up the whole can of 9-11 lies. Dr. Steven E. Jones of Brigham Young University discovered unusual red-gray chips in the dust of the demolished twin towers and along with a team of other scientists published a peer-reviewed paper in March 2009 in which they prove that these chips are fragments from a thin layer of active thermite in the nano-size form, i.e. super-thermite. This is the powerful explosive that pulverized the towers. Osama Bin Laden certainly didn't put super-thermite in the twin towers, so who did? This is the question that demands to be answered.
Super-thermite is defined as a thermitic compound in which one of the two main components is in the nano-size range, i.e. less than one-tenth of a micron in size. The main components of Thermite are generally aluminum and ferrous or iron oxide. When these components are reduced to nano-size particles and mixed together, they form super-thermite, a highly energetic and explosive form of Thermite. Other components can be added to the mix to create other effects, such as to produce a gas to increase the pressure of the explosion when the super-thermite is detonated.
Because of the nano-size nature of the components of super-thermite, it is usually mixed and suspended in a solution that can be applied to a surface, such as the floors and walls of the World Trade Center, as a spray, film, or gel. The evidence of the super-thermite chips found in the 9-11 dust suggest that this highly explosive solution had been applied as a thin layer to surfaces of the twin towers as a spray. Who would have done that?
When it was applied it was certainly not known to all that it was super-thermite, but was probably applied under the guise of being a spray coating of paint, fire-proofing, or some kind of asbestos abatement. The people who applied the spray onto the surfaces of the World Trade Center certainly had no idea that what they were applying was actually a very powerful explosive film, although they were probably told not to smoke.
As the application of the super-thermite must have occurred during the months prior to 9-11, I have used FOIA and other means to try to find who could have been doing such work in the towers during 2000-2001. There was one significant clue at the very beginning. Two days after 9-11, Engineering News-Record (ENR) reported that an asbestos abatement and demolition company called LVI had done extensive asbestos abatement work in the World Trade Center:
AMEC Inc., Turner Corp. and Bovis Lend Lease were set to assume "lead roles" in the cleanup effort, says Lee Benish, AMEC vice president. "From the very beginning, we've been deeply involved with the city department of emergency services," he says. "They're sorting through who will be doing what." LVI Services Inc., New York City, which has done extensive asbestos abatement work on the towers in the past, is involved in similar work now as well as other cleanup efforts.
LVI was immediately a suspect because it does a great deal of pre-demolition work in which it prepares buildings for demolition. LVI has done several large demolition jobs with Controlled Demolition, Inc. of Maryland.
I called LVI and spoke with Burton T. Fried, the founder and CEO of the company, and asked him if his company had done extensive asbestos abatement work in the twin towers as reported in ENR. He immediately denied that his company had done the work saying that another company called AASI had, but he added that they had gone out of business. (NB -- One of the branch offices of LVI is named ASI.)
Burton Fried of LVI
I then contacted the authors of the original ENR article to see what they had based their statement on. Debra Rubin, one of the authors, confirmed the information in the article and told me that LVI, i.e. the company itself, had been the source of the information. This is quite interesting because ENR and LVI clearly have an on-going relationship in which any substantial error, especially of such importance, would be corrected. ENR's report is, after all, on the record that LVI did extensive asbestos abatement work in the now demolished twin towers. This is certainly a very significant error that would have to be corrected -- if it were false. Although Fried denied to me that his company had done extensive asbestos abatement work in the twin towers, he has not demanded a correction or retraction from the engineering magazine, a journal of record in the engineering industry. Furthermore, LVI has continued to do work at Ground Zero, where it has been involved recently in the pre-demolition clean-up of the Deutsche Bank building at the south end of the site.
We do know that a million-dollar contract for asbestos abatement in the twin towers had been put up for bids by contractors in the fall of 2000, exactly one year before 9-11:
Contract WTC-115.310 - The World Trade Center Removal and Disposal of Vinyl Asbestos Floor Tiles and Other Incidental Asbestos-Containing Building Materials Via Work Order Estimate Range: $1,000,000 annually Bids due Tuesday, October 17, 2000. (advertised by the PA on September 12, 2000)
So why would Burton Fried deny to me that his company had worked in the twin towers but not demand that ENR correct the record? During the past two months I have tried to reach Mr. Fried by phone and by email to clarify this matter and ask some questions about his company and the work they have done at the World Trade Center, before and after 9-11. Although Fried is listed as the company spokesman and person who answers questions for the press, he has not answered any of my emails. Why is he avoiding my questions?
I sent my first set of questions to Mr. Fried shortly after the Jones' paper on the discovery of super-thermite was published in March 2009. The key question was stated thusly:
The article from Engineering News-Record of September 13, 2001, says that LVI did extensive asbestos abatement work in the World Trade Center. Is this correct? Debra Rubin, one of the authors, told me that LVI had been the source of this information for the article. You previously told me that LVI had not done this work and that a company named AASI had done the work. Who was AASI and where were they from? Do you still stand by that statement that you told me that LVI had not done any asbestos abatement work in the twin towers?
R&D CONTRACTS WITH U.S. ARMY
Later, at the end of May, I sent a question to Mr. Fried about his company's million-dollar "research and development" work with the U.S. Army, particularly in 2000:
Dear Mr. Fried,
The LVI website says that questions from the media should be sent to you. I have a couple questions about the work LVI has done for the U.S. Army, especially about the millions of dollars of work done in Research and Development. These questions are for the purpose of an article to be published.
I would like to ask a few questions about the work LVI Group, Inc. did with the U.S. Army. In 2000, LVI did about $3 million in R&D work for the U.S. Army, which was the largest part of the total contract for $3.2 million that year. Fedspending.org records show that LVI did Applied Research and Exploratory Development (R&D) work for nearly $3 million that year.
See: http://www.fedspending.org/fpds/fpds.php?fiscal_year=2000&company_name=LVI&sortby=r&datype=T&reptype=r&database=fpds&detail=1&submit=GO
What was the nature of the $3 million in R&D work that LVI did for the U.S. Army in 2000? Was any of it related to Thermite? Has LVI done any work of any sort with nano-composite thermite?
In 2001, LVI had a negative amount shown of some $2.8 million with the U.S. Air Force. Can you tell me what that was about? In 2002 and 2003, LVI did about $500,000 of R&D with the U.S. Army. What kind of R&D was LVI doing for the U.S. Army in those years?
Thank you for your consideration of my request for information about your company's business with the federal government and U.S. Dept. of Defense.
These questions were sent to Burton T. Fried, Chairman, LVI Services Inc., and to LVI's other press contact, Amy McGahan of Dix & Eaton. Neither Fried nor McGahan ever responded with one word to a single question. When I called, Fried was always out. That seemed very strange. This was a standard press inquiry. Here is a company that does a great deal of business with the U.S. military and government but refuses to answer any questions for the press about its reported work in the World Trade Center or the nature of its multi-million dollar research and development contracts with the U.S. Army.
Why would LVI not want to discuss its work in the twin towers or million dollar contracts with the U.S. military? To understand LVI, we need to understand the man who runs the company.
WHO IS BURTON FRIED?
Burton T. Fried is a lawyer who founded LVI Services Inc., as a part of LVI Group in 1986. Fried (born February 26, 1940, NYC) worked as a lawyer for 10 years before getting involved with LVI in 1974. He was executive vice president, general counsel and secretary of LVI Group from 1974-86; vice chairman, general counsel, director, 1985-91; and president of LVI Group Inc., 1991-93. After founding LVI Services in 1986, Fried was president and CEO of that company from 1986—2006. Since 2006, Fried has served as chairman of the board of LVI Services, which describes itself thusly:
LVI Services Inc. is the United States’ leading provider of a wide array of integrated facility services, including environmental remediation, demolition and related services for commercial, industrial, multi-family residential and governmental facilities. LVI focuses on projects involving asbestos, lead paint, mold, infection control, specialized environments, hazardous materials, emergency and disaster services, fireproofing and demolition. Founded in 1986, LVI has more than 30 offices across the United States, is licensed in every state, and is experienced in responding to natural and manmade disasters around the world. The company’s annual revenues exceed $380 million. For more information, visit www.lviservices.com.
THE FRIED FAMILY CONNECTION AT THE PORT AUTHORITY
Fried had a family member who probably helped him at the World Trade Center. His only brother-in-law, Gary M. Grossberg, was the Port Authority architect and project manager until 1995. The World Trade Center, which was leased to Larry Silverstein in late July 2001, was actually owned and operated by the Port Authority. Grossberg's obituary was published in the Star-Ledger of New Jersey on August 1, 2008. Grossberg was married 51 years to Fried's only sibling, his sister Estelle Fried.
LVI has a documented history of hiring illegal aliens to do the dirty and dangerous work. The Times Union of Albany (NY), for example, reported on June 5, 2004, that LVI asbestos workers had been arrested at a "General Electric Co. plant where, federal authorities said, they found evidence of significant asbestos-removal violations."
FRIED'S "ILLEGAL WORK FORCE"
The investigation is now focusing on the Manhattan-based cleanup company, LVI Environmental Services Inc., and whether it has properly vetted its employees. The eight men arrested on federal fraud charges are from Ecuador and allegedly used fraudulent Social Security cards to obtain asbestos removal licenses from the state of New York, according to the charges.
Several other workers scattered during the raid and were not caught, authorities said.
"What we're trying to do is figure out what this very large asbestos abatement company was doing utilizing an illegal work force,'' said Assistant U.S. Attorney Craig S. Benedict. "This wasn't an instance where one worker slipped through the cracks. Given their lack of English (speaking) skills, it is certainly hard to imagine how it could have escaped the attention of LVI officials.''
Sources close to the investigation said federal agents found evidence of asbestos violations that included having loads of dry asbestos -- which is supposed to be wet during removal to prevent it from becoming airborne.
Burton T. Fried, LVI 's president, said he was not aware of the arrests until told about the investigation by a reporter on Friday afternoon. He asked to review a copy of the U.S. Attorney's news release on the case but then declined to return a telephone call seeking additional comment.
There are many similar stories about LVI being caught employing illegal aliens around the nation and using unsafe practices. Several LVI employees, usually Hispanic workers, have been killed or badly injured on the job. The record clearly indicates that LVI is a company that has a long-standing practice of exploiting illegal aliens in very dangerous working conditions. These illegal practices don't seem to prevent the company from getting multi-million dollar federal contracts with the U.S. government and military. The demolition company has some very unusual "research and development" contracts with the U.S. military, such as the multi-million dollar R&D contract with the U.S. Army in 2000. What kind of R&D does a private demolition company do for the U.S. Army? Did any of these projects involve super-thermite in demolition?
Burton Fried is certainly not talking.
Sources:
"Industry Firms Pitch in for World Trade Cleanup While Others Account for Employees in Doomed Buildings," Engineering News-Record, September 13, 2001, Richard Korman, Debra Rubin, and Gary Tulac
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What are Obama’s investments in biotech companies apparently developing the “bird” and “swine” flu vaccine?
Earlier that year, in April, 2005, Barack Obama introduced the first comprehensive bill to deal with the bird flu threat, the Avian act. According to reports, Obama made significant investments in biotech companies involved in the development of bird and swine flu.
—–Obama’s ties to Baxter in addition to Chicago HQFebruary 22, 2005
“Less than two months after ascending to the United States Senate, Barack Obama bought more than $50,000 worth of stock in two speculative companies whose major investors included some of his biggest political donors.
One of the companies was a biotech concern that was starting to develop a drug to treat avian flu. In March 2005, two weeks after buying about $5,000 of its shares, Mr. Obama took the lead in a legislative push for more federal spending to battle the disease.”
“But he put $50,000 to $100,000 into an account at UBS, which his aides say was recommended to him by a wealthy friend, George W. Haywood, who was also a major investor in both Skyterra and AVI BioPharma, public securities filings show.”
“Within two weeks of his purchase of the biotech stock that Feb. 22, Mr. Obama initiated what he has called “one of my top priorities since arriving in the Senate,” a push to increase federal financing to fight avian flu.”
“His first step came on March 4, 2005, when the Senate Foreign Relations Committee approved his request for $25 million to help contain the disease in Asia; the full Senate later approved that measure. And in April 2005, he introduced a bill calling for more research on avian flu drugs and urging the government to increase its stockpiles of antiviral medicines.
Mr. Obama repeated this call in a letter that Aug. 9 to Michael O. Levitt, the health and human services secretary. And in September 2005, Mr. Obama and Senator Tom Harkin, Democrat of Iowa, succeeded in amending another bill to provide $3.8 billion for battling the flu.
Meanwhile, the drug company in which he invested, AVI BioPharma, had been working to develop its own medicine to treat avian flu victims. In a conference call with Wall Street analysts on March 8, 2005, the company’s chairman, Denis R. Burger, said the firm was “aggressively going forward” with its avian flu research and hoped to work with federal agencies on it.”
April 28, 2005
“Senator Obama introduces the AVIAN Act (S. 969). Senator Obama introduces the first comprehensive bill to address the threat of an avian influenza pandemic.”
Read more
Obama warns of a flu pandemic in 2005
June 6, 2005
“Grounding a Pandemic
By BARACK OBAMA and RICHARD LUGAR”
“It is essential for the international community, led by the United States, to take decisive action to prevent a pandemic.”
“So what should we do? Recently, the World Health Organization called for more money and attention to be devoted to effective preventive action, appealing for $100 million.”
“Accelerating research into avian flu vaccines and antiviral drugs.”
“Barack Obama, Democrat of Illinois, is a member of the Senate Foreign Relations Committee and Richard Lugar, Republican of Indiana, is its chairman.”
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http://biotechnolo.blogspot.com
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Come on , join the US army, die for Yisrael
https://www.youtube.com/watch?v=Ddgm0ScSnx4
Warning 15th July 2009 : Vast Israeli Terrorist Operations ongoing in UK, USA, Europe and North Africa
Le convoi Viva Palestina bloqué en Egypte sur ordre de Netanyahu
Gaza - CPI
Le comité gouvernemental anti-blocus a annoncé, aujourd'hui dimanche 12/7, que les autorités égyptiennes empêchent le convoi international "2ème artère de vie" (http://vivapalestina.org/) d'entrer vers la bande de Gaza pour soutenir les habitants palestiniens étouffés depuis plus de 3 ans consécutifs par le blocus sioniste arbitraire et honteux.
En appelant les égyptiens a reprendre leur rôle honorable et historique pour soutenir la question légitime palestinienne, le comité gouvernemental anti-blocus a qualifié, lors d'un communiqué, l'interdiction égyptienne au convoi des solidaires internationaux, de décision sans précédant pour participer à la continuation des souffrances palestiniennes.
Le comité a espéré que les autorités égyptiennes retournent sur leur décision et permettent au convoi international anti-blocus, sous la présidence de l'ancien sénateur Britannique George Galloway et la participation d'environ 200 militants américains d'entrer vers la Bande de Gaza.
http://www.palestine-info.cc/
Nouvelles du convoi Viva Palestina
Dimanche 12 Juillet – 19h Par Viva Palestina
Les membres de Viva Palestina qui ont passé la nuit dans les bus au checkpoint de Suez, en Egypte, après avoir été arrêtés par les autorités égyptiennes le 11 Juillet, se dirigent vers la ville voisine d'Ismailia et se préparent à reprendre leur voyage vers la bande de Gaza très prochainement.
Le Député britannique George Galloway, qui a retrouvé au Caire l'ancienne membre du Congrès américain, Cynthia McKinney, a travaillé avec les autorités égyptiennes et américaines pour accélérer le passage du convoi sur le canal de Suez et dans la bande de Gaza.
Le Conseiller de la ville de New York, Charles Barron, qui a conduit le groupe jusqu'au canal de Suez, affirme : " Que ces exigences soient vraies ou non, nous contournerons ces obstacles. Nous allons à Gaza ."
" Les autorités égyptiennes ont bloqué le convoi en prétextant que nous n'avions pas obtenu les autorisations nécessaires des autorités pour entrer dans la bande de Gaza ."
" Si les autorités égyptiennes veulent encore nous tester, pas de problèmes, même si nous avons déjà fourni ces informations à leurs ambassadeurs à Washington DC, à Londres et à Tripoli , et ce à leur demande. L'ambassade américaine au Caire a été informée de la mission, tout comme le ministère égyptien des Affaires Etrangères ," a déclaré Galloway. " Alors maintenant, nous espérons qu'il n'y aura pas d'autres raison pour retarder le transport de cette aide tellement urgente pour la population de Gaza. Nous avons des médicaments d'une valeur de centaines de milliers de dollars, qui sont sensibles au facteur temps et périssables et qui doivent atteindre les enfants de Gaza ."
Un autre groupe de membres de Viva Palestina est à Alexandrie pour prendre possession de 47 véhicules qui seront utilisés pour faire passer l'aide médicale et humanitaire du groupe par le poste frontière de Rafah. Un troisième groupe de Viva Palestina continue de rassembler l'aide supplémentaire au Caire.
Demain, Viva Palestina a l'intention de rassembler toutes ses forces à Ismaïlia où il chargera l'ensemble des aides collectées dans ses véhicules et fera ses derniers préparatifs pour la traversée du Sinaï.
Demain, le convoi de Viva Palestina espère des progrès sur tous les fronts, mais il est prêt à appeler à des protestations de solidarité devant les ambassades et les consulats égyptiens si cela ne réussissait pas.
Traduction : MG pour ISM
«La France nous aidait à fomenter un coup d’Etat» declare l'ancien emir des GIAs
Graves révélations de Abdelhak Layada «La France nous aidait à fomenter un coup d’Etat»
«Nous préparions un coup d’Etat pour renverser le gouvernement en 24 heures avec l’aide de la France. Ce coup d’Etat allait marcher mais a échoué avec le décès de Mohamed Boudiaf. La conjoncture était favorable et l’Etat était très faible à l’époque».
«La DST m’a censuré»
Le premier «émir» national des GIA a, par ailleurs, qualifié de «mensonges» les propos du général à la retraite, François Buchwalter, imputant le décès des 7 moines de Tibhirine à une «bavure» de l’armée algérienne. «Ce sont les GIA de Djamel Zitouni qui ont assassiné ces 7 moines», lance-t-il. «Avant-hier, sur la chaîne de télévision France 24, je me suis exprimé sur l’affaire des 7 moines. A un moment, la communication a été interrompue. Mon téléphone portable ne fonctionnait plus et je suivais l’animateur de cette chaîne de télévision qui disait que cette communication a été interrompue et qu’il tentait de me joindre en vain. J’ai été censuré par le DST (direction de la surveillance du territoire, services secrets français)», ajoute Abdelhak Layada. Les GIA, rappelle-t-on, revendiquaient la libération de Abdelhak Layada, alors en prison, en contrepartie de la libération des 7 moines de Tibhirine.
A notre question de savoir qui était «Abdullah», intermédiaire en 1996 entre les GIA et la direction générale des relations extérieures (services secrets français) dans les négociations dans l’affaire des 7 moines, Abdelhak Layada dira que celui-ci avait deux frères qui travaillaient à l’ambassade de France, dont un comme fleuriste.
Abdelhak Layada s’exprimait hier dans un point de presse animé à Alger et dans lequel il a appelé le président de la République à «intervenir pour la réussite de la charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale».
Il est à noter que Abdelhak Layada a été «émir» national des GIA jusqu’à 1994. Il a été arrêté au Maroc et extradé quelques années plus tard vers l’Algérie où il a été incarcéré avant de bénéficier des dispositions de la charte nationale pour la paix et la réconciliation nationale et libéré en 2006.
Par M. Abi
http://www.lejourdalgerie.com/Editions/120709/Rubriques/evenement.htm#1
Soros funds infiltration of 9/11 truth, election protection, and “independent” journalism
By Wayne Madsen
(WMR) -- WMR has learned from well-placed sources that international hedge fund mogul and financier of “progressive” causes George Soros has been, for a number of years, infiltrating 9/11 “truth” organizations, groups advocating election reform, and so-called “independent journalism” enterprises in order to hijack agendas and, eventually, cause the groups to collapse from within or be absorbed into larger organizations servile to Soros and his agenda.
By far, the largest group Soros and his allies has infiltrated and taken over is the Democratic Party of the United States. It now totally adheres to a corporatist line and has purged from its leadership Dr. Howard Dean and replaced him with Virginia Governor Tim Kaine, a Democratic Leadership Council adherent. The Soros faction and its allies has also seen to it that Bill Richardson, Caroline Kennedy, and others who represent the “Democratic wing of the Democratic Party” have been shut out of the Obama administration.
In many ways, Soros’ operation is strikingly similar to the FBI’s former Counter-Intelligence Program, also known as COINTELPRO. There is also ample evidence that Soros’ program is linked to Israeli intelligence operations in the United States and that some presidential campaigns in 2008 were infiltrated by the joint operation, including those of Democratic candidate and former Senator Mike Gravel, and Republican candidate Ron Paul.
Soros’ operations, according to our sources, involve his Open Society Institute, as well as Soros Fund Management LLC, in which his son, Jonathan Soros, plays a leading role.
For Soros, his political operations in America are much the same as they are in places like Ukraine, Georgia, Moldova, Romania, and other countries: divide, confuse the political sides, and conquer.
The modus operandi is that Soros operatives either help establish “progressive” organizations or join them after they are established with a new infusion of a modest to substantial funding. The agenda of the organization is then altered to make it look either like a far-out “conspiracy” association or the infiltrators of the organization create internecine battles between factions or tamp down its fervor. In some cases, the organizations ultimately cease to exist or are combined with other Soros-controlled or influenced organizations.
In the case of alternative journalism operations, Soros’ operatives launch attacks, some of them highly personal, against bona fide independent journalists and question their sources and investigations. WMR has been a primary target for such operations, according to sources familiar with Soros’ tactics.
Soros’ agents of disinformation and influence have moved in to “manage” the stories about jailed Alabama Democratic Governor Don Siegelman, the 2004 vote fraud in Ohio, the Turkish and Israeli intelligence penetration of the highest echelons of the U.S. government, the presence of Israeli spies among the accused 9/11 hijackers in the months prior to the terrorist attacks in 2001, and Russian-Israeli “Kosher Nostra” criminal activity from London to Kyiv and New York to Moscow.
Overall, Soros’ operations are primarily focused on controlling the left through the use of censors and online gatekeepers in the media operations he funds. Recipients of Soros’ money are found running web sites, some of them well known; hosting TV and radio programs; and writing regularly for major periodicals.
Soros has ingratiated himself to many on the Left but that was his goal. However, there are a number of progressives who are wise to Soros’ operations and will continue to expose them regardless of how many more billions he amasses from shorting stocks, speculating on national currencies, and destroying jobs.
With the palindrome SOROS -- if you replace the “S’s” with $ -- as in $oro$, you will be left with “oro,” the Italian and Spanish word for “gold.” It sums up Mr. Soros nicely, if that is his real name, and not “Goldfinger.”
Previously published in the Wayne Madsen Report.
Richard Holbrooke - The Zionist Agent in Obama's Viet Nam
By Christopher Bollyn,
Americans are coming home from Afghanistan in caskets under the cover of night.
Admiral Michael Mullen, Chairman of the Joint Chiefs of Staff, appeared on "Face the Nation" on Sunday, July 5, to discuss U.S. military actions in the Middle East. During the interview Mullen revealed what he called the real strategy in Afghanistan: to clear, hold, and build. The first question asked of Mullen was about the military situation in Afghanistan as the U.S. Marines carry out a large offensive known as Operation Strike of the Sword or Operation Khanjar (Arabic for "dagger"):
Admiral Mike Mullen: I suspect it’s going to be tough for a while. And again, we have enough forces there now not just to clear an area but to hold it so we can build after. And that’s really the strategy.
The logical question to ask Mullen would have been, "What is it that we want to build in Afghanistan?" although John Dickerson of CBS News did not ask. If building is "really the strategy" in Afghanistan as Admiral Mullen says, what is it that so badly needs to be built?
WHY ARE WE IN AFGHANISTAN?
U.S. troops have been in Afghanistan since October 2001 when they were supposedly sent in response to 9-11, although no Afghans were involved in the terror attacks. The stated aim of the Anglo-American invasion of Afghanistan in 2001 was to find Osama Bin Laden and other Al Qaida members and put them on trial. The U.S., however, said it had given up its pursuit of Osama Bin Laden years ago. So why did the U.S. and Britain really invade Afghanistan -- and why are we still there? Why has President Obama increased troop levels in Afghanistan? The short answer is the TAPI gas pipeline, which will carry gas from Israeli-owned and managed gas fields in Turkmenistan to Afghanistan, Pakistan, India, and China.
The TAPI pipeline needs to cross Helmand province in the south of Afghanistan.
Turkmenistan and Afghanistan are both very rich in gas reserves. The Turkmen mineral assets are managed by the former Mossad agent Yosef Maiman. Building the TAPI pipeline is a Zionist pipe dream that will use the mineral wealth of Turkmenistan to benefit Maiman and his partners. This is the main development project that U.S. policy is trying to accomplish. Transit fees from the gas pipeline are intended to support the government in Kabul.
Yosef Maiman, Israeli Mossad agent, owns much of the gas of Turkmenistan and controls all of it.
Mullen touched on this development in the interview:
We’ve got to move to a point where there’s security so that the economic underpinnings can start to move, development, that we can create governance so that the Afghan people can get goods and services consistently from their government.
Are we to believe that the U.S. is fighting an 8-year war in Afghanistan in order to make sure the Afghans can get "goods and services consistently from their government?" Have we spent hundreds of billions of dollars in Afghanistan so we can build post offices, train stations, and power plants? What are the "economic underpinnings" that need to "start to move?" Why would the U.S. government care more about providing "goods and services" to the people of Afghanistan than, say, the people of California?
Mullen touched only lightly on the subject and CBS News was certainly not asking the questions that would allow Americans to really understand the U.S. strategy in Afghanistan.
"The economic development the generals talk about, including gas pipeline construction, requires stability," Gary Leupp wrote in Counterpunch on July 6, "But Afghanistan, like Iraq, was destabilized precisely by a U.S. attack and occupation in the first place. More ominously, Pakistan has been destabilized by the invasion of the next-door country." Why are Americans fighting wars in Central Asia for a pipeline from Turkmenistan?
To understand why Obama is pushing the war in Afghanistan, one needs to understand that the Obama administration is really a Zionist-controlled government. If this were not already abundantly clear, it can be seen by the person appointed to apply U.S. policy in the region. That person is Richard Charles Albert Holbrooke, one of Obama's first appointments. Holbrooke, a Zionist Jew and a long-time associate of Henry Kissinger, is the Special Representative for Afghanistan and Pakistan.
Holbrooke was a director of Maurice Greenberg's incredibly badly-run A.I.G. insurance company from 2001-2008. A.I.G. is really a criminal enterprise, indicted on numerous charges, which insured investment banks against losses from the extremely risky financial "instruments" that caused the financial collapse of 2008. When these risky instruments failed, A.I.G. was bailed out with more than $180 billion of U.S. taxpayer dollars, which it then distributed to the dodgy investment banks it had insured. A.I.G. has already cost every man, woman, and child in the United States about $600 each. Holbrooke was a key insider in this tremendous scam. Greenberg and A.I.G. are also involved in the terror attacks of 9-11 and the fraudulent "War on Terror" in many ways. The first plane that struck the World Trade Center, for example, flew directly into the secure computer room of a Greenberg-owned and managed company, Marsh.
Prior to A.I.G., Holbrooke was a vice chairman at Credit Suisse First Boston. First Boston was the place where the mortgage-based securities were first created under Laurence D. Fink. (Fink developed mortgage-based securities at First Boston in the mid-1970s when 9-11 "whistle-blower" Indira Singh worked there on the IT and risk consulting end of the business.)
On January 22, two days after taking office, Obama named Holbrooke as special envoy to Afghanistan and Pakistan. At this point, the U.S. government had already bailed-out Holbrooke's company to the tune of some $180 billion. Yet two months later, Obama blasted A.I.G., calling their business practices "outrageous" and trying to distance his administration, which includes a former director of A.I.G., from the tremendous cost the A.I.G. bail-out imposed on the U.S. taxpayer: "Nobody here was responsible for supervising A.I.G. and allowing themselves to put the economy at risk by some of the outrageous behavior that they were engaged in," the president said.
Richard Holbrooke of A.I.G. and George Mitchell were both early Obama appointments. Obama reportedly did not talk with Holbrooke about the $180 billion bail-out of the company he had been a long-time director of. Instead he lied by saying no one in his administration was responsible for supervising A.I.G.
Obama's denial is clearly not true. Holbrooke, an Obama appointee, had his hands deep in the A.I.G. scam for 8 years and had made a good living doing so. Fox News reported on March 19, 2009, that Holbrooke made more than $250,000 a year as a director at A.I.G.:
Holbrooke joined AIG's board in February 2001 and resigned in July 2008, two months before the company nearly collapsed. Over more than seven years as a board member, he may have earned as much as $800,000 in cash and company stock, according to AIG financial documents filed with the Securities and Exchange Commission.
Since September, AIG has received $180 billion in taxpayer money to keep it from failing and causing more damage to the U.S. economy…
For much of his tenure on the AIG board, Holbrooke had a role in approving salaries and compensation. From 2001 until mid-2005, he was a member of the board's compensation committee. According to AIG financial statements, the committee sets the salary for the company's chief executive officer [Maurice Greenberg] and gives advice on how other senior managers are to be compensated.
HOLBROOKE AND VIET NAM
When critics call the conflict in Afghanistan "Obama's Viet Nam" they are not far off. Holbrooke was a key player in the Viet Nam war from 1962 to 1969. His biography concerning Viet Nam looks like this: Joined Foreign Service US Department State, 1962, served in South Vietnam Saigon, 1963-66; staff member The White House, 1966-67; assigned US Department State; staff Paris Peace Talks on Vietnam, 1968-69. From his high-level positions in the Viet Nam conflict we can see that Holbrooke and Henry Kissinger have worked together since the mid-1960s.
Holbrooke and Kissinger have continued to work closely together at the American Academy in Berlin, which they founded in 1994. The academy is located in a lakeside mansion across from the train station in Wannsee. In 2008, Holbrooke gave the Kissinger award to George H.W. Bush. Why are Holbrooke and Kissinger giving prizes to former U.S. presidents?
George W. Bush receiving the Kissinger Prize in 2008
In an odd breach of protocol, Henry Kissinger was sent by the Obama administration to hold high-level talks with the leaders of Russia in March instead of the Secretary of State. Why was Kissinger speaking for the United States under the newly-elected Obama administration? Who really makes U.S. foreign policy?
Kissinger meeting Russian Prime Minister Vladimir Putin on March 19, 2009
Holbrooke also played a key role in the U.S.-led bombing and subsequent Balkanization of Yugoslavia, in which the formerly prosperous and socialist nation was carved up into ethnic mini-statelets. The breaking up of Yugoslavia resulted in a significant reduction in the standard of living across the nation. NATO continues to control the statelet of Kosovo, which was literally ripped off from Serbia along with Trepca, one of the richest mines in Europe.
The New York Times of May 5, 2009 describes Holbrooke as a key member of the Obama team and says he is being considered as a possible national security adviser. During the disastrous conflict in August between Russia and Georgia, the NYT profile says Holbrooke "was one of the first Americans to fly to Tbilisi to meet with the Georgian leader Mikhail Saakashvili, a friend." Whatever advice Holbrooke gave his "friend" Saakashvili was clearly bad advice.
Holbrooke, who is called "the bulldozer" by some who know him, is a pushy individual who has been involved at the highest level in one disaster after another since the early 1960s. Now he is the point man in a disastrous and senseless war in Central Asia, which has gotten much worse since he joined the effort in January 2009. Why is Holbrooke put into such positions of power in the first place? The man, after all, has a long record of creating mega-disasters.
Holbrooke visited refugees who had been driven from Pakistan's Swat valley in early June. "Are you glad the army came in, even though you were driven out of your homes?" Holbrooke reportedly asked the refugees.
To understand why Holbrooke is put into these positions, it is necessary to understand who he really is. Although it is not reported in biographical sketches, Holbrooke belongs to a very highly-connected family that is related to the Rothschild and Guggenheim families, among others. It is his German Jewish family connections that have placed him in positions of power in the U.S. government.
Richard Charles Albert Holbrooke was born April 24, 1941, to Dan Holbrooke and Gertrudis "Trudi" Moos Holbrooke. Dan, his father, was a Polish Jewish immigrant who changed his name to Holbrooke. Biographical sketches claim that Dan's original surname has been lost, which is very unlikely. Dan Holbrooke's real name has been hidden in the same way that the family has sought to hide its Jewish roots. But why would the Holbrooke family want to hide its Jewishness? It it because that is their secret connection to power that they want to conceal?
Celia Mcgee of the New York Observer wrote about Holbrooke in 1998:
The son of Dan and Trudi Holbrooke, raised in Scarsdale, N.Y., schooled at Brown University, he was a son of assimilated, upper-class Jews who fled Nazi racism. "I've been with him plenty of times when his Jewishness was obvious," said his friend Stanley Karnow, the journalist and author, "and he jokes about it plenty, too. It just isn't an issue with him, or Kati."
Holbrooke's father, whose real name is not known, died when Holbrooke was 16. His mother comes from the influential merchant Moos family of Baden-Württemberg in southern Germany. The Moos family is engaged in leather trading and moved their business to Argentina in 1922. Holbrooke's grandfather Samuel Moos was born in Reutlingen in 1889 and married Valesca Friedheim of Zurich. Samuel and Valesca lived in Buenos Aires where the leather-trading business is run in the name of the company founder, Elias Moos S.A. The Moos family, which is related by marriage to the Rothschild, Guggenheim, Weil, Marx, and Einstein families, traveled frequently by ship between Buenos Aires, New York, and Europe. There is even a seminar room at Tel Aviv University named in honor of Samuel and Valesca Moos. The Moos family collected nearly 1 million Swiss francs from Switzerland in 2007 for money they claimed to have lost in accounts during the war, which was multiplied by a factor of 12.
The graves of Ludwig Rothschild and his wife Hanchen Moos in the Jewish graveyard of Gailingen, Germany.
By understanding who Richard Holbrooke really is, what his agenda is, and who he is working for, we can see that there is a secret Zionist agenda behind the war in Afghanistan. With the appointment of Holbrooke, who is known as "the bulldozer" to oversee U.S. policy in the region, the 8-year-old war which has now spread to Pakistan is bound to become much worse. The strategic goal of the war in Afghanistan has nothing to do with terrorism and never did. Officials and media who claim that it is are simply lying.
Finis
Leupp, Gary, "Operation Khanjar Begins," CounterPunch, July 6, 2009http://www.counterpunch.org/leupp07062009.html
Sarkozy, Israël et les Juifs
Paul-Eric Blanrue
Internet est un des moyens d’échapper à la censure démocratique et libérale qui consiste à promulguer la liberté sauf quand cette liberté dérange. Le dernier ouvrage de Blanrue, Sarkozy, Israël et les juifs, est ainsi publié par un éditeur belge et non diffusé en France par le diffuseur de cet éditeur, pas davantage que par les traditionnels éditeurs français de Blanrue.
(Source: Le Grand Soir)
Investig'Action vous invite à vous faire votre opinion par vous-même en publiant deux extraits du chapitre 4 intitulé "Sarkozy l'Israélien". Vous pouvez vous procurer l'ouvrage par Internet, sur le site: Oser Dire.
Extraits du chapitre 4 "Sarkozy l'Israélien"
1er extrait (p.79)
Le quotidien Haaretz, qui fournit l’information, ajoutait que les deux chefs policiers (l’un, ministre de la Sécurité Publique, l’autre, Haut Commissaire de la Police) restèrent quatre jours dans notre pays. Ils eurent des entretiens avec Sarkozy et ses collaborateurs, et passèrent en revue des unités de CRS et de gendarmes mobiles. « On s’attend à ce qu’Ezra et Karadi apportent à leurs homologues français la leçon qu’ils tirent de la répression des émeutes dans leur propre pays, dont les événements d’octobre 2000 », écrivait Haaretz. « Il se dit que la partie française est vivement intéressée par le savoir-faire israélien en la matière », ajoutait le quotidien israélien. Des thèmes de coopération plus approfondie entre les services de police des deux pays furent également abordés, sans qu’on en sût davantage 14.
Les banlieues françaises et leurs problèmes de sécurité étaient-elles comparables, dans l’esprit du ministre, aux « territoires occupés » ? Nicolas Sarkozy ne le déclara pas aussi franchement. On ne pouvait néanmoins s’empêcher d’y voir un signe. Comment s’étonner ensuite que les « jeunes » des cités ne se prissent pour des Palestiniens ? La venue des « spécialistes israéliens » revenait à prendre le risque de les conforter dans ce rôle et d’accentuer le processus de communautarisation qui rongeait déjà la République.
C’est toujours par Haaretz que l’on apprit que, deux mois plus tard, en février 2006, Sarkozy remplaçait Ariel Sharon lors d’une conférence donnée à Tel Aviv par la société d’investissement israélienne Cukierman & Co (rien à voir avec le président du CRIF), destinée à développer les investissements entre l’Europe et Israël. La conférence devait être placée sous le patronage d’Ariel Sharon, mais celui-ci étant tombé malade, sa présence fut annulée. Du coup, il fut remplacé en dernière extrémité par Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur, qui fit une conférence sur le thème : « France-Israël, un partenariat renforcé ».
