22 août 2017

The Murderous Mossad and 9-11

Formations de milices..... Business de l'Etat Hébreu en Guinée et en Afrique: Infiltration du Mossad, ventes illégales d'armes



Vente d’armes, soutien logistique, formation... L’intérêt de l’État  hébreu pour les pays au sud du Sahara ne se dément pas.
Vente d’armes, soutien logistique, formation... L’intérêt de l’État hébreu pour les pays au sud du Sahara ne se dément pas



Janvier 2009. La scène se déroule dans un somptueux restaurant du bord de mer à Tel-Aviv. Assis nerveusement au coin d’une table, Samuel Sternfeld avise une dernière fois son équipe. Dans quelques heures, cet habile homme d’affaires israélien reconverti en marchand d’armes doit accueillir une délégation officielle de Centrafrique. Bien que l’État hébreu n’entretienne aucun lien diplomatique avec Bangui, tout est organisé comme une visite d’État : accueil des ministres à l’aéroport Ben-Gourion, transport avec chauffeur, rencontre avec des officiers de l’état-major de Tsahal et inspection des principaux sites d’armements israéliens. Chaque étape du voyage est minutieusement planifiée. Soudain, le téléphone de Sternfeld retentit. Des rebelles viennent d’attaquer un détachement des forces centrafricaines dans la région de Ndélé, frontalière du Soudan. Il y a des morts, la visite est annulée. Coup dur pour cet homme d’affaires mandaté par le ministère israélien de la Défense et qui avait financé de sa poche le déplacement de la délégation envoyée par le président François Bozizé. Pour parfaire son « opération séduction », Samuel Sternfeld avait même sollicité le général Amos Gilad, alors négociateur israélien dans les pourparlers avec le Hamas. Gilad était chargé de transmettre l’assentiment officiel de son gouvernement et de mettre en confiance la délégation centrafricaine. 
Fini l’eldorado subsaharien ? 
Complexe à réaliser sans l’aval de la France, qui a toujours soutenu militairement les troupes de François Bozizé, l’accord avec Israël ne verra finalement jamais le jour. L’enjeu était pourtant de taille pour le président centrafricain. Confronté à diverses rébellions aux frontières nord et est, le général s’était laissé convaincre par Samuel Sternfeld de la nécessité de bâtir une armée plus imposante que sa garde présidentielle composée d’un petit millier d’hommes. Bozizé y voyait aussi l’occasion de se détacher de la pesante tutelle fran­çaise. Pour ce faire, l’industrie militaire israélienne était prête à tourner à plein régime : drones, blindés, armes légères et vedettes de la marine ont été proposés au régime de Bangui, de même que du matériel d’écoute et de renseignement. Sans grandes ressources financières, le gouvernement centrafricain envisageait en contrepartie de régler l’État hébreu en bois et en diamants. 
Inconnu jusqu’ici, cet épisode illustre la nature actuelle des relations entre Israël et les pays d’Afrique subsaharienne, du moins sur le plan sécuritaire. Officieuses, aléatoires, elles obéissent en priorité à une logique d’intérêts politiques et économiques. Comme dans beaucoup d’autres zones géographiques instables, les Israéliens ont su faire valoir leur expérience militaire. « Aujourd’hui, des dizaines de sociétés de sécurité travaillent sur ce continent, toutes dirigées par d’anciens officiers de Tsahal, explique le journaliste d’investigation Ronen Bergman (éditorialiste au Yediot Aharonot). La présence israélienne y est exclusivement privée, c’est un phénomène qui remonte aux années 1970. » 
Au lendemain de la guerre de Kippour (1973), lorsque la plupart des pays africains rompent leurs liens avec l’État hébreu, le Mossad décide de se substituer aux diplomates en servant d’interlocuteur auprès des dirigeants africains et des mouvements d’opposition. Isolé sur la scène internationale, Israël cherche avant tout à bénéficier d’appuis au sein de l’ONU. « C’est à ce moment-là que les hommes d’affaires et les marchands d’armes israéliens ont fait irruption en Afrique », raconte l’ancienne députée Naomi Hazan. Au Liberia, au Zaïre, au Togo ou encore au Cameroun, des centaines d’instructeurs israéliens commencent à assurer la formation de gardes présidentielles et d’unités d’élite. À la fin des années 1970, plus d’un tiers des ventes d’armes israéliennes se réalise sur le continent noir. Mais dans certains pays, l’ingérence est parfois lourde d’implications. En Afrique du Sud, l’État hébreu est accusé ouvertement de fermer les yeux sur l’apartheid et d’aider Pretoria a se doter d’armes nucléaires. Tandis que, face à la rébellion érythréenne en Éthiopie, il conditionne son soutien militaire à Addis-Abeba à l’émigration vers Israël des Falashas, les juifs éthiopiens. « L’effondrement de l’URSS a changé la donne, estime Naomi Hazan. D’autres marchés se sont ouverts aux États-Unis, en Inde et en Chine. Ils rapportent chaque année des milliards de dollars à l’industrie militaire israélienne. L’Afrique n’est plus une priorité. » 
Nigeria, kenya, éthiopie… 
Et pourtant, en septembre 2009, Avig­dor Lieberman est venu démentir cette allégation en effectuant une tournée africaine. Officiellement, la visite du chef de la diplomatie israélienne visait à renforcer la coopération sur le plan agricole et proposer des solutions liées à la purification des eaux. « Il ne fait aucun doute que le plus important pour l’Afrique, c’est la lutte contre la pauvreté et la sécheresse, pas les armes », déclarait Haim Dibon, l’un des proches de Lieberman. Ce déplacement officiel cachait néanmoins d’autres ambitions moins avouables. Au sein de la délégation israélienne figurent une équipe du Mossad, des représentants du Sibat, l’organisme en charge des exportations d’armes israéliennes, de même que plusieurs responsables d’industries de défense, comme les sociétés Elbit, Soltam, Silver Shadow et l’Israel Aerospace Industries (IAI). 
Les pays visités par Avigdor Lieberman représentent quant à eux un intérêt sécuritaire majeur. Au Nigeria, principal producteur de pétrole en Afrique, en proie à une rébellion dans le Delta et des conflits communautaires dans l’État de Plateau, les ventes d’armes ont rapporté 500 millions de dollars à Israël ces dernières années. Au Kenya, cible par le passé de plusieurs attentats, la coopération antiterroriste a été longuement évoquée. Enfin, l’Éthiopie, partenaire stratégique de l’État hébreu, est positionnée sur la Corne africaine, au carrefour de la mer Rouge, à proximité du Soudan et de l’Égypte, un axe où l’Iran fait régulièrement transiter ses cargaisons d’armes à destination du Hamas et du Hezbollah. 
Activités illégales en Guinée
Éditorialiste au quotidien Haaretz, Yossi Melman refuse néanmoins de penser qu’Israël a signé son retour sur le continent noir. Il prône une doctrine plus pragmatique : « En Afrique, là où il y a de l’argent, il y a des armes israéliennes », clame-t-il. Ce spécialiste des questions de défense a récemment révélé les activités de la société de sécurité privée Global CST en Guinée. 
En décembre 2008, lorsque le capitaine Moussa Dadis Camara s’autoproclame successeur du défunt président Lansana Conté, il connaît la méfiance qu’éprouve à son égard une partie de la population. N’accordant guère plus de confiance à l’armée guinéenne, dont il est pourtant issu, le chef de la junte décide de s’attacher les services d’un expert en sécurité qui assurera l’encadrement de sa garde prétorienne, les Bérets rouges. Via le diamantaire israélien Beny Steinmetz, qui possède une mine d’exploitation en Guinée, Dadis Camara reçoit Israel Ziv, patron de la société privée Global CST. Ancien commandant des forces spéciales, Ziv possède un profil impressionnant. Connu pour avoir encadré l’armée colombienne lors de la libération d’Ingrid Betancourt, il a également servi de conseiller militaire en Géorgie en 2008, juste avant que n’éclate la guerre en Ossétie du Sud. Dadis et Israel Ziv concluent un accord qui s’élève à 10 millions de dollars. Mais la transaction est illégale : « Ziv a vraisemblablement agi sans le feu vert du ministère israélien de la Défense et a enfreint les règles d’exportation d’armes », explique Yossi Melman. Si le gouvernement israélien a décidé d’ouvrir une enquête, l’affaire est d’autant plus embarrassante que Global CST n’a pas remis en question sa coopération avec Dadis Camara après la répression sanglante de l’opposition, le 28 septembre 2009. « La société Global emploie toujours en Guinée des experts militaires, agricoles, des conseillers politiques et toutes sortes d’ingénieurs civils », affirme Yossi Melman. 
Stratégie d’Infiltration 
À défaut d’y avoir déterminé une politique claire, les Israéliens ont, semble-t-il, opté pour une stratégie d’infiltration en Afrique. Ainsi, l’aide militaire proposée par des entrepreneurs privés ou publics ne constitue souvent qu’un premier pas. En septembre 2002, cette logique est à l’œuvre lorsque le président ivoirien, Laurent Gbagbo, fait face à une offensive rebelle. Déçu des Français et à la recherche d’un appui militaire, le chef d’État ivoirien se tourne vers son fidèle avocat parisien Sylvain Maier, qui le met en contact avec plusieurs spécialistes israéliens. En quelques semaines, Laurent Gbagbo obtient la livraison d’hélicoptères, de drones tactiques et de matériel d’écoute. Une cinquantaine d’experts israéliens du renseignement opèrent alors à Abidjan pour espionner les communications des rebelles. 
Le 6 novembre 2004, cette implication éclate au grand jour lorsque l’aviation progouvernementale bombarde une position française à Bouaké, tuant neuf soldats de l’opération « Licorne ». Paris découvre que des avions sans pilote israéliens ont survolé le secteur peu de temps avant l’attaque. La France demande alors des comptes à l’État hébreu et exige qu’il cesse son assistance militaire à Laurent Gbagbo. Entre-temps, l’homme d’affaires Moshe Rothschild, principal acteur des ventes d’armes à la Côte d’Ivoire, a déjà monté sur place plusieurs entreprises et décroche des projets liés au développement d’infrastructures civiles. À la fin du mois de juillet dernier, c’est Ehoud Olmert en personne qui s’est rendu à Yamoussoukro, pour une visite restée plus que discrète. Organisé par l’ancien ambassadeur israélien en Côte d’Ivoire, Daniel Kedem, le déplacement de l’ex-Premier ministre était lié à des affaires sécuritaires, telles que la mise en place d’un Shin Bet ivoirien pour renforcer la sécurité autour de Gbagbo et surveiller certains éléments hostiles de l’armée ivoirienne. Les Israéliens, en effet, via la société privée Omega, appuient et forment les services ivoiriens, ainsi que la garde présidentielle. 
« Les Israéliens sont derrière tous les conflits en Afrique », s’écriait en août 2009 le colonel Kaddafi, en marge d’un sommet de l’Union africaine, à Tripoli. La réalité est autrement plus subtile. Très réactives, habituées aux situations de crise, les entreprises israéliennes sont souvent les premières à proposer leurs services à des pays en guerre : conseil militaire, soutien logistique et armement. Avec seulement neuf ambassades en Afrique, l’État hébreu est contraint de recourir au secteur privé pour exister sur ce continent 


http://www.guineeweb.org 

Further details on command and control system used to coordinate 9/11 incident

By Wayne MadsenOnline Journal Contributing Writer
Apr 30, 2010, 00:27


(WMR) -- On April 26, 2010, WMR reported: “Multiple U.S. intelligence sources have reported to WMR that a super-classified network with only some 70 terminals in select U.S. government locations handled the parallel command-and-control activities that permitted the 9/11 terrorist attacks to be successful.

“The ‘above top secret’ network bears the acronym ‘PDAS.’ WMR has not yet discovered what the acronym stands for, however, the system is limited to only a few hundred people with Sensitive Compartmented Information (SCI) Special Access Program (SAP) need-to-know access, in addition to the President and Vice President.”

WMR has confirmed from multiple sources that PDAS is the Planning and Decision Aid System (PDAS) that is used to support the operational capabilities to the Joint Staff at the Pentagon and Combatant Commanders (COCOMs). The PDAS system is used to network Special Technical Operations (STO) elements located within the Joint Staff, COCOMs (with a significant presence within the US Central Command), military service information operations organizations, and the intelligence agencies (including the CIA, National Security Agency, and Defense Intelligence Agency).

The Department of Defense officially defines PDAS as “the Planning and Decision Aid System (PDAS) is an automated information system protected program under Secretary of Defense (SecDef). PDAS supports the planning and execution of Integrated Joint Special Technical Operations (IJSTO).”
WMR has been informed that IJSTO operations have also been used to target foreign leaders for assassination, including Yugoslav President Slobodan Milosevic (unsuccessful) and Rwandan President Juvenal Habyarimana and Burundian President Cyprien Ntaryamira (successful aerial assassination in 1994). One of the chief promoters of PDAS and Special Technical Operations during the Clinton administration was Supreme Allied Commander General Wesley Clark.
Access to the PDAS network is usually accompanied with access to other intelligence systems, including the Secret Internet Protocol Router Network (SIPRnet) and the Joint Worldwide Intelligence Communications System (JWICS), as well as the Non-classified Internet Protocol Router Network (NIPRnet).
PDAS has, since 9/11, been extended to Canada, Australia, and the United Kingdom.
PDAS special technical and information operations training for users is conducted at the 704th Military Intelligence Brigade at Fort Meade, Maryland. The unit, according to its website, conducts “Signals Intelligence and Network Warfare” on behalf of Army, Joint Command, and National requirements.
PDAS was developed from a prototype system developed by Hughes for NSA’s Joint Special Studies Group (JSSG) in 1983 that eventually linked military commands and intelligence agencies to STOs responsible for, among other signals intelligence (SIGINT) activities, hacking into Soviet government and military communications networks and key nodes. One such program that tapped into Soviet submarine communication cables, but was compromised by a Soviet spy inside the NSA, was code-named IVY BELLS.
PDAS supposedly saw its funding yanked after the fall of the Soviet Union. However, based on information recently received by WMR, PDAS continued to function with a new mission: coordinating covert U.S. special technical operations against governments and individuals in the Balkans, Rwanda, and then, on September 11, 2001, the United States itself.
Previously published in the Wayne Madsen Report.
Copyright © 2010 WayneMadenReport.com
Wayne Madsen is a Washington, DC-based investigative journalist and nationally-distributed columnist. He is the editor and publisher of the Wayne Madsen Report (subscription required). 

Copyright © 1998-2007 Online Journal
Email Online Journal Editor

http://onlinejournal.com/artman/publish/article_5821.shtml

When will Israel attack the USA – again?

By Jeff Gates – 30 April 2010

Israel has long been waging war on the US by way of deception. To date, its operatives have worked from the shadows, hoping not to be detected. Their duplicity typically includes the displacement of facts with what the American public can be deceived to believe.

Thus, the need to create a widely held belief around Iraqi weapons of mass destruction, Iraqi ties to Al-Qaeda, Iraqi meetings in Prague, Iraqi mobile biological weapons laboratories and Iraq’s purchase of uranium from Niger. Though all five “facts” were false, only the last claim was conceded as phony prior to inducing our invasion of Iraq.

There lies our national security challenge as the groundwork is being laid for another 911.

The same fact-displacing modus operandi is again at work. In the parlance of national security analysts, psy-ops specialists are “preparing the mind” to accept another generally accepted truth at odds with the facts. This time the objective is Iran. Or Pakistan.

Except that this time national security is shining a bright light in the shadows where such operations are launched.

The displacement process

As a reasoning species, we depend on rationality to stay alive and thrive. That’s why the displacement of facts requires preparation. First, the public’s shared field of consciousness is flooded with thoughts and impressions to ease the displacement process.

A decade before the thematic Clash of Civilizations was used as a rationale to invade a nation that played no role in 911, Harvard Professor Samuel Huntington published this thesis in Foreign Affairs, a publication widely read by opinion-makers. The Clash premise first appeared in the writings of Bernard Lewis, a Jewish-Zionist academic at Princeton.

By the time Huntington’s book with that title appeared in 1996, 100 organizations were prepared to promote it. As that process gained momentum, the Cold War consensus was replaced by a new generally accepted truth: the Global War on Terrorism. The widespread embrace of that theme was catalyzed in September 2001 by a mass murder on US soil.

Such a seamless segue from one generally accepted truth to another requires both mental preparation and an emotionally wrenching event. In combination, those two influences create an ideal framework for explaining to ourselves what we now know was a pre-staged storyline. A myth need not be true; it need only be plausible – and only temporarily so.

Prompted by false intelligence fixed around a predetermined goal, The Clash emerged as the latest generally accepted truth. With the rebranding of Saddam Hussein, a former US ally, as a plausible Evil Doer, the stage was set. As the war began, the term “Islamo-fascist” crept into the rhetoric to reinforce the theme that a new enemy had emerged – by consensus.

Anyone not outraged at this mental and emotional manipulation is ill informed about the common source of this ongoing deceit. In the information age, this is how wars are catalyzed. And how treason is committed in plain sight and, to date, with legal impunity.

The next provocation

With chilling consistency, the myth makers responsible for this latest corruption of US intelligence have proven adept at inducing serial conflicts that hollowed out our economy, damaged our credibility and undermined our faith in our own government.

There was no Gulf of Tonkin incident, the rationale that took us to war in Vietnam. Israel was not endangered in 1967 when it began the Six-Day war. Phony intelligence rationalized a massive land grab guaranteed to provoke antagonisms that undermined our security.

In rationalizing the war in Iraq, who deceived us? Who had the means, motive and opportunity? Are our minds again being prepared to wage yet another war that is not in our interest? Are we again being subjected to a seductive psy-ops as a prelude to war, awaiting only the emotional catalyst of another mass murder?

The mental threads have been laid. For example, in March 2005, author Jerome Corsi published Atomic Iran, urging that either the US or Israel kill the “mad mullahs” of Iran.

In July 2006, Corsi released Minuteman. Citing the president’s “failed immigration policy”, this Israeli asset claimed that Iran-supported terrorists are “invading from Mexico” to stage another 911. “We have definitive proof that we have Hezbollah – the terrorist group that Israel is fighting today – sleeper cells that are here.”

This prepare-the-minds publication appeared two weeks after Israel invaded Lebanon to combat “Hezbollah terrorists”. Where was the book launched? If you answered Ground Zero, the 911 site in Manhattan, you understand how psy-ops experts deploy the power of association to displace facts with fictions.

Such “associative” duplicity can only succeed in plain sight. CNN’s Wolf Blitzer broadcasts from “The Situation Room” with its White House-associative branding. What “the most trusted name in news” fails to tell you is that Blitzer worked 17 years for The Jerusalem Post and authored a sympathetic book on Israeli master spy Jonathan Pollard.

Treason in plain sight

The mental preparation is well advanced. The missing ingredient is another mass murder. Strongly-provoked emotions are critical when staging psy-ops designed to displace facts with what “the mark” can be deceived to believe. Plus, of course, it helps to muster some evidence that plausibly links the attack to Iran or Pakistan. That will suffice.

Or perhaps not. This time around, those who took an oath to defend this nation from all enemies – both foreign and domestic – may well have better tools to do their job.

There is but one possible source able to sustain such operations with impunity inside the US. Only one nation has the requisite intelligence capabilities to operate from within our government in plain sight yet non-transparently.

As yet, few dare speak its name. Instead, four-fifths of those in “our” Congress recently proclaimed themselves loyal to a foreign nation and insisted that our commander-in-chief maintain an “unbreakable bond” with what the facts confirm is an enemy within.

Will the US again be attacked? If so, will we focus our forces on the real enemy? Our veterans’ community is 27 million strong. Let your voice be heard. Our nation is at stake.


http://alethonews.wordpress.com/2010/04/29/when-will-israel-attack-the-usa-%E2%80%93-again/

Sarkozy, Balladur et Leotard sont egalement cités dans le scandale du GIA ou affaire plus connue sous le nom de code 'Operation November 1950' ou les preuves demontrent que la DST a crée les GIAs grace aux juifs sionistes de la France-Israel infiltrés a Alger, le general Larbi Belkheir (decedé), et le general de la DST, Mohamed Mediene dit Tewfik (les flics de la DCRI viennent de hacker mes emails et s'en servent pour envoyer des messages avec mon identité personnelle, ca ressemble a du deja vu, la DST ayant declaré mon passeport volé en 2005, juste apres la publication de preuves impliquant Sarkozy dans les attentats de Madrid et indirectement ceux de Londres). Serait-on a quelques jours du prochain 11 Septembre en Europe et aux attentats a la bombe sale ou Sarkozy est la aussi impliqué?

L'israelien, rira bien qui rira le dernier ! Regarde bien la caméra en face pas comme en 2005 ! Voici le genre d'emails que Squarcini et Tewfik envoient avec mon identité :
Civilities,

Speech of welcome,


I work as a manager at a large company. Our company is engaged in different areas of activity, such as:
- supporting business in Europe and other countries
- bank accounts opening and maintenance
- private undertaking services
- etc.

We are searching for partners in Europe:
- wages 2300euro+bonus
- partial employment
- flextime


If you are ready to work as a regional manager in Europe send us the below information: Fausto@gb-it-compamy.comFull name:
Country:
City:
E-mail:
Telephone Number:



Attention! We need European residents only

Please, write your Telephone Number and our manager will contact you to conduct an interview.

Squarcini vient de m'en envoyer un autre, il a pas l'air content:

An import export company seeks remote employees.
Our company specializes in marketing and selling of the various products on the Internet and our goal is to connect sellers and buyers
for various products online thus assuring the best possible outcome for the both parties involved.
Being foreign company makes it harder to manage sales transactions with US customers,
thus we are looking for support of regional customer service representative.
The main duties include receiving and making payments on client's behalf, managing the preparation and distribution
for expected transactions and ensuring accuracy and promptness of payments and reports.
Number of expected transactions per week: from 2-3 (at the beginning of work) to 5-7 (after the first probation month).

Benefits:
1. Base salary(after a month evaluation period), commissions + monthly bonuses
2. All banking and cellphone expenses covered
3. Earnings in addition to your current job
4. No need to sell anything or look for customers

Requirements:
1. Mobile and stationary phone
2. Access to e-mail via Internet or mobile phone
3. Minimum age: 25
4. Bank account


If you are interested in this job, please, send us your contact information:
First Name:
Last name:
Country of living:
City
E-mail:
Phone:

Our contacts: Vianney@baltic-europe.comAdemar@baltic-europe.com

I'll answer you as soon as possible.

Abu Suleyman
Islamic-Intelligence

KARACHIGATE : L'ELYSEE NE PEUT PLUS SE CACHER DERRIERE UNE BURQA


De la réforme constitutionnelle : deux propositions
L'attentat contre la DCN, vous en souvenez vous ? Le Karachigate, ça vous parle ?
Au commencement, c'était un attentat perpétré par Al Quaida contre les intérêts français au Pakistan, qui fit 14 morts, dont 11 salariés de la Direction des constructions navales (DCN) le 8 mai 2002 à Karachi. A l'arrivée, selon le juge anti-terroriste Marc Trévidic, l'attentat meurtrier attribué un peu trop précipitamment à Oussama Ben Laden serait directement lié au financement de la campagne la campagne présidentielle d'Edouard Balladur qui ne bénéficiait pas en 1995 des financements de son parti, le RPR, réservés à Jacques Chirac. Vous avez dit un scandale politico-mafieux ?
C'est bien ce qui expliquerait que le procureur de Paris Jean-Claude Marin, que l'on ne présente plus après le procès Clearstream, tente "par tous les moyens d'éteindre l'incendie " face aux soupçons de rétro-commissions qui embarrassent au plus haut sommet de l'Etat, a déclaré l'avocat des familles des victimes de l'attentat de Karachi, Olivier Morice, à l'AFP.
En  1995, Edouard Balladur est Premier ministre. Nicolas Sarkozy est son  ministre du budget et directeur de campagne pour l'élection  présidentielle (AFP)
Mieux encore, si l'Elysée suit de très près cette affaire d'attentat imputable aux rétro-commissions sur un contrat de vente de sous-marins, c'est parce que, non seulement ces commissions pourraient avoir donné lieu à des rétro-commissions illégales, souvent un alibi pour des opérations de corruption, mais surtout en raison du rôle clé joué par Nicolas Sarkozyministre du Budget d'Edouard Balladur entre 1993 et 1995, et porte-parole du candidat Balladur. Avez vous bien lu ?
C'est peu de dire que le pire chef d’Etat que la Vè République n’ait jamais eu va devoir s'activer encore plus pour éviter la déchéance fatale qui se précise pour son pouvoir. Pour remonter dans les sondages qui se suivent et se ressemblent, il est désormais tenté de provoquer une guerre civile sur fond de "chasse à la Burqa" et de suppression des allocations aux familles de "petites crapules", dixit son ministre de l'intérieur.
Or, il faudra plus qu'une burqa pour ne pas penser que le locataire de l'Elysée a toute sa place devant la cour de justice de la République. C'est un tarif minimum pour la mémoire des victimes de l'attentat du 08 mai 2002. Faudra t-il attendre jusqu'en 2012, date qui devrait signer la fin de son bail à l'Elysée ?
A2N

https://www.youtube.com/watch?v=v5XKMoUvwu8

Scandale : Mensonge d'Etat sur l'attentat de Karachi en 2002

http://www.alert2neg.com/article-karachigate-l-elysee-ne-peut-plus-se-cacher-derriere-une-burqa-49292370.html

How Ehud Barak Pulled Off 9-11

By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com

April 28, 2010
IT IS ONE HUNDRED PERCENT CERTAIN that 9-11 was a Mossad operation - period.
- Dr. Alan Sabrosky, former director of Strategic Studies Institute, U.S. Army War College

“And how can it be profitable for a person’ immorality to go unnoticed and unpunished? The consequence of a criminal getting away with his crimes is that he becomes a worse person.”
- Socrates in Plato’s Republic, "Happiness and Unhappiness"
Ehud Barak, Israel's defense minister, is currently in the United States for a week of meetings and speeches. He is, in my opinion, the key suspect of being the mastermind of the false-flag terror attacks of 9-11. To help understand how Barak pulled off 9-11 I am providing this brief article to explain how I think he did it. It should be noted that Barak was Israel's minister of defense during Israel's assault on the Gaza Strip in 2008-2009. Based on the findings of the U.N. Factfinding Report written by Justice Richard Goldstone, Barak is responsible for a host of war crimes committed during that assault. The United States and other states are obliged to arrest Ehud Barak based on the findings of that report.

Socrates point that unpunished criminals become worse is the story of modern Israel. The most serious criminals of the Zionist state have never been punished in any meaningful way by the international community - or the United States. This has enabled the worst criminals to rise to the top of the Israeli government, where they sit today. This is hardly sustainable for it endangers the state of Israel, its citizens, and supporters.

Israeli Defence Minister Ehud Barak (L) talks with Minister of Pensioner Affairs Rafi Eitan as Prime Minister Ehud Olmert (C) waits to start the weekly cabinet meeting May 25, 2008 in Jerusalem. Eitan is wanted by the FBI for his role as the spymaster of Jonathan Pollard. Olmert was in New York City on 9-11. These three men know very well who was behind the terrorism of 9-11.
Ehud Barak was prime minister of Israel from July 1999 until March 7, 2001, when he was replaced by Ariel Sharon. I attended an event at the Chicago campus of the University of Illinois where both Barak, then prime minister, and Sharon were involved, shortly before the election that brought Sharon to power. The fact that Barak and Sharon had travelled to Chicago together illustrated the utter fakeness of their rivalry.

Previous positions held by Barak include Head of Defense Planning and Budgeting, Head of the Israeli Intelligence Community, Chief of the General Staff of the Israel Defense Forces (IDF), Minister of the Interior in Prime Minister Itzhak Rabin's cabinet, Minister of Foreign Affairs in the Shimon Peres cabinet, and Labor Party Chairman. If Israel is involved in 9-11, as Dr. Alan Sabrosky says and which the evidence strongly indicates, Barak certainly knows all about it.
When Sharon assumed power in March 2001, Barak came to America. He supposedly came to the United States to work as a special advisor for Electronic Data Systems and as a partner with SCP Partners, a private equity company focused on "security-related" work - but this was only his cover. His real assignment was to oversee the terror attacks of 9-11. As a partner with SCP Partners Barak was well placed to supervise the false-flag terror operation. The complex false-flag terror attacks of 9-11 required that the mastermind of the operation be in the country to oversee the critical details.
One of the key aspects of 9-11 was the production and application of an advanced form of super-thermite, an extremely powerful explosive produced using nano-technology. In 2001, SCP Partners happened to have a suitable company in their portfolio, a private company called Metallurg Holdings, Inc., which has its office in Wayne, Pennsylvania. Today, SCP has another company called Advanced Metallurgical Group, N.V. (AMG) in its portfolio. AMG and Metallurg share the same address at 435 Devon Park Drive in Wayne. AMG has several subsidiaries, one that specializes in the production of atomized aluminum (a crucial component of super-thermite) and others which manufacture specialized coatings of nano-composites. SCP Partners, which included Ehud Barak from 2001 until 2007, clearly owns companies that are well suited to making nano-composite explosives like the super-thermite used to pulverize the World Trade Center on 9-11.

Chips of super-thermite found in the dust of the World Trade Center by Dr. Steven E. Jones
Rafi Eitan, the octogenarian Mossadnik who ran a spy operation against the United States using Jonathan Pollard, fled to Israel after Pollard was caught in 1985. Eitan was then offered the position as head of state-owned Israel Chemicals Corporation, which has production facilities in the United States. In 1978, when Israeli intelligence began planning the false-flag terror operation of 9-11 (according to the comments of senior Mossadnik Isser Harel), Eitan served as Menachem Begin's advisor on terrorism. This is the real reason that Rafi Eitan remained in the Israeli security cabinet until 2009 - he is one of the architects of 9-11.

Rafi Eitan was also involved in the smuggling of plutonium from the United States to Israel for the production of nuclear weapons. His unscrupulous character can be seen in a comment he made to the wife and lawyer for Jonathan Pollard, the captured spy: "Eitan told us the only thing he regrets about the Pollard affair is that he did not 'finish the job' before leaving the States. We asked him what he meant by this. Eitan replied, "If I had been at the embassy when Pollard came to seek asylum, I would have put a bullet through his head. There would have been no Pollard affair."
Esther PollardMaariv, March 30, 2006

Raphael Hantman a.k.a. Rafi Eitan
“In principle, when there is a war on terror you conduct it without principles. You simply fight it." – Rafi Eitan to Ha’aretz, February 19, 2010
At SCP Partners Barak worked closely with another Mossadnik named Eitan - Yaron I. Eitan. Although Yaron Eitan looks very much like Rafi Eitan, the relationship between the two Eitans is not known. Rafi Eitan was actually born Raphael Hantman and reportedly has three children named Yael, Sharon, and Yuval.

Yaron I. Eitan

GORDON DUFF: STAGE BEING SET FOR “DIRTY BOMB” FALSE FLAG



“SUITCASE” NUKE SAID TO BE IN PLACE
By Gordon Duff STAFF WRITER/Senior Editor
Rumors of an upcoming terror attack to be blamed on Iran are moving around the world, “backchannel chatter.” The primary suspect is Israel who is said to have a number of small “suitcase” type nuclear weapons, some primarily “dirty bombs,” possibly supplied secretly by a previous US administration. These devices are in the “40 ton” range, highly radioactive, extremely small and can be engineered to leave the signature of a primitive device. They were originally designed for use against Soviet armor and troop concentrations in Europe if a massed attack on NATO were to occur. Current conventional systems have made this type of weapon obsolete.
We have been told that federal authorities have interviewed, on video, a prominent individual with specific knowledge of the possession of this type of weapon.
This won’t be in the news. All that “every day folks” will see is a story here or one there that don’t make sense. Why would “ultra-Liberal” Senator Chuck Schumer, nightmare “anti-gun” nut, extreme lefty and staunch New York democrat turn on the president? In fact, why are extreme liberals and conservatives all attacking President Obama and, less visibly, our military leaders, all at the same time? Who is orchestrating this oddest turn of political events in recent history? Why would the Pentagon ban Reverend Billy Graham’s son from a prayer breakfast as an “Islamophobe?”
Dad, the famous Reverend Billy Graham, primary spiritual advisor to every American president since Harry Truman held different views.





Rev. Billy Graham openly voiced a belief that Jews control the American media, calling it a “stranglehold” during a 1972 conversation with President Richard Nixon, according to a tape of the Oval Office meeting released Thursday by the National Archives.

This stranglehold has got to be broken or the country’s going down the drain,” the nation’s best-known preacher declared as he agreed with a stream of bigoted Nixon comments about Jews and their perceived influence in American life.

“You believe that?” Nixon says after the “stranglehold” comment.

“Yes, sir,” Graham says.

“Oh, boy,” replies Nixon. “So do I. I can’t ever say that but I believe it.”

“No, but if you get elected a second time, then we might be able to do something,” Graham replies.

