10 août 2017

C'est Israel que les occidentaux accusent de terrorisme pas les Musulmans


http://pascasher.blogspot.com/

Note du traducteur : WTC désigne ici le complexe du World Trade CenterMaintenant qu'une revue scientifique révisée par les pairs a finalement publié la preuve de l'arme du crime (c'est-à-dire la nano-thermite inerte), démontrant hors de tout doute que les tours du World Trade Center (WTC) 1, 2 et 7 ont été détruites par démolition contrôlée, voici d'autres faits à considérer.



Ce ne sont pas des musulmans dans une grotte afghane qui ont pu avoir accès à de la nano-thermitehautement énergique. Ce sont plutôt l'armée américaine et les scientifiques du gouvernement, tels que ceux liés au NIST.



Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction ayant obtenu un contrat de 124 millions de dollars pour la construction de la Naval Sea Systems Command (NAVSEA), à Washington DC, qui supervise l’ Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), lequel a été qualifié dans les années 90 de « Centre national d’énergétique », le terme militaire pour « travail avec des explosifs », et qui était en 199-2000 la « seule source fiable de nano-poudre d'aluminium aux États-Unis ». C’est plutôt Tom Leppert, qui le 11 septembre était PDG de Turner Construction, et qui a même écrit des parties de discours présidentiel.


Ce ne sont pas des musulmans qui exploitaient une entreprise de construction qui a supervisé en 2000 la démolition du dôme de Seattle (le Seatle King Dome); qui ont participé après le 11 septembre à la collecte de l'épave de la structure d'acier des tours du WTC et effectué d'importantes rénovations dans l'ensemble du complexe du WTC jusqu'à la matinée du 11 septembre, incluant la protection ignifuge des mêmes planchers qui ont été frappés par les avions et, par la suite "ont failli", alors que l'acier avait été certifié ASTM E119 par Universal Laboratories, et alors qu’au coursdes essais parrainés par le NIST sur des planchers similairessoumis à une plus grande chaleur et avec moins de protection ignifuge que celle du WTC, les échantillons « ont été en mesure de soutenir le stress maximal admissible » sans s'effondrer et pour toute la durée des tests (2 à 3.5 heures). Le 11 septembre, c’est en fait Tom Leppert qui était PDG de Turner Construction et qui reçut ensuite le prix Torch of conscience (flambeau de la conscience) du Congrès juif des États-Unis.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait des tests de caméra sur les tours du WTC avant le premier impact des avions, qui ont dansé et célébré en se tapant dans les mains avant le second impact, alors que la plupart des spectateurs croyaient encore que c'était un terrible accident; et qui ont été pris avec des passeports étrangers, 4700 $ cachés dans une chaussette, des cartes géographiques mettant en évidence certains endroits de la ville et une fourgonnette testée positive pour les traces d'explosifs. Ce sont plutôt les Israéliens Sivan Kurzberg, Paul Kurzberg, YaronShmuel, Oded Ellner et Omer Marmari, dont plusieurs ont été identifiés comme agents du Mossad, qui ont avoué avoir été mandatés de « documenter l'événement ».


Ce ne sont pas des musulmans qui ont été capturés le 11 septembre, travaillant en équipe avec des camionnettes pleines d'explosifs, qui ont tenté de faire sauter le pont George Washington avec l’une de ces camionnettes, qui ont fait sauter une camionnette (peinte avec une image montrant des avionsplongeant sur New Yorkentre la 6e et la 7e av. sur la Rue King. Ce sont plutôt des Israéliens, ce qui explique pourquoi les autorités ont fait de leur mieux pour ignorer et enterrer ces rapports,incluant celui qui rapporte une camionnette suspecte dans le sous-sol du WTC et qui l’on a fait exploser pour affaiblir la structure.


Ce ne sont pas des musulmans qui se sont faits prendre, peu après minuit le 7 Mai 2002, à proximité de la base aérienne de Whidbey Island, à Oak Harbor, Washington, (où la marine effectue des essais de munitions explosives pour des unités mobiles anti-bombe au détriment de la vie marine locale), avec un camion de location qui a testé positif à la présence de plastique explosif (TNT et RDX).

Ce sont plutôt des Israéliens, déguisés en "livreurs de meubles", mais suspects selon les autorités en raison de l'heure matinale. Les affirmations subséquentes des autorités, selon lesquelles la réaction des chiens et les premiers tests d'explosifs étaient erronés, est tellement pleine de trous que cela ne fait que démontrer la puissance du lobby israélien.


Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à New York le 11 septembre et à Londres le matin des attaques du 7 juillet. C’étaient plutôt Benjamin Netanyahu et Rudy Giuliani.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont fournit un avertissement avant les attaques du 7 juillet à Londres. Ce sont plutôt Benjamin Netanyahu et le Mossad.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont transmis un avertissement deux heures avant les attentats contre le WTC, par l'intermédiaire d'une messagerie instantanée basée à Herzliya. Ce sont plutôt des Israéliens.


Ce n'est pas un musulman qui a fui les États-Unis le 14 Septembre 2001, c’est plutôt Dominick Suter de Urban Moving Systems (une entreprise de déménageurs) qui a fui en Israël.
Ce ne sont pas plus d’une centaine de musulmans qui, de janvier 2000 à septembre 2001, se sont fait passer pour « des étudiants en art » et tenté de pénétrer les bureaux de la US Drug Enforcement Agency (DEA) et autres bureaux fédéraux, incluant 36 lieux sensibles du Ministère de la défense (DoD); qui ont été capturés avec des plans de bâtiments et des photographies d’agents de sécurité fédéraux; et qui ont plusieurs fois contourné la sécurité en entrant par les portes arrières ou les garages de stationnement et qui sont même entrés dans les maisons de hauts fonctionnaires fédéraux, en évitant celles de leurs voisins. Ce sont plutôt des Israéliens, aucun d’eux n'étant étudiant en arts, mais ayant souvent travaillé pour les services de renseignement militaire israélien.


Pas surprenant que la presse ait laissé sortir l’information de manière limitées en essayant de faire croire que les Israéliens « surveillaient les pirates de l'air arabes" mais ou bien ils ont failli à transmettre l'information, ou bien "l'info n'a pas été prise au sérieux"; c’est le vieux cliché de «l'échec des services de renseignement ». Les opérations israéliennes impliquant de faux " étudiants en arts" sont bien documentées, avec des noms et des descriptions. Un nombre particulièrementélevé de ces Israéliens logeaient à Irving, Dallas au Texas (p.23, lien précédent), à environ dix miles à l'ouest de la maison de Tom Leppert, située à juste un mile au nord de la maison dans laquelle George W. Bush a emménagé après avoir quitté ses fonctions.
Ce ne sont pas les pays musulmans qui ont un énorme réseau d’espionnage aux États-Unis, capable de s'infiltrer dans les réseaux de télécommunication américains utilisant l'information recueillie à des fins de chantage, c'est plutôt Israël.


Le 10 septembre 2001, ce ne sont pas des musulmans qui ont reçu l’avertissement de ne pas prendre l'avion le lendemain, ce sont plutôt le maire de San Francisco Willie Brown et un groupe de hautsfonctionnaires du Pentagone.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont signé un bail de 99 ans sur les tours jumelles du WTC (lesbâtiments 4 et 5 avec 400 000 pieds carrés d'espace de vente), qu’ils ont assuré pour des milliards de dollars contre des attaques terroristes éventuelles, cela six semaines avant les attaques terroristes réelles, et qui ont ensuite engagé (pour la déclaration de sinistre) un « ingénieur en structure » qui affirme à tort que l'acier perd la moitié de sa force à « 400 degrés ». Ce sont plutôt Larry Silverstein(accord négocié par Lewis Eisenberg de la Port Authority), l'ami de Benjamin Netanyahu (ainsi que d'Ariel Sharon et Ehud Barak) ainsi que son partenaire australien milliardaire et « survivant de l'Holocauste » Frank Lowy. Ce dernier s’est battu dans « le mouvement clandestin juif »; a été impliqué dans un scandale de corruption bancaire de haut niveau avec le premier ministre israélien Ehud Olmert; est connu pour avoir fait des pots de vin à Lord (Michael Abraham) Levy; et a étéarrêté plusieurs fois en lien avec un scandale « du fric pour l'honneur » (Levy était "partenaire de tennis" et conseiller de Tony Blair).