Pourquoi un ministre chargé de la sécurité des citoyens français se retrouva-t-il propulsé à la tête d’une conférence sur le thème « Business and financial activity in Europe » (Commerce et activité financière en Europe) ? Il se confirmait, dès cette époque, « que Sarkozy ne peut tout simplement rien refuser à des officiels, ou officieux, israéliens » 15.
En juillet 2006, Israël lançait une campagne de destruction du Liban en bombardant ses infrastructures civiles, suite à un accrochage entre le Hezbollah et l’armée israélienne à la frontière. Dans le monde musulman, on parlait de « sixième guerre israélo-arabe ». Bien qu’ayant fait preuve d’une grande discrétion lors de l’attaque américaine contre l’Irak, trois ans auparavant, Nicolas Sarkozy monta cette fois au créneau pour prendre la défense de celui qu’il désignait, sans tergiverser, comme son allié.
Dans le conflit entre Israël et le Liban, il y avait un « agresseur », déclara-t-il avec fermeté sur la chaîne TF1, et « cet agresseur, c’est le Hezbollah » 16. « Israël doit se défendre et a le droit de se défendre », plaida-t-il, tout en recommandant à ce pays de ne pas tomber dans « la surenchère » ; il s’agissait « de proportionner la réaction », ce qui, somme toute, ne portait guère à conséquence. Il visa l’Iran, le nouvel ennemi du jour, accusé d’être derrière le Hezbollah. Le Liban, dit-il, « a le droit à l’indépendance et au respect de son intégrité ». Dès lors, « il faut débarrasser le Liban des influences extérieures. (…) L’Iran se met un peu plus au ban de la communauté internationale », déplora-t-il, car « il y a plus que des soupçons sur les liens entre le Hezbollah et le régime iranien » 17.
La réaction du côté israélien démontra qu’on avait bien saisi la signification du message sarkozien.
Le 19 juillet au soir se tint à Paris, dans la grande synagogue de la Victoire, pavoisée de drapeaux israéliens pour l’occasion, une grande manifestation annoncée comme une « cérémonie de bénédiction » pour les 1 200 nouveaux émigrants juifs de France, qui allaient effectuer leur alya, c’est-à-dire leur installation en Israël. Ce rassemblement d’un millier de personnes (hommes et femmes séparés, notait Libération), était initié par le Fonds social juif unifié, l’Agence juive et le Consistoire de Paris. L’invité d’honneur était Zeev Boïm, ministre israélien de l’Intégration : « Vous n’avez pas à vous inquiéter, parce que notre combat est juste, lança-t-il. Avec cette guerre, nous allons détruire toutes les forces de nos ennemis en face » 18.
Boïm qui venait, le matin même, de rencontrer le ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, déclara également : « Je l’ai remercié pour sa défense d’Israël et lui ai transmis les félicitations d’Ehud Olmert. M. Sarkozy est revenu sur le fait que le Hezbollah était responsable de l’agression. Il m’a demandé : “ De combien de temps l’État d’Israël a-t-il besoin pour terminer le travail ? ” Je lui ai répondu : “ Une semaine à dix jours ” » 19.
Ce « temps » précieux dont Israël avait « besoin pour terminer le travail » fit monter au créneau les militants pro-palestiniens20 : « Pour Sarkozy, les bombes, les roquettes, les enfants déchiquetés sur les routes, ou les hommes qui tombent au combat, tout cela c’est “ du travail ”. Un travail qui rend libre, sans doute, comme la devise ornant l’entrée d’Auschwitz nous l’a appris. Les dirigeants sionistes jugent souvent qu’il leur est utile de compromettre le maximum de politiciens étrangers, y compris leurs plus fidèles soutiens, en révélant comment ces gens, en privé, leur lèchent les bottes », écrivait avec véhémence le CAPJPO.
N’ayant cure de critiques émanant d’associations peu médiatisées21, le 24 juillet 2006, Valérie Pecresse, porte-parole de l’UMP, exprimait à son tour le souhait de l’UMP « d’une application pleine et entière de la résolution 1559 de l’ONU qui prévoit, outre le départ des forces d’occupation au Liban, le désarmement des milices armées présentes au Liban, notamment du Hezbollah, qui seul peut apporter les garanties de sécurité nécessaires à Israël » 22.
Lors d’une interview accordée au Figaro, le 1er septembre 2006, Nicolas Sarkozy, revint sur la question et estima que « le droit à la sécurité pour Israël est un droit sur lequel on ne peut pas transiger. Israël est une démocratie. Israël est né dans les conditions que l’on sait. C’est une responsabilité essentielle, pour tous les pays libres, d’assurer sa survie ». Il qualifia le Hezbollah de « mouvement terroriste » et ajouta sans sourciller : « L’attitude qui consiste à envoyer des roquettes sur le nord d’Israël sans se demander sur qui vont tomber ces roquettes est une opération terroriste. Accepter d’être financé par l’Iran dont on sait ce que disent ses dirigeants revient à se situer dans le camp des terroristes ».
Pour appuyer ses propos, il martela son attachement à Israël, peu après son voyage américain, dans un entretien qu’il accorda à la revue française, proche des néo-conservateurs, Le Meilleur des mondes23 (voir chapitre 7), à qui il déclarait :
« Israël est une démocratie et un pays francophone. (…) Par ailleurs, je ne partage pas l’idée qu’il faille tout accepter d’Israël, et cela même si j’ai été le premier à dire que ce que faisait Sharon à Gaza était utile et courageux. Et mon premier voyage en tant que président de l’UMP était en Israël pour rencontrer Sharon. Historiquement, ce sont toujours les faucons qui ont fait les colombes en Israël. Sharon, l’homme de toutes les guerres, pouvait amener Israël à la paix. Aujourd’hui, le Premier ministre (Olmert) souffre de ne pas avoir cette légitimité. Voilà pourquoi il fallait soutenir Sharon, contrairement à ce que pensaient d’autres à l’époque ».
Pour Sarkozy, soutenir la faction israélienne la plus belliciste revenait à soutenir la paix. On ne manquera pas de savourer cette extravagante dialectique, dont l’objectif apparaît évident : se montrer, en tous lieux et en toutes circonstances, un ardent défenseur d’Israël. Ce positionnement se fit de plus en plus remarquer au fil des mois.
Le dimanche 14 janvier 2007, officiellement désigné candidat aux prochaines élections présidentielles par l’UMP, Sarkozy prit la parole devant des dizaines de milliers de militants. Citant pêle-mêle Jaurès, de Gaulle, Jacques Chaban-Delmas, Achille Peretti, Edouard Balladur ou Jacques Chirac, il déclara : « Ils m’ont enseigné, à moi petit Français au sang mêlé, l’amour de la France et la fierté d’être français. Cet amour n’a jamais faibli et cette fierté ne m’a jamais quitté. (…) J’ai changé quand j’ai visité le mémorial de Yad Vashem dédié aux victimes de la Shoah. Je me souviens, au bout d’un long couloir, d’une grande pièce avec des milliers de petites lumières et des prénoms d’enfants de 2 ans, de 4 ans, de 5 ans prononcés à voix basse de façon ininterrompue. C’était le murmure des âmes innocentes. Je me suis dit alors que c’était cela la politique : faire barrage à la folie des hommes en refusant de se laisser emporter par elle » 24.
C’était émouvant. En Israël, le message passa.
Juste avant la présidentielle de 2007, l’opinion française découvrit bientôt que les Israéliens disposaient d’un timbre à l’effigie de Nicolas Sarkozy. « Il s’agit d’un petit geste symbolique destiné à resserrer les liens qui unissent les Français d’Israël à Nicolas Sarkozy, déclarait Sylvain Semhoun, délégué élu UMP en Israël25. « Nous avons pris comme prétexte l’anniversaire de N. Sarkozy, le 28 janvier, pour éditer ce timbre que l’on peut désormais trouver dans les postes israéliennes », ajoutait-il.
Selon ce conseiller élu à l’assemblée des Français de l’étranger, la tendance de vote des Français en Israël penchait alors « largement en faveur du candidat UMP ». L’avenir lui donna raison, puisque Sarkozy réalisa, au second tour, un score de 90,7% chez les électeurs français établis dans l’État juif26. Un record toutes catégories 27.
2e extrait (p.93)
On allait le constater. Moins de dix jours plus tard, le 27 décembre 2008, en pleine célébration d’Hanoucah, la « fête des lumières », Israël déclenchait une campagne contre les Palestiniens pour empêcher le Hamas de lancer des tirs de roquettes vers son territoire. Après dix-huit mois de siège, les forces armées israéliennes bombardèrent durant trois semaines, dans le cadre de l’opération « Plomb durci », la petite bande de Gaza où s’amassent entre un et deux millions d’Arabes paupérisés. Les forces israéliennes interdirent aux médias et aux organisations humanitaires, dont la Croix-Rouge, de pénétrer dans le territoire, bloquant également des bateaux comme le Dignity et le Spirit of Humanity du Free Gaza Movement qui tentaient, depuis Chypre, d’apporter vivres et médicaments par la mer aux Palestiniens. Libération, le journal gratuit 20 Minutes, l’hebdomadaire L’Express, Yahoo.fr et la chaîne LCI durent fermer leurs sites à tous les commentaires sur le conflit, tant la polémique en France fut grande.
Le 1er janvier 2009, alors que les bombes pleuvaient sur les camps de réfugiés de Gaza, Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner accueillaient à Paris, en l’embrassant ostensiblement en public, la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni. Celle-ci déclara « qu’il n’y avait pas de crise humanitaire à Gaza » et que « Israël savait distinguer la guerre contre le terrorisme, contre le Hamas, de la population civile »63. Sarkozy dénonça la « lourde responsabilité du Hamas », jugé coupable des pires maux64. Paris et Tel Aviv étaient à nouveau sur la même longueur d’ondes.
Le 18 janvier 2009, à la toute fin de l’offensive militaire israélienne, le président français se rendit à Jérusalem chez Ehud Olmert. Le reporter anglais Robert Fisk, spécialisé depuis des années dans les conflits du Proche-Orient, fut choqué par le caractère amical que prit cette visite. Il le fit savoir :
« Il suffit de regarder la une du quotidien de Beyrouth As-Safir pour tout comprendre, écrivit-il. En tête, une photo de pleine page, une photo terrible de deux hommes hurlant leur douleur près du corps ballonné d’un parent découvert dans les ruines de sa maison. Plus bas, une image deux fois plus petite, celle de leaders du monde occidental plaisantant avec un Ehud Olmert éclatant de rire. On peut y voir Silvio Berlusconi blaguer et s’amuser avec ses bras sur les épaules du Premier ministre israélien, et, sur la droite, le représentant de la France, Nicolas Sarkozy, affichant son sourire le plus stupide. Seule la chancelière Merkel semble saisir cette décrépitude morale » 65.
Suite à quoi, le 24 janvier, la France envoya la frégate Germinal lutter contre les livraisons d’armes à la résistance palestinienne. Ce déploiement fut décidé à la demande de Nicolas Sarkozy, en coopération avec Israël et l’Égypte66. Mais les grands médias français restèrent extrêmement discrets sur une opération qui révélait l’accointance entre la France et Israël dans ce conflit.
Dans l’Hexagone, en effet, la colère grondait et les manifestations se multipliaient. Il fallait prendre garde à ce que l’opinion ne basculât pas davantage du côté pro-palestinien. Quelques jours plus tôt, le Premier ministre, François Fillon, avait présidé un comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, en présence de nombreux ministres dont Xavier Darcos, ministre de l’Éducation nationale, qui s’était trouvé en Israël du 13 au 15 décembre 2008, afin que « l’Holocauste soit évoqué de manière soutenue et organisée dans nos enseignements en France ».
Le comité du Premier ministre avait été convoqué en vue de « calmer les choses » face au risque d’importation en France des événements liés au conflit israélo-palestinien. En haut lieu, on craignait des débordements dans les banlieues françaises, où la population immigrée, sensible à la douleur des Palestiniens, vit en grand nombre.
Alors que les manifestants français lançaient des slogans anti-israéliens, le Premier ministre mit l’accent sur la lutte contre l’antisémitisme, sous prétexte que quelques rares banderoles d’extrémistes, de provocateurs ou de manipulateurs lançaient parfois des insultes antijuives. Le 30 janvier, recevant une délégation du CRIF conduite par son président Richard Prasquier, Nicolas Sarkozy indiquait lui aussi « qu’il s’impliquait et qu’il s’impliquerait plus dorénavant pour lutter contre l’antisémitisme ». Il ajoutait qu’il se préoccupait de façon quotidienne de la libération du soldat franco-israélien Guilad Shalit 67, prisonnier du Hamas, dont il avait reçu le père le 27 janvier. Le président déclara à son propos, comme s’il s’agissait d’Ingrid Betancourt, l’ex-otage des FARC : « Je considère Guilad Shalit comme un Français. Toucher à lui, c’est toucher à la France » 68.
En revanche, il n’eut pas un mot pour Salah Hamouri, l’étudiant franco-palestinien détenu par Israël depuis mars 2005 et condamné par un tribunal militaire israélien en avril 2008 à sept ans de prison pour un prétendu « délit d’intention » à l’encontre du chef du parti d’extrême droite israélien Shaas 69.
Nicolas Sarkozy avait choisi son camp. Ce n’était pas celui du général de Gaulle.
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Hamas : pas de modification sur la liste des captifs palestiniens proposés en échange de Chalit
Le Hamas a démenti complètement la propagande des médias sur l'intention du Hamas de modifier la liste des noms des captifs palestiniens proclamés depuis longtemps en échange du Soldat, Gilad Chalit. Le leader du Hamas, Oussama al Mouzeini, chargé officiellement du dossier politique du soldat sioniste Chalit a affirmé dans une déclaration à l'Agence «Safa» diffusée, le mercredi 8/7, en disant : "nous affirmons que le Hamas ne va pas modifier la liste des captifs palestiniens proposés, tout en insistant sur la libération des captifs ayant de grandes peines d’emprisonnement".
En commentaire aux bonnes aspirations du président égyptien, Hosni Moubarak, pour rassurer le président de l'État juif, Shimon Peres, de la santé de Chalit, Al Mouzeini a dit que ces déclarations entrent dans le cadre des protocoles des relations générales,
Le gouvernement Sarkosy completement destabilisé par les temoignages et enquetes sur le role des services francais dans la creation des GIAs
Cette information n’est pas vraiment une nouveauté… Nesroulah Yous, Salima Mellah et François Gèze avaient déjà rassemblé les preuves, il y a dix ans, de l’implication des forces armées algériennes dans les massacres et atrocités attribués aux islamistes. L’armée, en Algérie, c’est une mafia qui gangrène tout l’Etat, elle fera tout pour protéger et développer son bizness… y compris le terrorisme et la manipulation.
[[Le Nouvel Observateur -06/07/2009]]
http://tempsreel.nouvelobs.com/
Un témoignage recueilli par le juge d’instruction antiterroriste Marc Trévidic le 25 juin dernier, vient de relancer le dossier de l’assassinat des sept moines de Tibéhirine en Algérie en 1996, selon des informations du quotidien Le Figaro et du site d’information Mediapart. Au printemps 1996 sept moines français de Tibéhirine en Algérie sont enlevés, tués puis décapités. De nombreuses hypothèses : groupe terroriste, bavure, ont circulé sans que jamais l’on sache quels étaient les auteurs des faits.
Ne pas nuire aux relations franco-algériennes
François Buchwalter, militaire de haut rang, affirme dans sa déposition que les moines ont été, comme certains le soupçonnaient depuis longtemps, victimes d’une bavure commise par l’armée algérienne. Il assure surtout en avoir informé les autorités françaises, qui lui ont demandé de se taire, pour ne pas nuire aux relations franco-algériennes.
13 ans plus tard il décide finalement de lever le “secret-défense”.
François Buchwalter, 65 ans est convoqué le 25 juin par Marc Trévidic, qui a repris le dossier en 2007.
Le général, formé à Saint-Cyr, a été employé au sein des services secrets puis à la DGSE (Direction générale des services extérieurs), avant d’être nommé attaché de défense en Turquie, au Sahara, puis en Algérie entre 1995 et 1998. C’est à ce poste qu’il va recueillir les confidences d’un ancien officier de l’armée algérienne, dont le frère était chef d’une escadrille d’hélicoptères affectée à la première région militaire en Algérie. Le général a souhaité préservé l’anonymat de cette personne pour des raisons de sécurité.
“Black-out demandé par l’ambassadeur”
François Buchwalter a rencontré l’officier après les obsèques en mai 1996. L’Algérien lui explique que son frère patrouillait en hélicoptère entre Blida et Médéa dans le cadre d’opérations anti-islamistes. La patrouille aurait aperçu un bivouac ressemblant à un groupe djihadiste armé.
La zone ayant été complètement vidée, la patrouille a immédiatement pensé qu’il s’agissait de terroristes. “Ils ont (…) tiré sur le bivouac (…) se sont ensuite posés (…).” Puis “ils ont découvert qu’ils avaient tiré notamment sur les moines”, a expliqué le général au juge Trividic. “Les corps des moines étaient criblés de balles.” Les militaires ont immédiatement prévenu leur PC de commandement à Blida.
De son côté, le général Buchwalter a rendu compte par écrit du mitraillage des moines au ministère de la Défense, à l’état-major des armées et à l’ambassadeur de France alors en poste à Alger, Michel Levêque. “Il n’y a pas eu de suites, ils ont observé le black-out demandé par l’ambassadeur”, assure-t-il.
Des têtes sans corps
Cette nouvelle version qui relancerait l’affaire porte un sérieux revers à la thèse officielle de l’armée algérienne. Elle a toujours affirmé que les corps des religieux trappistes ont été enlevés quelques semaines plus tôt par le Groupe islamique armé (GIA), des terroristes algériens. L’armée aurait ensuite découvert les dépouilles dans un champ près de Médéa. Mais les familles n’ont pu récupérer que les têtes.
Le père Armand Veilleux, procureur général de l’Ordre cistercien trappiste, aujourd’hui partie civile dans le dossier, avait exigé de voir les dépouilles afin de les identifier. Les nombreuses résistances rencontrées à l’époque l’avait fait se tourner vers l’ambassadeur, auprès duquel il avait également dû insister. Le diplomate avait expliqué au Père, que seules les têtes avaient été retrouvées et lui avait fait promettre de ne rien dire, “en arguant du fait que ce serait un déshonneur pour l’Algérie”. C’est à l’ouverture des cercueils pour l’identification des corps que le père Veilleux a constaté qu’il n’y avait que les têtes, dont l’une sans menton. D’où les premières suspicions d’une bavure maquillée.
Un sérieux démenti à la version officielle
Pour Me Patrick Baudoin, avocat de la partie civile, ce témoignage apporte en tout cas un sérieux démenti à la version officielle : “Nous allons demander à la France la levée du secret-défense sur les rapports de son attaché militaire et, à l’Algérie, la restitution des corps des moines. Ces propos démontrent que la raison d’État a prévalu dans ce dossier.”
Interrogé par les juges d’instruction, Michel Levêque, ambassadeur de France à Alger, n’a jamais évoqué cet épisode.
http://libertesinternets.wordpress.com/
Any independant inquiry will prove that 7/7 was the job of zionist jewish insiders in the government to push the israeli agenda
Les théories dites du complot ou de la conspiration relatives aux attentats du 11 septembre 2001 sont bien connues et ont été portées en France par des personnes aussi différentes que Thierry Meyssan ou Jean-Marie Bigard.
Ce genre de théorie ne se limite cependant pas à la tragédie qui a endeuillé New York et il en existe aussi à propos des attentats commis dans le métro londonien le 7 juillet (7/7) 2005. Elles ont d’ailleurs fait florès immédiatement après les attentats avant d’apparemment sombrer dans l’oubli.
Apparemment seulement car, au Royaume Uni, cette théorie a continué à faire son chemin au point que de plus en plus de personnes, dont des victimes ou des proches des victimes des attentats, multiplient les pressions pour l’ouverture d’une enquête publique sur les explosions qui avaient tué 56 personnes et en avaient blessé 700.
L’article du Daily Mail que je vous propose fait le point sur la question. Il est d’ailleurs intéressant d’observer l’ambiguïté de la posture de ce journal qui ne peut s’empêcher de critiquer fortement le travail d’Anthony John Hill dont la vidéo Ripple Effect est un acte d’accusation contre les autorités britanniques, tout en égrenant les éléments objectifs soulevés par ce document qui justifient la nécessité d’une enquête publique.
C’est que, comme pour les attentats du 11 septembre 2001, il ne fait pas bon remettre en cause le récit officiel de ce qui s’est passé à Londres en 2005.
Fièvre de la conspiration : ave la rumeur qui enfle d’une mise en scène gouvernementale des attentats du 7/7, des proches des victimes appellent à une enquête adéquate
Par Sue Reid, Daily Mail (UK), 3 juillet 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Aujourd’hui, près de quatre ans après, les images de cette terrible matinée restent gravées dans nos esprits : la femme avec son masque fantomatique pour grands brulés emmenée en lieu sûr ; l’homme d’affaires en costume atteint par des éclats, la chemise et les cheveux maculés de sang ; l’épave du bus N°30 avec son toit arraché ; les débris difformes et fumants de wagons de métro.
Ce 7 juillet 2005 au matin, les pires terroriste jamais vus dans ce pays, ont brisé brisé à jamais l’euphorie grisante dont jouissait la capitale au lendemain de sa victoire dans la compétition pour organiser les jeux olympiques de 2012.
Dans l’après-midi, Tony Blair – qui accueillait le sommet du G8 sur la pauvreté dans le monde à Gleneagles en Ecosse – rentrait à Downing Street et déclarait que l’attentat était un acte ‘au nom de l’Islam’.
Plus tard, lors d'une réunion du COBRA, le comité national d'urgence du gouvernement, Andy Hayman, le chef de la police antiterroriste, indiquait à des ministres de haut rang qu’il soupçonnait des attentats suicide.
Et ainsi, la version des attentats du 7/7 que nous en sommes venus à accepter s’est constituée : quatre musulmans britanniques - Mohammad Sidique Khan, 30 ans, Shehzad Tanweer, 22 ans, Jermaine Lindsay, 19 ans, et Hasib Hussain, 18 ans – se sont faits exploser au moyen d’explosifs artisanaux, tuant 56 personnes et en blessant 700 dans trois rames de métro et un autobus à impériale.
Ils étaient arrivés de Luton à King's Cross Station par une grande ligne ferroviaire, chacun portant un lourd sac à dos bourré d’explosifs.
Cette version des événements a été avalisée par les travaux d’une commission d’enquête parlementaire de haut niveau et rapport du gouvernement, rendus tous deux publics en mai 2006, dix mois après les événements et basés sur 12 500 dépositions, l’examen par la police de 142 ordinateurs et de 6000 heures de bandes vidéo de caméras de surveillance.
Le rapport soulignait que les auteurs des attentats avaient agi de leur propre chef, fabriquant des explosifs en mélangeant de la farine pour chappattis à du peroxyde d’hydrogène dans la baignoire d’un appartement de Leeds dans le Yorkshire où tous quatre avaient leurs familles et leurs amis.
Le rapport concluait que les quatre poseurs de bombes musulmans n’étaient pas sous le contrôle d’un chef terroriste mais inspirés par l’idéologie d’al Qaïda apprise sur des sites internet extrémistes.
Mais les familles des personnes tuées et un nombre croissant de survivants du 7/7 affirment qu’il y a des incohérences et des erreurs grossières qui demandent explication dans la version officielle.
Et elles exigent une enquête publique complète pour répondre à des questions essentielles sur ce que les services de renseignements et la police savaient et ne savaient pas avant les attentats.
Entretemps, le refus déterminé du gouvernement à satisfaire cette exigence a de très dangereux effets secondaires – alimentant une myriade de théories de la conspiration sur le 7/7. Des livres, des blogs et plusieurs documentaires vidéo pointent les bizarreries de la version officielle.
Fait alarmant, certaines de ces vidéos conspirationnistes se vendent autour des mosquées dans tout le pays pour attiser les sentiments antibritanniques.
Car les plus farfelues et les plus déplaisantes d’entre elles suggèrent que les attentats n’étaient pas du tout l’œuvre de terroristes musulmans mais ont été réalisés par le gouvernement pour renforcer le soutien à la guerre en Irak.
Les survivants sont si résolus à obtenir une enquête indépendante qu’ils sont en train de mener une action en justice auprès de la Haute Cour pour essayer de contraindre Alan Johnson, le ministre de l’intérieur, à l’autoriser.
L’activiste Diana Gorodi, dont la sœur Michelle Otto, 46 ans, figurait parmi les tués, explique : ‘Il est simplement très difficile pour nous de croire que quatre personnes sont parties le matin, ont fait exploser des bombes simultanément sur la base d’informations obtenues sur internet et ont réussi à précipiter Londres dans le chaos et à créer une tragédie. Il m’est impossible de croire que ces quatre individus ont agi de leur propre chef.’
Rachel North, une responsable de stratégie âgée de 39 ans, qui a survécu à l’explosion à King's Cross, ajoute : ‘Nous avons besoin d’une enquête publique. Après tout, c’est la population, et pas les politiciens, qui a été attaquée. Que la population puisse savoir les risques qu’elle court et pourquoi des gens, qui vivent parmi elles, cherchent à tuer pour un idéal.’
Pièce centrale du puzzle est quel train les quatre musulmans ont pris entre Luton et Londres le matin des explosions – en gardant à l’esprit que les trois explosions distinctes dans le métro à Edgware Road, Aldgate et King's Cross se sont produites simultanément à 8h50 du matin précises, suivie par celle de l’autobus une heure plus tard près de Tavistock Square.
Les rapports officiels affirment que les poseurs de bombes ont pris le train de 7h40 à Luton, ce qui leur aurait permis d’arriver suffisamment à l’avance à King’s Cross pour embarquer dans les rames de métro.
Cependant, le train de 7h40 n’a jamais circulé ce matin. Son départ avait été annulé.
Depuis, le gouvernement a corrigé cette information – mais seulement après que l’erreur ait été signalée par des survivants – en affirmant que les poseurs de bombes avaient en fait pris le train précédent, le 7h25 au départ de Luton, pour un trajet de 35 minutes vers King’s Cross. Son arrivée était prévue dans la capitale à 8h du matin.
Ce qui génère pourtant plus de questions que de réponses. Car ce train est parti avec 23 minutes de retard à cause de problèmes de caténaires qui ont perturbé la plus grande partie du trafic entre Luton et King’s Cross ce matin là. Le train est arrivé à Londres à 8h23 indiquent les responsables de la gare.
Selon la July Seventh Truth Campaign – une autre association qui appelle à une enquête publique – ceci jette à nouveau le doute sur la version officielle des temps de trajet des poseurs de bombes.
Une image fixe des quatre poseurs de bombes arrivant en gare de Luton prise par une caméra de surveillance est la seule des quatre hommes ensemble ce 7 juillet. Fait sujet à controverse, aucune image de vidéosurveillance, fixe ou animée, des quatre hommes à Londres n’a jamais été rendue publique.
L’image prise à Luton est également litigieuse : sa qualité est médiocre et les visages de trois des poseurs de bombes sont impossibles à identifier. Les théoriciens de la conspiration affirment qu’il pourrait s’agir d’un faux.
L’heure incrustée dans la photo la situe quelques secondes avant 7h22. Mais si tel était le cas, les hommes n’auraient eu que trois minutes pour monter les escaliers de la gare de Luton, acheter leurs tickets aller-retour et se rendre sur le quai qui grouillait de banlieusards à cause de précédentes perturbations du trafic.
Le Truth Campaign Group est également sceptique sur l’heure d’arrivée supposée des poseurs de bombes à King’s Cross.
Ils affirment qu’il faut sept minutes pour aller à pied de Thameslink à la gare principale de King’s Cross où se trouve une bouche de métro.
La police affirme que les quatre hommes ont été vus dans le hall de la gare principale de King’s Cross à 8h26, bien qu’aucune séquence de caméra de surveillance ait jamais été rendue publique.
Mais est-ce possible ? Comment ces hommes ont-ils pu se trouver là seulement trois minutes après avoir débarqué du train de Luton à 8h23 ?
Et ce sont de telles incohérences qui nourrissent des préoccupations de plus en plus profondes0 Cette semaine, un documentaire télévisé sur BBC2, intitulé Conspiracy Files 7/7 a révélé l’existence d’une vidéo de 56 minutes appelée Ripple Effect [effet ricochet] et réalisée par un théoricien du complot.
Elle accuse Tony Blair, le gouvernement, la police et les services secrets britanniques et israéliens d’avoir assassiné les gens innocents qui ont péri ce jour là pour attiser les passions anti-islamiques et créer un soutien populaire à la ‘guerre contre la terreur.’
Elle prétend que les quatre musulmans britanniques ont été bernés par les autorités pour prendre part à ce qui leur avait été annoncé comme une simulation dans le cadre d’un exercice d’entrainement anti-terroriste. Ce qu’on ne leur avait pas dit, prétend la vidéo, c’était que le gouvernement allait les faire sauter avec les autres passagers avant de faire passer les quatre hommes pour des auteurs d’attentats suicide.
Sans aucune preuve, la vidéo Ripple Effect accuse des agents du gouvernement d’avoir pré positionné des explosifs sous les trois rames de métro et dans l’autobus.
Elle suggère que les quatre musulmans ne se trouvaient, en fait, dans aucune des rames de métro, affirmant qu’ils les avaient complètement ratés à cause des retards sur la ligne ferroviaire Luton – Londres.
Elle ajoute, étonnamment, que parce que les quatre hommes ne sont pas arrivés à temps dans le métro, trois d’entre eux ont été assassinés par la police à Canary Wharf plus tard dans la matinée et que le quatrième – celui de l’autobus – s’est enfui.
Aussi scandaleuses que soient ces affirmations, la vidéo est devenue un hit sur internet. Plus préoccupant, elle joue sur les peurs de la communauté musulmane britannique.
Même certains responsables islamistes croient que les événements du 7/7 ont été fabriqués. Ainsi, le Dr Mohammad Nassim, président de la mosquée centrale de Birmingham, affirme dans le documentaire de la BBC2 : ‘Nous n’acceptons pas la version gouvernementale du 7 juillet 2005. La vidéo Ripple Effect est plus convaincante que les déclarations officielles.’
M. Nassim, un homme bien éduqué, a réalisé 2 000 copies de Ripple Effect pour les membres de sa mosquée. Une étude a révélé qu’avant même la sortie de la vidéo litigieuse, un britannique musulman sur quatre pensait que le gouvernement ou les services secrets étaient responsables des atrocités du 7/7. Maintenant, le nombre de ceux qui doutent s’accroit.
Pendant de récentes prières du vendredi, le Dr Nassim a demandé aux fidèles de lever la main s’ils n’acceptaient pas la version gouvernementale des événements. C’est une assemblée presque complète de 150 hommes et garçons qui ont levé la main. Il a alors invité son auditoire à récupérer des copies de Ripple Effect au fond de la mosquée.
Le respecté président a, depuis, déclaré que les identités des poseurs de bombes avaient été découvertes par la police avec une rapidité suspecte. ‘Quand un corps a explosé, il est détruit. Comment se fait-il que les documents d’identité de ces hommes trouvés sur les scènes d’explosion étaient restés intacts ? Les y-a-t-on mis ?’
Il d’agit d’une autre suggestion de Ripple Effect. Alors qui est derrière cette vidéo dangereuse ?
C’est un sexagénaire originaire du Yorkshire, Anthony John Hill, et qui réside à Kells dans le comté de Meath en Irlande. Il est actuellement en état d’arrestation là bas et lutte contre son extradition en Grande Bretagne. La police ici veut l’interroger sous l’accusation d’entrave au cours de la justice pour avoir envoyé une copie de sa vidéo à un membre du jury dans une affaire terroriste.
M. Hill a réalisé Ripple Effect dans son propre domicile et en est le narrateur.
A de nombreux titres, c’est un travail d’amateur : les propos sont confus et difficiles à comprendre. Mais cela soulève cette question : pourquoi Ripple Effect a-t-il un tel impact ?
La réponse est qu’au milieu de théories fantaisistes sur un complot gouvernemental, se trouvent certaines questions difficiles à éluder.
Pourquoi les quatre poseurs de bombes avaient-ils pris des billets de retour s’ils partaient pour une mission suicide ? Pourquoi n’ya-t-il-pas d’images de vidéosurveillance des quatre ensemble à Londres alors que la ville fourmille de caméras de ce genre dans les lieux publics ?
Pourquoi tant de survivants des attentats du métro affirment que les déflagrations allaient vers le haut à travers le plancher des wagons et non vers le bas comme ça aurait dû être le cas si l’explosion venait de l’intérieur d’un sac à dos ? Et pourquoi aucun passager du train Luton – Londres ne se souvient-il clairement des quatre poseurs de bombes avec leurs énormes sacs à dos en cette matinée fatidique ?
Par une coïncidence des plus extraordinaires – Ripple Effect considère qu’il y avait une chance sur un milliard – un exercice simulé de lutte antiterroriste était en cours à Londres ce jour là. Ceci avait été révélé sur BBC Radio 5 par son organisateur, l’ancien officier de Scotland Yard Peter Power, dans la soirée qui avait suivi les atrocités.
Il avait dit : ‘A 9h30 ce matin là, nous menions un exercice pour le compte d’une entreprise employant plus d’un millier de personnes à Londres et basé sur le déclenchement simultané de bombes précisément dans les gares où cela s’est passé ce matin, alors j’en ai encore les cheveux qui se dressent sur la tête.’
Et les vidéos menaçantes que Khan et Tanweer avaient faites avant les attentats suicide et qui ont été diffusées après les attaques ? La vidéo Ripple Effect a également une réponse sur ce point.
M. Hill y explique : ‘On a pu demander au plus âgé des deux de faire une « vidéo suicide » avant l’exercice de simulation pour l’entrainement de sorte à le rendre aussi réaliste que possible... on a pu demander au deuxième plus âgé de faire une vidéo similaire par précaution, simplement au cas où quelque chose aurait cloché ou si le plus âgé s’était retiré de l’exercice avant la date prévue.’
Réalité ou fiction, peu importe. La vidéo a un fort impact sur les sentiments des musulmans. Le documentaire de la BBC2 montre des fidèles de la mosquée de Birmingham faisant leurs commentaires sur le 7/7 après avoir visionné Ripple Effect. Un homme âgé déclare : ‘Il n’y a guère de doutes que c’est le gouvernement qui l’a fait à ces quatre jeunes hommes.’
Un autre ajoute : « Nous avons été trompés par les autorités britanniques et les musulmans ont été pointés du doigt pour ces attentats. Ils mentent de A à Z.
Peu sont aussi inquiets à propos de Ripple Effect et du mécontentement qu’il agite que Rachel North, survivante de l’explosion du métro à King’s Cross : ‘Si les gens dans les mosquées croient que le gouvernement est si hostile à leur égard, qu’il veut réellement leur faire poster la responsabilité d’un crime monstrueux qu’ils n’ont pas commis, qu’en est-il du niveau de confiance ? C’est un problème pour tout le monde dans ce pays.’
Elle affirme que la thèse centrale de la vidéo – que les attentats du 7/7 ont été fabriqués pour diaboliser les musulmans et faire basculer l’opinion en faveur de la ‘guerre contre la terreur’ – revient à mettre de l’huile sur le feu.
Comme elle, de nombreuses personnes responsables – dont l’ancien sous-chef de Scotland Yard Brian Paddick, l’ancien chef de l’anti-terrorisme de la police londonienne, Andy Hayman (qui avait supervisé l’action de la police le 7/7) et Davis Davis, encore récemment ministre de l’intérieur du cabinet fantôme conservateur – soutiennent désormais l’appel à une enquête indépendante sur les attentats.
Paddick lui-même a déclaré cette semaine que le flot de rumeurs sur le 7/7 nuisait aux relations entre les musulmans et le reste des britanniques : ‘J’espère qu’il y aura des gens dans les services de police, dans les services de sécurité et au gouvernement qui réaliseront l’importance de toutes les actions entreprises pour contrer les théories du complot.’
A l’approche du quatrième anniversaire des attentats de Londres mardi prochain, il y a des paroles dont le gouvernement serait bien avisé de tenir compte.
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Le general major responsable du renseignement militaire confirme que le 11 septembre est une operation israelienne
Iran Divided & the 'October Suprise'
June 24, 2009
Iran’s current political divisions can be traced back to a controversy nearly three decades ago when Iran faced war with Iraq and became entwined with U.S. and Israeli political maneuvers that set all three countries on a dangerous course that continues to this day.
In the election dispute now gripping the streets of Tehran, Iran is experiencing a revival of the internal rivalries born in the judgments made in 1980 and later that decade about how and whether to deal with the Little Satan (Israel) and the Great Satan (the United States).