Consider this report as a form of “innocualtion,” meant to prevent an unseemly accident.
EVER WONDER WHY OVER 80% OF AMERICAN’S DON’T TRUST CONGRESS?

https://www.youtube.com/watch?v=3BahjX9nI5k
YouTube - Veterans Today -
FACE THE FACTS
Israel has never been in more trouble today, not from any imaginary Arab armies or a “holocaust” from Iran, a country with only minor defensive weaponry, a 4th rate military power, for those who really pay attention to these things. Israel has gotten in trouble because of “chickens coming home to roost.” Americans and Europeans have been conditioned by the press, yes, Israel controls the press in the US, Europe, Australia, New Zealand and elsewhere, to ignore ethnic cleansing and war crimes in Palestine. Years of news and “infotainment” along with movies and TV series, always depicting Palestinians as crazed murders has done its job, covered mass murder in ways that Josef Goebbels could never do for Hitler.
Things started to go wrong for Israel when top military leaders became increasingly suspicious of 9/11. None will openly admit to it, but as years have gone on, and Iraq and Afghanistan could no longer be called real security issues for the US, an unspoken movement toward lending a suspicious eye to Israeli involvement in 9/11 has festered. Israel’s hand in propagandizing our news has become too obvious for trained observers to miss, with the direction not “pro-Israel” but looking more like a country covering for crimes.
This is the potential list:
  • Possible complicity in some part of 9/11 with or without help from groups in the US and one other Middle Eastern nation known to secretly finance Israeli operations but pretending to be a “blood enemy” of the Jews
  • Israeli complicity in massive financial crimes in the US, including engineering of the sub-prime mortgage collapse as an operation meant to destabilize the United States. That current financial reforms meant to prevent a repeat of this, pushed by President Obama (and military leaders) is opposed by groups financed by the Israeli lobby is a “smoking gun.”
  • Terrorist attacks in Iraq, Russia, Iran and Pakistan carry clear signs of involvement of one or more intelligence agencies being involved, among them Israel.
  • Israeli political machinations backed by a massive propaganda and disinformation campaign attempting to justify an unprovoked attack on Iran, disinformation including “holocaust” rhetoric and clearly falsified intelligence on Iran’s non-existent nuclear program are an almost perfect repeat of the same operation that pushed the Bush administration to mistakenly attack Iraq. Note this classic example of disinformation propaganda, conditioning “the west” to expect a dirty bomb attack: Debka/Israel Hoax and, more “cover” still from Israeli stooge Mikhail Saakashvili.
  • The “Israel Project” actually has run ad advertisement warning of exactly such an attack. You can see an RT (Russia Television) video about this video, labeled “crazy” and “propaganda.” A national survey mentioned indicates that 70% of the American people because of Israeli propaganda, now believe Iran currently has nuclear weapons. Many prominent lawmakers advise “the Israel Project,” a group with no other purpose than to condition Americans to expect terror attacks and to “pre-blame” Iran.
  • Nuclear threats made by “extremists” in Israel against Western Europe went unheeded and the desired outcry of support for an attack on Iran never materialized. Israel would never have allowed prominent sources in its defense establishment to voice “crazy threats” to “nuke Rome” unless some purpose were served.
  • Highly orchestrated attacks on the Obama administration, now finally working in close association with top military leaders, is meant to destabilize the US. Moving threats against the US, the engineering of a new market collapse by Goldman Sachs, an ineffective attack by Israel on Iran, cutting off all oil to the west or attempts by Israeli controlled media giants to forment civil unrest in the US are all “on the table” and being pushed forward.
AMERICAN POLITICIANS, PRESIDENT OBAMA INCLUDED ARE “SWORN” TO KEEP ISRAEL’S VAST NUCLEAR ARSENAL THE WORLD’S “WORST KEPT SECRET”

https://www.youtube.com/watch?v=NsjbV23cto8
YouTube - Veterans Today -
HOW AMERICA’S MILITARY HAS CHANGED
The deteriorating situation in Iraq and Afghanistan have tied down so many resources that our defense capabilities, the contingency response that our defense planners have spent years creating and over a trillion dollars financing is a shambles. We are trucking supplies hundreds of miles through enemy territory to resupply in Afghanistan, that and flying everything thousands of miles across Russia followed by more trucking, hundreds of miles across enemy territory again. In the process, we are paying hundreds of millions of dollars a year to our own enemies, simply to keep ourselves in Twinkies and Ho Hos.
America is saddled with an incompetent and corrupt ally who has hopelessly embroiled us in his endless and ineffective plots, all with a massive subtext of drug dealing, selling weapons to the enemy and double dealing with foreign intelligence services.
How we got here is no secret and military leaders are unhappy. America got herself led into these disasters for the good of, not Israeli security but a series of intrigues, more like a chess match, playing country against country, while raking in cash selling weapons to everyone, including the US and India, but, less overtly, to Iran and the Taliban as well. These are some of the worst kept secrets in the world. Even President Obama knows, heaven forbid.
ONLY A NEW 9/11 CAN BAIL ISRAEL OUT
With massive control of news organization, half our top retired military leaders taking regularly paid “junkets” to Israel and 363 members of congress indicating an “unbreakable bond” with Israel, no matter what they are caught doing, and they have been caught so many times, starting with the 1956 Suez/Sinai invasion, the 1967 USS Liberty attack, which helped Israel sell the idea that they were attacked when quite the opposite is true, the belief is that that a new “false flag” attack can be covered easily.
Who could blame Israel, poor beleaguered country, the only “democracy” in the Middle East surrounded by vicious and dirty Arabs trying to sneak in and cut throats of small children in school?
We have already seen the stories about Iran’s planned “holocaust’ and how they are going to invade Israel, a technical impossibility” and set up gas chambers, start making soap and lamp shades out of Jews. If anything warns America that an attack is coming, hearing both “holocaust” and seeing Charles Schumer attacking a democratic president should be warning enough.
The rumors are that the weapons are in place in Europe and the US. “The usual suspects,” Arabs, Persians, Pakistanis, some kind of Islamic terrorist group has either been recruited, invented or is being thawed out. News stories are in place and with 9/11, film crews are ready to be onsite. Witnesses will be briefed, all to say, “yes it was an Arab dirty bomb, we saw them, Middle Eastern looking, they must have bought it from North Korea.”
That kind of story would hit the news within seconds from “stunned survivors” who will suddenly disappear, returning quickly to “you know where.”
Glenn Beck will cry.
LIBERALS AND CONSERVATIVES HAVE ALWAYS GOTTEN MARCHING ORDERS FROM TEL AVIV
Americans have the rare privilege of seeing the GOP, NRA, Fox News and the Tea Baggers aligned with 250 or is it 300 or 400, we aren’t sure, members of congress that have signed a letter promising to support Israel, in this case, against the interests of the United States. The names of those involved is difficult to find. A search of 100 stories on this subject has failed to give a list. Blog after blog is requesting the list of those who signed the letter but even Israeli papers don’t print it.
Sites claiming to list the members signing now show “FORBIDDEN” or “NO LONGER AVAILABLE.”
What we do know is that congress’s most liberal members, those most outspoken for gun control and all of those listed by the Tea Bag movements and GOP as the most liberal and “unpatriotic” of our politicians are now lined up with the supporters of Goldman Sachs and all, the most conservative and most liberal, are signed up against the President and the Pentagon, aligned with Israel.
For those with eyes to see and ears to hear, the entire “liberal” and “conservative” political hoopla of the last few years is turning out to be a subterfuge to keep Americans from uniting together to regain control of their own country, a control that, for awhile, ran our military, our intelligence services and even the oval office.
Now it runs only Congress, no party, just those addicted to AIPAC/Israeli funding more than allegiance to the United States of America.
What they may earn us through this “moral flexibility” and indifference to allegiance to their own country is another major terrorist attack. These same members of congress will receive the call, be told how to vote, what to say and exactly what they get in return, same as with Iraq.
Ah, the foibles of living in a democracy for sale to the highest bidder!

http://www.veteranstoday.com/2010/04/24/gordon-duff-stage-being-set-for-dirty-bomb-false-flag/

HAMAS RELEASES 3D VIDEO ABOUT FRENCH-ISRAELI TERRORIST GILAD SHALIT

Israel today looks more and more like one huge Masada, another major sign of the end of Israel and the zionist project or Pax Judaica

https://www.youtube.com/watch?v=9vRB5pQ8vP0

GEOPOLITIQUE TRANSSAHARIENNE DE L’ENERGIE (Partie 2)


2. L’enjeu transsaharien, l’énergie
Les conflits dans la région transsaharienne sont de nature « locale » même si par moment, ils obéissaient à une dynamique ethnique ou cultuelle transnationale comme dans le cas des Touaregs. Par contre, la rivalité au Moyen-Orient est plutôt entre puissances « émergentes » à la recherche d’un leadership régional.
Les convoitises internationales sont similaires pour ces deux régions d’approvisionnement. L. CHEGROUC
HE 2010
De nombreuses études géopolitiques, stratégiques ou prospectives montrent que l’Afrique du nordet le Golfe de Guinée sont des réservoirs pétrolifères complémentaires du Moyen-Orient pour l’approvisionnement international. En plus, la région transsaharienne a cet avantage d'être une façade d'exportation atlantique et méditerranéenne. Un avantage-coût par rapport au Golfe Arabopersique pour l’approvisionnement des Etats-Unis et de l’Europe. La dépendance de ces deux marchés suscite des inquiétudes quant à la sécurité de l'approvisionnement à long terme, d'autant plus que les importations proviennent d'un petit nombre de fournisseurs du Moyen-Orient mais, aussi de la Russie. Une dépendance énergétique qui ne cesse de croître et qu'elle a besoin d'infrastructures de transport à longue distance. La crise du Golfe en 1992 a révélé cette vulnérabilité énergétique vis-à-vis du Moyen-Orient. Elle est rendue plus tangible par la crise du Caucase en 2008.
Une dépendance énergétique qui insiste de plus en plus les puissances internationales et les compagnies pétrolières à peaufiner des stratégies offensives en matière de diversification des routes et des sources d’approvisionnement. De ce fait, la région transsaharienne est devenue un enjeu d’intérêt stratégique, une perspective d’approvisionnement en énergie notamment pour les Etats-Unis et l’Europe, ce qui ne va pas sans difficulté comme ça était analysé dans la première partie (voir supra). A la différence de l’Europe qui a toujours été un puissant acteur dans la région, soit par les projets de ses compagnies, soit par l’influence des anciennes puissances coloniales, les Etats-Unis ont cependant une présence toute récente. Ce pays n’a considéré la région comme « espace vital » dans sa politique étrangère qu’en 1995. La montée en puissance de son rôle économique et militaire dans la région coïncide avec le rythme d’accroissement des réserves prouvées (voir tab.1 & 2).
Tab. 1. Les réserves prouvées du pétrole
(Milliards de barils)
1980 1985 1990 1995 2000 2005 2008 % Monde
Algérie 8,2 8,8 9,2 10,0 11,3 12,3 12,4 1,0
Egypte 2,9 3,8 3,5 3,8 3,6 3,7 4,2 0,3
Libye 20,3 21,3 22,8 29,5 36,0 41,5 41,5 3,3
Nigeria 16,7 16,6 17,1 20,8 29,0 36,2 36,5 2,9
Soudan - 0,3 0,3 0,3 0,6 6,4 6,7 0,5
Tunisie 2,2 1,8 1,7 0,4 0,4 0,6 0,6 -
Tchad - - - - 0,9 0,9 0,9 0,1
Afrique 53,4 57,0 58,7 72,0 93,4 117,0 118,0 9,5%
Sources: BP, SH, NNPC, NOC
1 Voir L. Chegrouche, “Quelle prospective de référence pour l’Afrique du Nord ?”, in Revue de l’énergie n°516, 2000.
L. CHEGROUCHE
Tab. 2.
1980 1985
Algérie 3 720 3 350
Egypte 80 26
Libye 690 63
Nigeria 1 160 1 34
Afrique 5 990 6 16
2.1 - Potentiel des réserves
La région transsaharienne dispose de 8% des réserves mondiales prouvées en pétrole et en gaz. Les réserves prouvées de la région se sont fortement accrues pétrole ou celui de d’exploration sans cesse croissant été conclus depuis 2005, commerciales. Si la région maintient ce rythme d’exploration, le potentiel des réserves en pétrole et gaz est appelé à s’accroitre. compagnies locales régulièrement de enchères. L’enjeu est l’évaluation du potentiel des réserves récupérables.
Fig.5
Les réserves prouvées du gaz naturel
(Gm3)
1990 1995 2000 2005
3 300 3 690 4 520 4 530
260 380 650 1 430 1 900
630 1 210 1 310 1 310 1 320
340 2 840 3 470 4 110 5 150
160 8 550 9 930 12 460 14 070 14
Sources: BP, SH, NNPC, NOC
comme l’illustre le cas de la Libye et de l’Algérie et du Nigeria pour le gaz, à la suite d’un effort croissant. En effet, 250 contrats d’exploration ont dont plusieurs ont permis des découvertes locales, en particulier Sonatrach, NNPC et NOC, mettent des dizaines de nouveaux permis d’exploration
5. Potentiel de réserves en Afrique du nord
Source : Chegrouche, in Med Energie
2010
2008 % Monde
4 540 2,5
2 060 1,2
1 500 0,8
5 300 3,0
580 8,2
Energie, n°30, 2009
L. CHEGROUCHE 2010
Les réserves de gaz dans les principaux pays de la région (Algérie, l’Egypte, la Libye, le Nigeria) s'élèvent à 13 400 Gm3 en 2008, ce qui équivaut à 20 années de consommation pour l'Union européenne. La durée de vie de ces réserves est de 75 ans. Elle est bien supérieure dans le cas de la Libye et le Nigeria et inférieur pour l’Egypte et l’Algérie. La Libye et le Nigéria disposent de l’essentiel des réserves pétrolières : 41,5 milliards de barils pour le premier et 36,5 milliards pour le second. Pour le gaz naturel, Nigeria détient un tiers des réserves prouvées de la région. Une partie de ces réserves est actuellement consacrée à des projets de gaz naturel liquéfié (GNL). Ces projets ne cessent de se développer du fait d’une demande américaine. De plus, le « projet de gazoduc de l'Afrique de l'Ouest (PGAO) », signé par le Togo, le Bénin, le Ghana et le Nigeria, ainsi que le gazoduc destiné à la fourniture de gaz à la Guinée équatoriale, sont des ouvrages qui visent à approvisionner l'ensemble de la région de l'Afrique de l'Ouest. Le projet de gazoduc transsaharien s’ajoute à ce programme d’exportation de gaz naturel. Le Nigeria a certes les plus importantes réserves de gaz en Afrique mais sa capacité de production reste encore faible. Une production brute estimée à 70 Gm3. La géographie de ses réserves présente une forte dispersion des champs et gisements gaziers d’où la nécessité d’un important réseau de collecte et de traitement. Le Nigeria dispose en effet de 250 champs pétroliers et gaziers de faible taille en comparaison par exemple avec l’Algérie où le seul gisement de Hassi R’Mel contenait 3 600 Gm3.
2.2 - Projets de transport
Les projets de transport destinés à évacuer les hydrocarbures de la région sont prolifiques mais coûteux. Pour l’exportation du pétrole, les projets d’infrastructures portuaires sont nombreux et ils se concentrent dans le Golfe de Guinée et en Libye. Pour le gaz naturel, ce sont des terminaux
d’expédition du GNL et des gazoducs transnationaux qui font l’objet de projet de crédibilisation et d’intention de contractualisation. Quatre projets d’envergure internationale sont considérés comme crédibles :
Le Galsi est un projet de gazoduc qui doit relier l’Algérie à l’Italie via la Sardaigne. Il est inscrit comme « projet d'intérêt prioritaire » par la Commission européenne. Une autre liaison « Galsci » est également à l’étude : Algérie-Sardaigne-Italie via la Corse.
Le Greenstream II est la seconde phase de l’extension ce gazoduc (voir supra « Libye ») par son rallongement. Il prendrait pour source les gisements du Niger, du Tchad et du Darfour. Le Greenstream II introduirait une dynamique compétitive avec le TSGP. Par analogie, TSGP contre Greenstream en Afrique, Nabucco contre South-Stream dans le Caucase.
Le PGAO est un projet de gazoduc qui vise à approvisionner l'ensemble de la région de l'Afrique de l'Ouest (voir supra).
L. CHEGROUCHE 2010
Le TSGP (voir infra). La réalisation de ces projets requiert d’abord un partenariat efficace.
Ensuite, le financement de ces projets ne peut pas être supporté par un seul pays. Enfin, la sécurisation des tracés est une exigence de durabilité.
2.3 - Trans-Saharan Gas Pipeline
Le TSGP est un projet de gazoduc qui acheminera le gaz naturel vers l’Europe à partir de la région du Delta du Niger, via le Niger et l'Algérie, puis par une liaison offshore le long de la Méditerranée, via le système transport de Medgaz et de Galsi.
Tab.3. Les caractéristiques du Transsaharien
Le projet TSGP
Point de départ Brass (Delta du Niger, Nigeria)
Point d'arrivée
Option 1 - Béni Saf - côte ouest de l'Algérie
Option 2 - El Kala - côte est de l'Algérie
Longueur
4180 Km (arrivée à Béni Saf)
4330 Km (arrivée à El Kala)
Diamètre
48 pouces
56 pouces
Stations de compression
5 pour l'option 48 pouces
18 pour l'option 56 pouces
Capacité
20 Gm3 par an
30 G m3 par an en plein régime
Mise en service 2015 – 2017 Coût 10 milliards de dollars US Promoteurs Sonatrach NNPC
Consortium En cours de constitution mais l’accord final indique une première répartition :
Sonatrach (45%)
NNPC (45%)
Niger (10%)
En 2009, un accord final entre les trois pays traversés par le TSGP précise que 90% du capital du consortium sont détenus à égalité par NNPC et HEGROUCHE 2010
Sonatrach, 10% par le Niger. Les trois partenaires pourraient céder une partie de leur part à un tiers. Cette part est estimée à environ 20%, soit 2 milliards US dollars, à raison de 2 ou 3% pour chaque participation.
Le projet TSGP sillonnera le Nigeria du sud au nord sur 1300 km. Des zones marécageuses du Delta du Niger, le TSGP passera à travers des terres cultivées et des forêts tropicales au nord du Nigeria. Le tracé nigérian est susceptible d’exacerber des conflits avec les populations locales qui se trouvent sur les terres cultivées au nord du Nigeria.
Au Niger, le pipeline traversera sur 400 km des savanes caractéristiques des paysages du Sahel. Le Sud constitué de terres riches exploitées par des populations sédentaires dont la principale tribu, de culte musulman, domine le pouvoir sans partage depuis l’indépendance de ce pays. Le Nord aride mais riche en ressources naturelles dont l’uranium. Les populations autochtones sont les Touareg. Le Niger dispose de très faibles moyens pour sécuriser les infrastructures de transport sauf le recours à la coopération militaire, à l’instar des mines d’uranium.
Près de 50 % du tracé du TSGP traverseront l’Algérie. D’abord, le Sahara, puis dans sa phase finale, le pipeline franchira les reliefs des montagnes de l'Atlas et les zones des hauts plateaux pour atteindre la côte. Il sera connecté au Medgaz et (ou) Galsi.
L. CHEGROUCHE 2010
Fig.6. L’itinéraire du TSGP
Source : Petroleum Economist
L. CHEGROUCHE 2010
Les enjeux de ce projet selon Sonatrach, NNPC et le bureau d’études britannique Penspen, sont les suivants :
Le prix du gaz permettant une rentabilité du projet est de 4,15 $/MBTU.
Le coût du projet du tuyau est estimé à 10 milliards US $.
Le coût des infrastructures de collecte au Nigeria est estimé à 3 milliards US $.
En conclusion, l’analyse du jeu transsaharien et ses effets énergétiques révèle que la rivalité prend souvent la forme de conflits où des puissances s’affrontent sur des zones pétrolifères, par groupes ethniques ou cultuels interposés, au gré de colossaux intérêts économiques. La multiplication des conflits comme dans le Delta de Niger, le Darfour ou l’Azawak est en l’illustration. Les compagnies pétrolières locales et les pays de la région inscrivent leur action autour et le long des fractures géopolitiques induites par des rivalités locales et des convoitises internationales.
Dans ce jeu d’acteurs, les puissances internationales n’agissent pas d’une manière homogène ou collusoire. Toutefois, la stratégie d’acteurs la plus pertinente est celle des Etats-Unis, parce qu’elle combine toutes les séquences de jeu. La montée en puissance de son rôle économique et militaire dans la région coïncide avec le rythme d’accroissement des réserves prouvées. La dépendance énergétique insiste de plus en plus ces puissances internationales à peaufiner des stratégies offensives en matière de diversification des routes et des sources d’approvisionnement. De ce fait, la région transsaharienne est devenue un enjeu d’intérêt stratégique. Le projet TSGP s’inscrit dans ce contexte de forte rivalité géopolitique et energétique.


http://www.hoggar.org/index.php?option=com_docman&task=doc_download&gid=436&Itemid=28


Obama is Obliged to Arrest Ehud Barak - 9-11 Mastermind and War Criminal Now in USA

By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com
April 25, 2010
Ehud Barak, an indicted war criminal and mastermind of the terror attacks of 9-11 arrives in Washington on Sunday, April 25. Barak will be in the U.S. for one full week. This gives Americans one week to protest Barak's visit - and the government one week to arrest this war criminal and terrorist. Demand Barak's arrest for war crimes and terrorism! Nail the Israeli mastermind of 9-11.
All four of the 1949 Geneva Conventions oblige the United States to search for and try those suspected of grave breaches (which Ehud Barak is due to the findings of the U.N. Fact Finding Mission on the Gaza Conflict) regardless of the suspect's home country or the site of the crime. "Each High Contracting Party shall be under the obligation to search for persons alleged to have committed, or to have ordered to have committed, such grave breaches, and shall bring such persons, regardless of their nationality, before its own courts," or hand them over "to another High Contracting Party concerned."

War criminal and terrorist Ehud Barak will be speaking at an event with Hillary Clinton on April 29 in Washington, D.C. Hillary Clinton should have this man arrested as soon as he arrives in the United States on April 25. He is an indicted war criminal (based on the UN Report on War Crimes in Gaza by Justice Richard Goldstone) - and the key suspect of the terrorism of 9-11. What is she doing smiling like a silly schoolgirl at this evil architect of terrorism?
Ehud Barak, an indicted war criminal and chief suspect of the false-flag terror of 9-11 is in the United States, again. He will be speaking at a Zionist event in Washington, D.C. along with Hillary Clinton. This presents the ironic situation where the U.S. Secretary of State will be sharing the podium with the Israeli war criminal who is suspected of being the chief architect of 9-11. Why are Israeli war criminals and terrorists coddled and enabled by the West while others are hounded, arrested, and tried at the International Criminal Court at The Hague? What sense is there in allowing war criminals to run a state like Israel - creating an outlaw pariah state that practices terrorism and uses Jews as human shields? Who benefits by the existence of such a criminal state?

Barak flew to Washington Sunday, April 25, to meet with U.S. officials, including Secretary of State Hillary Clinton and Defense Secretary Robert Gates. This means that Barak will be in Washington, D.C. for one week, an unusually long visit for an Israeli defense minister. Why is Barak, the mastermind of 9-11 and indicted war criminal spending a week in the United States? Is he fine-tuning plans for another war of aggression with his Zionist co-conspirators in the U.S. government and media?

Ehud Barak was the first person to call for U.S. intervention in Afghanistan - on 9-11. His partner Bibi Netanyahu, who he commanded in the Sayeret Matkal, said the terror attacks were "very good" as they would bring immediate sympathy for Israel. Netanyahu expressed his perverse pleasure with the terror atrocity of 9-11 when tens of thousands of Americans were thought to have perished. These Zionist extremists are stark raving mad. They put all Americans in danger, Gentiles and Jews alike. Israelis and Zionist Jews will find themselves in the greatest danger with such fanatic leaders.

Israeli Minister of Defense Ehud Barak in his military uniform with the red beret of the Sayeret Matkal, the special forces where he was a commander along with Jonatan and Bibi Netanyahu. Barak and Netanyahu created the Jonatan Institute as a think tank/college of terrorism. George H.W. Bush was one of their first students.
Will Americans protest the presence of this war criminal in their nation's capital? Will good Jews stand up against the Zionist terrorists who endanger world peace - and their security? Will the U.S. media ask Ehud Barak what Ehud Olmert was doing in New York City on 9-11 and why that visit has been kept secret? Will the reporters ask who was on the El Al plane that left New York City on the afternoon of 9-11?
The American Jewish Committee of New York announced that U.S. Secretary of State Hillary Clinton and Israel Defense Minister Ehud Barak will address AJC’s Annual Gala on April 29 in Washington, D.C. at the Grand Hyatt Hotel (owned by the Zionist Pritzker family of Chicago).
“We are thrilled to host Secretary Clinton, and Ministers Barak, Moratinos and Verhagen, and look forward to hearing their perspectives on the global challenges confronting the U.S. and Europe,” said AJC Executive Director David Harris.
Americans should protest the war criminal Barak's visit and demand that he be arrested as the U.S. government is obliged to do under international law. The people must lead when the government is weak and corrupt. Barak is the mastermind of 9-11. Doesn't that mean anything to anyone?
Source: American Jewish Committee website

Note on Las Vegas Radio Show & Ehud Barak's U.S. Visit

April 25, 2010
Good News - The AM radio show in Las Vegas aired on Friday, April 23, and was a great success. I was on "Keeping It Real with Mike & Jeff" on KNUU 970 AM Las Vegas, which reaches listeners in 4 states. The 50-minute show is now archived on the KNUU website at http://970knuu.com/archives.htm To listen to the show, scroll down to the section for "Keeping it Real with Mike & Jeff" and click on the 4/23 show. (Their 9-11 truth show of 3/23 with Richard Gage can also be found in this archive section.)

To use the direct link to the April 23 show, click on the following link and allow it to load:
http://970knuu.com/Local%20Shows/Keeping%20It%20Real/KeepingItReal4-23-2010.mp3

Mike Levin and Jeff Sawin, and their listeners in the Las Vegas area, are clearly well aware of the 9-11 deception having done an excellent 45-minute show on March 23, 2010, with Richard Gage, an architect from San Francisco and 9-11 truth activist member of Architects and Engineers for 9/11 Truth. They fully understand that it is impossible for high-rise towers to collapse as the government and media say they did on 9-11. In this show, done one month ago, they also discussed the evidence of super-thermite in the dust. See: http://cms.ae911truth.org/

The tiny red-gray chips of super-thermite found by Dr. Steven E. Jones in the dust of the World Trade Center prove that many tons of this nano-composite high explosive had been applied to the interior surfaces of the Twin Towers, probably to the undersides of the floor pans and the elevator shafts. Cutter charges of thermite were used to cut the core columns, removing any resistance to the collapses. Thermite is mainly composed of aluminum and iron oxide particles. The smaller the particles, the bigger the bang. The particles in the super-thermite used on 9-11 were super small, i.e. nano-size - creating a incredibly powerful heat-producing incendiary - which were combined with an organic compound to create intense gas pressure. Why won't the U.S. government spend a few dollars to find out who made this stuff? What could be more important than solving 9-11? Why does the American holocaust of our time get such short shrift from the U.S. government and mainstream media?


One of the iron droplets found in the dust of the World Trade Center. This photo from the USGS survey of the dust proves that large amounts of molten iron accompanied the demolition of the World Trade Center. The molten iron was created by tons of Thermite incendiaries which had been applied to the interior surfaces and core structure of the Twin Towers. Who put the Thermite explosives in the towers? This is the key question in finding the true culprits of 9-11.

9-11 was a carefully planned holocaust in which thousands of lives were destroyed by incredibly hot incendiary explosives which had been put into the Twin Towers before the planes struck the towers. The explosion seen coming from the left side of the South Tower (the plane's entry point) shows the telltale signs of a Thermate explosion - white smoke and light orange flame. The incredible heat from these incendiary explosives forced hundreds of people to jump to their deaths.

Hundreds of people jumped from the towers to escape the intense heat that was cooking them alive on the upper floors. Remember these lost lives and their souls and stand up for them when you see the arch-terrorist of 9-11, Ehud Barak, in the United States next week - dining and speaking with Hillary Clinton and senior U.S. officials. Protest Barak's visit and demand his arrest! Don't let Barak, the war criminal and mastermind of 9-11, enjoy American hospitality and then escape to Israel with his fellow Israeli terrorists of 9-11!

The blue smoke that rose from the rubble contained large amounts of nano-size particles, created by pools of boiling iron beneath the rubble.


Michael D. Evans embraces Menachem Begin, the terrorist leader of the Irgun who became prime minister of Israel in June 2007. Begin's Likud government talked peace while it planned terror atrocities like 9-11 and the 1982 invasion of Lebanon.


Begin, the well known Zionist terrorist behind numerous massacres and terror bombings, became prime minister of Israel in June 1977. Moshe Dayan served as Begin's foreign minister until 1979. It was during this period that Israeli terror plans for 9-11 were first disclosed to Michael D. Evans by the former Mossad chief Isser Harel.
During the show I discussed the fact that Israeli intelligence had planned the terror attacks of 9-11 for more than 2 decades. Jeff was astonished to hear this and found it to be incredible. It is, however, a well documented fact - by Zionists themselves. This history is discussed in greater detail in "America the Target: 9-11 and Israel's History of False Flag Terrorism" (Chapter 3) of my book, Solving 9-11.

Michael D. Evans here tells his story how the most senior Israeli intelligence chief Isser Harel predicted the events of 9-11 -- in 1979:
On Sept. 23, 1979, the founder of Israeli intelligence over dinner told me that America was developing a tolerance for terror. The gentleman's name was Isser Harel, the founder of Mossad Israeli intelligence-he ran it from 1947 to 1963. He told me that America had developed an alliance between two countries, Israel and Saudi Arabia, and that the alliance with Saudi Arabia was dangerous and would develop a tolerance for terror among Americans. He said if the tolerance continued that Islamic fundamentalists would ultimately strike America. I said "Where?" He said, "In Islamic theology, the phallic symbol is very important. Your biggest phallic symbol is New York City and your tallest building will be the phallic symbol they will hit." Isser Harel prophesied that the tallest building in New York would be the first building hit by Islamic fundamentalists 21 years ago.

- Michael D. Evans, Jewish Zionist evangelist in an interview with Deborah Caldwell
Is America in Bible Prophecy? August 2004, Beliefnet
http://www.beliefnet.com/Faiths/Christianity/End-Times/Is-America-In-Bible-Prophecy.aspx
The 3/23/10 show with Richard Gage, which I recommend listening to, and other archived shows can be found at: http://970knuu.com/archives.htm

The show can be heard by hundreds of thousands of radio listeners in the Las Vegas metropolitan area - and by millions around the world - live on the Internet. This is another indication that the truth of 9-11 is finally breaking into the mainstream media. The discovery of nano-thermite in the dust of the World Trade Center (by Dr. Steven E. Jones) and the shocking confessions and revelations coming from people in high places (such as Colin Powell's chief of staff Lawrence Wilkerson) indicate that the dam is breaking about the fraudulent "War on Terror" and there is no way to hold back the truth of 9-11 any longer. The official version (of lies and fabrications) about 9-11 can no longer be sustained by any honest person or the U.S. government.

“I have made a personal choice to come forward and discuss the abuses that occurred because knowledge that I served in an Administration that tortured and abused those it detained at the facilities at Guantánamo Bay and elsewhere and indefinitely detained the innocent for political reasons has marked a low point in my professional career and I wish to make the record clear on what occurred.”
- Col. Lawrence Wilkerson, former chief of staff for Colin Powell in "Wilkerson Demolishes Bush, Cheney, And Rumsfeld’s Lies About Guantanamo," The Public Record, April 14, 2010
http://pubrecord.org/commentary/7416/wilkerson-demolishes-bush-cheney/
The role of government is not to create suffering for its people but to alleviate it. The Obama administration cannot ignore the testimony of Col. Lawrence Wilkerson about the innocence of the detainees of Guantanamo nor can it continue to ignore the crucial discovery of super-thermite in the dust of the pulverized Twin Towers. Who made this incredibly powerful explosive using nano-technology and who put it in the World Trade Center? The answers to these questions will identify the real culprits of the mass murder of 9-11. Why is the government avoiding this issue?

Why are innocent people still being held in Guantanamo? Why are the real criminals behind the trillion dollar bailouts of 2008-2009 being protected? Fleecing U.S. taxpayers to pay for the criminal fraud of Goldman Sachs and A.I.G. makes Uncle Sam look like Bernard Madoff, robbing the taxpayer to stuff the accounts of preferred clients. When and where will all this criminality end? Who is behind it all?

U.S. military suffers major defeat in Korengal Valley, forced to retreat

James Circello


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PSL, April 22, 2010

U.S. soldiers, Afghans dying so that Pentagon can avoid appearance of defeat

The U.S. military has retreated from a base in the remote Korengal Valley, Afghanistan, after spending over four years trying to hold the ground. The U.S. forces even negotiated the terms of their defeat, paying the resistance fighters and leaving them the base fully intact with buildings, fuel, generators and military equipment, in order to be allowed a peaceful retreat out of the valley.

The corporate media and, for the most part, the Pentagon brass have framed the forced retreat from the "Valley of Death" as a "shift" in strategy. This so-called shift has been eye-opening for the soldiers and marines who have lost friends and shed blood in the mountains of Afghanistan, while forced to defend an outpost which U.S. military commanders have argued is "a remote backwater of limited strategic value."

Despite its "limited strategic value," a startling 42 U.S. troops have been killed there, hundreds have been wounded, and a disproportionate number of Afghan civilians have perished. One of the last soldiers to die there took his own life, unable to cope with the daily horrors of a hopeless mission.

U.S. troops used as bait

The soldiers stationed in the Korengal Valley had one mission: to act as sitting targets and wait to be attacked on a daily basis. The Afghans in the Korengal Valley were fighting because foreign invaders have occupied their country for nearly a decade. The U.S. military occupied the Korengal Valley to provoke them into a fight. This is the logic of empire.

The harsh reality that we have been used as nothing more than bait cannot be overlooked. The strategy of Korengal Valley—to place soldiers and marines in harm’s way in an attempt to use them as bait to lure the Afghan resistance into battle so that military fighter jets, helicopters and other resources could be called in to target the Afghan fighters and kill them using whatever equipment was available—has been a complete failure. The retreat should serve as a clear signal that our pain and suffering is of no concern to the officers and politicians forcing us to fight.

Specialist Robert Soto of Company B, First Battalion, 26th Infantry, was quoted in the New York Times. His words offer us a glimpse at this truth: "It hurts," he said. "It hurts on a level that— three units from the Army, we all did what we did up there. And we all lost men. We all sacrificed. I was 18 years old when I got there. I really would not have expected to go through what we went through at that age."

Even individuals from the officer class have commented on the absurdity of the outpost baiting tactics: "Realistically no one needs to be there," said Maj. Ukiah Senti, the executive officer of Second Battalion, 12th Infantry Regiment, Task Force Lethal, which oversees Korengal and neighboring areas. "We’re not really overwatching anything other than safeguarding ourselves."

Just like the U.S. outpost that was overrun in Wanat in 2008, leaving 75 percent of the troops there dead or wounded in one of the deadliest attacks of the war, there was "no point" except to wait to be attacked. U.S. forces retreated from that outpost as well, defeated by the local population. All the U.S. troops who perished at Wanat, Korengal Valley and every other outpost in Afghanistan died because the generals did not know how to defeat the growing resistance. Instead of admitting defeat, the generals sent troops to an area where they were hated by the local population and left them to be constantly bombarded.

The generals knew full well that they could not defeat the resistance this way; the only goal was to keep them fighting to stave off defeat.

Afghan resistance to U.S. imperialism strengthens

Korengal Valley is a microcosm of the entire country. The generals arrogantly thought that by occupying the valley. they would draw out and kill all the resistance fighters and eventually win over the local population. But their presence only infuriated the people and inspired countless more fighters to resist the occupation. This is the situation in all of Afghanistan. The Pentagon brass openly admit that the resistance forces cannot be defeated militarily. The goal in Afghanistan, like it was in Korengal, is to fight and die endlessly, while the generals figure out how to avoid the appearance of being defeated.

We are now being sent to fight a war that U.S. politicians know is unwinnable, a war in which it is impossible for military commanders to define "victory", a war in which there is no foreseeable end. The Afghan resistance grows and intensifies by the month, as it has since the start of the war. In 2009, U.S. fatalities in Afghanistan were twice the number who died in 2008. The first three months of 2010 have doubled 2009’s numbers. A U.S. military defeat is inevitable, as civilian death tolls continue to rise, and popular sentiment shifts further against the occupation forces.

U.S. politicians refuse to accept this clear fact and will continue sending thousands to kill and die in the mountains of Afghanistan. The same politicians who had delivered speeches on the floor of Congress denouncing the Taliban are now openly declaring their intentions to strike an agreement with them. The same Taliban that was demonized by Bush and Obama, alike—the same ideology that the U.S. military was sent to remove from power—is now being offered positions of power in a new coalition government.

The goal of war in Afghanistan was never to "establish democracy" as Bush once stated or to fight against "terrorism," but to create a government that would be friendly to U.S. corporate interests and serve as a staging ground for further invasions and interventions in the resource-rich region. At this moment, the soldiers and marines, the fighting men and women of the enlisted ranks, are being used as bargaining chips against the anti-colonial sentiments of the Afghan people. Washington must continue sending us to die in order to strike a better deal for U.S. corporate interests.

Soldiers, marines: Fight back!

As members of the enlisted class in the U.S. military, it is completely against our interests to continue fighting this criminal and illegal war in Afghanistan—a war waged on the basis of U.S. imperialist aggression and with the sole intent of becoming the dominant power in the region.

The people of Afghanistan want the same things that we do: the ability to live in peace, free from occupation, fear and death. The politicians in Washington, D.C., and the military brass—from the Pentagon to our Company CPs—will stop at nothing, however, in their attempts to conquer the people of Afghanistan. But this will never happen. The Afghan people will never accept colonialism. They will never bow down or break.

We are sent to our deaths by individuals who proclaim themselves to be our "leaders"—the U.S. officer corps—but this does not have to be the case. We have every right to refuse these illegal and criminal orders given to us by men and women who do virtually none of the fighting, none of the suffering, none of the dying. These officers build their careers on the blood and tears of the enlisted class. They will continue to send us to our deaths, until we stand up and and fight back.







The author is an Iraq war veteran and co-founder of March Forward! who deserted the military, refusing orders to deploy to Afghanistan in 2007.
http://uruknet.com/index.php?p=m65319&hd=&size=1&l=

Netanyahu, Sarkozy, Merkel at the very heart of the next israeli 9/11 false flag in Europe

Warning : The plan described was activated the 08th November 2008 in Berlin, Germany. Andrew Warren, the CIA agent expelled from Algeria in earlier 2009 is directly linked to this operation, which includes NATO, French, Dutch, German, British and Eastern european jewish mafia.

Mossad And The Russian Mafia Plutonium Connection


By Gordon Thomas
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Scientists at the European Trans-Uranium Institute at Karlsruhe in Germany, tracking the movements of all fissionable material from the former Soviet Unionís nuclear arsenal, have raised suspicions that Mossad has purchased some of the material to allegedly stop it falling into the hands of Islamic and other terror groups.

But there is also the real possibility that Israel has gone into the nuclear black market to buy fissionable material to bolster its own huge nuclear arsenal.
Israel already has one of the worldís largest arsenals ñ more than capable of decimating all its Arab neighbours. Its 200 nuclear bombs and missiles are stockpiled in the Negev desert.

The suspicion that Israel has also started to buy material stolen from the former Soviet Union surfaced a year ago when a quantity of Uranium-235 was found in the Paris apartment of three criminals known to broker arms deals with terror groups like al-Qaeda.

French intelligence officers arrested the men in an apartment rented by one, Raymond Loeb. They found documents confirming the uranium was of weapons-grade quality. Air tickets from Kazakstan were found in the apartment.
Loebís partners ñ Serge Salfati and Yves Ekwella were travelling on Cameron passports.

The Karlsruhe scientists established the material came from a nuclear storage site at Chelyanbisk-70 deep in the Ural Mountains.
A major intelligence operation began to trace the route along which the material travelled to the French capital: out of the Ukraine into Poland and across Germany to Paris.

The material was transported by Russiaís top Mafia boss, Semyon Yokovich Moglivich.

He is a specialist in every major crime: whole scale drug running, money laundering, trafficking in humans and gun-running. Since 1991, he had positioned himself to exploit the collapse of the Soviet Union.

To assist him he had obtained an Israeli passport for himself and 23 of his top associates. The travel documents had been arranged by the former newspaper tycoon, Robert Maxwell, and Edmund Safra, the US-based millionaire banker.
Later Maxwell was murdered by a Mossad assassination team after threatening to expose his links to the secret service. Safra died mysteriously in a fire in his penthouse in Monte Carlo.

Moglivich still runs the largest criminal family in Moscow, the Rising Sun. Its current speciality is smuggling fissionable material.

Graham Alison, a former Assistant Secretary of Defence in the Clinton Administration and director of Harvardís Centre of Science and International Affairs, has summarised how easy it is to smuggle nuclear material. ìA terrorist group could ship enough material through the mails or by a courier companyî.
But the Rising Sun is into a much bigger market ñ supplying Israel with fissionable material that would otherwise end up in the hands of terrorists like Osama bin Laden.

That bombshell discovery came to light in the wake of finding the five grams of uranium in Paris. Consisting of 85 percent enriched uranium, it was sufficient to make a ìdirty bombî.

But before Mossad, on behalf of Israel, could buy it ìout of the marketî, the French had swooped ñ and the role of Mossad had started to emerge.

The first clues came from Intel-1. This is a smallish and highly specialised unit in Dutch intelligence.

For months before the Paris arrests, it had been investigating Mossadís role in secretly buying up fissionable materials.

Intel-1ís investigation has been run out of a deep bunker ñ ironically built to shelter the Dutch Royal Family in the event of a Soviet nuclear attack on Amsterdam. The bunker is near the cityís Central Railway Station. The terminus has been journeyís end for some of the nuclear materials which have been stolen from Russian weapons labs including Arzamas-16 in Nizhnii Novgorod, formerly Gorky.
Senior Mossad officers have insisted to Intel-1 that precisely because the deadly materials were stolen, their agents purchased them from the Russian Mafia as ìit was the only way to stop the material being sold to Islamic and other terror groupsî.