Ce ne sont pas des musulmans qui ont la réputation de perpétrer des incendies criminels pour ensuite réclamer des dédommagements aux compagnies d'assurance, tel que le suggère l'expression nouvellement employée « foudre musulmane ». Ce sont plutôt des Juifs, comme en témoigne l'expression bien connue « foudre juive ».


Ce ne sont pas des musulmans qui avaient l’habitude de déjeuner au restaurant Windows of the World, situé aux 106e et 107e étages de la tour Nord du WTC, mais qui (par une étrange coïncidence) étaient absents le jour fatidique du 11 septembre, évitant ainsi le triste sort des occupants (aucun survivant dans les étages situés au-dessus de l'impact d'avion à 8h46 AM). C’est plutôt Larry Silverstein, épargné en raison d'un « rendez-vous chez le dermatologue », qui a aussi sauvé ses deux enfants qui travaillaient chez Silverstein Properties.


Ce n'est pas un musulman - qui a annoncé à la télévision peu après l'attaque que tous que " Cela... est certainement la marque d’un individu comme Ben Laden » et que les tours du WTC se sont effondrées en raison de "la vitesse de l'avion" et de "la chaleur intense, qui a aussi sans doute affaibli la structure";

- qui, le même jour, aurait conseillé le Cipro à la Maison Blanche, un antibiotique efficace contre l'anthrax, tout juste sept jours avant le début de la campagne de terreur impliquant les lettres contaminées à l'anthrax destinées aux sénateurs démocrates et aux bureaux des médias;
- qui le 11 septembre était le directeur de la division de ‘gestion de crise et des impacts’ chez KrollAssociates;


- qui était conseiller au Council on Foreign Relations (CFR) concernant la « surveillance épidémiologique » et conseiller à la sécurité nationale au National Institute of Health (NIH);
- qui offert un poste de chef de la sécurité du WTC à son "ami" John O'Neill.C'est plutôt Jerome Hauer.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont mené une campagne de terreur en envoyant des lettres contenant des spores du bacille du charbon dont la charge électrostatique a été altérée pour en faciliter la dispersion, de l'anthrax de qualité militaire en provenance du laboratoire de l'US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases (USAMRIID) à Fort Detrick.

Ce n'est pas non plus le suspect retenu par le FBI qui l’a fait, le catholique Bruce Ivins, qui, contrairement aux vrais auteurs des attaques du 11 septembre, n'avait aucune raison de cibler ainsi les médias et les sénateurs de l'opposition, pour les forcer à accepter aveuglément et sous la peur la théorie de la conspiration des « pirates de l'air Arabes ». Ivins est mort d'une surdose, d’un présumé "suicide" enjuillet 2008, après que le FBI eut renoncé à jeter le blâme sur Steven Hatfill parce qu'il n'y avait pas un seul petit élément de preuve contre luiLogiquement, M. Philip Zack devrait être un suspect, puisqu’il a quitté Fort Detrick dans des circonstances nébuleuses en décembre 1991 après avoir dirigé une clique dénommée le "Camel Club", qui faisait du harcèlement racial contre le Dr égyptien Assaad Ayaad. Une enquête de 1992 a révélé que Zack a été filmé par une caméra de surveillance entrant dans un bâtiment du laboratoire de Fort Detrick à 20:40, le 23 janvier 1992, grâce au Dr. Marian Rippy, un pathologiste de labo et proche ami de Zack. L'enquête a egalement montré que quelqu'un était entré secrètement dans un laboratoire durant la nuit pour y conduire des recherches non autorisées, à l'évidence sur l'anthrax de qualité militaire.




Ce n’est pas un musulman qui a affirmé avoir été tué sur le supposé « Vol 77 » d'American Airlines, avoir vécu à Silver Spring au Maryland (comme le fit un certain Rabbin Dr. Dov Zakheim), et avoir travaillé sur des projets top-secrets "très noirs" à l'Indian Head Naval Surface Warfare Center (NSWC-IH), comme "chef de file réputé en énergétique", dirigeant un «Centre de technologie de fabrication en énergie", réalisant de la "recherche de pointe en systèmes énergétiques" et "occupant un poste au Naval Ordnance Laboratory (aujourd'hui fermé), anciennement à White Oak au Maryland ", à quelques milles de Silver Spring. C’est plutôt William E. Caswell.

Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré avoir été tués sur le prétendu "vol 77" et qui ont travaillé pour le gouvernement ou la défense, particulièrement la marine. C’est John Yamnicky qui, étrangement, pour la première fois, n'a pas dit à sa fille qu'il partait en voyage, et qui, comme William Caswell, avait travaillé pour la marine sur des projets top-secret "très noirs". Il y en a d'autres, comme par exemple Charles Burlingame, ancien pilote de chasse de la marine qui avait l'habitude de travailler dans l’aile du Pentagone qui a été touchée, qui a formulé une réponse à l'éventualité d'un avion de ligne qui percuterait le Pentagone et dont la fille Wendy a ensuite trouvé la mort dans un « incendie suspect » dans un gratte-ciel de 50 étages au New Jersey en décembre 2006. Ou par exemple Wilson "Bud" Flagg, un ancien pilote d'American Airlines et amiral de la marine. Ou encore Stanley Hall, un expert de la technologie anti-radar et directeur de la gestion de programme à Raytheon, Bryan Jack, un cadre supérieur et haut analyste de budget qui a travaillé au Pentagone.

Chandler Keller, un ingénieur en propulsion de Boeing. Dong Lee, un ingénieur deBoeing qui a travaillé pour leur système de défense intégrée, et qui a travaillé pour la NSA pendant 14 ans. Barbara Olson, commentatrice à CNN et femme du procureur général des États-Unis, qui a affirmé avoir reçu des appels du "vol 77". Ruben Ornedo, un ingénieur en propulsion et communication satellite de Boeing. Robert Penniger, un ingénieur électrique pour BAE Systems.
Ainsi qu'une autre douzaine de prétendus « passagers du vol 77 » qui étaient liées à la défense et au gouvernement qui, nous dit-on, sont tous tombés par hasard sur ce vol exceptionnellement vide. Ces gens, bien-aimés, respectés, considérés honnêtes, de l’étoffe des héros, sont le type même de gens dont le travail pourrait avoir été horriblement exploité à leur insu, et que les auteurs du 11 septembre auraient cherché à éliminer pour les empêcher de parler après les attentats.

Ce ne sont pas des musulmans qui ont profité de la spéculation sur le transport aérien et les titresd'assurance tout juste avant le 11 septembre. Ce sont plutôt des Israéliens.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont concocté un canular sur des juifs pieux évitant le porcrejetant l'argent, aimant le célibat, la vérité, le courage, et les droits des animaux, qui étaient aussi des "pirates de l'air et pilotes », et dont près de la moitié se sont révélés plus tard être bien en vie.


Ce sont plutôt des Juifs qui ont concocté un canular à propos de buveurs d'alcool, amateurs de jeux de hasard, fréquentant des clubs de strip-teasecoureurs de jupons, des « musulmans pieux» qui étaient des « pirates-kamikazes et des pilotes », dont près de la moitié se sont révélés plus tard être bien en vie.


Ce n'est pas un musulman qui était ancien chef d'équipe dans une unité d'élite des forces spéciales et dont le père était un haut conseillersecrétaire et porteur du cercueil d'un homme qui, en 1937, étaitcommandant de l'Irgun Tzvai Leumi, une organisation terroriste juive responsable d'atrocités telles que le bombardement de l'hôtel King David. C’est plutôt Benjamin Netanyahu.


Ce n'est pas un musulman qui a été le mentor de Benzion, le père de Benjamin Netanyahu, et qui a écrit un article dans le magazine sioniste révisionniste Doar Hayom sous le tire "Du carnet d'un fasciste", louant Mussolini et se référant à un ancien commandant de l'IrgunZe'ev (Vladimir) Jabotinsky comme « notre Duce » (notre leader). C’est plutôt Abba Ahimeir, le fondateur du maximalisme révisionniste, une idéologie fasciste juive.