Former Prime Minister Mir Hossein Mousavi, who claims he is the rightful winner of the June 12 presidential election, was part of the group (along with his current allies former President Ali Akbar Hashemi Rafsanjani and former House Speaker Mehdi Karoubi) that favored secret contacts with the United States and Israel to get the military supplies needed to fight the war with Iraq.
Ayatollah Ali Khamenei, the country’s current spiritual leader and the key supporter of reelected President Mahmoud Ahmadinejad, was more the ideological purist in the early 1980s, apparently opposing the unorthodox strategy that involved going behind President Carter’s back to gain promises of weapons from Israel and the future Reagan administration.
Khamenei appears to have favored a more straightforward arrangement with the Carter administration for settling the dispute over 52 American hostages seized by Iranian radicals in 1979.
In 1980, the internal Iranian divisions played out against a dramatic backdrop. Iranian radicals still held the 52 hostages seized at the U.S. Embassy in Tehran; President Jimmy Carter had imposed an arms embargo while seeking the hostages’ release – and he was struggling to fend off a strong campaign challenge from Republican Ronald Reagan.
Meanwhile, Israel’s Likud Prime Minister Menachem Begin was furious at Carter for pushing him into the Camp David peace deal with Egyptian President Anwar Sadat that required Israel returning the Sinai to Egypt in exchange for normalized relations.
Begin also was upset at Carter’s perceived failure to protect the Shah of Iran, who had been an Israeli strategic ally. Begin was worried, too, about the growing influence of Saddam Hussein’s Iraq as it massed troops along the Iranian border.
Upsetting Carter
Determined to help Iran counter Iraq – and hopeful about rebuilding at least covert ties to Tehran – Begin’s government cleared the first small shipments of U.S. military supplies to Iran in spring 1980, including 300 tires for Iran’s U.S.-manufactured jet fighters. Soon, Carter learned about the covert shipments and lodged an angry complaint.
“There had been a rather tense discussion between President Carter and Prime Minister Begin in the spring of 1980 in which the President made clear that the Israelis had to stop that, and that we knew that they were doing it, and that we would not allow it to continue, at least not allow it to continue privately and without the knowledge of the American people,” Carter’s press secretary Jody Powell told me in an interview.
“And it stopped,” Powell said -- at least, it stopped temporarily.
Questioned by congressional investigators a dozen years later, Carter said he felt that by April 1980, “Israel cast their lot with Reagan,” according to notes I found among the unpublished documents in the files of a congressional investigation conducted in 1992.
Carter traced the Israeli opposition to his possible reelection in 1980 to a “lingering concern [among] Jewish leaders that I was too friendly with Arabs.”
Carter’s National Security Adviser Zbigniew Brzezinski also recognized the Israeli hostility. Brzezinski said the Carter White House was well aware that the Begin government had “an obvious preference for a Reagan victory.”
Begin’s alarm about a possible Carter second term was described, too, by Israeli intelligence and foreign affairs official David Kimche in his 1991 book, The Last Option. Kimche wrote that Begin’s government believed that Carter was overly sympathetic to the Palestinian cause and was conspiring with Arabs to force Israel to withdraw from the West Bank.
“Begin was being set up for diplomatic slaughter by the master butchers in Washington,” Kimche wrote. “They had, moreover, the apparent blessing of the two presidents, Carter and Sadat, for this bizarre and clumsy attempt at collusion designed to force Israel to abandon her refusal to withdraw from territories occupied in 1967, including Jerusalem, and to agree to the establishment of a Palestinian state.”
Collaborating with Republicans
Extensive evidence now exists that Begin’s preference for a Reagan victory led Israelis to join in a covert operation with Republicans to contact Iranian leaders behind Carter’s back and delay release of the 52 American hostages until after Reagan defeated Carter in November 1980.
That controversy, known as the “October Surprise” case, and its sequel, the Iran-Contra scandal in the mid-1980s, involved clandestine ties between some leading figures in today’s Iran crisis and U.S. and Israeli officials who supplied Iran with missiles and other weaponry for its war with Iraq. The Iran-Iraq conflict began simmering in spring 1980 and broke into full-scale war in September.
Khamenei, who was then an influential aide to Ayatollah Ruhollah Khomeini, appears to have been part of a contingent exploring ways to resolve the hostage dispute with Carter.
According to Army Col. Charles Wesley Scott, who was one of the 52 hostages, Khamenei visited him on May 1, 1980, at the old U.S. consulate in Tabriz to ask whether milder demands from Iran to the Carter administration might lead to a resolution of the hostage impasse and allow the resumption of U.S. military supplies, former National Security Council aide Gary Sick reported in his book October Surprise.
“You’re asking the wrong man,” Scott replied, noting that he had been out of touch with his government during his five months of captivity before adding that he doubted the Carter administration would be eager to resume military shipments quickly.
“Frankly, my guess is that it will be a long time before you’ll get any cooperation on spare parts from America, after what you’ve done and continue to do to us,” Scott said he told Khamenei.
However, Khamenei’s outreach to a captive U.S. military officer – outlining terms that became the basis of a near settlement of the crisis with the Carter administration in September 1980 – suggests that Khamenei favored a more traditional approach toward resolving the hostage crisis than the parallel channel that soon involved the Israelis and the Republicans.
In that narrow sense at least, Khamenei was allied with Abolhassan Bani-Sadr, the sitting Iranian president in 1980 who also has said he opposed dealing with Israel and the Republicans behind President Carter’s back. In a little-noticed letter to the U.S. Congress, dated Dec. 17, 1992, Bani-Sadr said he first learned of the Republican hostage initiative in July 1980.
Bani-Sadr said a nephew of Ayatollah Khomeini, then Iran’s supreme leader, returned from a meeting with an Iranian banker, Cyrus Hashemi, who had led the Carter administration to believe he was helping broker a hostage release but who had close ties to Reagan’s campaign chief William Casey and to Casey’s business associate, John Shaheen.
Bani-Sadr said the message from the Khomeini emissary was clear: the Reagan campaign was in league with pro-Republican elements of the CIA in an effort to undermine Carter and wanted Iran’s help. Bani-Sadr said the emissary “told me that if I do not accept this proposal they [the Republicans] would make the same offer to my rivals.”
The emissary added that the Republicans “have enormous influence in the CIA,” Bani-Sadr wrote. “Lastly, he told me my refusal of their offer would result in my elimination.” Bani-Sadr said he resisted the GOP scheme, but the plan ultimately was accepted by Ayatollah Khomeini, who appears to have made up his mind around the time of Iraq’s invasion in mid-September 1980.
Clearing the Way
Khomeini’s approval meant the end of the initiative that Khamenei had outlined to Col. Scott, which was being pursued with Carter’s representatives in West Germany before Iraq launched its attack. Khomeini’s blessing allowed Rafsanjani, Karoubi and later Mousavi to proceed with secret contacts that involved emissaries from the Reagan camp and the Israeli government.
The Republican-Israeli-Iranian agreement appears to have been sealed through a series of meetings that culminated in discussions in Paris arranged by the right-wing chief of French intelligence Alexandre deMarenches and allegedly involving Casey, vice presidential nominee George H.W. Bush, CIA officer Robert Gates and other U.S. and Israeli representatives on one side and cleric Mehdi Karoubi and a team of Iranian representatives on the other.
Bush, Gates and Karoubi all have denied participating in the meeting (Karoubi did so in an interview with me in Tehran in 1990). But deMarenches admitted arranging the Paris conclave to his biographer, former New York Times correspondent David Andelman.
Andelman said deMarenches ordered that the secret meeting be kept out of his memoir because the story could otherwise damage the reputation of his friends, William Casey and George H.W. Bush. At the time of Andelman’s work ghostwriting the memoir in 1991, Bush was running for re-election as President of the United States.
Andelman’s sworn testimony in December 1992 to a House task force assigned to examine the October Surprise controversy buttressed longstanding claims from international intelligence operatives about a Paris meeting involving Casey and Bush.
Besides the testimony from intelligence operatives, including Israeli military intelligence officer Ari Ben-Menashe, there was contemporaneous knowledge of the alleged Bush-to-Paris trip by Chicago Tribune reporter John Maclean, son of author Norman Maclean who wrote A River Runs Through It.
Maclean said a well-placed Republican source told him in mid-October 1980 about Bush’s secret trip to Paris to meet with Iranians on the U.S. hostage issue. Maclean passed on that information to State Department official David Henderson, who recalled the date as Oct. 18, 1980.
Since Maclean had never written a story about the leak and Henderson didn’t mentioned it until Congress started its cursory October Surprise investigation in 1991, the Maclean-Henderson conversation had been locked in a kind of historical amber.
One could not accuse Maclean of concocting the Bush-to-Paris allegation for some ulterior motive, since he hadn’t used it in 1980, nor had he volunteered it a decade later. He only confirmed it when approached by a researcher working with me on a PBS Frontline documentary and in a subsequent videotaped interview with me.
Also, alibis concocted for Casey and Bush – supposedly to prove they could not have traveled to the alleged overseas meetings – either collapsed under close scrutiny or had serious holes. [For details on the October Surprise case, see Robert Parry’s Secrecy & Privilege.]
Military Shipments
Though the precise details of the October Surprise case remain hazy, it is a historic fact that Carter failed to resolve the hostage crisis before losing in a surprising landslide to Reagan and that the hostages were not released until Reagan and Bush had been sworn in on Jan. 20, 1981.
It also is clear that U.S. military supplies were soon moving to Iran via Israeli middlemen with the approval of the new Reagan administration.
In a PBS interview, Nicholas Veliotes, Reagan’s assistant secretary of state for the Middle East, said he first discovered the secret arms pipeline to Iran when an Israeli weapons flight was shot down over the Soviet Union on July 18, 1981, after straying off course on its third mission to deliver U.S. military supplies from Israel to Iran via Larnaca, Cyprus.
“It was clear to me after my conversations with people on high that indeed we had agreed that the Israelis could transship to Iran some American-origin military equipment,” Veliotes said.
In checking out the Israeli flight, Veliotes came to believe that the Reagan-Bush camp’s dealings with Iran dated back to before the 1980 election.
“It seems to have started in earnest in the period probably prior to the election of 1980, as the Israelis had identified who would become the new players in the national security area in the Reagan administration,” Veliotes said. “And I understand some contacts were made at that time.”
In the early 1980s, the players in Iran also experienced a shakeup. Bani-Sadr was ousted in 1981 and fled for his life; he was replaced as president by Khamenei; Mousavi was named prime minister; Rafsanjani consolidated his financial and political power as speaker of the Majlis; and Karoubi became a powerful figure in Iran’s military-and-foreign-policy establishment.
Besides tapping into stockpiles of U.S.-made weaponry, the Israelis also arranged shipments from third countries, including Poland, according to Israeli intelligence officer Ben-Menashe, who described his work on the arms pipeline in his 1992 book, Profits of War.
Since representatives of Likud had initiated the arms-middleman role for Iran, the profits flowed into coffers that the right-wing party controlled, a situation that created envy inside the rival Labor Party especially after it gained a share of power in the 1984 elections, Ben-Menashe said.
The Iran-Contra Case
In this analysis, Labor’s desire to open its own arms channel to Iran laid the groundwork for the Iran-Contra scandal, as the government of Prime Minister Shimon Peres tapped into the emerging neoconservative network inside the Reagan administration on one hand and began making contacts to Iran’s leadership on the other.
Reagan’s National Security Adviser Robert McFarlane, who had close ties to the Israeli leadership, worked with Peres’s aide Amiram Nir and neocon intellectual (and NSC consultant) Michael Ledeen in spring 1985 to make contact with the Iranians.
Ledeen’s chief intermediary to Iran was a businessman named Manucher Ghorbanifar, who was held in disdain by the CIA as a fabricator but claimed he represented high-ranking Iranians who favored improved relations with the United States and were eager for American weapons.
Ghorbanifar’s chief contact, as identified in official Iran-Contra records, was Mohsen Kangarlu, who worked as an aide to Prime Minister Mousavi, according to Israeli journalist Ronen Bergman in his 2008 book, The Secret War with Iran.
However, Ghorbanifar’s real backer inside Iran appears to have been Mousavi himself. According to a Time magazine article from January 1987, Ghorbanifar “became a trusted friend and kitchen adviser to Mir Hussein Mousavi, Prime Minister in the Khomeini government.”
In November 1985, at a key moment in the scandal as one of the early missile shipments via Israel went awry, Ghorbanifar conveyed Mousavi’s anger to the White House.
"On or about November 25, 1985, Ledeen received a frantic phone call from Ghorbanifar, asking him to relay a message from the prime minister of Iran to President Reagan regarding the shipment of the wrong type of HAWKs,” according to Iran-Contra special prosecutor Lawrence Walsh’s Final Report.
“Ledeen said the message essentially was ‘we've been holding up our part of the bargain, and here you people are now cheating us and tricking us and deceiving us and you had better correct this situation right away.’”
Earlier in the process, Ghorbanifar had dangled the possibility of McFarlane meeting with high-level Iranian officials, including Mousavi and Rafsanjani.
Another one of Ghorbanifar’s Iranian contacts was Hassan Karoubi, the brother of Mehdi Karoubi. Hassan Karoubi met with Ghorbanifar and Ledeen in Geneva in late October 1985 regarding missile shipments in exchange for Iranian help in getting a group of U.S. hostages freed in Lebanon, according to Walsh’s report.
A Split Leadership
As Ben-Menashe describes the maneuvering in Tehran, the basic split in the Iranian leadership put then-President Khamenei on the ideologically purist side of rejecting U.S.-Israeli military help and Rafsanjani, Mousavi and Mehdi Karoubi in favor of exploiting those openings in a pragmatic way to better fight the war with Iraq.
The key decider during this period – as in the October Surprise phase – was Ayatollah Khomeini, who agreed with the pragmatists on the need to get as much materiel from the Americans and the Israelis as possible, Ben-Menashe said in an interview this week from his home in Canada.
Ben-Menashe said Rafsanjani and most other senior Iranian officials were satisfied dealing with the original (Likud) Israeli channel and were offended by the Reagan administration’s double game of tilting toward Iraq with military and intelligence support while also offering weapons deals to Iran via the second (Labor) channel.
The ex-Israeli intelligence officer said the Iranians were especially thankful in 1985-86 when the Likud channel secured SCUD missiles from Poland so Iran could respond to SCUD attacks that Iraq had launched against Iranian cities.
“After that (transaction), I got access to the highest authorities” in Iran, Ben-Menashe said, including a personal meeting with Mousavi at which Ben-Menashe said he learned that Mousavi knew the history of the Israeli-arranged shipments in the October Surprise deal of 1980.
Ben-Menashe quoted Mousavi as saying, “we did everything you guys wanted. We got rid of the Democrats. We did everything we could, but the Americans aren’t delivering [and] they are dealing with the Iraqis.”
In that account, the Iranian leadership in 1980 viewed its agreement to delay the release of the U.S. Embassy hostages not primarily as a favor to the Republicans, but to the Israelis who were considered the key for Iran to get the necessary military supplies for its war with Iraq.
Today, many of the same Iranian players are back at center stage in the election dispute, but it’s unclear what the power struggle might mean for President Barack Obama's desire to negotiate agreements on Iran's nuclear program and on broader Middle East peace.
For instance, does the Mousavi-Rafsanjani-Karoubi contingent still have its more pragmatic view about the West? Does Khamenei still favor his more straightforward approach toward dealing with Washington?
Since Khamenei holds Ahmadinejad’s political strings, one could conclude that the Khamenei-Ahmadinejad faction might be easier to deal with in a traditional diplomatic framework that seeks a direct solution and wants to avoid endless bickering. However, others might see the Mousavi-Rafsanjani-Karoubi faction as the more flexible negotiating partners.
Whatever the case, President Obama might want to get a better grasp on the complex history of U.S.-Iranian-Israeli relations before he charges off into that negotiating thicket.
Robert Parry broke many of the Iran-Contra stories in the 1980s for the Associated Press and Newsweek. His latest book, Neck Deep: The Disastrous Presidency of George W. Bush, was written with two of his sons, Sam and Nat, and can be ordered at neckdeepbook.com. His two previous books, Secrecy & Privilege: The Rise of the Bush Dynasty from Watergate to Iraq and Lost History: Contras, Cocaine, the Press & 'Project Truth' are also available there. Or go to Amazon.com.
http://www.consortiumnews.com/2009/062409.html
USA : Un mini coup d'etat envisageable a Washington si Obama refuse d'attaquer l'Iran selon plusieurs sources officielles
Le personnel de la direction des camps est déjà en place, ainsi que des gardes à plein temps, bien que les camps soient tous vides pour l'instant. Entourés de miradors, ces camps sont destinés à être utilisés par la FEMA (Federal Emergency Management Agency - l'agence fédérale chargée de gérer les situations d'urgence) dans le cadre d'une proclamation de la loi martiale.
Les camps font partie du "Rex 84 Program", un programme prévu "officiellement" pour le cas d'un franchissement en masse de la frontière mexicaine par des immigrés clandestins, afin qu'ils puissent être rapidement arrêtés et placés en détention par la FEMA. Le programme Rex 84 prévoit aussi la fermeture temporaire de nombreuses bases militaires pour les convertir en prisons.
Les plans "Cable spicer" et "Garden plot" sont deux sous-programmes de "Rex 84" qui seront déclenchés en même temps. "Garden plot" est un programme destiné à contrôler la population, et "Cable spicer" est le programme pour la prise de contrôle des états et de leurs gouvernements par le gouvernement fédéral. La FEMA sera le bras armé exécutif et dirigera toutes les opérations sous l'autorité du président des Etats-Unis.
Les camps de détention sont tous desservis par voies ferrée aussi bien que par la route. Beaucoup disposent également d'un aéroport à proximité. La majorité des camps ont une capacité de 20.000 prisonniers. Le plus vaste de ces camps est situé en Alaska à coté de Fairbanks. Deux autres sont localisé à Palmdale et à Glendale, dans le sud de la Californie. Bizarrerie ou coïncidence, l'état le plus important, la Californie, risque de voir se dévellopper un climat insurrectionnel après la mise en faillite prochaine. En effet c'est l'état le plus peuplé et la 6e puissance économique mondiale qui compte plus de 35 millions d'individus qui vont être frappés de plein fouet par la crise.
Une question s'impose si ces camps ont été décidés depuis 2004, celà implique que les conséquences finales sont belle et bien connue depuis bien plus . A suivre...
Source: LePost.fr
Le blocus de Gaza pousse à la création
Les occupants israéliens renforcent de plus en plus leur blocus imposé depuis plusieurs années sur la bande de Gaza. Cependant, les habitants de Gaza ne se laissent pas être infligés. Ils ne baissent jamais les bras. Ils se débrouillent avec les moyens du bord. Ils confirment que rien ne peut briser la volonté d’un peuple.
La vie continue
Les occupants israéliens font tout pour humilier les Palestiniens, partout où ils se trouvent. Mais ils font encore plus avec leurs élus : le mouvement de la résistance islamique Hamas. En effet, depuis que le mouvement a remporté les élections législatives palestiniennes, l’Etat d’occupation a imposé un blocus qui ne cesse d'asphyxier la bande de Gaza. Les occupants israéliens n’y laissent entrer les produits les plus nécessaires pour une vie normale : médicaments, carburant, nourriture et autres.
L’interdiction de l’entrée de carburant a fait beaucoup de dégâts. Les voitures ne peuvent plus rouler. Les nuits de la Bande sont encore plus noires.
La créativité
Quand les nuits de la bande de Gaza sont devenues noires, les habitants ont allumé des bougies, voulant montrer au monde qu’ils ne cèdent pas au chantage. Et quand les voitures ne roulent plus, faute de carburant, les ingénieurs de Gaza ont cherché un remplaçant. Et les deux ingénieurs Fayez Anan et Wassim Al-Khazendar ont transformé une voiture à essence en une voiture électrique.
La naissance de l’idée
L’ingénieur Wassim informe notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que son idée est née avec la crise de carburant. Etant spécialiste dans les batteries, il a pensé à cette idée de faire rouler la voiture avec l’électricité. Il s’est alors mis au travail, avec tous les détails que cela implique. Le problème, c’est que l’opération coûte cher. Pas moins de trois mille euros.
Non au blocus
Wassim Al-Khazendar dit : « L’occupation israélienne nous impose un blocus des plus injustes. Un blocus qui nous paralyse, qui nous ôte la vie. Toutefois, nous ne cédons pas. Nous réfléchissons. Nous créons. Nous développons ce que nous trouvons sous la main ».
Actuellement, l’idée de transformer les voitures pour qu’elles roulent à l’électricité ne pourra s’appliquer que sur des véhicules de faible cylindrée. C’est plus tard que l’idée sera implacable sur de grande cylindrée et des camions.
Cette voiture électrique aura la même force, la même vitesse qu’une voiture diesel. De plus, elle n’est pas polluante. Elle n’a aucun pot d’échappement.
L’ingénieur Wassim Al-Khazendar ajoute enfin que son collègue l’ingénieur Fayez Anan l’a beaucoup aidé dans le contrôle du système électronique.
Le Messie condamnait le Sionisme
Interpellation d'un Sioniste
Le prophète Jésus, que le Salut de Dieu soit sur lui, n’était pas juif pas plus qu'il n'était chrétien.
Le terme Juif, yéhudi, est tiré du mot Judas, Yéhuda.
Or ce terme n’a aucun entendement spirituel. Cette acception a deux sens pas très particuliers:
descendant de Juda,
et/ou
Judéen, càd quelqu’un originaire de la Judée (et y résidant), espace où s’était installée la tribu de Juda.
Le terme juif est un terme tribal comportant uniquement une connotation raciale et géographique.
Jésus n’était pas en effet un yéhudi, càd un juif, et ce pour trois raisons:
d’une part il était un lévite, càd descendant de la tribu de Lévy,
de deux, il n’était pas un judéen, mais un galiléen, puisque né à Nazareth, qui elles se trouvent au Nord de la Palestine, alors que la Judée se trouve au sud.
de trois, le prophète Moïse, que le Salut de Dieu soit sur lui, ne donna jamais à la religion qu’il avait prêchée le terme judaïsme, et ne s’était jamais dit juif, étant lui aussi un lévite.
Quittons alors ces assertions raciales et parlons de spiritualité.
En fait, comme dans le Coran, la Bible hébraïque dit elle même que Abraham était un MOSHLEM (càd ami de Dieu en hébreu).
Ami lecteur, cela ne te dit rien ?!
Moshlem / Muslim / Musulman.
Le terme hébraïque Moshlem est dérivé de Ishlam qui lui même est dérivé de Shalam (qui est la racine initiale de Shalom)
Hébreu: Moshlem / Ishlam / Shalam
Arabe: Muslim / Islam / Salam
Shalam pareil que Salam signifie Paix.
Ishlam pareil que Islam signifie: être en alliance dans la paix.
Dans le sens spirituel, Ishlam signifie être en alliance avec Dieu.
Selon tous ces entendements, Abraham, Moïse, Jésus et Mohammad, ainsi que tous les prophètes, que le Salut de Dieu soit sur eux tous, étaient des Moshlemim / Muslimine / Musulmans, càd amis de Dieu soumis à Dieu et rien qu’à Dieu.
Leur rébellion contre l’idolâtrie et le polythéisme allait dans le sens de cette alliance avec Dieu.
Cette rébellion contre l’idolâtrie ne pouvait les amener à se substituer à Dieu, à Dieu ne plaise, en appellant leurs propres disciples à être des abrahamiques, des moïsiens, des juifs, des chrétiens, des messianiques, des mohammediens voire des mahométans.
Ces prophètes ne faisaient qu’appeler à cheminer dans la voie de l’Ishalm/Islam en étant de bons Moshlem/Muslim.
Jésus que le Salut de Dieu soit sur lui n’appela pas les hébreux à l’adorer, mais à rentrer dans le vrai chemin de l’Ishlam, en respectant l’alliance que Dieu leur avait offerte par ses multiples prédécesseurs.
Jésus n’avait pas été persécuté par les hébreux parce qu’il se serait dit fils de Dieu, et ce pour la simple raison qu’eux-mêmes employaient la même formule pour évoquer une alliance spirituelle avec Dieu.
Jésus usa même de propos assez durs et violents à l’égard des rabbins et pharisiens, voir chapitre 13 de Matthieu, sans avoir été persécuté pour de tel propos.
Si Jésus avait été persécuté par les hébreux c’était certainement pour une toute autre raison bien sérieuse qui fit abattre sur lui la colère de tout le sanhédrin.
Jésus avait du énoncer la venue d’un autre messager après lui, qui n’était pas de la lignée d’Isaac.
Jésus dut annoncer la venue d’un enfant issu d’Ismaël, conformément à la promesse donnée par l’Ange Gabriel à Hagar puis confirmée à Abraham.
C’était LE COMBLE DU BLASPHEME pour ces tribalistes et racialistes primaires qui s’étaient autoproclamés peuple exclusif élu de Dieu, oubliant que l’alliance avec Dieu était une affaire d’élection spirituelle et non pas d’élection raciale.
Jésus annonçait le Paraclet, le Mokhammed dont parlait Jérémie 2:7-9 (se référer au texte hébraïque et non pas aux traductions).
Jésus annonçait donc aux hébreux la fin DU Monopole, et en d’autre termes: la fin de tout monopole, càd, il leur promettait l’universalité de la religion.
Rappelles-toi de la pierre angulaire qu’il leur avait promis qu’elle passerait à d’autres nations. [Matthieu 21:42-44]
Rappelles-toi aussi qu’il leur avait prédit que le méridien de prière n’allait plus être orienté vers Jérusalem. [Jean 4:21-24]
Voilà pourquoi il a été persécuté: il cassait un monopole que les hébreux croyaient racialement héréditaire.
Que serait cette pierre angulaire (fondement de toute chose) si ce n’est l’alliance avec Dieu, càd l’Ishlam.
Jésus promettait que l’alliance avec Dieu était ouverte à TOUS, et qu’elle allait s’annoncer par la bouche même de l’enfant banni par Sarah.
Voilà pourquoi Jésus fut persécuté. Il promettait la fin d’un monopole et la fin d’un commerce.
Jésus après avoir vainement tenté de réformer les hébreux, leur avait expliqué que l’élection, l’Ishlam, était ouverte à TOUT LE MONDE, ce qui valait pour eux une promesse de dépossession.
Regardes ceux qui se prétendent descendant des hébreux.
Sont-ils à ton avis dans l’alliance ? Dans l’Ishlam ?!!!!
Non, ils ne sont même plus croyants, mais, pis, ils continuent à perpétrer la même erreur que leurs aïeuls: ils continuent à pervertir l’élection spirituelle en une hérésie racialiste.
Pire encore: ils n’ont plus de spiritualité, ils ont juste gardé l’hérésie racialiste.
Ils se disent juifs par la race, parce que leurs mères sont juives par la race.
Rappelles-toi Moïse. Sa femme n’était pas de la tribu. Elle était une étrangère. Plus encore: elle était une kowshite, càd une éthiopienne ; une femme de "couleur".
Les enfants de Moïse furent dans l’alliance, ils étaient des moshlem comme leur père. C'est d'eux d'ailleurs que sont issus les juifs falasha.
Rappelles-toi de Sephora la femme de Moïse.
Ne fut-elle pas rejetée par les racialistes proche de Moïse ?! [Nombres - Chapitre 12]
Rappelle-toi ce qui était arrivé à ces racialistes. Ne furent-ils pas puni par Dieu en la présence de Moïse ?! [idem]
Que ferait alors Dieu de racistes pas du tout croyants qui se réclament fallacieusement de Moïse par la race, alors que leurs corps, leurs âmes et leurs pensées sont éloignés spirituellement de toute alliance avec le Dieu de Moïse ?!!! et en souillent la mémoire par leurs actes ?!!
Dieu n’est pas un raciste, et il ne s’appelle pas FONCIA.
L’alliance universelle c’est La Voie ; celle que tous les prophètes prêchèrent et tentèrent de préparer.
A consulter :
Accusation de Plagiat
Les Sens Philosophique et Théosophique de l’Ishlam
L’alliance universelle c’est La Voie.
Dès lors une question s’impose:
Qu’était donc la voie des hébreux qui s’étaient prétendus de Moïse ?
Cette voie, hélas, au lieu de chercher l’alliance spirituelle n’était constituée que de deux chemins de déviation: la terre et la race.
Or, quiconque s’écarte de La Voie il en perd toutes les autres.
Engagés dans la voie de la terre et de la race les hébreux furent toujours systématiquement éprouvés par Dieu dans ces deux éléments.
Le Messie était venu les libérer de ces deux chemins de déviation, et les rappeler à emprunter La Voie, l’Ishlam, l’Alliance avec Dieu dans la paix.
Or que firent-il ?!
Ils ne reconnurent même pas le Messie qu'ils attendirent tant.
Chez eux le Messie était un libérateur physique. Ils croyaient que le Messie était sensé les faire dominer sur les autres peuples.
Or le Messie était venu les libérer des deux petits chemins bien étroits: la race et la terre, pour les mener vers La Grande Voie.
Que firent-ils ? Ils persécutèrent leur Libérateur, préférant rester dans leur joug idéologique.
D’ailleurs la sortie de Jésus dans une période d’occupation n’était pas un hasard.
Quand on dit que l’Ishlam c’est être en alliance avec Dieu, cela entend aussi que c’est être soumis à Lui, et rien qu’à Lui.
Quand l’homme se soumet à autre chose elle se rebelle contre lui.
Quand les hébreux s’étaient soumis à la race et à la terre, leurs petits idéaux se sont systématiquement rebellés contre eux.
Les sionistes aujourd’hui, majoritairement non croyants, sont en train de faire la même erreur que les aïeuls dont ils se prétendent issus:
Ils se sont enfermés dans une étroite prison entourée des deux fameuses grandes murailles que sont la terre et la race.
Comme cette prison est passée du rang de l’idéologie à une nature physique, Dieu la détruira comme Il avait détruit l’idolâtrie qui s’était incarnée d’une hérésie spirituelle en un veau massif bien doré et luisant.
A titre de conclusion j'appelle à méditer cette parole de Jésus (que le Salut de Dieu soit sur lui) qu'un jour il avait dite à ses disciples:
Evangile de Barnabé - Chapitre 99
... lorsque Israël a aimé quelque chose au point d'en oublier Dieu, Dieu a détruit cette chose-là. Or qu'y a-t-il de plus agréable à Dieu, ici-bas, que le Sacerdoce et le Temple Saint? Pourtant, au temps du prophète Jérémie, comme le peuple avait oublié Dieu et se glorifiait seulement du Temple parce qu'il n'y en avait pas un semblable au monde, Dieu souleva sa propre colère par Nabuchodonosor, roi de Babylone. Il fit prendre la ville sainte par l'armée et la fit brûler avec le temple sacré, si bien que les choses sacrées que les prophètes de Dieu tremblaient de toucher furent foulées aux pieds par les infidèles remplis de scélératesse.
Ma conclusion personnelle:
Le sionisme gangrenant la Palestine est condamné à disparaître, et ce de deux sortes: soit à la Saladin, soit à la Nabuchodonosor.
La libération à la Saladin sera humainement meilleure: la Palestine une fois restaurée, les sionistes qui ont les mains ensanglantées n’auraient qu’à rentrer à leurs pays respectifs, ceux qui ont les mains propres peuvent rester s’ils le désirent, les vrais juifs orthodoxes sont chez eux sur place, les sépharades sont également chez eux tant en Palestine que de par tout le Monde Arabe.
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Post Scriptum:
Durant la prise de Jérusalem par les croisés, ceux-ci liquidèrent les juifs et les musulmans, dans un très grand bain de sang, et interdirent toute entrée des juifs à cette ville.
Quand Saladin reconquit la Palestine ainsi que Jérusalem, il ne perpétra quelconque bain de sang ni ne se vengea (sauf d'un seul immonde personnage). Il avait en sus laissé le choix aux croisés de rester sur place ou de rentrer avec leurs richesses.
Ce fut d'ailleurs le même Saladin qui rouvrit une seconde fois la Palestine aux juifs, en l'an 1187. La première fois, c'était Omar Ibn Al-Khattab, deuxième Calife de l'Islam, qui le fit, en l'an 637. Soliman le Magnifique le fit également en l'an 1553 à l'égard des juifs d'Andalousie qui fuyaient l'inquisition.
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Signé: Paradisial
http://www.alterinfo.net/Le-Messie-condamnait-le-Sionisme_a29365.html
Dheerujlall Seetulsingh’s flawed and prejudicial Human Rights
Chairperson of the Mauritian National Human Rights Commission (NHRC)
Human Rights Report 2008 (Mauritius)
The Mauritius National Human Rights Commission (NHRC) was set up under the « The Protection of Human Rights Act 1998 ». The functions of the Commission are to enquire into written complaints made (i) by any person who feels that any of the human rights enshrined in Chapter II of the Constitution has been violated or is likely to be violated by the act or omission of a public officer or employee of a public body; (ii) by any person against an act or omission of a member of the police. Public body is defined as (a) a Ministry or Government department; (b) a Local Authority; (c) a Parastatal Body; (d) a Company where Government by holding shares or otherwise is able to influence that company's policy or decisions. Hence, the Mauritian NHRC cannot enquire into any human rights complaints made against a non-government body. It is also clearly stated as a limitation: « The NHRC does not deal with complaints relating to economic, social and cultural rights »? Another limitation is that the NHRC is not empowered to « enquire into any private dispute between individuals or any complaint against private employers or professionals, e.g lawyers, doctors, etc. ».
However, in his Human Rights Report 2008, Me Dheerujlall Seetulsingh, former Solicitor General, former Judge and Chairperson of the National Human Rights Commission of Mauritius since April 2001, went outside what he is authorised to do (ultra vires) by proposing constitutional amendments to include proportional representation (which is not a right), the protection of economic and social rights (which is excluded from his functions), the Creation of a Court of Appeal (which has to do with the reform of the judiciary rather than human rights). The Chairperson also advocated positive discrimination (affirmative action), which is not a right, in order to increase the number of women lawmakers because of « gender imbalance », and he criticised the Legislative Assembly for not having addressed the issue at the adoption of the Equal Opportunities Act in December 2008. All this sounds more like a political agenda.
‘Awareness’ of Human Rights
Even in areas which fall within the functions of the NHRC, Dheerujlall Seetulsingh’s Human Rights Report 2008 is littered with flaws. In his interview published in Mauritius Times of 17 July 2009, speaking about Mauritius, Dheerujlall Seetulsingh says « There are no important human rights violations which are considered worth reporting in Amnesty International’s Annual Report » and that « Mauritius was reviewed favourably this year by the Human Rights Council in Geneva », upon which he concludes that Mauritians « have good reasons to be proud » of their Human Rights records. Mauritians are bound to wonder why so much taxpayers’ money should be spent on the Human Rights institution if all Dheerujlall Seetulsingh can do is rely on what other Human Rights organisations are saying or not saying. He speaks of « awareness amongst the Mauritian public of basic human rights » rather than protection of their Human Rights. He also speaks of alleged police brutality as « having stabilized » as if this is an acceptable yardstick in the measurement of respect for Human Rights.
In fact, in its 2002 Annual Report for Mauritius, Amnesty International reported : « At least four detainees were reported to have died in police custody as a result of torture or other cruel, inhuman and degrading treatment. Others alleged torture and ill-treatment by police at the time of arrest. The government established a National Human Rights Commission in April which opened investigations into allegations of police torture, but international standards for such inquiries appeared not to have been met. »
DNA database and Police States
In the matter of objections to the holding of DNA profile of innocent people (including children), Dheerujlall Seetulsingh argues that « requiring a person to give his/her DNA sample does not really infringe upon his/her right to privacy » and that « there is no such thing as the right to privacy in our Constitution » [Mauritius Times, 17 July 2009]. But, even if the constitution does not specifically mention the right to privacy, the law does recognise such right, with certain limitations. He appears to be all for a DNA national database. He clearly does not believe that this is a civil, hence, a human right that should be protected while all other Human Rights organisations across the world are fighting tooth and nail to protect such civil liberties and to prevent the establishment of Police States. The European Courts of Human Rights even ruled that this violated people’s fundamental rights to privacy. It is striking that Dheerujlall Seetulsingh proposes no amendment to the Constitution in order to protect citizens’ civil rights, especially given that DNA analysis is not a precise science and subject to interpretations, and that DNA mismatch and the risk of contamination are not uncommon. Israeli scientists recently claimed that DNA could be falsified. Professor Allan Jamieson, director of Edinburgh's Forensic Institute, said « I fear innocent people will be mistakenly identified as suspects as a consequence of being on this database ». When innocent people are on such a database, this means that they are permanent suspects, which Dheerujlall Seetulsingh wrongly believes is not an infringement of those citizens’ rights. His stance is prejudicial to the protection of Human Rights, and regarded by many as anti-Human Rights.