While conceding that the Mossad claim is plausible, Intel-1 investigators have become convinced that the nuclear materials have been secretly shipped out of Amsterdamís Schipol Airport to Israel to boost the countryís own nuclear weapons manufacturing plant at Dimona in the Negev Desert.

That Mossad has been trafficking with the Russian Mafia has rekindled a nuclear nightmare that has never quite gone away. While the chilling Cold War doctrine of MAD ñ mutually assured destruction ñ has gone, in its place has come a more dangerous scenario where nuclear know-how and materials are on sale.
ìIt is capitalism, Wild East style, in which organised crime syndicates and government officials work in league to create new markets for nuclear materials ñ a bazaar with some of the worldís most dangerous weapons on offer,î said an intelligence source.

Much of the work of tracing the origins of stolen nuclear material is done at the European Trans-Uranium Institute. There, scientists use state-of-the-art equipment to track whether stolen materials have come from a military or civilian source. But they concede ìitís like trying to catch a thief who has never been fingerprintedî.
Mossad has been based at El Alís facility at Schipol for the past six years, in second-floor offices in the complex ñ know at Schipol as ìLittle Israelî.
Intel-1 has established that the link between Mossad and the airline is an integral part of the traffic in nuclear materials.

Sources close to Intel-1 insist that Mossad would never have begun the dangerous business of buying nuclear materials unless those materials could be safely and secretly transported to Israel.

A highly efficient organisation like Mossad, supported by the vast resources Israel puts at its disposal, would have little or no difficulty in smuggling nuclear materials out of Schipol.

Intel-1ís interest in such smuggling was first aroused when it was tipped off that the El Al cargo freighter that crashed shortly after take-off from Schipol in October 1992 was carrying chemicals that could be used to produce nerve agents.
Since then, the agency has gathered what an Intel source describes as ìat minimum strong circumstantial evidenceî that Mossad has shipped nuclear materials through Schipol.

A ìmuleî ñ a courier ñ who in return for his cooperation was given a guarantee against prosecution, has told Intel-1 that he had smuggled nuclear materials from the Ukraine across Germany and finally into Holland.


The courier has claimed to Intel-1 that he was met at Amsterdamís Central Station. Shown photographs, the courier picked out the person. It was a Mossad officer Intel-1 knew is based at Schipol.
http://www.rense.com/general44/maf.htm

Obama pour une epuration ethnique totale de la Palestine de ses habitants originels
Oh Obama !! : La Palestine est pour les Palestiniens et non aux juifs.

Beyrouth - CPI
www.palestine-info.info


L’organisation du droit de retour des réfugiés palestiniens «Thabet» a refusé les déclarations injustes du président américain, Barak Obama, parues dans le message de félicitation envoyé au gouvernement de l’occupation israélienne à l'occasion de la 62ème Nakba des Palestiniens (le jour de la création de l’entité sioniste).
Obama a commis une grande bêtise inacceptable en considérant que la Palestine est une terre historique au peuple juif.
Lors d’un communiqué envoyé au centre palestinien d’information, l’organisation a qualifié les déclarations d’Obama de tromperie historique, similaires aux déclarations de son adjoint Joseph Biden qui a rendu visite à la région, le 11/3/2010, en qualifiant "Israël" d'une expérience merveilleuse dans une région déserte et morte.
En qualifiant les déclarations d’Obama d'un soutien gratuit et aveugle aux crimes et violations de l’occupation israélienne, Thabet a confirmé que la Palestine va rester toujours pour les Palestiniens autochtones et non aux étrangers sionistes qui ont occupé volé et usurpé ses territoires à l'aide du soutien des pays puissants complices qui ont participé à la tragédie du peuple palestinien qui dure depuis 62 ans.
L’organisation qui s'occupe des réfugiés palestiniens a fait rappeler Obama que «La Palestine n'était jamais pour le peuple juif, et elle restera la terre du lait et du miel, qui avait durant l'histoire combattu les envahisseurs comme les Romains, les croisés et les sionistes, en soulignant que la Palestine fait partie de la civilisation arabe et musulmane qui a enseigné l'occident sur le commerce, les mathématiques, l'architecture, l'électricité, les arts, les cultes et l'artisanat et que les palestiniens ont œuvré pour les développer durant des siècles, notamment après le transfert de ces sciences en Europe qui s'est enveloppée dans l'obscurité de l'ignorance et l'intolérance pendant des décennies".
L'organisation a appelé dans son communiqué toutes les organisations et institutions palestiniennes locales, régionales, mondiales à commémorer le 62ème anniversaire de l'occupation de la Palestine (la Nakba), à travers des festivals, des sit-in, des séminaires, des conférences, et diverses activités dans les camps et les communautés des réfugiés palestiniens au monde, ainsi que la célébration des bannières condamnant l'occupation et exigeant le retour des réfugiés à leurs foyers, terres et maisons d'où ils ont été expulsés en 1948, en s'attachant à ce droit légitime approuvé par les conventions et les lois internationales, en soulignant qu'il est un droit inaliénable qui ne tombe pas par ancienneté, tout en appelant à ne pas faire attention aux déclarations du président des États-Unis qui renoncent aux droits palestiniens, notamment le droit de retour".

Cameron for a civil war against the Muslims in Europe to empower Zionist Jews ? Sarkozy, Merkel and Cameron will turn Europe to a new Iraq

Cameron: 'I will empower UK Jews'


David Cameron this week insisted a Conservative government would do "much more to protect and empower the Jewish community" and described learning about his Jewish ancestors as one of the highlights of his year.
The Conservative leader's comments came in a message to members of the Movement for Reform Judaism, which he used to make pledges on tackling anti-Semitism and education and to appeal for the support of community members in the upcoming election.

Cameron said: "To me, one of the biggest contributions of Judaism is its understanding of what makes a responsible society. Last summer, I gave a speech to Jewish Care where I talked about this idea. I quoted a phrase of Rabbi Hillel�s which I think captures it beautifully: "If I am not for myself, who will be for me? If I am not for others, what am I?" That urgent, selfless moral compulsion to change the world for the better is right at the heart of the Jewish way of life. If I become Prime Minister, I want to see that idea of responsibility extend right across our society.

"A key part of that will be about building a stronger, more cohesive society - and that means doing much more to tackle the rise in anti-Semitism. I was appalled when the Community Security Trust told me that there were more anti-Semitic incidents in the first half of 2009 than in the whole of any previous year. We need big changes to root out this extremism - stopping preachers of hate from entering this country, banning those extremist groups who are already here, and doing much more to tackle radicalisation in our universities."

The man hoping to succeed Gordon Brown as prime minister also touched on a prominent theme of the party's platform. "I want to build a bigger society," he said: "And we can't do that without backing faith-based organisations in the good work that they do. Take faith schools, for example. They are a really important part of our education system and often have a culture and ethos which helps to drive up standards. Through our school reform plans, there will be a real growth in new good school places, and I'm sure some of these will be in faith schools."

Cameron also spoke of learning about his ancestors, the Levitas, as a personal highlight. He said: "I am a great admirer of the Jewish people and your extraordinary achievements. I've long seen your community as a shining light in our society." Messages from Gordon Brown and Nick Clegg will be published in the Movement's newsletter in the coming fortnight.

http://www.totallyjewish.com/news/national/c-13853/cameron-i-will-empower-uk-jews/


Quand une organisation juive sioniste raciste, negationniste terroriste, la LICRA, decide en France de qui a le droit de s'exprimer !

Terrorisme d'Etats : L'ambassade d'Israel et son bras terroriste juridique attaquent a nouveau Dieudonné. 


Ce qui ne fait que confirmer le racisme et le negationnisme des organisations juives sionistes de France qui cautionnent, appliquent et mettent en pratiquent le droit a geometrie variable. En France, tu peux faire du racisme a la tele si tu es un juif ashkenaze comme Sarkozy ou un juif du maghreb, un sefarade comme Zemmour, si tu t'appelles M'Bala, t'as le droit de fermer ta gueule comme les goy-souchiens, sinon t'es un 'terroriste' qu'Israel et ses organisations racistes comme la LICRA doivent abattre. Le but des politiques de droite comme de gauche, comme on le voit tres clairement maintenant a Grigny ou a Tremblay en France est la provocation raciste et le declenchement d'une guerre civile dans les banlieues, un rimec de 2005, qui avec des attentats majeurs, sont les seules roues de secours pour la re-election de Sarkozy en 2012. Sarkozy, banni parmi ceux-la memes qui l'avaient mis en place, pour un manque evident de resultats, qui lui preferent un DSK, travaillant sous la table, a la Obama. Sarkozy a toujours eu sa carte de likudnik, le Likud est un parti d'extreme droite religieuse, qui s'auto-affirme 'race superieure' et se donne le droit d'exterminer les palestiniens ou de terroriser les goys qui ne suivraient pas l'agenda israelien !

Maintenant que l'agenda israelien en France est clair, net et visible de tous, il est plus facile de le manoeuvrer. Dieudonné l'a semble-t-il parfaitement compris et manoeuvre parfaitement ! Rendez-vos papiers, vous etes demasqués, Sarkozy, Dassault, Zemmour, Jakubovitz, Bilger, et rejoingnez vos mamans dans vos colonies en Palestine occupée, en attendant que votre histoire ne vous retombe sur la tete !

Abu-Suleyman


Pour certains médias, pour ne pas dire une grande majorité de la presse, Eric Zemmour évoluait dans le registre de la " liberté d'expression" lorsqu'il affirmait, en réponse à une question sur le fait que les immigrés sont plus contrôlés par la police, que "c'est parce que la plupart des trafiquants sont Noirs et Arabes, c'est un fait". ( vidéos 1 et 2)
C'est pour défendre cette liberté fondamentale inscrite dans la constitution que d'autres ont même lancé une offensive médiatique à travers une pétition de soutien à Eric Zemmour. Que ne ferait-on pas pour défendre cette si chère " liberté d'expression" ?
Or, force est de constater que les défenseurs de "la parole décomplexée" ou le droit de tout dire ne manifestent pas le même enthousiasme dans la défense de la " liberté d'expression " d'un Dieudonné, l'humoriste que l'on ne présente plus. Nous aurait-on pris pour des cons ?
C'est bien ce qu'il faut penser devant les cris d'orfraie du Nouvelobs, quotidien de la gauche sarko-compatible, qui titre " Dieudonné évoque l'affaire Zemmour en s'en prenant aux juifs". L'humoriste a affirmé, vidéo n°3 circulant sur internet, ci-dessous, qu'"il faut être Juif pour avoir la liberté d'expression en France". Avant d'ironiser sur le physique du journaliste: "Regarde ta gueule, on dirait un dromadaire"......."Vous avez trahi le Maghreb et tu continues à le faire", lance-t-il indirectement à Eric Zemmour, issu d'une famille française juive d'Algérie.
C'est peu de dire qu'il n'en fallait pas plus pour que l'arme de "l'antisémitisme" soit utilisée pour faire taire l'homme qui ose dire, lui aussi, ce que beaucoup de Français n'osent pas dire tout haut. Or, dans ce cas là, les défenseurs de la liberté d'expression zemourrienne deviennent subitement d'impitoyables censeurs. Deux poids, deux mesures, dites vous ?
Le moins qu'on puisse dire, c'est que Dieudonné démontre qu'il y a quelque chose qui ne tourne plus rond et que Eric Zemmour et ses protecteurs prennent vraiment les Français pour des cons .
A2N

https://www.youtube.com/watch?v=AIDAPKAg7Xs

Dieudonné atomise Zemmour

http://www.alert2neg.com/article-dieudonne-n-a-t-il-pas-droit-a-la-liberte-d-expression-49022743.html


GEOPOLITIQUE TRANSSAHARIENNE DE L’ENERGIE



GEOPOLITIQUE TRANSSAHARIENNE DE L’ENERGIE

Le jeu et l’enjeu ?

Par Lagha CHEGROUCHE
Chercheur

Lagha CHEGROUCHE est chercheur en Energie et Stratégie. Ingénieur et Docteur ès sciences économiques. Il enseigne à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne. Il collabore également avec des institutions internationales, en qualité d’expert en énergie. Membre du comité scientifique de l’Institut du Monde Arabe à Paris. Auteur de nombreuses publications relatives à l’énergie, à la géopolitique et à la prospective.

La géopolitique de l’approvisionnent énergétique à partir de la région transsaharienne1rappelle celle de la Caspienneà la fin du siècle dernier. Comme pour cette région au coeur de l’Asie, la question du « contrôle global des réverses d’hydrocarbures et des voies d’accès» est la matrice de différents conflits. La rivalité prend la forme de conflits ouverts et complexes où des puissances s’affrontent sur des zones pétrolifères, par groupes ethniques, cultuels et (ou) culturels interposés, au gré de colossaux intérêts économiques et énergétiques. La multiplication des conflits comme dans le Delta de Niger, le Darfour ou l’Azawakest en l’illustration. L’onde de choc de cette rivalité menace au passage la paix régionale et la sécurité de l’approvisionnement international.

1 La région transsaharienne représente l’espace qui couvre l’Afrique du nord, le Sahara et le Sahel. Du Sahara à la rive méditerranéenne pour les pays d’Afrique du nord : Algérie, Egypte, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie. De la Mer rouge à l’Atlantique pour les pays subsahariens : Mali, Niger, Nigeria, Soudan, Tchad.
2 Voir L. Chegrouche, “Stratégies caspiennes”, in Revue de l’énergie n°518, 2000.
3 Voir L. Chegrouche, “Rivalité de puissance et contrôle global de l’énergie”, in Géopolitique n°76, 20 01.
4 Azawak ou Azawagh est, au sens restreint, la région limitrophe située entre l´est du Mali et l´ouest du Niger, la partie occidentale du Sahel. Azawak est la transcription nigérienne et Azawagh, celle du Mali. Certains géographes « latinisent » le nom en « Azawad ». L’Azawak est d’abord une grande vallée fossile entre l’Aïr et l’Adrar des Ifoghas. C’est aussi, au sens large, toute la zone nomade qui commence au nord de la zone de cultures sous pluie (à partir du 15° lat. nord) et qui se poursuit jusqu’en plein Sahara, selon Edmond BERNUS (in Encyclopédie berbère, Unesco 1990). Les Touaregs utilisent plutôt le mot « Azawagh » dans un sens particulier pour désigner une zone géographique et climatique bien distincte, leur « espace vital », qui constitue une bande allant de la Mer rouge à l’Océan atlantique et située entre le Sahara et le « pays
L. CHEGROUCHE 2010
Il est question d’appréhender le jeu et l’enjeu de cet échiquier transsaharien, de cerner ses principales caractéristiques et ses effets énergétiques. Les compagnies pétrolières locales et les pays de la région inscrivent leur action autour et le long des fractures géopolitiques induites par des rivalités locales et des convoitises internationales. L’issue de ce jeu n’implique pas forcément un équilibre stable et durable pour la région, car les intérêts énergétiques et les enjeux stratégiques sont conflictuels. Les menaces qui pèsent sur cette région seront identifiées et leur crédibilité appréciée. Il est aussi nécessaire d’évaluer ces enjeux pour les principaux pays de la région et d’analyser leurs conséquences sur l’approvisionnement international, en termes de potentiel de réserves et de projets de transport. Le projet de gazoduc, le « Transsaharien», est présenté en guise d’illustration de cette géopolitique transsaharienne.

1. Le jeu transsaharien, les acteurs

Depuis quelques années, nous observons un regain d’intérêt et une flambée de données sur le potentiel d’hydrocarbures de la région. Les statistiques ne révèlent ni les conditions de formation des bassins sédimentaires, ni l’étendue des plateaux et, encore moins, les caractéristiques géologiques des structures pétrolifères. Ce sont souvent les mêmes « sources d’information» qui sont reprises par les uns et les autres pour proposer un « seuil » de réserves ou pour justifier l’opportunité d’un projet d’exploitation ou de transport. Si la région transsaharienne soulève autant de convoitises et si elle est devenue un important noeud du jeu international, c’est essentiellement, pour ne pas dire, à cause de son potentiel pétrolier et gazier qu’elle recèlerait et de sa proximité des marchés : l’Europe, l’Amérique. Le jeu d’acteurs autour de la question du contrôle des ressources et des voies d’accès se déroule globalement en deux séquences.

La première est celle des enjeux liés à la prospection et à la production des hydrocarbures sous-marine et sur terre dans le Sahara, le Sahel, le Delta du Niger, le Golfe de Guinée. L’octroi de nombreux titres miniersen est le premier enjeu.

La seconde est celle des voies d’accès (voir fig.1), port d’expédition et tracés des tuyaux, qui achemineront les hydrocarbures, hors de cette région, vers les marchés cibles d’Europe et d’Amérique : Golfe de Guinée, Greenstream4, Transsaharien (TSGP5).

soudanais », c’est-à-dire l’Afrique noire par opposition à l’Afrique blanche (maure et touareg). Chez les Touareg, « Azawagh » est donc le « Sahel », Dans la langue arabe, le Sahel signifie « plage » en prenant le Sahara pour « mer ».
1 Trans-Saharan Gas Pipeline (TSGP). Un projet de gazoduc reliant le Nigeria à l’Europe, via le Niger et l’Algérie.
2 Les sources d’information sont souvent celles des compagnies pétrolières locales (des pays de la région) ou celles des compagnies internationales qui opèrent dans la région. Les données sur « le potentiel de réserves » de ces opérateurs sont corroborées par des relevés d’exploration avec (ou sans) forage. Les data-bases sont périodiquement mis à jour c’est-à-dire, une évaluation par mission confiée à des compagnies spécialisées qui dépendent de ces opérateurs. Toutefois, le potentiel de réserves reste faiblement évalué, en raison du manque de campagnes de forage d’exploration.

3 Depuis 2005, plus de 250 titres d’exploration ont été conclus, après des appels d’offres, principalement dans des pays comme l’Algérie, la Libye, l’Egypte, le Nigeria et le Soudan, selon les compagnies pétrolières de la région.

4 Un gazoduc reliant la Libye à la Sicile, long de 520 Km, en offshore. Sa capacité est de 8 Gm3 et son coût de réalisation de 5 milliards de dollars US. Le gaz provient des champs de Wafa à terre et de Bahr Es-Salaam à 110 km de la côte libyenne.

5 Trans-Saharan Gas Pipeline, appelé également « Transalia » ou « Nigal ».
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Fig.1. Les voies d’accès
Source : Le Monde diplomatique

La compétition pour le contrôle des ressources de la région et des voies d’accès implique principalement deux catégories d’acteurs : les entreprises, les Etats.

1.1 - Le jeu des entreprises

Le jeu des entreprises met en « compétition » des compagnies pétrolières localeset des compagnies internationales, directement ou en association, autour des titres miniers ou des accords de production. La multiplication des partenariats d’exploration et des accords de partage de production en est la conséquence. La question de délimitation des périmètres des concessions pétrolières ou des frontières entre certains pays de la région pourrait faire voler en éclat une partie de ces partenariats. La menace est suffisamment crédible pour les contrats attribués dans des zones à risque

1 Les compagnies nationales des pays pétroliers comme Sonatrach (Algérie), NNPC (Nigeria), NOC (Libye).
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ou à conflit persistant (Delta de Niger, Darfour, Azawak), ou dans des périmètres miniers contestés en raison d’un litige sur les tracés frontaliers entre puissances (Golfe de Gabès, Golfe de Guinée).

Les stratégies de risque de certaines compagnies pétrolières favorisent plus spécialement la segmentation du domaine minier de la région, puis elles procèdent à la sélection des projets les plus rentables, au détriment d’un « mix » de permis d’exploration ayant pour vocation la « préservation des ressources énergétiques»,gage d’une éventuelle perspective de développement durable. L’investissement des compagnies internationales, malgré leur imposante taille critique, va d’abord aux bassins pétrolifères les plus probables et aux projets de transports les plus rentables. D’autres tentent des « partenariats » agrémentés par un jeu d’intermédiation pour le moins non-transparent à défaut, elles prennent davantage de risque.

En effet, ce sont des compagnies pétrolières comme Shell, Total, BP, Eni, Statoil, qui s’impliquent dans des partenariats d’exploration et (ou) de production avec une préférence pour les bassins prometteurs, sans risque majeur, celui de l’absence d’une accumulation d’hydrocarbures, comme
pour le bassin d’Ahneten Algérie, le bassin de Ghadamèsen Libye ou le Delta de Niger au Nigéria. Nombreux sont aussi les « partenariats » agrémentés qui ont profité à des compagnies locales ou internationales, avec un effet exponentiel pour leur taille d’entreprise, comme dans le cas du joint-venture d’Anadarko à Berkineen Algérie, de Hellenic Petroleum dans le Golfe de Sirte en Libye ou de Sinopec au Soudan. D’autres compagnies prennent par contre plus de risque dans les zones de conflit comme dans le Darfour, l’Azawak ou le Sahara occidental. Pour le
transport du gaz naturel, la stratégie de risque des compagnies est presque similaire, avec évidemment en plus la contrainte de sécurité des infrastructures, que ce soit pour le contrôle des terminaux d’expédition de GNL au Nigéria ou des gazoducs déjà opérationnels ou en projet :
Greenstream, Medgaz5, Galsi6, TSGP.

1 Un affichage de « politique pétrolière »de la part des pays de la région sans aucun cadre légal ou réglementaire régissant le « gap » et le « rythme » d’exploitation des ressources énergétiques comme c’est le cas de la Norvège. Cependant, des mesures réglementaires contre le brulage « à la torche » du gaz sont prises dans ces pays et surtout suivies d’effets.
2 En 2009, Sonatrach et Alnaft ont proposé 10 périmètres d’exploration à la concurrence : 4 dans le bassin de Berkine, 1 dans le bassin d’Amguid-Messaoud, 3 dans le bassin d’Illizi, 2 au Sud-Ouest (Djebel Heirane, Ahnet). La particularité est que le périmètre d’Ahnet est remis aux enchères : un bloc très convoité par certaines compagnies internationales, offert lors de l’appel d’offres de 2008 sous « la condition de l’échange d’actifs ». Par ailleurs, dans la quasi-totalité des périmètres proposés, des découvertes d’hydrocarbures ont été déjà enregistrées. Ce qui explique l’engouement de ces opérateurs pour le domaine algérien : 50 compagnies sur les 74 pré-qualifiées ont participé à la présentation technique de cet appel d’offre de 2009, notamment Exxon Mobil, Shell, Total, BP, Repsol, Cepsa, Gazprom, Lukoil, BG, Statoil, GDF Suez.
3 En 2005, la procédure d'octroi des permis d’exploration en Libye a attiré 120 compagnies, dont 63 ont été pré-qualifiés. Sur les 15 permis d'exploration mis aux enchères, Amerada Hess a remporté un. Occidental Petroleum décroche 9 permis, certains en partenariat avec Liwa des Emirats et d'autres en association avec Woodside Petroleum. Les autres compagnies retenues sont Petrobras, Indian Oil, Oil Search d’Australie, Verenex Energy de Canada et Sonatrach. La majorité de ces permis d’exploration ont abouti à des découvertes commerciales.
4 Selon la presse algérienne : Liberté, El Watan (2005-2009).
5 Un gazoduc reliant Béni Saf en Algérie à Almeria en Espagne, long de 210 km, en offshore. Sa capacité est de 8 Gm3 et son coût de réalisation de 1 milliard de dollars US. Il entrera en service fin 2009. Sa capacité devrait doubler. Le consortium est composé de 5 compagnies : Sonatrach (36%), Cepsa (20%), Iberdrola (20%), Endesa (12%), GDF Suez (12%). Le projet est probablement appelé à relier le TSGP.
6 Un projet de gazoduc reliant El Kala en Algérie à Cagliari en Sardaigne, long de 310 Km, en offshore. Sa capacité est de 8 Gm3 et son coût de réalisation de 2 milliards de dollars US. Sa mise en service est prévue pour 2013. Le projet est destiné d’abord à évacuer les excédents d’exportation de Sonatrach et des productions des compagnies internationales qui opèrent en Algérie. La capacité du gazoduc pourrait atteindre 16 Gm3 en 2015. Le Galsi est inscrit comme « projet d'intérêt
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1.2 - Le jeu des Etats

Le jeu des Etats concerne les puissances locales et les puissances internationales. Les stratégies d’Etat prolongent souvent celles de leurs entreprises, le jeu des compétiteurs de la première séquence. La rivalité porte sur les corridors de transport, en termes de tracés et de droits de transit. La sécurité des infrastructures et des approvisionnements constitue une autre dimension de cette compétition. La réduction des coûts, la sécurisation des corridors et l’assurance du risque sont les points critiques de cet échiquier transsaharien. Dans ce jeu d’Etats, les acteurs sont :

i - Les puissances locales

Les puissances locales sont les puissances publiques des pays d’Afrique du nord (Algérie, Egypte, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie) et des pays subsahariens (Mali, Niger, Nigeria, Soudan, Tchad). Les acteurs les plus pertinents dans ce groupe sont les pays comme l’Algérie, l’Egypte1, la Libye et le Nigeria. Ils sont d’abord des fournisseurs d’excédent d’énergie.

Ensuite, ils ont presque la même taille économique et une capacité de manoeuvre similaire. La stratégie de ces pays n’est pas forcément homogène et leurs alliances sont plutôt différenciées c’est-à-dire, ils n’offrent aucune perspective de « cartellisation » ou d’entente stratégique, malgré la qualité de membre de l’OPEP pour trois pays de ce groupe : Algérie, Libye, Nigeria. Cependant, la stratégie de chacun de ces pays est en définitive celle d’un producteur qui cherche à valoriser ses ressources énergétiques sur le marché international, sans stratégie d’intégration « aval». Le jeu de ce groupe fait apparaître une forte tendance au partenariat avec les compagnies internationales : plus de 250 contrats d’exploration ont été conclus depuis 2005, dont plusieurs ont permis des découvertes commerciales, par exemple en Algérie (Berkine, Ahnet), en Libye (Ghadamès, Sirte), au Nigeria (Delta de Niger). Les autres pays comme le Niger, le Soudan ou le Tchad disposent certes d’un fort potentiel de réserves mais, le risque géopolitique demeure élevé.
Par ailleurs, la situation dans la majorité des pays de la région induit des « alliances » régionales ou internationales qui aggravent le risque géopolitique. Elles sont susceptibles de perturber la stabilité régionale et la sécurité des approvisionnements. La crise du Darfour n’est qu’un échantillon parmi tant d’autres, qui traduit la complexité de cette rivalité dont les populations locales paient la facture. La sélectivité de l’investissement direct étranger et la politisation de l’aide au développement est une thérapie aussi nocive que les appels des sirènes

prioritaire » par la Commission européenne. La société d’étude est composée de Sonatrach, Enel, Wintersall, Eos Energia et Edison. Sonatrach détient 36%. Le projet est probablement appelé à relier le TSGP.

1 L’Egypte est un pays pertinent par son potentiel d’hydrocarbures, de plus en plus croissant mais sa « politique africaine » est davantage dictée par une géopolitique du Nil et de ses ressources en eau (voir infra).
2 La tentative de recomposition du capital de la société Medgaz au profit de Sonatrach (36%) a suscité une forte controverse en Espagne et à la Commission européenne, qui porte sur le « risque d’abus » de position dominante et « l’exigence » de diversification des sources d’approvisionnement. Par ailleurs, l’Algérie réclame la « réciprocité », en raison de l’ouverture de son amont pétrolier aux compagnies européennes comme Cepsa, GDF Suez, Statoil.
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de la sécurisation qui trainent la région vers plus d’armement, au mépris d’un développement durable. Dans ce contexte géopolitique de plus en plus complexe, certains pays de la région tentent de s’associer ou de jouer un rôle transsaharien d’intermédiation et de coopération : l’Algérie, le Nigeria et la Libye.

Fig.2. Géopolitique de l’Azawak
Source : Le Monde diplomatique

L’Algérie

L’Algérie est membre du groupe « NEPAD», un partenariat africain soutenu par les Nations-Unis, le G8 et l’Union européenne. Une des propositions de ce partenariat est le « Transsaharien » qui doit relier le Nigeria et l’Europe, via l’Algérie et le Niger. Le pays dispose d’une expérience de sécurisation et de gestion des infrastructures pétrolières et gazières. L’Algérie semble aussi se positionner comme un « pays de transit » en acceptant de s’associer avec le Nigeria dans le projet TSGP. 

Une « stratégie de partage de rôle» qui a été initiée par les Etats-Unis dans la Caspienne pour les exportations d’Azerbaïdjan et du Turkménistan, via la Géorgie et la Turquie :

Le Nigeria, un exportateur de gaz naturel.
1 NEPAD (New Partnership for Africa's Development) s’article essentiellement autour de trois grands projets : le gazoduc TSGP, la route transsaharienne « Alger-Lagos » qui traverse le Mali, la liaison par fibre optique entre le Nigeria et l'Algérie.

2 Voir L. Chegrouche, “La Caspienne, richesses convoitées”, in Questions internationale, Documentation française, n°14,
2005.
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L’Algérie, un pays de transitune future « plaque tournante» pour le gaz transsaharien (Delta du Niger, Azawak) à l’instar de la Turquiepour le potentiel caspien, avec une différence que ce pays altaïque n’a pas de ressources gazières.

L’Europe, confinée dans un rôle d’importateur d’énergie.

L’intérêt stratégique pour l’Algérie est le positionnement de Sonatrach en amont du TSGP, par une prise de participation dans les gisements du Delta du Niger. A défaut, il reste la possibilité pour cette compagnie de développer un réseau de collecte de gaz à partir de certains de ses gisements dans l’erg occidental, le long du tracé du projet transsaharien et de prélever un droit de transit. La perspective de mise en exploitation des gisements d’In Salah et d’Ahnet renforce aussi la crédibilité du TSGP.

Par ailleurs, ce pays est toujours « facilitateur » ou « médiateur» dans toute tractation entre les Touaregset les pays limitrophes : Niger, Mali (voir fig.2). En 2009, le pays s’est engagé pour la première fois dans « l’assistance militaire» au Mali, pour faire face aux « groupes armés»
implantés dans l’Azawak malien. L’Algérie a également accepté de participer à des « manoeuvres militaires» conjointes avec d'autres pays voisins dans la région : le Mali, le Niger et la Mauritanie. Ces faits révèlent peut-être, soit une « initiative » qui vise la sécurisation des frontières dans un cadre transsaharien (bilatéral ou multilatéral), un signal d’autonomie et de refus de l’United States Africa Command (voir infra. “Puissances internationales”), soit un « nouveau format » de politique étrangère qui contribue à un effort international multilatéral de sécurisation de la région.

Si c’est le cas, le format de sécurisation participera au contrôle global de l’énergie et des voies d’accès.

1 Oxford Business Group postule également pour cette perspective de « plaque tournante » sans préciser sa crédibilité, ni sa faisabilité et encore moins, ses enjeux pour l’Algérie (voir OBG “Du rêve à la réalité, Algeria, volume 128, 2009”). Une Note qui prolonge les conclusions euphoriques de son “The report, emerging Algeria 2008” sur l’énergie dans ce pays.
2 La Turquie n’a pas de ressources d’hydrocarbures pour « concurrencer » des producteurs comme l’Azerbaïdjan, le Turkménistan ou la Russie. Ces pays développent des systèmes de transport automnes, une perspective de diversification des routes pour l’Europe : Nabucco pour les pays caspiens, South-Stream pour la Russie. Pour plus de précisions à ce sujet voir L. Chegrouche, “La Turquie, un détroit d’Ormuz dans la stratégie US”, in Revue de l’énergie, n°547, 2003.
3 L’Algérie a parrainé les « Accords d’Alger » entre le Niger et les Touaregs. Elle accueille sur son territoire 30 000 refugiés nigériens. Le pays a servi également d’intermédiaire dans le conflit entre le Mali et les Touaregs. Ce rôle prend une nouvelle dimension, celle de l’assistance militaire au gouvernement du Mali, selon Liberté et El Watan, 2009.
4 Les Touaregs constituent une branche du vaste ensemble berbérophone qui peuple l'Afrique du Nord et une partie du Sahel (Azawak). Leur nombre est estimé à 2 millions au moins pour la population nomade. Leur zone de peuplement traditionnelle s'étend sur près de 2,5 millions de km2. Ils se répartissent de façon très inégale entre plusieurs pays : Algérie, Libye, Niger, Mali, Mauritanie, Burkina Faso. La décolonisation signifie pour les Touaregs la persistance des rapports de domination puisque, dans des pays comme le Niger et le Mali, le contrôle du pouvoir revient à des ethnies sédentaires africaines. Un antagonisme accentué par la centralisation des pouvoirs. Une situation qui va conduire les Touaregs à vivre dans un cadre frontalier transnational, sans statut. S'estimant marginaliser, les Touaregs refusent de devenir des citoyens sans avenir et déclenchent une lutte armée en 1961 au Niger et au Mali, tentative rapidement résorbée. En 1990, la sécheresse et la marginalisation politique les conduisent à reprendre les armes dans ces pays. Ces soulèvements sont
durement réprimés. Si le Niger connait une relative accalmie, le Mali vit encore dans une violence de plus en plus transnationale, sans que les revendications des Touaregs trouvent une issue pacifique (voir fig. Géopolitique de l’Azawak).

5 L’Algérie a fourni divers matériels militaires au Mali, selon l’AFP, El Watan, 2009.
6 Le Mali affirme que de tels « groupes armés » sont ceux qui ont fait allégeance à « Al-Qaïda ». Cependant, nombreux sont les groupes ethniques, cultuels et (ou) culturels qui sont accusés de « groupes armées » ou encore de « terrorisme », juste pour masquer un « mouvement de désobéissance » qui prône une « la lutte armée » contre le pouvoir au Mali. La révolte des Touaregs dans l’Azawak malien et nigérien, est un exemple cette dérive, (voir supra). Néanmoins, « le terrorisme » a trouvé « refuge » dans des « zones inaccessibles » du vaste ensemble sahélo-saharien », un repli sans envergure selon de nombreuses sources, y compris « Magharebia » de United States Africa Command (Africom).

7 Selon l’AFP et El Watan, 2009.
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Le Nigeria

Le Nigeria est un important pays pétrolier de tradition commerciale tournée vers le monde anglo-saxon. Les Etats-Unis soutiennent puissamment ce pays, en raison de sa forte position pétrolière dans le Golfe de Guinée et de sa préférence pour les exportations de GNL et de pétrole vers le
marché américain. En plus, le Nigeria a accordé de nombreuses facilités militaires aux Etats-Unis dans le cadre de sa « guerre globale». L’Europe semble être « hors compétition », malgré la taille et la pertinence de certaines compagnies pétrolières, comme BP, Total ou Eni, qui sont fortement implantés dans ce pays et jouissent d’une certaine influence.

Cependant, le Nigeria est confronté à de nombreux défis notamment dans le conflit du Delta du Niger. Une région qui concentre les principaux gisements d’hydrocarbures du pays, exploités par la compagnie nigériane NNPC et quelques compagnies américaines et européennes (voir fig.3).
Le Delta du Niger connaît en effet un conflit sans cesse violent. Une contestation d’obédience ethnique et cultuelle qui a toujours revendiqué un partage équitable des revenus pétroliers. Elle s’est distinguée à maintes reprises, par le « sabotage d’oléoducs » et la « prise d’otages » comme un « moyen » d’appuyer ses exigences politiques et économiques.

Fig.3. Le Delta de Niger
Source : Chegrouche, in Med Energie, n°30, 2009
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Le nord du pays est également soumis à des fortes tensions sociales et de conflits armés, en raison de l’état de délabrement du cadre de vie, une adversité croissante exploitée par des « illuminati » de Boko Haram1

La Libye

La Libye tente de s’insérer dans le jeu transsaharien par le biais de son « intermédiation » entre le Niger et les Touaregs, le Tchad et ses « révoltes » ou le Soudan et les « rebelles » du Darfour. Une politique africaine « active » qui se fonde sur des projets économiques. Nombreuses sont d’abord les connexions tribales entre Tripoli et les populations de l’Azawak, au sens du Sahel (voir fig.2), comme l’illustre la conférence périodique libyenne sur le Sahara et le Sahel, dont les enjeux
géopolitiques et énergétiques sont considérables. Ensuite, la « Fondation Kadhafi » sert de « pompe à finances » pour cette politique libyenne. 

Depuis 2005, elle a investi plus de 5 milliards US $ dans cette région. Une « politique d’aide » aux entreprises africaines et aux communautés locales, sous forme de « prêts à taux zéro», qui a permis de renforcer le rôle transsaharien et africain de la Libye. Enfin, le pays revendique même
un « leadership » régional sur l’Azawak (le Sahel), notamment après son rapprochement avec les Etats-Unis et l’Italie. Le gazoduc Greenstream, destiné à l’approvisionnement gazier de l’Italie, serait vraisemblablement le premier tronçon d’un système transsaharien de transport du gaz naturel vers l’Europe, capable de rivaliser avec le TSGP. Dans cette perspective, le Greenstream prendrait source au Tchad et au Darfour, en raison de leur potentiel de réserves en gaz naturel.