Ce ne sont pas des terroristes musulmans qui ont comploté pour assassiner le Secrétaire britannique aux affaires étrangères Ernest Bevin. Ce sont plutôt des terroristes juifs.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont orchestré et qui ont été pris en flagrant délit dans une opération terroriste de faux pavillon ratée en Égypte. C’est plutôt Israël.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont attaqué le navire USS Liberty, tuant ainsi 34 Américains, et qui ont fait pression pour que le président américain déclare finalement "Je me fous éperdument si tous les hommes se noient et si le navire coule. Je ne veux pas embarrasser nos alliés". C’est plutôt Israël.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont été évacués " le 9 novembre 2005 " (11 septembre selon les calendriers israélien et européen) juste avant les attaques terroristes d'Amman en Jordanie, apparemment en raison d'une menace à la sécurité, qui incluaient une explosion à l'hôtel Radisson causée par une bombe cachée dans un faux plafond (une étrange coïncidence car elle devait avoirété placée là d’avance). L'histoire officielle a ensuite raconté que c'était le travail de "kamikazes".



Ce n’étaient pas des musulmans qui ont été capturés et arrêtés à l'intérieur de la chambre du Congrès mexicain, le 10 octobre 2001, en possession de fusils, grenades, dynamite, détonateurs et câbles, posant comme des « photographes de presse ». C’étaient plutôt l'agent du Mossad Salvador Guersson Smecke et l'immigrant illégal israélien Saur Ben Zvi, au même moment où les sionistes bénéficiaient au maximum d'une opération de faux-pavillon qui allait mobiliser les appuis à une guerre contre les "terroristes musulmans" en Afghanistan, une guerre déclenchée juste trois joursauparavant.

Ce ne sont pas des musulmans qui ont été condamnés et emprisonnés pour une période de six mois en 2004 après avoir tenté d'obtenir frauduleusement un passeport néo-zélandais au nom d'un hommetétraplégique. Ce sont plutôt les agents du Mossad Uriel Kelman et Eli Cara qui cherchaient à créer une fausse identité pour Zev Barkan.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclaré connaître l'identité des "pirates de l'air kamikazes" Abdulaziz al-Omari et Saeed al-Ghamdi, alors que des individus ayant exactement les mêmes noms et autres détails personnels comme la date de naissance, profession et lieu de résidence se sont révélés par la suite être bien vivants. La population de l'Arabie saoudite en 1975 était de 7 180 000 et même si l'on considère leur haut taux annuel de natalité de 30 pour 1000, et si l'on ignore le tauxde mortalité infantile, le taux de natalité journalier était de seulement 590; il est donc hautement improbable que des personnes partagent les mêmes noms, dates de naissance, lieux de résidence et et professions.

Le passeport de al-Omari avait été volé en 1995 lorsque son appartement avait étécambriolé, à Denver au Colorado (un État où ont été actifs des agents du Mossad), et seuls des crétins voleraient l'identité de personnes ayant une apparence différente mais ayant le même nom, lieu de résidence, date de naissance et profession. Par conséquent, ces hypothétiques "pirates de l'air kamikazes" auraient dû avoir des noms tout à fait différents. C’est le FBI qui a publié une liste prétendant que les auteurs du 11 septembre incluaient Abdulaziz al-Omari et Saeed al-Ghamdi, enplus de plusieurs autres personnes qui se sont révélées bien vivantes. Même si le FBI a admis que certains pirates de l'air pourraient avoir utilisé des identités volées et qu'il n'y a « pas de preuve légale permettant de prouver l'identité des pirates de l'air kamikazes », il a nié avoir mal identifié les prétendus "pirates de l'air kamikazes" et a refusé de changer les noms, les photos ou les historiques sur leur liste - en essayant de se couvrir en incluant des multiples orthographes et alias.


Ce ne sont pas des musulmans qui étaient à l'origine du coup d'État raté en Turquie. C’est plutôt le crypto-Juif et pseudo-Rabbin agent du Mossad Tuncay Güney, qui a fui au Canada en 2004, et qui vivait en 2001 dans plusieurs villes du New Jersey, lesquels étaient des centres d'activité pour les opérateurs de Urban Moving Systems pour le Mossad.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont mis sur pied une "cellule d'Al-Qaïda" en Palestine. C’est plutôt le Mossad israélien.


Ce ne sont pas des musulmans qui avaient déjà la réputation, avant le 11 septembre, de mettre en scène des opérations terroristes de faux-pavillon, c'est-à-dire d’être capables de frapper les forces américaines pour ensuite en jeter le blâme sur un tiers. C’est plutôt le Mossad .


Ce n’est pas un musulman qui a infiltré le Pentagone et trahi son pays natal en vendant des documents classifiés à un autre pays, qui les a ensuite échangés avec l'URSS. C’est plutôt l'espion Jonathan Pollard, reconnu coupable de trahison résultant en la transmission à l'URSS de secrets nucléaires volés par l'intermédiaire d'Israël.


Ce ne sont pas des musulmans qui menaient un exercice dès 9h00 du matin le 11 septembre, exercice impliquant un avion s'écrasant dans une tour. Ce sont plutôt les responsables du Bureau deReconnaissance Nationale (NRB), à Chantilly en Virginie.


Ce n’est pas un musulman qui, en réponse à la question « Est-ce que les ordres tiennent toujours? » (parce qu’il n’avait pas encore réagi au fait qu'un aéronef avait dévié de dix miles de sa trajectoire et filait à toute vitesse vers le Pentagone, cela plus d'une demi-heure après que les tours jumelles aient été frappées par des avions), s'est retourné pour répondre: « Bien sûr, les ordres tiennent toujours. Avez-vous entendu quoi que ce soit suggérant le contraire?". C’est plutôt Dick Cheney.


Ce n’est pas un musulman qui a été le PDG d'une société qui a conçu le "système de terminaison de vol", un contrôle à distance électronique en mesure de détourner des avions en vol et de les orienter vers un objectif au moyen d'un "système de transmission de commande". C’est plutôt le Rabbi Dov Zakheim.


Ce n’est pas un musulman :- qui, conscient qu'une fraction de billions de dollars représente tout même des centaines de milliards de dollars, a occupé le poste de contrôleur du Pentagone en mai 2001, alors qu'il était déjà de notoriété publique que les systèmes comptables du Pentagone étaient dans le plus completdésarroi avec 6,9 billions $ "ajustés" dans une tentative de faire correspondre les chiffres;


- qui n’a pas imprimé les reçus de ces opérations de 2,3 billions $, opérations difficiles à repérer avec un système informatique pas encore intégré et avec de la vieille paperasse qui pourrait ensuite être efficacement éliminée grâce à un missile ou un crash d'avion qui détruirait l'aile de la division des vérifications comptables du Pentagone;



Ce n’est pas un musulman qui était à un petit déjeuner-réunion avec Donald Rumsfeld lorsque le premier avion a frappé le WTC, et qui était au Club sportif de la marine « quand l'avion qui a frappé le Pentagone est passé par dessus le Club sportif de la marine, est allé rebondir en bas de la colline et a frappé le côté du Pentagone ». C’est plutôt Thomas E. White, qui est lié à la fraude d'Enron, qui a participé à des voyages de JINSA en Israël, avec son épouse Susan en 1997, et qui a été introniséSecrétaire de l'Armée le 31 mai 2001, soit 27 jours après que George W. Bush ait nommé le rabbin Dov Zakheim comme sous-secrétaire de la Défense et contrôleur du PentagoneWhite et Zakheim avaient été placés par Bush au Pentagone, où plus de 2 billions $ ont été transigés sans reçus, alors que les finances du Pentagone étaient vulnérables à une « attaque terroriste » visant la division de vérification comptable, comme c’est pratique!