Religious discrimination
By letter dated 6th January 1998, Dheerujlall Seetulsingh, then Solicitor General, rejected, without giving any reason, Ms Sen Seetulsingh’s (my wife’s) application for official change of name as the adopted daughter of the late Ramduthlall Seetulsingh of Curepipe and as having been brought up as a member of the Seetulsingh family for nearly 25 years. An appeal by way of judicial review was lodged and the matter was settled in her favour and the annotation « Sen Seetulsingh » finally entered in her birth certificate. However, in the article « Prêt à tout pour porter le nom ‘Seetulsingh’ », l’Express 16 April 2009, Sen’s ‘niece’, Sharmila Seetulsingh-Goorah, under the delusion that people are prepared to do anything to bear the ‘Seetulsingh’ name which she believes is of superior Hindu caste or status, stated that the reason for rejection was because Sen (an orphan of Mother) was born of Muslim parents (who were effectively regarded as ‘low caste’ because they were Muslims). To date, Dheerujlall Seetulsingh, a relative of Ramduthlall Seetulsingh’s family, has not disputed S S Goorah’s allegation that the administrative decision to deny Sen Seetulsingh’s human right to bear the surname of her adoptive Father was based on religious discrimination, which is regarded as a form of racism. It is well known in the Seetulsingh family that Dheerujlall Seetulsingh has always been dead against Sen Seetulsingh officially bearing the Seetulsingh name for the same discriminatory reasons stated by Sharmila Seetulsingh-Goorah.
Denial of right to bail
Dheerujlall Seetulsingh brushed aside the internationally reported human rights violations of Muhammad Cehl Fakeemeeah (also called Cehl Meeah), the leader of the now defunct Mauritian Hizbullah Islamic party, who was arrested in December 2000 upon the uncorroborated allegations of one or more self-confessed criminals and kept in police custody for nearly three years without bail (during which time he was tortured). Amnesty International commented on this case in its 2002 Report. The UK based Islamic Human Rights Commission also commented in great length on the plight of Cehl Meeah against whom all charges were dropped in 2003. However, Dheerujlall Seetulsingh is not only silent on the matter, but he proposed no amendment to the constitution to prevent such violation either. Nor does he propose the repeal of the post US 9/11 « Prevention of Terrorism Act 2002 » (PoTA), a piece of legislation in breach of human rights and designed primarily to target Muslims in Mauritius in the aftermath of 9/11 and which law former President Cassam Uteem rightly refused to give assent to and resigned.
Conclusion
In his 2008 Human Rights Report, Dheerujlall Seetulsingh makes no recommendation for the protection of the rights and interests of adopted children, but chose to make ultra vires recommendations on social and economic rights, on positive discrimination in favour of women politicians, and so on. How does he propose to force women to do politics, force political parties to select women candidates and force voters to vote for them ? Is it proper for the Chairperson of the National Human Rights Commission to advocate any form of prejudice or discrimination?
Pro-DNA database and pro-discrimination Dheerujlall Seetulsingh appears to obtain his inspiration from human rights violators from countries like Egypt, a brutal dictatorship under Mubarak, South Africa, a country still grappling with the fallout of apartheid, France, an intrinsically racist country violating Human Rights, especially of Muslims, every single day, as he specifically mentioned those countries as examples to follow in matters of ‘human rights’. His refusal letter against the right of an adopted orphan to officially bear the surname of her adoptive Father because of a racist caste system and religious discrimination needs no further explanation. In view of such bias and prejudice, can Dheerujlall Seetulsingh be regarded as defending the Human rights of every citizen? Furthermore, his 2008 Report contains too many obvious flaws and ulra vires comments and recommendations that he should, in the public interest, resign as Chairperson of the Human Rights Commission of Mauritius.
M Rafic Soormally
London
31 August 2009
The Massacre of Muslim Civilians is always: 'Self-Defence' but never Terrorism
It is disgusting to see the pro-Israeli commentators having the 'chutzpah' to claim that Israel has the higher moral grounds, whilst committing mass murder in the concentration camp of Gaza. The sheer barbarism shown by Israel has full endorsement from the US and British governments. Most Israelis do not feel remorse for the killing of gentiles. In the US, you see the pro-Israeli Jews [1] are celebrating the bloodletting. I will elaborate later on the Israeli barbarism. There is also tacit approval of this carnage from the Arab regimes, deduced from their silence and inaction.
As a mark of true democracy, Israel and the US are ignoring the mass protests, and the resolution 1860 issued by the UN General Assembly that reflects the opinion of the vast majority of the world's population. The vote was unanimous, 142 in favour, 4 against and 8 abstentions. This is why the democracies have setup the Security Council, so that UN can reflect the interests of the tiny minority!
The assembly president, Nicaragua 's Miguel d'Escoto Brockmann said [2]
"The violations of international law inherent in the Gaza assault have been well documented: collective punishment; disproportionate military force; attacks on civilian targets, including homes, mosques, universities, schools."
He also pointed out the ungrateful nature of the Jewish State and said:
"It seems to me ironic that Israel, a state that more than any other owes its very existence to a (1948) General Assembly resolution, should be so disdainful of United Nations resolutions,"
There was also consensus that Israel had committed war crimes in Gaza and there were calls for further investigation. Had a fraction of this being done by a Muslim country, the US troops, not the UN troops with blue helmet would have already been sent on bombing missions.
Israel knows the world is becoming desensitised to shedding of Muslim blood, because it is easy to justify killing on a mass scale once you have demonised the population. Sounds familiar, yes the tactics used by the Nazis. The victims have learnt well from their Holocaust experience it seems! The business of marketing and exploiting holocaust continues to this day.
There is no oil in Palestine except the olive oil, which explains why the US-run organisation, the UN is paralysed. Now remember, the so-called world community of US-led coalition moved to save the 'poor' Kuwaitis from Saddam Hussein, back in 1991, as if there was moral crusade to restore justice, international law and nothing to do with oil.
The Zionists have excelled not just in killing defenceless women and children but the propaganda campaign that goes with it. They have abundant money, influence and resource at their disposal, with the added advantage of knowing the Arabs will use their oil money only to build more shopping malls to make way for Zionist companies like Starbucks and Marks and Spencer. Frequently repeating a point, regardless of is merit is effective when the quality of the audience is so poor, like the docile and illiterate masses in the US . Therefore, the Zionists are constantly propagating the following points, which the media amplifies:
a) They repeat constantly, Hamas is a terrorist organisation and not the democratically elected body. This terrorist label is given irrespective of who is actually being terrorised and slaughtered. The underlying 'logic' is Hamas made weapons delivers terror but the US-Israeli weapons do not! However, in reality it is Hamas and the Palestinians who are being terrorised and slaughtered since 1948. Hamas are considered to be terrorists defending their homes, but the Jews imported and 'settled' on stolen lands are innocent victims, what an irony.
b) In contrast, Israel is not a state terrorist or terrorist of any sort no matter how much terror and carnage it delivers. No matter how many women and children they kill. Rather, Israel is often glorified in the West as the only democracy in the Middle East despite having clear characteristics of an apartheid state. Concurrently it implies the Arabs are too uncivilised to be democratic.
c) Hamas is portrayed as the belligerent aggressor, because they launched thousands of 'deadly' missiles. Israelis have suffered negligible casualty from those homemade missiles in comparison to what is happening in Gaza. Therefore, it is far easier to repeat that thousand of missiles launched from Gaza, as it is too embarrassing to justify the killing of 1000 Palestinians for a handful of Jews. Especially from a nation, that upholds the ethos of - an eye for an eye and a tooth for a tooth.
d) As usual, the 'weak' and 'vulnerable' Israel is defending itself, as the US defended itself against the mighty Saddam Hussein armed with WMD! There is no mention of the continuation of the siege imposed over Gaza and breaking of the cease-fire back in November by Israel. History conveniently begins where Israel can be made to look like the innocent victim acting in self-defence. Commonsense dictates that the act of self-defence is repelling an advancing enemy, meaning the threat is real and active. The homemade Hamas rockets came in retaliation to the continuation of the subjugation of the Palestinians.
e) The most recent fantastic claim is Hamas is out there to kill every Jew. Here comes the business of marketing holocaust again. Israeli Jews once again faces total annihilation. Even if the Hamas statements are true, but can you blame them for saying that. Is this not the result of Israeli barbarism? Israelis should remember that the victims of Gaza would one day seek vengeance and dispense collective punishment.
The Zionist entity has shown barbarism before like in Sabra and ShatiIa, Qana and Jenin. In Gaza , they went a step further, and it is not just the killing of innocent civilians. In the Channel 4 interview [3], Mark Regev, the Israeli Prime Ministers spokesperson was asked why the Israeli Defence Force was preventing the Red Cross from reaching the dead and wounded civilians for three days. He was specifically asked why the starving children waiting for food by the corpses of their mothers were denied aid from Red Cross - which is not in the business of propaganda. Red Cross were eventually made to walk for one mile to get to the victims. Such behaviour is disgusting from a people who constantly wave the holocaust flag and howl of being victimised - if they have really suffered so much, they ought to behave at least like human beings and not beasts.
Yamin Zakaria (yamin@radicalviews.org)
London, UK
www.radicalviews.org
http://yaminzakaria.blogspot.com
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[1] http://uk.youtube.com/watch?v=FABqq_jjRRo
[2] http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3657034,00.html
[3] http://uk.youtube.com/watch?v=wB689pXh-Bw
Le mois du Ramadan à Gaza : jeûner est une vieille habitude
« Je sais maintenant pourquoi les gens ont conservé une seule habitude ou unique devoir durant le mois du Ramadan qui est d’aller à la mosquée et de prier », écrit Omar Ghraieb
Le premier jour du Ramadan dans les territoires palestiniens occupés était le 22 août 2009. On remarque qu’à la différence d’autres années, il y a cette fois-ci peu de préparatifs : les marchés ne sont pas plein de monde et ce mois ressemble à n’importe quel autre alors que l’ensemble du monde arabe et islamique se prépare pour le Ramadan et en fréquentant les marchés dans une grande animation.
Le premier jour était tout à fait commun, avec l’étrange sensation d’un silence auquel nous ne sommes pas habitués ici à Gaza : les enfants ne sont pas dans les rues, ni avant ni après le moment de l’Iftar, on ne les entend pas jouer, poussant des cris ou riant ou courant dans tous les sens, les gens ne se regroupent pas pour s’asseoir en cercle, que ce soit à l’arrière de leur maison ou sur leur pas de porte. Tout parait étrange.
J’ai commencé par interroger mes voisins sur ce phénomène, ou vais-je plutôt dire sur la disparition de ces phénomènes habituels et j’ai obtenu une réponse toujours identique. J’ai alors interrogé d’autres personnes que je connaissais et la même réponse m’a été donnée : « Nous ne nous sommes pas encore remis de la guerre pour le moment, il nous faut plus de temps pour guérir et oublier ». Je sais maintenant pourquoi les gens ont conservé une seule habitude ou unique devoir durant le mois du Ramadan qui est d’aller à la mosquée et de prier.
Ce qui s’est ensuite passé est vraiment la chose la plus étonnante. J’étais allé rendre visite à mon ami qui habite près du célèbre marché populaire de Gaza et vers 6 heures et demi du soir j’ai décidé de rentrer chez moi avant l’heure de l’Iftar. Alors que je cherchais un taxi, j’ai vu une vieille femme portant deux sacs très lourds et marchant avec peine. Je suis donc allé lui offrir mon aide.
Je me suis approché de cette femme qui s’est réjouie de ma proposition et j’ai saisi l’occasion de lui parler de mes observations du Ramadan en ce moment. Ce qu’elle m’a répondu m’a marqué.
Je lui ai demandé si ce que j’avais constaté était le fruit de mon imagination ousi vraiment le Ramadan était différent, et si les gens étaient toujours en état de choc. Elle a répondu avec une lourde inspiration : « Fils qu’attends-tu ? C’était une guerre qui a duré près d’un mois en volant la vie de nos familles, nos amis, nos voisins, nos parents et beaucoup de gens que nous connaissions, avec en plus la démolition de nos maisons et de nos terres. N’est-ce pas assez pour que nous soyons blessés et choqués à jamais ? »
J’ai répondu en disant : « Bien entendu, grand-mère, mais dites-moi pourquoi êtes-vous ici faisant vos achats d’épicerie ? Où sont votre fils ou votre mari ? Il fait très chaud et c’est fatigant pour une vieille dame d’être là à cette heure-ci. »
Elle m’a regardé et ses yeux étaient remplis de tristesse et d’angoisse. Elle a froncé les sourcils et m’a dit : « Mon mari est décédé il y a 5 ans. Alors qu’il pêchait sur cette dangereuse et maudite mer devant Gaza, les forces navales israéliennes ont visé son bateau et l’ont tué ainsi que son meilleur ami et son frère. J’ai quatre fils dont deux sont tombés en martyrs au cours de la terrible guerre qu’Israël a lancé contre nous pour commettre le pire génocide. Je vis maintenant dans une tente avec ma grande famille où je cuisine dans la chaleur de ce soleil et dors sur le sable brûlant. Israël m’a tout pris et je ne sais ce qu’il me reste si ce n’est mon âme ! »
J’ai senti mon coeur se serrer et je ne savais quoi lui dire, alors je lui ai demandé : « Grand-mère c’est trop de souffrances pour le mois du Ramadan et le jeûne, comment arrivez-vous à supporter tout cela ? »
Avec un surprenant grand sourire, elle m’a répondu : « Fils, le jeûne est une vieille habitude pour nous et la chaleur est tout simplement quelque chose à laquelle nous sommes très habitués, et ne me parlez pas de la façon dont nous sommes aussi familiarisés avec la pluie et la boue ! Il faut s’adapter à la vie et nous sommes le peuple au monde qui est le meilleur pour cela. Nous devons rester forts et résister, peu importe ce qui arrive. Pensez-vous que lorsque nous avons déménagés pour aller vivre dans une tente après la guerre, nous avons eu de quoi manger tous les jours ? Que nous dormions tous les jours ? Que nous nous sommes sentis en sécurité lorsque les chiens errants voulaient attaquer nos tentes ? Oh fils, il suffit de se livrer à Dieu et il prendra soin de nous et nous aidera à être plus forts. »
Je suis resté bouche bée, sentant une énorme douleur tandis que tous les souvenirs de la guerre me revenaient à l’esprit, et rien de ce que pouvais dire ne pourrait la consoler. Je gardai donc le silence en attendant de trouver un taxi. Elle m’a salué avec un sourire et caressé l’épaule en me promettant de me citer dans ses prières et elle m’a laissé en me disant : « Je dois dois rentrer à la maison, ou devrais-je aller à la tente » et elle riait, me laissant abasourdi qu’après tous ses malheurs, elle possède encore le sens de l’humour.
J’ai décidé de rentrer à pied et j’ai donc eu plus de temps pour penser, et après beaucoup de réflexion j’ai retenu trois faits :
Le jeûne est en effet une vieille habitude pour de nombreuses familles ici à Gaza.
Le génocide commis récemment contre nous a changé nos vies certaines choses ne reviendront plus jamais à la normale.
Nous avons besoin de beaucoup plus de temps pour guérir et nous remettre, bien plus que ce je pensais et nous aurons toujours la cicatrice de ce massacre dans nos cœurs.
Depuis Gaza vers le vaste monde, nous vous souhaitons à tous un Ramadan normal, avec la bénédiction de Dieu !
28 août 2009 - The Palestine Telegraph - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.paltelegraph.com/palesti...
Traduction : Claude Zurbach
Lien de l'article: http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=7191
9/11 : Israel's Super-Thermite Lab
Israel's Nuclear Research Center - Negev near Dimona develops super-thermite films like that found in the rubble of the World Trade Center.
Israel's secret and super-secure nuclear lab is where the extremely powerful super-thermite of 9-11 was designed. The chief scientists involved in the manufacturing of the nano-composite used to pulverize the World Trade Center on 9-11 will be named in a forthcoming article in this space.
By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com
www.bollyn.info (hijacked)
The thesis of my book, Solving 9-11: The Deception that Changed the World, is that a small gang of high-level Zionist extremists carried out 9-11. This group centers around the senior Israeli terrorist, Shimon Peres, who is currently president of Israel. This group includes other Israeli leaders, such as the former Israeli prime minister, Ehud Olmert, and the current prime minister, Benjamin Netanyahu. It also includes the Israeli minister of defense, Ehud Barak, and other less well known members of Israel's military intelligence establishment. Former Mossad officers, especially people like Arnon Milchan, who have been involved in building Israel's nuclear weapons arsenal with Shimon Peres, are also included.
Israel is run by a network of Zionist criminals like Ehud Olmert (seen here), Shimon Peres, and others. Olmert made a secret visit to New York City on September 10, 2001. All the security men in the world will be unable to protect Olmert and Peres when the evidence proves that 9-11 was a Zionist false-flag attack against the United States of America.
The crime of 9-11 is still very much at the center of the political stage. It is the real reason why the Zionist-controlled Barack Obama is president of the United States and why the 86-year-old Shimon Peres is president of Israel. The lie has to be defended to protect the real criminals. Shimon Peres, the father of Israel's nuclear arsenal, and the Zionist criminals who helped him build nuclear weapons in the Negev Desert are at the very center of the false-flag terrorism and deception of 9-11. Peres' friends and Mossad agents like Arnon Milchan, Rafi Eitan, Zvi Malkin, and Avraham Ben-Dor played crucial roles in both 9-11 and the creation of Israel's nukes. This is not merely coincidence.
These Zionist criminals are ruthless but they are not stupid. The most obvious questions are: Why did they do it? How did they think they could get away with it?
The main reason for 9-11 was to change the military equation in the Middle East and bring the United States and NATO into the region on a permanent basis to wage war against the foes of Israel. But how could they possibly think they would get away with such an audacious and heinous crime of false-flag terrorism?
Ariel Sharon, then prime minister, expressed the Israeli thinking when he told Shimon Peres, "We control America." The Israelis would not attempt such an outrageous crime without knowing that every aspect of the cover-up was under their control. As my book describes, the Zionists controlled every nodal point of the 9-11 cover-up. Michael Chertoff, an Israeli and the son of a Mossad agent, controlled the non-investigation and oversaw the destruction of the crucial evidence. The Zionist-owned media, particularly the New York media, Fox News, CNN/Time Warner, and the BBC have all participated in the cover-up and false interpretation of the events of 9-11. A devoted supporter of Israel, Alvin K. Hellerstein, has controlled all of the litigation that concerns the victims of 9-11. Lastly, Zionist agents control the White House and U.S. Congress. The Israelis figured that they had all the bases covered. Having staged many similar terror attacks in Israel, they figured they could get away with the big job in New York City on 9-11. They knew that most Americans would never suspect Israel of being behind such an outrageous crime.
What they didn't expect is that a few Americans would dig into the evidence and uncover every stone to find the real culprits. They certainly didn't expect that a careful and independent scientific analysis of the dust would reveal that a nano-composite form of super-thermite was used to pulverize the World Trade Center. We know that Osama Bin Laden did not have super-thermite, so who put tens of tons of the powerful nano-tech explosive in the Twin Towers? That is the crucial question that will reveal the true culprits of 9-11. The discovery of super-thermite in the dust of the pulverized Twin Towers exposes the hoax of 9-11. Whoever made this advanced nano-tech explosive film had access to the most advanced nano-technology in the world. It certainly was not a gang of Moslem terrorists.
This is the extremely powerful nano-composite used to pulverize the World Trade Center on 9-11. This is a form of super-thermite that was applied as a highly energetic film to the interior surfaces of the Twin Towers.
The pyroclastic dust clouds of 9-11 looked very much like a nuclear blast. The super-thermite that pulverized the Twin Towers was designed at Israel's super-secret complex that manufactures nuclear weapons.
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Arctic Sea : Confirmation of the involvement of Mossad in the kidnapping of Russian cargo ship
وكانت السفينة قد اختفت قبل أكثر من ثلاثة أسابيع من رصدها قبالة الساحل الغربي لأفريقيا وتمكنت القوات الروسية من تحرير طاقم السفينة المكون من 15 بحارا روسيا الاثنين الماضي قرب جزر كيب فيردي. The ship had disappeared more than three weeks of monitoring off the west coast of Africa and the Russian forces to free the crew of 15 sailors Russia on Monday, near the Cape Verde.
وذكرت وسائل إعلام روسية أنه ربما كانت السفينة "أركتيك سي" تحمل صواريخ طراز كروز إكس ـ 55 مخبأة بطريقة غير مشروعة بين شحنة من نشارة الخشب. The media reported that Russia may have been the ship "Arctic Sea" cruise missile X-55 illegally hidden among a load of sawdust.
وأشارت صحيفة "نوفايا جازيتا" إلى أن رجالا يعملون بالنيابة عن الموساد الإسرائيلي خطفوا السفينة, مضيفة أن الزيارة المفاجئة للرئيس الإسرائيلي شيمعون بيريز إلى موسكو في 18 من الشهر الجاري عقب يوم من تحديد موقع "أركتيك سي" كان لاحتواء الموقف. The newspaper "Novaya Gazeta" that the men acting on behalf of the Israeli Mossad seized the ship, adding that the sudden visit to Israeli President Shimon Peres traveled to Moscow in 18 of the month following the day to locate the "Arctic" He's been to contain the situation.
وطالب بيريز, كما تقول الصحيفة, خلال الزيارة موسكو بعدم تزويد إيران بالأسلحة أو أنظمة الدفاع الصاروخية. He said Assad, according to the newspaper, during the visit Moscow for not supplying arms to Iran or missile defense systems.
السلطات الروسية تنفي أن السفينة كانت تهرب أسلحة Russian authorities deny that the ship was smuggling weapons
وكانت السلطات الروسية نفت في وقت سابق تكهنات بأن سفينة الشحن أركتيك سي التي فقدت منذ حوالي ثلاثة أسابيع كانت تهرب أسلحة.
وقال السفير الروسي لدى حلف شمال الأطلسي (الناتو) ديميتري روجوزين إن مزاعم بعض الخبراء العسكريين بأنه كانت هناك صواريخ كروز متجهة إلى إيران مخبأة أسفل شحنة السفينة من نشارة الخشب هي مزاعم "وهمية" و"سخيفة". He said Russian Ambassador to the North Atlantic Treaty Organization (NATO), Dmitry Rogozin, the claims by some military experts that there were cruise missiles bound for Iran, hidden beneath a cargo ship from sawdust are allegations of "fake" and "ridiculous."
وأضاف روجوزين أن نشر أسطول روسي في البحر الأسود بتكلفة كبيرة لتحرير السفينة المخطوفة كان من أجل البحارة الروس وليست شحنة الأسلحة المفترضة. Rogozin added that the deployment of Russia's fleet in the Black Sea at great cost to free the hijacked ship was for the Russian sailors, not the arms shipment assumed.
اتهام رسمي Formally charged
وفي التطورات، وجهت السلطات الروسية الجمعة الاتهامات رسميا لثمانية أشخاص بتهمة اختطاف سفينة الشحن "أركتيك سي". In the developments, and on Friday, Russian authorities have been formally charged eight people on charges of kidnapping the cargo ship "Arctic Sea".
وذكرت وكالة إنترفاكس الروسية للأنباء أن المحققين الروس اتهموا الرجال الثمانية باختطاف البحارة الروس الذين كانوا على متن السفينة بالإضافة إلى القرصنة. According to the Russian Interfax news agency reported that Russian investigators charged eight men kidnapped the Russian sailors who were on board the ship in addition to piracy.
وقال التقرير إن قائمة المتهمين تضم ليتواني وروسي وثلاثة أشخاص بدون هوية، وعلى النقيض من كل التقارير السابقة ضمت القائمة أسبانيا، فيما يتم حاليا التحري عن جنسية شخصين آخرين تدور شبهات حول جنسيتيهما. The report said that the list of defendants includes Lithuanians, Russians and three people without identity, and contrary to previous reports from each list included Spain, is currently being investigated on the nationality of two other suspicions revolve around nationality.
AFFAIRE LOCKERBIE :Erreur judiciaire, haine, contrats et 40 ans de dictature
C'est par ces mots - testament - que monsieur Megrahi s’adresse à l’Occident en demandant la permission de mourir dans son pays.
En l’absence de toute humanité, la libération fut un tollé général en Occident. «Mon message aux communautés britannique et écossaise est que je montrerai des éléments (pour me disculper) et leur demanderai d’être mon jury», «S’il y a une justice en Grande-Bretagne, je serai acquitté ou le verdict sera annulé parce qu’il n’est pas solide. C’est une erreur judiciaire», dit-il au Times. Déjà peu enthousiasmées par sa libération, les capitales occidentales ont vu dans l’accueil triomphal à Tripoli un nouveau motif d’irritation. «Voir quelqu’un qui a commis un meurtre de masse, être accueilli en héros à Tripoli est profondément troublant, profondément affligeant», a estimé le ministre des Affaires étrangères britannique, David Miliband.
La Maison- Blanche a, quant à elle, évoqué un spectacle «scandaleux et dégoûtant», pendant que Paris regrettait une démonstration de joie susceptible de «heurter» les familles des victimes. La presse britannique a estimé samedi que ni Londres, ni Edimbourgh, ni Tripoli n’étaient sortis grandis de la libération d’Abdelbasset Al Megrahi, libéré jeudi par l’Ecosse, et qu’il serait désormais difficile de connaître la vérité sur l’attentat de Lockerbie pour lequel il avait été condamné. Le quotidien Financial Times juge que Londres a trouvé, avec cette libération, un «excellent moyen de se tirer d’affaire» en faisant tout reposer sur l’Ecosse. «Les familles des 270 victimes de l’attentat de Lockerbie ont été abandonnées. Il faut encore enquêter pour savoir tout ce qui s’est passé», défend le FT. De son côté, le Daily Mail estime que la Grande-Bretagne a été humiliée par la Libye tandis que le tabloïd The Sun qualifie l’accueil triomphal reçu par Al-Megrahi à Tripoli de «spectacle écoeurant (...) scandaleux mais inévitable».(1)
«Les parents des victimes britanniques se disent convaincus que Megrahi est innocent contrairement aux parents des victimes américaines qui sont contre la libération de Megrahi. Il semble d’ailleurs que "le deal"
est qu’il renonce à faire appel. Retour en arrière sur le jugement de l’affaire Lokerbie: Pour Michaël Carmichael, l’affaire Lokerbie est un Labyrinthe kafkaïen, il écrit: "Avec ses 270 victimes, Lockerbie fut l’acte terroriste le plus grave sur le sol britannique et le plus odieux perpétré jusque-là contre les Étas-uniens. (..)" Au moment de la tragédie, un groupe extrémiste palestinien soutenu par l’Iran fut choisi comme principal suspect, mais, deux ans plus tard, quand Saddam Hussein sauta sur le Koweït, le feu des projecteurs de la suspicion se déplaça sur la Libye. (...) Sous le poids écrasant des sanctions draconiennes, la Libye eut finalement la sagesse de donner des membres de son propre appareil de renseignement, ce qui pourrait l’aider à organiser la levée des restrictions commerciales paralysantes. Le temps passant, deux malheureux Libyens, Abdelbaset Ali Mohmed Al Megrahi et Al Amin Khalifa Fhimah, furent extradés et envoyés dans une obscure base militaire états-unienne appelée Camp Zeist. Le 31 janvier 2001, un jury composé de trois juges écossais déclara Megrahi coupable et acquitta Fhimah.
Megrahi écopa d’une peine d’emprisonnement à vie, destinée à l’obliger à purger au moins 27 ans de prison». «(...) Pendant les huit ans qui s’écoulèrent entre-temps, les avocats représentant Megrahi ont plaidé en faveur d’un nouveau procès. En 2007, la Scottish Criminal Cases Review Commission (Sccrc) soumit l’affaire Megrahi devant la Justiciary, la Cour d’appel écossaise, une évolution qui aurait pu conduire à son acquittement.
La raison de la décision de la Commission était explicite: des éléments de preuve à décharge ont été écartés lors du premier procès. Dans son annonce officielle, la Commission déclara: Le requérant (Megrahi) a pu être victime d’un déni de justice.»(2)
«Pour aggraver les choses, au fil des ans, les fonctionnaires du renseignement et de la police révélèrent qu’ils étaient en possession de preuves démontrant l’innocence de Megrahi et selon lesquelles d’autres acteurs connus de la communauté internationale se sont rendus coupables des atrocités. Pour ne raconter qu’un seul incident bizarre, Susan Lindauer, une assistante du Congrès états-unien, témoigna que le Dr Richard Fuisz, qui fut employé par la CIA, avait informé qu’il savait comme un fait que Megrahi n’était pas impliqué dans l’attentat de Lockerbie, et qu’il pouvait identifier les auteurs, "si le gouvernement me le permet". Après avoir fait ses preuves connues, Lindauer fut chargée avec un agent irakien et un tribunal fédéral de bâillonner rapidement le loquace Dr Fuisz. (...) Lockerbie reste une tragédie captivante et énigmatique. Les victimes méritent une enquête impartiale, mais, avec tout ce temps passé, la probabilité de connaître un jour les auteurs de Lockerbie diminue. La posture judiciaire actuelle dans cette affaire est insoutenable.(...)». On voit donc que cette «affaire» n’est pas limpide et on peut s’interroger sur le refus des autorités occidentales (tous les pays occidentaux ont intervenu).
Mieux encore, Pierre Pean dans un ouvrage met en cause la responsabilité du juge français Bruguières et d’un enquêteur américain avec lequel il travaillait aussi sur l’autre affaire: celle de l’attentat de l’avion de l’UTA. Résumons ses investigations: «Le 21 décembre 1988, un Boeing de la PanAm s’était désintégré au-dessus de Lockerbie. Bilan: 259 morts. Le procès de deux Libyens inculpés dans cette seconde affaire vient de s’achever à La Haye sur un verdict contesté: (...) pourtant, au début de l’enquête, les pistes menaient à des groupuscules palestiniens, mais aussi à Damas et à Téhéran.. L’été 1990, avec l’éclatement de la crise du Golfe et l’enrôlement de la Syrie et de l’Iran dans la coalition anti-irakienne, les Etats-Unis, suivis par le juge français Jean-Louis Bruguière, décident d’abandonner ces indices et de se concentrer sur les responsabilités libyennes. Les enquêteurs se replient alors, pour incriminer la Libye, sur le témoignage extrêmement fragile, recueilli à Brazzaville, d’un Congolais, Bernard Yanga, lié aux services de son pays.» «Un homme va voler au secours du juge Bruguière, "Tom" Thurman, agent spécial du FBI, qui fait partie de la prestigieuse unité Explosifs, chargée de trouver la signature des bombes et explosifs utilisés dans les actions terroristes. (...) Thurman n’a absolument pas une attitude scientifique. Il se forge une opinion ou "on" lui en souffle une, et il tente ensuite de la "prouver"
scientifiquement. (...)»(3)
«Un an et demi après le début de l’enquête sur l’explosion de l’avion de la PanAm, Tom Thurman "découvrit" un fragment de circuit imprimé, grand comme un bout d’ongle, qui aurait été à l’origine de l’explosion de la valise piégée. Une commission rogatoire présenta une photo de ce fragment à Edwin Bollier, patron de la société suisse Mebo AG, pour identification à la mi-juin 1990. Il reconnut une pièce pouvant provenir d’un lot qu’il avait vendu aux services secrets libyens, mais il eut ensuite beaucoup de mal à examiner la pièce elle-même. Il ne vit deux fragments du fameux timer qu’en septembre 1999, en Ecosse, au procès de Lockerbie. Après examen au microscope, lui et son conseiller conclurent qu’il ne provenait pas d’un timer vendu aux Libyens, que ce bout de timer n’avait pas été connecté électriquement, c’est-à-dire qu’il n’avait pas servi, et surtout que ce n’était pas le même que celui figurant sur la photo qu’on avait montré à Edwin Bollier en 1990! En mai 2000, la justice écossaise lui demande d’examiner un bout du même timer: cette fois-ci, la pièce a été carbonisée! Le fabricant suisse n’hésite pas à clamer sur tous les toits, ou plus exactement sur son site Internet, que les fragments qui lui ont été montrés par le juge écossais ont été modifiés et qu’il s’agit là d’une manipulation: "C’est un faux créé par le FBI pour accréditer la thèse de la culpabilité libyenne. Ce que j’ai vu ne peut pas venir de
Mebo."»(3)
«Jusqu’au début de l’été 1990, le juge Bruguière travaillait donc sur la piste du FPLP-CG et des milieux chiites, piste qui devait conduire ses pas vers Damas et Téhéran, lorsqu’arriva le rapport congolais qui désignait la Libye. Le revirement se produisit à la même date que dans l’affaire de Lockerbie et, dès le début, on y voit la main américaine. Mais les Américains, comme le juge Bruguière, avaient conscience de la fragilité du seul témoignage de Bernard Yanga»..(...) Avant même de prévenir le juge Bruguière, la machine américaine se met en marche pour associer Londres et Paris dans une mécanique répressive à l’égard de Kadhafi, laquelle aboutira à la mise sous embargo de la Libye. (..) L’accusation du juge Bruguière reprend intégralement les conclusions du FBI, sans faire état des contestations de ces conclusions par les spécialistes français. Les affirmations de Tom Thurman ont pourtant déclenché une double
contre-enquête: l’une menée par la 6e Direction centrale de la police judiciaire (Dcpj) et la direction de la surveillance du territoire (DST), l’autre par le laboratoire scientifique de la préfecture de police. Les conclusions des policiers sont formelles: «On ne peut pas démontrer que notre bout de minuteur provient du premier lot acheté par l’usine de Fribourg ou du deuxième lot modifié par le Libyen.» Le juge Bruguière ne mentionne pas davantage la contre-enquête faite au printemps 1993, après celle du FBI, par le laboratoire scientifique de la préfecture de police sous la direction du commissaire Claude Calisti. (...) Malgré les contestations conjointes de la 6e Dcpj, de la DST et du laboratoire de la PP, le juge Bruguière a préféré croire Tom Thurman, le spécialiste de la fabrication de preuves...(...) Une partie de cet acharnement s’explique par la personnalité du juge Bruguière
(...) Ses méthodes, souvent perçues comme expéditives, en font un juge
particulier (...).(3)
Mieux encore; il y a deux ans, un coup de théâtre: selon le Figaro, la déposition d’un ingénieur en électronique suisse pourrait remettre en cause la responsabilité de la Libye dans l’attentat: «J’ai menti dans mon témoignage sur l’attentat de Lockerbie.» L’homme qui a fait cette déposition officielle devant la police de Zurich est l’un des principaux témoins à charge contre la Libye Cette rétractation solennelle, effectuée le 18 juillet 2007 par l’ingénieur en électronique suisse Ulrich Lumpert, pourrait avoir un effet décisif sur le sort du Libyen Abdelbasset Al Megrahi, haut responsable des services secrets de Tripoli, qui purge une peine de prison à vie près de Glasgow. L’ingénieur, avait alors reconnu une pièce à conviction essentielle: un fragment de «retardateur», élément électronique destiné à déclencher une explosion à une heure déterminée, fabriqué par son employeur, la société zurichoise Mebo. Ulrich Lumpert revient aujourd’hui sur ses déclarations et ajoute un élément capital: il assure avoir «volé» ce retardateur dans le laboratoire de Mebo et l’avoir remis à un policier écossais lié à l’enquête, dont il cite le nom. Cette affirmation accrédite une thèse entretenue par de nombreuses personnes, journalistes, magistrats et même parents de victimes: il y aurait eu «manipulation» dans l’enquête, pour incriminer la Libye, alors que les premières pistes menaient à un groupuscule palestinien prosyrien. (...) La justice écossaise a autorisé fin juin le condamné libyen à faire appel, sur la base d’éléments accréditant la possibilité d’une erreur judiciaire.
Mais le fameux retardateur n’en faisait pas partie. Les aveux d’Ulrich Lumpert pourraient ajouter un élément à décharge. Et aider à résoudre un problème qui alourdit toujours les relations entre Londres et Tripoli, qui a toujours clamé l’innocence du prisonnier de Glasgow.(4)
Encore une fois, nous assistons à une justice à deux vitesses. Si la mort dans des conditions atroces des passagers de la Panam est inexcusable, on reste dubitatif sur les faits que les parents des victimes acceptent un dédommagement de 10 millions de dollars par personne et que de plus ils s’acharnent sur un mourant. Personne ne parle plus de «l’accident», admirons au passage l’euphémisme de la doxa occidentale pour qualifier l’attaque d’un avion iranien en 1988 par un missile américain. Le 3 juillet, 1988, le vol 655 de Iran Air volait sur le golfe Persique allant de Dubaï à Bandar Abbas. Selon la version américaine des événements, le croiseur naval américain «USS Vincennes» a pris l’avion de ligne pour un avion de chasse iranien et l’a abattu avec un missile tuant les 16 membres de l’équipage et les 274 passagers. L’Iran considère toujours cet accident comme un «acte de barbarie contre la nation» malgré le fait que les États-Unis se sont excusés et ont promis de dédommager financièrement les proches des victimes. Les parents attendent toujours. il n’y aura vraisemblablement pas de suite et pour cause, c’était un accident. Quand à El-Gueddafi qui étrenne les 40 ans de goulag de son peuple, la richesse insolente du sous-sol libyen lui permet toutes les extravagances personnelles mais celles aussi de ses enfants dont le dernier s’est particulièrement illustré en Suisse par un comportement exécrable. La Suisse qui l’avait arrêté à juste titre, a dû, devant les pressions éhontées, faire machine arrière et présenter des excuses D’aucuns présentent cela comme une victoire de la diplomatie libyenne, c’est une tragique erreur! Un potentat qui est là depuis la nuit des temps prend en otage les espoirs de tout un peuple sous le regard méprisant d’un Occident bien obligé de composer: pétrole oblige. On prête à Hannibal le fils par qui les scandales arrivent, l’intention de remplacer son père. L’impasse libyenne paraît durer mille ans.