L’Egypte

L’Egypte est un pays pertinent par son potentiel d’hydrocarbures, récent mais de plus en plus croissant. Sa « politique africaine » est davantage dictée par une géopolitique du Nil et ses enjeux liés à la répartition des ressources en eau. Le pays tente de « contenir » les multiples tentatives
et de 1959. La conférence d’Alexandrie des pays de l’Initiative du Bassin du Nil (IBN) en 2009, a montré les limites de l’action africaine de l’Egypte. 
Un pays « contraint », sous un poids démographique pesant, une pauvreté sans cesse croissante, une gouvernance économique « satellitaire ». Des nombreuses contraintes économiques et géopolitiques entravent l’action de ce pays notamment dans l’énergie. Dans le contexte de cette géopolitique du Nil, les pays de l’IBN (Egypte, Burundi, Ethiopie, Kenya, Rwanda, Tanzanie, Soudan, Ouganda, Congo) ne parvenaient pas depuis 1999, à se mettre d’accord sur la création d’un « organisme chargé de la gestion commune des eaux » du Nil. Par ailleurs, les préoccupations de l’Egypte sont dictées par des enjeux moyen-orientaux et méditerranéens (UPM). L’illusion d’une intermédiation

1 Boko Haram est fondé en 2004, à Maiduguri, la capitale de l'Etat de Borno mais l’influence de cette « secte » s’étend à la majorité des Etats du nord du pays.
2 Selon la Fondation Kadhafi et Le Journal de la finance africaine, 2009.
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entre « Orient » et « Occident », un « dogme » de la politique égyptienne, conduit ce pays à des rivalités ou des tensions avec des puissances comme la Turquie, l’Iran, la Syrie ou l’Algérie. Le rôle de l’Egypte est plus que controversé. Dans la région transsaharienne, il reste « mineur » par
rapport à celui de la Libye ou de l’Algérie, malgré sa géographie et sa participation au «commandement militaire» de l’Union africaine.

ii - Les puissances internationales

Le second groupe implique des acteurs internationaux (Etats-Unis, Europe, Chine) dans un jeu énergétique aussi ouvert que problématique pour le devenir de la région. La compétition et le partenariat sont certes nécessaires pour la mise en exploitation de son potentiel de réserves
mais, l’effort d’investissement nécessaire dépasse largement les capacités financières propres des pays de la région : un effort supplémentaire de 150 milliards US $ pour les cinq prochaines années. Le TSGP nécessite à lui seul 10 milliards US $ pour sa construction. Aucun pays de la région n’est en mesure de supporter un tel rythme d’investissement, sauf de laisser les populations locales dans l’adversité économique et sociale et de persévérer dans des choix d’extraversion.
L’investissement direct étranger demeure faible, soit 25 milliards US $ en 2008 pour tous les pays de la région. Il est capté en priorité par les activités exportatrices, compte tenu de la faiblesse des coûts salariaux et des facilités de rapatriement des profits des compagnies.

Tout indique donc que la prééminence des puissances va aux stratégies de contrôle global des ressources et des voies d’accès, avec une forte propension à la militarisation de la région : Africom1, prolifération des conflits armés, surenchère d’armement, croissance des budgets militaires. En 2008, les pays d’Afrique du nord ont dépensé au titre de leurs budgets militaires 15 milliards US $. La dépense militaire2a atteint 2-5% du PIB de chacun des principaux pays de la région. Elle représente donc 1000 US $/capita, soit l’équivalent d’un salaire minimum annuel par habitant3. Le paradoxe de ce jeu de puissances est lié à l’appréhension de ce « besoin » de sécurisation des territoires et des ressources. Il génère une demande d’armement pour les fournisseurs d’énergie et un besoin d’énergie pour les fournisseurs d’armement c’est-à-dire, de la part de certaines puissances internationales fortement impliquées dans la région.

Les Etats-Unis

Dans ce jeu d’acteurs, il n’y a pas de stratégie de groupe dont les puissances internationales agissent d’une manière homogène ou

1 United States Africa Command, dont l'acronyme est US Africom. Un commandement destiné à coordonner toutes les activités militaires et sécuritaires des Etats-Unis en Afrique.
2 Selon les estimations de certains instituts européens spécialisés dans les questions de défense et de stratégie. Pour la dépense militaire, US Forecast International indique aussi que le Maroc a consacré 5% de son PIB, suivi par la Libye (4,9%), l’Algérie (4,3%), l’Egypte (3,5%), la Tunisie (2,1%), la Mauritanie (1,5%), le Niger (1,2%), le Mali (1,1%).
3 Le BIT indique que le salaire minimum légal, en équivalent US Dollars, est de 80-120 US $/mois en 2008, selon le pays. L’Afrique du nord compte 150 millions d’habitants.
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collusoire. Cependant, la stratégie d’acteurs la plus pertinente est celle des Etats-Unis, parce qu’elle combine toutes les séquences de jeu. Cette stratégie se déroule selon une logique de partage de rôle. Au centre de ce jeu transsaharien, se positionnent les compétiteurs américains de la première séquence, les compagnies pétrolières comme en Algérie, en Libye ou au Nigeria. Par contre, la périphérie réintroduit des puissances locales dites « amies». Les Etats-Unis assurent la cohérence stratégique et l’articulation opérationnelle, par une coordination multilatérale.

L’Africom n’est que la version sécuritaire de l’aboutissement d’une série de partenariats économiques et d’accords militaires initiés par les Etats-Unis en Afrique du nord et dans le Sahel, depuis 1995. La montée en puissance des ces partenariats coïncide avec l’augmentation des réserves prouvées pétrolières et gazières de la région (voir infra : Tab.1 & 2. sur
l’évolution des réserves prouvées). Les compagnies américaines et les puissances « amies » exécutent chacune de son côté, la séquence qu’il faut, en dépit de l’autonomie de jeu propre à chaque acteur. La stratégie américaine sert évidemment ses intérêts énergétiques et stratégiques. La région contribue déjà pour 10% à l’approvisionnement des Etats-Unis.

Cette part devrait atteindre 25% en 2020, en raison notamment du potentiel de réserves d’Afrique du nord et du Nigeria. Les Etats-Unis s’invitent donc dans la région par l’Africomet les convoitises pétrolières. Ils sont en rivalité avec les autres puissances. L’enjeu est probablement le contrôle global des richesses énergétiques de la région et ce, quelle que soit la couleur de l’administration US.

L’Europe

L’Union européenne n’a pas de « stratégie de puissance » parce que cette vocation est plutôt assumée par certains Etats-membres comme la France et la Grande Bretagne. L’Europe se confine plutôt dans un rôle de coopération économique et d’assistance humanitaire, malgré la forte
présence des compagnies comme BP, Shell, Total, Eni ou Statoil. En effet, la Grande Bretagne est l’ancienne puissance coloniale du Nigeria. Les compagnies britanniques ont une forte influence économique dans ce pays. BP et Shell sont propriétaires d’importants gisements et de nombreux d’oléoducs. La France dispose également d’importants moyens économiques et militaires dans la région transsaharienne (voir fig.4). Elle est perçue comme un facteur de coopération dans la région, notamment par les Touaregs de l’Azawak.

1 In « Géopolitique, les voies de la puissance, Plon, 1990 », le général Pierre Gallois distingue « puissance alliée » et « puissance amie », en fonction notamment du degré d’intégration des commandements. Le seuil de « loyauté » étant la coopération militaire technique et l’échange des facilités tactiques. Les puissances « amies » s’échangent les facilités tactiques. Cependant, face à l’inégalité des moyens économiques et militaires, l’échange ne peut être qu’inégal donc, au profit des puissances internationales et au détriment des puissances locales.
2 La stratégie des Etats-Unis se décline dans la région par la présence de la sixième flotte, la multiplication d’exercices conjoints et la formation dans le cadre de l’International Military Education and Training Program.
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Fig.4. Les accords militaires de la France

La Chine

Face à cette convoitise grandissante autour du potentiel transsaharien, la Chine tente de « chasser » sur des territoires supposés « hostiles » à la politique des Etats-Unis, pour construire un positionnement durable dans la région et un accès libre à ses ressources naturelles et énergétiques. 

Cette stratégie est plus visible au Soudan, en raison d’une forte pénétration des compagnies pétrolières chinoises. Ces compagnies opèrent également dans l’exploration pétrolière dans d’autres pays de la région, comme l’Algérie et la Libye. La Chine met d’importants moyens économiques, militaires et diplomatiques au service de cette stratégie.

http://www.hoggar.org/index.php?option=com_docman&task=doc_download&gid=436&Itemid=28

Le Monde musulman a-t-il un avenir?

Chems Eddine Chitour


«Dieu ne changera rien dans la situation des hommes s’ils ne changent pas ce qui est en eux.» (Coran, Ar Ra’ad, Le tonnerre, sourate XIII verset 11)

Ce verset du Coran résume mieux que mille discours l’état de déliquescence du Monde musulman en ce qui concerne sa visibilité sur le théâtre du Monde. Les dernières provocations subies, notamment à propos de la Palestine, devraient nous convai-ncre définitivement que le Monde musulman n’est pas un Monde au sens de l’unité et de l’action. C’est tout au plus un catalogue de pays avec des idéologies aux antipodes les unes des autres, sans ambition si ce n’est de voir passer les jours, d’attendre de meilleurs auspices et de prier pour que l’Occident subisse un affaissement de lui-même. Dans une précédente contribution, j’avais parlé du monde en 2025 et j’avais rapporté des études qui visaient à montrer que le barycentre du Monde en termes de puissance économique et financière va basculer vers l’Orient c’est-à-dire l’Asie. Qu’en sera-t-il du Monde musulman ou plus précisément du Monde arabe car, en toute honnêteté, il serait injuste de mettre la Malaisie ou l’Indonésie voire la Turquie et surtout l’Iran dans le même panier que le Monde dit arabe ou plus précisément d’expression arabe. Non, on ne peut pas mettre sur le même plan l’Iran, qui construit ses fusées, ses satellites, qui a un cap, la Malaisie avec un taux de croissance qui frise les deux chiffres avec les pays rentiers arabes de l’Opep.


Cette contribution qui fait l’économie de la 14e Journée de l’énergie, se veut être justement un état des lieux sur l’un des défis les plus imminents: la pénurie d’énergie corrélée avec les changements climatiques. Le monde musulman d’aujourd’hui est constitué essentiellement d’une trentaine de pays répartis entre l’Asie et l’Afrique. Ils occupent une superficie totale de 24 millions de kilomètres carrés. Néanmoins, des communautés considérables de musulmans vivent dans des pays non-musulmans tels l’Inde, la Chine, sans oublier les émigrés musulmans qui vivent en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. Le monde musulman compte, à la fin 2009, plus d’un milliard et demi d’individus, soit un peu plus d’un cinquième de la population mondiale qui est de 6,8 milliards. En l’espace de 30 ans, la population a pratiquement doublé. La croissance annuelle est estimée actuellement à 2%. Nous constatons une grande disparité entre les PIB par habitant des pays constituant le monde musulman. Un Emirati consomme 12 tonnes de pétrole par an (une fois et demie la consommation de l’Américain) et un Somalien 200 kg! En clair, ce dernier consomme en une année ce que consomme l’Emirati en une semaine. Mieux, en termes de PIB, l’un est à 50.000 dollars l’autre à 500! Cherchez l’erreur! Et pourtant, ce sont des pays musulmans frères...Une partie des pays est riche en énergies fossiles, elle exporte d’une façon frénétique une grande quantité d’hydrocarbures, de ce fait, les recettes sont considérables surtout ces dernières années. 810 milliards en 2008, 8500 milliards en trente ans pour les pays rentiers arabes. L’essentiel de leur PIB est dû à la rente pétrolière. Les pays asiatiques ont un PIB qui est surtout dû à l’industrialisation. Du point de vue du Pnud, le Monde musulman est mal classé selon les indicateurs internationaux tels que l’Indice de développement humain qui conjugue plusieurs paramètres tels que le système éducatif et sa performance, la santé et l’accès aux soins, la richesse, les libertés...Du point de vue justement de l’éducation, le Pnud classe les pays musulmans arabes, pratiquement au dernier rang. Il n’y a, par exemple, aucune université arabe dans les 5000 premières universités au monde. Le Monde arabe dans son ensemble publie moins d’ouvrages qu’un petit pays comme la Grèce. En un siècle, il n’y a que trois prix Nobel (Physique, Chimie, Littérature). En 2005, ll y avait plus d’internautes en Israël que dans tout le Monde arabe!! Comparé au Monde, le monde musulman n’est pas un acteur dominant si ce n’est qu’en tant que pourvoyeur de pétrole et de gaz naturel. D’après BP Statistical Review, en fin 2008, les consommations mondiales d’énergie primaire se sont élevées à 11.295 millions de tep, et l’énergie nucléaire (619,7 millions de tep) et l’énergie hydraulique (717,5 millions de tep). La production de CO2 a été de 27 milliards de tonnes La consommation d’énergie par unité de PIB: environ 0,21 tep par millier de dollar (1).

Le Monde musulman détient les deux tiers du pétrole et la moitié du gaz naturel du monde. Il exporte pour environ 25 millions de barils /jour, de pétrole (30%) et près de 250 milliards de m3 de gaz (10%). Du point de vue de la stratégie énergétique, mis à part les pays musulmans non arabes (Indonésie, Iran, Malaisie...), il n’y a pas de stratégie énergétique si ce n’est vendre encore plus de pétrole et de gaz. La pénurie en ressources hydriques, l’après-pétrole, les changements climatiques, voire le développement durable sont des concepts encore étrangers aux pays arabes. S’agissant justement, du Monde arabe, sa superficie est de 15,5 millions de km², soit presque 3,53 fois la superficie de l’Union européenne et 12% de la surface du Monde. La population est de 325 millions d’habitants. Le Monde arabe dispose de 55% du pétrole mondial et de 30% du gaz. Les énergies renouvelables, mise à part l’hydraulique, ne sont pas développées d’une façon importante. La production d’énergie est de 1,78 milliard de tep en 2009 soit 16,5% du total. Pour le gaz naturel, le Monde arabe produit 418 milliards de m3 sur un total mondial de 2800 milliards de m3 soit 15%. La production d’électricité est de 601 TWh en 2009 sur un total de 18.000 TWh soit à peine 3,5%. La consommation totale d’énergie est de 487,5 millions de tonnes soit moins de 4,5%. Le Monde arabe a émis 1,5 milliard de tonnes de CO2 dont une grande partie pour le tertiaire.

2030, c’est demain

La population mondiale sera de 8,5 milliards en 2030. Le peak pétrolier longtemps nié, est une réalité. Plusieurs études le situent au gré de la géopolitique du moment, en 2008 (déjà passé?!) ou dans les prochaines années (2012?, 2015?, voire 2025 pour les optimistes). D’ici 2030, l’AIE prévoit dans son scénario de référence, une demande d’énergie primaire qui passerait ainsi de 10 milliards de tep en 2000 à 17,7 milliards de tep en 2030. (2)

Nous avons vu que globalement le Monde musulman, exception faite des pays musulmans non arabes, est d’autant plus vulnérable qu’il ne se prépare pas aux défis de l’avenir qui seront de plus en plus difficiles à maîtriser si des solutions ne sont pas mises en oeuvre dès maintenant. L’un des défis majeurs auquelx aura à faire face le Monde musulman est le défi des changements climatiques avec un danger particulier: la pénurie d’eau pour les pays arabes. Un grand nombre de pays musulmans souffrent d’un stress hydrique aigu appelé à s’accentuer dans les années à venir par l’impact direct des changements climatiques. En effet, les parties nord-africaines et moyen-orientales du monde musulman connaissent une faible pluviométrie, de plus en plus perturbée. Des stratégies de dessalement de l’eau de mer ont été adoptées mais elles ne répondent pas aux besoins d’une population croissante qui aspire à un mode de vie élevé sachant que ces installations coûtent cher et consomment énormément d’énergie avec une technologie encore mal maîtrisée. D’autant que les usines de dessalement installées consomment énormément d’hydrocarbure.

Qu’adviendra-t-il quand il n’y aura plus d’hydrocarbures? Il y aura certainement et concomitamment pénurie d’eau! N’aurait-il pas été plus sage de mettre en oeuvre des technologies douces utilisant le solaire et même l’éolien pour le dessalement de l’eau de mer.

Les stratégies énergétiques des pays musulmans ne sont pas tout à fait claires. Depuis plus d’un demi-siècle, ils essayent d’assouvir la soif d’un Occident qui demande de plus en plus d’énergie en épuisant leurs ressources sans jamais atteindre le fameux développement tant rêvé! Des stratégies énergétiques basées sur une production rationnelle suivant la consommation, doivent être adoptées le plus tôt possible. Les prix augmenteront inexorablement dans un futur proche, le simple bon sens impose de produire avec parcimonie pour donner une durée à ces réserves, durée qui permettra de mettre en place un plan cohérent de développement pérenne couplé au dopage de la recherche scientifique créatrice de richesses. Dès maintenant, des mesures doivent être prises pour préparer la transition énergétique. Cela, par l’intégration des énergies renouvelables d’une manière progressive dans les bilans énergétiques sachant que le monde musulman a un potentiel énorme en ces énergies du futur. L’exemple du solaire est des plus frappants. D’autres énergies renouvelables telles l’énergie éolienne, l’hydroélectricité, la géothermie et la biomasse sont à exploiter afin de mieux diversifier les sources dans un contexte de développement durable axé sur l’indépendance énergétique et la protection de l’environnement.

Pour ce qui est de l’Algérie, elle pollue à sa façon et aggrave l’effet de serre sans créer de richesses. L’illusion factice éphémère est en définitive dangereuse, s’endetter pour une voiture, accrocher un portable à son oreille est un signe de sous-développement qui risque d’être irréversible si on ne prend pas en marche le train des réformes mondiales. L’Algérie a un immense potentiel renouvelable qui attend d’être développé. A quoi cela sert d’extraire pour 160 millions de tep, si notre consommation est autour de 35 millions de tep? Nos exportations devraient être calibrées de plus en plus sur nos besoins en devises. Le pétrole sera rare et cher, qui peut dire si son prix ne dépassera pas les 200 dollars l’année prochaine, surtout si le dollar continue à s’effriter? Notre meilleure banque c’est encore notre sous-sol. Il n’est pas sage de pomper le pétrole, ce qui compromet, qu’on le veuille ou non, l’avenir des générations qui atteindront la maturité vers 2030. Justement, il est utopique de croire que l’on puisse trouver un nouveau gisement de la taille de Hassi Messaoud ou de Hassi R’mel. Avec une production de loin supérieure aux découvertes. Doit-on continuer la bazarisation de l’économie caractérisée par une panne du neurone? Ne savons-nous plus rien faire en nous remettant aux autres? Il nous faut une stratégie énergétique et climatique. Il nous faudra mettre en oeuvre des scénarii de consommation prenant en charge plusieurs paramètres: la politique des transports. Rien n’est plus important que l’avenir des Algériens et des Algériennes qu’il faut privilégier sur nos «engagements». Il est utopique et dangereux de penser que l’Algérie continuera d’une façon paresseuse à engranger des devises pendant encore longtemps.

La fausse aisance actuelle est trompeuse, elle n’incite pas à l’effort et à la sueur Des états généraux de l’énergie permettront de tracer une feuille de route, nul doute qu’elle remettra la machine en marche. L’université doit être partie prenante de ces mutations. L’avenir et la place des musulmans dépendent de la capacité des musulmans à préparer la jeunesse musulmane aux défis de l’avenir. Etre un leader pour un musulman, c’est une pratique au quotidien de l’Ijtihad: «L’effort dans le chemin de Dieu» qui se décline par l’investissement à marche forcée dans la science et la technologie.

Le problème n’est pas l’Islam mais ce qu’ont en fait les hommes gouvernants et gouvernés dans le monde musulman. Au lieu de répéter d’une façon itérative que l’Islam est une religion d’amour, de paix, le moment est peut-être venu de se mettre au travail, de prouver dans les faits que c’est aussi une religion qui encourage la science et la technologie. Quand les musulmans se rencon-trent (ronronnement de l’OCI), ils parlent de tout sauf de l’essentiel dans une approche tout à fait hypocrite qui élude les vrais problèmes. A-t-on jamais vu l’OCI parler de stratégie scientifique coordonnée? Qu’a fait le Monde musulman de ses richesses énergétiques, à part donner le mauvais exemple par potentats arabes interposés où la gabegie le dispute à l’ignorance laissant de ce fait les Musulmans sous une chape de plomb de l’intolérance et voulant perpétuer au XXIe siècle le faste des Mille et une nuits de Haroun Ar Rachid d’il y a douze siècles, encore que ce dernier avait un respect sincère pour la science?

L’avenir c’est le savoir

Oui, le Monde musulman a un avenir, s’il retrouve ses repères identitaires et religieux. Dans un monde de plus en plus globalisé et paradoxalement où chacun se regroupe par affinité géographique, linguistique voire de plus en plus religieuse, le Monde musulman se doit de parler d’une seule voix. L’avenir appartiendra aux sociétés fascinées par le savoir. L’avenir du monde musulman ne peut plus se décliner par individualité, s’il continue ainsi il disparaîtra progressivement par une lente déliquescence. Il sera alors le futur esclave d’une seigneurie forcément occidentale ou orientale. Que l’on ne se leurre pas! La richesse éphémère en énergie fossile durera encore une génération. Après, si rien n’est fait, le désert reprendra ses droits. Le Monde musulman a devant lui une génération pour faire le saut qualitatif qui lui permettra d’être développé. Sans être naïf, est-il possible d’envisager une utopie où le Monde musulman crée une zakat pour alimenter un fonds de recherche et de développement de la science et de la technologie? Si le Monde musulman décide que chaque calorie vendue est adossée à l’achat d’un savoir et d’un savoir-faire, on peut envisager un Plan Marshall du développement durable du Monde musulman. Il est tout à fait possible de mobiliser 5% des recettes pétrolières (environ 50 milliards de dollars par an) pour commencer à bâtir sérieusement une économie verte allant du Maghreb à l’Asie. Sur une vingtaine d’années, il est possible d’installer du solaire sur un territoire immense, comme le prévoit l’Union européenne avec le projet Desertec. Le Monde musulman peut prétendre à une technologie nucléaire civile s’il est uni et solidaire. Il rentrera, alors, de plain-pied dans le développement non plus en tant que consommateur mais en tant que producteur. Cependant, les vraies richesses du Monde musulman ne sont pas seulement dans ses gisements d’énergies fossiles amenées à disparaître un jour, mais dans ses ressources humaines, plus précisément ses jeunes diplômés capables de relever les défis du futur. Il «suffit» de leur donner les moyens pour s’épanouir afin de retrouver la gloire perdue depuis maintenant plusieurs siècles. Les gouvernants ont une responsabilité historique de mettre le Monde musulman sur l’orbite du savoir. Les moyens existent, les hommes existent, en ont-ils la détermination?

Chems Eddine Chitour
19 avril 2010


Notes

1. BP Statistical: Review of World Energy June 2009
2. Agence internationale de l’énergie. Perspectives futures à 2030. Novembre 2009.


Israel today is becoming more and more like one huge Masada


The Goldman Scam & John Paulson's Links to 9-11

By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com
April 20, 2010
The latest news about the fraud at Goldman Sachs confirms what I have been saying all along about the financial "meltdown" and government bail-outs of 2008-2009. As Britain's Observer reported on 18 April 2010 in an article entitled "Now we know the truth. The financial meltdown wasn't a mistake – it was a con":
The global financial crisis, it is now clear, was caused not just by the bankers' colossal mismanagement. No, it was due also to the new financial complexity offering up the opportunity for widespread, systemic fraud.
The man at the center of this scam is a man named John Alfred Paulson and his company. The New York Times reports that Paulson personally made an estimated $3.7 billion in 2007 as a result of his hedge fund’s performance, and another $2 billion in 2008. The charge is that Goldman's vice-president Fabrice Tourre created a dud financial instrument packed with valueless sub-prime mortgages at the instruction of hedge fund client Paulson, sold it to investors knowing it was valueless, and then allowed Paulson to profit from the dud financial instrument.

John Alfred Paulson
As the Observer reported on April 18:
The reality was that Paulson was frantically buying credit default swaps in the CDO that would go up in price the more valueless it became – a trade that would make more than $1 billion. Worse, Paulson had identified some of the dud sub-prime mortgages that he wanted Tourre to put into the CDO. If the SEC case is true, this was a scam – nothing more, nothing less.
PAULSON'S CONNECTION TO STEPHEN BERGER
Following Harvard Business School, Paulson began his career working as a Management Consultant at Boston Consulting Group from 1980 to 1982 (where Benjamin Netanyahu began his career in 1976) and as an Associate at Odyssey Partners from 1982 to 1984. Paulson's career at Odyssey Partners brought him into a small circle of Zionist finance scoundrels comprised of Stephen Berger, Leon Levy, and Jack Nash.

John Paulson and Stephen Berger joined Odyssey Partners in 1982, the year it was founded by Jack Nash (left) and Leon Levy (right).


The late Jack Nash (in 1995) was a devoted Zionist supporter and chairman of the American Friends of the Israel Museum in Jerusalem (AFIM). His wife Helen is currently a vice president of the Zionist organization, of which the Baroness Nadine de Rothschild is the Honorary President and Jo Carole Lauder, the wife of Ronald Lauder, is an executive committee board member.


Ronald Lauder, a close friend of Benjamin Netanyahu, looks pretty miserable for a multi-millionaire Zionist in his mid-60s (even with his secretive Israeli girlfriend/Mossad handler/art dealer Daniella Luxembourg). Lauder was the driving force behind the privatization of the World Trade Center, a key part of the 9-11 plot. Guilt destroys a person up from inside. There is no escape, Ron.


Lauder's full-time Mossad handler Daniella Luxembourg and "contemporary art specialist" Amalia Dayan, both of Phillips, de Pury & Luxembourg. Dayan is the grand-daughter of Moshe Dayan. The world of Zionist terrorism is small and based on certain family ties. The Zionist terrorist regime of Israel today is very much like the Sicarii Zealots of the First Century. The Sicarii were Jewish robbers and terrorists who killed other Jews to further their extremist ends. Facing the power of the Roman army, the Sicarii wound up killing hundreds of Jews in the massacre of Masada. The Israeli terrorist regime of Netanyahu and Barak uses Jews as human shields, which endangers all Jews, Zionist and non-Zionist, in the same way as the Sicarii of Masada in the First Century. Israel today is becoming more and more like one huge Masada.
...AND 9-11

Stephen Berger
Stephen Berger was executive director of the Port Authority of New York and New Jersey (1985-1990), the owner of the World Trade Center, when Atwell Security, a Mossad company, received the security contract in 1987.
Sources and Recommended Reading:
"Now we know the truth. The financial meltdown wasn't a mistake – it was a con," by Will Hutton, The Observer (U.K.), April 18, 2010
http://www.guardian.co.uk/business/2010/apr/18/goldman-sachs-regulators-civil-charges
The Architecture of Terror: Mapping the Network Behind 9-11
http://www.bollyn.com/the-architecture-of-terror-mapping-the-network-behind-9-11


Video : Egypt, Syria/Lebanon and the end of Israel, Netanyahu lost the war and he is already wanted dead or alive by his masters in the West !

After five years, Hizbullah came to the conclusion, with the full evidence, that french zionist jewish networks were behind the assassination of Rafik Hariri because he was backing financially Chirac-DeVillepin for the 2007 french presidential election. Mossadnik Sarkozy needed the help of Israel to kill Hariri to take power in France and take down Syria. Now that Sarkozy is directly named in this affair, Israel is threatening Lebanon and Syria. 

Ask yourself where did they get the information about North African guys involved in the operation ?

Sarkozy is also directly involved in the Madrid (2004) and London (2005) bombings, that helps him secure his place in France and then Europe, by supporting the Israeli plan to send more EU troops in Iraq. We were the only people in the place to confirm that Sarkozy and Israel were behind the Rafik Hariri assassination. Like the US embassy in Paris, under Paul Wolfowitz, killed one of the best friend of Saddam Hussein in the West, Jean Luc Lagardere, another Sarkozy 'enemy'. Promote Sarkozy to make sure France will take part in the Syria, Iran wars.... 

Mubarak is now dying, and strangely Sarkozy was in charge of his security during the last 18 months, bizarre ? ! Netanyahu fears a soft coup d'etat in Egypt that will force him, to ask NATO and Obama to seize the Sinai and probably take control of the Nile river and the Litani river in South Lebanon. In fact, this is the plan and we warned you long time before it happen. Egypt built a wall, but also huge tunnels in the desert to help Israel invade Gaza by the south. According to our sources Mubarak has only few weeks, until he is transformed like Sharon as a living-mummy. Palestinians face a total extermination, a programmed final-solution genocide and Jordan may disappear as a state, that's why his english-jewish king is barking about 'an imminent war' in the Middle East.

Netanyahu disappeared during the last days, the reason is that he is now been too far, like Rabin went too far but on the other side of the way. Netanyahu, like Sharon, fears to be assassinated by his masters, because he thought he was in full power, and unlike Sharon, he forgot that he was just a puppet, like Sarkozy in France. Strauss Kahn, head of the IMF, will take power in France, in 2012 and he will work under the table like the CIA front man Obama is trying to do, without tangible success. Iran is still Iran, Syria is still Syria, Pakistan is still Pakistan, Afghanistan is still Afghanistan and Iraq is still Iraq... Where did you see any change ?

Time is on our side Obama, not yours ! 

Wa Allah swt 'alam,
Abu-Suleyman

Israel’s stooges battle for British votes


By Stuart Littlewood

18 April 2010

Stuart Littlewood considers the British shadows of the US administration’s pro-Israel spivs and pimps – the Conservative and Labour parties – and argues that the unexpected rise in fortunes of Britain’s third main party, the Liberal Democrats, is likely to make its leader Nick Clegg, who is no rabid Zionist, a target of US-Zionist smears.

We can already see how disastrously the US election turned out, not just for Americans but the rest of us also. “The US president is simply the voice of the Zionist parasite,” writes a friend in Norway. “It is sickening and frightening that Obama is seen toeing the Zionist line.

“Zionism has the US administration and other Western governments by the balls.”

Well, that’s certainly the way it looks. Last month Israel’s prime minister, Binyamin Netanyahu, slapped America in the face by approving more illegal settlements during Vice-President Joe Biden’s visit. What did Secretary of State Hillary Clinton do? She repeated the pathetic mantra: “We have an absolute commitment to Israel’s security. We have a close, unshakeable bond between the United States and Israel and between the American and Israeli people”.
“Zionism has the US administration and other Western governments by the balls.”

Clinton completed her surrender to the Israeli terror machine by sharing the American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) conference platform with a triumphant Netanyahu.

Whereupon over half of America’s lawmakers topped Clinton’s performance by signing a letter committing to the US’s “unbreakable” bond with the racist regime.

Nine months earlier, speaking in a BBC interview, Obama said he believed the US was "able to get serious negotiations back on track" between Israel and the Palestinians. And when asked about Israel's defiance when called on it to halt construction of Jewish settlements in the West Bank, he urged patience. "Diplomacy is always a matter of a long, hard slog. It's never a matter of quick results."

The fact is, diplomacy doesn’t work with the Israelis. Everyone knows the problem: Israel’s contempt for international law and UN resolutions. And now we see Obama’s contempt too. In this wobbly leader's mind Israel is somehow exempt from the laws, conventions, codes of conduct and respect for the rights of others that apply to everyone else in the civilized world.
Forcing negotiations is immoral

And Obama should know better than to keep harping on about peace negotiations. It is absurd to put a weak party and a strong party together and expect fair results when the strong party is in permanent occupation and has its military boot on the weak party's neck.

It is immoral to expect the weak party to negotiate while the strong party is in flagrant breach of international law, commits acts of piracy, maintains a crippling blockade, carries out daily air strikes on civilians and continues to steal the weak party’s land and resources.

It is immoral for sponsors of negotiations to be so partisan as to refuse to recognize the democratically elected representatives of the weak party or its right to self-determination and territorial integrity.

It is immoral to force negotiations without first establishing a level playing field and ensuring both sides are compliant with international law. The international community has shirked this responsibility for decades, not because the peoples of the community of nations lack the will but because their leaders are gutless and corrupt.
"...the US taxpayer has been cheerfully funding Israeli operations to destroy Palestinian infrastructure ... and bring the whole civil society to its knees."

Then there’s the scandal of the US government’s aid to Israel which runs at nearly 3 billion dollars annually and totals well over 100 billion dollars since 1949. The money helps pay for Israel’s costly occupation of Palestinian territory, its F-16s, helicopter gunships, tanks, ordnance, Caterpillar bulldozers, and all the other tools of military oppression and territorial grand theft.

Israel gets more billions of dollars in indirect aid – military support, loan write-offs, rich technology transfers and special grants. Before George W. Bush left office he agreed an assistance package of 30 billion dollars over the next 10 years.

So the US taxpayer has been cheerfully funding Israeli operations to destroy Palestinian infrastructure (which in many cases has been paid for by British, EU and – yes – US taxpayers) and bring the whole civil society to its knees.

Most of this aid violates US laws that stipulate US-supplied weapons can only be used for "legitimate self-defence" and military assistance is prohibited to any country that engages in “a consistent pattern of gross violations of internationally recognized human rights". Military assistance is also banned to any government that refuses to sign the Nuclear Non-Proliferation Treaty or allow inspection of its nuclear facilities. But thanks to the “unbreakable” bond with Israel these inconvenient laws might as well not exist.

Israelis fiercely attack any attempt to “delegitimize” their ill-gotten gains while more and more people argue that the state of Israel had no legitimacy in the first place. Nevertheless, the Zionist menace now has nuclear fangs and the capability to target most European cities and, as we have seen, has no sense of restraint whatever.

Gee, thanks, America. Before you go accepting any more peace prizes, Obama, how about bringing to heel this monster the US has been nurturing?
Israel’s “voices” compete for British vote

Here in Britain we have our own version of AIPAC. The Foreign Office has been under Zionist influence for decades. Our most important security bodies – the Intelligence and Security Committee, the Foreign Affairs Committee and the Defence Committee – are headed by Israel flag-wavers. They have embedded themselves in nearly ever nook and cranny of parliamentary life.
"Labour has been in power for 13 years and is now under Blair’s successor, Gordon Brown, a Zionist sympathizer and patron of the Jewish National Fund."

Right now these stooges are battling for our votes in a general election.

Before the election campaign the main parties, Labour and the Conservatives, were so wedded to the Zionist cause that both wished to change our laws to protect Israeli leaders from arrest on war crimes charges and provide them with a safe haven in Britain.

Now they keep very quiet about their pro-Israel antics, no doubt hoping the question won't be brought under the public spotlight or need explaining.

Labour has been in power for 13 years and is now under Blair’s successor, Gordon Brown, a Zionist sympathizer and patron of the Jewish National Fund. The party’s 115-page manifesto barely mentions the fate of the Holy Land except to say: "We support the creation of a viable Palestinian state that can live alongside a secure Israel." Note that it's a secure Israel but only a viable Palestine. Israel must remain comfortably secure while continuing its ethnic cleansing and thieving.

The Conservative Party is favourite to win the election – or was until its leader, David "I'm-a-Zionist" Cameron, flunked a televised leaders’ debate. Cameron too is a dutiful patron of the JNF. His party's 118-page manifesto says nothing about Britain’s responsibility towards the Palestinians apart from promising support for a two-state solution to the Middle East Peace Process. That's all, full stop.
"Eighty per cent of Conservative MPs and MEPs, it is claimed, are passionate admirers of racist Israel."

Eighty per cent of Conservative MPs and MEPs, it is claimed, are passionate admirers of racist Israel. But they don’t shout it from the rooftops at election time. No, they are furtive because they know deep down that it is a grubby, indefensible position and the public would react with revulsion if the party’s allegiance to a foreign military power that makes war of Christian communities was exposed in the mainstream media.

Sad to say, then, there is no sign of Labour or the Conservatives deviating from the path of betrayal.

Thankfully a third party, the Liberal Democratic Party, is emerging strongly. Its leader, Nick Clegg, is no rabid Zionist though readers will remember he recently sacked Baroness Jenny Tonge to appease the Israel lobby. However, the Liberal Democrats at least believe Britain and the EU must put pressure on Israel and Egypt to end the blockade of Gaza and talk of borders “which are secure and based on the situation before the 1967 conflict”.

This party looks less corruptible than the others and less likely to worship at the altar of Zionism. Not being considered serious contenders till now, Clegg and his team probably haven’t been groomed by the US administration’s spivs and pimps. So we can expect big efforts to discredit them in the days ahead.

In my simple way I see a glimmer of hope here.

When a proper history comes to be written, Americans will struggle to explain how the most powerful nation on earth was so easily conned and mugged for countless billions of tax dollars to finance the ambitions of a bunch of extremists bent on defiling the Holy Land and spreading their tentacles into every crevice of the Western world.

The British also will have some explaining to do.
Stuart Littlewood is author of the book Radio Free Palestine, which tells the plight of the Palestinians under occupation. For further information please visit www.radiofreepalestine.co.uk


Israel is building the temple for the arrival of their master, the Antichrist, or Messiah Dajjal in Arabic

Why are the zionist jews digging under Al-Aqsa ?

Why zionist jews believe in the prophet Suleyman (Solomon), may the peace of Allah swt be upon him, and worship the Antichrist and are preparing for his arrival in Jerusalem? 


https://www.youtube.com/watch?v=gzPjIlb_6Wg

https://www.youtube.com/watch?v=UqNPR-CurgQ

https://www.youtube.com/watch?v=zmG6RFVZ9QY

https://www.youtube.com/watch?v=AdWEYejKlP4



Dahlan est impliqué dans l’entrée des agents du Mossad en Algérie



Alger - CPI
www.palestine-info.info


Des sources algériennes bien informées ont révélé que les autorités algériennes ont exprimé officiellement leurs colères contre le membre du comité central du Fatah, Mohamed Dahlan, en l’accusant d'être responsable de l’entrée de plusieurs membres de la sécurité préventive palestinienne en Algérie, sans avoir révélé leur identité réelle aux autorités officielles, en prétendant qu’ils sont des étudiants seulement.
Le journal jordanien d’Al Majd a rapporté dans son édition de mercredi 12/4, selon les sources algériennes que les cadres alliés à Dahlan résident en Egypte depuis le contrôle du Hamas sur la Bande de Gaza, en 2007, et que les autorités égyptiennes ont demandé de les faire sortir vers d’autres pays arabes à cause de leurs relations avec les services de renseignements sionistes.