Ce ne sont pas des musulmans qui, en 2000 ont co-écrit un document réclamant un « nouveau PearlHarbor ». Ce sont plutôt Roger Barnett, Alvin Bernstein, Stephen Cambone, Eliot Cohen, Devon Gaffney Cross, Thomas Donnelly, David Epstein, David Fautua, Dan Goure, Donald Kagan, Fred Kagan, Robert Kagan, Robert Killebrew, William Kristol, Mark Lagon, James Lasswell, I. Lewis Libby, Robert Martinage, Phil Meilinger, Mackubin Owens, Steve Rosen, Gary Schmitt, AbramShulsky, Michael Vickers, Barry Watts, Paul Wolfowitz, et le rabbin Dov Zakheim.


Ce ne sont pas des musulmans qui avaient un motif pour employer un "système de terminaison de vol" afin de prendre le contrôle du vol 990 d’Egypt Air (un Boeing 767) le 31 octobre 1999 (après une étrange coïncidence où le "conseiller de gestion de la douleur pour les victimes d'accidents d'avion" Ed McLaughlin du Family Enterprise Institute était la seule personne à monter à bord de l'avion fatidique à Los Angeles pour débarquer à New York) et le faire plonger dans l'Atlantique, à 60 miles au sud de Nantucket, tuant les 217 passagers à bord. Aucun d'eux n'était Israéliens, mais 33 étaient des officiers de l'armée égyptienne, incluant deux brigadiers généraux des forces aériennes et deux major-généraux de l'armée. On a ensuite vendu le concept de « pilotes kamikazes musulmans » à un public crédule. Ce sont plutôt des Juifs qui auraient eu besoin de procéder à un essai de détournement électronique d’un Boeing en plein vol, pour leur opération d'attaque terroristeimminente, qui devait ensuite être attribuée à des « pilotes kamikazes musulmans/pirates de l'air » lors de l'« enquête » du vol 990 d'Egypt Air supervisée par le juif sioniste Bernard Loeb, qui avait engagé des traducteurs juifs transcrivant les enregistrements du cockpit, pendant que le FBI menait une campagne de salissage à l’encontre du co-pilote « suicidaire ».



Ce ne sont pas des musulmans qui ont publié en 1996 un document intitulé A Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm (La cassure: Une nouvelle stratégie pour sécuriser le domaine), qui mentionne qu’il faut "retirer Saddam Hussein du pouvoir en Irak" et qui présente le concept des frappes préventives, selon lequel un faux prétexte quelconque peut être employé (opération anti-drogue, anti-faux monnayeur ou contre des armes de destruction massive) pour attirer la sympathie du public américain. C’est en fait l’Institut pour l’avancement des études stratégiques et politiques (IASPS), basé à Jérusalem et Washington, qui a expliqué comment une telle politique bénéficierait à Israëlpour le compte du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu,


Ce n’est pas un musulman qui, dans un livre de 1995, a prédit que "Si l'Occident ne s'éveille pas à lanature suicidaire de l'Islam militant, vous verrez prochainement l'Islam militant attaquer le World Trade Center". C’est Benjamin Netanyahu.


Ce n'est pas un musulman qui en 1991 était responsable de la sécurité, qui a inspecté le garage d'une compagnie musulmane de livraison dans le WTC et qui a conclu que le garage du WTC était vulnérable à un attentat à la voiture piégée, deux ans avant que le garage du WTC ne soit réellement frappé par un attentat à la voiture piégée. Le FBI savait, mais a laissé faire, causant six morts et plus de mille blessés, cela dix ans avant que le WTC soit démoli et une semaine après que la même société de livraison ait quitté le WTC. Ce sont plutôt des officiers de sécurité israéliens et une compagnie de livraison israélienne.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont payé Ali al-Jarrah plus de 300 000 dollars pour services rendus, c'est-à-dire pour avoir posé comme « défenseur » de la cause palestinienne tout en trahissant son pays au bénéfice d'un État ennemi, et qui était un cousin de Ziad al-Jarrah, lequel a été accusé d'être l'un des dix-neuf "pirates de l'air kamikazes" du 11 septembre. C’est plutôt Israël qui a payé cet agent du Mossad.


Ce ne sont pas des musulmans qui :

1) ont diffusé l'épisode pilote le 4 mars 2001 de la série Lone Gunman, un épisode dans lequel une cabale secrète au sein du gouvernement des États-Unis désireprendre le contrôle électronique à distance d'un Boeing à destination de Boston pour le faire crasher dans le WTC;

2) ont déclaré après l'attaque du 11 septembre que personne n'avait jamais imaginéqu'un avion pourrait être utilisé par des terroristes comme missile pour attaquer des bâtiments. C’est plutôt : 1) Fox TV, propriété de Rupert Murdoch, un ami de longue date de Benjamin Netanyahu; et 2) la conseillère à la sécurité nationale Condoleezza Rice / le Président de la Commission des Chefs d'état-major conjoints Richard Myers / le Président George W. Bush / le Vice Président Dick Cheney / et le porte-parole de la Maison Blanche Ari Fleischer.


Ce n'est pas un musulman qui a dit avoir été le premier à apercevoir l'avion frapper la tour nord, qui s'est dit « quel terrible pilote » et « c'est un horrible accident », avant d'entrer dans une salle de classe et d'être informé d'un second impact, alors que le premier impact n'avait pas encore été diffusé en direct à la télévision. C’est plutôt George W. Bush.


Ce ne sont pas des musulmans qui, du mardi 2 octobre au vendredi 5 octobre 2001: 1) ont rencontré, et 2) ont reçu 3 millions de dollars de dons pour un « fond pour les victimes » de la part de Sheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, l'Emir du Qatar, qui a fondé la chaîne Al Jazeera en 1996 avec 150 millions de dollars de subventions, la chaîne qui diffuse des enregistrements vidéo et audio prétendument d'«Osama ben Laden» alias Emmanuel Goldstein.

Ce sont plutôt : 1) George W. Bush, Dick Cheney (un "vieil ami") - Dick Cheney a également rencontré l'Emir le 20 octobre 2001 pour discuter des entretiens "Osama", Rudy Giuliani, Colin Powell, Paul Wolfowitz, et Richard Myers; 2) Rudy GiulianiPaul Wolfowitz et Richard Myers.
Ce ne sont pas des musulmans qui ont fabriqué le conte de fée concernant la soldate Jessica Lynch prise en embuscade, poignardée, atteinte par balle (tout en continuant courageusement à tirer sur les Irakiens), abusée, violée, tenue en captivité dans un hôpital irakien et plus tard secourue par des forces d'élite américaines. Ce sont plutôt "des responsables américains anonymes" qui ont menti, car en fait il n'y a pas eu de "sauvetage". L'arme de Lynch était enrayée avec du sable. Lynch a été prise en charge et soignée par les Irakiens après avoir été blessée dans un accident de voiture, elle n'avait pas de "trous de balle" ni de "coups de couteau", l'hôpital n'était pas « sous haute garde » et les médecins ont même tenté de retourner Lynch aux forces américaines.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont comploté pour envahir un pays sans défense, en mentant sur les « armes de destruction massive », alors que la décision d'envahir avait déjà été prise en vue d'un « changement de régime », avec entre 655 000 et un million de morts irakiens, le déplacement de plus de quatre millions, le sacrifice de milliers de soldats et la perte de 3 billions $ en vain, dans le seul but d'enrichir quelques criminels de guerre et profiteurs de quelques milliards de dollars dans une guerre par procuration pour Israël. Ce sont plutôt George W. Bush et Tony Blair.Ce n'est pas un musulman qui a ordonné à ses conseillers de planifier la guerre contre l'Irak à peine cinq heures après l’attaque contre le Pentagone le 11 septembre. C’est plutôt Donald Rumsfeld.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont envoyé 250 policiers faire une descente dans une maison deForest Gate à Londres, au milieu de la nuit pour arrêter deux frères, après avoir tiré sur l'un d'eux à l'épaule; sur la base de renseignements d'une source supposée « fiable », source unique concernant une conspiration impliquant une « bombe au cyanure »; avec la libération des frères sans inculpation quelques jours plus tard, avant qu'il ne soit ultérieurement révélé que la source était un homme avec un QI de 69 qui était déjà en prison pour terrorisme. Ce sont plutôt les laquais des juifs suprémacistes: le MI5, Tony Blair et John Reid.