1.Al-Megrahi libéré: «Une décision guidée par des intérêts politiques» Le Monde avec AFP 22.08.09
2.Michael Carmichael: Lockerbie et le labyrinthe kafkaïen Global Research,,
21 août 2009
3.Pierre Pean: Les preuves trafiquées du terrorisme libyen Le Monde Diplomatique Mars 2001
4.Lockerbie: un témoin capital affirme avoir menti http://www.lefigaro.fr/international/20070827.FIG000000327_lockerbie_un_temoin_capital_affirme_avoir_menti.html
Pr Chems Eddine CHITOUR
Ecole Polytechnique Alger enp-edu.dz
Inutile élection croisade pétrolière vs Jihad : le peuple afghan pris au piège
Ce jeudi l’Afghanistan nous dit-on, avait rendez-vous avec l’histoire. Il va élire « démocratiquement » à la magistrature suprême le candidat désigné par les Etats-Unis, en l’occurrence l’inamovible Karzaï. Hamid Karzaï, né le 24 décembre 1957 à Kandahar. Depuis décembre 2001, il est président de la République islamique d’Afghanistan. Il fait ses études en Inde. Il fait partie d’un petit mouvement de résistance afghan pro-royaliste, et est nommé vice-ministre des Affaires étrangères lorsque les moudjahidin prennent Kaboul en 1992. Il collabore ensuite avec les taliban mais, après la prise de Kaboul en 1996, il refuse le poste de représentant des taliban à l’ONU proposé par le mollah Omar. Hamid Karzaï est repéré dans les années 1990 par Zalmay Khalilzad, un afghan naturalisé aux Etats-Unis, à l’époque ambassadeur des États-Unis en Afghanistan. Le département d’État décide de le promouvoir comme futur président. Le 13 juin 2002, il est élu président pour deux ans par la Loya Jirga (assemblée coutumière des chefs de clan). Le 9 octobre 2004, soutenu par les États-Unis, il remporte le scrutin. Son autorité se limite à la capitale Kaboul.
« Malgré le foisonnement de candidatures, écrit Zafar Hilaly, à la présidentielle (41), la compétition devrait vraisemblablement se résumer à un duel entre le président sortant et l’ancien ministre des Affaires étrangères Abdullah. (...) Voilà pourquoi le Pachtoune Hamid Karzaï, issu de la plus importante communauté ethnique afghane (40% de la population), les poches garnies de billets qu’il peut distribuer à loisir et flanqué d’une administration locale à ses ordres, est le favori incontestable.(...) Pour les Pakistanais, Hamid Karzaï est une vieille connaissance. Son parti pris contre le Pakistan, d’abord contenu, s’est épanoui sous l’influence des Tadjiks de l’Alliance du Nord, qui vouent au voisin la même haine que les extrémistes hindous. Son rapprochement avec l’Inde en témoigne.(...) L’actuel chef de l’Etat afghan a forgé une alliance militaire avec l’Inde qui, selon certains, représente une menace non négligeable pour la sécurité du Pakistan. Intelligent, habile, corrompu et capable de tirer profit de toutes les situations, Hamid Karzaï n’en est pas moins un dirigeant faible, un homme flexible comme un roseau, doté, pour reprendre les mots d’un président américain [Theodore Roosevelt], de ´´la colonne vertébrale d’un éclair au chocolat´´ -ce qui explique probablement pourquoi Washington l’a choisi pour en faire son représentant en Afghanistan. Le Pakistan et l’Afghanistan sont pourtant condamnés à coopérer. Le président pakistanais Asif Ali Zardari a eu, semble-t-il, raison de traiter Hamid Karzaï en ami »(1)
« Tout le monde s’accorde à penser que les Américains ne tiendront en Afghanistan guère plus de deux ou trois ans. Et, à moins qu’il ne parte avec eux, comme le président Thieu du Vietnam [en 1975], c’est l’homme que les Afghans se choisiront comme chef de l’Etat, le 20 août, qui présidera aux destinées du pays après leur départ. (...) A Washington non plus, personne ne retient son souffle : l’identité du vainqueur importe peu, car ce sont les Etats-Unis qui mèneront la barque afghane dans le futur proche. »(1)
Que devient le peuple afghan dans cette tragédie qui dure depuis plus de trente ans avec l’invasion de l’Urss ? On sait que les taliban avaient jusqu’ici appelé au boycott de ces élections, invitant les Afghans à prendre les armes contre les « envahisseurs » étrangers, les troupes internationales qui ont renversé le régime taliban fin 2001. Aujourd’hui, fortes de 100.000 hommes, les troupes de la coalition de l’Otan sont chargées avec les forces afghanes de veiller à la sécurité des élections. Les Afghans oseront-ils défier ces menaces directes pour aller soutenir des politiciens souvent discrédités ou corrompus ? Risqueront-ils leur vie pour voter pour le président Hamid Karzaï, dont la réélection semble déjà garantie de toute façon mais dont l’autorité s’affaiblit ? Un chiffre : en mars 2008, après plus de six ans de combat, selon les données de l´Afghanistan Conflict Monitor se référant au total de ceux qui ont péri dans cette guerre, il dépasse les 8000 personnes en 2007.Nous aurions un total estimé entre 20.000 et 25.000 personnes mortes entre octobre 2001 et juin 2008. (2)
Ajoutons à cela les bavures appelées pudiquement « dommages collatéraux » par drones interposés. D’ailleurs, obnubilé par la doctrine « zéro américain mort », on apprend que dans un article paru dans le Washington Post, que le Pentagone avait publié une proposition pour embaucher des « agents de sécurité », c’est-à-dire des mercenaires, pour accomplir certaines tâches pour lesquelles l’armée américaine ne dispose pas de personnel suffisant. Comme si cela ne suffisait pas. L’armée américaine réfléchit en plus des drones qui font des ravages, au développement de robots sophistiqués pour être déployés sur les terres de conflits à la place des hommes. Pour les questions éthiques on verra plus tard....« A la prison de Bagram, écrit Mireille Delamarre, sont enfermés de nombreux détenus afghans, souvent pendant des mois voire des années, sans qu’ils puissent bénéficier de l’aide d’un avocat ou sans même savoir le motif de leur incarcération. Bagram est l’équivalent de Guantanamo en Afghanistan. »(3)
Dans la première année de guerre en Afghanistan, le coût financier de la guerre s´élèverait à 1 milliard de dollars par mois. Les États-Unis ont déjà envoyé 6000 missiles et bombes sur le sol afghan. Le coût de certains missiles s´élève à 1 million de dollars pièce. L’argent coule à flots et le peuple n’en voit pas la couleur. Une nouvelle faune détourne les ressources provenant principalement des Etats-Unis. Cette nouvelle élite est, en fait, constituée des personnels d’agences d’aide étrangères gouvernementales ou non gouvernementales. « Cela pose une nouvelle fois, écrit Patrick Cockburn, la question de la complicité active à une guerre coloniale de ces agences et de leur personnel, dans un pays touché par une pauvreté extrême et ravagé par des années de conflits armés. Le mode de vie style "cage dorée" dévoile la vérité dans toute sa laideur concernant l’aide étrangère en Afghanistan. De vastes sommes d’argent sont gaspillées par des agences d’aide occidentales pour leur propre personnel en Afghanistan alors que l’extrême pauvreté pousse de jeunes Afghans à combattre pour les talibans. Actuellement, les taliban paient 4 dollars pour une attaque contre un barrage de police dans l’ouest du pays, mais les consultants étrangers à Kaboul, dont les salaires sont payés avec les budgets des aides pour l’étranger, peuvent bénéficier de salaires compris entre 250.000$ et 500.000$ par an ». « Les dépenses élevées pour payer, protéger et loger dans des conditions luxueuses les responsables occidentaux gérant les aides permet de comprendre pourquoi l’Afghanistan occupe la 174e place sur 178 sur une liste de l’ONU classant les pays selon leur richesse. En 2006, Jean Mazurelle, le directeur de la Banque mondiale de l’époque, a calculé qu’entre 35 et 40% des aides ont été mal dépensées. Il y a eu de nombreuses attaques contre des étrangers à Kaboul et des attentats-suicide ont été selon les taliban efficaces pour concentrer la plupart des expatriés dans des quartiers sécurisés où les conditions de vie peuvent être luxurieuses mais où on mène une vie aussi confinée que dans une prison. ´´J’étais dans la province du Badhakshan dans le nord de l’Afghanistan où vivent 830.000 Afghans la plupart dépendant pour leur subsistance de l’agriculture,´´ a dit Matt Waldman, directeur politique et conseil d’Oxfam à Kaboul. "La totalité du budget du bureau local de l’agriculture, irrigation et bétail, qui est extrêmement important pour les paysans au Badakhstan, est juste de 40.000$ C’est le salaire d’un consultant expatrié à Kaboul pendant quelques mois." (...) » « Le programme d’aide international est plus important en Afghanistan car le gouvernement a peu de sources de revenus. Les dons des gouvernements étrangers constituent 90% des dépenses publiques. L’aide est bien plus importante qu’en Irak, où le gouvernement a des revenus pétroliers. En Afghanistan le salaire mensuel d’un policier est seulement de 70 dollars ce qui n’est pas suffisant pour vivre sans toucher des pots-de-vin. »(4)
Alors qu’un attentat-suicide a frappé samedi 15 août le centre de Kaboul, les rebelles islamistes harcèlent les forces de sécurité afghanes et les troupes de l’Otan pour terroriser la population et empêcher les élections de jeudi. Le spectaculaire attentat-suicide commis à Kaboul samedi 15 août révèle en tout cas de sérieuses brèches dans la sécurité de la capitale afghane. L’Otan et les Américains se rendent compte que la partie ne sera pas facile. Les taliban se battent bien et occasionnent des pertes sérieuses Dans une interview au quotidien de Wall Street, le 11 aout 2009,le général Stanley McChrystal, commandant des forces américaines en Afghanistan, estime que les taliban ont pris le dessus sur les troupes de la coalition.
Dans un entretien à CNN dimanche 9 aout, Susan Rice, l’ambassadrice états-unienne à l’ONU, a confirmé pleinement cette perspective : « Je m’attends à dix années supplémentaires d’engagement des Etats-Unis, et je prévois que le coût de [cet engagement] sera bien plus grand que celui de la guerre d’Irak. Nous voulons investir ce qui sera nécessaire pour atteindre cet objectif. » D’ailleurs, le président Obama a encore répété que la guerre ne sera ni facile ni rapide. Il a annoncé vouloir « gagner les coeurs et les esprits » des Afghans afin de retourner la population contre les insurgés. En clair, réduire les frappes aériennes, notamment dans les zones peuplées. Une stratégie qui n’a pas échappé aux taliban. Ils ont remis en circulation leur petit guide de conduite du combattant islamiste, datant du mois de mai, dans lequel il est recommandé de préserver les civils pour gagner leur coeur Depuis Bruxelles, « le 28 juillet » David Miliband, le ministre des Affaires étrangères britannique, a envoyé au président afghan un message ´´sans équivoque´´, narre le quotidien anglais Times. Alors que des élections générales doivent avoir lieu le 20 août en Afghanistan, il a appelé Hamid Karzaï pour lancer le dialogue avec les taliban modérés. Réponse du berger à la bergère : « Nous ne parlerons jamais au gouvernement de marionnettes de Karzaï », a déclaré le porte-parole des taliban, Yousuf Ahmadi, cité par l’AFP.
Quel serait en définitive la raison de cette guerre ? Ecoutons ce plaidoyer : « Motif principal de la guerre en Afghanistan en 2001, la guerre au terrorisme en Afghanistan est devenue un objectif secondaire mais préalable à la réalisation des enjeux militaro-pétroliers de la région. Il en est de même pour la démocratisation, la sécurisation et la stabilisation du pays. Ces objectifs secondaires auxquels s’ajoutent la reconstruction et l’aide humanitaire forment la base de la propagande de justification de l’intervention militaire occidentale en Afghanistan. (...) La majorité des gens normaux dans le monde sont sincèrement préoccupés par le sort fait aux femmes en Afghanistan mais il serait naïf de penser que l’Administration Bush et les généraux de l’Otan en ait fait un enjeu stratégique. C’est le dernier de leurs soucis sauf que c’est un motif vertueux très commode pour manipuler l’opinion publique. Donc la démocratie et la libération des femmes afghanes sont des motifs très secondaires, mais des arguments vertueux utiles pour la propagande de guerre. »(5)
Que dire en conclusion ? L´Otan, dit-on, est désarmée face à l´emprise talibane. L’analyse suivante nous paraît pertinente : « (...) La vraie question est : quelle histoire l’Afghanistan est-elle en train d’écrire ? Il suffit de parcourir les rues de Kaboul, la capitale, et d’interroger les habitants sur la signification que le mot démocratie a pour eux. Les plus âgés disent qu’ils n’en savent rien, que ce mot n’évoque rien pour eux. D’autres, plus jeunes, observent que cette démocratie correspond à une augmentation de l’insécurité, et à une licence des moeurs qui, s’ils ne la réprouvent pas ouvertement, les gêne, car elle ne colle pas avec leurs traditions, même celles qui sont antérieures à l’époque talibane. En réalité, le problème le plus important de l’Afghanistan réside dans la méthode. On a voulu plaquer sur ce pays aux traditions, spécificités et fonctionnement très particuliers, des recettes types, éprouvées mais adaptées à nos sociétés occidentales. Un fait tout simple : l’organisation de l’Afghanistan repose sur un système tribal et de pouvoirs locaux, villageois même. Il ne s’agit pas là des fameux chefs de guerre, mais de chefs de village, de tribu... Pas forcément taliban, ou fondamentalistes. Comment, alors, un président élu, même démocratiquement, pourrait-il avoir une légitimité ? Mixer le respect de ces traditions avec une dose de démocratie peut permettre aux Afghans d’écrire leur propre histoire, tout en donnant un rôle d’acteur aux Occidentaux. »(6)
Les Afghans forment une vieille civilisation. Ils sont harassés et fatigués de mourir tous les jours pour un pouvoir aussi pourri que les précédents. A Florence Aubenas qui les a côtoyés, ils avouent : « On ne touche que la poussière des 4x4, pas les milliards. » Sept ans après la chute des taliban, ni la communauté internationale ni le gouvernement afghan n´ont été à la hauteur des espoirs qu´ils avaient suscités. Et les Afghans souffrent toujours autant des rivalités claniques, de l´incompétence de leurs dirigeants, et surtout de la corruption. « Ils regrettent le temps des taliban. C´est tout dire. »(7)
A n’en point douter, ces élections ne changeront rien à la donne. On aurait cru que la grandeur des Etats-Unis sous l’ère Obama aurait permis l’avènement de la paix. Il ne faut pas oublier que les taliban, quand ils étaient en odeur de sainteté, avaient un bureau de recrutement à New York pour drainer l´internationale islamique contre « el kouffar » les Soviétiques et disposaient des fameux lance-roquettes Stinger qui avaient fait des ravages dans les chars russes.
1.Zafar Hilaly : Hamid Karzaï prêt pour un second mandat. The News18.08.2009
2.C.E.Chitour : Afghanistan, la mort d´enfants au nom des valeurs de l´Occident. 1.09.2008
3.Mireille Delamarre : Les US ont de plus en plus recours aux sociétés sous-traitantes http://www.planetenonviolence.org 18 Septembre 2008
4.Patrick Cockburn Profiteurs : De Guerre A Kaboul. The Independent 01/05/09
5.http://objection_votre_honneur.monblogue.branchez-vous.com 16.09.2007
6.Storytelling : Quelle histoire pour l’Afghanistan ? http://storytelling.over-blog.fr/
7.Florence Aubenas. Voyage dans un pays en miettes. Le Nouvel Observateur N° 31.07.2008
Pr Chems Eddine CHITOUR
Ecole Polytechnique Alger enp-edu.dz
Ramadhan Mubarak to All of you
Arctic Sea : MOSSAD plans to detonate a nuke in the USA
The possibility that the ship was carrying a lot more than the lumber that it was reported to hold coincided with bin Laden's most recent public claim that he will "soon have a nuclear weapon in my hands."
Anyone can run a sensational sounding story if you don't name names or provide links to back up your wild ass claims, like this piece of disinfo from World Net Daily.
WND is the same quack outfit that was behind Israeli agent Orly Taitz uproar about having a Obama Kenyan birth certificate. Now they're pushing lies from a dead man--Bin Laden--that he will soon have a 'nuke.'
If anything goes BOOM here in the States, it will be another Israeli designed 'false-flag' to get Americans fighting mad to attack Iran and nuke Pakistan.
Israel is pissed that some are suggesting the Zionist entity give back what it stole during it's 1967 War of Aggression. West Bank Hasidics are absolutely livid over this thought and would stop at nothing to keep what they stole.
If that means nuking an American city to get their way, so be it.
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UK's biggest jewel heist linked to Israel
According to an Israeli report, three former senior officials in the Israeli army were the main share holders of the company responsible for guarding the Graff Diamond jewelers in central London, where the robbery took place.
The Universe Security Group (USG) has been in charge of the security of the store, after a group of Balkan robbers -- dubbed the Pink Panther gang -- carried out an armed raid on the same store in May 2005, taking off with 1 million pounds worth of diamonds.
Nahum Admoni, former Mossad chief and Maj. Gen. Uri Sagie, former chief of intelligence in the Israeli army, reportedly resigned from the leadership of the London-based group, just two months before the heist.
Another primary share holder of the security company is Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu's special adviser, Isaac Molho.
The police have meanwhile arrested a 50-year-old man in connection with the robbery, but only described him as a 'minor player' in the act.
The August 6 raid, which had all the makings of a blockbuster movie, was carried out by two smartly dressed men, who had disguised themselves professionally with make-up layered on latex masks, Metropolitan Police footage showed.
In just minutes, the leading men drew handguns, grabbed a female member of staff and headed for the exit with 43 pieces of jewelry including rings, bracelets, necklaces and watches.
They fired warning shots, jumped into a waiting blue BMW and abandoned their hostage, speeding through Mayfair. No one was injured in the incident.
An international man hunt has been in progress ever since, with insurers offering a 1 million-pound reward for information leading to the capture of the thieves and the recovery of the jewels.
Graff on New Bond Street was previously attacked by the notorious Pink Panther gang in 2003 in what until now was reportedly Britain's previous most expensive jewelry robbery, worth 23 million pounds.
http://www.presstv.ir/detail.aspx?id=103938§ionid=351020601
Arctic Sea : une operation terroriste franco-israelienne avortée ?
Le bon port de Béjaïa a-t-il échappé à une cargaison radioactive de l'Arctic Sea ? Non, jure l'Autorité finlandaise de la sécurité nucléaire. Mais le manque de communication sur cette ténébreuse affaire alimente toutes les spéculations.
Tous les ingrédients d'un grand feuilleton d'espionnage sont réunis dans l'affaire de l'Arctic Sea parti de Finlande mais qui a raté, de gré ou de force, sa destination béjaouie pour les eaux lointaines du Cap-Vert: un «casting international», de «l'action» avec une ou deux attaques menées par des hommes armés et, last but not least, une demande de rançon. Celle-ci serait de 1,5 million de dollars. Trop peu, pensent les observateurs, pour des «pirates» qui se sont donné tant de mal pour s'emparer d'un navire au large de la Suède ou du Portugal pour l'emmener si loin de sa destination prévue. Cela ne rend que plus mystérieuse cette affaire où les pirates présumés peuvent tout aussi être des membres de services spéciaux. Ce qui accroît l'atmosphère de roman d'espionnage est qu'aucune des informations distillées n'est certaine. Pas même la localisation de l'Arctic Sea au large des eaux du Cap-Vert. Le feuilleton mystérieux s'est corsé avec une rumeur «radioactive» que l'Autorité finlandaise de sécurité nucléaire (Stuk) a dû démentir avec une vigueur remarquable mais qui pourrait ne pas convaincre des imaginatifs. Ceux-ci peuvent avancer l'argument «rationnel» que les péripéties troubles qui entourent l'Arctic Sea deviennent plus plausibles s'il avait une cargaison d'armes ou des produits radioactifs au lieu de la banale cargaison de bois. En tout cas, un pompier soupçonneux, qualifié «d'imbécile» par le directeur général de la Stuk, Jukka Laaksonen, a bien effectué une mesure de radioactivité, qui s'est avérée négative, sur l'Arctic Sea avant son appareillage depuis le port finlandais de Pietarsaari (ouest).
«Affaire ultrasensible»
«Un pompier, pour une raison inconnue, a pensé qu'il pourrait y avoir de la matière radioactive dans le chargement et c'était une idée absolument stupide. Il n'y avait aucune raison de penser ça. Ils ont commencé à mesurer avec un simple compteur et ils n'ont rien trouvé». La véhémence avec laquelle le patron de la Stuk s'attaque au pompier «imbécile», dont l'action a permis en théorie d'éliminer l'hypothèse de produits radioactifs, est en tout cas fort curieuse et n'est pas de nature à faire «oublier cette idée idiote». En tout cas, la marine russe est aux trousses de l'Arctic Sea. Et dans cette «affaire ultrasensible», pour reprendre les termes d'une agence de presse, une coordination des efforts et des échanges d'informations a été établie entre la Russie et l'Otan. Cette coordination a été confirmée par l'ambassadeur russe auprès de l'Otan, Dmitri Rogozine. La Commission européenne qui avait révélé l'existence d'une deuxième attaque contre l'Arctic Sea au «large du Portugal» aura apporté sa contribution aux mystères qui entourent l'affaire en indiquant que l'attaque n'aurait «rien à voir avec des actes de piraterie traditionnelle ou une attaque armée en pleine mer». Le Bureau national d'enquêtes de la police finlandaise, qui a révélé la demande de rançon transmise à l'armateur de l'Arctic Sea, la société finlandaise Sol Chart, est peu loquace.
Les prochains ingrédients au prochain épisode ?
Le chef du Bureau national d'enquêtes de la police finlandaise, Jan Nyholm, a évoqué un «détournement présumé» mais s'est refusé à donner le moindre détail sur la position du bateau, le sort de l'équipage russe et des raisons qui expliquent cette disparition. Pour lui, l'enquête a pris une dimension internationale et implique une vingtaine de pays et il est nécessaire de ne pas «la mettre en péril». Les Russes dont la marine est partie à la chasse à l'Arctic Sea ne sont pas également communicatifs. Ni sur la position du cargo ou sur leurs intentions au cas où ils le retrouvent. La marine russe organisera un autre abordage musclé - le troisième depuis le début du feuilleton - pour libérer des marins russes, présumés en otage ? Sont-ils d'ailleurs des otages ? Il n'y a que des questions dans cette affaire, très peu traditionnelles. Que contenait ce navire, une simple cargaison de bois qui n'est jamais arrivée à Béjaïa ou quelque chose de plus «sensible»... Il faudra attendre le prochain épisode qui pourrait ne pas apporter de clarifications, mais de nouveaux ingrédients pour un feuilleton estival planétaire...
'Operation November 1950' : French -Israelis Dirty bomb terrorist attacks targeting european ports
A secret cargo and not just timber may be on board a missing ship whose last known radio contact was with British Coastguards, it was suggested today.
Russia’s navy fleet and two nuclear submarines have been scrambled as efforts intensified to locate the Maltese-flagged Arctic Sea and its 15-strong Russian crew.
Experts and marine authorities continued to be baffled today that the 4,000-tonne vessel “disappeared” after its last official recorded positioning off northern France on July 30.
Mikhail Voitenko, editor of Russia’s Sovfracht maritime bulletin, said the ship, carrying sawn timber from Finland to Algeria, might have been targeted because it was also loaded with an unknown cargo.
He told the Russia Today news channel: “The only sensible answer is that the vessel was loaded secretly with something we don’t know anything about.
“We have to remember that before loading in Finland the vessel stayed for two weeks in a shipyard in Kaliningrad.
“I’m sure it cannot be drugs or illegal criminal cargo. I think it is something much more expensive and dangerous.
“It seems some third party didn’t want this transit to be fulfilled so they made this situation highly sophisticated and very complicated.”
The Arctic Sea made routine radio contact with Dover Coastguard as it was about to enter the Strait of Dover from the North Sea at 1.52pm on July 28.
Days later Interpol informed the British Coastguard that the ship had been hijacked days before in the Baltic Sea.
According to reports, it was boarded by up to 10 armed men purporting to be anti-drugs police on July 24.
Some 12 hours later, the intruders apparently left the ship on a high-speed inflatable boat and allowed the vessel to continue on its passage but with its communications equipment damaged.
By the time Interpol alerted Dover Coastguard about the apparent hijacking, the Arctic Sea had already passed through the English Channel, UK Coastguards said.
The ship failed to reach its destination at Bejaia in northern Algeria on August 4, as a supposed crew member on board the vessel told Dover Coastguard when radio contact was made.
It was last recorded on the AISLive ship tracking system off the coast of Brest, northern France, just before 1.30am on July 30, but its whereabouts now remains a mystery.
Russian president Dmitry Medvedev has ordered all Russian navy ships in the Atlantic to search for the missing vessel, the country’s Itar-Tass news agency reported.
Mark Clark, of the UK’s Maritime and Coastguard Agency (MCA), said Dover Coastguard was unsuspecting of anything untoward as a supposed crew member radioed before the ship journeyed through the Channel.
He said: “It’s bizarre. There is no coastguard I know who can remember anything like this happening. Who would think that a hijacked ship could pass through one of the most policed and concentrated waters in the world?”
The MCA said it was informed a Portuguese coastal patrol aircraft spotted the vessel later but its current whereabouts remain unknown.
Mark Dickinson, general secretary of seafarers’ union Nautilus International, raised concerns about the authorities’ “relaxed approach” which he claimed had “led to the shipping industry being the Achilles heel of global security”.
Read more: http://www.examiner.ie/breakingnews/world/secret-cargo-fear-over-missing-ship-422394.html#ixzz0O6MZ1RRv
Myths And Facts About al-Qaeda
Osama bin Laden first used the term "al-Qaeda" in an interview in 1998, probably in reference to a 1988 article written by Palestinian activist Abdullah Azzam entitled "al-Qa`ida al-Sulba" (the Solid Foundation). In it, Azzam elaborates upon the ideas of the Egyptian scholar Sayed Qutb to explain modern jihadi principles. Qutb, author of Social Justice in Islam, is viewed as the founder of modern Arab-Islamic political religious thought. Qutb is comparable to John Locke in Western political development. Both Azzam and Qutb were serious men of exceptional integrity and honor.
While Qutb was visiting the USA in 1949, he and several friends were turned away from a movie theater because the owner thought they were black. 'But we're Egyptians,' one of the group explained. The owner apologized and offered to let them in, but Qutb refused, galled by the fact that black Egyptians could be admitted but black Americans could not," recounts Lawrence Wright in The Looming Tower. Qutb predicted that the struggle between Islam and materialism would define the modern world. He embraced martyrdom in 1966 in rejection of Arab socialist politics.
Azzam similarly rejected secular Palestinian nationalist politics as an impediment to moral virtue. He opposed terrorist attacks on civilians and had strong reservations about ideas like offensive jihad, or preventive war. He also hesitated to designate any Muslim leader as an apostate and preferred to allow God to make such judgments. Inspired by the courage and piety of Afghan Muslims struggling against the Soviets, Azzam reinterpreted Qutb's concept of individual and collective obligation of Muslims in his fatwa entitled "Defense of the Muslim Lands, the First Obligation after Iman (Faith)." Qutb would have prioritized the struggle of Egyptian Muslims to transform Egypt into a virtuous Islamic state while Azzam argued that every individual Muslim had an obligation to come to the aid of oppressed Muslims everywhere, whether they are Afghan, Kosovar, Bosnian, Thai, Filipino, or Chechen.
John Calvert of Creighton University writes, "This ideology would soon energize the most significant jihad movement of modern times."
At Azzam's call, Arabs from many countries joined America's fight against Communism in Afghanistan. No Arab jihadi attack was considered terrorism when Azzam led the group, or later when bin Laden ran the group. Because the global Islamic movement overlapped with the goals of the US government, Arab jihadis worked and traveled frictionlessly throughout the world between Asia, Arabia and America. Azzam was assassinated in Pakistan in 1989, but legends of the courageous sacrifices of the noble Arab Afghans energized the whole Islamic world.
After the Soviets left Afghanistan, bin Laden relocated to Sudan in 1992. At the time he was probably undisputed commander of nothing more than a small group, which became even smaller after he lost practically all his money on Sudan investments. He returned to Afghanistan in 1996, where the younger Afghans, the Taliban welcomed him on account of his reputation as a veteran war hero.
There is no real evidence that bin Laden or al-Qaeda had any connection to the Ugandan and Tanzanian embassy attacks or any of the numerous attacks for which they have been blamed. Pro-Israel propagandists like Daniel Pipes or Matthew Levitt needed an enemy for their war against Muslim influence on American culture more than random explosions in various places needed a central commander. By the time the World Trade Center was destroyed, the Arab fighters surrounding Osama bin Laden were just a dwindling remnant living on past glories of Afghanistan's struggle against Communism. Al-Qaeda has never been and certainly is not today an immensely powerful terror organization controlling Islamic banks and charities throughout the world.
Al-Qaeda maintained training camps in Afghanistan like Camp Faruq, where Muslims could receive basic training just as American Jews go to Israel for military training with the IDF. There they learned to disassemble, clean and reassemble weapons, and got to associate with old warriors, who engaged in great heroism against the Soviets but did not do much since. Many al-Qaeda trainees went on to serve US interests in Central Asia (e.g. Xinjiang) in the 1990s but from recent descriptions the camps seem to currently provide a form of adventure tourism with no future enlistment obligations.
Although western media treats al-Qaeda as synonymous with Absolute Evil, much of the world reveres the Arab Afghans as martyr saints. Hundreds of pilgrims visit Kandahar's Arab cemetery daily, believing that the graves of those massacred in the 2001 US bombing of Afghanistan possess miraculous healing powers.
Karin Friedemann is a Boston-based writer on Middle East affairs and US politics. She is Director of the Division on Muslim Civil Rights and Liberties for the National Association of Muslim American Women. Joachim Martillo contributed to this article.
Indonesia bombings 17th July 2009 : US/Israeli Connection To Bali Bombing
Our sources claim that an Israeli military team arrived at Denpasar Hospital a after the explosion and claimed four bodies of white men in uniform and flew them out of Bali on the Dash 7. The plane took off an hour after the explosion. Our sources have revealed the plane was permitted to pass through Singapore for an unknown destination.
After the bombing and the plane's departure, the tower logs were altered at Denpasar Airport to indicate the Dash 7 had not landed there. However, in a major oversight, the apron logs were not tampered with. Our sources have revealed the Dash 8 was Israeli-owned.
Our Indonesian and American sources report that there was a significant U.S. and Israeli military-intelligence connection to the October 12, 2002 bombings of the Sari Club in Bali, Indonesia. A DeHavilland Dash-7 aircraft registered in Queensland, Australia, landed at Denpasar Airport in Bali only hours before a massive explosion ripped through the Sari Club, killing over 200 people, many of them vaporized.
Our sources claim that an Israeli military team arrived at Denpasar Hospital a after the explosion and claimed four bodies of white men in uniform and flew them out of Bali on the Dash 7. The plane took off an hour after the explosion. Our sources have revealed the plane was permitted to pass through Singapore for an unknown destination.
After the bombing and the plane's departure, the tower logs were altered at Denpasar Airport to indicate the Dash 7 had not landed there. However, in a major oversight, the apron logs were not tampered with. Our sources have revealed the Dash 8 was Israeli-owned.
U.S. and Israeli intelligence involvement alleged in 2002 Bali bombing.
Several victims of the Sari Club bombing at Kuta Beach had flash burns on their bodies -- something common with people exposed to a nuclear blast. Our sources also have revealed that a CIA contract agent -- an Indonesian national -- was at Kuta Beach the day before the terrorist bombing. He is also known to have been involved in other terrorist attacks on behalf of the CIA since 1998.
Our sources also indicate that the then-U.S. ambassador to Indonesia, Ralph Boyce, who is now posted as ambassador to Thailand, was fully aware of U.S. intelligence pre-knowledge of the terrorist bombing in Bali. Boyce told the American managing editor of the Jakarta Post that it would be unhelpful if the paper pursued the U.S. angle in the Bali bombing.
http://waynemadsenreport.com/
Iran in posession of hypersonic missiles loaded with NBC bombs ?
Iran retaliation will target main cities in Israel, US and NATO bases in the Middle East and Central Asia as well as oil, gas production capacity of Tajikistan, Turkmenistan, Uzbekistan, Saudi Arabia, UAE and Kuwait. Major ground invasion may be planned as well in the program in Afghanistan...
IRGC test fires hypersonic unstoppable sun-burn anti ship missiles in Persian Gulf
La 'Casher Nostra', une bande de racaille juifiste vivant en France censure le site LBS d'Ahmed Moualek
Actuellement, vous avez confié l’hébergement de votre domaine labanlieuesexprime.org à notre société OVH sur une offre 240.
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La raison de ce changement d’état est le suivant : Nous avons été alertés par les autorités judiciaires d’un contenu manifestement illicite accessible la page http://labanlieuesexprime.org/artic...
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Pour remettre votre hébergement en etat "OK", vous devez corriger le problème. Une fois que votre probleme sera réglé, vous pouvez contacter le support client.
Nous vous remercions de votre rapide intervention.
Cordialement,
Support Client OVH
Voici comment l’Autorité Palestinienne traite les journalistes palestiniens
Source : Palestine Info
Traduction : MR pour ISM
Feud between Emanuel and Netanyahu heats up
By Wayne Madsen
Online Journal Contributing Writer
Our sources also report that, currently, the major impetus for incessant rumors about Obama’s lack of a U.S. birth certificate is the Netanyahu government. WMR first reported on the attempt to paint Obama as born in Mombasa, Kenya, after our South African intelligence sources reported that a group of U.S. intelligence operatives, similar to the one that Karl Rove dispatched to South Africa in 2004 to dig up dirt on Teresa Heinz Kerry from South African and Portuguese colonial security files, arrived in Nairobi to dig up dirt on Obama’s Kenyan-born father and was on the hunt for a certificate of birth for his son at a Mombasa maternity hospital. The hunt for dirt on the Obama family, which was known to and approved by key officials of the Hillary Clinton campaign, turned up empty-handed.
After the birth certificate story was debunked, Netanyahu resurrected it as a way to pressure Obama from the U.S. fundamentalist right-wing, a group with which he maintains close political and religious links. Currently, Israeli propaganda experts are feeding a flurry of derogatory, bogus ”intelligence” on Obama to neocon media outlets in the United States.
From WMR’s archives: “On February 25, 2008, WMR reported that Karl Rove was quietly assisting the Clinton campaign in a dirty tricks operation against Obama. Rove currently works for Fox News, whose owner Rupert Murdoch, held a fundraiser for Hillary Clinton. On February 19, a Stanley [Associates] employee accessed Obama’s file for the second time. Sometime later that same week, a team of three Americans arrived in Nairobi, Kenya, and traveled to western Kenya and Barack Obama’s father’s birth place to dig up ‘dirt’ on Obama’s family. The details of Barack Obama, Sr., now deceased, would have been readily found in Senator Obama’s passport file. That is the real story, minus the neocon obfuscation and smoke screen.”
Also, according to WMR’s February 25, 2008, report: “WMR’s intelligence sources in Africa are reporting that amid the post-election turmoil wracking Kenya, a three-person team (including a possible Korean-American woman) arrived in Nairobi last week and began asking questions about Barack Obama’s father, the late Barack Obama, Sr.
“The team also inquired about the Senator Obama secondary school in Nyangoma-Kogelo in northwestern Kenya, the area where Obama’s father, an ethnic Luo, hailed and where his grandmother, Sarah Ogwel Onyango, still lives.
“There are also reports that another political operative has arrived in South Africa claiming to have personal connections to Obama. The individual, who is not Cuban, is claiming to be part of an Obama-sponsored US-Cuba dialog initiative. The individual is reportedly attempting to make contact with South African Communists ‘on behalf’ of Obama. The South African Communists contacted are wary of the individual and consider him to be an agent provocateur.”
Passport file rifling
On March 24, 2008, WMR reported: “In another case of neocon manipulation of the news, the story about Barack Obama’s passport file being accessed by two employees of Stanley Associates, Inc. of Arlington, Virginia, a company whose president, Philip Nolan, has donated to the campaigns of Hillary Clinton and her pal, John McCain supporter Joe Lieberman, has strangely morphed into a story about another State Department contractor snooping on McCain’s and Obama’s passport files.