En profitant des facilités fournies aux Palestiniens, notamment les résistants, Dahlan a choisi l’Algérie.
Les sources ont indiqué que les cadres que Dahlan a fait entrer en Algérie sont considérés comme les plus dangereux éléments des services préventifs, dont «l’unité de la mort».

The Gang of Czech Jews around the Collapses of 9-11

The Dirty Business Behind the 9-11 Clean-up

By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com

April 11, 2010

The discovery by Professor Steven Jones of tiny chips of super-thermite in the dust of the World Trade Center has greatly improved our understanding of what happened on 9-11. With this evidence in hand we have a much better understanding of how the Twin Towers were pulverized. The crucial questions about 9-11 remain: Who made this nanotech super-thermite? And who put it in the Twin Towers?

The red-gray chips of super-thermite found in the dust of the pulverized World Trade Center have fundamentally changed our understanding of what happened on 9-11.
Seeing that an advanced nano-composite form of thermite was used to demolish the buildings, we can now understand that the clean-up was actually a well-planned operation to remove and destroy the evidence of the crime. Every aspect of the well-planned false flag terror atrocity of 9-11 was completely controlled and compartmentalized, the hallmarks of a Mossad (Ehud Barak) operation. Every part of the operation is carried out by people and companies that are controlled by the architects of terrorism. They are all essentially part of the same team - the Israeli terror team - and can be controlled and trusted, from the top down. With this in mind, we begin our review of the people who cleaned up the World Trade Center.

THE RESCUE CHIEF - From September 12, 2001 until July 11, 2002, Martin Seigel of Freehold, New Jersey, was "rescue chief" and director of field operations for Bovis Landfill, which won the contract to clear the debris of the World Trade Center. (Photo from Aftermath by Joel Meyerowitz)
"From 12 September until 11 July," Martin Seigel (sometimes written Marty Siegel), "was director of field operations, overseeing the rescue on behalf of Bovis Landfill, which won the contract to clear the debris," The Observer (U.K.) reported on August 18, 2002. How was Bovis chosen so quickly? one might ask. Martin Seigel began working on the pile of rubble already on September 12, 2001? How did a subsidiary of Bovis Lend Lease, a British-owned company headed by Frank Lampl ("Life President" of the company) win the contract in less than one day? What kind of selection process was used? Why such haste to hire companies to remove the debris - before the bodies are recovered and the evidence is examined?
One has to understand that 9-11 was planned well in advance, which means that the removal and destruction of the evidence was also planned to be assigned to companies that could be trusted to follow orders and keep secrets. There is no way that the architects of the false flag terror of 9-11 were going to let honest engineers anywhere near the evidence of the crime. The World Trade Center is owned by the Port Authority of New York and New Jersey so it stands to reason that Bovis Lend Lease was chosen by Lewis Eisenberg then director of the Port Authority (until December 2001). Eisenberg, as chairman of the Port Authority of New York and New Jersey, personally arranged the privatization of the World Trade Center property and oversaw the negotiations that delivered the leases into the private hands of Silverstein and Lowy. (See - "The Zionists Who Gained from 9-11"). Eisenberg is part of the Zionist circle of 9-11 culprits.

Frank Lampl, a Czech Jew, is "Life President" of Bovis Lend Lease
Frank Lampl, the "Life President" of Bovis Lend Lease, is a Jew from Brünn (Brno) who emigrated to Britain in 1968. According to his biography, his son Thomas was studying at Oxford University in 1968 when Frank and his wife decided to leave Czechoslovakia. He joined Bovis in 1971 and rose quickly to become chief executive of Bovis International in 1978. Bovis has done many large jobs in the United States, including the construction management contract for the Atlanta Olympic Games.
Sir Frank Lampl (knighted by the Queen) is the first Honorary President of the Czech British Chamber of Commerce, a position he has held since March 2009. He has also established a branch of Bovis in Brno, his hometown in the Czech Republic. Bovis has two locations in Brno, one at the hospital and another near the technical university, where nanotechnology is developed.
Lampl's Bovis Lend Lease is a company that has long been engaged in nanotechnology research as well. Since the 1990s, Bovis has been involved in the development of nanotechnology labs, such as those in which the super-thermite used on 9-11 was made. Bovis company archives indicate that the company has been involved in nanotechnology production since at least October 2000. (See: Bovis Lend Lease Launches New Pharmaceutical Business, October 30, 2000.)

Did Bovis produce the super-thermite that pulverized the Twin Towers? It's certainly possible. Was the nano-thermite of 9-11 made in the Czech Republic? It's also possible.

The CV of design manager Richard Paley, former Principal Architect at Bovis Lend Lease, indicates that he was designing nanotechnology clean rooms for Bovis Lend Lease for the better part of a decade, starting with a 4 year stint from October 1990 until October 1994:
Senior Architect
Bovis Lend Lease
(Public Company; LLC; Construction industry)
October 1990 — October 1994 (4 years 1 month)
[Employed by Tanvec Ltd , bought by Bovis Lend Lease in 1999] - Role involved design of cleanrooms , laboratories and production facilities for the pharmaceutical, biotechnology, and process industries. Responsible for compliance with planning and building regulations and compliance with MHRA and FDA regulations.

See: Richard Paley CV
Sir Frank Lampl is also a friend of Ehud Barak, the Israeli minister of defense who is responsible for the war crimes committed in Gaza in Israel's operation "Cast Lead" of December 2008 and January 2009. Some 1,400 Palestinian civilians were killed in this criminal assault on the people of the Gaza Strip. In October 2009, Sir Frank Lampl, a partner of Forum 2000, sponsored an international conference in which Ehud Barak was one of the key speakers. Why would Ehud Barak, an Israeli terrorist who should be arrested for war crimes, be allowed to speak at an international forum on "Democracy and Freedom" in Prague in 2009? What is the real connection between Israeli criminals and the Czech Republic?

Ehud Barak, indicted for serious war crimes by the Goldstone Report, spoke at Forum 2000 in October 2009, an event sponsored by Sir Frank Lampl. What a small world.
Frank Lampl's connection with Ehud Barak is most telling. This is the inner circle of 9-11. These are the key suspects in the false flag terror atrocity of 9-11. Barak is the senior architect of the terror attacks and Lampl was the loyal Zionist Jew who helped destroy the evidence.

(...to be continued...)
Sources and Recommended Reading:

Bollyn, Christopher, "Foreign Firms Destroyed Crucial Evidence," August 14, 2002
http://www.bollyn.com/foreign-firms-destroyed-crucial-evidence

Bollyn, "The Zionists Who Gained from 9-11," June 19, 2002
http://www.bollyn.com/the-zionists-who-gained-from-9-11

Sir Frank Lampl, Czech British Chamber of Commerce Honory President, March 2, 2009
http://www.cbcc.org.uk/Events-Promotions.aspx?News=20

Bovis Lend Lease Launches New Pharmaceutical Business, 30 October 2000
http://www.lendlease.com.au/llweb/bll/main.nsf/all/news_20001030

"Ehud Barak, Israel's Defense Minister and Former Prime Minister" by Pierre Tristam
http://middleeast.about.com/od/israel/p/me090102.htm

"9/11 - one year on - 'Butterflies rose out of the debris'", Sean O'Hagan, The Observer, 18 August 2002
http://www.guardian.co.uk/world/2002/aug/18/september11.usa1

Richard Paley’s Experience, Design Manager & Chartered Architect
http://uk.linkedin.com/in/richarddpaley

The Gang of Czech Jews around the Collapses of 9-11


April 13, 2010

Anders Björkman's article about the collapse of the World Trade Center entitled, "Discussion of 'What Did and Did Not Cause Collapse of World Trade Center Twin Towers in New York' by Bazant, Le, Greening and Benson" is scheduled for publication in the July 2010 issue of the Journal of Engineering Mechanics.

Fig. 6 - "Crush down" between floors 85 and 75. Upper Part C is evidently not visible, nor is Part B - Rubble/debris. It should be clear to everybody that WTC 1 is now blown apart by energy released inside the tower as described here.
The Bazant theory can evidently not be verified in a laboratory or in reality for any structure of any size...

No structure of any size can be crushed by an upper part of itself from top down by gravity...

Question remains why Bazant & Co suggest the opposite? It is insane! Are Bazant & Co part of the conspiracy to destroy the WTC at NY?
BAZANT AND THE CZECH JEWS OF 9-11
Is Zdenek Bazant part of the conspiracy to destroy the World Trade Center? Bazant is the Czech Jew who had a scientific paper ready - one day after 9-11 - to provide an explanation for how the Twin Towers were collapsed and pulverized - without explosives. Frank Lampl is the Czech Jew whose company, Bovis Lend Lease, cleaned up the rubble of the World Trade Center, which had been leased by Frank Lowy, another Czech Jew, who had obtained the lease to the towers with Larry Silverstein just 6 weeks before they were destroyed.

What is it with these Czech Jews and 9-11? Is this an international gang of criminals or what? Are they connected to the Czech Jew Madeleine Korbel Albright (born Marie Jana Korbelová in Prague, May 15, 1937) daughter of Josef Korbel, the mentor of George W. Bush's Secretary of State, Condoleezza Rice? What a small world.

Sources and Recommended Reading:

"The Dirty Business Behind the 9-11 Clean-up," April 11, 2010
http://www.bollyn.com/index.php#article_12088
"Fire Did Not Collapse WTC - Swedish Structural Engineer," January 8, 2008
http://www.bollyn.com/fire-did-not-collapse-wtc-swedish-structural-engineer


LES COLLABEURS

par Marc-Edouard Nabe,
http://marc.edouard.nabe.free.fr/

J’en veux à ces « Arabes » français (c’est « Arabes » qu’il faut mettre entre guillemets, pas « français » !) qui pourraient ouvrir leur gueule et qui la ferment. Plus ces lâches, colonisés dans l’âme au point de se laisser traiter de « beurs », sont connus, plus ils se taisent. Ils écoutent sans sourciller - et quelquefois sans moustacher - leurs patrons répéter que les attentats en Irak et en Palestine sont inspirés par la haine religieuse pour l’Occident, que ce sont les Musulmans d’abord qui en font les frais et en particulier les femmes, et autres conneries démagocratiques... Les Arabes intégrés sont des esclaves volontaires qui participent à l’entreprise industrielle de désislamisation généralisée. Moins de Coran et repli identitaire sur des traditions injustifiées. Voilà pourquoi je les appelle désormais des Collabeurs.
Les Arabes, les Français ne les emploient que pour dire du mal de leurs frères. C’est le seul boulot au fond qu’on daigne leur trouver. Faire de la propagande contre les Musulmans. Chacun à son niveau y va de sa petite désolidarisation. Avant, on exploitait les Arabes en leur mettant un marteau-piqueur entre les mains pour qu’ils défoncent la chaussée. Maintenant, ils doivent eux-mêmes être les marteaux-piqueurs qui défoncent l’islam véritable. C’est toujours de la main-d’oeuvre, ni plus ni moins. Quel que soit le statut social auquel on fait semblant de le laisser accéder, l’Arabe le plus lettré, le plus professoral, le plus universitaire, se retrouve au service du Laïc.
Non seulement ils sont collabos, mais ils vantent les mérites de la collaboration, ils savent très bien que sans ça ils resteraient de pauvres Arabes humiliés. Ils préfèrent devenir de riches Arabes humiliants. Et puis. sr « engagement » pour la « Paix » dans ce qu’ils osent encore appeler la « Palestine » est un gage de plus de leur succès. Plus ils comprendront Israël, moins Israël les prendra pour des cons. L’essentiel est qu’ils crachent dans le bouillon du couscous. Alors, ils seront sûrs de continuer à casser la graine. Les collabeurs ont tous tellement peur de perdre leur place ! Au moins, qu’ils expliquent pourquoi dire certaines choses les priverait de leur boulot... Même pas.
On l’a bien vu dans l’affaire Dieudonné. Seuls les plus naïfs ont avoué que ce serait dangereux pour leur carrière de sou-tenir le Camerounais antisioniste. Le voilà, l’antisémitisme inconscient qui passe aux aveux. Si on pense que ne pas se démarquer de quelqu’un qui est accusé d’être antisémite est préjudiciable à son emploi dans le show-biz, c’est qu’on admet que ce show-biz est dirigé par des gens qui voient de l’antisémitisme partout. Les collabeurs révèlent sans le vouloir le fond de leur pensée qui n’est autre que le fameux cliché qu’ils font semblant de pourfendre et qu’ils alimentent par leur autocensure : ce sont les Juifs qui dirigent le show-business et tout le monde dépend d’eux. Les requins ricanent. Je suis persuadé que les plus malins des producteurs préfèrent encore Dieudonné et sa grande gueule aux faux culs qui se désolidarisent de lui par peur de per ’ e leur croûte Dans le spectacle, il y en a un paquet de collabeurs à avoir désavoué leur camarade ! Fellag par exemple, le drolatique Kabyle a joué au dernier des chameaux en reprochant à Dieudonné d’avoir « dépassé la limite ». Evidemment, pour lui c’est facile de faire marrer en racontant des histoires algériennes, bien dégagé et pas seulement derrière les oreilles, dans de petits spectacles plus tendres que cruels.
Et le petit nouveau Tomer Sisley qui estime qu’« on ne peut pas rire de tout ». Lui ne prend aucun risque, il arrive sur scène et d’emblée il dit : « Je suis juif et arabe. » Il est le seul - avec ceux qui ne sont pas arabes - à trouver ça drôle. Tout va bien pour lui, qu’est-ce qu’il y a de marrant ? Vrai ou faux, le doute subsiste et il en bénéficie pour faire passer son mes-sage de « rigolo » qui fait semblant de ne pas comprendre pourquoi il peut tout dire désormais. A lui on ne reproche pas de faire des sketches pas drôles.
Dans le genre « intello », il y a aussi Malek Chebel avec sa tête de cocu du Coran ! Il n’arrête pas de dire « merci, merci » aux Occidentaux qui daignent l’accepter dans leur clan en tant que traître absolu, multipliant les manifestes et les dictionnaires sur un islam aseptisé et intégrationniste. Chebel se dit « radical de la modération », un « prof beur » qui est pour la « concorde » ! Malek Chebel qui prône l’« islam des Lumières » ! Bientôt, il va nous dire que la Révolution française était avant tout islamique, islamique modérée bien sûr. Ce collabeur se réjouit que des imams soient expulsés et attend que l’État et les intellectuels se soudent davantage pour combattre les extrémistes de son pays ! On rêve ! C’est les mille et une saloperies !
Super-collabeurs également, les commentateurs professionnels des problèmes du Proche-Orient... Grandes gueules de l’antiterrorisme ! Tous ces spécialistes qui ne voyagent jamais ! « C’est tout à fait symptomatique de ce qui se passe dans la région », disent-ils. On en voit tous les jours dans l’émission C dans l’air, la bien nommée, où toujours les mêmes théoriciens du carnage viennent faire du catastrophisme sans jamais prendre parti. À côté d’une barbouze toujours habillé en Jacquard, il y a deux anciens des forces libanaises : un à fine moustache très serveur de soupe, et surtout un autre à proverbes avec une gueule de traviole. Sa bouche, à force de se tordre pour mentir, va finir par passer de l’autre côté de sa tête et se retrouver sur sa nuque ! Ça lui donne un air dégoûté, mais c’est lui qui est dégoûtant... Lorsqu’ils ne se gourent pas sur les événements, ces deux-là noircissent le tableau face à un Yves Calvi dont le boulot est de s’ébahir devant l’actualité et de traduire en langage journalistique leurs topos erronés ! Gueule-Tordue est d’autant plus « collabeur » qu’il n’est pas « beur » ! Il dit toujours aux Blancs : « excusez-moi », ce qui veut dire : « Pardon, mes frères arabes. »
Mais le pire de tous, c’est Mohamed Sifaoui, délateur professionnel, taupe des occidentalistes, mouchard dans l’âme, infiltreur corrompu qui se fait passer pour un héros parce qu’il traite Bush, Sharon et Ben Laden de « fascistes »... Employé du pire journalisme, faux cul absolu, il espionne les imams avec des caméras cachées. Sifaoui se présente comme enquêteur « au péril de sa vie » et les médias le reçoivent les larmes aux yeux et les paumes pleines d’applaudissements. Il faudrait récurer ses casseroles à celui-là aussi, parce qu’il doit en avoir de belles à son cul !
Les collabeurs sont prêts à tout pour entrer dans le cénacle médiatico-politique, car ils adorent la politique. Il n’y a pas que Malek Boutih le Tom Pousse-au-crime, celui que tous les banlieusards appellent « Malek Bounty » (noir dehors et blanc dedans). Il y a aussi sa « soeur » Loubdna Méliane, l’héroïne de « Ni Putes Ni Soumises », un titre de film non porno érigé en slogan féministo-laïc. « Ni Putes Ni Soumises » devait forcément s’associer à SOS Racisme et à Fun Radio. Ni Putes Ni Soumises ! Quand on s’intéresse un peu à la dénégation on sait ce que ça veut dire. Ça veut dire "putes et soumises" bien sûr. Attention, pas « putes » au sens des Putains, arabes ou pas, qui se prostituent, avec ou sans mac, pour plein de raisons que les « Ni Putes Ni Soumises » ignorent et méprisent. Non, pute, au sens de « faire la pute » pour obtenir ce qu’elles veulent. Les Putes sont des putes comme on est écrivain ou musicien de jazz, mais les « Ni Putes Ni Soumises » font les putes, nuance.
Ce mouvement est une insulte aux grandes Putains et aussi l’aveu que ces petites mijaurées du parti socialiste, en mal de reconnaissance médiatique, sont totalement soumises, et plus encore, se servent de quelques exemples de malheureuses filles arabes persécutées par leur frère ou leur père ignorants pour avoir un bon prétexte de bouffer enfin à tous les râteliers. La petite Méliane elle aussi veut sa part de gâteau. Collabeurette, elle déteste au fond toute forme de révolte, surtout si celle-ci prend l’aspect d’un voile. N’est-elle ni intelligente ni courageuse pour comprendre et dire que la plupart des filles musulmanes le portent non pas par obscurantisme, mais par signe ostentatoire d’indignation contre la « modernité » occidentale ? Elles se radicalisent par provocation et goût enfantin de la liberté contre leurs parents adeptes, par intérêt, d’un islam soluble dans la pseudo-démocratie à l’occidentale : c’est ça la vérité. Les « Ni Putes Ni Soumises », il faut voir leur comité de parrainage : les « intellos » les plus corrompus de ces vingt dernières années, la brochette de connards du monde « libre ». Loubna Méliane, aussi vicieuse-présidente de SOS Racisme, c’est la fille des cités, « française avant tout », et qui déteste qu’on lui rappelle ses origines, mais qui a fait tout son beurre (sans jeu de mots) sur elles. Elle veut être le nouveau visage souriant de l’intégration militante ! Elle est surtout médiatisée parce que c’est une « bonne cliente » depuis le lycée : elle a du bagout, la Méliane !
C’est le grand truc des collabeurs, ça : la parlotte creuse. Ils enfilent des phrases longues et « en colère » pour faire croire qu’ils ont quelque chose à dire. Et quelle putasserie ! Dans le genre grande gueule qui vend bien sa salade, le petit Rachid Djaïdani tient le pompon. Quel démago culotté ! Ce « bon client » squatte tout ce qu’il peut comme talk-show, jusqu’à gêner les plus chevronnés médiateux qui ne peuvent pas le foutre à la porte sans risquer de passer pour anti-beurs. Rachid, qui se veut « écrivain » et non rappeur, balance sa vibes en free style pour mieux pleurnicher de n’être pas encore assez vite une vedette du show-biz... Le complexe des Blancs est tel qu’ils le laissent faire, alors qu’ils pensent que Djaïdani n’est qu’une petite frappe de plus aux dents longues et aux couilles pas encore sorties. Parfait beubeur pour donner l’illusion d’une révolte arabe à des assemblées d’antiracistes professionnels. Son discours à ses « frères », c’est : « Existez, et la télé vous fera vivre ! »
Joli programme
révolutionnaire ! Ah, ils sont tous écoeurants. Il n’y a guère que Djamel Bouras peut-être, le judoka chaoui, qui ose un peu l’ouvrir. Et Rachid Taha qui avait fait jadis une parodie de Douce France de Charles Trenet à la sauce arabe. Lui seul semble avoir bien compris. Quand je l’ai rencontré, il m’a reconnu comme étant l’écrivain qui était allé en Irak. « Je ne t’ai pas vu là-bas ! » lui ai-je dit. « Les Arabes n’aiment pas les rebeus... » m’a-t-il répondu, lucide. J’aime bien ce complexe franchement avoué !
On est loin de Samy Nacéri embrassant Gérard Darmon avant de quitter le plateau d’Ardisson. Comme il s’était cru obligé, chez le même, de jurer sur le Coran (avec beaucoup de trémolos) qu’il épouserait sans problèmes une Juive (séquence coupée)... Et les Cheb Mami, les Khaled, les Faudel... Tous terrorisés à l’idée d’être associés à de vrais Arabes. Il faut rentrer dans le lard de tous ces petits cochons !...
Les Tariq Ramadan, les Mohamed Latrèche gênent les collabeurs car ils mettent en péril leur petit système anti-révolutionnaire et lucratif de collaboration. Le mot d’ordre des Arabes modérationnistes après le 11 septembre, c’est « Chut, surtout ne nous faisons pas remarquer ! » Ils se plaignent ensuite que les Blancs les considèrent tous plus ou moins comme des terroristes. Plus ils sont collabos, plus ils grimacent quand on leur rappelle leurs origines, ils mettent ça sur le dos de la lutte contre le racisme, mais c’est sous le poids de l’arrivisme qu’ils croulent. Regardez d’ailleurs comme ils sont ployés. Toujours alourdis par leur trahison alors que les autres sont droits.
C’est en refusant de s’appeler « beurs » que les Arabes se sentiront un peu plus « français ». Malgré ça, ils persistent à se revendiquer « beurs » comme si ça les protégeait du racisme, et que ça leur donnait le passeport d’être « moins arabes »...
Zidane est-il le plus grand collabeur ? Pas sûr... Au moins, le footballeur n’est-il pas dupe de lui-même : « J’ai de beaux yeux, mais faut pas que je parle... » Zinedine Zidane, le génie abruti ! Il y en a quelques-uns comme ça dans le jazz aussi... Sa seule subversion, c’est, parmi les onze, d’être le seul à ne pas chanter La Marseillaise pendant que l’hymne national retentit dans le stade avant le coup d’envoi de chaque match. Est-ce parce que le Kabyle Zizou aurait honte de chanter faux, ou bien parce qu’il aurait honte, en chantant, d’être faux ?... De toute façon, ça n’arrivera plus. Zidane vient à l’instant de quitter les Bleus pour aller non pas à Nadjaf, mais à Madrid. C’est déjà ça !
Non, le roi des « collabeurs », aujourd’hui, tout le monde le connaît : Jamel Debbouze ! Plus qu’une star, un exemple. L’ascension fulgurante du Maghrébin qui a réussi socialement, c’est Jamel qui la représente. Et par le rire, le meilleur moyen de ne jamais faire réfléchir. Et bien sûr le copinage show-biz tel qu’il existait avant lui, du temps où les Arabes n’avaient pas droit à la parole. Ils croient l’avoir désormais grâce à Jamel, mais la seule parole qu’on leur permet de lancer à la face du bourgeois « américano-sioniste » (comme dirait l’autre), c’est celle de l’ironique petit débrouillard d’Agadir ou du ouistiti d’Ouarzazate qui bondit de vanne en vanne et qui ne se sert surtout pas de sa puissante notoriété pour dire des choses importantes sur son peuple. Et qu’on ne me rétorque pas que les Arabes d’Irak ou de Palestine ne sont pas son peuple !
En secret, Jamel se sent coupable de ne jamais rien dire. Il pourrait le faire, lui, dont le cauchemar très kafkaïen est qu’on tape à sa porte un matin et qu’on lui demande de tout rendre : « C’est fini, on s’est trompé, c’était pas vous. » Bel aveu ! En effet, ce n’était pas lui le messie de la cause. Il a fait quelques vagues pour cacher qu’il ne savait pas marcher sur l’eau. Il voulait trop en croquer et plus il étale son rêve devenu réalité (avec un arrivisme bon enfant), plus les esclaves qui s’appellent eux-mêmes « Beurs » se réjouissent à l’idée que ça pour-rait leur arriver à eux aussi : thunes, bagnoles et gonzesses. Exactement comme les comiques et les acteurs blancs. C’est ça l’idéal ? Devenir une fripouille de plus, un alibi antiraciste supplémentaire pour les Négriers du Spectacle !
Jamel finira comme Coluche par raconter des histoires drôles devant des salles hilares d’avance. C’est le sort des faux subversifs, à la base complexés socialement. On ne peut pas faire plus beurement correct. Devant Dieudonné, la réaction spontanée de Jamel sur le plateau a été : « T’es le meilleur ! » La reculade c’est pour après, quand il a pris conscience non pas de l’ignominie du sketch, mais de ses conséquences. Jamel fait le jeu des disproportionnistes. Dans tous les magazines ensuite, il multiplie les propos collabeurationnistes. Par exemple ceux rapportés par le petit vilain YB qui lui aussi regrette d’avoir défendu Dieudonné dans son « roman ». Jamel : « Même ma mère, elle m’en a voulu d’embrasser Dieudonné après ce qu’il avait dit. » Ils se foutent de qui, ces Judas d’Allah ? YB fait la pub de son livre au second degré parce qu’il n’a pas eu le succès espéré et Jamel, entre deux léchages de la couronne du roi du Maroc, renie le seul humoriste qui sacrifie sa carrière de comique pour prendre la défense des Arabes ! On l’attend encore le duo sur scène de Jamel avec Gad Elmaleh - chouchou fuyard - sur le conflit israélo-palestinien ! Jamel ne s’en sortira pas toujours en ne faisant que le ramadan. Le spectacle s’intitulera « Les Juifs et les Arabes, ils s’aiment bien ». Ce qui veut dire, traduit du lacanien : « Ils se haïssent copieusement. »
On dirait que le seul but des Arabes français, c’est de sur-tout ne pas être considérés comme des voyous. Pour les colla-beurs, les deux ennemis sont Sarkozy et Ben Laden. Le premier les pousse à devenir des voyous et l’autre les en dissuade. Ils veulent être des gentils garçons qui aiment tout le monde, qui piquent gentiment les filles, qui ne sont surtout pas fanatiques (sauf du fric), qui aiment bien les Français, qui supportent le racisme avec le sourire et qui vont « colpi » en boîte de nuit le samedi soir. Des bons gars ! Finalement ce qu’ils aiment, c’est la Play Station et l’abbé Pierre. Tout ce qu’il y a de plus francaoui avec juste une « culture arabe » qui s’est réduite au thé à la menthe et à la danse du ventre, et un peu de repentance aussi, sans oublier un grand amour de la jeunesse.. . Jamel est pour le voile, mais comme c’est dit en déconnant personne ne le lui reproche. Les bien-pensants du Monde, de Télérama et du Nouvel Observateur y retrouvent leur compte. Ils essaient de faire le coup du comique politique et social, le bouffon grave qui dit des vérités avec l’élégance de l’arlequinade mais les fourberies de Scapin, on connaît. Grâce à Dieudonné, il avait l’occasion de devenir vraiment un Arabe subversif. Au lieu de ça, il a reculé, tellement effrayé à l’idée de retourner à Trappes, de revendre sa Ferrari noire et de ne pas être à l’affiche d’Astérix 14. Il faut qu’il donne des gages sinon il est foutu. Jamel ne peut rien dire. Un mot à côté, et il risque tout.
La devise de Jamel, la vraie, pas l’officielle anti-lepeniste, anti-riches, anti-flics, non, sa vraie direction dans la vie, son moteur personnel, c’est la phrase qu’il marmonne parfois dans sa barbe, pas trop près du micro, et qui résume bien toute son idéologie : « L’amour de ma mère et la chatte des meufs. »
Pas de pot, c’est dans le numéro de Paris Match où Saddam était exhibé comme un singe que Jamel a fait l’ouverture. Le gorille et le macaque. Un numéro de Paris Match particulière-ment abject. Entre l’édito d’Alain Genestar (Ô Roger Théron où es-tu ?), vantant la « victoire » américaine et une série de photos dénonçant les massacres de Saddam pour bien l’achever au moment de sa capture, Jamel Debbouze en plein triomphe ! Que pense-t-il, Jamel, au cabinet en feuilletant son numéro de Match, où sur une pleine page, on voit un pauvre Irakien abattu « glorieusement » par les GI à côté de sa photo à lui, l’« acteur français le mieux payé » ? Ça ne lui gâche pas un peu sa fierté ? C’est à ça que collaborent le plus les Arabes d’ici, à cette perpétuelle propagande de dénigrements, de négations, d’insinuations, de désinformations, toujours dans le même sens du désengagement politique et religieux (donc artistique). Jamel présente comme un exploit d’avoir le Coran dans la boîte à gants de sa Ferrari mais d’autres Arabes l’avaient sur le tableau de bord d’un Boeing 747. Ça semble ça, le boulot des collabeurs, surtout dissiper l’amalgame. « Vade retro Al-Qaida ! » Ils sont tous à vouloir un islam de France, propre et digne, anti-terroriste, friqué et cultivé. Désolé, ça ne suffit pas de lancer une marque de chaussures et d’en savater tous les plateaux de télévision entre deux gaudrioles, ou de retourner au Maroc pour renforcer encore la politique culturelle et cinématographique de ce « grand festival » (base arrière des requins maghrébo-américains), et lancer au passage des lunettes aux pauvres comme des bonbons.
Au fond, Jamel ne s’en remet pas d’avoir été pauvre à Trappes. Mais Trappes n’est pas la bande de Gaza, et bien qu’il se balade maintenant avec sa bande de gasous dans les beaux quartiers zazous, il le sait très bien, car il est tout sauf con, Jamel. Mais il n’est rien d’autre que « pas con ». Car si ne pas être con, c’est d’accepter de travailler avec des salauds, c’est qu’on est un peu salaud soi-même. Avoir ainsi droit à la parole, souvent en direct, dans les meilleures occasions télévisuelles et faire toujours le même numéro de clown perturbateur, c’est impardonnable. Son père était agent d’entretien, lui aussi finalement. Jamel est un agent du système d’Enculerie Générale et il a été engagé (à condition qu’il ferme bien sa gueule en ayant l’air de l’ouvrir) pour entretenir le public, lui nettoyer la tête.
C’est dans le néologisme que Jamel est le meilleur. J’espère qu’il sait ce qu’il dit quand il fait du Lacan marocain : « Je suis consécramé. » En effet... Sa déformation de mots, son humour est comme celui de tous ses confrères, c’est-à-dire une mise en boîte des autres et de lui-même. Il y en a marre de la mise en boîte. On aimerait bien que les pros de la dérision trouvent autre chose. Qu’ils sortent de leurs boîtes ! Résurrection ? Mais ils n’y croient pas assez... Le tchatcheur n° 1 de France sera toujours en banlieue dans sa tête. Hamdullilah ! Sa gloire, c’est de prendre la parole pour dire qu’il y a trop de cafards dans les cités. Toujours Kafka. Et s’il les métamorphosait en ce qu’ils sont vraiment, ces cloportes ? En Palestine, il n’y en a pas des cafards ? Qu’il voyage un peu, Jamel. D’ailleurs, je l’ai rencontré à la veille de la guerre en Irak...
C’est là que je suis tombé dessus l’après-midi, rue du Four. Il y avait Jamel Debbouze avec ses gardes du corps et Abdel-Kader Aoun aussi... Kader Aoun, c’est le bras droit de Jamel, si j’ose dire. C’est lui sa conscience politique. Juste ce qu’il faut, pas trop quand même. Il m’aime bien Kader, il me l’a dit. Seulement, il trouve que je manque de « finesse » (sic !). « Il faut y aller petit à petit, pas aussi frontalement que toi. » Kader me dit aussi que son idole, c’est Mohamed Ali. C’est peut-être parce qu’il tremble... Trente ans de retard ! Moi, ce serait plutôt Mohamed Atta. Jamel nous écoute, il porte une espèce de jaquette rouge en feutrine et une casquette orange. - Toi, tu saignes de la littérature.
On est mardi 18 mars 2003. Je sors de l’agence de voyage avec mon billet pour Damas. Je pars demain et j’ai mon visa pour l’Irak dans la poche. Je fais comme si ça me venait à l’es-prit, moi aussi je suis le roi de l’impro. Je dis à Jamel : « Tiens, ça serait une bonne idée d’aller en Irak ! Tu devrais y aller, au lieu d’être contre la guerre, tu y vas pendant ! Tu pars avec Zidane. Tous les deux, vous vous installez à l’hôtel Palestine... Les deux Arabes préférés des Français, ça aurait un certain effet ! » Le comique hésite : « Bagdad c’est pas con. Mais Zidane il faudrait d’abord lui greffer un veaucer. » Il ne va quand même pas me dire qu’il a des galas à honorer comme tous les autres « engagés » du show-biz, qu’il doit enregistrer avec Juliette Gréco comme Miossec ou bien que ses petites filles lui ont demandé de ne pas partir à la guerre comme l’a avoué Francis Lalanne. Ah ! Les enfants utilisés comme boucliers humains pour avoir un bon prétexte de ne pas risquer sa peau !... Non, Jamel est libre. Seulement, il n’est pas trop chaud...
Arborer un tee-shirt « No War in Irak » dans le quartier Mabillon lui suffit comme acte de résistance... Alors, qui y va ? Ah non, pas encore bibi ! D’accord. Jamel et Kader me regardent un peu incrédules mais ils savent bien que j’en suis cap’. Je fais comme si je me décidais là, à l’instant, devant eux, grâce à eux... Salut les mecs, vous m’avez convaincu, je pars demain pour Bagdad !
Marc-Edouard Nabe
13 août 2004
in J’enfonce le clou. Octobre 2004

US threatens to nuke Iran; blame victim’s “intentions;” beware false flag attack to pull trigger

Can you handle the truth? Do you have the intellectual integrity and moral courage to employ middle school-level verification of factual claims on our nation’s most important issues? This involves no belief; only verification of the following objective facts essential to your citizenry:
Official US policy for nuclear weapons allows nuclear attack on nations if the US says they have the intent to harm the US or allies in the future. This policy is unlawful under the US-created UN Charter that strictly forbids Wars of Aggression, including with the predictable propaganda of “national security” or the new “pre-emptive self-defense.” Remember the history of some still living and the rest of our population’s fathers and grandfathers who sacrificed in WW2: the Nazis pre-planned War of Aggression to attack and take Poland was a false flag operation that claimed national security, self-defense, and a peaceful future.
The US is a terrorist state to threaten conventional and nuclear war on Iran. The US is a terrorist state to further lie to its public and the world in two key areas of propaganda that you are responsible to understand if you want a US government operating UNDER the law rather than as a fascist dictatorship operating wherever they say (dictate):
  1. Iran’s president never physically threatened Israel.
  2. All of Iran’s nuclear material is fully accounted for peaceful and legal use for energy and medicine.
The US is a terrorist state for its unlawful attack and invasion of Afghanistan and Iraq. We now know from our own government’s disclosure of the evidence that all “reasons” for war were known lies.
Our soldiers, government employees, and citizens who operate under good faith have been duped with the above “Big Lies” that are easily proven but difficult to embrace from cognitive dissonance.
The recent US-hosted nuclear weapons summit is propaganda to terrorize the public with fear that “others” will use nuclear weapons; specifically propagandizing that “terrorists” will use a nuclear weapon on a US city. This propaganda is repeated by Israel’s Prime Minister, the last Republican presidential candidate John McCain, former vice-presidential candidate Joe Lieberman, and corporate media, and escalated with terrorizing and unlawful war rhetoric that the US should “pull the trigger” to attack Iran in Orwellian propaganda to blame the victim.
When the facts are so clear that it is the US who has killed over a million people in their perpetual unlawful Wars of Aggression based upon such Orwellian and “emperor has no clothes” lies that the US expands into Pakistan and Yemen, the obvious conclusion any rational citizen must make is that the US has planned and is considering a false flag attack to use a dirty or nuclear bomb, blame Iran, and finalize their Middle East tyrannical policy of domination.
Michel Chossudovsky, Director of the Canadian Centre for Research on Globalization, explains succinctly in the following 4-minute interview.
I conclude with my usual resources for comprehensive understanding and suggestions for action. This has some repetition or the above information along with additional resources:
Fellow Americans: literally for the love of God, it’s time.
It’s time for our men and women in government and military to choose: either stand with the US Constitution you’ve sworn to support and defend against all enemies, foreign and DOMESTIC, or remain complicit in ongoing Wars of Aggression, mass murder of our soldiers and our fellow humans in other landsand throwing trillions of our tax dollars to do so, pushing the world ever-closer to an apparently planned and desired nuclear Third World War (and here), and guilty of what Dr. Martin Luther King called “Silence is Betrayal” (before the US government assassinated him according to the only trial conducted for his murder).
Over 5,000 US soldiers have been killed so far as pawns of the civilian and military brass tyrants. Multiples more have been crippled physically and emotionally. There is no end in sight to current wars; indeed, the US is expanding them into Pakistan and Yemen and threatening more war with Iran. The dead are comforted by God; their families are devastated by the loss of their loved-ones. The crippled and their families face a range of challenges; many so severe that a total of 6,000 US veterans commit suicide every yearOne-third of all US homeless men are veterans.
It’s time for our men and women in the military and government to refuse all orders associated with our unlawful wars and preparation for unlawful war with Iran over one gram of medical isotope worth $75,000 in 20% enriched nuclear fuel. It is hard to imagine a more ridiculous case for war.
It’s time for our men and women in the military and government to stand with the American public who declare in a ratio of 9 to 1 that our government no longer represents them under the US Constitution.