Ce n'est pas un pays musulman qui possède des centaines d'ogives nucléaires et des sous-marinséquipés de missiles de croisière capables de transporter des ogives nucléaires ayant une portée de 900 miles. C'est plutôt Israël.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont un puissant lobby politique capable d'extorquer des sommesénormes. C'est Israël.


Ce n’est pas un musulman qui s'est vanté en disant "Nous musulmans contrôlons l'Amérique et les Américains le savent". C’est en fait Ariel Sharon qui s'est vanté: "Nous, le peuple juif, contrôlons l'Amérique et les Américains le savent".


Ce ne sont pas des musulmans qui commettent de faux « crimes haineux » contre eux-mêmes : des actes de vandalisme contre leurs propres voitures, sur leurs propres tombes, des empoisonnement de chiens, des graffitis de croix gammées sur leurs maisons, découpant leurs propres vêtements pour se dessiner des croix gammées sur le ventre. Ce sont plutôt des Juifs.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont pris le contrôle du New York Times en 1896, ou qui justement détiennent et contrôlent la plupart des médias de masse aujourd'hui. C'étaient et ce sont en fait des Juifs.


Ce n'est pas dans un pays musulman que l’on écrase à mort des manifestants pacifistes à l'aide debulldozers ou qu’on leur tire dessus, qu’on lance des obus sur des familles pique-niquant au bord d'une plage (ce que l’on nie ensuite) quand on veut déclencher une guerre dans les trois prochaines semaines, que l’on avertit les civils de s’enfuir après avoir fait exploser des ponts afin de pouvoir les tirer comme des canards assis, que l’on tire sur des ambulances de la Croix-Rouge ou des observateurs de l'ONU après leur avoir promis qu'ils seraient en sécurité, que l’ou bombarde une centrale électrique de sorte que plus de dix mille tonnes de pétrole brut s'écoulent dans la Méditerranée pour servir de « châtiment collectif ». C'est plutôt en Israël.


Ce ne sont pas des musulmans qui emploient régulièrement des armes atroces tels que des bombes au phosphore pour infliger des blessures graves et horrifiantes à des civils, qui ont délibérément lancé plus d'un million de petites bombes à fragmentation (dont 40% n'explosent pas à l'impact et 90% sont lancées trois jours avant le cessez-le-feu imminent) afin de pouvoir "tous les avoir pendant que c'est encore le temps". Ce sont plutôt des Israéliens.


Ce n'est pas une nation musulmane qui détient le record mondial de résolutions de Nations unies non respectées. C'est Israël.


Ce ne sont pas des musulmans qui se sont attroupés autour d’un Juif handicapé parce qu’il se trouvait sur leur terrain, qui l’ont battu à coup de massue, qui l’ont traîné sur le sol, qui l’ont attaché à un poteau pour continuer à le battre et lui donner des coups de pieds à la vue de soldats musulmans qui n'ont rien fait pour arrêter ça, alors que la police leur a simplement conseillé de verser de l'eau sur la tête de la victime pour laver le sang avant que les journalistes et les photographes arrivent. C’est plutôt une bande de quatre lâches, des colons juifs fanatiques qui ontbattu un handicapé palestinien en toute impunité, confiants que les soldats juifs et la police n'agiraient pas de manière impartiale, et qui sont même revenus une semaine plus tard pour tourmenter les voisins, mettre leur maison sans dessus dessous et piller le peu de biens qu’il leur restait.


Ce ne sont pas des soldats musulmans qui ont battu et tué un Juif à coup de massue, de coups de pieds à la tête et de coups de crosse de fusil, et qui après « enquête » ont conclu que les soldats avaient «agi correctement». C’étaient des soldats de l'armée israélienne (la force de « défense ») qui ont percé trois trous dans le crâne d'un adolescent palestinien le tuant sur le coup, alors qu'il attendait tout simplement à un arrêt d’autobus, continuant à le frapper alors qu'il gisait inconscient, puis qui ont inventé une histoire comme quoi le jeune homme aurait «sorti un couteau», suggérant qu'il était «mentalement instable». Cet exemple n'est malheureusement que trop typique de la violence perpétrée par des racistes, fanatiques d'extrême-droite et suprémacistes juifs contre ceux qu'ils perçoivent comme des « animaux à forme humaine ».


Ce ne sont pas des musulmans qui ont créé une organisation mondiale nommée " Ligue anti-diffamation " (ADL) en vue de défendre les criminels musulmans en jouant la carte raciale et en accusant leurs poursuivants d'être " racistes ", " antisémites " et coupables de " crimes haineux ". C’est plutôt un Juif qui a fondé l'ADL du B'nai B'rith, en réponse au lynchage de Leo Frank, président du chapitre d'Atlanta de la société secrète juive du B'nai B'rith, qui avait été reconnu coupable du meurtre de la fillette de 13 ans Marie Phagan qui travaillait à l'usine de crayon deFrank, suivi du lynchage de Frank en réponse à la commutation de sa condamnation à mort à la prison à vie, après que la juiverie organisée ait tenté de jeter le doute sur la culpabilité de Frank en jetant le blâme sur un Noir, même si le meurtre rituel est une tradition juive reconnue. L'ADL a par la suite utilisé pour dénoncer les anti-criminels comme étant des « antisémites » chaque fois que les criminels en question se trouvent à être juifs.


Ce ne sont pas des musulmans qui pour des raisons politiques et pour obtenir des gains financiers, ont démoli le WTC avec des explosifs (nano-thermite) et lancé sur lui des avions télécommandés pour ensuite monter le canular des « pilotes kamikazes juifs » afin de lancer les enquêteurs sur de fausses pistes, en prétendant « investiguer » la démolition tout en promouvant «accidentellement» les mauvaises hypothèses (par exemple, l'utilisation de la bombe-H plutôt que de la thermite), et qui ont ensuite refusé obstinément de considérer une hypothèse qui est conforme avec les éléments de preuve. Ce sont plutôt des Juifs qui ont monté de toutes pièces le canular des « pilotes kamikazes musulmans » et qui ont diffusé des « travaux » fallacieux sur les démolitions, en les hébergeant sur des sites web détenus et dirigés par des juifs.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait de la pseudo-science en refusant d’investiguer la présence du bleu métallique à Auschwitz et des explosifs au WTC, afin que leur « enquête » arrive au résultat requis financièrement et motivé politiquement. Ce sont plutôt Jan Markiewicz , Wojciech Gubala et Jerzy Labedz Sehn de l'Institut de Jan Sehm à Cracovie (fraude d'Auschwitz), et les "scientifiques" et "ingénieurs" de la NIST (fraude du WTC).


Ce ne sont pas des musulmans :


- qui ont pris les commandes de l'« enquête » sur l’effondrement des tours du WTC, pendant que la FEMA menait une opération de camouflagemélangeant les tableaux 11-51 et 11-52 de NCSTAR1-9 Vol2 dans leur rapport sur l'édifice WTC7, rapport publié deux jours après la mort mystérieuse du témoin oculaire Barry Jennings qui a présenté un témoignage sur les explosions du WTC 7 (4:43: «J'ai été pris au piège quand les deux bâtiments sont tombés ») qui a jeté par terre les hypothèses etconclusions motivées politiquement;


- qui ont été incapables de voir leur erreurs en présumant des températures de gaz fantastiquementélevées afin que cela concorde avec les températures d'acier anormalement élevées, qui ont publié l’hypothèse absurde d'un effondrement basé sur l'« expansion thermique » avec la conclusion logique que la capacité de cisaillement de 180 kip de quatre boulons en configuration assise serait dépassée si l'acier est chauffé de 20 C à 32 C rendant la force capable de résister à l'expansionthermique de 191 kip, indépendamment du fait qu'aucune tour avec une structure acier ne s'est jamais effondrée à cause des « incendies » ou des « impacts », à l'exception des trois tours du WTC le 11 septembre;


- qui ont affirmé qu’un flambement interne des colonnes du périmètre du WTC1 entre les étages 94 à 100, culminant à 55 pouces à la colonne 316 au 96ème étage, ce qui ne peut être concilié avec le fait que le moment d'inertie des colonnes (ou moment quadratique) était d’au moins 342 ins ^ 4 le long de l'axe mineur, ni avec une déviation maximale de 55 pouces étant donné les conditions de limitesfixes et une charge répartie qui aurait dû mener à l’effondrement dans les 102 minutes d'au moins dix étages, dont plusieurs n'avaient pas eu leur protection ignifuge endommagée par un avion et qui ne présentaient aucun incendie. C’est plutôt le NIST, dont les meilleurs scientifiques et ingénieurs ont une connaissance étendue de la nano-thermite, qui ont plus tard affirmé n’avoir trouvé « aucunepreuve » d'explosifs au WTC et qui ont admis ne pas avoir pris la peine d’en rechercher la trace.