“The story, when it first broke on the evening of March 20, concentrated on the two employees of Stanley being fingered in the snooping after a computer system audit automatically discovered that a VIP’s files were being examined. The initial report from MS-NBC was that the two employees were fired. There was a follow-up report that a third contractor, who was not fired, was disciplined for a passport file access infraction.
“But when the neocon owned and operated Washington Times and Fox News began to report the story, emphasis was shifted to the third employee who was not fired. It turns out that the employee works for The Analysis Corporation (TAC), based in McLean, Virginia. It was very convenient for the neocons to shift the story to TAC because its Chief Executive Officer is John O. Brennan, a retired CIA official and adviser to the Obama campaign.” [Brennan is now the deputy National Security Adviser in the Obama White House].
Warning shot by Netanyahu fired at Obama
Recent information obtained by WMR from U.S. intelligence sources points to the current false birth certificate controversy as merely a “warning shot” being fired across Obama’s bow by the Netanyahu government. Netanyahu’s government has been caught leaking “intelligence” on Obama’s history to neocon news media with the caveat that it is based on bona fide Israeli intelligence reports.
The real issue, WMR is informed, is the distinct possibility that Obama has been in possession of a passport or passports in addition to his U.S. passport, all stemming from his past post-undergraduate and possible pre-graduate work for Business International Corporation, Inc., a non-official cover “business research” firm in Manhattan that operated on behalf of the CIA. Obama wrote for a few Business International Corporation publications as far as his “official” record is concerned.
Obama has apparently gotten tough with the Netanyahu government, telling the Israeli prime minister that he will not be told what to do by Netanyahu or Israel. That toughness has earned Obama a place at the top of Netanyahu’s political hit list.
Netanyahu now apparently stands ready to shift the controversy away from the birth certificate non-issue to the more problematic passport issue. In addition to his American passport, Obama may have traveled in the past, while working for Business International Corporation and other U.S. intelligence-connected entities, on a British or Indonesian passport, or both. In addition to Mossad, Britain’s MI-6 is said to be aware of Obama’s past non-official cover work for the CIA and his past possession of a British passport. This information was reportedly shared with the Hillary Clinton campaign, including former President Bill Clinton, by senior British government officials.
Obama’s post-graduate CIA employment
On February 24, 2009, WMR reported: “After graduating from Columbia University in 1983, Barack Obama went to work for a firm called Business International Corporation (BIC), a firm that was linked to economic intelligence gathering for the CIA.
“For one year, Obama worked as a researcher in BIC’s financial services division where he wrote for two BIC publications, Financing Foreign Operations and Business International Money Report, a weekly newsletter.
“An informed source has told WMR that Obama’s tuition debt at Columbia was paid off by BIC. In addition, WMR has learned that when Obama lived in Indonesia with his mother and his adoptive father Lolo Soetoro, the 20-year-old Obama, who was known as “Barry Soetoro,” traveled to Pakistan in 1981 and was hosted by the family of Muhammadmian Soomro, a Pakistani Sindhi who became acting president of Pakistan [allegedly with the support of the CIA] after the resignation of General Pervez Musharraf on August 18, 2008. [Soomro’s father was Pakistani parliamentarian Ahmed Mian Soomro. Muhammadmian Soomro, a former official for the Bank of America, International Bank of Yemen, Faysal Islamic Bank of Bahrain, Muslim Commercial Bank, Agriculture Development Bank of Pakistan, Federal Bank of Cooperatives, and National Bank of Pakistan, represented Pakistan at the 2004 funeral of President Ronald Reagan. Reagan was President while Obama was working on his unspecified mission for the CIA in Pakistan in 1981].
WMR was told that the Obama/Soetoro trip to Pakistan, ostensibly to go “partridge hunting” with the Soomros, related to unknown CIA business. [The Soomro family were political allies of Pakistan People’s Party (PPP) leaders Begum Nusrat Bhutto, the widow of the slain ex-PPP Prime Minister Zulfikar Ali Bhutto, and Benazir Bhutto, their daughter. Bhutto’s brother, Shah Nawaz Bhutto, was found suffocated in his apartment in Cannes, France in 1985 under mysterious circumstances. The Soomros, who are actually a powerful Sindhi clan, continue to be close to the Bhuttos].
“The covert CIA program to assist the Afghan mujaheddin was already well underway [at the time of Obama’s stay] and Pakistan was the major base of operations for the CIA’s support [for the rebels]. Obama also reportedly traveled to India, again, on unknown business for U.S. intelligence. WMR has been told by knowledgeable sources that Obama has, in the past, traveled on at least three passports: U.S., Indonesian, and British.
“BIC also maintained a European subsidiary, Business International S.A., in Geneva.
“BIC had long been associated with CIA activities since being founded by Eldridge Haynes, a self-professed liberal Democrat. The BIC headquarters was located at the prestigious address of 1 Dag Hammarskjold Plaza in Manhattan. BIC held a series of off-the-record, no press, meetings between top U.S. business executives and top government officials, including the President, and the Secretaries of State, Defense, Treasury, Commerce, and Labor; the Attorney General, Senate leadership, and the heads of the Export-Import Bank and the Inter-American Development Bank.
“BIC held international meetings in locations like Brussels and Mexico City. In 1961, a BIC meeting in New Delhi was attended by Indian Prime Minister Jawaharlal Nehru and Foreign Minister Morarji Desai, who would later become Prime Minister [Desai, in 1992, unsuccessfully sued for libel journalist Seymour Hersh over Hersh’s allegations that Desai passed intelligence to Secretary of State Henry Kissinger via the CIA during the 1971 India-Pakistan war. The US Supreme Court refused to consider a federal appeals court decision in Hersh’s favor] . . .”
Obama’s work for a company having ties to the CIA barely registered a blip on the 2008 presidential campaign radar screen. At the very least, Obama helped in providing economic intelligence to the CIA as a contract employee. At most, Obama was, like previous BIC employees who operated abroad for the CIA, a full-fledged non-official cover (NOC) agent. Since President Obama has backpedaled on CIA renditions and torture, as well as warrantless electronic surveillance by U.S. intelligence, he owes the American people a full explanation of the circumstances behind his being hired by BIC, what his job actually entailed, and whether he continued to have a relationship with BIC or any other CIA operation while attending Harvard Law School and thereafter.”
WMR obtained some 1975 Business International Corporation reports from CIA archives. The output of the firm suggests that it was primarily providing economic intelligence to the CIA as highlighted by the headlines from its October and November 1975 reports:
“The Trading Company: A New Way to Cope with Global Changes.”
“Foreign Investors Find India’s Emergency Rule a Double-Edged Sword.”
“What Venezuela and Bolivia Want”
“Raw Material Producers Eye the OPEC Model: Who? Where? How?
“New UK Perspectives: Wilson’s Economic Plan, Oil and EEC Tensions”
“Latest from Canberra” [a report on the ouster of Labor Prime Minister Gough Whitlam’s government] [there is also a report on the prospects for New Zealand’s Labor government seeing its parliamentary majority trimmed].
“Dwindling Petrodollars Being Change of Pace to Venezuelan Economy”
The Big Six Summit in Paris
When Obama was in Pakistan and worked for Business International, the CIA was involved in a massive espionage campaign in India, as well as with a significant support network for the anti-Soviet Afghan mujaheddin in Pakistan. In 1983, while Obama was with Business International in New York, the first secretary of the U.S. embassy in New Delhi, Henry L. Wetherbee, was expelled after the Indian Intelligence Bureau exposed his involvement with an espionage network of three retired Indian Air Force officers and a civilian. Wetherbee, whose official cover was an embassy policy planning officer, bought classified information from the Indian officials on Soviet equipment being provided for Indian Air Force bases. At the time, India maintained close military relations with the Soviet Union and was opposed to the U.S. support for the Afghan mujaheddin from bases in Pakistan.
The Pakistan that Obama visited in 1981 on “unknown” CIA business was awash in CIA agents providing Afghan Islamist guerrillas with caches of weapons from old Lee-Enfield rifles to Kalashnikov automatic rifles and rocket launchers to mortars, many of which were from Chinese sources.
It was in the environment of Indian-Pakistani antagonism, coupled with U.S.-Soviet rivalry in nearby Afghanistan, that young Obama was immersed while involved with NOC activities on behalf of the CIA in the early 1980s. While Obama traveled to Pakistan on his Indonesian passport, the CIA’s hand-picked dictator, President Suharto, was crushing his political opposition, among them some of his longtime associates who criticized Suharto’s dictatorship: A. W. Fatwa, sentenced to 18 years in prison for “subversive” activities; General Hartono Dharsono, sentenced to seven years on the same charges; and former senior minister Slamet Bratanata and General Abdul Haris Nasution, who helped Suharto gain power.
There is a certain optimism by Obama administration officials about the ouster of governments around the world unfriendly to American interests in the Business International reports, suggesting that Obama’s early work for the CIA front favorably exposed him to the notion that the overthrow of governments is in the best interests of the United States. Obama’s reaction to the recent military right-wing coup against President Manuel Zelaya in Honduras suggests possible influence on him at a young age to such imperialistic American policies. Obama also does not appear to be bothered by the actions of U.S.-supported dictators who act in the very same manner as Suharto during Obama’s childhood in Jakarta.
* * * * *
Emanuel, for his part, realizes that his future depends on the success of the Obama’s presidency. Knowing that he would not last long in a Biden administration or a weakened lame duck Obama administration, Emanuel, WMR is told, is retaliating fiercely against the volley of political threats from Netanyahu and his chief advisers.
Copyright © 2009 WayneMadenReport.comWayne Madsen is a Washington, DC-based investigative journalist and nationally-distributed columnist. He is the editor and publisher of the Wayne Madsen Report(subscription required).
CENTRE GUANTANAMO POUR LA JUSTICE
MI6 operative Bin Sultan Bandar fails his coup d'Etat as described on this blog 18 months before !
If you check this article, you'll find that we had the information 18 months before :
http://islamic-intelligence.blogspot.com/2008/01/bandir-bin-sultan-mi6-operative-next.html
9/11 'It was Jews' : An israeli defense company Elbit put the thermite in the WTC...
ELBIT: The Hellerstein Connection to 9-11
By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com
Christopher Bollyn
August 3, 2009
We should have lost our memories as well as our voices, were it as easy to forget as to be silent.
- Tacitus, Agricola
In response to my recent article asking, "Who put Super-Thermite in the Twin Towers?" I received an interesting tip from a scientist who has worked closely with the U.S. intelligence community. The information, which supports my thesis of Israelis being behind 9-11, points to the Israeli defense company Elbit, a company I have written about in connection with the electronic vote fraud of the Iowa caucus.
Elbit is an interesting Israeli military company that has many subsidiaries and does a frightful amount of business with the U.S. military and government. One of the more conspicuous and curious aspects of Elbit, at least as far as being a possible suspect in the 9-11 crime, is that one of the key people running this Israeli military company is named Hellerstein -- Ran Hellerstein. The judge who controls the 9-11 litigation, which after 8 years has yet to produce a trial, is also a Hellerstein -- Alvin K. Hellerstein. To the conspiracy-minded investigator, this is a coincidence that deserves investigation.
Alvin K. Hellerstein is devoted to protecting Israel. He has obstructed a 9-11 trial for 8 years.
The Hellerstein (Gelerstein, Glersztejn, etc.) family is a devout orthodox Jewish family from the fecund Zionist swamps of Belarus. The Hellersteins come from the village of Selets, Belarus, and were evidently afflicted by the Zionist madness of the late 1800s. Some members of the family emigrated to Palestine while others went to America. The ones that went to Palestine later went to America, and vice-versa. The Hellerstein family is one of the founding families of the Zionist state. The fact that Alvin K. Hellerstein, who is currently ruling over the 9-11 litigation, is a dedicated Zionist with family members in the Israeli government should be an obvious reason to remove him from a trial in which one of the key defendants is a company owned by Israeli military intelligence (ICTS). This, however, has not yet happened and I have yet to hear a lawyer calling for his removal. When all is said and done it will probably not be the Zionist judge who is removed from the process, but the suffering plaintiffs, the Israeli defendants and all the incriminating evidence, because in the end there will probably never be a trial to find those responsible for the crime of the century, at least not as long as Judge Hellerstein is making the decisions.
WHO IS HELLERSTEIN?
Judge Hellerstein is a well known Zionist but who is Ran Hellerstein? He is an Israeli military designer, one of the key people running the Israeli military company Elbit. All of the key players of Elbit have been with the company since the 1980s. They don't change any of the people at the top. Here is what Elbit says about Ran:
Ran Hellerstein, age 58
Executive Vice President and Co-General Manager, Aerospace Division
Elbit Systems Ltd.
Haifa, Israel
Ran Hellerstein was appointed as Executive Vice President and Co-General Manager - Aerospace Division in April 2008 after serving as Corporate Vice President and Co-General Manager - Aircraft and Helmet Systems since 2003. Mr. Hellerstein served as Corporate Vice President and Co-General Manager - Aircraft and Helicopter Upgrades and Systems from 2000 until 2003. From 1996 until 2000, he served as Vice President - Development and Engineering Division, having served as Division Manager since 1993. Mr. Hellerstein joined Elbit Ltd. in 1978 and served in various management positions, including Manager of EDS' Engineering Division, department manager, technical manager and systems engineer. Mr. Hellerstein holds bachelor and master of science degrees in electrical engineering from the Technion.
Hellerstein is an unusual name and I have been looking into the family connections between Ran Hellerstein and Alvin K. Hellerstein. I have already written a great deal about the fact that Judge Alvin K. Hellerstein's sister and son both emigrated from America to Israel. Both moved to Israel where they lived on orthodox Zionist settlements on occupied Palestinian land. Hellerstein's sister Helene lived and died (in 1998) on Kfar Etzion, near Hebron on the West Bank. His son, Joseph, lives on the Modi'in settlement and has worked closely with the Israeli government on negotiations with the Palestinians, in Oslo, for example. There is a very good chance that the Hellersteins of Elbit and New York are cousins. It certainly looks like they are. A Jacob Hellerstein, son of Russian immigrants in Palestine, was one of the founders of the Palestine Bulletin, the paper that became the Jerusalem Post. Jacob came to America in 1927 with his wife Schoni Yoffe and only returned to Israel in the 1970s. His sister, Sara, was killed in the 1946 Zionist terror bombing of the King David Hotel.
In my research of the Hellersteins and Elbit, I came across a very interesting bit of news about the "Danish" anti-Islamic cartoon scandal caused by Flemming Rose. What I found was that Flemming Rose went to Israel in April of this year and spoke at a Hebrew University event hosted by the former head of the Mossad in a forum owned by the man who controls Elbit, i.e. Michael Federmann.
Michael Federmann of Elbit and Federmann Enterprises
The following Jerusalem Post note about Flemming Rose's recent speech in Israel reveals the true source and motivation of his anti-Islamic cartoons:
What are the limits of freedom of expression? Where do people draw red lines - or don't they?
Flemming Rose, the cultural editor of the Danish daily newspaper Jyllands Posten, who published the offensive cartoons of the prophet Mohammed that pushed the buttons of many believers in the Muslim world, will discuss the issue today, Wednesday, at 5 p.m., at a symposium in the Handler Auditorium of the Truman Institute on the Mount Scopus campus of the Hebrew University of Jerusalem.
The program is provocatively titled: "Freedom of Expression - Victim of Religion?"
Other speakers are David Horovitz, editor-in-chief of The Jerusalem Post, and Michel Kishka, editorial cartoonist and lecturer at the Bezalel Academy of Arts and Design.
Moderator will be former Mossad chief Efraim Halevy, who is currently head of the Shasha Center for Strategic Studies at the Federmann School of Public Policy and Government at the Hebrew University, which is sponsoring the event.
Efraim Halevy
(Note – Efraim Halevy was head of Mossad from 1998-2002 and now works for Michael Federmann, owner of Federmann Enterprises and the largest shareholder of Elbit.)
Sources :
Source: Serving up the bread of affliction, The Jerusalem Post (Israel) - Wednesday, April 22, 2009, Greer Fay Cashman
Sources and recommended reading (Bollyn articles):
Is 9-11 Judge Hellerstein Working for Israel? October 23, 2007http://www.rumormillnews.com/cgi-bin/archive.cgi?read=111821
How "Jewish" Zionists Fuel Hostility to Muslims, January 2, 2006http://www.rumormillnews.com/cgi-bin/archive.cgi/read/83815
Why the European Press is Provoking Muslims, February 3, 2006http://www.rumormillnews.com/cgi-bin/archive.cgi/read/84976
ELRON - VOXEO: The Israeli Defense Firm That Tallies the Iowa Caucus, December 31, 2007http://www.bollyn.com/elron-voxeo-the-israeli-defense-firm-that-tallies-the-iowa-caucus
The Absence of Justice for 9/11 Victims, March 20, 2007http://www.bollyn.com/index.php?id=10665
9/11 – 7 Years After, September 12, 2008http://whitewraithe.wordpress.com/2008/09/12/911-7-years-after/
Who Put Super-Thermite in the TwinTowers? July 20, 2009http://www.bollyn.com/home#article_11240
Why Afghanistan?
Yossi Maiman's network reveals the Mossad-controlled companies linked to 9-11 and the war in Afghanistan. Maiman, for example, is an owner and director of Eltek, Ltd. an Israeli manufacturer of printed circuit boards, along with Eytan Barak. Barak is also a director of ICTS International N.V., the Israeli aviation security company that owns Huntleigh USA, the passenger screening company directly involved with the planes and passenger screening operations on 9-11
By Christopher Bollyn
http://www.bollyn.com/
Every war results from the struggle for markets and spheres of influence, and every war is sold to the public by professional liars and totally sincere religious maniacs, as a Holy Crusade to save God and Goodness from Satan and Evil.
- Robert Anton Wilson (1932-2007)
The discovery of pieces of an extremely explosive form of super-Thermite in the dust of the World Trade Center is of profound importance because it is evidence of the actual nano-Thermite used to demolish and pulverize the Twin Towers. The red-gray chips found in the dust by Dr. Steven E. Jones of Brigham Young University disprove the government claims about what caused the destruction of the three towers on 9-11. Fragments of the nano-composite explosive were analyzed by an international team of nine scientists and the evidence presented in a peer-reviewed paper in March 2009.
Fragments of the highly explosive super-Thermite found in the dust of the World Trade Center
The discovery of super-Thermite in the dust exposes the government-funded reports as fabrications created to conceal the explosive demolition of the Twin Towers and WTC 7. The 9-11 reports produced by the federal agencies FEMA and NIST were written to mislead the public and media about what really happened to the buildings – and the thousands of people trapped within them. This is to say that the U.S. government and controlled media have intentionally deceived the public for eight years.
The highest officials of the Obama administration have the evidence discussed in the Jones paper but have ignored the discovery of super-Thermite in the rubble and refuse to discuss the evidence of explosions in the towers on 9-11. On May 18, 2009, U.S. Vice President Joseph Biden was personally given a copy of the 25-page Jones paper during a visit to Los Angeles and asked about the administration's position on the need for an investigation in light of this discovery. Biden refused to answer the journalist's questions, but took the paper and immediately left the event.
The government and the controlled media claim that the Twin Towers of the World Trade Center collapsed due to fires caused by the crashes of the two airplanes that hit them. It needs to be clearly understood that the evidence presented in the Jones paper completely disproves the government claims about what happened on 9-11. The publication of the evidence of super-Thermite in early 2009 marked the end of the government version as an acceptable explanation for the events of 9-11. It exposes the official version to be nothing but a pack of lies used to start the Israeli-designed "War on Terror" – and a very real war of aggression in Afghanistan.
OUR POLITICAL PREDICAMENT
The evidence of super-Thermite in the dust of the pulverized Twin Towers puts every American in the unpleasant position of having to decide what to believe about 9-11 and the war in Afghanistan. If the evidence of the extremely powerful nano-composite explosive in the dust is correct, as it certainly appears to be, it would mean that the Obama administration, members of Congress, and the media are intentionally deceiving the American people about what happened on 9-11. This deception, which began on 9-11, was used to send U.S. forces to invade and occupy Afghanistan. If this is the case, the officials engaged in this deception are committing high crimes and treason. This is clearly an unacceptable situation that cannot be tolerated. The officials who are supporting the deception about 9-11 and the wars of aggression in Afghanistan and Iraq need to be removed from office and held accountable for their actions and crimes.
This is the political predicament that faces every American citizen today. Although this dilemma is most acute in the United States, other nations face similar predicaments. Some forty nations are involved in the U.S.-led occupation of Afghanistan and in each of them the public has been deceived about the real reasons for the war. One can almost gauge the degree to which a nation is Zionist-controlled by the number of troops it has sent to Afghanistan. The United States and Britain have sent the largest contingents, followed by Germany, France, Canada, Italy, Poland, the Netherlands, and Romania.
TYRANNY OF LIES
When Joe Wilson, a Republican representative from South Carolina, shouted, "You lie," during President Barack Obama's recent speech to Congress about healthcare on September 9, 2009, it was a perfect example of the expression, "the pot calling the kettle black." Rep. Joe Wilson has been deceiving the American people about the real reasons for the war in Afghanistan since 2001. As a member of the House Committee on Armed Services and the Committee on Foreign Affairs, Wilson has access to highest level intelligence and cannot claim ignorance as an excuse for the lies he tells the public.
In an interview with Greg Corombos of Radio America on September 21, 2009, Representative Joe Wilson repeated, once again, the fundamental deception about 9-11 and the war in Afghanistan:
We know that September the 11th, the attacks on New York, Pennsylvania, and Washington, were directed from a valley in Afghanistan. We should not have to learn that again. What we are doing is truly protecting the American people by providing for a stable government in Pak… in Afghanistan.
About the war in Afghanistan, Wilson repeated the lie he has been telling for years, using the word "truly," as he often does. "This is truly an issue of protecting American families at home by defeating the terrorists overseas," he said.
If Wilson is correct about 9-11 being "directed from a valley in Afghanistan" it would mean that Osama Bin Laden and Al Qaida terrorists managed to place many tons of a very sophisticated explosive film of nano-Thermite in the Twin Towers before they were demolished. This would mean that Bin Laden, working from a cave in Afghanistan, one of the poorest nations in the world, had access to state-of-the-art nanotechnology and the wherewithal to secretly apply the super-Thermite and other explosives to the surfaces and core columns of the well-guarded towers in New York City. Like all other supporters of the government deception about 9-11, Wilson can only make such absurd and incredible statements by completely ignoring the scientific evidence of super-Thermite in the dust of the pulverized Twin Towers. It should be noted that most members of Congress support the false claims articulated by Rep. Joe Wilson.
Blaming Osama Bin Laden and Al Qaida for 9-11 was evidently the master plan behind the false-flag terror attacks. The corrupt government officials and the controlled media cannot address the evidence of super-Thermite presented by Dr. Jones because that would expose the pack of lies about 9-11 and the war in Afghanistan, a deception they have supported for eight years. The first response to 9-11 by the administration of George W. Bush was the military invasion and occupation of Afghanistan. This indicates that invading Afghanistan was the real reason for the terror atrocities that ushered in the Zionist-designed fraud known as the "War on Terror." That is to say that thousands of Americans were killed on 9-11 to provide an excuse to invade and occupy Afghanistan.
WHY AFGHANISTAN?
The administrations of George W. Bush and Barack Hussein Obama II are Zionist-dominated and controlled governments. Rahm Emanuel, for example, the Chief-of-Staff of the Obama White House, is actually an Israeli citizen and the son of a Zionist terrorist from the Irgun, the most radical terror gang in Palestine during the 1930s and 1940s. The Zionist influence in these administrations can easily be seen by the placement of pro-Israel agents in different positions at every level.
Israeli influence within the U.S. military and intelligence spheres is as extensive and deep as it is within the Oval Office. Israeli military intelligence has a great deal of influence in every sphere of the U.S. government which is involved in making the decisions that go into taking the United States to war. That the U.S. government would accept Israeli intelligence on the Middle East from a state that has been at war with nearly every other nation in the region since 1948 is clearly an absurd and biased situation but that is how it is. This is how the United States was taken to war in Afghanistan in October 2001 – and why we are still there.
Although no group claimed responsibility for the attacks, Israeli political and military leaders were well prepared to immediately interpret the meaning of 9-11 and spoke to the mass media with one voice. On the very day of the attacks, for example, Shabtai Shavit, the former head of Israel's Mossad, said: "The attacks symbolize the conflict between extremist Islam versus the Western democracies." The Mossad then provided fabricated evidence to support its claims via its agents in the U.S. government, such as Assistant Attorney General Michael Chertoff, the key official in the cover-up of 9-11.
The Israeli politicians Benjamin Netanyahu and Ehud Barak were the very first people to blame Osama Bin Laden for 9-11 and call for military action against the Taliban-led regime in Afghanistan. They used the terror attacks and the controlled media to begin the Zionist fraud known as the "War on Terror," an Israeli military strategy long promoted by "Bibi" Netanyahu.
Israel's current Prime Minister Bibi Netanyahu and Defense Minister Ehud Barak called for U.S. military action against Afghanistan immediately after 9-11.
On 9-11, Ehud Barak, the former Israeli prime/defense minister/military intelligence chief, was the first person to call for the U.S. to attack Afghanistan. Barak told Rupert Murdoch's Sky Television in London that Western governments needed to make a concerted effort to combat terrorism: "Most obviously my guess is a bin Laden organization...We have to stand firm against such terrorism," Barak said.
"We have to coordinate to launch the same kind of fight that our forefathers gave to the fight against piracy on the high seas - mainly terrorists should not be allowed to land at any port or airport," Barak said. "The leadership of the world should be able to take action. It is time for action. The world is not going to be the same place as before," he said.
"Bin Laden sits in Afghanistan," Barak said on 9-11. "We know where the terror sites are. It's time for action."
When Barak specifically called for military action against Afghanistan, he was speaking for Israel's military intelligence establishment, an organization he has headed for many years. Barak is Israel's current minister of defense and has been at the top of Israel's military intelligence organization for several decades. He was head of Israel's Military Intelligence Directorate (AMAN 1983-1985), head of Central Command (1986 - 1987), and Deputy Chief of the General Staff (1987-1991). He was Chief of the General Staff between April 1, 1991 and January 1, 1995.
Barak went on to serve as Minister of the Interior (1995) and Minister of Foreign Affairs (1995-1996). He was elected to the Knesset in 1996, where he served as a member of the Israeli government's committees on foreign affairs and defense. In 1996, he became the leader of the Labor Party and was elected to be prime minister in May 1999. He served as prime minister until early 2001, when he went into business, primarily in the United States. An article in the Israeli press entitled "Ehud Barak Ltd." discussed some of the people involved with Barak's business dealings and his penchant for secrecy: "None of them really has the whole picture of Barak's business dealings - in business, as in politics, his policy is strict compartmentalization and secrecy."
Why would Ehud Barak, the most senior member of Israel's military intelligence establishment, call for the U.S. to invade Afghanistan before any investigation of the terror crimes of 9-11 had even begun? How would Israel benefit from a U.S.-led invasion and occupation of Afghanistan?
As Robert Anton Wilson said, "Every war results from the struggle for markets and spheres of influence." The war in Afghanistan is certainly no different. The Israelis are determined to use their influence in the United States to advance their interests and influence in Central Asia while limiting those of Russia and Iran. Following the break-up of the Soviet Union, Israeli agents sought to gain control of the strategic assets of the newly independent Soviet republics. In mineral-rich Turkmenistan, a Mossad agent named Yosef A. Maiman was very successful in gaining control of the republic's immense resources of natural gas.
Yosef Maiman, born in Germany in 1946, grew up in Peru and studied in the United States before becoming an Israeli citizen in 1971. As an agent of Israeli intelligence, Maiman heads a network of Mossad-controlled companies that serve Israeli interests. As the chief executive of the Merhav Group, Maiman has long controlled the development of Turmenistan's gas resources, which are considered to be second only to Russia's. Maiman's key colleagues at Merhav are the former head of the Mossad, Shabtai Shavit, and Nimrod Novik, chief adviser to Shimon Peres, the current president of Israel.
Mossad agent Yosef A. Maiman controls the gas resources of Turkmenistan.
Maiman was described as "a leading miner" of Central Asian gas fields by the Jerusalem Post in 2004. Given their control of the immense gas resources of Turkmenistan, Maiman, Merhav, and the Mossad would all profit if and when the U.S.-led coalition were able to "pacify" and control Afghanistan so that the Turkmenistan-Afghanistan-Pakistan-India (TAPI) gas pipeline could be built allowing the gas of Turkmenistan to be sold to energy-hungry India. The TAPI pipeline project would bring billions of dollars into Mossad coffers every year. This is the real reason for the war in Afghanistan and why the Zionist-controlled Obama administration has increased the war effort in Central Asia. It has nothing to do with terrorism or 9-11.
The Merhav Group is a private company. Maiman is president and chairman of the board. He is also chairman of Ampal-American Israel Corporation, Israel's Channel 10 (which he owns with Ron Lauder, Rupert Murdoch, and Arnon Milchen), Gadot Chemical Tankers and Terminals Ltd., and Arnon Milchen's agro-chemical company, Milchen Brothers Ltd.
Maiman's Merhav Group is a Mossad-controlled network of companies.
Maiman's network reveals the Mossad-controlled companies linked to 9-11 and the war in Afghanistan. Maiman, for example, is an owner and director of Eltek, Ltd. an Israeli manufacturer of printed circuit boards, along with Eytan Barak. Barak is also a director of ICTS International N.V., the Israeli aviation security company that owns Huntleigh USA, the passenger screening company direct
Sources and Recommended Reading:
"Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe," by Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley, and Bradley R. Larsen, The Open Chemical Physics Journal, 2009, 2, 7-31http://www.bollyn.com/public/Active_Thermite_at_WTC.pdf
Video : Comment la racaille juive sioniste de France manipule les goy-souchiens
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Netanyahu provoque les Palestiniens en prevision d'attaques terroristes en Europe et au Moyen Orient
L'expert turc aux affaires d'al-Qods et de la mosquée sainte d'al-Aqsa, Dr. Ahmed Faroul, a averti des incursions des groupes extrémistes sionistes dans les esplanades de la mosquée sainte d'al-Aqsa, en déclarant que cette incursion n'est qu'une expérience en vu de commencer d'autres pas plus dangereux, durant les heures et jours prochains.
Il a appelé les habitants d'al-Qods et des territoires occupés en 1948, ainsi que toute personne qui peut se diriger vers la mosquée d'al-Aqsa, à intensifier leur existence dans la mosquée sainte pour faire face aux attaques sionistes probables.
Dr. Faroul a condamné, le dimanche 27/9, dans une déclaration de presse, la position arabe et islamique, ainsi que leur silence envers les agressions sionistes contre la mosquée d'al Aqsa, en déclarant que ce silence est le résultat des intentions de plusieurs pays arabes à normaliser leurs relations avec l'entité sioniste, en échange des propagandes de la direction américaine concernant l'arrêt de la colonisation sioniste.
Il a ajouté que la question d'al Qods et d'al-Aqsa sont une cause pour tous les musulmans et que cette mosquée sainte appartient à tous les musulmans, en soulignant que les sionistes ont exploité le silence du monde arabe et islamique pour attaquer la ville occupée d'al-Qods et la mosquée sainte d'al-Aqsa.
L'expert turc a dit que les extrémistes sionistes se préparaient, depuis plusieurs jours, pour envahir la mosquée sainte d'al-Aqsa, en rappelant l'appel, d'hier samedi 26/9, d'Ekrima Sabri aux habitants d'al-Qods pour se diriger vers la mosquée sainte d'al-Aqsa et la défendre devant les agressions sionistes.
"Comment les pays arabes peuvent-ils normaliser leurs relations avec l'entité sioniste alors que l'occupation sioniste continue ses agressions sauvages contre les lieux saints", s'est interrogé l'expert turc en déclarant que cette position a encouragé les sionistes d'envahir la mosquée sainte d'al-Aqsa.
Dr. Faroul a appelé l'organisation de la conférence islamique à jouer son rôle pour soutenir et protéger la mosquée sainte d'al-Aqsa, en disant que cette organisation a été créée après l'incendie d'al-Aqsa pour adopter la question de la Palestine et d'al-Qods.
Le chef du mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948, Cheikh Raed Salah a condamné fortement les crimes de l'occupation israélienne contre la mosquée sainte d'Al Aqsa, en lui portant la responsabilité totale de tout dommage visant la mosquée bénie."Nous les palestiniens, sommes totalement prêts à se sacrifier et présenter nos âmes et nos sangs pour protéger la mosquée sainte d'Al Aqsa", a souligné le leader et célèbre palestinien, suite à l'offensive sioniste contre les esplanades sacrées d'Al Aqsa, le dimanche 27/9, tout en appelant les fidèles de la mosquée sainte, du Néguev, du Galilée, et de la région triangulaire, à se diriger vers Al Aqsa pour la défendre.
Salah a appelé les arabes, les musulmans, les chrétiens, les hommes libres du monde entier, ainsi que la communauté internationale, l'ONU, la ligue arabe, à se motiver immédiatement pour cesser les crimes horribles et pratiques hostiles des extrémistes sionistes manipulés par des agendas de l'occupation sioniste qui les pousse et les protège dans leurs incursions sauvages visant la mosquée sacrée.
En attirant l'attention de l'opinion public aux vrais dangers sionistes qui menacent la bénie mosquée, sous prétexte des rites étranges sionistes, à l'occasion du jour de Kippour; Salah a alerté et appelé les palestiniens à faire face aux crimes de l'occupation, tout en demandant l'autorité palestinienne d'arrêter immédiatement tout contact avec les dirigeants sionistes qui humilient la mosquée sainte d'al Aqsa et œuvrent pour la démolir, en ignorant tout ce qui est sacré.
Le député du mouvement islamique au conseil législatif palestinien, Cheikh Hamed al-Bitawi, a affirmé que le choix du Djihad (résistance) est le seul moyen pour libéré la mosquée d'al-Aqsa, tout en avertissant des grands dangers qui menacent cette mosquée sainte.
L'ancien orateur d'al-Aqsa a dit, le dimanche 27/9, dans ses déclaration de presse que l'agression de la police sioniste contre les fidèles dans la mosquée sainte d'al-Aqsa n'est pas la première ni la dernière, et que l'occupation poursuit ses crimes contre les Palestiniens depuis sa création sur les territoires Palestiniens occupés en 1948.
Il a souligné que la politique de coordination sécuritaire adoptée par l'autorité de Ramallah avec l'occupation israélienne pour frapper la résistance en Cisjordanie occupée a donné le feu vert aux sionistes pour envahir les esplanades de la mosquée sainte d'al-Aqsa et attaquer les fidèles palestiniens à al-Qods.
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Nous devons prendre la mesure du danger et venir en aide aux Palestiniens de Jérusalem pour sauver la sainte Mosquée. Ne les laissons pas seuls ; faisons pression auprès de nos gouvernements pour que les sionistes ne parviennent pas à leurs fins…Seuls, ils ne réussiront pas !
Soutien-palestine.blogspot.com
Nous devons prendre la mesure du danger et venir en aide aux Palestiniens de Jérusalem pour sauver la sainte Mosquée. Ne les laissons pas seuls ; faisons pression auprès de nos gouvernements pour que les sionistes ne parviennent pas à leurs fins…Seuls, ils ne réussiront pas !
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Comment la France et ses GIAs ont frappé en 1995 Paris pour garder le controle du gaz et du petrole algerien
Terreur sur l'Europe
En autorisant fin 1994 le président Zéroual à organiser une élection présidentielle l'année suivante, les généraux éradicateurs ont obtenu qu'il mette fin à ses initiatives dialoguistes et ils ont pu réactiver la « lutte antiterroriste ». Leur objectif : « Nettoyer le terrain » pour la présidentielle, s'assurer qu'aucun islamiste ni aucun démocrate crédible ne viendront remettre en cause leur pouvoir. Mais ce qu'ils n'ont pas prévu, c'est l'accord de Rome. En s'engageant publiquement à respecter la démocratie, les représentants du FIS basés en Europe et aux États-Unis ont fait la preuve de leur pragmatisme et ils ont contribué à convaincre la communauté internationale qu'ils pouvaient légitimement participer à un processus de paix. Autre souci pour le « clan éradicateur », on l'a vu, les dirigeants du FIS se démarquent de plus en plus clairement du GIA et condamnent désormais systématiquement les attentats attribués à Djamel Zitouni (1).
En ce printemps 1995, l'opinion internationale risque donc de comprendre que sous la férule de ce dernier, le GIA n'est plus qu'une « organisation écran » du DRS. Pour les patrons des « services », il devient donc essentiel de neutraliser les représentants du parti d'Abassi Madani qui militent en Europe en faveur des accords de Rome et d'empêcher des pays comme la France de basculer en faveur du dialogue. À l'époque, trois pays sont particulièrement surveillés par le DRS : la Grande-Bretagne, d'où les militants du FIS développent une importante propagande contre le régime, la France, où vit encore le cheikh Abdelbaki Sahraoui, le très respecté cofondateur du FIS, et l'Allemagne, où est installé Rabah Kébir, porte-parole du mouvement.