Our military was duped into these wars with calculated "Big Lies;" our trusting young men and women took an Oath to support and defend the US Constitution that supersedes the Nazi insert of “placing the mission first.” The Claus von Stauffenberg faction of US military and government must act to end this soulless mass-murdering; this loveless series of unlawful wars and unlawful orders, if we want a future we’re proud to build.
This choice is up to our men and women in uniform and government for leadership. I provide:
Choose well; our collective future, and your future, depend upon it. I appreciate your attention to these facts and encourage your further study and action consistent with your own self-expression.

Policy responseGandhi and Martin Luther King advocated public understanding of the facts and non-cooperation with evil:
"One thing we have endeavoured to observe most scrupulously, namely, never to depart from the strictest facts and, in dealing with the difficult questions that have arisen during the year, we hope that we have used the utmost moderation possible under the circumstances... We have an abiding faith in the mercy of the Almighty God, and we have firm faith in the British Constitution. That being so, we should fail in our duty if we wrote anything with a view to hurt. Facts we would always place before our readers, whether they are palatable or not, and it is by placing them constantly before the public in their nakedness that the misunderstanding between the two communities in South Africa can be removed."Mohandas K. Gandhi, Indian Opinion (1 October 1903)
For Gandhi’s evolved view of British evil in 1922, read this passage from Freedom’s Battle.
Gandhi concluded the effective response from the public was non-violent, non-cooperation with unjust British rule until the British themselves realized their engagement in immoral acts with an educated and non-cooperative public was inconsistent with their own values.


Comments policy: I present a professional level of discourse based on facts. I welcome questions and comments that are civil and pertain to the article topic. Here, readers are welcome to argue for any inaccuracy of factual claim and/or need for inclusion of other facts. Readers are welcome to interpret facts however they wish and welcome to any policy position. They are not welcome to misrepresent facts.Facts are objective, measurable, and independently verifiable.
That is how freedom looks. Freedom is not an allowance of whatever, whenever, however. We censor behavior of drivers beyond strict limits, censor many behaviors as fouls and out-of-bounds in sports. We censor people in relationships and business from certain acts, and can fire them upon violation. You censor in your place of business those who distract and/or damage your work. You fire destructive people from relationships, and would never invest your time or money for a sport that did not strictly censor behavior.
Our government is paradoxically based on censorship: “deriving their just powers from the consent of the governed” means any behavior outside constitutional limits is forbidden. This is the paradox of freedom: freedom is only realized within limits.
In these articles, I write for the highest level of factual accuracy and will manage comments with that commitment. Comments and questions are welcome ONLY from those who chose factual integrity.
Please consider that I’m among hundreds of writers who have documented our own government’s disclosure of propaganda programs to support their wars. My articles are subject to such propagandistic attack from comments that use typical rhetorical fallacies to distract readers from the facts. I invite readers to sharpen their ability to discern such propaganda. They are characterized by a combination of: denying facts without evidence, ignoring key facts in lies of omission, lying about verifiable facts as lies of commission, diverting attention through unsubstantiated belief in an alleged expert, irrelevant data, straw-man attack that distorts the facts, ad hominem attack of insults to the messenger, vile comments to repulse readers, and focus on minutia.
I will use such comments to point-out the propaganda or delete them at my discretion. Again, all relevant and polite questions, and factually accurate comments are welcome. As a professional educator I’m in agreement with my experience and research: we learn best from multiple perspectives in mutual commitment to understand the facts, see those facts from diverse points-of-view, and consider various policy proposals of what we should do.


For those involved in support of US government-sponsored disinformation in whatever versions of Operation Mockingbird that are active, I invite you to consider the quality of human relationships you wish to create. National security and a brighter future is not a function of fear, manipulation, and control. Our best security follows cooperation, justice under the law, dignity, and freedom. Working for your best imagined self-expression of virtue may include a unique contribution from the inside of your agency. Public attraction to the stories of Star Wars and the Harry Potter books/movies recognize that our society’s jump to civilized relations for all of us might require support from people within the “dark side” acting as covert agents for building a brighter future. Another option is becoming a whistle-blower; Project Camelot is a popular venue for people in sensitive positions. Ultimately, I recommend a Truth and Reconciliationprocess to exchange full truth for no prosecution, explained in detail at the link. Please consider the wisdom of your own “Scrooge conversion” to act for the benefit of building a brighter future for all humanity rather than propagandizing for your controlling, manipulating, and loveless “masters’” psychopathic policies of violence and suffering.
“Scrooge was better than his word. He did it all, and infinitely more; and to Tiny Tim, who did not die, he was a second father. He became as good a friend, as good a master, and as good a man, as the good old city knew, or any other good old city, town, or borough, in the good old world. Some people laughed to see the alteration in him, but he let them laugh, and little heeded them; for he was wise enough to know that nothing ever happened on this globe, for good, at which some people did not have their fill of laughter in the outset; and knowing that such as these would be blind anyway, he thought it quite as well that they should wrinkle up their eyes in grins, as have the malady in less attractive forms. His own heart laughed: and that was quite enough for him.”

http://www.examiner.com/x-18425-LA-County-Nonpartisan-Examiner~y2010m4d15-US-threatens-to-Nuke-Iran-blames-victims-intentions-Beware-false-flag-attack-for-US-to-pull-tri

Mossad in Algeria for a major operation targeting oil, gas production resources

More on alleged Mossad spy arrested in Algeria


Forged passports
Forged passports
By JOSEPH FITSANAKIS| intelNews.org |

On March 29, intelNews reported on allegations by the Algerian government that an Israeli intelligence agent had been arrested in the country, after he was found to be carrying a forged Spanish passport. The next day, Algerian authorities identified the man only as “Alberto”, and insisted he was a member of the Mossad, Israel’s foremost external intelligence agency. News sources have now identified the man’s forged identity as “Alberto Vagilo”, which appears to be the name listed on his Spanish travel documentation. According to Algerian government officials, the man, whose year of birth is listed as 1975 in his Spanish passport, entered the North African country in mid-March, via a regularly scheduled flight from Barcelona, Spain. He then operated in Algeria for ten days, before he was captured by Algerian security agents. The Spanish and Israeli governments have so far remained silent on the case, as has Washington. As intelNews reported on March 30, there are rumors in Algiers that the scandal-prone US embassy there has been involved in the case, and that it was for this reason that FBI deputy director John Pistole traveled to Algeria last week.

http://intelligencenews.wordpress.com/2010/04/02/01-427/#more-4747


Genocide, Finale Solution of the Palestinians: Israel Openly Legalizes Palestinian Ethnic Cleansing



Deport the Palestinians to Where They Came From – Israel


By Ahmed Amr


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More land and less Palestinians by any means necessary.


April 13, 2010

It was bound to happen. The Israelis have decided to opt for outright ethnic cleansing. As of April 13, 2010 - the Israelis military will be accorded the power to deport any Palestinian or any foreigner in the West Bank if their papers 'aren’t in order.’ The IDF has already made it clear that the order will not apply to Israeli citizens in the West Bank - you know - the illegal Jewish settlers. In fact, if you are Mongolian and can produce a faded newspaper clip announcing your grandfather’s bar mitzvah - that will be sufficient documentation to acquire immediate Israeli citizenship and get a red carpet reception when you relocate to the occupied territories. They’ll even provide you with subsidized housing if you take them up on the offer.

However, if you happen to be of the Palestinian persuasion, the IDF won’t worry if you’re married to a woman from Nablus or engaged to a Palestinian from East Jerusalem. If you’re not Jewish - you have to move on. Even if you were born in the West Bank but your mother made the mistake of being born in Gaza, you qualify for deportation.

But what if both your parents were born in Jaffa, but they ended up being refugees in Gaza? You still get deported to Gaza - because you’re not Jewish. What if your mother was a refugee from Nazareth who took refuge in Bethlehem and your father was born in Jerusalem but ended up in a refugee camp in Gaza. You’re still deportable - because you’re not Jewish. There are all kinds of possibilities if you’re not Jewish.

Given the way Israel has manipulated who and who does not get residence - almost every Palestinian family might have a member who gets an expulsion order. And many of them could very well be turned into refugees for the second or third time around - because they’re not Jewish and because that’s what Israel is all about - one set of laws and privileges for Jews or anybody remotely Jewish, no matter their nationality or place of birth, and another book of arbitrary rules tailor made for the expulsion of the indigenous population. If you’re lucky enough to be Jewish or convert to Judaism - you get to come and go as you please. If you’re Palestinian - you just get to go to Gaza.

There is a real simple solution to all this nonsense - deport the Palestinians to their ancestral homes. A good percentage of West Bankers and Gazans were either born in what is now Israel or their parents were born there. If the Israelis insist on deporting them to make room for settlements - then it only makes sense to deport them to where they came from - the parts of Palestine that ended up being Israel.

This new Israeli law sets all kinds of precedents. We’ve got Russian and Moldavian born colonial settlers telling the natives of the Holy Land that they can’t even reside in the small slice of Palestine that everybody understood was reserved for the emerging Palestinian state. That just happens to be the dictionary definition of Chutzpah.

Now it’s no use wasting time complaining to the Israelis. They go by rule number one - they will do whatever they think they can get away with. They got away with the Apartheid Wall. They’ve been getting away with war crimes since before the state was established - most recently in Gaza where they mercilessly slaughtered 1,500 residents with a permit issued by the Bush administration.

This is the acid test for Obama. He knows exactly what he’s seeing. Unlike his predecessor, the zealous warmongering Armageddon worshiping dispensationalist who learned everything he needed to know about the Israeli-Palestinian conflict from Revelations, this president understands exactly what he is witnessing - ethnic cleansing. He understands why Palestinians are being asked to move along - because they’re not Jewish. Not only that, because they’re Arab.

And it’s not just Obama who fully comprehends what this policy is about. Hillary Clinton, who claimed Jewish ancestry when she was running for a New York Senate seat, must also have a good handle on the absurdity of her entitlement to Israeli citizenship. There can be no doubt that she’s perfectly aware that under Israeli law she has the right to settle in the West Bank and take up the space vacated by a deportable Palestinian. If that sits well with her, we’ll know exactly the kind of Secretary of State she’s destined to be.

You don’t have to interpret what the Israelis are doing to the folks in the State Department or the United Nations or the Arab League or the European Union. They know what ethnic cleansing and racism look like. Even the Israelis know what they look like. They just happen to believe they have a God given right to be racists - because they’re Jewish and the Palestinians are not. And if you want to argue with them and their dispensationalist followers, they’ll say it to your face. They’re always glad to put their scriptures on the table and prove to you that God promised ancestral Palestinian land to Jews from Moldavia.

Like any theocratic state, Israel insists that its laws supersede international laws including the prohibition against the forcible removal of the population of an occupied territory. At the very core of Zionism, there remains the steadfast belief that the expulsion of the native inhabitants of the Holy Land is a worthy state enterprise. Forget about all their propaganda, every Israeli knows exactly what the blueprint calls for - more land and less Palestinians by any means necessary.

The Israelis and their Amen Corner will deploy all kinds of words from their magic thesaurus to camouflage this transparent policy of ethnic cleansing. But there is nothing ambiguous about what’s going on here. The only ambiguity is on how the world - especially the United States - will respond. Make no mistake, the Nuts and Yahoos in Jerusalem are putting Obama to the test. It’s not a trail balloon or anything like that. It’s a declared policy to radically alter the demographics of the West Bank by expulsion and land expropriation.

In the coming days we’ll see the metal Obama is made of. The President might do absolutely nothing which the Israelis will take as a green light. He might even have the State Department issue a carefully worded statement of disapproval - which the Israelis will also mistake for a nod of approval. Or he could take a stand - as a man who has tasted the rotten fruit of racism - and do the right thing. And the right thing to do is to raise hell if a single Palestinian is deported - unless they’re deported to where they came from - Israel.

- Ahmed Amr is an Arab-American and the former editor of NileMedia.com. He is the Author of "The Sheep and the Guardians - Diary of a SEC Sanctioned Swindle."


http://uruknet.info/index.php?p=m65052&hd=&size=1&l=e

Liban: Affaire Hariri : Le Hizbullah dispose de preuves evidentes de l'implication de la France-Israel dans l'assassinat de Rafik Hariri

La France coopérerait aux assassinats politiques perpétrés par le Mossad


Le mossadnik Sarkozy et le criminel de guerre Shimon Peres

Selon une enquête du journal tunisien Dounia El Watan, cité par Al-Manar, l’assassinat du dirigeant du Hamas Mahmoud Mabhouh à Dubaï, le 20 janvier 2010, aurait nécessité une équipe bien plus importante que celle déjà mise en cause par les Emirats arabes unis.
Aux tueurs, il faudrait ajouter une équipe de repérage des lieux dirigée par un ancien responsable sécuritaire de la Tunisie, Ahmad Bannour.
M. Bannour vivrait actuellement en exil en France et aurait constitué une cellule de renseignement pour le compte joint des services israélien et français.
Ahmed Bannour a fuit la Tunisie après la découverte de ses activités d’espionnage au profit du Mossad israélien. Profitant de ses responsabilités au sein de l’Etat, il avait organisé le bombardement du siège du Fatah à Tunis, le 1er octobre 1985 —auquel Yasser Arafat (dit Abou Ammar) échappa—, puis l’assassinat d’un autre leader palestinien, Khalil Al-Wazir (dit Abou Jihad), le 16 avril 1988.
Sous couvert d’une société française qu’il contrôlerait, Ahmed Bannour aurait envoyé deux « hommes d’affaire » français et une équipe de techniciens négocier à Dubaï un contrat d’installation d’ascenseurs. A cette occasion, les agents français se seraient procuré les plans de l’hôtel où Mahmoud Mabhouh devait descendre ainsi que ceux du système de sécurité de l’hôtel.
La société française de M. Bannour est par ailleurs citée dans une affaire d’espionnage actuellement pendante devant la Cour militaire du Liban. Elle a servi de couverture pour l’immigration à Beyrouth de ressortissants tunisiens et égyptiens travaillant pour le Mossad. Ceux-ci projetaient un attentat contre la radio de cheikh Hussein Fadlallah et l’assassinat du secrétaire général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah.

http://www.voltairenet.org/article164902.html


9/11: Israel made a coup d'etat and send US to die for her in Afghanistan and Iraq, now Israel is pushing Eastern Europe against Russia

Western Zionist Jewry Wants To Establish Israel As The New World Superpower After The Programed Disintegration Of The USA And Europe

The Islamic Emirate Of Afghanistan, As A Country-Wide Resistance Movement

Rabi ul Sani 28, 1431 A.H, Wednesday April 14, 2010
In the Name of Allah, the Most Beneficent, the Most Merciful.

Now after the passage of nine years since the American invasion of Afghanistan, the public of the world have reached the conclusion that the usage of the word of terrorism was an unjustified pretext and the attacks were an illegitimate aggression. Being so, it was part and parcel of a colonialist strategy of Washington drawn up by Pentagon strategists after the disintegration of the former Soviet Union. By using this pretext, they wanted to bring the world under their belly.

Washington needed some slogans to make the invasion appear justified and the execution of the colonialist plan feasible. So they adroitly and cunningly coined the War on Terror cliché. However, the ground realities in Afghanistan indicate that the invading forces in Afghanistan are not fighting against a few armed opposition but they are facing the Afghan nation in an armed confrontation. Had it not been the case, they would not have needed 150,000 soldiers to maintain the status quo.

On 13, last February, 15,000 foreign troops supported by 20,000 Afghan hireling police and army soldiers launched massive offensive against Marja, a town in Helmand province., But now after the passage of two months, the American and their puppets see a certain defeat there. If there are a few terrorists as they prefer to call them, then why their highly-trained soldiers and sophisticated weapons could not achieve victory. Vice versa. Army may fight against an armed group but they could not withstand a people’s upheaval.

Nine years back, Bush claimed, Taliban were not more than 1000-2000 and promised to eliminate them soon. But today one of their prominent generals, general McKiernan, says America needs 400,000 soldiers to contain Mujahideen in Afghanistan. Likely, in the past nine years, never a day has passed without the invaders claiming that they have killed tens of armed Taliban. By now, they should have finished all those 2,000 Taliban. But the ground realities of today show that the resistance movement grows day by day.
According to a survey conducted by Western institutes, the Islamic Emirate of Afghanistan has influence in 80% of the Afghan territory. Is it possible for 2,000 or even 10,000 armed men to do this? The fact is that the current Jihad movement is a nationalist, Islamic and country-wide movement. Torture, detention, air strikes and brutal raids would never eliminate it.

The Red Army of the former Soviet Union killed about two million Afghans but they could not put a stop to the resistance. The more the invading Americans and their allies martyr the Afghans, the more they would bounce back stronger, rather than being silenced; the flames of revenge will become more wide-spread and burgeoning.

The bottom-line is when the White House rulers and the Pentagon generals stop, not throwing dust into the eyes of the public of the world under the fake name of fighting terrorism and when they will abandon their ambitious colonialist goals and dreams of dominating the world?

We deem it necessary to a remind these rulers who are intoxicated by the craze of capturing the world, if you do not look at the realities as they are , you will certainly end up facing the fate of the former Soviet Union. Then surely, you will not only lose control of the world but face disintegration back home. Now the choice is yours.
The Islamic Emirate of Afghanistan






https://www.youtube.com/watch?v=5rXPrfnU3G0


Le lobby pro-israélien contre l’Amérique : à propos des mensonges de Netanyahu

Ramzy Baroud

En écoutant le Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahou parler à une foule animée de supporters le 22 mars, je me suis senti physiquement malade. Cet homme a déjà manifesté à plusieurs reprises une absence totale de sens moral ou d’éthique dans ses paroles comme dans ses actes, écrit Ramzy Baroud.
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Les Américains doivent comprendre qu’il n’est plus question que de la Palestine et d’Israël...
Une fois de plus il déformait l’histoire, manipulait les faits, et fabriquait un récit partial et hautement douteux au service de son intérêt personnel.
Netanyahu, un colon venu d’un pays lointain a aussi eu l’aplomb de persuader quelques personnes en plus de lui-même qu’il avait des droits légaux, moraux et historiques sur ma terre. Moi je suis issu d’une famille palestinienne enracinée en Palestine depuis des temps immémoriaux alors que lui, Netanyahu est le fils d’un immigrant lituanien. Et pendant que lui vole avec insouciance toujours plus de terre à Jérusalem, moi je vis en exil.
Netanyahu parlait à la conférence annuelle du Comité Américain des Affaires Publiques d’Israël (AIPAC). Ce "puissant " lobby regroupe une grande quantité de politiciens et lobbyistes sionistes de droite et est considéré par beaucoup comme la structure la plus efficace pour influencer - et même contrôler- la politique étrangère américaine pour la Palestine, Israël et tout le Moyen-Orient.
L’AIPAC est dangereux pour plusieurs raisons. D’abord ce n’est pas un lobby au sens habituel du terme, soit un groupe de lobbyistes généreusement rémunérés pour faire le siège téléphonique des membres du Congrès dans l’espoir qu’ils favorisent les intérêts de ceux qui les paient (en l’occurrence l’état d’Israël) ; le lobby pro-israélien, lui, s’est développé en une puissante organisation politique dont les ramifications s’étendent dans tous les secteurs du gouvernement des USA, ainsi que dans les médias, les universités et partout. Ce n’est un secret pour personne que les cliques de politiciens néo-conservateurs qui ont initié, conduit et continuent d’influencer la politique militaire des USA sont en fait des membres de ce lobby.
Tandis que les communautés juives des Etats-Unis n’offrent pas un soutien uniforme aux groupes de lobbying sionistes de la droite dure, les deux partis politiques américains et toutes les branches du gouvernement soutiennent Israêl sans réserves. Ils considèrent leur participation à la conférence annuelle de l’AIPAC impérative et même pour certains d’entre eux, hélas, le discours de Natanyahu devant l’AIPAC revêt une importance égale sinon supérieure au discours sur l’Etat de l’Union. Suite au discours d’Obama en 2010, beaucoup de politiciens américains ont critiqué ouvertement les positions d’Obama dans plusieurs domaines. Mais très peu ont l’audace de remettre en cause les contre-vérités empoisonnées que Netanyahu a distillées le 22 mars.
Les Américains doivent se rendre compte que l’enjeu n’est plus seulement la Palestine et Israël. L’enjeu est maintenant leur propre pays, leur propre souveraineté et l’avenir de leurs enfants. Ils doivent se poser les questions difficiles et refuser de se contenter de réponses sentimentales. Comment l’Amérique peut-elle mener des débats contradictoires sur tant de sujets et parler d’une seule voix quand il s’agit d’Israël ? Où un politicien faible comme Netanyahu trouve-t-il le courage de défier le président du pays qui prodigue au sien, Israël, des milliard de dollars de ses contribuables ? Et nous savons bien sur qu’une grande partie de ces fonds ont été utilisés pendant toutes ces années pour occuper la Palestine, persécuter les Palestiniens et leur faire la guerre. C’est cette horrible réalité que les Américains doivent bien comprendre. Les crimes de guerre israéliens ont été rendus possibles par les fonds américains, leurs armes et leur soutien politique. L’Amérique n’est pas extérieure au conflit. Elle est largement responsable de la tragédie que vivent les Palestiniens.
Même si on se laisse convaincre par la récente position exceptionnellement ferme de l’Administration d’Obama à propos de la politique de colonisation d’Israël à Jérusalem Est, la question des moyens de la faire respecter reste posée. Quand le Président des Etats-Unis exprime une position apparemment finale qui rejette la construction de davantage de colonies illégales qui entraverait le processus de paix et qu’en même temps il ne fait rien pour affaiblir la détermination d’Israël, on peut se poser les questions suivantes : Les USA vont-ils faire pression sur Israël pour les forcer à respecter le droit international ? Vont-ils au moins différer l’envoi des milliards de dollars qu’ils continuent de déverser sur Israël -au moment même où les USA connaissent une crise financière sans précédent qui engendre une pauvreté grandissante et jette les gens à la rue ?
On peut peut-être trouver la réponse à cette question dans le rapport de l’UPI du 26 mars, qui cite le quotidien israélien Haaretz :
"En dépit du désaccord le plus profond enregistré depuis des dizaines d’années entre Israël et les USA, le Pentagone a donné son feu vert pour vendre à Israël l’avion de transport C-130J au prix de 250 millions de dollars... L’accord... comprend trois avions ’Super Hercule’ fabriqués spécialement pour les besoins de l’Armée de l’Air israélienne. (Le rapport) précise que, même si les généraux en chef de l’armée des USA croient que ’l’échec d’Israël à parvenir à un accord de paix avec les Palestiniens nuit à l’influence et au statut des USA dans le monde musulman et met en danger ses forces’, le Pentagone a l’intention de maintenir la souveraineté militaire d’Israël au Moyen-Orient."
Le moment choisi et la nature de cette "vente" signifie ceci : Premièrement, si les USA étaient prêts à tirer les conséquences de leur soit-disant désaccord avec Israël, ils auraient renoncé à cette vente injustifiable. Deuxièmement, si l’on considère que cette vente a été décidée par le Pentagone, l’organisme même qui a été utilisé pour exprimer des inquiétudes et appeler à, au moins, une révision de la politique des USA dans la région, la vente constitue à la fois un désaveu des militaires USA et des excuses voilées à Israël. Troisièmement, si la politique américaine dans la région n’est toujours pas réexaminée, il ne subsistera aucun doute que la politique étrangère des USA dans la région est l’otage des priorités israéliennes - aussi aberrantes soient-elles parfois, et non des priorités américaines.
Les personnes appartenant au gouvernement, à l’armée et aux médias américains qui ont le courage d’affronter Israël et ont la possibilité de se faire entendre, doivent le faire. Elles ne doivent pas avoir peur, ni se laisser intimider, ni se laisser convaincre par les mensonges de Netanyahu. Il est clair que Netanyahu continuera à mentir ; c’est ce qu’il fait le mieux. Les vrais responsables sont ces politiciens qui récompensent ce menteur professionnel d’une « standing ovation » [se levant pour l’applaudir] à chaque déclaration qu’il fait. Ce sont eux, en réalité qui donnent du pouvoir à ce "puissant" lobby.
(JPG)
* Ramzy Baroud (http://www.ramzybaroud.net) est écrivain et publie pour PalestineChronicle. Ses écrits sont publiés par de nombreux journaux, quotidiens et anthologies à travers le monde. Son avant-dernier dernier livre : La Seconde Intifada : une chronique du combat du peuple (Pluto Press, Londres) et le dernier tout récemment publié : Mon Père était un combattant de la liberté : l’histoire non dite de Gaza (Pluto Press, London).
29 mars 2010 - Communiqué par l’auteur
Traduction : DM

http://www.palestine-info.cc/fr/default.aspx?xyz=U6Qq7k%2bcOd87MDI46m9rUxJEpMO%2bi1s7MZB6nuG29xLNoPA55a0taK4Xgp90Gde8qY87VKGxUawUwOT8ywlAKh2EM6oK2zvGnqCECUEKuSdqraIJYnFL5D2vJnct%2bAk3jGXmnKHVzfY%3d


Comment le Hamas a réussi à dépasser "Israël" stratégiquement ?

Palestine – CPI
www.palestine-info.info

Dans sa récente opération à Gaza, l’armée israélienne a perdu deux de ses militaires. L’un est major, l’autre est caporal. Encore une fois, des questions importantes se posent. La plus remarquable reste la suivante : quel est le secret de la force du mouvement du Hamas ? Mais la plus importante est : est-ce que le Hamas commence à reprendre sa force perdue après l’opération « plomb endurci » ? Un certain nombre de nos grands dirigeants n’ont-ils pas dit que le Hamas était militairement fini ?
Ce qui attire l’attention, c’est que ces questions se posent de plus en plus et avec force ; il faut que nous prenions en considération la stratégie avec laquelle le mouvement a pu affronter les soldats de la patrouille israélienne, dans le dernier combat qui a eu lieu dans la bande de Gaza, et comment il a pu tuer deux d’entre eux, en implantant un obus au cœur de la route interne de la Bande.
Les deux militaires sont morts dès qu’ils se sont approchés du piège. Cette affaire a poussé les analystes militaires à se demander : pourquoi ces militaires n’ont-ils pas pris avec eux une carte leur dévoilant les sites où le Hamas s’active ? Est-ce que le Hamas a réussi à miner ses frontières avec "Israël" de façon à l’empêcher de penser, simplement penser, à attaquer la Bande, par la voie terrestre ?
Ce qui est énervant, c’est que certains militaires affirment que les militaires auraient appliqué à la lettre le plan et les instructions. En fait, l’opération a commencé lorsque la patrouille s’est accrochée avec des activistes palestiniens qui voulaient infiltrer "Israël" pour commettre des opérations militaires.
Les activistes ont pu obliger les membres de la patrouille israélienne à les suivre dans un chemin escarpé, et piégé.
Bien que la patrouille ait réussi à tuer deux activistes, la perte pour "Israël" était bien douloureuse, surtout que l’officier tué était un très bon élément. Il avait une petite famille avec laquelle il voulait fêter la Pâque juive. Une grande perte. Il y a aussi le caporal Iylan Sabi, qui était le père d’une famille qui vivra désormais des jours noirs.
Cette opération ressemble dans l’ensemble à celle de l’enlèvement du soldat Gilad Shalit. A l’époque, des activistes ont réussi à ouvrir une brêche dans le mur isolant la Bande, à affronter une patrouille israélienne et à prendre en captivité le soldat Shalit.
Ce qu’on peut tirer de cet incident, c’est que les grands dirigeants du Hamas pensent sérieusement à faire face à "Israël" et ils savent comment la traiter.
Plus important encore : les grands chefs militaires du mouvement du Hamas hantent de plus en plus l’esprit d’"Israël". Le plus important de ces chefs est Ahmed Al-Jaabari, appelé par certains le ministre de la défense du Hamas. Avant lui, Mahmoud Al-Mabhou assumait ce poste, avant qu’il ne soit tué à Dubaï.
Il est clair que le Hamas fait face à "Israël" et qu’il tue ses soldats. L’opération de l’assassinat d’Al-Mabhouh ne l’a aucunement affecté. Al-Mabhouh importait les armes d’Iran et déjouait les Egyptiens et les Israéliens pour les acheminer vers le cœur de la bande de Gaza. Le Hamas a réussi à dépasser le problème.
Apparemment, Al-Mabhouh a réussi, avant sa mort, à remplir les réserves du Hamas en armes et en obus terrestres. Ces obus sont les pires auxquels "Israël" doit faire face sur ses frontières nord, avec le Hezbollah, dans le mont du Golan, et maintenant à Gaza.
Il est vrai qu’"Israël" a implanté beaucoup de mines dans les zones proches du Hezbollah, mais ce parti a à son tour réussi à en implanter beaucoup surtout dans les zones qu’elle maîtrise ; ce qui lui pose un grand souci. En fait, le Hezbollah a réussi à entourer le village Al-Ghajar d’obus fortement explosifs.
Généralement, ce que le Hamas a fait représente une leçon bien forte. Avec les moyens simples du bord, il a réussi, techniquement et concrètement, à vaincre "Israël" dans cette bataille.
Finalement, on peut constater que le Hamas est devenu plus fort qu’auparavant. Et cela tire la sonnette d’alarme, de façon forte. Il faut y faire attention pour que nous n’en subissions pas l’effet de façon négative et que les roquettes du Hamas ne recommencent à pleuvoir sur les habitants d’"Israël", laissant des morts et des blessés.
Article paru dans le journal hébreu Israël Aujourd’hui, le 02/04/10Traduit et résumé par le CPI


L'israelien Sarkozy est derriere le GIA/GSPC/GICM/AQMI en Algerie, Mali, Mauritanie, Libye, Niger

Coup d'état au Niger :implication d'Areva et de la France?


Coup d'état au Niger :implication d'Areva et de la France?

Ce que cache le coup d’Etat au Niger (encore l’Africom ?) 


Quand par voie de presse nous apprenions que le président du Niger, Mamadou Tandja, fut déposé par un coup d’Etat organisé le 18 février 2010 par des officiers supérieurs de l’armée nigérienne, ce qui nous surp­rit le plus c’est le caractère timoré des réactions des diplomaties occi­dentales.
Elles, si prompts à clouer au pilori un Omar Béchir, un Moussa Dadis Camara ou un Robert Mugabé, les voilà condamner du bout des lèvres une prise de pouvoir par la force.

La presse française, qui est aussi indépendante que les pays de la zone CFA, parle même du retour de la démocratie. C’est dire si on marche dur la tête.
Mais c’est du côté des responsables politiques qu’il faut tourner so­­n regard pour tout démêler dans cette histoire.

Deux semaines avant le putsch militaire, la multinationale AREVA signait, le 4 février 2010, un contrat de partenariat avec le groupe sud-coréen KEPCO. Ce dernier prenant 10% de p­articipation dans la production d’uranium extrait du gisement d’Imouraren (un des plus grands gisements au monde avec une capacité d’extraction d’au moins 5 000 tonnes de minerais par an pendant 30 ans).

Cet accord sur le plus grand gisement d’uranium d’Afrique et deuxième du monde est primordial pour AREVA. A tel enseigne que la multinationale annonce sur son site Internet « A l’heure où la relance du nucléaire est annoncée dans de nombreux pays, il s’agit d’une opération d’envergure pour le groupe (…). » .

Avec 1,2 milliard d’euros investit dans cette mine, l’on comprend aisément l’importance stratégique d’une o­­pération aussi juteuse. Sans compter que des négociations sont en cours entre le groupe AREVA et MIT­SUBISHI (de l’ordre de 3 milliards d’euros) pour une augmentation de son capital, c’est dire l’importance de l­a signature de Mamadou Tandja pour la présidente du directoire du groupe, Anne Lauvergeon, donc pour Nic­olas Sarkozy, donc pour ses maîtres. Huit mois avant (Jeudi 2 Juillet 2009), elle déclarait avec insistance sur Radio Classique : « nous avons BESOIN de plus d’uranium » (rapporté entre autres par easybourse.com).

Dans la semaine qui suit l’accord conclu par les deux groupes AREVA et KEPCO, précisément le 9 février 2010, l’Elysée déclare son inquiétude pour les positions d’AREVA au Niger. C’est qu’entre temps, le prési­dent Mamadou Tandja s’en est allé toquer à la porte de la Chine et de l’Iran pour l’éventuelle exploitation de la plus grande mine d’uranium d’Afrique. Toujours est-il qu’en 2008, le Niger cèda à la Chine des contrats d’ex­ploitation pour un montant s’élevant à 3,7 milliards d’euros. Alors que dans le même temps, il imposait à AREVA de revoir à la hausse de 50% le prix d’achat du minerai.

Malgré les 40 ans de “présence” de l’industrie nucléaire française au Niger, AREVA risque de tout perdre sur la dernière ligne droite.
N’oublions que c’est quasiment dans des conditions similaires qu’Anne Lauvergeon perdit, il y a quelques mois de cela (le 27 décembre 2009), un juteux contrat de 40 milliards de dollars à Abou Dhabi (Emirats Arabes Unis).
Le manque a gagné est trop important pour AREVA. Autre incident qui a de quoi inquiéter Paris: en juillet 2007 le président Mamadou Tandja avait expulsé du Niger Dominique Pin, le direct­eur local du groupe, soupçonné de financer les mouvements touaregs anti-gouvernementaux.

C’était donc de très mauvais augures que Mamadou Tandja soit en pourparler avec la Chine et l’Iran.
Se faisant en toute urgence Nicolas Sarkozy, déjà en peine avec la situation de quasi explosion de la zone euro, envoie à Niamey deux ministres : Christian Estrosi, le ministre de l’Industrie, Bernard Kouchner, le mini­stre des Affaires Etrangères, celui dont le nom est associé à quasiment tous les génocides de la deuxième moitié du XXème siècle (Biafra, Rwanda, Yougoslavie, Palestine, etc…).

Entre le 9 février 2010 et le 18 février 2010, plus rien ne filtre (du moins du côté français). Pas de compte-rendu de leur visite à Niamey. Il semblerait que la décision ait été déjà prise : celle de renverser Tandja par l’entrefait des mêmes militaires qui l’ont porté au pouvoir en 1999, et dont la soif d’argent n’avait visiblement pas assez été suffisamment assouvie.

Le lendemain du putsch, aucune panique du côté d’AREVA qui se paie même le luxe d’annoncer par son port­e-parole dans les colonnes du Dow Jones Newswires qu’il n’y a pas lieu de se faire du soucis pour la produ­ction d’AREVA au Niger. Message codé pour les places fortes de Wall Street et de la City de Londres. En somme « ne vous inquiétez pas, nous avons la situation en main ».

Les communiqués de presse tombent, relayant les propos rassurants de la junte qui promet le retour de la démocratie (sic). L’AFP (reprise par tous les
médias) titre même « la junte a donné des garanties nécessaire­s » ( cliquez ici). Mais à qui ? Point besoin de répondre.

Et quand le secrétaire d’état à la coopération, Alain Joyandet, annonce à la presse qu’il n’y a pas lieu de crai­ndre quoique se soit pour AREVA.
Le message est on ne peut plus clair.

Nous voyons que sous fond de guerre d’influence de l’Empire de la City de Londres contre la Russie et la Chi­ne, le dindon de la farce reste toujours le même : une population africaine humiliée de plus en plus. Entre d­es militaires cupides et corrompus et une classe politique aveugle et naïve, la population se cherche encore une voie de sortie.

La partie qui se joue en Afrique de l’Ouest est hautement tactique, car s’y mêlent des intérêts économiques c­omme le besoin vital de contrôler les gisements d’uranium, mais également géostratégiques comme l’étou­ffement des Chinois et des Russes en Afrique. Les moyens utilisés pour mener à bien ce projet sont assez facilement identifiables :
réorganisation des bases militaires de l’OTAN en Afrique, création factice de foyers d­e terrorisme d’obédience islamiste financés, formés par le Département d’Etat, le Département à la Défense et le Conseil National de la Sécurité américains, mise en place de plateformes de narco-trafics, implications des armées gouvernementales dans des programmes militaires d’endoctrinement idéologiques, mise en place de dictatures militaires.

Ouvrons les yeux et regardons l’Afrique de l’Ouest, que voyons-nous sinon des coups d’Etat (Niger, Guinée), des implantations de bases militaires (Sénégal, Côte d’Ivoire), des créations de foyers terroristes (Mali, Nigeri­a), la prolifération du narco-trafique (Sierra Leone, Guinée Bissau), l’expropriation des richesses par les multi­nationales, etc.

Ce qui se passe au Niger est un cas d’école. L’on comprend alors la vive protestation de l’Algérie qui ces temps-ci voit beaucoup de mouvements de l’administration Obama dans la région. Est-elle la prochaine sur la liste?

TAHERUKA SHABAZZ, Directeur de l’ISA. 


http://panafricain.mdi2008.com/ce-que-cache-le-coup-d’etat-au-niger-encore-l’africom/ 


"Israel Did 9-11" - U.S. Military Expert Supports Bollyn Thesis

By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com
April 3, 2010
"What we need to stand up and say is that not only did they attack the USS Liberty, they did 9/11. They did it. I have had long conversations over the past two weeks with contacts at the Army War College, at the Headquarters Marine Corps, and I have made it absolutely clear in both cases that it is 100 percent certain that 9/11 was a Mossad operation. Period . . .