Les auteurs du 11 septembre devaient s'assurer que les responsables de l' « enquête » sachent ce qu'ils ne devaient pas trouver.


Ce n’est pas un musulman qui a annoncé le dimanche 16 septembre 2001 qu'un « passeport du pirate de l'air » (supposément celui de Satam al Suqami) a été trouvé « à plusieurs pâtés de maisons des ruines du WTC », alors que d'autres rapports affirmant que le passeport a été trouvé « dans les environs de Vesey Street ». C’est plutôt l'ancien commissaire de police Bernard Kerik, qui a été inculpé en novembre 2007 sur plusieurs chefs, y compris celui de mensonge, de fraude et de complot, ce qui est cohérent avec le fait que les lois de l'aérodynamique imposent que le passeport ait été trouvé dans les environs de Liberty Street. Le scénariste a oublié que Suqami était censé être sur le vol AA11 provenant du nord, et parmi plusieurs tentatives de la part des autorités d’évaluer où le passeport aurait dû être trouvé, aucune n'était correcte!


Ce ne sont pas des musulmans qui ont tué JFK. Ce sont des Juifs.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont volé les élections en exploitant des machines de vote électronique, qui ont biaisé les résultats de telle sorte que la probabilité de revirement dans plusieurs États, tel qu’observé dans les résultats, était de 250 millions contre un. C’est George W. Bush.


Ce ne sont pas des musulmans qui présentent des traits de mégalomanes suprémacistes en référant à leurs ennemis comme étant des « sauterelles », des « bêtes », des « crocodiles » et des « cafards ». Ce sont plutôt des Juifs.


Ce n’est pas un musulman qui a mis en place un schème de Ponzi qui a engouffré 50 milliards $. C’est un Juif.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait un disque sur le « Wall Street Shuffle », dont certaines chansons incluent des références scatologiques. Ce sont des Juifs.Ce ne sont pas des musulmans qui gouvernent le monde par procuration et obtiennent que d'autres se battent à mort à leur place dans des guerres. Ce sont plutôt des Juifs, dont le modus operandi est de sélectionner des populations d'accueil riches qui les laisseront entrer, posant comme leur « allié », tout en les drainant de leur argent durement gagné, utilisant la tromperie pour amener leur hôtes àcombattre des nations plus pauvres, récoltant le butin de guerre, comme l’opium afghan, les billions perdus du Pentagone, les fonds du programme « Pétrole contre nourriture », etc., ainsi que d'autres escroqueries opportunistes telles que le retrait massif électronique de 550 milliards $ des banques.


Note: certains rapports avancent à tort que la date de cet événement est le jeudi "15" septembre 2008, alors que ce devrait bien sûr être le 11 Septembre, soit le jeudi précédent le 15 Septembre.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont été expulsés de nombreux pays à de nombreuses reprises, ce sont des Juifs qui continuent à se faire expulser dès que l'hôte réalise que la seule loyauté des Juifs est envers leur propre tribu, plutôt qu’envers le pays hôte, devant lequel les juifs se font passer pour des "alliés".


Ce ne sont pas des musulmans qui ont déclenché une guerre mondiale en 1914 dans l'espoir de lancer avec succès leur canular des « six millions » de victimes assassinées, afin d'obtenir leur propre pays et de s'attirer une part importante de la richesse mondiale en « compensations », qui ont échoué, mais qui ont aussi profité de l'occasion pour annexer et piller la Russie en se livrant à de l’oppression et à d’horribles effusions de sang pour régler de vieux comptes avec les Russes qui lesavaient chassés à l'ouest, loin de leur Khazarie natale. Ce sont plutôt des Khazars (faux) « Juifs ».


Ce ne sont pas des musulmans qui ont fait exploser la voiture de François Duprat, le tuant et mutilant sa femme; qui ont battu le Dr. Robert Faurisson au moins dix fois, le laissant avec une mâchoire brisée / des dents brisées / presque tué plusieurs fois / hospitalisé plusieurs semaines à l'hôpital, persécuté dans des batailles judiciaires, fait perquisitionner son domicile par la police; qui ont tenté de tuer Ernst Zundel au moins trois fois dans des incendies criminels et attentats à la bombe, l'ont fait déporter lui et Germar Rudolf en Allemagne pour être emprisonnés pendant desannées; qui ont battu Jurgen Rieger le laissant inconscient et fait sauter sa voiture; qui ont battu David Cole, menacé de le tuer avec sa famille; qui ont persécuté et battu Joseph Burg; qui ont attaqué Frank Walus sept fois et passé proche de le tuer dans une attaque à l'acide; qui ont forcé Ivan Lagacé à démissionner de son poste d'expert crématoire sous les menaces incessantes par des voyous de la Ligue de Défense Juive (JDL); qui ont perpétré de nombreux attentats terroristes en France (acide sulfurique jeté au visage, attaques avec des barres de fer, bâtons de base-ball, gazvaporisé, excréments épandus sur le sol); qui ont jeté l'historien David Irving en prison pendant plus de 400 jours avant qu’il soit libéré suite à l’appel d'une sentence de trois ans d'emprisonnement pour avoir prononcé deux discours et donné une entrevue à un journal 16 ans plus tôt; qui ont fait emprisonner le Dr Frederick Toben en Allemagne dix mois après qu’il ait publié ses opinions surson site australien; qui ont imposé à des dizaines d'autres des peines d'emprisonnement, des amendes et ruiné financièrement par le démolissage de la réputation et des batailles judiciaires.

Ce sont plutôt des Juifs qui tentaient d'étayer leur propre version de la « vérité » qui leur profiteénormément depuis des décennies.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont fabriqué un canular sur « six millions » de leurs congénères"assassinés", échafaudant une théorie de la conspiration dénuée de preuve à propos d’un complot visant à les exterminer dans des « chambres à gaz » qui – par le biais d'une énorme et illégitime saisie de terres – leur a permis d'obtenir leur propre État souverain, des profits colossaux en «compensations », des centaines de milliards de dollars en « aide » provenant de l'étranger, des «garanties de prêt », des dispensations / subventions de paiements d'intérêts, etc., tout cela leur servant désormais d'« épée et bouclier » pour pratiquer l'apartheidopprimer et tuer leurs ennemis en toute impunité. Ce sont plutôt des Juifs.


Ce ne sont pas des musulmans qui ont été pris en flagrant pour avoir dessiné de la fausse « fumée » sur des photographies de guerre du camp d'Auschwitz. C’est plutôt le Centre Simon Wiesenthal, dont le rôle de gardien de la vérité est aussi approprié que d’offrir au comte Dracula la direction d'une banque de sang.


Ce ne sont pas des calculs musulmans qui estiment que la somme d'un ensemble de variables a + b + c + d + e... reste constante à « six millions », lorsque plusieurs variables fluctuent vers le bas, par exemple, de quelque trois millions et de la moitié de cela, en l’absence de toute révision vers le haut. C'est plutôt motivé financièrement et politiquement par des « calculs » juifs.


Ce n'est pas la chimie et la physique musulmanes qui soutiennent que des cadavres peuvent être consumés par incinération rapidement et économiquement, avec entre une livre et un kilo de charbon par cadavre, alors que les briques des fours crématoires ne sont même pas remplacées après quelques 20 000 crémations (ce qui est un peu comme s'attendre à ce qu'une Trabant soit capable de faire 100 000 miles non-stop à 100 mi/h avec 100 litres d'essence et quelques cannettes d'huile à moteur). C'est plutôt motivé politiquement et financièrement par la « physique » et la « chimie » juive.