Jusque-là cantonné au territoire algérien, le GIA de Djamel Zitouni va désormais être utilisé par le DRS pour éliminer des opposants en Europe et organiser des attentats de nature à inciter l'Occident à se radicaliser à nouveau contre l'islamisme.
Le GIA débarque à Londres
Depuis l'interruption du processus électoral, en janvier 1992, beaucoup d'opposants algériens sont réfugiés en Grande-Bretagne. À Londres, les hommes du DRS surveillent particulièrement des sympathisants islamistes comme Kamel Rebika ou Abdallah Messaï, qui distribuent en Angleterre le bulletin du FIS. Pour contrôler leurs activités, les services sont prêts à tout : « À chaque fois que des sympathisants à nous allaient chercher des papiers à l'ambassade, se souvient Messaï, les autorités leur demandaient de devenir des indicateurs de la Sécurité militaire en donnant des informations sur nous et nos activités. Un jour, ajoute l'ancien sympathisant du FIS en souriant, ils ont appelé l'épouse d'un de nos militants en lui disant : “La police va venir, il faut jeter tous vos carnets d'adresse à la poubelle, tout ce que vous avez, tous les documents qui contiennent des indications.” La pauvre, elle était un peu naïve, elle a pris peur, elle a tout jeté dans la poubelle de la rue. Le soir, quand son mari est revenu à la maison, il a cherché à récupérer les documents dans la poubelle (les éboueurs n'étaient pas encore passés), mais il n'a rien trouvé ! Les gens de l'ambassade étaient venus les récupérer (2)… »
À partir de 1994, les méthodes du DRS se professionnalisent. Sur ordre du général Toufik Médiène, de nouvelles équipes sont formées et envoyées en Europe : « On les appelait les “équipes d'investigation et d'intervention”, nous a expliqué l'ex-adjudant Abdelkader Tigha. Elles étaient spécialisées dans le recueil de renseignement, les filatures, les identifications et les photographies. » Se faisant parfois passer pour des employés d'Air Algérie, les agents du général Médiène interviennent en Belgique, en Allemagne, en France ou en Grande-Bretagne, avec des objectifs précis : « À Londres, raconte Tigha, le capitaine Abdelhak et cinq autres éléments sillonnaient chaque jour les mosquées de la capitale. Ils photographiaient les suspects et les suivaient partout. Il y avait des ordres du général Médiène pour liquider des opposants sur le sol européen dès que l'occasion se présenterait. »
Dans les mosquées de Londres, les hommes du capitaine Abdelhak croisent Abdallah Messaï, dont l'activité consiste à récolter de l'argent auprès des fidèles pour « aider les familles des moudjahidines », mais aussi à diffuser auprès de la communauté internationale les vrais communiqués islamistes en provenance d'Algérie : « On était parmi les seuls à distribuer au journal El-Hayat et au monde entier des bulletins réguliers informant des combats qui se déroulaient en Algérie, se souvient Messaï. Car il y avait des combats tous les jours, des morts tous les jours. Il ne faut pas oublier cela (3). On recevait les communiqués par fax et si on les croyait authentiques, on les distribuait. »
À partir de juillet 1994 et de l'assassinat des marins italiens (voir supra , chapitre 22), les groupes armés dont Messaï et ses compagnons distribuent la propagande commencent à se démarquer du GIA, qu'ils accusent d'être infiltré par le DRS : « À l'époque, estime Messaï, El-Ansar , le “bulletin du GIA” disait qu'il fallait commettre des attentats à Paris, massacrer les impies. Nous, on était contre ce genre d'actions dès le départ. On pensait que les membres de ces GIA n'étaient pas de vrais moudjahidines mais qu'ils travaillaient en fait pour la Sécurité militaire. Beaucoup étaient probablement des abrutis qui travaillaient pour le régime sans même s'en rendre compte. »
En 1995, estimant qu'il devient évident que le GIA est infiltré par les services, Messaï et ses compagnons commencent à rassembler les communiqués dans lesquels leurs groupes s'en sont démarqués (4). Devenus gênants, ils sont bientôt contactés par un étrange Algérien : Réda Hassaine. « Ce monsieur est venu nous voir pour tenter de discréditer l'un des groupes dont nous diffusions les communiqués. C'était un groupe qui avait toujours soutenu l'Armée islamique du salut [bras armé du FIS], qui s'était toujours opposé aux assassinats d'étrangers et d'enfants. Hassaine prétendait que ce groupe collaborait en fait avec les services algériens, comme pour tenter de le discréditer à nos yeux. En fait, nous étions certains que le groupe en question ne collaborait pas avec les services. On en a donc conclu que celui qui travaillait pour les services, c'était Hassaine lui-même. Il l'a d'ailleurs reconnu par la suite (5). Il était là pour introduire la pagaille dans les milieux islamistes de Londres, pour semer la confusion et brouiller les pistes… » Prudents, Messaï et ses compagnons évitent de tomber dans le piège tendu par Réda Hassaine : « Si on avait cru ce qu'il nous racontait, estime Kamel Rebika, autre militant du FIS, seuls les faux communiqués du GIA auraient été diffusés. »
À une période qu'ils situent vers 1994-1995, Messaï et Rebika apprennent par des sympathisants d'Alger que le DRS vient d'envoyer à Londres plusieurs dizaines d'agents. Leur mission : agiter l'épouvantail du GIA en Europe et empêcher les représentants du FIS d'en révéler la vraie nature à l'opinion internationale : « On nous a dit que c'était pour nous faire taire, pour nous empêcher de nous attaquer au GIA, se souvient Abdallah Messaï. On a commencé à avoir peur de se faire assassiner, on s'est mis à faire attention. Quelques semaines plus tard, devant la mosquée de Regent's Park, de jeunes Algériens que nous ne connaissions pas se sont mis à distribuer El-Ansar en criant des slogans comme : “Vive le GIA ! Le FIS est fini ! Les élections de 1991 étaient illégales devant l'islam ! Pas de dialogue !” Ils critiquaient le FIS, faisaient pression sur nous, nous insultaient, nous menaçaient. Certains d'entre eux soutenaient le GIA alors qu'ils n'étaient même pas Algériens. »
Au fil des jours, les mystérieux agitateurs débarqués d'Alger se font de plus en plus provocants, allant jusqu'à distribuer devant la mosquée de Regent's Park des bulletins ordonnant de tuer tous les juifs et tous les chrétiens : « Non seulement c'était totalement contraire à l'islam, se souvient Messaï, mais surtout, c'était de nature à nous discréditer vis-à-vis de la police. Les Anglais ne pouvaient pas accepter que de tels tracts soient distribués sur la place publique. Le plus étonnant, c'est que ces jeunes se réclamant du GIA se déplaçaient librement. C'était extraordinaire. Nous, on n'avait aucune possibilité d'aller en Algérie. On avait peur. Eux, ils se déplaçaient librement, allaient et venaient et disaient publiquement à Londres : “Non au dialogue, il faut tuer tout le monde”. »
Pour renforcer l'efficacité de leurs opérations de guerre psychologique, les généraux donnent des consignes très strictes à leurs attachés militaires en poste à l'étranger : « Quand je recevais des émissaires d'Alger, se souvient l'ex-colonel Samraoui, alors en poste en Allemagne, ils nous demandaient de relayer un discours selon lequel le régime algérien était un rempart susceptible d'empêcher l'islamisme d'atteindre l'Europe. Mais en fait, le contexte était difficile pour les généraux éradicateurs. Nous n'avions pas vraiment le soutien de la communauté internationale (6). »
Pour populariser son combat et discréditer plus encore les islamistes, le « clan Belkheir » a besoin de l'aide de la « société civile ». En avril 1995, l'une des plus célèbres opposantes algériennes à l'islamisme, Khalida Messaoudi, lui apporte un soutien déterminant en publiant avec une journaliste du Nouvel Observateur , Élisabeth Schemla, un livre d'entretien intitulé Une Algérienne debout . Brûlot anti-FIS surfant sur la peur de l'islam, l'ouvrage devient vite un best-seller. C'est un avertissement aux dirigeants politiques français favorables à un compromis avec les islamistes.
Le « cri » de Khalida Messaoudi
Professeur de mathématiques, Khalida Messaoudi est originaire de Sidi Ali-Moussa, à une vingtaine de kilomètres de Tizi-Ouzou. Femme courageuse, elle mène dans les années 1990, avec une petite minorité d'intellectuels francophones ayant tendance à monopoliser la parole algérienne dans les médias français, une croisade anti-islamiste à la tonalité très « éradicatrice » (7). Élevée dans une famille de marabouts prônant un islam traditionnel, celui des zaouïas, elle a grandi avec une mère qui n'avait pas le droit de sortir de chez elle, et qui ne l'a jamais fait en trente ans.
Dès les premières pages de son livre, Khalida Messaoudi livre quelques clés laissant entrevoir combien le sort réservé à sa mère a déterminé son propre engagement politique : « Les familles maraboutiques, explique-t-elle, sont les plus atroces pour les femmes. Car ces castes ne tolèrent pas qu'elles travaillent à l'intérieur de la maison, sauf pour cuisiner. Le reste — tout le reste — aller chercher de l'eau à la fontaine ou du bois, faire les commissions, laver —, des femmes non marabouts le font pour elles, si bien que ma mère ne mettait jamais le nez dehors. […] Ce qu'elle a accepté pour elle, intériorisé, elle savait que j'étais en mesure, moi, de le refuser et c'était sa revanche sur le destin (8) ! » En Kabylie, le droit coutumier relève pour Khalida Messaoudi de ce qu'elle appelle le « fondamentalisme berbère », qu'elle juge « encore plus obscurantiste que le Coran », notamment en ce qui concerne l'héritage.
À la fin des années 1980, c'est en luttant contre le code de la famille, un texte adopté par le pouvoir à partir d'une vision particulièrement rétrograde de l'islam (voir supra , chapitre 3), que Khalida Messaoudi se fait connaître. En 1992, considérant que l'armée est finalement le meilleur rempart contre le « totalitarisme islamiste », elle cautionne l'interruption du processus électoral et devient le symbole des féministes francophones les plus éradicatrices. Car si Khalida Messaoudi reconnaît dans son livre que, par certains aspects, le FIS a libéré les femmes (en leur permettant de se marier sans avoir à solliciter le consentement des familles, en supprimant l'obligation de la dot, progrès considérable « dans une société de jeunes chômeurs sans le sou », mais aussi en leur accordant une « parole politique que le FLN ne leur a jamais accordée et qui, sous sa forme démocratique, est trop difficile à conquérir »), elle voue aux islamistes, qu'elle qualifie systématiquement d'« intégristes », une haine qui semble inextinguible. Au nom de cette haine, elle va fermer les yeux sur la généralisation de la torture, sur l'hyperviolence de la répression et sur les crimes du haut commandement militaire (alors qu'elle le pense impliqué dans l'assassinat du président Boudiaf) et accepter de cautionner le régime en siégeant jusqu'en janvier 1994 au Conseil consultatif national.
En avril 1995, alors que les accords de Rome viennent d'être signés, son livre justifie de facto la logique purement éradicatrice des généraux. Pour elle, interrompre les élections était un « devoir patriotique », les assassinats d'intellectuels sont l'œuvre exclusive des islamistes qui ne pensent qu'à « tuer l'intelligence, la création, l'alternative républicaine, la vie » et le soutien du président François Mitterrand aux accords de Rome est un « cadeau empoisonné ». « En fait, résumait en 1995 Rémy Leveau dans une allusion à Khalida Messaoudi et à ses amis éradicateurs, le pouvoir militaire s'est constamment servi de ces intellectuels pour donner, en Algérie comme à l'extérieur, un visage présentable à son action répressive, notamment pour justifier sa politique antiterroriste (9). »
Le livre de Khalida Messaoudi s'achève d'ailleurs sur un message en forme d'avertissement à la France et aux hommes politiques comme Alain Juppé, François Mitterrand, François Léotard ou Valéry Giscard d'Estaing qui exprimèrent le souhait qu'un compromis politique puisse mettre fin à la crise algérienne : « L'Amérique, dont les intérêts géostratégiques et économiques font depuis longtemps l'allié des États islamiques, s'accommoderait parfaitement d'une victoire des intégristes. Il ne faudrait pas que, par surenchère pour défendre son propre leadership en Algérie, la France verse à son tour dans la compromission avec les islamistes. Je me permets de rappeler que cette mouvance a déjà clairement choisi Washington. Je ne suis pas pour autant en train de dire que Paris doit continuer à soutenir le régime algérien. Je m'étonne au contraire que la France, républicaine et laïque, tarde à assumer et à soutenir ses alliés naturels : les démocrates qui résistent en Algérie et qui refusent toute alliance avec le “fascislamisme” (10). »
Contre la vérité, la torture
Si à l'époque, comme l'écrit Khalida Messaoudi, une partie de la classe politique française « tarde à soutenir » ces « démocrates » qui disent ne pas soutenir les généraux mais seulement leur option « éradicatrice », c'est notamment parce que, en France, des voix d'horizons politiques différents s'élèvent de plus en plus pour que Paris prenne ses distances à l'égard de la dérive sanguinaire du pouvoir. Fin février 1995, Bruno Étienne, professeur à l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence et spécialiste internationalement reconnu du monde arabo-musulman, publie ainsi dans Libération une tribune qui énonce crûment quelques vérités. Alors qu'il est pied-noir et qu'il a lui-même contribué à la formation de la plupart des généraux algériens, l'universitaire critique les éradicateurs et la place démesurée qui leur est faite dans les médias français. Les qualifiant de « commandos médiatiques », il accuse les chaînes de télévision françaises de les « mettre en vedette » et de « surfer sur la peur de l'islam » pour des raisons d'audimat. Dans une ultime charge visant notamment les dirigeants du RCD de Saïd Sadi, le chercheur d'Aix-en-Provence conclut que « les Français n'ont pas encore admis que l'Algérie indépendante était arabe et musulmane et que les laïcs qui causent à la télé ne représentent personne (11) ».
En mars, les Cahiers de l'Orient publient « La grande peur bleue », un article particulièrement lucide des journalistes Rabah Attaf et Fausto Giudice sur la dérive répressive du haut commandement militaire algérien et sur l'aveuglement des médias français à ce sujet (12).
Le 27 avril 1995 (le jour même où, en Algérie, une cinquantaine de cadavres mutilés et décapités sont découverts dans la région de Jijel, à la suite de rafles des forces de sécurité (13), à deux semaines du second tour de l'élection présidentielle qui va voir triompher Jacques Chirac, des intellectuels français choqués par le fait que la France a vendu des hélicoptères au régime algérien emboîtent le pas à Bruno Étienne : ils lancent un « appel pour la paix et la démocratie en Algérie » et demandent que le gouvernement français « suspende toute aide militaire au pouvoir algérien ». Début mai 1995, enfin, le journaliste Éric Laurent signe dans L'Esprit libre , une nouvelle revue libérale, un article radical contre le « soutien aveugle » que la France apporte à la « junte militaire algérienne ». Proposant de « couper les ponts » avec le régime, l'auteur écrit notamment : « L'État français, libéral paraît-il, acquiesce non seulement à la ruine économique de son ancienne colonie, mais à la pire des prévarications. D'un point de vue froid et cynique, le jeu en vaut-il la chandelle ? Même pas. C'est à peine si nos industriels ne perdent pas d'argent dans ces affaires honteuses, tandis que notre diplomatie secrète se fait […] totalement ridiculiser. »
Et l'auteur de conclure : « Notre soutien aveugle à la dictature, même modéré par quelques timides protestations verbales, n'a eu que des effets négatifs. Adopter une autre politique, même à très haut risque, à condition qu'elle soit claire et partagée par tous les services concernés, ne pourrait être pire (14). » Véritable appel à lâcher le régime des généraux, cet article aurait particulièrement marqué Alain Juppé, à quelques jours de sa nomination à Matignon.
Même si toutes ces voix restent très minoritaires dans le paysage médiatique français, elles inquiètent au plus haut point les généraux « janviéristes ». En témoigne en cette période un épisode obscur de la « sale guerre », aussi atroce que tant d'autres, mais particulièrement significatif. Le 6 avril 1995, un certain Mohamed Benmerakchi, chauffeur de taxi, est arrêté à 2 heures du matin à son domicile, à Alger, par des policiers cagoulés et transféré au centre de Châteauneuf.
Son crime : il avait été accidentellement balayé par les caméras de la BBC pour un documentaire télévisé réalisé par le journaliste britannique Phil Rees sur la tragédie algérienne, rediffusé le 17 décembre 1994 par Canal Plus. Le terrorisme d'État algérien y était notamment dénoncé par le docteur Salah-Eddine Sidhoum, chirurgien orthopédiste et militant des droits de l'homme, que Benmerakchi aidait modestement, en lui servant de chauffeur. Trois mois plus tôt, le 5 septembre, le docteur Sidhoum avait déjà adressé une lettre ouverte au président Zéroual, pour dénoncer cinquante-trois cas concrets de tortures et d'exécutions sommaires, ce qui lui avait valu d'être inculpé pour « soutien aux terroristes ». Le lendemain même de la diffusion de ce reportage sur la chaîne française, le 18 décembre, trois hommes d'un escadron de la mort du DRS débarquaient à l'aube au domicile du docteur Sidhoum. Il n'était pas chez lui. Il n'y reviendra plus, et plongera pour plusieurs années dans la clandestinité (15).
Mais son chauffeur, Mohamed Benmerakchi, qui apparaissait dans le documentaire, est donc arrêté quatre mois plus tard : « Ils étaient tous cagoulés. Certains portaient des combinaisons noires, d'autres étaient en civil. […] L'un d'eux, le plus calme, me lança : “Alors, Canal Plus ? On va s'occuper de toi !” Je compris alors très vite qu'il s'agissait de mon apparition dans ce documentaire (16). » Emmené au commissariat de Chateauneuf, Mohamed Benmerakchi est violemment torturé à l'électricité pendant quarante jours : « C'était horrible. Lors des décharges, je sentais comme si mes yeux allaient sortir de leurs orbites. Au même moment, un autre tortionnaire jetait de l'eau sale et froide sur mon corps. Je sursautais malgré mes attaches. Je perdais encore une fois connaissance. » Ignorant où se cache le docteur Sidhoum, Benmerakchi est finalement relâché dans un état lamentable.
Pour les journalistes de télévision étrangers désireux d'enquêter en Algérie, cette affaire est un avertissement sans ambiguïté : comment recueillir des témoignages susceptibles de mettre en cause les autorités quand les témoins risquent d'être torturés après la diffusion ? C'est ce qui explique que, depuis 1992, à de rares exceptions près, seuls les Algériens exilés à l'étranger peuvent s'exprimer plus ou moins librement sur la sale guerre qui ravage leur pays (mais la plupart refusent de le faire, par crainte — justifiée — de représailles contre leur famille restée en Algérie). Les autres, tous les autres, ne peuvent le plus souvent accorder aux télévisions étrangères qui les rencontrent, en présence d'escortes militaires, que des témoignages biaisés.
Un « dialoguiste » à Matignon
À la fin du mois d'avril 1995, il apparaît de plus en plus clairement que, contrairement aux pronostics initiaux, Charles Pasqua et Édouard Balladur, les candidats favoris d'Alger pour la présidentielle française, vont être battus. Entre les deux tours, Rabah Kébir appelle le « futur président de la République française » à « réviser sa position sur la crise algérienne ». Le 10 mai 1995, c'est Jacques Chirac qui est élu président. De Washington, Anouar Haddam, président de la délégation parlementaire du FIS à l'étranger, l'invite à apporter un « soutien actif à la plate-forme de Rome ».
Avec la nomination d'Alain Juppé à Matignon, les « dialoguistes » acquièrent la conviction que la France va enfin s'engager plus fermement en faveur d'un processus de paix en Algérie, perspective qui inquiète les éradicateurs : « Le régime sait pertinemment que la France est le baromètre de l'opinion mondiale sur l'Algérie, explique William Byrd, banquier américain spécialiste de l'Algérie. Les Algériens mettent donc une énergie incroyable à comprendre le système français, à financer ses partis politiques, à détenir des informations sur des hommes politiques qui craignent toujours le scandale, contrairement aux dirigeants algériens qui, eux, sont à la tête d'une dictature. Le dominant n'est pas toujours celui qu'on croit : les Algériens peuvent menacer, ils font peur (17). »
Pour empêcher la France de changer de politique en pleine préparation de l'élection présidentielle algérienne et à quelques semaines d'échéances économiques fondamentales pour Alger (18), le DRS va se servir de la couverture du GIA pour organiser des attentats terroristes en Europe. Neuf ans après les faits, les témoignages de plusieurs anciens officiers du DRS permettent de comprendre le scénario diabolique qui s'est mis en place à l'époque : « La coopération antiterroriste avec les Français ne fonctionnait pas, révèle aujourd'hui l'ex-adjudant Abdelkader Tigha. Début 1995, il y avait bien eu quelques réunions à Lyon en présence de mon frère, haut responsable de la police judiciaire à Blida, et du colonel Achour Boukachabia, chef de la SDCI, la contre-intelligence, mais les infos qu'on avait, qui étaient issues de simples interrogatoires, ne pesaient pas lourd. Du coup, les services français ne voulaient pas nous aider. Ils nous ont dit que nos infos, c'était “de la salade”. Ils expliquaient qu'ils devaient tenir compte de l'opinion publique, des partis politiques, de la justice, qu'ils ne pouvaient pas faire n'importe quoi, arrêter n'importe qui. Les Algériens sont revenus fâchés, déçus. Smaïl Lamari [chef de la DCE et numéro deux du DRS] cherchait un moyen d'inciter les politiques français à nous aider. On avait besoin de renseignement, d'armement, de moyens techniques, de détecteurs de bombes… C'est là qu'on a décidé d'exporter quelques actions sur le sol français (19). »
« À l'origine de ce plan, il y avait Smaïl Lamari et Ali Benguedda, le responsable des services opérationnels de la DCE », précise le capitaine Ouguenoune, à l'époque officier de la DCSA à l'ambassade d'Algérie à Paris. Après la nomination d'Alain Juppé à Matignon, le plan concocté par les services opérationnels de la DCE se précise : il s'agit, d'une part, d'éliminer directement certains hauts dirigeants du FIS réfugiés en Europe et, d'autre part, de manipuler de jeunes Maghrébins un peu perdus pour les inciter à commettre des attentats en France. Dans les deux cas, c'est Djamel Zitouni, « émir national » du GIA, qui va servir de couverture aux opérations de guerre psychologique menées en Europe par le DRS.
À la fin du mois de mars 1995, une fatwa signée par le chef du GIA est publiée dans El-Ansar , ordonnant aux représentants du FIS à l'étranger de cesser leurs activités (20). Le 10 mai, comme pour marquer les esprits le jour même de l'accession de Jacques Chirac à la présidence de la République, le GIA annonce qu'il revendique l'assassinat de coopérants français tués cinq jours auparavant en Algérie (à Ghardaïa), des assassinats « déplorés » par le FIS. Quarante-huit heures plus tard, au moment même où les agents du DRS engagent au sein du GIA une purge décisive contre les islamistes qu'ils ne contrôlent pas (voir chapitre précédent), un nouveau communiqué signé « Zitouni » menace de mort plusieurs représentants du FIS en exil s'ils « ne s'abstiennent pas dans les six mois de parler au nom de la lutte et de rencontrer des officiels des pays hôtes (21) » : « Cette fameuse liste avait été faite à Ben-Aknoun, dans les locaux du DRS, nous a révélé l'ex-colonel B. Ali. Il fallait éliminer les “intellectuels” du FIS, tous ceux qui pensaient et qui réfléchissaient (22). »
Sur la liste du DRS, on trouve des responsables islamistes favorables au dialogue et dont beaucoup ont pris — plus ou moins tôt — leurs distances à l'égard de la violence du GIA. C'est le cas du vieux cheikh Abdelbaki Sahraoui, un modéré du FIS qui dirige la mosquée de la rue Myrha, à Paris ; de Rabah Kébir, le président de l'Instance exécutive du FIS à l'étranger ; de Anouar Haddam, président de la délégation parlementaire du FIS en exil ; de Ahmed Zaoui, dirigeant du FIS qui a échappé à des rafles menées à Bruxelles au printemps ; d'Abdellah Anas, d'Abdelkader Sahraoui, des enfants d'Abassi Madani, etc. Le 15 juin, un nouveau communiqué signé « Zitouni » annonce « exclure de ses rangs » Abassi Madani et Ali Benhadj, comme s'ils étaient membres du GIA (23)…
À la mi-mai 1995, le nouveau ministre français de l'Intérieur, Jean-Louis Debré, est informé par ses services de renseignement qu'un certain Abdallah Kronfel, alias Yahia Rihane, doit prendre contact à Paris avec un de ses homologues islamistes (24). Soupçonné d'avoir été mêlé au détournement de l'Airbus d'Air France en décembre 1994, Kronfel a la réputation d'être un dangereux terroriste. Et très curieusement, le 1 er juillet, juste après l'échec d'une nouvelle tentative de dialogue entre le président Zéroual et les dirigeants du FIS, un journaliste du quotidien pro-gouvernemental algérien La Tribune , réputé proche des services de sécurité, annonce qu'« un commando venu de Bosnie aurait eu pour mission de perpétrer des attentats dans la capitale française et aurait reçu comme instruction d'éliminer des islamistes condamnés à mort par le GIA comme Abdelbaki Sahraoui et Moussa Kraouche (25) ».
Aussitôt, ces mystérieux « terroristes » annoncés par La Tribune passent à l'action. À Paris, plusieurs personnalités algériennes exilées, connues pour avoir pris leurs distances à l'égard du régime, reçoivent de mystérieuses menaces de mort. C'est notamment le cas de l'historien Mohammed Harbi, et aussi du réformateur Ghazi Hidouci, ancien ministre de l'Économie du gouvernement Hamrouche : « Un jour, deux individus habillés comme des islamistes sont venus déposer dans ma boîte aux lettres des menaces de mort et un petit cercueil, raconte Hidouci. Plusieurs services français sont alors venus m'interroger sur l'affaire. Je me souviens notamment d'un représentant du ministère français de la Défense. Il est venu plusieurs fois, et il a fini par nous révéler qu'il travaillait pour la DGSE. Quand je lui ai demandé ce qu'il pensait de ces menaces de mort du GIA, il a souri. Pour lui, il était clair que mes mystérieux visiteurs travaillaient en réalité pour la Sécurité militaire algérienne (26)… »
Et en cet été 1995, les mystérieux terroristes arrivés d'Alger ne se contentent pas de diffuser des menaces de mort…
L'assassinat du cheikh Sahraoui
Le 11 juillet 1995, vers 18 h 20, deux hommes armés pénètrent dans la mosquée de la rue Myrha, dans le 18 e arrondissement de Paris. Ce jour-là, les policiers des Renseignements généraux qui surveillent habituellement les abords de ce lieu de culte sensible ne sont pas présents (27) : « Les deux hommes ont fait leur prière, puis l'un d'eux a demandé à voir le cheikh [Abdelbaki Sahraoui] en tête-à-tête dans un petit bureau, raconte Brahim Younsi, alors proche collaborateur du cheikh. Après quelques minutes de discussion, il a sorti un fusil de son sac et l'a tué à bout portant. Quand il a tenté de quitter les lieux, un proche de l'imam l'a ceinturé, puis a tenté de fermer la sortie de la mosquée. C'est là que le complice du tueur a tiré à son tour, abattant le fidèle (28). » Après l'assassinat, les deux tueurs (décrits par des témoins comme « Arabes, sans aucun doute Algériens et âgés de trente-cinq à quarante ans ») courent quelques centaines de mètres et braquent un véhicule qui sera retrouvé rue du Nord, dans le XVIII e arrondissement de Paris (29). Entendue par la police, la conductrice du véhicule reçoit l'ordre de ne pas communiquer avec la presse (30).
Vieux militant nationaliste, cofondateur du FIS, Abdelbaki Sahraoui, âgé de quatre-vingt-cinq ans, était un islamiste modéré. Depuis deux ans, il était président honorifique de l'Instance exécutive du FIS à l'étranger. Partisan d'un dialogue avec le président Zéroual, il entretenait des contacts réguliers avec Abassi Madani, mais aussi avec les autorités françaises, qui appréciaient sa modération et qui le consultaient même en cas de crise grave, comme lors du détournement de l'Airbus d'Air France en décembre 1994. Opposé depuis toujours au transfert du conflit algérien sur le territoire français, le cheikh Sahraoui acceptait volontiers les invitations de la télévision française, comme en 1994, quand il participa à un débat animé par Pierre Thivolet sur la chaîne française Arte avec Omar Belhouchet, le patron d' El-Watan .
Le vieux cheikh était devenu embarrassant pour les éradicateurs. Dans les mois précédant son assassinat, il avait multiplié les déclarations montrant qu'il avait compris la vraie nature du GIA : le 9 mai 1994, par exemple, suite à l'assassinat dans la Casbah de deux religieux français, Henri Vergès et Paul-Hélène Saint-Raymond (crime qualifié de « contraire à la loi islamique » par Rabah Kébir), il avait estimé dans une lettre que les auteurs du meurtre « appartiennent sans doute aux tenants de l'éradication, hostiles à toute perspective de règlement politique du conflit dans lequel on cherche délibérément à entraîner la France (31) ». Quelques mois plus tard, en août, réagissant au regroupement illégal de vingt-six islamistes algériens dans une caserne de Folembray par le ministère français de l'Intérieur (voir supra , chapitre 20), le vieux cheikh contredit publiquement Charles Pasqua et les éradicateurs d'Alger : estimant que les assignés à résidence n'ont commis aucun délit, il affirme qu'il ne s'agit pas de terroristes et qu'« aucune menace terroriste ne pèse sur la France (32) ». Le 30 octobre 1994, il condamne l'assassinat de deux religieuses espagnoles à Bab-el-Oued, Esther Paniaqua et Caridad Maria. Fin décembre, après le détournement de l'Airbus d'Air France, il se démarque une nouvelle fois du GIA de Djamel Zitouni et appelle au calme, ce qui lui vaut les critiques des extrémistes (33).
Bref, depuis plusieurs mois, Sahraoui est la preuve vivante qu'il existe des dirigeants islamistes modérés avec lesquels il est possible de dialoguer. Il gêne donc la stratégie de diabolisation du FIS adoptée par Charles Pasqua et les éradicateurs d'Alger. Quant à ses déclarations laissant entendre que le GIA est probablement manipulé par le DRS, elles sont encore plus dérangeantes. Selon Hubert Coudurier, auteur d'un ouvrage remarqué sur la diplomatie secrète de Jacques Chirac, Sahraoui était en « étroite relation » avec certains services français qu'il risquait d'éclairer sur l'« origine des attentats à venir (34) » (d'après certains témoignages, le cheikh Sahraoui leur servait même d'intermédiaire dans le cadre d'un dialogue avec le mouvement islamiste (35)).
Le vieil imam était-il sur le point de révéler aux autorités françaises l'identité des véritables commanditaires du GIA ? Rue Myrha, en tout cas, ses fidèles sont persuadés qu'il a été tué par des agents du DRS : « Vous ne trouverez pas un seul fidèle qui pense que le cheikh a été tué par des islamistes, déclare au Monde le principal collaborateur de l'imam assassiné. Ils n'auraient pas touché au cheikh. Même ceux qui n'étaient pas d'accord avec lui, qui le trouvaient trop modéré, le respectaient. Quant aux groupes d'ultras, ils sont de toute façon noyautés par la Sécurité militaire. Les services sont capables de tout. En France, ils sont chez eux. Rappelez-vous Mécili [voir supra , chapitre 4] : ils avaient le meurtrier, mais comme c'était un agent algérien, Pasqua l'a fait expulser vers l'Algérie, autrement dit, il l'a relâché (36). »
Et les proches de l'imam ne sont pas les seuls à soupçonner le DRS d'avoir commandité son assassinat. Le lendemain du crime, un policier français spécialiste des mouvements islamistes confie lui aussi ses doutes à une journaliste de Libération : « Soit on a affaire à des gens d'un réseau inconnu sur notre sol, soit à des hommes venus d'un pays étranger et déjà repartis ou sur le point de le faire (37). »
Revendiqué par un communiqué signé « Zitouni » et salué depuis Londres par Abou Hamza, l'un des responsables du bulletin El-Ansar , l'assassinat du cheikh Sahraoui va être perçu par de nombreux islamistes algériens comme une opération ayant bénéficié de l'aval de certains services secrets européens. En 1997, lors d'un tournage à Londres, un fidèle de la mosquée de Finsbury Park laisse éclater sa colère devant notre caméra : « L'Europe est d'accord avec ce type d'attentat, elle les couvre ! La France dit qu'elle ne sait pas qui a tué l'imam Sahraoui à Paris. Or Abou Hamza [animateur du bulletin El-Ansar et dirigeant de la mosquée londonienne de Finsbury Park] a déclaré ici à Londres : “C'est nous qui l'avons tué parce que c'est un démocrate.” Pourquoi la DST ne vient-elle pas chercher Abou Hamza ? Les Anglais non plus ne font rien : il passe son temps à faire des déclarations provocatrices ici à Londres, et ils ne lui disent rien (38). »
Dans son livre, l'ex-colonel Samraoui propose une explication à cette étrange impunité : selon lui, Abou Hamza était dès cette époque manipulé par son homologue de Londres, le colonel Ali Derdouri, chef d'antenne du DRS dans la capitale britannique (39). Une semaine après l'assassinat du vieux cheikh, le 17 juillet, le quotidien algérien La Tribune publie un nouvel article. Cette fois, le journaliste prétend révéler le nom du commanditaire de l'assassinat du cheikh Sahraoui : il s'agirait d'un certain Abdessabour, qui pourrait être Abdelkrim Dénèche, un opposant islamiste algérien réfugié en Suède dont le nom a déjà été communiqué aux autorités françaises par le DRS (40).
Selon cette version, le FIS serait responsable de l'assassinat de… l'un de ses fondateurs ! Pour les enquêteurs français, le dirigeant cité par La Tribune « existe », mais il ne s'est « jamais manifesté en France » et « rien ne permet de dire qu'il est impliqué dans le double crime de la rue Myrha (41) ». Les deux meurtres de la rue Myrha ne seront jamais élucidés.
Quelques semaines plus tard, alors que Paris est secoué par l'une des plus graves campagnes d'attentats jamais organisée en France, c'est au tour de Rabah Kébir, un autre dirigeant islamiste important qui figurait sur la liste de Djamel Zitouni, d'être visé par un projet d'assassinat. Mais cette fois, l'ex-colonel Samraoui, chargé d'organiser l'attentat, décide de s'y opposer et de déserter.
L'affaire Rabah Kébir
Arrivé à Bonn quelques mois après le coup d'État de 1992, Rabah Kébir, le représentant de l'Instance exécutive du FIS à l'étranger, est le type même de l'opposant embarrassant. Tout comme le cheikh Sahraoui, il condamne régulièrement les assassinats d'étrangers imputés au GIA et va à l'encontre de l'image sanguinaire que les éradicateurs d'Alger voudraient donner du FIS. Discrètement mais inlassablement, Kébir milite pour que la communauté internationale comprenne qu'un compromis politique est possible en Algérie et qu'elle cesse de soutenir inconditionnellement le régime. En novembre 1994, la participation de son parti à la première rencontre de Rome démontre que contrairement à ce qu'affirment les généraux éradicateurs, le FIS est capable de s'engager dans un processus de paix.