"And the Zionists are playing this as truly an all-or-nothing exercise, because if they lose this one, if the American people ever realize what happened, they're done."

Source: Full Transcript of Sabrosky Interview, March 21, 2010
http://uprootedpalestinians.blogspot.com/2010/03/full-transcript-of-sabrosky-interview.html

"9/11 was a Mossad operation. Period...And the Zionists are playing this as truly an all-or-nothing exercise, because if they lose this one, if the American people ever realize what happened, they're done." - Dr. Alan N. Sabrosky
Dr. Alan Ned Sabrosky, an expert author on military and foreign policy matters, is making huge waves in the 9-11 truth community with his interviews in which he says that he is 100 percent certain that 9-11 was a Mossad operation carried out to usher in the Zionist-designed War on Terror - and that he has conveyed this information to the highest levels of the U.S. military. The invasions and occupations of Iraq and Afghanistan have resulted in more than 60,000 U.S. casualties (dead and injured), Sabrosky said. Sabrosky has also recently written an article entitled "Zionism Unmasked: The Dark Face of Jewish Nationalism."
Alan Sabrosky is a writer and consultant specializing in national and international security affairs. In December 1988, he received the Superior Civilian Service Award after more than five years of service at the U.S. Army War College as Director of Studies, Strategic Studies Institute, and holder of the General of the Army Douglas MacArthur Chair of Research. He is listed in WHO'S WHO IN THE EAST (23rd ed.). A Marine Corps Vietnam veteran and a 1986 graduate of the U.S. Army War College, Dr. Sabrosky's teaching and research appointments have included the United States Military Academy, the Center for Strategic and International Studies (CSIS), Middlebury College and Catholic University; while in government service, he held concurrent adjunct professorships at Georgetown University and the Johns Hopkins University School of Advanced International Studies (SAIS). Dr. Sabrosky has lectured widely on defense and foreign affairs in the United States and abroad.

The description of Dr. Sabrosky (born 1941) taken from his 1989 paper entitled, "Of Smoke and Mirrors: Grand Strategy by Commission," shows that he has excellent credentials to support his positions.
Dr. Alan Ned Sabrosky (Ph.D., University of Michigan) is a military affairs writer and consultant. He was formerly Director of Studies, Strategic Studies Institute, and also holder of the General of the Army Douglas MacArthur Chair of Research at the U.S. Army War College. A Marine during the Vietnam War, he has taught at West Point and is a 1986 graduate of the Army War College. He has published ten books and monographs and over 80 articles and reviews on defense and foreign policy.
http://www.carlisle.army.mil/usawc/parameters/1989/1989%20sabrosky.pdf
In Dr. Sabrosky's interview with Kevin Barrett on March 30, he explains how he came to the conclusion that Israeli intelligence carried out 9-11:
"When you look at the one thing that could have done it as an organization, Mossad is almost by default the only one left standing. When people in the 9/11 Truth Movement... ask, 'where's the beef'-- the evidence is there. The only piece of evidence lacking is a public confession by one of the architects of the operation, and that is not going to be forthcoming, any more than public confessions by serial capital murderers are common in criminal cases. It's not going to be there."
This is correct. In a highly-secretive Israeli false-flag terror operation like 9-11, which I believe was directed by Ehud Barak, there is a very high degree of compartmentalization, which means there are a lot of people who did and know something about the operation but very few who know the whole thing. Benjamin Netanyahu, Ehud Barak, and Shimon Peres would be among those at the architectural level who know the whole picture. It is, of course, unlikely that any of the architect level planners will be coming forward with confessions any time soon. This is why they have to be publicly shamed, constantly and relentlessly, whenever they travel outside of Israel - and hopefully soon by righteous Jews in Israel.
What I hope will happen is that some one who was involved in putting the super-thermite in the World Trade Center will come forward. This would reveal the source of the extremely advanced nano-thermite that pulverized the Twin Towers. There must be quite a few people involved in the preparation of the towers for demolition.
Whenever any of these high-level planners, which would include Ehud Olmert, come to the United States they should be met by protestors who carry placards asking the key questions. In Olmert's case the question is: Mr. Olmert - What were you doing in New York City on 9-11 and when did you leave? This question should also be asked of Rudi Giuliani and Michael Bloomberg. No Israeli official should be allowed to appear anywhere in the United States without a protest by 9-11 truth seekers and grilling with all the questions about Israeli involvement in 9-11.
Dr. Sabrosky continued:
"For Mossad to have been the primary actor, given the target - us - there had to have been approval for this-- for the length of time involved, the location, the people who owned and ran security for the World Trade Centers-- there had to have been approval from the highest levels of the Israeli government."
This is quite correct. As I have explained in my book, Solving 9-11 - The Deception that Changed the World, the false-flag terror of 9-11 was originally planned during the late 1970s, when the arch-terrorist Menachem Begin was prime minister of Israel. Benjamin Netanyahu and Begin's son Benny are currently at the head of the Likud party. The Israeli logic for 9-11 has always been to force the United States to deploy the U.S. military into the Middle East where it would engage and occupy those states that are hostile to the militant Zionist state of Israel.

Benjamin Netanyahu is a disciple of the Zionist terrorist Menachem Begin (and Ze'ev Jabotinsky). The false-flag terrorism of 9-11 was evidently first planned during the reign of Begin in the late 1970s and early 1980s.
As a person who has spent most of his career in military institutions it is not surprising that Dr. Sabrosky calls for a military response against Israel. As he said in the interview of March 21:
I'll tell you - I have a dream, as Martin Luther King, Jr. once said, and my dream is that the 5th and 6th US fleets take Israel and cream it. And that's the end of it.
Here I disagree with Dr. Sabrosky. It would not be correct or proper to "cream" Israel in response to their fanatic leaders (Peres, Netanyahu, and Barak) having committed 9-11. It was not correct to kill innocent Afghans or Iraqis as a response to 9-11 and it would not be correct to kill innocent Israelis or Palestinians either. Such indiscriminate killing would make us no better than the terrorists who committed 9-11. A military response which targeted the Israeli government and military for having committed 9-11, however, would be a proper and just response. A military invasion to overthrow the Zionist regime for having committed the terror atrocity of 9-11 and its long history of aggression and crimes against humanity would be the proper thing to do. Given the fact, however, that the U.S. military takes its orders from the president, this is highly unlikely to happen. But there is another solution - and it is something we can all do.
Many unpopular regimes have fallen in the past thirty years without a shot being fired. The Soviet Union (and the Warsaw Pact communist regimes) and the apartheid state of South Africa, for example, collapsed without any war being fought. The same thing could happen to the racist Zionist regime in Palestine.
A proper investigation of 9-11 would reveal to the whole world the Israeli criminals behind the terror atrocity that changed the world. It would also expose the Zionists in the United States, (e.g. Michael Chertoff, Dov Zakheim, Larry Silverstein, Ronald Lauder, and Alvin Hellerstein, et al.) who have committed treason by supporting the Israeli criminals. The real criminals then should be arrested, wherever they might be, and tried for involvement in the terror atrocity of 9-11. This is, of course, what Americans have wanted all along. It has not happened because the institutions that should have done this have all been hijacked by Zionist criminals like Michael Chertoff and Alvin Hellerstein. The investigation was hijacked by Chertoff and the litigation process has been hijacked by Hellerstein. They are only the most visible Zionist faces in this crime. There are other less visible Zionists who are also key players in this massive criminal conspiracy.
The Kevin Barrett show with Alan Sabrosky can be listened to via the clickable link below.
"Was 9/11 a Mossad operation?"
Alan Sabrosky on Kevin Barrett Show, March 30, 2010
http://noliesradio.org/archives/14342
For an American military expert like Dr. Sabrosky to openly support my thesis is a very positive development for the 9-11 truth movement -- and very good for me personally. To have a person with the experience and credentials of Dr. Sabrosky confirming my analysis that Israeli military intelligence carried out 9-11, a controversial thesis I have investigated and developed since September 2001, is very encouraging. Many people may now come forward and say that they have known this all along, but I can say that this has been a very unpopular position, one which has not been supported in the so-called 9-11 truth movement. I have, however, been able to present my thesis and discuss the evidence of Israeli involvement in 9-11 in numerous conferences across Europe and the United States.

Bollyn at the Axis for Peace conference in Brussels, November 2005
During the 9-11 Truth Tour in Europe in May-June 2005 (funded by Jimmy Walter), I was the only person who spoke about the evidence of Israeli involvement in 9-11. I was also the only person on the tour who was censored because my thesis was so controversial. In Vienna, Jenna Orkin from New York succeeded in keeping me from speaking by threatening Jimmy Walter and the local promotional agency that the whole Vienna show would be shut down if my "anti-Semitic" views about 9-11 were expressed. Orkin had tried, unsuccessfully, to keep me from being part of the European tour. I have been excluded from most so-called 9-11 truth events because my research has yielded findings of fact that were unacceptable for those who organized the events. Israel was a sacred cow. To blame Israeli intelligence for 9-11 was absolutely taboo.

The BBC interviewed me in London 2005 and asked me why I was the only journalist who did not believe the official version of 9-11.
Later, in 2006-2007, when I was brutally attacked and TASERed by a three-man undercover tactical squad at my home - on my property - not a single U.S. newspaper or media outlet supported me or even covered my case with any sense of fairness. I was maliciously prosecuted for having assaulted the three heavily-armed men who invaded my property and resisting arrest. After a very corrupt legal process I was found guilty of both misdemeanor charges in June 2007 and faced the very real possibility of one year in Chicago's notorious Cook County Jail. At that point we realized that we could not negotiate with criminals and terrorists and were forced to leave our happy home and go into exile.

Christopher Bollyn at the Cook County Court in August 2006.
Rather than discuss my plight, CNN most unfairly tried to smear me as an anti-Semite on the Paula Zahn show the night before my trial was scheduled to begin. The Chicago Tribune and Daily Herald (local newspaper) ignored the facts and gave me the same treatment. Although I had appealed to then Senator Barack Obama, my Congressman, and every member of the Illinois Supreme Court for judicial fairness, not a single word of response came from any of them. (I sent a bound document of some 150 pages to each justice on the Illinois Supreme Court in my effort to obtain a fair trial.) Most telling was the response from organizations that are supposedly dedicated to supporting the free speech rights of journalists. Although I contacted every single one of them, not one responded or offered assistance.

How can it be that an American journalist is brutally attacked by undercover police at his home - in front of his 8-year-old daughter and wife, TASERed while restrained in handcuffs and unable to move a finger, with one 200-pound man kneeling on the temple of his head and another on his back, and has his arm broken - and not a single newspaper, television station, or journalist organization is concerned? This was just the beginning of the price I have paid for my writing about 9-11, but this is why Dr. Sabrosky's revelations are so important to me. Maybe, God willing, my family will finally be able to go home again.

The Bollyn kids in their yard. The heavily armed three-man undercover tactical squad - who refused to identify themselves - invaded the Bollyn home, attacked, handcuffed, and then TASERed Bollyn on the spot where the lawnmower is seen. The loss of their family home has been very hard on the Bollyn kids.
Recommended Sources:

Recommended listening: "Was 9/11 a Mossad operation?"
Alan Sabrosky on The Kevin Barrett Show of March 30, 2010
http://noliesradio.org/archives/14342
"The Complicated Faces of Anti-Semitism" by Dr. Alan Sabrosky, Salem-News.com
http://www.salem-news.com/articles/march192010/anti-semitism-as.php

1 comment:

emily said...
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Thesis paper Writers


Mujahideen of Islamic Emirate of Afghanistan military operations, update 02nd April 2010


This page is updated throughout the day as new operations are reported.
Rabi ul Sani 16, 1431 A.H, Friday April 02, 2010
Mujahideen operations against the enemies of Islam terrorists in Afghanistan are reported to Theunjustmedia.com by the official Islamic Emirate of Afghanistan spokesmen Qari Muhammad Yousuf and Zabihullah Mujahid by e-mails.
In the Name of Allah, the Most Beneficent, the Most Merciful
All Praise and thanks are due to Allah, the Lord of all that exists and may peace and prayers be upon the Messenger of Allah, his family, companions in entirety

11 Britons Invading Terrorists Killed In Lashkar Gah Mujahideen, during a one-hour long encounter with the British invaders, left 11 Britons invaders dead or wounded in Babaji area of Lashkar Gah city, the capital of Helmand province, on Friday, Apr. 02, 2010. The enemy fired mortar rounds during the fighting that caused the civilians life and material losses, however, two of the Mujahideen were wounded in the fighting, Mujahideen official said. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf
14 U.S Invaders Military Tanks Destroyed In Helmand Five military tanks of the American invading forces have been hit and destroyed in Mujahideen's separate bombings since yesterday in Helmand's Nowzad district.
According to the report from this province, a U.S. invaders military convoy of tanks while traveling to Musa Kala district from Shorab airbase, which is the largest base of the U.S troops in Helmand province, was attacked midway to Musa Kala, in Nowzad district and has been under Mujahideen siege since yesterday. Local Mujahideen said as the enemy wanted to advance and break the siege their five tanks were torn apart in mine blasts the wreckage of which were lying in the area till later this evening with the convoy still under siege.

According to Mujahideen officials, with the five tanks destroyed in Nowzad district the number of the U.S invaders military tanks destroyed in the bombing within 24 hours has reached 14 in Marjah, Sangin, Nawa and some other areas of Helmand province. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf

Blast Blows Apart NATO Invaders Tank In Ghazni A NATO invaders military tank was targeted by a mine blast in Waghiz district of Ghazni, on Friday. The powerful explosion destroyed the NATO invaders armored tank, killing all almost all the soldiers on board whose corpses were, soon after the detonation, taken by the helicopter to their base. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf

Afghan Military Base Comes Under Attack In Logar On later Friday, a military base of the puppet Afghan force came under attack by Mujahideen of the Islamic Emirate in Muhammad Agha district of Logar province. Two missiles landed inside the base, most likely causing the enemy fatal losses, Mujahideen official said. The report adds at the same time a vehicle of the enemy was driving towards the base as it hit a roadside bomb blast which left the tank completely destroyed, causing all the puppet Afghan terrorists to die. 
Reported by Zabihullah Mujahid
3 More U.S. Invaders Tanks Eliminated In Marjah Three tanks of the U.S invaders have been struck and destroyed in separate bombings since yesterday in Marjah town of Helmand province. As per details, a Mujahideen's homemade bomb hit one of the U.S. tanks and at midday,12: pm local time ( today ), in a crossroads of Marjah town, leaving the tank wrecked and killing almost all of the Americans whose bodies were, soon after the blast, airlifted by the helicopter.

Similarly, two tanks of the U.S. invading terrorists were blown up by IED blasts in Yazdah area of Marjah yesterday evening. The wreckage of both tanks remained in the area till this day, said local Mujahideen.

Also Friday, one of the invaders coalition terrorists got killed with three others badly wounded as in powerful mine blast that tore through a group of combined puppet Afghan-invaders coalition patrol elsewhere in Marjah town. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf
Missiles Strike U.S Invaders Military Base In Kunar The U.S invaders military base which is situated in in the district center of Asmar district, Kunar province, came under missiles attack, on later Friday, Apr. 02, 2010. Two missiles landed inside the U.S. invaders base, killing one American terrorist and wounding a dozen as well as destroying one of the enemy's vehicles, Mujahideen official said. Reported by Zabihullah Mujahid

NATO Invaders Logistical Convoy Attacked In Paktia Mujahideen of the Islamic Emirate on Friday attacked a convoy of the vehicles carrying logistical supplies to the NATO and U.S invaders forces in the province's Laji Mangal district. According o the report, one of the logistical truck laden with the containers got hit with the rocket-propelled grenades and burned down. Local Mujahideen said the escort soldiers had sustained losses of life and injures but gave no details of the extent of their fatalities and casualties. 
Reported byZabihullah Mujahid
American Invaders Tank Blown Up In Bomb Attack In Helmand A U.S. invaders military tank was blown apart by by an IED blast near a U.S invaders military base in the province's Khanshin district, on Thursday afternoon. The report indicates, the tank got completely wrecked in the bombing killing all the American terrorists.
Also on Thursday, some four American terrorists were killed and a dozen wounded when an IED tore through a group of American terrorists while on mine clearing mission near the same area of Khanshin district in this this province. Reported by Qari Muhammad Yousuf

7 Dead In Marjah, 2 U.S. Invaders Tanks Destroyed In Marjah's Kariz Sadi area, one of the U.S. invaders tanks got wrecked, leaving the American terrorists dead as a roadside bomb went off under the tank on the to a U.S. invaders military base, on Friday morning, Apr. 02, 2010.

Meantime, another military tank of the U.S. invaders was hit by a roadside bomb blast within a half an hour of the first blast, elsewhere in Marjah, leaving the tank heavily damaged and killing almost all the U.S terrorists.

In another news from the Marjah town of Helmand province, at least 7 puppet Afghan and American terrorists were killed yesterday, as their combined foot patrol encountered a mine blast in Abdurhaman Ju are of Marjah. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf

Two Puppet Police Posts Overrun In Kandahar Mujahideen of the Islamic Emirate, in a series of attacks on the police posts in Kandahar's Arghistan district overran two police posts, killing at least a dozen of puppet policemen stationed in both posts, yesterday afternoon. According to the report the dead bodies of three puppet policemen have been left behind in the collapsed facilities of the posts, while Mujahideen during the operation torched the facilities seizing the abandoned weapons and ammunition. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf

Three Terrorists Dead, 3 Wounded In Khost Blast At least 3 puppet Afghan terrorists were killed with another 3 wounded in an early morning blast, on Friday, which ripped into a group of Afghan terrorists while on a patrol mission in Lakanu area near Khost city, the capital of the province of the same name. A puppet police officer is said to have been among those killed in the blast. 
Reported by Zabihullah Mujahid

Blast Strikes British Invaders Tank In Helmand A British invaders patrol tank, while traveling near district bazaar of Sangin district in Helmand province, got exploded by a mine blast, on Friday morning, Apr. 02, 2010. The report indicates the tank was fully damaged in the explosion, killing or wounding all the Britons invaders on board. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf

Mujahideen Attacks In Helmand Kill 6 Puppet Afghan And Invaders Coalition Terrorists, 2 Wounded Some 3 invaders coalition terrorists were killed and two badly wounded on Friday morning as their foot patrol came under Mujahideen's attack in the outskirt of Gerishk district, Helmand province.

Separately, Mujahideen of the Islamic Emirate, in an ambush attack on puppet Afghan terrorists followed by an encounter with them killed one puppet Afghan terrorist besides seizing some arms and ammunition from the possession of the enemy near the district center of Gerishk district, last night.

Likewise, on Thursday, two puppet Afghan terrorists while riding on motorcycle got attacked by Mujahideen near the district center of Gerishk district. According to the report, both terrorists were killed in the attack whose motorcycle and weapons were taken by Mujahideen. 
Reported by Qari Muhammad Yousuf

These operations were part of new Nasrat (Victory) operations plan, which was declared by Amir-ul-Momineen (Leader of the Believers) Mullah Mohammad Omar Mujahid (May Allah preserve him), leader of the Islamic Emirate of Afghanistan.
O Allah, make them and their weaponry a booty for the Mujahideen
O Allah, you are our support and you are our only Victor; by your order we attack; by your order we retreat and by your order we fight
O Allah, the sky is yours; the earth is yours; the sea is yours, so whatever forces they have in the sky, drop them. Destroy all their forces in earth and sink all their forces in sea
O Allah, deal with them for verily they can never disable you
O Allah, retaliate upon them, afflict them like you did to Pharaoh and his nation
O Allah afflict their country with floods, make them in need of money and food and persons
O Allah defeat them, destroy them O the All-Strong, the All-Mighty
Allahu Akbar
"Honor, Power and Glory belong to Allah, His Messenger and the believers, but the hypocrites know not"
Theunjustmedia.Com


Eradiquer l’Islam : politique française dans l’Algérie colonisée

Dès les premières heures de la conquête coloniale, l’Islam fut une source de résistance centrale pour les peuples musulmans. Ceux-ci puisaient dans la religion du Prophète l’énergie pour affronter les armées conquérantes de l’Occident. Dans ces guerres asymétriques de résistance à la conquête coloniale, l’Islam donnait aux résistants la force morale d’affronter un ennemi mieux armé. Au-delà de la lutte armée, à la domination culturelle exercée par l’Occident impérialiste répondit une résistance ancrée dans les valeurs spécifiques des peuples musulmans. 

Eradiquer l’Islam : politique française dans l’Algérie colonisée

« Ô croyant le monde a vu de ses yeux, Leurs chevaux attachés dans nos mosquées ». Sourate 61 : verset 8

Emir Abdelkader 

Dès les premières heures de la conquête coloniale, l’Islam fut une source de résistance centrale pour les peuples musulmans. Ceux-ci puisaient dans la religion du Prophète l’énergie pour affronter les armées conquérantes de l’Occident. Dans ces guerres asymétriques de résistance à la conquête coloniale, l’Islam donnait aux résistants la force morale d’affronter un ennemi mieux armé. Au-delà de la lutte armée, à la domination culturelle exercée par l’Occident impérialiste répondit une résistance ancrée dans les valeurs spécifiques des peuples musulmans.

En tant que force de résistance, l’Islam fut la cible d’attaque constante de la part des tenants de la colonisation dont la politique culturelle consistait à effacer les traits distinctifs des sociétés musulmanes.
Eradiquer l’Islam pour soumettre les peuples musulmans à son dictat était l’un des objectifs essentiels de l’impérialisme occidental. Mû par l’héritage des croisades et par la volonté d’exporter les valeurs de la société bourgeoise des « Lumières », l’Occident s’efforça d’affaiblir les forces dynamiques de l’Islam qui lui résistaient, de fractionner le monde musulman, d’opposer des obstacles devant ses peuples, et de fournir des efforts constants pour amener les musulmans à se détacher de la religion du Prophète. L’objectif visé par l’« Occident officiel », à long terme, était de déraciner l’Islam afin qu’il ne puisse plus servir de force d’opposition à sa domination.

Destruction et contrôle des lieux de cultes musulmans 

Cette politique d’éradication de l’Islam fut particulièrement prégnante en Algérie après l’invasion française de 1830. Charles X partit à la conquête de l’Algérie avec le soutien du Pape et de l’Eglise catholique ce qui transformait l’action de l’armée française en une lutte de la chrétienté contre l’Islam dans la filiation directe des croisades.
Débarqué à Alger, le général de Bourmont, s’adressant aux aumôniers militaires au cours d’une cérémonie religieuse, déclarait : « Vous venez de rouvrir avec nous la porte du christianisme en Afrique. Espérons qu’il y viendra bientôt faire refleurir la civilisation chrétienne qui s’est éteinte »[1].

Nonobstant cet esprit de croisade, le 5 juillet 1830, la convention signée entre le général de Bourmont et le Dey d’Alger, engageait la France à respecter la liberté de tous les habitants de l’Algérie, leur religion et leur propriété.

Deux mois après la prise d’Alger et malgré la convention signée par le général de Bourmont, le général Clauzel inaugura une politique de lutte contre la religion musulmane en la privant de ses moyens d’existence par la confiscation des biens habous. Environ deux millions d’hectares de terre furent confisqués et plusieurs dizaines de mosquées furent fermées. Un grand nombre de cimetières furent labourés afin de les transformer en terres arables pour les colons. Les religieux, qui refusaient de faciliter ces confiscations, furent voués à l’internement et à l’exil, comme le mufti malékite Belkebabti qui fut déporté puis emprisonné en Corse avant d’être expulsé à Alexandrie en 1848[2].

Dans sa politique de terre brûlée, la France détruisit nombre d’édifices du patrimoine architectural de l’Islam algérien. Un plan visant à la destruction d’une grande partie de la ville d’Alger fut conçu dès octobre 1830. Cette politique visait à l’européanisation de la capitale algérienne en facilitant sa colonisation par les occidentaux fraichement débarqués. La mosquée as-Sayyida fut détruite en 1832 par les services du génie lors de la création de la place du gouvernement. La même année, la mosquée Ketchaoua, bâtie en 1794 par le Dey Baba Hassan, fut transformée en lieu de culte catholique. Par la suite, les principaux édifices islamiques d’Alger furent détruits : le mausolée de Sidi Abdelkader al-Djilani, la mosquée Mezzo-Morto, construite vers 1685 par al-Hadj Hussein, un Italien converti à l’islam, la mosquée Khédar-Pacha, la zaouïa Ketchaoua, édifiée en 1786 par al-Hadj Mohamed Khodja Makatadji, la mosquée ach-Chemaïn, la mosquée d’Aïn al-Hamra, la mosquée Ben Négro, la mosquée d’al-Mocella, la zaouïa de Sidi Amar at-Tennessi, construite au XVème siècle.

Le résultat de cette politique d’éradication de l’Islam de la ville d’Alger était clairement remarquable dans le paysage : en 1830 Alger renfermait 13 grandes mosquées, 109 petites mosquées, 32 « chapelles » et 12 zaouïas. En 1862, il ne restait plus que 4 grandes mosquées, 8 petites et 9 « chapelles »[3]. Evoquant les édifices religieux détruits par les colonisateurs, dans un texte intitulé « Promenade à Alger », datant de 1865, un voyageur français, E. De Lumone, affirmait : « le marteau de Dame Expropriation en a abattu un grand nombre pour faire place aux larges et insipides rues et aux hautes maisons dont les Haussmann algériens sont si fiers. Quelques-unes sont appropriées au culte catholique, d’autres sont converties en magasins, en pharmacies militaires. Une de ces dernières est même occupée ô honte par l’administration des lits militaires »[4].

Dans les autres villes d’Algérie, la même politique d’éradication de l’Islam fut menée par la destruction d’édifices religieux. Avant la conquête, Annaba comptait 30 mosquées et 2 zaouïas, toutes pourvues d’écoles. Suite à l’occupation de la ville, 22 mosquées disparurent dans les démolitions. Pour celles restées encore debout, seules 2 avaient conservé une école. La mosquée Abou Merouane, centre de rayonnement culturel et scientifique construit au XIème siècle, fut confisquée et interdite aux fidèles musulmans. Les calligraphies ornant la mosquée et la médersa furent détruites. Après avoir usurpé l’édifice, les autorités françaises le transformèrent en hôpital militaire. Dans la même ville, le mausolée de Sidi Brahim at-Toumi et ses mosquées, construites au XVIIème siècle, furent confisqués et interdits d’accès à la population musulmane. Les lieux devinrent une sorte de cantonnement permanent pour l’armée d’occupation. A Bejaïa, la mosquée de la Casbah fut transformée en hôpital.

Décrivant l’impacte de cette politique sur les Algériens, en 1847, le général de Lamoricière expliquait : « une fois installés à Alger, nous avons pris les collèges pour les changer en magasins, casernes ou écuries.
Nous avons fait main basse sur les biens des mosquées et des collèges. On prétendait appliquer au peuple arabe les principes de la Révolution française. Malheureusement, les musulmans n’ont vu là qu’une attaque brutale à leur religion et un manque de foi »[5].

Les écoles musulmanes, qui enseignaient le Coran et la langue arabe, disparurent progressivement sous la pression de l’administration française.
La confiscation des biens habous soustrayait les sources de revenu qui permettait leur fonctionnement. La dispersion des enseignants du fait de la conquête privaient les médersas du personnel compétant nécessaire à leur activité. Dans un rapport officiel, l’administrateur civil d’Alger Genty de Bussy déclarait « savoir que plus de 80 écoles existaient à Alger avant la conquête, qu’elles ont été réduites de moitié par l’émigration des instituteurs, des grandes familles et par l’occupation de plusieurs classes, entendons de plusieurs mosquées »[6].

Décrivant les conséquences de cette politique, qui avait provoqué une crise morale de la société algérienne avec ses conséquences durables, Alexis de Tocqueville, dans son Rapport de 1847, écrivait : « Partout nous avons mis la main sur ces revenus [ceux des fondations pieuses ayant pour objet de pourvoir aux besoins de la charité ou de l’instruction publique] en les détournant en partie de leurs anciens usages. Nous avons réduit les établissements charitables, laissé tomber les écoles, dispersé les séminaires. Autour de nous les lumières se sont éteintes, le recrutement des hommes de religion et des hommes de loi a cessé. C’est-à-dire que nous avons rendu la société musulmane beaucoup plus misérable, plus désordonnée, plus ignorante et plus barbare qu’elle n’était avant de nous connaître »[7].

Les divers changements de régimes que la France connut au XIXème siècle, ne changèrent pas fondamentalement la politique que ses régimes et ses gouvernements mirent en place vis-à-vis de la l’Islam en Algérie. Suivant les mots de Gambetta affirmant que « l’anticléricalisme n’est pas un article d’exportation », la République continua à soutenir l’Eglise dans sa politique d’évangélisation menée, notamment, par le fondateur de la société des Pères Blancs, le cardinal Lavigerie. En 1892, à la mort du cardinal Lavigerie, la République française lui organisa des funérailles nationales en récompense des services rendus à la chrétienté.

Après l’adoption de la loi de séparation des cultes et de l’Etat en 1905, la laïcité ne fut jamais appliquée au culte musulman dans une Algérie colonisée qui avait juridiquement le statut de département français. Alors que la loi de séparation des cultes et de l’Etat s’appliquait pleinement aux cultes catholique, protestant et juif, l’administration coloniale continuait de maintenir le culte musulman sous sa subordination immédiate. Afin de contrôler l’Islam, les imams, les muftis ou les qadis étaient nommés et salariés par la puissance occupante qui les contraignait à être les « voix de la France » dans les mosquées et autres lieux de cultes musulmans. Par cette main mise sur le culte musulman, l’administration française orientait l’interprétation des sources de l’Islam dans un sens favorable au maintient de sa domination. La soumission à l’ordre établi, le fatalisme réduisant les musulmans à l’impuissance étaient érigés en dogme. La situation de la religion musulmane relevait d’un véritable système d’exception.

Face au puissant mouvement de renouveau islamique qui se constitua en Algérie durant l’entre deux guerre sous l’impulsion du cheikh Abdelhamid Ben Badis, l’administration française, craignant que la contestation s’organise à partir des mosquées, réglementa limitativement le droit de prêche dans les lieux de culte qu’elle contrôlait. Le 16 février 1933, la « circulaire Michel », du nom du secrétaire général de la préfecture d’Alger, Jules Michel, enjoignait les autorités coloniales de surveiller les ouléma suspects « de chercher à atteindre la cause française ». La présidence du comité consultatif du département d’Alger, ayant en charge la gestion du culte musulman, était confiée à Jules Michel alors que le monopole du prêche était donné aux imams et muftis salariés par l’administration coloniale.

Contre cette ingérence de l’administration française dans le culte musulman, le mouvement national algérien fit de la séparation des cultes et de l’Etat l’une de ses principales revendications. Il espérait ainsi libérer le culte musulman des griffes des autorités coloniales. En 1924, le petit-fils de l’Emir Abdelkader, l’Emir Khaled, souleva la question dans une lettre réclamant l’application de la loi de 1905 pour le culte musulman adressée à Edouard Herriot. Par la suite, la revendication de l’application de la laïcité au culte musulman fut défendue par l’association des oulémas à partir de sa constitution en 1931. La revendication fut reprise par les différents courants du mouvement national algérien.

Le 15 août 1944, l’association des oulémas adressa un Mémoire aux autorités coloniales réclamant l’application intégrale du principe de séparation du culte musulman et de l’administration coloniale française. Le Mémoire revendiquait : « 1 – Cette séparation doit être réalisée d’une manière qui soustrait entièrement et définitivement à la tutelle et au contrôle de l’Administration tout ce qui se rapporte au culte musulman. En sorte que l’Administration n’ait plus à s’immiscer d’une manière apparente au culte dans aucune question, ni aucune affaire religieuse, quelles que soient la nature et l’importance de ces questions et de ces affaires. 2- La remise entre les mains de la communauté musulmane, seule qualifiée pour en connaître, de toutes ces affaires et de toutes ces questions, sans exception ni réserve, avec reconnaissance claire, absolue et sans équivoque du droit de cette communauté sur tout ce qui se rapporte à sa religion »[8].

La revendication de la séparation du culte musulman et de l’Etat français fut défendue à l’Assemblé Nationale française par Messaoud Boukadoum le 12 septembre 1947 au cours des discussions relatives au statut de l’Algérie.
Dans son discours, le député du MTLD dénonça les atteintes à l’Islam et à la langue arabe en Algérie. Selon lui, « la colonisation française ne s’est pas contentée de s’approprier toutes les richesses économiques de l’Algérie et de les exploiter à son unique profit. Elle s’est attaquée également au patrimoine moral et intellectuel de notre peuple. Le peuple algérien a, en effet, une personnalité propre qui s’est forgée au cours de siècles, personnalité qui vient de son unité linguistique, historique, religieuse et de son unité de mœurs […] elle [la colonisation] pensait qu’un peuple vaincu par les armes, asservi économiquement et, de surcroît, privé de sa personnalité, deviendrait vite une véritable poussière d’individus, sans âme collective, et prêt à toutes les métamorphoses et à toutes les servitudes. Le peuple algérien est de religion musulmane, vous ne l’ignorez pas, et de langue arabe. Ce sera donc à ces deux éléments constitutifs principaux de la personnalité algérienne que la colonisation va s’attaquer ». Le député du MTLD ajoutait que « la politique de désislamisation et de désarabisation a été le fait principal de la colonisation dans notre pays »[9].

La politique française de dépersonnalisation 

Ne limitant pas sa politique à la destruction puis au contrôle des édifices cultuelles musulmans, la colonisation française s’attaqua « d’une manière particulière à la culture arabo-islamique dans laquelle elle voyait la principale force de résistance à son entreprise de dépersonnalisation.
L’acharnement mis à la détruire, directement ou indirectement, procédait de la même volonté de faire table rase de cette société et de transformer l’Algérie en province française »[10].

Parallèlement à la conquête militaire, les autorités coloniales mirent en place une politique de lutte idéologique visant à museler toute expression de la culture arabo-islamique en Algérie. A la conquête par les armes était associée une politique de « viol des consciences » et d’aliénation des hommes. Le 31 août 1858, le ministre responsable de l’Algérie expliquait sa politique d’assimilation en ces termes : « nous sommes en présence d’une nationalité armée et vivace qu’il faut éteindre par l’assimilation ».
Son but était « la dislocation du peuple arabe et la fusion »[11]. La politique de dépersonnalisation était exposée par le général Ducrot, en 1864, lorsqu’il expliquait l’offensive des généraux de la conquête sur le front de la culture : « entravons autant que possible le développement des écoles musulmanes, des zaouïas. Tendons, en un mot, au désarmement moral et matériel du peuple indigène »[12].

La France développa une politique d’assimilation visant à faire de l’Algérie une partie intégrante de la nation française et de ses habitants des français, bien que les droits de citoyens ne fussent réservés qu’aux seuls Européens et aux juifs Algériens après la promulgation du décret Crémieux en 1870. Dans le cadre de cette politique de dépersonnalisation, se développa une action d’évangélisation des musulmans par des ordres missionnaires chrétiens. Louis Veuillot, qui fut secrétaire du maréchal Bugeaud, écrivait : « Les Arabes ne seront à la France que lorsqu’ils seront Français et ils ne seront Français que lorsqu’ils seront chrétiens »[13].

Profitant de la misère créée par la colonisation, qui avait détruit le tissu social existant avant 1830 entraînant un processus de « clochardisation » des régions rurales, les missionnaires recueillaient les orphelins algériens pour les christianiser. Les orphelinats de Ben Aknoun et de Boufarik furent créés dans cette optique par le père jésuite Brumault. Après quinze ans de vaine tentative pour évangéliser le peuple algérien, le père Brumault renonça à son projet qui fut repris par les évêques d’Alger, Dupuch et Pavy. Puis cette politique d’évangélisation fut activement mise en place par le cardinal Lavigerie entre 1863 et 1870. Le cardinal profita de la grande famine de 1867-1868, qui fit environ 300 000 morts[14], pour tenter d’imposer sa religion. Le programme du cardinal Lavigerie était : « Faire de la terre algérienne le berceau d’une nation grande, généreuse, mais chrétienne, d’une autre France en un mot ; répandre autour de nous les vraies lumières d’une civilisation, mais dont l’Evangile doit être la source et la foi ; les porter au-delà du désert jusqu’au centre de ces immenses continents encore plongés dans la barbarie ; relier, enfin, l’Afrique du Nord et l’Afrique centrale à la vie des peuples chrétiens, telle est dans les desseins de Dieu notre destinée providentielle »[15].

Les Pères Blancs cherchèrent à évangéliser les orphelins qui avaient survécus à la famine. Malgré une politique particulièrement offensive dans certaines régions, comme la Haute Kabylie, les conversions au christianisme restèrent extrêmement marginales et le peuple algérien opposa une farouche résistance à cette colonisation par la croix.

La République laïque apporta un fidèle soutien à l’action de l’Eglise qui faisait office de précieux appuis dans sa lutte contre l’Islam. Du 3 au 7 mai 1939, se tint à Alger le congrès eucharistique qui se réunit avec l’appui officiel du gouvernement laïc soutenu par l’assemblée élue en
1936 sur le programme du Front Populaire. Dans son discours aux congressistes, le cardinal Verdier affirma sa volonté d’évangéliser l’Algérie et au-delà l’ensemble de l’Afrique : « Si vous êtes venus tenir ici vos assises eucharistiques, c’est surtout, vous ne l’ignorez pas, afin d’y célébrer le centenaire d’un évènement à jamais mémorable pour l’Eglise et pour la France. En 1839, Alger, la ville blanche, dressait ses terrasses sur la mer comme un défi aux peuples chrétiens. Voici que sur un de ses minarets, s’élève la croix du Christ, et Alger devint soudain la porte lumineuse par où pénétra, chaque jour plus rapidement jusqu’au cœur du continent noir, le flambeau de la révélation »[16].