Ce ne sont pas les musulmans - ni même la « police russe » - qui se comportent comme s'ils avaient écrit Les Protocoles des Sages de Sion. C'est plutôt la juiverie internationale, et si ça siffle comme un serpent et sonne comme un serpent à sonnette, ce n'est pas exactement bénin.

Ce n'est pas le « musulman international » qui a beaucoup de comptes à rendre. C'est plutôt le Juifinternational. Le silence médiatique évident au sujet de l'effondrement de la théorie officielle de la conspiration du 11 septembre a démasqué les grands médias comme étant "les chiens de garde qui n'ont pas jappé".


Afghanistan – Pakistan: Le trou noir de l’Empire

Pourquoi Bush est allé en Afghanistan. Pourquoi Obama y va aussi. Les routes du gaz et du pétrole. Les causes de la remontée des Talibans et de l’effondrement de Karzaï. Qui profite de l’opium ? Pourquoi le Pakistan voisin risque d’éclater.


Interview: Grégoire Lalieu et Michel Collon


Est-il possible de gagner la guerre en Afghanistan? Non, répondent les experts. Pourtant, l’Otan poursuit ses efforts pour venir à bout des Talibans et c’est le Pakistan qui s’embrase. Quelles sont les véritables raisons de cette guerre ? Les visées hégémoniques des Etats-Unis plongeront-elles la région dans le chaos ? Dans ce nouveau chapitre de notre série « Comprendre le monde musulman », Mohamed Hassan répond à ces questions. Et il nous explique pourquoi c’est au peuple du Pakistan de sauver son pays d’une possible disparition…


En 2001, les Etats-Unis lançaient l’opération « Enduring Freedom » en Afghanistan car, selon eux, les Talibans refusaient de céder Oussama Ben Laden. Sept ans plus tard, plus personne ne parle de l’ennemi public numéro un. Quelles sont les raisons de cette guerre aujourd’hui?


Tout d’abord, vous devez considérer que les Talibans n’ont rien à voir avec Oussama Ben Laden. En 1996, Ben Laden, renvoyé d’Arabie Saoudite, trouvait refuge au Soudan. Les Saoudiens firent alors pression sur ce pays pour qu’il expulse le célèbre terroriste. C’est à ce moment que Ben Laden est venu en Afghanistan. Mais les attentats du 11 septembre n’avaient aucun rapport avec ce pays. Il y a juste cette réaction des Talibans lorsque Washington réclama Ben Laden : « Si vous voulez que Ben Laden soit jugé, donnez-nous les preuves et laissons-le juger par une cour islamique dans quelque pays musulman que ce soit ». En fait, les néoconservateurs de l’administration Bush ont surtout utilisé cet événement tragique comme un alibi.


Avec quelles intentions?


Trois ouvrages majeurs nous permettent de comprendre les racines de la vision des Etats-Unis. D’abord, La fin de l’Histoire de Francis Fukuyama. Il prétendait que l’Histoire de l’humanité était arrivée à son terme avec l’effondrement de l’Union soviétique et la domination de la démocratie libérale. Ensuite, Le choc des civilisations, de Samuel Huntington. Selon qui l’Histoire ne dépendrait pas de la lutte des classes mais plutôt d’un conflit entre civilisations. Huntington a donc divisé le monde entre ces différentes civilisations, décrétant que la plus agressive serait l’islamique. Le dernier ouvrage, Le grand échiquier de Zbigniew Brzezinski, considère que celui qui dominera l’Eurasie sera l’unique puissance du 21ème siècle. En effet, la majorité de l’humanité vit dans cette zone et l’activité économique y devient plus importante.


A présent, retournons à la fin de l’administration Clinton. L’année 1997 a été marquée par une sérieuse crise économique : avec l’éclatement de la bulle financière en Asie, le NASDAQ s’est effondré. Lorsque les néoconservateurs ont débarqué à la Maison Blanche avec Georges W. Bush en 2001, la situation économique n’était donc pas brillante. Malgré quoi, ils ont exposé leur objectif très clairement : personne ne doit être capable de rivaliser avec les Etats-Unis. Pour y arriver, la nouvelle administration cherchait à contrôler le monde en contrôlant les ressources les plus importantes, essentiellement le gaz et le pétrole.


Sous l’influence de Brzezinski, Clinton voulait d’abord dominer l’Europe en élargissant l’Otan, et ensuite gagner l’Asie Centrale. Mais les néoconservateurs ont dit : « Non, nous n’avons pas le temps pour cela. Vu cette crise, nous devons créer et contrôler le Grand Moyen-Orient pour disposer du pétrole ». On sent ce changement dans le discours de Bush après les attentats du 11 septembre lorsqu’il dit : « Vous êtes avec nous ou contre nous ». Avec sa conception de l’Axe du Mal, il voulait élargir la guerre.


La guerre d’Afghanistan - qui pour la première fois dans l’Histoire a été planifiée par la CIA sans la collaboration du Pentagone - n’était donc qu’un prétexte pour entraîner les troupes US et leur donner l’expérience nécessaire pour ensuite attaquer l’Irak. Vous devez savoir que le renversement de Saddam Hussein était planifié bien avant les attentats du 11 septembre.


Obama veut incarner le changement. Pourquoi concentre-t-il les efforts militaires en Afghanistan au lieu de l’Irak ?


D’abord, la guerre en Irak a soulevé des difficultés non prévues. Le gouvernement US pensait que c’était la cible la plus facile, car Saddam Hussein ne disposait pas d’une grande armée et une large partie de la population irakienne détestait son régime. Il n’aura fallu que quelques jours, du 20 mars au 10 avril 2003, pour que les Etats-Unis prennent Bagdad. Ensuite, ils ont uniquement protégé l’industrie pétrolière et laissé tout le reste exploser. Paul Bremer, le gouverneur US d’Irak, a détruit les bases de l’ancien régime irakien, démobilisé la police et la structure de l’armée. A ce moment, la résistance a augmenté, et aussi le coût de l’occupation US : huit milliards de dollars chaque mois, (auxquels vous pouviez ajouter un milliard et demi pour l’Afghanistan) ! Durant huit ans, l’administration néoconservatrice a dépensé tout son argent dans cette guerre, sans aucun résultat : ils ne sont parvenus ni à pacifier le pays, ni à créer le gouvernement qu’ils voulaient, ni à obtenir une base populaire, ni à contrôler le pétrole.


Lorsque la résistance irakienne a révélé la faiblesse de l’impérialisme US et son incapacité à remporter le conflit, le peuple des Etats-Unis est devenu plus attentif sur le plan politique. Le manque de soutien de l’opinion publique pour cette guerre a donc aussi poussé Obama à ce changement. D’autant que sur la scène internationale, cette guerre ne faisait pas l’unanimité : la France, l’Allemagne et d’autres pays ont refusé de partir en Irak. Bref, la décision d’Obama est aussi un moyen de maintenir l’alliance de l’Otan. Mais une défaite en Afghanistan pourrait marquer la fin de celle-ci.


Les Talibans n’ont pas toujours été les ennemis des Etats-Unis. L’ancienne secrétaire d’Etat US Madeleine Albright avait salué leur arrivée au pouvoir en 1996 comme un « pas positif ». Il semble même que ce pas ait été encouragé. Ce que l’ancienne ministre pakistanaise Benazir Bhutto résumait ainsi : « L’idée était anglaise, le financement saoudien, la supervision pakistanaise et l’armement américain ».

A la fin des années 70, les Soviétiques vinrent en Afghanistan pour soutenir le gouvernement révolutionnaire menacé par des combats internes. Brzezinski, conseiller du président Carter, entreprit de faire de l’Afghanistan le Vietnam des Soviétiques pour porter ainsi un coup fatal à l’influence du socialisme dans la région. Pour combattre l’Union Soviétique et le gouvernement révolutionnaire d’Afghanistan, les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite soutinrent donc les moudjahidines par l’intermédiaire du Pakistan. Quand l’Armée rouge quitta l’Afghanistan en 1989, les Etats-Unis savaient que les Soviétiques traversaient une sérieuse crise. Ayant atteint leur but, ils se lavèrent les mains et quittèrent la région qui se trouva plongée dans le chaos. En fait, Washington a utilisé les moudjahidines comme un préservatif : quand ils n’étaient plus d’aucune utilité, ils les ont jetés.