À la fin de l'année 1994, l'ex-colonel Samraoui, alors attaché militaire à l'ambassade d'Algérie à Bonn, reçoit l'ordre de surveiller le représentant du FIS de très près : « On a mis en place un dispositif pour recueillir un maximum d'informations sur Rabah Kébir (habitation, entourage, fréquentations…) et préparer des attentats contre lui et Abdelkader Sahraoui (un de ses adjoints, à ne pas confondre avec le cheikh Abdelbaki Sahraoui assassiné à Paris le 11 juillet 1995). Pour Rabah Kébir, on a fait venir progressivement sept ou huit officiers pour préparer l'opération. Puis, on a fait venir le général Bendjelti, avec le chef de cabinet du général Smaïn [Smaïl Lamari, patron de la DCE]. Moi, je ne pensais pas qu'ils voulaient aller jusqu'à l'assassinat. On parlait d'infliger un “coup” aux islamistes. Le mot d'exécution n'avait pas été prononcé. Puis, en septembre 1995, Smaïn est venu une deuxième fois avec le colonel Ali Benguedda, dit “petit Smaïn”, et le colonel Rachid Laâlali, dit “Attafi”, mes prédécesseurs au poste d'attaché militaire à Bonn qui connaissaient parfaitement la ville. Pendant quarante-huit heures, Smaïn a consulté les dossiers et il m'a dit : “Si tout est prêt, on peut passer à l'étape finale : l'exécution de Rabah Kébir et de Abdelkader Sahraoui” (42). »
Dans son livre, l'ex-colonel Samraoui révèle que le général Smaïn avait été jusqu'à réfléchir à la façon dont l'assassinat devrait être présenté à l'opinion publique : « Il hésitait entre un “règlement de comptes” entre factions rivales du FIS […] (il était prêt à diffuser des tracts et des faux communiqués en ce sens, dans lesquels le GIA revendiquerait ces assassinats) et un crime “sans mobile” (qui compliquerait selon lui la tâche des enquêteurs). Il voulait me charger de cette mission : “Tu t'occupes de cette affaire, tu as carte blanche. Salah [le commandant Salah Kermad] se chargera de mettre à ta disposition deux Yougoslaves si tu choisis la seconde solution, sinon j'ai un Palestinien qui peut s'acquitter de la besogne” (43). »
Confronté à une mission qui lui semble aller trop loin, l'ex-colonel Samraoui exprime alors ses réticences au patron de la DCE, mais celui-ci insiste : « C'est tout réfléchi, il faut clouer le bec à ces salauds qui mettent l'Algérie à feu et à sang, et nous empêchent d'obtenir le soutien international. Le spectre de l'intégrisme et la formule de l'instauration d'une république islamique en Algérie déstabilisant le Maghreb et constituant une base pour d'éventuelles attaques contre l'Occident ne semblent pas convaincre nos partenaires européens. Il faut un événement fort pour secouer leur conscience, comme ce fut le cas avec les Français (44). » Le général Smaïn Lamari faisait évidemment référence à la campagne d'attentats dans le RER parisien qui avait terrorisé les Français dans les semaines précédentes…
En septembre 1995, alors que l'opération consistant à assassiner Rabah Kébir entre dans sa phase finale, Samraoui décide de s'y opposer : « J'ai mis Smaïn en garde contre ce genre d'opérations, j'ai attiré son attention sur les conséquences qu'elle pourrait avoir. Je lui ai dit : “Ici, vous êtes en Allemagne, pas en France. Là-bas, vous avez des amis : Yves Bonnet, Jean-Charles Marchiani, peut-être Charles Pasqua, vous pouvez être protégés. Mais ici, vous n'avez personne.” Il a vu que je n'étais pas chaud. Et puis je savais qu'en cas d'échec, je servirai le fusible. Après quelques minutes de silence, le général Smaïn, le regard foudroyant, dit d'un ton grave : “Je prends acte de ton refus, mais je ne sais pas s'il est motivé par une question de principe ou par incapacité à conduire cette mission.” Devant mon refus d'organiser l'assassinat de Rabah Kébir, ils ont repris l'avion. À partir de là, je savais qu'ils ne me rateraient pas (45). »
Le 12 février 1996, après avoir sollicité en vain une entrevue avec le président Liamine Zéroual, l'ex-colonel Samraoui déserte, puis obtient l'asile politique en Allemagne. En juillet 2002, sollicité comme témoin lors du procès Nezzar à Paris, il révélera l'« affaire Rabah Kébir » à la justice française (46). Mais en cet été 1995, l'affaire Kébir est encore confidentielle. Ce qui traumatise les Français, ce sont les attentats qui ensanglantent le RER parisien.
Des attentats dans le RER parisien
Le 25 juillet 1995, à l'heure de la sortie des bureaux, une très violente explosion secoue une rame de RER qui pénètre dans la station Saint-Michel, à Paris. En quelques minutes, le quartier est bouclé par la police. Dans le ciel, un hélicoptère de la sécurité civile évacue les blessés vers les hôpitaux de la capitale. Le soir, les Français découvrent au journal de 20 heures l'horreur de l'attentat : dans la rame visée par l'explosion, sept voyageurs ont été tués et près de quatre-vingts sont blessés. Dans un café du boulevard Saint-Michel aménagé à la hâte en centre de tri, des dizaines de passagers ensanglantés ont passé leur après-midi à recevoir les premiers soins. Dans la soirée, les images de voyageurs blessés et traumatisés par l'explosion heurtent profondément les téléspectateurs des journaux télévisés. Dans leurs tentatives d'identifier les commanditaires de l'attentat, les médias évoquent une piste serbe, puis islamiste. Montrés du doigt, les représentants du FIS en Europe « condamnent avec force l'horrible attentat (47) ».
À l'époque, Jean-Louis Debré lui-même aurait été surpris par l'attentat : « Ses services s'attendaient à des opérations contre de hauts responsables islamistes, mais pas contre des Français », explique dans son livre Hubert Coudurier (48). Le soir même de l'explosion de Saint-Michel, le ministre de l'Intérieur est reçu par le président Chirac qui lui lance : « Je veux connaître les auteurs !
— Monsieur le président, je vais vous dire la différence entre un énarque et moi : je suis incapable de vous dire qui a fait le coup », aurait répondu Jean-Louis Debré (49)… Ancien juge d'instruction, le ministre de l'Intérieur suit l'enquête de près, y consacrant plusieurs soirées par semaine en compagnie du juge Jean-François Ricard. Le 31 juillet, les services algériens, qui semblent particulièrement bien renseignés sur les projets des commandos de Zitouni, affirment à leurs homologues français que deux groupes du GIA sont présents en France et que des commandos suicides pourraient être lancés contre l'Arc de triomphe ou la tour Eiffel. Concernant l'assassinat du cheikh Sahraoui, ils réaffirment qu'il a été commandité par Abdelkrim Dénèche, un opposant islamiste algérien réfugié en Suède.
Trois semaines plus tard, le 17 août, la série noire continue avec un nouvel attentat à la bombe place de l'Étoile à Paris. Dix-sept passants sont blessés. Un mois après le premier attentat de Saint-Michel, le ministre de l'Intérieur, Jean-Louis Debré, n'a toujours aucune piste sérieuse susceptible d'être présentée à l'opinion. Le surlendemain de ce deuxième attentat, une lettre surréaliste parvient à l'ambassade de France à Alger. Signée « Zitouni », elle demande à Jacques Chirac de se « convertir à l'islam » et de « reconsidérer ses positions sur le dossier algérien ». Pour la population française, prise en otage depuis plusieurs semaines par ce qu'elle croit être un « terrorisme islamiste », ce « communiqué du GIA » ordonnant à Jacques Chirac de se convertir à l'islam est évidemment une provocation majeure qui contribue à créer en France une atmosphère de psychose et d'islamophobie.
Et la série noire continue : le 26 août, un nouvel engin explosif est découvert le long de la voie TGV de Cailloux-sur-Fontaine, dans le Rhône. Le 31, la police judiciaire perquisitionne les domiciles de deux jeunes de Chasse-sur-Rhône, David Vallat et Joseph Jaime, où elle trouve des armes et de quoi fabriquer des engins explosifs. Les enquêteurs se mettent alors sur la piste d'un troisième homme : Khaled Kelkal.
Au cours de la première semaine de septembre, nouveaux attentats : le 3 septembre, l'explosion d'une bombe blesse quatre personnes à Paris, boulevard Richard-Lenoir ; le lendemain, une autre bombe est désamorcée dans le XV e arrondissement de Paris ; et le 7, une voiture piégée explose devant une école juive de Villeurbanne (Rhône), faisant quatorze blessés. (Cette violence, qui bouleverse la France, est comme un écho de celle, beaucoup plus meurtrière, qui déchire alors l'Algérie. Pour ne citer que quelques cas : le 2 septembre, l'explosion d'une bombe à Meftah fait plus de trente morts et une centaine de blessés ; le 3, deux religieuses de la Congrégation Notre-Dame-des-Apôtres, sont tuées à Alger ; entre le 3 et le 10, quatre journalistes sont assassinés, quarante militaires sont tués dans une embuscade près de Batna, etc. (50)).
Le 17 septembre, deux campeurs suspects signalés à une brigade de gendarmerie lyonnaise s'enfuient précipitamment. Derrière eux, ils abandonnent un sac contenant un fusil Winchester qui se révélera être l'arme ayant servi à tuer l'imam Sahraoui quelques semaines auparavant. Moqué depuis plus d'un mois par une partie de la presse française qui lui reproche son inefficacité, Jean-Louis Debré croit tenir enfin des coupables : il lance une chasse à l'homme contre Kelkal et son acolyte. Quelques jours plus tard, le jeune beur lyonnais est repéré près d'un arrêt de bus au lieu-dit Maison-Blanche, dans les Monts du Lyonnais. Est-il vraiment le responsable du réseau terroriste qui met la France à feu et à sang depuis deux mois, comme l'a laissé entendre à plusieurs reprises Jean-Louis Debré ? Pour le savoir, il faudrait le juger, ou au moins pouvoir l'interroger. Mais dans les heures qui suivent son signalement, le 29 septembre, Kelkal est blessé par balle, puis achevé par les gendarmes. Arrivé sur place dans leur sillage, un journaliste reporter d'images de M6 filmera la fin de l'exécution. Sur la cassette, alors que Kelkal est blessé à terre, on entend distinctement l'un des gendarmes dire à son collègue : « Finis-le ! » (51).
À la suite de cet épisode, le dirigeant socialiste Lionel Jospin s'interroge sur LCI sur la responsabilité de Kelkal dans l'ensemble des attentats. Furieux, Jean-Louis Debré passe alors un « savon » à l'un des responsables politiques de la chaîne câblée (52). Mais le 17 octobre, signe que Lionel Jospin s'était posé une bonne question, une nouvelle bombe explose dans le RER parisien, entre les stations Musée d'Orsay et Saint-Michel. Cette fois, il s'agit d'une bouteille de gaz. On relève une trentaine de blessés.
Le 1 er novembre, enfin, Boualem Bensaïd, un homme que la police considère comme l'un des principaux responsables de la campagne terroriste, est arrêté à Paris. Avec Ali Touchent, son principal complice toujours en fuite, il aurait coordonné la campagne d'attentats.
Ali Touchent : une taupe des services algériens chez les islamistes
Emmené à la Division nationale antiterroriste, Bensaïd y est sévèrement interrogé : « Je donne un faux nom, on me tabasse, on me dit que la Sécurité militaire algérienne se trouve dans le bureau d'à côté, qu'ils savent tout et qu'ils veulent une histoire (53). » Le lendemain, un nouveau groupe est interpellé, cette fois à Lille. Le 4 novembre, c'est Rachid Ramda, présenté par la police comme le financier des attentats, qui est arrêté en Grande-Bretagne. En apparence, donc, le réseau terroriste qui prend le gouvernement Juppé en otage depuis plusieurs mois est enfin tombé. Mais bizarrement, Ali Touchent, qui est le véritable coordinateur de la campagne d'attentats, échappe miraculeusement à toutes les arrestations. Neuf ans après les faits, plusieurs témoignages permettent de mieux comprendre les liens qu'il entretenait avec les réseaux islamistes, mais surtout avec le DRS.
Originaire du quartier Chevalley, à Alger, Touchent fréquente dans les années 1980 la mosquée Al-Arkam, celle où prêche Mohamed Saïd, dont il est un fervent admirateur. Au début des années 1990, il arrive en France dans le but d'y étudier, mais rencontre bientôt des difficultés pour faire renouveler son titre de séjour. Fiché par les Renseignements généraux, repéré par la DST, il est contacté à Paris début 1993 par le DRS : « Il a été sollicité par un de nos officiers à Paris pour des renseignements tout à fait anodins », affirme aujourd'hui l'ex-colonel Samraoui, qui précise qu'à partir de cette époque, Ali Touchent accepta de coopérer et d'entretenir des contacts réguliers avec les services algériens (54). En contrepartie, il a bénéficié de la régularisation de sa situation vis-à-vis du service national et obtenu le renouvellement de sa carte de séjour en France.
D'après Samraoui, l'« agent Touchent » était « traité » en Europe par un de ses collègues, le colonel « Habib » Souamès, patron du DRS à l'ambassade d'Algérie à Paris. Au cours de l'année 1993, Souamès a ainsi permis à Touchent de se rendre à plusieurs reprises en Algérie. À cette période, le jeune homme a même bénéficié de la part des services de son pays d'une aide financière pour se marier et faire venir son épouse en France (55). Samraoui explique que la mission de Touchent était « d'infiltrer » les milieux islamistes européens pour le compte du DRS. Fin 1993, il a ainsi apporté sa contribution à l'« opération Chrysanthème », l'une des premières rafles organisées en France contre les islamistes algériens, en informant le DRS de la présence d'islamistes radicaux dans un foyer Sonacotra de L'Haÿ-les-Roses, en région parisienne (voir supra , chapitre 18). En 1994, il infiltre les milieux islamistes belges, et notamment l'entourage d'Ahmed Zaoui, un haut responsable du FIS qui embarrasse Alger. Le 1 er mars 1995, cette opération d'infiltration se solde par de nombreuses arrestations à Bruxelles, mais Zaoui, lui, est expulsé vers la Suisse.
Protégé par le DRS, Touchent échappe comme d'habitude à la police : « Nous donnions aux services occidentaux des informations sur les réseaux montés par Touchent, mais pas sur Touchent lui-même », nous a expliqué Abdelkader Tigha, ex-sous-officier du DRS et témoin direct de la manipulation du GIA. « Du coup, il a toujours échappé aux arrestations. Évidemment, nous n'avons jamais révélé aux services occidentaux que c'était notre agent. Concrètement, il était manipulé par le CPMI de Ben-Aknoun, mais comme c'était nous, au CTRI, qui détenions le “dossier GIA”, nous avions aussi notre mot à dire sur les actions ordonnées à Touchent. C'est nous qui avons exporté des attentats en France. On a dit : “Il faut faire quelque chose sur Paris” (56). »
En avril 1995, nommé « responsable du GIA en Europe », Touchent reconstitue à Chasse-sur-Rhône un « réseau » composé de jeunes Maghrébins désireux d'en découdre. Certains vivent dans la région lyonnaise, mais d'autres lui sont envoyés d'Algérie, soit par Djamel Zitouni, soit directement par le DRS, qui a supervisé la constitution du réseau : d'après le capitaine Ouguenoune, qui travaillait alors à Paris sous les ordres du colonel Souamès, deux agents chargés de coordonner au moins deux des attentats de l'été 1995 furent envoyés en France par le DRS. Quant aux jeunes recrutés dans la région de Lyon, ils auraient également été manipulés, mais à leur insu : « Les jeunes comme Khaled Kelkal ignoraient que Touchent travaillait pour nous, nous a expliqué Tigha. Manipuler l'ensemble du groupe aurait été trop risqué : en cas d'arrestation, ils auraient pu dire : “C'est le capitaine Abdelhafid Allouache, du CTRI de Blida, qui nous a envoyés !” Cela aurait fait scandale (57)… »
Des attentats « pédagogiques »
Aujourd'hui, le capitaine Ouguenoune affirme que c'est son propre chef, le colonel Souamès, qui coordonnait la campagne d'attentats depuis Paris avec Ali Touchent (58). Au printemps 1995, les réunions se multiplient à Bron, dans la banlieue lyonnaise, ou à Gonesse, en région parisienne, entre Ali Touchent et ses jeunes recrues. De « taupe » chargé d'infiltrer des réseaux islamistes, l'agent du DRS se mue en agent provocateur : il incite les membres de son réseau à commettre des attentats en France, pour le plus grand profit des généraux du clan éradicateur.
Systématiquement attribués par la presse aux « islamistes du GIA », les attentats de l'été 1995 vont en effet mettre en difficulté le gouvernement d'Alain Juppé et rendre intenable sa position nuancée sur le dossier algérien. Comment, en effet, relativiser la violence islamiste et prendre de la distance avec le régime des généraux dans un contexte où, chaque semaine, des Français meurent ou sont blessés dans des attentats réputés être l'œuvre d'islamistes algériens fanatiques ? Pour Abdelkrim Ghemati, un membre important de l'Instance exécutive du FIS à l'étranger, c'était précisément l'objectif recherché par le DRS : « Il s'agissait d'entretenir au sein de l'opinion publique un malaise, une crainte, une peur viscérale de tout ce qui peut ressembler à un islamiste (59). »
Pour les exilés du FIS, alors fréquemment assimilé au GIA par les médias, ces attentats sont évidemment catastrophiques. Le 9 octobre 1995, suite à un second « communiqué du GIA » revendiquant les attentats, Anouar Haddam le qualifie de « faux » et de « manipulation grossière ». Mostafa Brahami, ancien député islamiste réfugié en Suisse, nous a confirmé que le FIS n'avait à l'époque « aucun intérêt stratégique à se priver de sa base islamiste en France ni à se couper des aides financières qu'il pouvait recevoir de ce pays (60) ». « Pour nous, renchérit Mustapha Habès, élu du FIS en 1991 et désormais réfugié en Europe, la France était un portail de respiration. Ces attentats semaient la pagaille sur un terrain qui n'était pas le nôtre. C'était une catastrophe pour les islamistes s'efforçant de combattre le régime d'Alger (61). »
La Sécurité militaire algérienne, commanditaire des attentats de Paris ? L'hypothèse ne choque pas le juge Alain Marsaud, ancien chef du service central de lutte antiterroriste : « Dans les années 1980, on s'est rendu compte que le terrorisme d'État utilisait des “organisations écran”. En l'espèce, on peut considérer qu'à un moment ou à un autre, le GIA a été une organisation écran [du DRS] pour porter le feu en France, pour prendre la France en otage (62)… »
« Alger avait intérêt à ce que les pays d'Europe prennent des positions plus dures contre les islamistes, confirme aujourd'hui un proche conseiller de Charles Pasqua. Tout le monde sait que Touchent a été manipulé. » Proche des services de renseignement et spécialiste des « coup tordus », cet homme de l'ombre ajoute : « Entre deux attentats, les voyous qui les commettent doivent bien vivre : il faut manger, se déplacer, voyager, acheter des armes, trouver des logements, acheter des passeports… Un type comme cela, cela peut coûter 40 000 francs, 50 000 francs par mois. Si vous en avez dix, cela fait 500 000 francs par mois, soit 6 millions pour un an (900 000 euros). C'est le bénéfice d'une grosse PME (63). » Laissant entendre que les islamistes étaient incapables de financer de telles opérations, l'ancien conseiller du ministre de l'Intérieur conclut : « Il n'y a pas de mystère, vous savez, dans la vie… » Pour cet homme parfaitement informé — et cela ne le choque pas outre mesure —, le doute n'est pas permis : les attentats de Paris ont bien été une opération de guerre psychologique organisée et financée par le DRS.
« Les services algériens utilisent la carotte et le bâton, déplore aujourd'hui Hocine Aït-Ahmed, président du FFS. La carotte en achetant des complicités avec des valises, et le bâton en menaçant, de manière très sophistiquée, de créer de la violence en France (64). » Une méthode qui s'est révélée fort efficace en cet été 1995. Le 17 août, Jean-Louis Debré a ainsi interdit d'importation en France du Livre blanc sur la répression en Algérie , un ouvrage très précisément documenté sur les violations des droits de l'homme commises par les forces de sécurité en Algérie depuis 1992, que nous avons déjà souvent cité, publié par des militants proches du FIS exilés en Suisse. Et après les attentats de 1995, pratiquement plus aucun responsable politique français n'osera critiquer le régime algérien comme si, au fond, ils avaient compris qu'Alger était derrière les attentats.
La France, otage ou complice ?
En ce début juillet 2002, l'homme qui s'enfuit à grandes enjambées dans les couloirs du Palais de justice de Paris n'a pas l'habitude de se laisser contrarier par des journalistes. Bien que retiré des affaires, le général Khaled Nezzar est l'un des principaux barons du régime algérien. Lors des émeutes d'octobre 1988, on l'a vu (voir supra , chapitre 5), il avait ordonné à ses troupes de tirer sur la foule, provoquant la mort de plusieurs centaines de jeunes à Alger. Mis en cause à ce sujet en mai 2001 par l'ex-lieutenant Habib Souaïdia, ancien officier des forces spéciales de l'armée, lors d'un débat télévisé sur « La Cinquième », il avait décidé de porter plainte en diffamation. Conscient que la justice de son propre pays n'avait plus aucune crédibilité à l'étranger, c'est à la justice française qu'il demandait de le rétablir dans son honneur et de lui reconnaître un rôle positif dans l'histoire récente de l'Algérie (il sera sèchement débouté par le tribunal, nous y reviendrons).
Mais devant la 17 e chambre du tribunal correctionnel de Paris, le vieux général a perdu de sa superbe. Confronté au fil des jours aux témoignages terribles des victimes de la répression qui sévit depuis 1988, visé par des plaintes pour torture, il quitte chaque soir la salle d'audience par une porte dérobée, comme pour échapper aux journalistes. Ce jour-là, nous le rattrapons dans l'un des couloirs du Palais de justice pour le questionner sur le rôle du DRS dans les attentats de Paris en 1995. Estomaqué par la question, le général Nezzar revient sur ses pas, avec une terrible rage dans le regard. Mais à notre grande surprise, loin de nier que des liens aient pu exister entre le GIA et le DRS, il renvoie la balle aux autorités françaises : « Allez voir vos services, ils connaissent très bien le problème, je m'excuse…
— Vous voulez dire que les services secrets français sont au courant ?
— Ils doivent être au courant
— C'est ce qui se confirme dans notre enquête, effectivement…
— Alors allez les voir, confirmez et condamnez-nous (65)… »
Certains hauts responsables français savaient-ils dès 1995, comme le laisse entendre le général Nezzar, que les organisateurs des attentats de Paris, officiellement membres du GIA, travaillaient en réalité pour le DRS ? Plusieurs indices convergents le confirment. Dans l'entourage d'Alain Juppé, dès les premiers attentats, les soupçons se portent sur les services algériens : « C'est sans aucun doute le travail des islamistes, confie à l'époque l'un des conseillers du Premier ministre. Mais qui est derrière eux ? Peut-être un clan de la Sécurité militaire algérienne ou du pouvoir qui voudrait nous entraîner comme allié dans leur combat contre le terrorisme (66) ? » Le 19 août 1995, l'outrancier communiqué de Zitouni, ordonnant à Jacques Chirac de se « convertir à l'islam » et de « changer de politique sur l'Algérie », apporte de l'eau au moulin de ceux qui soupçonnent le GIA de servir de couverture au DRS (67).
Dans le courant du mois d'août, d'autres indices montrent que le DRS entretient des liens étranges avec les commandos terroristes agissant en France. À la veille de chaque attentat, un mystérieux Algérien prévient par exemple un inspecteur des Renseignements généraux que « quelque chose va se passer » : « À la fin, on trouvait cela un peu particulier, se souvient Jean Lebeschu, alors officier aux Renseignements généraux de la Préfecture de police de Paris. Dès que cet individu appelait, il disait que cela allait péter (68). » À la fin de l'été, cet officier des RG acquiert la certitude que l'Algérien qui renseigne son collègue sur les attentats est un officier du DRS : « Il en avait la méthodologie et la volonté, il n'a jamais été arrêté, on n'en a jamais parlé, donc c'est fatalement un type couvert par notre hiérarchie. Il faisait partie de l'entente entre les services algériens et nous-mêmes (69). »
Cette hypothèse ne surprend pas l'ancien magistrat antiterroriste Alain Marsaud : « Cela ne sert à rien de commettre des attentats si vous ne faites pas passer le message et si vous ne forcez pas la victime à céder. Cela s'obtient par la mise en place d'une diplomatie parallèle destinée à bien faire comprendre d'où vient la menace et comment on peut y mettre fin en contrepartie de certains avantages (70)… » Selon l'ancien chef du service central de lutte antiterroriste, c'est donc à une véritable prise d'otage du gouvernement Juppé que se seraient livrés les chefs du DRS par GIA interposé. Et la manipulation n'aurait pas échappé à la DST.
Fin août 1995, Abbas Aroua, un universitaire proche du FIS et vivant à Genève, se rend en France pour y distribuer quelques exemplaires du Livre blanc sur la répression en Algérie , cet ouvrage collectif qui vient d'être interdit d'importation en France par les services de Jean-Louis Debré : « Je comptais en remettre quelques exemplaires à des journalistes », nous a raconté l'intellectuel algérien. Arrêté dans le TGV, il se voit confisquer les exemplaires qu'il transporte et est conduit au commissariat de Pontarlier, où on lui annonce qu'il va être interrogé par la DST. « J'ai attendu trois heures, et un policier français en civil est arrivé, relate Abbas Aroua. Toute notre discussion a porté sur les attentats qui ensanglantaient Paris. Je lui ai dit : “Les commanditaires, ce sont vos amis de la Sécurité militaire !
— Oui, nous avons établi l'implication des services algériens et nous l'avons signalé dans un rapport que nous avons remis aux autorités”, m'a-t-il répondu en substance (71). »
Une révélation aujourd'hui partiellement confirmée par Alain Marsaud : « C'est vrai qu'une des réflexions de la DST, cela a été de constater que dès qu'on remontait les réseaux Kelkal, on tombait sur des gens des services officiels algériens (72). »
Jean-Louis Debré, le ministre français de l'Intérieur, est évidemment informé de ces soupçons devenus certitudes. À la mi-septembre, alors que la France est prise en otage depuis près de deux mois par le terrorisme du GIA, il décide de dénoncer publiquement, par une manœuvre oblique, les manipulations du DRS. Il invite des journalistes à déjeuner au ministère de l'Intérieur et leur fait passer un message : « Il se demandait si une manipulation des autorités algériennes était possible, se souvient Dominique Gerbaud, à l'époque journaliste à la Nouvelle République du Centre-Ouest et président de l'Association de la presse présidentielle. Cela nous a semblé être une information de toute première importance, en tout cas une information nouvelle (73). » Le lendemain de ce déjeuner, les journalistes invités par le ministre de l'Intérieur publient ses propos selon lesquels, suite aux attentats, « la Sécurité militaire algérienne voulait que l'on parte sur de fausses pistes pour qu'on élimine des gens qui la gênent » (74).
Repris à la « Une » du Monde , ces propos du ministre de l'Intérieur provoquent la colère d'Alger. Jean-Louis Debré va alors faire semblant de ne pas avoir dit ce qu'il a dit. Dans son entourage, on « dément formellement l'existence de l'interview » et on se « réserve d'examiner toutes les suites judiciaires que mérite cette affaire (75) ». Mais quelque temps plus tard, Debré confirme ses propos à Hubert Coudurier : « Il m'a dit qu'il avait fait ses déclarations sciemment, que c'était une manière de faire passer un message aux autorités algériennes pour qu'elles arrêtent de nous “bourrer le mou”, nous a expliqué le directeur de rédaction du Télégramme de Brest . Pour des raisons diplomatiques, Debré a démenti ensuite ses propos. Mais le message était passé (76)… » Confronté à ses propres déclarations lors d'une rencontre filmée en octobre 2002, Jean-Louis Debré n'a pas souhaité nous répondre…
Selon Hubert Coudurier, Jean-Louis Debré aurait donc clairement signifié aux autorités algériennes qu'elles étaient allées trop loin dans l'instrumentalisation du GIA… Suite à cet épisode, Alain Juppé lui-même aurait donné des consignes pour que les enquêteurs français « limitent à l'extrême », voire « coupent tout contact » avec les services algériens de renseignement (77). En octobre 1995, le conseiller diplomatique du président Jacques Chirac à l'Élysée, Dominique de Villepin, l'aurait même encouragé à accepter une rencontre avec le président Zéroual pour lui renouveler le message de Jean-Louis Debré sur le thème : « Arrêtez de nous raconter des histoires (78). »
À l'époque, l'ancien Premier ministre algérien Abdelhamid Brahimi recueille les confidences d'un proche du président français, qui lui confirme que Paris a parfaitement compris que le DRS était derrière les attentats et qu'un messager envoyé par Chirac à Zéroual fin 1995 était chargé de faire passer le message. Difficilement vérifiable, ce témoignage est cependant à rapprocher de deux visites effectuées à l'époque à Alger : celle du sénateur Xavier de Villepin, chargé de rencontrer les décideurs algériens pour déterminer les responsabilités des uns et des autres ; et celle de Philippe Seguin, le président de l'Assemblée nationale, le 22 décembre 1995. Arrivé dans l'avion présidentiel de Jacques Chirac, ce dernier est porteur d'un message du président français à son homologue algérien.
Cette visite fait d'ailleurs l'objet d'un communiqué commun diffusé par l'agence officielle du régime, l'APS. Mais le soir même, l'Élysée minimise étrangement la rencontre entre le président Zéroual et Philippe Seguin en diffusant un communiqué affirmant que ce dernier n'était porteur d'aucun message de Jacques Chirac (79). Pourquoi un tel communiqué ? Le message de Jacques Chirac à Liamine Zéroual devait-il rester confidentiel ? D'après Abdelhamid Brahimi, la teneur de ce mystérieux message était explosive : « Mon informateur m'a affirmé que le message du président Chirac disait notamment que la France n'accepterait jamais à l'avenir que la Sécurité militaire organise des attentats en France (80). »
Conscient de l'instrumentalisation du GIA par le DRS, Paris va pourtant protéger Alger. D'abord en laissant croire que les islamistes algériens sont bien responsables des attentats, ensuite en laissant fuir Ali Touchent, pourtant considéré par les enquêteurs comme le principal organisateur de la campagne terroriste. Comment expliquer, en effet, que Touchent, connu par la DST depuis la découverte de papiers d'identité portant sa photo lors de l'« opération Chrysanthème » en novembre 1993, ait systématiquement échappé à toutes les arrestations depuis cette date ? Comment comprendre qu'en novembre 1995, sur les soixante « islamistes » répertoriés dans l'album des services de police, la photo de Touchent soit accompagnée de la simple mention : X, dit « Tarek », comme si les services français ne le connaissaient pas ? Qui cherchait à le dissimuler à la justice française ? La police savait pourtant que l'« émir » du GIA en France partageait la chambre de Boualem Bensaïd boulevard Ornano, dans le XVIII e arrondissement de Paris, puis rue Félicien-David, dans le XVI e . Comment expliquer qu'après les attentats, Touchent, présenté par Alger comme le numéro un du GIA en Europe, ait pu se réfugier… en Algérie, alors même qu'il était recherché par toutes les polices et que son portrait était largement diffusé ?
« C'est nous qui l'avons aidé à regagner Alger », sourit aujourd'hui l'ex-adjudant Abdelkader Tigha. Une fois en Algérie, Touchent s'installe, sans se cacher, dans une cité d'Alger réservée aux policiers et située dans un quartier hautement sécurisé (81). À l'annonce de sa mort, en février 1998, les enquêteurs français ne prennent même pas la peine de se rendre sur place pour vérifier son décès : « Les services français savaient que Touchent était un agent du DRS chargé d'infiltrer les groupes de soutien aux islamistes à l'étranger, a expliqué dans son livre l'ex-colonel Samraoui. Profitant de l'intimité de leurs relations avec la DST, le général Smaïl Lamari et le colonel Habib lui fournissaient de vrais “tuyaux” sur le mouvement islamique en France et sur les éléments “dangereux” identifiés par les taupes du DRS, dont Ali Touchent ; en échange de ces précieuses informations, la DST apportait sa collaboration (y compris la protection des sources, ce qui explique pourquoi Ali Touchent n'a jamais été inquiété sur le territoire français) et son soutien pour neutraliser les vrais islamistes (82). »
Confronté à ces très graves accusations lors du procès des responsables présumés des attentats de Paris en octobre 2002, Roger Marion, ancien responsable de la Division nationale antiterroriste, a confirmé qu'il était « possible » qu'il y ait eu « rétention d'informations par un service ou un autre » sur le cas de « Tarek » (Ali Touchent) et que les informations existantes sur lui avaient peut-être été « portées tardivement » à la connaissance de la police, une façon de reconnaître que Touchent avait probablement été protégé par la DST. Suite à ces déclarations calamiteuses, Jean-François Clair, numéro deux du contre-espionnage français, a reconnu des contacts avec le frère de Touchent, mais pas avec l'organisateur des attentats lui-même, qui n'aurait pas été identifié avant le 11 novembre 1995 (83). « Ce qui semble le plus probable, estime aujourd'hui l'ex-colonel Samraoui, c'est que les responsables de la DST, aveuglés par leurs relations étroites avec Smaïn et consorts, n'ont rien fait pour les empêcher, ne soupçonnant sans doute pas que leurs homologues algériens étaient prêts à aller aussi loin. Et ensuite, la DST a tout fait pour jeter le voile sur cette attitude (84). »
Mais le plus étonnant, dans toute cette histoire, est que la vérité de ce secret d'État sera connue assez rapidement, de la façon la plus officielle, sans que les médias français s'en émeuvent particulièrement. Ainsi, lors du procès des membres du réseau de Chasse-sur-Rhône, ouvert à Paris le 26 novembre 1997, Hamid Herda et Joseph Jaime, anciens complices d'Ali Touchent, l'accusèrent de les avoir utilisés pour le compte du DRS, ce qui fut bien peu relevé à l'époque (85).
« Il faudrait que les familles des victimes se manifestent et demandent aux politiques français d'arrêter de soutenir les criminels au pouvoir à Alger, lance aujourd'hui Abdelkader Tigha. Il faudrait reconnaître les responsabilités des services, voire dédommager les victimes, comme dans l'affaire de Lockerbie ou de la Libye ! On voit bien que ce n'est pas le père de Nicolas Sarkozy qui fut kidnappé avec les moines de Tibhirine, ni la fille de Jacques Chirac qui est décédée dans les attentats du RER. Sinon, cela ne se serait pas passé comme cela (86) ! »
Iran is the sheep surrounded by hungry wolves, including the vulture like Zionist-hyena. A cursory examination of the region shows, the US bases surround Iran from all directions. In addition, Israel armed with nuclear weapons is constantly urging the western powers to launch a pre-emptive strike using the same old pretext of holocaust-weapon; somehow Israel are the victims or potential victims of Iranian aggression. The lying treacherous Zionists always masquerading themselves as victims, but they are the ones kill without remorse and in far greater number, the stench of blood still emanates from the women and children of Gaza testifying to this fact!
The Zionist dominated western media is filled with suggestions that Iran is on the march, it is ready to conquer the Middle East, Europe and the rest of the world. A check on reality shows the US military bases in distant lands is construed as self-defence (not empire building), and Iran protecting its borders and resources is a threat! Iran has always been confined to its borders unlike the US and Israel. The claim about Iranian threat is ominous of a self-fulfilling prophecy; you claim a threat exists, so you agitate the enemy into action by applying sanctions and constantly demonising it.
It is the traits of cowards to pick a fight with weaker nations, and the vultures to feed on the dead corpses. Thus, note the contrast in response with a resolute North Korea armed with Nuclear weapons. This proves that Iran needs to possess nuclear weapons to protect its sovereignty and of course, the lucrative oil from thieves and pirates.
The recent decision by Obama to shelve Bush’s plan to build the Missile Defence System in Eastern Europe to contain the Iranian missile threat has once gain raised this issue of the so-called Iranian threat. This Missile defence System was originally conceived by Ronald Reagan, during the cold war era to confront the Soviet Union. The plan waned as the cold war era ended, but it was subsequently revived by George Bush as a defence against the Iranian missile threat.
Obama says the intelligence reports show that Iran does not really have intercontinental ballistic missiles; even if it did, does it really pose a threat to the mighty US and Europe? Obama’s move may not be as benign as it looks. This move appeased Russia and ultimately, the aim is to get Russia on board to confront Iran, or at the very least persuade Russia not giving weapons or others forms of assistance to Iran. In response to shelving this plan, the US hopes that Russia will reciprocate by halting the planned delivery of sophisticated anti-aircraft systems to Iran that would enable Tehran to shoot down any US or Israeli planes seeking to attack its nuclear facilities.
Sanctions has not worked against Iran, and history shows it is unlikely to work, as every nation is resilient to foreign pressure, especially when that pressure has no justification. The US made it no secret that they had role in agitating the demonstrators to destabilise the country, weaken its resolve. That too has failed. Obama has stated he wishes to engage Iran rather than confront it militarily, which is frustrating the Zionists. This might be one of the reasons behind the recent Israeli decision to build more settlement. The Times reported on a quid pro quo deal where Israel would give concession on its illegal settlements in occupied Palestinian territories in return with a green light from the western powers for an Israeli strike on Iran’s nuclear facilities. “Israel has chosen to place Iranian threat over its settlements,” a senior EU diplomat told The Times on July 16.
Obama should be truthful with the Islamic world is he really wants to uphold the bold declarations made at the Cairo speech. For example, he stated recently that he wishes with conviction to see a nuclear free world, but it seems that he is only seeking a nuclear free Iran, as he is silent about Israel’s nuclear weapons.
Similarly, Obama stated earlier that the US would extend a hand if Iran would be willing to unclench their fist. The Iranian response is simple, if you are truthful Obama, then you should recognise that it is your fists that extends across the Atlantic Ocean to our borders. If you remove your bases, sanctions, and keep the ugly hyena on your leash, you will find that Iran has the magical carpet rolled out for you to fly into Tehran.
Yamin Zakaria (yamin@radicalviews.org)
London, UK
www.radicalviews.org
http://yaminzakaria.blogspot.comv
Afghanistan : How Islamic Resistance Defeated the Zionist West