Analysant cette politique, Chekib Arslan remarquait que la France laïque se comportait comme une puissance chrétienne dans le monde arabo-islamique car la fille aînée de l’Eglise était « imbue de l’idée qu’elle doit en pays musulman paraître en soutane »[17].

A la politique de dépersonnalisation reposant sur la lutte contre l’enseignement de l’Islam et de la langue arabe, était associée une politique d’acculturation à la France. Cette politique fut clairement proclamée par Charles Lutaud, gouverneur général de l’Algérie, en février
1914 lorsqu’il affirmait : « je crois qu’il est préférable de leur apprendre à sentir comme nous, à gouter la vie comme nous et qu’il serait peut-être préférable de dissoudre le bloc des traditions islamiques, en ce qu’elles ont d’incompatible avec notre civilisation »[18]. Toute la politique de l’Etat français fut tendue vers cette volonté d’éradiquer ce « bloc des traditions islamiques ».

La politique de dépersonnalisation anti-islamique s’appuyait sur le développement de l’enseignement dans les écoles françaises. Les tenants de l’assimilation espéraient obtenir leurs meilleurs résultats dans leur entreprise de dépersonnalisation et de « francisation » auprès des jeunes algériens ayant fréquenté les bancs de l’école française. La scolarisation était perçue comme la principale arme devant permettre la dissolution du « bloc des traditions islamiques » qui était à la base de la résistance culturelle des Algériens à la colonisation.

L’écrivain Malek Haddad témoignait de cet enseignement aliénant dispensé dans les écoles françaises : « dès l’école primaire cet enseignement se faisait en français avec interdiction d’avoir recours à l’arabe, même pour des facilités pédagogiques. On ne faisait qu’effleurer à la fin du moyen 2ème années, la Géographie ou l’Histoire de l’Algérie. Dans les lycées, l’arabe s’enseignait et s’apprenait comme une langue étrangère.
Les autres disciplines, Sciences, Mathématiques, etc… se faisaient en français. Notre langue maternelle était en exil dans son propre pays. Par ailleurs, la presse, la radio, les conférences, les films, le théâtre, la publicité sur les murs, les formalités qui vont d’un mandat-poste à un état-civil, tout ce qui s’écrit, depuis la « défense d’afficher » jusqu’aux plaques des rues, tout, absolument tout, était privilège et monopole de la langue française »[19].

Décrivant de l’impact de cette colonisation culturelle, Malek Bennabi expliquait : « de fait, c’est une opération de clivage culturel qui commençait sur toute l’étendue du pays pour séparer la conscience algérienne de son assise historique arabo-islamique. Dans les nouvelles écoles qui s’ouvrent comme Sidi El-Djeliss, les petits algériens commencent à apprendre leurs nouvelles leçons d’histoire sur leurs ancêtres, les Gaulois.
Cette leçon n’est qu’une parcelle, un simple aspect scolaire d’une nouvelle sédimentation culturelle destinée à recouvrir, à oblitérer par couches successives, la personnalité du pays, au fond de sa conscience et de son subconscient. On parlera plus tard de dépersonnalisation : c’est cela sa signification précise, c’est-à-dire, une œuvre de désalgérianisation de l’Algérie dans tous les domaines, par tous les procédés. La langue, l’économie, la politique, l’administration, ont joué leur rôle comme facteur d’assimilation. […] Ainsi, tout au long d’un siècle de colonisation inaugurée par un clivage séparant la conscience algérienne de son assise historique millénaire, c’est une œuvre de sédimentation culturelle qui se poursuit lentement mais sûrement »[20].

Concernant la place de l’enseignement français dans l’entreprise de domination coloniale, Malek Haddad précisait : « il ne s’agit pas bien sûr de jeter l’anathème sur le corps enseignant et de démagogiquement généraliser. Mais, qu’on le veuille ou non, et quelle que soit sa vocation originellement libérale et respectueuse des valeurs d’autrui, il se trouve que ce corps enseignant, même lorsqu’il en limitait les dégâts, faisait partie du dispositif colonial et contribuait par là même, en symbiose avec les autres administrations, à l’entreprise concertée de décoloration et de désoriginalisation qui est la raison d’être de ce phénomène colonial »[21].

La politique de dépersonnalisation s’appuyant sur l’institution scolaire butta dans son entreprise sur le « bloc des traditions islamiques » auquel la majorité des jeunes algériens, ayant fréquenté l’école française, restaient attachés. En octobre 1932, dans un article consacré au deuxième Congrès des Etudiants Musulmans Nord-Africains, le journal colonialiste le Bulletin du Comité de l’Afrique Française écrivait : « Ce qu’il y a de remarquable, c’est que le sentiment éprouvé par ces jeunes gens instruits est de la même qualité que celui qu’éprouve le populaire illettré dans les mêmes circonstances. […] Le Congrès d’Alger nous fournit une preuve nouvelle, entre tant d’autres, que l’instruction que nous donnons à nos élèves ne tue nullement en eux leur âme ancestrale, mais au contraire lui donne un regain de visibilité »[22].

Face à cette politique de dépersonnalisation, le « bloc des traditions islamiques » était un puissant facteur de résistance à l’ordre colonial.
« Dans la nuit noire du régime colonial, écrivait Malek Haddad, l’Islam veillait ». L’écrivain algérien ajoutait : « on ne répétera jamais assez que durant les 124 ans de l’éclipse coloniale, cette parenthèse d’asphyxie culturelle et politique qui s’étend du 5 juillet 1830 au 1ier novembre 1954, on ne répétera jamais assez la grande part que prirent en Algérie l’Islam et ses serviteurs pour conserver à ma patrie profonde ses dernières caractéristiques propres, son ultime originalité, sa spécificité quotidienne, son authenticité culturelle »[23].

Expliquant le rôle central de l’Islam dans la résistance à la colonisation française, Ahmed Ben Bella affirmait que « si la colonisation a finalement échoué, cela est dû à un fait irréfragable: l’Islam. Qui n’a pas compris cela, n’a rien compris à la révolution algérienne, n’a pas saisi l’intelligence profonde des événements qui se sont déroulés sur notre terrain. […] Depuis environ quatorze siècles, le facteur islamique est le nœud gordien de nos latences, le noyau dur de notre identité »[24].

Youssef Girard
Le Quotidien d'Algérie.

[1] Intervention de Messaoud Boukadoum à l’assemblée nationale française le 20 août 1947, in. Djamel Eddine Derdour, De l’Etoile Nord-Africaine à l’indépendance, Alger, Ed. Hammoud, 2001, pages 143-151

[2] Sellam Sadek, « Conquête de l’Algérie : crimes de guerre et crimes contre l’humanité », in. Parler des camps, penser les génocides, Paris, Albin Michel, 1999.

[3] Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie, De la 1ière guerre mondiale à 1954, Alger, el-Maarifa, 2007, page 334

[4] Hadj Ali Smaïl, « La mission civilisatrice, un processus de décivilisation », El Watan, 26 février 2007, URL :
http://www.elwatan.com/La-mission-civilisatrice-un

[5] Ibid.

[6] Ibid.

[7] Ageron Charles-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Paris, PUF, pages 17-18

[8] Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, tome II, 1939-1951, Paris, Ed. Paris-Méditerranée, 2003, page 620

[9] Intervention de Messaoud Boukadoum à l’assemblée nationale française le 20 août 1947, in. Djamel Eddine Derdour, De l’Etoile Nord-Africaine à l’indépendance, Ed. Hammoud, Alger, 2001, pages 143-151

[10] Mahsas Ahmed, op. cit., page 333

[11] Ageron Charles-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, op. cit., page 28

[12] Hadj Ali Smaïl, art. cit.

[13] Intervention de Messaoud Boukadoum à l’assemblée nationale française le 20 août 1947, in. Djamel Eddine Derdour, De l’Etoile Nord-Africaine à l’indépendance, Ed. Hammoud, Alger, 2001, pages 143-151

[14] Ageron Charles-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, op. cit., page 35

[15] Intervention de Messaoud Boukadoum à l’assemblée nationale française le 20 août 1947, in. Djamel Eddine Derdour, De l’Etoile Nord-Africaine à l’indépendance, Ed. Hammoud, Alger, 2001, pages 143-151

[16] Ibid.

[17] Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, tome I, 1919-1939, op. cit., pages 328-329

[18] Abdesselam Belaïd, De l’UGEMA, brochure, page 16

[19] Haddad Malek, préface, Les zéros tournent en rond, Paris, Maspéro,
1961

[20] Bennabi Malek, « A la mémoire de Ben Badis », Que-sais-je de l’islam, n°3, Alger, avril 1970, in. Bennabi Malek, Mondialisme, Alger, Dar el-Hadhara, pages 186-187

[21] Haddad Malek, op. cit.

[22] Abdesselam Belaïd, op. cit., page 18

[23] Haddad Malek, op. cit.

[24] Ben Bella Ahmed, L’Islam et la révolution algérienne,

http://www.archipress.org/bb/revolu.htm 


Actualisation des évenements de la flotille de la Liberté (anglais et francais)

Sheykh Raed Salah, believed to have been killed during the israel massacres this morning. Brothers in Palestine just confirmed that the Sheykh is martyr (Shahid). Ina lillahi wa ina ileyhi raji3oun. AlJazeera, without any evidence, is still claiming that Sheykh Raed Salah is alive while the relatives of the sheykh had no contact with him or any other people kidnapped in high sea.
Israeli Flotilla Hit Part Of Broader Military Agenda 

Turkey To Send New Flotilla - Defended By The Turkish Navy 

Does Israel Rule the World?


Israel: The Pariah of the International Community

Israel Forces Fired On Sleeping Civillians Under Cover Of Darkness

Turkish Sources - Israeli Advance Target Assassination List Found on Flotilla

Israeli Death List lost by Israeli Soldier during raid

Former CIA Officer's McGovern & Giraldi: Israel Controls U.S. Government & Media

GORDON DUFF: ISRAEL SCAMS U.S., “GAZA CONVOY CARRYING STOLEN NUKES”

Israel's Attack on Us All


Attack against Freedom Flotilla is a terrorist act and a crime against humanity


Netanyahu and his cabinet brace for their survival now, cancels his visit in occupied USA, a country zionist jews control. 

31 May 2010 :FLOTILLA TO GAZA LIVE 
: International outrage after Israel kill 22 peace activists and humanitarian workers

Watch live streaming video from insaniyardim at livestream.com


http://www.livestream.com/insaniyar
For Arabic speakers, live stream : 

http://www.aqsatv.ps/ar/?action=live

http://www.qudstv.com/LiveFeed.aspx

http://www.alhiwar.tv/

http://www.livestation.com/channels/43-al_jazeera_arabic 


For English speakers :

http://www.livestation.com/channels/3-al_jazeera_english_english

http://www.livestation.com/channels/52-press_tv_english


This israeli attack is a prelude of a global war in the Middle East : Arab puppet states Saudis, Egypt and Jordan put their army on high alert, same for Lebanon, Syria, Turkey. Our sources confirmed that France, Germany, Italy, Spain did the same as members of NATO, this was requested by the white house 48 hours ago. This agression is a direct provocation to war against the new axis Turkey-Syria-Iran... These countries are the target of the Obama-Netanyahu plan, as North Korea !

Sources confirmed that Turkey army has ordered represails in Northern Iraq and a possible ground invasion. Turkish army received order to no reply to any american, NATO or israeli provocation at the moment, until they coordinate with their allies in the region. American, British put their bases in Saudi Arabia, Iraq, Afghanistan, Kuweit and the Gulf in ' active combat phase', which means that the countries hosting these bases are now in full control of the pentagon. Which mean any attack on Iran from Saudi Arabia bases or any Gulf country will trigger a world war, as planned by Tel Aviv.

Israel Forces Fired On Sleeping Civillians Under Cover Of Darkness


Steve Watson
Prisonplanet.com
Monday, May 31st, 2010

Israel  Forces Fired On Sleeping Civillians Under Cover Of Darkness  310510attackWhile the Israeli government is praising it’s soldiers as heroes and saying they were acting in self defence by firing on unarmed civilians flying a white flag in international waters, one group involved with the Freedom Flotilla has a quite different story.
A spokeswoman for Israel Defence Forces (IDF), Avital Leibovich, claims that Israeli officers gave several warnings before boarding the the Turkish boat, the Mavi Marmara.
Somehow, according to Leibovich, when the soldiers did board the boat, they were then attacked by unarmed activists and relieved of their guns – a claim that is not backed up by video footage of the ambush.
Leibovich told reporters “We found ourselves in the middle of a lynching,”
“We didn’t look for confrontation but it was a massive attack,” she said. “What happened was a last resort.”
This story is on its face ridiculous.
The following press release came from Freegaza.com , one of the aid groups involved in the flotilla, in the wake of the attack:
Under darkness of night, Israeli commandoes dropped from a helicopter onto the Turkish passenger ship, Mavi Marmara, and began to shoot the moment their feet hit the deck.
They fired directly into the crowd of civilians asleep. According to the live video from the ship, two have been killed, and 31 injured. Al Jazeera has just confirmed the numbers.
Streaming video shows the Israeli soldiers shooting at civilians, and our last SPOT beacon said, “HELP, we are being contacted by the Israelis.”
As things currently stand 20 people are thought to have been killed in the attack.
While the IDF and the Israeli government claim that their soldiers were attacked by violent political agitators wielding knives, several videos of those on board the boats and scenes from their voyage reveal that they are peaceful civilians that could not possibly constitute any threat to one of the most powerful armies on the planet.
In the following clip American born pro-Palestinian activist Huwaida Arraf, the Free Gaza Movement chairperson and delegation co-coordinator for the flotilla, explains the mission of the flotilla noting that “Israel is threatening to attack us, to use force if necessary when it is obvious that we are average civilians, we don’t constitute any threat except for the fact that we want to stand up for the right of the Palestinian people to lead a life with dignity.”

Arraf is also the co-founder of the International Solidarity Movement (ISM), the stated mission of which is to “resist the Israeli occupation of the West Bank using nonviolent tactics”.
Just before being kidnapped by Israel, Arraf stated that: “No one could possibly believe that our small boat constitutes any sort of threat to Israel. We carry medical and reconstruction supplies, and children’s toys. Our passengers include a Nobel peace prize laureate and a former U.S. congressperson. Our boat was searched and received a security clearance by Cypriot Port Authorities before we departed, and at no time did we ever approach Israeli waters.”
As this Reuters clip from almost two weeks ago highlights, the activists and humanitarian workers were outraged at the fact that the Israeli government openly announced that it would use force against unarmed civilians if they attempted to break the blockade against Gaza:

Here is another video of one of the activists involved with the Freedom Flotilla, Irishman Shane Dillon, Mate on Challenger 1. The scenes aboard the boat clearly show that this was a humanitarian mission, not some kind of dangerous guerilla fleet:

The boat in this clip, in addition to another boat, Challenger II, are are flagged and registered in the United States which means they are U.S. territory.
The Free Gaza movement has stated “Therefore we expect the U.S. government to intervene if U.S. property is wrongly confiscated by Israeli authorities as they have threatened.”
The ships, manned by 700-800 activists and politicians from more than 40 countries, are carrying 10,000 tonnes of cargo including building materials, medical supplies and paper for schools. One boat is carrying a complete dental surgery including drills, another has crayons and chocolate intended for Gazan children. All the cargo has been paid for by public donations.
Other videos and images of the flotilla featured on the Witnessgaza.com website show that the boats were clearly marked as humanitarian vessels:

For elements of the mainstream media to publish, without any challenge, comments by Israeli officials claiming that this mission was violent or dangerous in any way shape or form is utterly reprehensible.
Not content with violating every international humanitarian agreement there is, the Israeli government with its latest actions is now engaged in violation of the UN convention on the Law of The Sea, which provides for “freedom of navigation” and states that “The high seas shall be reserved for peaceful purposes.”
The Palestinian people have been preparing for over a month to receive the aid boats, working on deepening the harbour in Gaza:

Now thanks to the Israeli “heroes” that ambushed and slaughtered sleeping humanitarians in the night, all that hard work will go unrewarded.

Boucherie israélienne en pleine mer

Publié le mardi 1er juin 2010 sur le site info-palestine.net
par Gilad Atzmon/Dissident Voice

C’est maintenant aux nations de bouger, et de faire monter une pression décisive sur Israël et ses citoyens... Dès maintenant, tout Israélien doit être considéré comme un criminel de guerre, sauf preuve contraire. 
Certains de ceux qui ont ordonné cette boucherie
Au moment où j’écris ce texte, l’ampleur de la tuerie meurtrière israélienne en mer n’est pas encore bien connue. Cependant, nous savons déjà que vers 4 h du matin, heure de Gaza, des centaines de commandos des forces de défense israéliennes ont pris d’assaut la flottille du mouvement international humanitaire, Free Gaza. Nous apprenons de la presse arabe qu’au moins 16 (19) militants pour la paix ont été assassinés et plus de 50, blessés. Une fois encore, il est terriblement évident qu’Israël n’essaie pas de cacher sa véritable nature : une entreprise collective meurtrière inhumaine, alimentée par une psychose et conduite par la paranoïa.

Pendant des jours, le gouvernement israélien a préparé la société israélienne à ce massacre en mer. Il a prétendu que la Flottille transportait des armes, qu’il y avait des « terroristes » à bord. C’est seulement hier soir qu’il m’est apparu que cette campagne médiatique malveillante d’Israël était lancée pour préparer l’opinion israélienne à une opération militaire meurtrière et de grande ampleur, dans les eaux internationales. Ne vous méprenez pas. Si je n’ai vu qu’hier soir où Israël allait exactement et quelles seraient les conséquences possibles, le cabinet israélien et l’élite militaire en ont été pleinement conscients tout au long du processus. Ce qui s’est passé n’est pas juste une attaque de pirates terroriste. C’est en réalité un assassinat en plein jour, même s’il s’est produit dans l’obscurité.

Hier à 22 h, j’ai contacté Free Gaza et j’ai partagé avec eux tout ce que je savais. J’ai évidement compris que ces centaines de militants pour la paix, la plupart des gens assez âgés, avaient peu de chances contre la machine à tuer israélienne. J’ai prié toute la nuit pour nos frères et sœurs. A 5 h (GMT) ce matin, la nouvelle a éclaté dans le monde. Dans les eaux internationales, Israël venait d’attaquer le convoi international innocent, des navires qui transportent du ciment, du papier et de l’aide médicale pour les Gazaouis assiégés. Les Israéliens ont utilisé des balles réelles, tuant et blessant tout autour d’eux.

Aujourd’hui, nous allons assister à des manifestations à travers le monde, à de nombreuses manifestations de deuil. Nous verrons même quelques amis d’Israël « prendre position » contre le massacre. De toute évidence, ça ne suffira pas.

Le massacre qui a eu lieu était une opération israélienne préméditée. Israël voulait du sang, parce qu’il croit que sa « puissance de dissuasion » grandit avec le nombre de morts qu’il laisse derrière lui. La décision israélienne d’utiliser des centaines de commandos contre des civils a été prise par le cabinet israélien et le haut commandement militaire israélien. Ce que nous avons vu, ce n’est pas juste un échec sur le terrain. Il s’agit en réalité d’un échec institutionnel d’une société morbide qui, depuis longtemps, a perdu tout contact avec l’humanité.

Ce n’est pas un secret que les Palestiniens vivent sous un siège depuis des années. Mais c’est maintenant aux nations de bouger, et de faire monter une pression décisive sur Israël et ses citoyens. Etant donné que ce massacre a été perpétré par une armée populaire qui a suivi les instructions données par un gouvernement « démocratiquement élu », dès maintenant, tout Israélien doit être considéré comme un criminel de guerre, sauf preuve contraire.

Considérant le fait qu’Israël a pris d’assaut des navires battant pavillon irlandais, turc et grec, les membres de Nations unies et les pays de l’Union européenne doivent immédiatement cesser toute relation avec Israël et fermer leur espace aérien aux avions israéliens.

Considérant les dernières infos d’hier selon lesquelles des sous-marins nucléaires israéliens se trouvent dans le Golfe, le monde doit réagir rapidement et sévèrement.

Israël est dorénavant officiellement dément et assassin. L’Etat juif n’est pas simplement insouciant de la vie humaine, comme nous l’avons cru durant sa campagne de presse qui a mené à cette boucherie, Israël en réalité, prend plaisir à infliger la souffrance et la dévastation aux autres.

Gilad Atzmon est écrivain et musicien de jazz, il vit à Londres. Son dernier CD : In Loving Memory of America.
Son site : 
http://www.gilad.co.uk/

31 mai 2010, 11:58 AM - Gilad Atzmon - Vidéo sur Dissident Voice - traduction : JPP

Lien de l'article: http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=8817



Sheikh Raed Salah, blessé d’une balle dans la tête, est dans un état critique

Publié le lundi 31 mai 2010 sur le site info-palestine.net (lundi 31 mai: 16h34)
par Ma’an News


Sheikh Raed Salah a été grièvement blessé par les forces israéliennes qui ont attaqué « la Flottille de la Liberté » lundi matin, et il est actuellement traité à l’hôpital Tel Hashomer Israël pour une blessure par balle à la tête. 

Sheikh Raed Salah, président du mouvement islamique en Israël 

Salah est le dirigeant de la branche nord du Mouvement islamique en Israël. Des protestations massives sont attendues dans le nord, les citoyens palestiniens d’Israël qualifiant dès à présent l’incident de tentative d’assassinat.

Salah avait annoncé sa participation à la flottille lors d’une conférence en Allemagne il y a trois semaines, au cours de laquelle il a appelé les Palestiniens de la Diaspora à continuer à lutter pour leur droit au retour.

Salah s’était vu récemment interdire l’entrée dans la mosquée Al-Aqsa suite à des accusations selon lesquelles il avait, en 2007, agressé un officier israélien lors des manifestations sur le site sacré où il a mené des mobilisations contre les fouilles israéliennes autour d’Al-Aqsa.

Il avait appelé les responsables musulmans et chrétiens à tenir une réunion à Jérusalem-Est pour faire valoir leur opposition à ces fouilles. Mais la réunion avait été interdite par les autorités israéliennes [d’occupation] qui affirmaient que l’organisation à l’origine de la réunion, la Fondation Al-Aqsa, était affiliée au Hamas [mouvement de la résistance palestinienne].

Les organisateurs ont alors insisté sur la tenue de la réunion et l’ont transférée dans un autre hôtel, mais les forces israéliennes sont intervenues et ont cassé le rassemblement. Salah avait ensuite déclaré au journal britannique The Guardian : « le comportement des forces de sécurité israéliennes est infantile... »

Salah avait été acquitté de toutes les charges le mois dernier.

En mai 2003, Salah avait été arrêté et détenu par les forces israéliennes sur l’accusation de financer le Hamas, et il avait purgé deux ans dans une prison israélienne. À sa libération une interdiction de voyager a été émise contre lui, l’empêchant de quitter les frontières contrôlées par Israël et lui imposant de se présenter auprès de la police tous les mois.

Cheikh Salah a fait plusieurs observations sur la relation des juifs avec le Mur des Lamentations, certifiant que ce mur faisait partie du complexe d’al-Aqsa. Salah a été cité par le site électronique du journal israélien Yedioth Aharonoth comme disant que « Le Mur des Lamentations - sur toutes les diverses parties, les structures et les portes, [...] est une partie inséparable du complexe d’al Aqsa. Celui qui dit que les juifs ou l’establishment israélien a des droits sur al-Aqsa, même sur une seule pierre, commet une attaque abominable, un mensonge totalement infondé. »

31 mai 2010 - Ma’an News - Vous pouvez consulter cet article à :
http://www.maannews.net/eng/ViewDet...
Traduction : Info-Palestine.net

Lien de l'article: http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=8815


Global Outrage as Israel Kills 20 on Aid Flotilla


By Christopher Bollyn,
www.bollyn.com 
May 31, 2010

 

At least 15 civilians were killed by Israeli forces on 31 May 2010 when the Israelis launched a pre-dawn commando raid on the international civilian aid flotilla headed for the blockaded population of Gaza. The Israeli raid occurred in international waters which makes it a "gross breach of international law", as a statement from the Turkish Foreign Ministry noted.



Israeli attacks on Gaza aid fleet "a gross breach of international law"
Israeli forces have attacked a flotilla of aid-carrying ships aiming to break the country's siege on Gaza. At least 15 people were killed and dozens injured when troops intercepted the convoy of ships dubbed the Freedom Flotilla early on Monday, the Israeli military said.

The flotilla was attacked in international waters, 65km off the Gaza coast.


Footage from the flotilla's lead vessel, the Mavi Marmara, showed armed Israeli soldiers boarding the ship and helicopters flying overhead. Al Jazeera's Jamal Elshayyal, on board the Mavi Marmara, said Israeli troops had used live ammunition during the operation.

The Free Gaza Movement, the organisers of the flotilla, said Israeli troops opened fire as soon as they stormed the convoy. Our correspondent said that a white surrender flag was raised from the ship and there was no live fire coming from the passengers.

Before losing communication with our correspondent, a voice in Hebrew was clearly heard saying: "Everyone shut up".




International Outrage:
"People certainly have the right to resist if they're being attacked. We taught our Free Gaza Movement people to be non-violent, and the Turks did the same, but if anyone resisted, it was in response to soldiers opening fire on them when they hit the deck."
- Greta Berlin, one of the flotilla organisers, rejecting Israel's claim that the activists were the first ones to start shooting. Berlin said there were no weapons on board the boats, and that any violence from the activists would have been in self-defense.

“The attack clearly shows Israel's aggressive nature and its disrespect to international and humanitarian rules and laws. We call on the international community to take immediate steps against Israel, a rogue state that practices all forms of terrorism and piracy, and instigates tension and instability in the region and in the middle of the Mediterranean Sea.”
- Amr Moussa, Secretary General, Arab League
“The Palestinian leadership is closely following the developments and the President calls on the United Nations to confront Israel, which is disregarding all international laws and norms. The attack on the Flotilla is an attack against humanity. This incident will have grave consequences in the region and the world.”
- Palestinian President Mahmoud Abbas
“The Israeli attack on the aid convoy is a dangerous and crazy step that will exacerbate tensions in the region. Lebanon firmly denounces this attack and calls on the international community, notably major powers... to take action in order to end this continued violation of human rights and threat to international peace.”
- Saad Hariri, Prime Minister of Lebanon

“The interception on the convoy is unacceptable ... Israel will have to bear the consequences of its actions. We strongly condemn it and await an immediate explanation. By targeting innocent civilians, Israel has once again clearly displayed that does not value human lives and peaceful initiatives. We forcefully condemn these inhumane activities by Israel. The incident that occurred in open sea -- which is a gross breach of international law -- could cause irrevocable consequences for our relations. We wish to express our condolences to the bereaved families of the deceased, and swift recovery to the wounded.”
- Statement from Turkish Foreign Ministry
Sources:
"Israel attacks Gaza aid fleet", Al Jazeera, May 31, 2010
http://english.aljazeera.net/news/middleeast/2010/05/201053133047995359.html

"Outrage over Israel attack", Al Jazeera, May 31, 2010


Al-Khatib : la situation du Cheikh Raed Salah est très critique (12h07)

Al-Nassera – CPI
www.palestine-info.info
Le vice-président du mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948, Kamal al-Khatib, a affirmé que la blessure du Cheikh Raed Salah est très critique.

"Le cheikh Raed Salah va subir plusieurs opérations chirurgicale, à la tête, après qu'il a été attaqué violemment par les forces sionistes; sa situation est très critique", a dit al-Khatib en déclarant qu'il se trouve à l'hôpital de Tel Hachoumir, à Tel-Aviv.

Il a ajouté qu'Allah seulement peut sauver la vie du Cheikh Raed Salah.

Israel kill 22 peace activists and humanitarian workers

The Israeli navy has stormed one of six ships carrying humanitarian aid to the Gaza strip, with at least two people reported killed.

Israel's Channel 10 private TV puts the death toll at about 14. Israel has so far declined to comment.

The exact location of the interception is unclear. Israel had warned the ships not to enter its territorial waters.

The ships are carrying 10,000 tonnes of aid to the Gaza Strip in an effort to break an Israeli blockade.

Turkish TV pictures taken on board the Turkish ship leading the flotilla show Israeli soldiers fighting to control passengers.

The footage showed a number of people, apparently injured, lying on the ground. The sound of gunshots could be heard. It is not clear whether the fighting is ongoing.

Al-Jazeera TV reported from the same ship that Israeli navy forces had fired and boarded the vessel, wounding the captain.

The Al-Jazeera broadcast ended with a voice shouting in Hebrew, "Everybody shut up!"

Organisers of the flotilla say at least 30 people were wounded in the incident.
"Provocation'

The six-ship flotilla left international waters off the coast of Cyprus on Sunday and was expected to arrive in Gaza later on Monday.

Israel has said it would stop the boats, calling the campaign a "provocation intended to delegitimise Israel".

An economic blockade was imposed by Israel after the Islamist movement Hamas took power in Gaza.

Israel says it allows about 15,000 tones of humanitarian aid into Gaza every week.

But the United Nations says this is less than a quarter of what is needed.

Hamas, a militant palestinian group that controls the Gaza strip, has fired thousands of rockets into Israel over the past decade.


Afghanistan : Les Empires viennent mourir aux pieds des montagnes afghanes !!

Zouhair Lahna
Samedi 29 Mai 2010

Les Empires viennent mourir aux pieds des montagnes afghanes !!


Je me souviens des derniers jours que j’ai passé en Afghanistan juste après les attentats du 11 septembre 2001. J’ai du évacuer le pays avec mes collègues humanitaires d’Aide Médicale Internationale laissant derrière nous les afghans face à leur sort, qui se décidait à des milliers de kilomètres, dans un bureau ovale. La plupart des Afghans ordinaires sont des ruraux, ils ne connaissait ni New York, ni Oussama Ben Laden. Le ciel leur est tombé dessus, ensuite ils ont vu débarquer chez eux des soldats arrogants, leurs donnant des ordres et leurs infligeant des forfaits. C’est du déjà vu !!

Après le choc des attentats du World Trade Center. L’émotion fût immense, ne donnant plus place à la raison. Les coupables nommés sans preuves ni jugement. La loi du Far-West s’abat sans que cela fasse sourciller qui que se soit. Les pays arabes et musulmans dont sont issus les méchants désignés n’étaient pas en reste. Cédant aux amalgames savamment concoctés, ils ont béni à leurs tour cette expédition. La terreur aveugle ne faisant pas partie des enseignements de l’Islam, la condamnation fût unanime. Les rares voix qui demandaient des preuves ou qui disaient que le Pentagone n’a pas été attaqué par un avion, étaient tout simplement ignorées sinon stigmatisées.

Les jours qui ont suivi les attentats du 11 septembre et la requête des Talibans vis à vis des américains de leur fournir des preuves que le forfait a été commis par leur hôte d’alors Oussama Ben Laden. Des principes de base, que bien des musulmans ont oublié : On ne livre jamais un musulman à un Non musulman sans preuves de sa culpabilité. L’opinion publique internationale croyait les affirmations des responsables américains et de leurs services secrets comme des vérités absolues sans aucune preuve matérielle. Alors les américains ont exécuté leur 1er plan, celui d’envahir ce pays « facile » l’Afghanistan, prélude à un autre réputé plus important et plus coriace, l’Iraq. Là encore, un autre alibi celui des ‘’ Armes de Destruction Massives’’ a été avancé et martelé et il s’est avéré un mensonge caractérisé.

Force est de constater que les Think tanks américains d’alors, va-t-en guerre, grisés par la superpuissance militaire, ignorent les enseignements de l’histoire des peuples. Bientôt une dizaine d’année de ‘’guerre contre le terrorisme’’ sur le sol Afghan et les résultats sont loin d’être satisfaisants même pour les meneurs de cette expédition. Bien au contraire, le camp des Talibans s’est revigoré, soutenu par une population farouche et un terrain favorable. Sans parler de la légitimité religieuse dont les combattants tirent leurs forces.

M. Barack OBAMA, le curieux prix Nobel de la paix a choisi sa « bonne guerre » en augmentant le contingent américain de 40 000 soldats supplémentaires, dépassant les cent mille soldats. Quand le Soft Power ne marche pas comme partout ailleurs dans les autres pays musulmans sans gloire, les américains passent au Hard Power et toute leur puissance de feu. Et désormais, on utilise dans les guerres des mercenaires, qui échappent à la justice en cas de bavures. Leurs morts ne sont plus comptabilisés évitant ainsi d’annoncer un nombre réel de combattants décédés, afin de ne pas égratigner la sensibilité de l’opinion publique américaine. Quand aux pertes humaines afghanes et des familles détruites, ils n’ont pas d’importance aux yeux de leurs agresseurs. Une fois l’adversaire déshumanisé, le soldat ou le mercenaire pourra lui infliger tous les supplices imaginables. Dans l’esprit de pas mal de personnes, les afghans en général et les combattants talibans en particuliers sont des gens archaïques qui n’ont pas les mêmes ‘’valeurs universels’’ que l’occident évolué, par conséquent leur mort n’a pas la même importance et leur asservissement pourrait être légitime.

Imprégné par ces idées reçus et reniant ses propres valeurs humaines dans ce conflit, l’opinion publique internationale reste atone. Tétanisée , l’intelligentsia occidentale ne réagit que mollement à toutes les exactions commises par les armées dans ce pays depuis 2001. Rappelons que les objectifs premiers étaient la capture des dirigeants de la fameuse organisation Al Qaida et de bannir les Talibans. Aucun des objectifs n’a été atteint. Les dirigeants d’Al Qaida se sont évaporés ; Quand aux fameux Talibans caricaturaux, force est de constater qu’ils sont de plus en plus importunant et résistants. Détournés des objectifs premiers, on nous annonce actuellement la volonté à aider le pays vers « la bonne gouvernance » et bien entendu « la libéralisation de la femme ». La femme afghane a bon dos. Le joker qu’on sort toujours pour convaincre l’opinion publique occidentale de la légitimité de tuer un peu plus et de bombarder un peu plus. C’est pour faire le bien des peuples, alors c’est légitime. Drôle de concept et drôles de public qui se laisse convaincre par de pareilles aberrances.

Quand j’ai été à Peshawar, au Pakistan, j’avais vu une fresque qui a attiré mon intention dans le hall d’un hôtel. L’image d’un cavalier plié de fatigue sur sa monture errant entre les steppes, les montagnes en arrière plan. Le jeune administrateur afghan qui travaillait pour Aide Médicale Internationale m’a appris, sans dissimuler sa fierté, qu’il s’agit d’une relique d’un des rares soldats qui ont échappé à la mort lors d’une des expéditions anglaises. Trois expéditions anglaises, trois échecs plus ou moins grinçants pour les Anglais et une certitude : Que l’Afghanistan est indomptable. La suite de ce qui est advenu de l’empire Britannique est connue.

Les Soviétiques n’ont pas eu plus de bonne fortune. Le Président communiste NAJIBULLAH, installé par les communistes, en voyant les troupes Soviétiques partir en Mai 1988 ne s’en doutait, ni de son destin funeste, ni du démantèlement de l’Union Soviétique et par ricochet de tout le bloc de l’Est. Cette débandade à l’Est nous dit-on était du fait de l’Oncle Sam. Pas si sûr !!! Le président mal élu Hamid KARZAI, un poil ‘transculturé’, devrait s’intéresser à l’histoire, parce qu’elle a tendance à bégayer dans un pays si attaché à la tradition.

Les Afghans, installés dans leur culture, immuable depuis des siècles, l’utilisent comme antidote à la puissance technologique Américaine. La foi musulmane donne aux combattants Talibans, une proximité avec la mort, sans en avoir peur, le martyr faisant partie de leur culture. D’autant plus qu’ils défendent leur terre contre des envahisseurs ‘’ impies’’. Ils ne font pas de différence entre les nationalités de la coalisation de l’ISAF ou de l’OTAN. Considèrent Hamid KARZAI, ses ministres et ses soldats comme des traîtres qu’il faut combattre au même titre que les envahisseurs. Et pour finir, ils n’acceptent aucune négociation et restent bien évidement réfractaires à toutes les tentatives de corruption. C’est que les afghans appartiennent à un royaume insolent qui ne tolère pas le colonialisme.

La machine médiatique est en marche, elle aveugle les opinions internationales. S’efforçant de leur donner une vision tronquée des réalités du terrain. Tous les experts militaires et humanitaires savent qu’il ne s’agit plus qu’une guerre d’usure, et que cette guerre de Goliath contre David ne peut être gagnée. Des voix s’élèvent pour conseiller aux américains un calendrier de retrait des soldats, afin d’aménager une porte de sortie honorable. Mais ils sont confrontés à la fois à l’arrogance des Yankees qui entraînent tout l’OTAN dans son sillage ; et aux manœuvres des Sionistes qui ne peuvent laisser des résistants afghans catalogués Jihadistes Salafistes sortir vainqueurs de cette confrontation. La défaite inéluctable selon les experts et les observateurs, risquera par contre, de mettre sur la table des questions cruciales en Occident sur l’intérêt des armées hyperpuissantes et coûteuses payées par l’argent des contribuables. Et surtout faire des émules dans pas mal d’endroits du monde musulman à feu et à sang depuis des décennies.

Zouhair Lahna 
Ancien vice président d’Aide Médicale Internationale

http://www.alterinfo.net/Les-Empires-viennent-mourir-aux-pieds-des-montagnes-afghanes-_a46674.html




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