Qui en a souffert ?


Les peuples d’Afghanistan et du Pakistan.
En effet, lorsque les services secrets pakistanais ont soutenu les moudjahidines pour combattre les communistes, ils n’ont pas unifié ce mouvement, mais ont soutenu chaque seigneur de guerre séparément. Une fois les Etats-Unis partis, une sévère compétition a opposé les seigneurs de guerre afghans. Le pays a été totalement détruit par cette guerre civile. Des millions de réfugiés ont fui vers le Pakistan, alors touché lui-même par une grave crise, son économie déclinant avec l’arrivée de nombreux Afghans et barons de la drogue.


Dans ce contexte, apparurent les Talibans, des étudiants issus de la plus jeune génération de ces réfugiés. Leur arrivée au pouvoir offrait une opportunité aux Etats-Unis et au Pakistan. Mais en fait, ces trois acteurs avaient chacun des intérêts très différents.


C’est-à-dire ?


Le Pakistan, lorsque les pays d’Asie centrale sont devenus indépendants, a réalisé que son principal ennemi, l’Inde, était fort, alors que lui-même se trouvait en position délicate. La bourgeoisie pakistanaise décida, pour se développer économiquement et concurrencer l’Inde, d’utiliser l’Afghanistan comme porte d’accès aux marchés d’Asie centrale. Elle favorisa donc l’accès au pouvoir des Talibans en Afghanistan.


L’intérêt des Etats-Unis était de contrôler et dominer les richesses d’Asie centrale. La compagnie pétrolière US Unocal voulait construire un pipeline dans la région. Mais pour cela, il fallait que l’Afghanistan soit pacifié.


Enfin, l’intérêt des Talibans était de pacifier le pays et d’instaurer une révolution islamique. Ce qui rencontrait les intérêts de l’Arabie Saoudite qui souhaitait exporter l’idéologie islamique en Asie centrale, afin d’affaiblir la Russie et de contrôler le gaz dans cette région.


Appuyés donc par des puissances étrangères, les Talibans ont combattu les seigneurs de guerre et pris le pouvoir. Fatigué, le peuple d’Afghanistan voulait la paix. Les Talibans furent bien accueillis.


Finalement, ce plan n’a pas marché : les Etats-Unis n’ont pas réussi à pacifier la région, le Pakistan n’a pu s’ouvrir un accès au marché de l’Asie centrale et les Talibans ont été renversés.


Pourquoi ?


L’Afghanistan comporte différents groupes ethniques. Le plus représenté est celui des Pachtounes : presque 50% de la population. Ensuite, il y a les Tadjiks, les Hazaras et les Kazakhs autour desquels la rivalité entre les seigneurs de guerre s’articule. Enfin, il y a d’autres minorités. Les Talibans sont Pachtounes. Un trait caractéristique de ce groupe est qu’ils sont très indépendants ! Les Etats-Unis et le Pakistan voulaient les utiliser comme des mercenaires, mais les Talibans avaient leur propre vision des choses. De plus, les Pachtounes ne reconnaissent pas la frontière séparant Afghanistan et Pakistan.


Pourquoi ?


Retournons au 19ème siècle, quand l’Inde était la précieuse colonie de l’Empire britannique, qu’inquiétait l’expansion des Russes en Asie centrale. Pour protéger leur colonie, les Britanniques souhaitaient utiliser l’Afghanistan. Cela a débouché sur trois guerres anglo-afghanes. Ce qui nous intéresse particulièrement est un résultat de la seconde guerre : en 1893, le gouverneur d’Inde, Sir Durand, traça une ligne dans le territoire pachtoune, afin de protéger sa colonie en créant une zone tampon entre l’Afghanistan et l’Inde britannique. Cette ligne est la frontière actuelle entre l’Afghanistan et le Pakistan. C’est pourquoi beaucoup de Pachtounes ne reconnaissent pas l’existence du Pakistan. Quand ce pays est devenu indépendant, le seul membre à voter contre son entrée aux Nations Unies était l’Afghanistan !


Il était donc clair que les Talibans, lorsqu’ils auraient pris le pouvoir, ne se soumettraient pas à ces intérêts étrangers. En mai 2001, six mois avant l’attaque du World Trade Center, Washington allouait sans aucun résultat une subvention de 43 millions de dollars au régime taliban dans le cadre du projet de pipeline d’Unocal. Mais avec le 11 septembre, tout le programme tomba à l’eau.


Les forces de la coalition ont facilement renversé le régime taliban mais n’ont pas réussi à prendre le contrôle du pays.


Pourquoi ?


Tout d’abord, l’actuel gouvernement d’Afghanistan n’est pas reconnu par les Pachtounes. Quand les Talibans ont été renversés, les Etats-Unis ont placé Hamid Karzai comme président. Karzai, qui a travaillé pour Unocal, est un Pachtoune mais il n’a pas de base sociale en Afghanistan. En fait, les Pachtounes, premier groupe ethnique du pays, ne sont pas vraiment représentés dans ce gouvernement.


Il y a juste quelques marionnettes de Washington sans aucune légitimité auprès de la population. Au départ, les Etats-Unis essayèrent bien d’acheter des Pachtounes représentatifs pour participer au gouvernement, mais ceux-ci ont pris l’argent et se sont tirés : comme je l’ai dit, les Pachtounes sont très indépendants !


Deuxièmement, les seigneurs de guerre présents au gouvernement travaillent chacun dans leur propre intérêt. Ils ne paient pas de taxes au gouvernement central, mais s’approprient les richesses. Chaque ministère est le ministère indépendant d’un seigneur de guerre. Une situation chaotique qui paralyse le gouvernement.


Troisièmement, les seigneurs de guerre ne font pas confiance aux Pachtounes. Ils pensent que si ces derniers prennent la majorité au gouvernement, ils imposeront leur vision. Bref, c’est un gouvernement où tout le monde est contre tout le monde. Tous les films que l’Occident s’est faits, ça ne marche absolument pas !


Enfin, nous pouvons dire également que les forces de l’Otan n’aident pas Hamid Karzai dans son travail en bombardant des paysans dans leurs fermes, dans les mosquées, à des mariages ou à des funérailles… L’actuel gouvernement est perçu par une grosse partie de la population comme un instrument de l’agresseur. Tous ces meurtres ont créé un soulèvement populaire et unifié la résistance des Talibans.


Conséquence de cette guerre, la production d’opium a augmenté : plus de 3.000% depuis la chute du régime taliban. Le département d’Etat US a accusé les Talibans d’utiliser la drogue pour financer la résistance…


L’opium est un produit chimique provenant du pavot. Quand la fleur de pavot éclot, vous la coupez, collectez le lait qui en coule et le vendez. C’est ce que font les paysans afghans. Ensuite, des personnes assèchent ce lait, le travaillent dans une machine en ajoutant des produits chimiques pour finalement obtenir de l’opium. Pour produire cette drogue, vous avez besoin d’un laboratoire et de connaissances en chimie. Je ne pense pas que les paysans afghans détiennent tous un diplôme de chimiste. Si c’était le cas, l’Afghanistan serait un pays très développé ! Pour tirer de l’argent du trafic d’opium, vous avez également besoin d’une certaine logistique pour pouvoir ramener le produit en Occident. Les Talibans n’ont rien de tout cela. En fait, l’opium provient des seigneurs de guerre, avec l’aide de la CIA. La plupart du temps, cette drogue vient des services secrets US qui l’utilisent comme un fonds rentable, portant la drogue dans les pays occidentaux, la vendant au prix du marché et utilisant ensuite cet argent sale pour financer leurs guerres.


En Afghanistan, la culture du pavot a commencé avec la guerre contre les Soviétiques et aujourd’hui, l’industrie de l’opium est aux mains de seigneurs de guerre. Or, pour un paysan, cultiver le pavot rapporte beaucoup plus que cultiver des tomates. Pour se constituer une base sociale, les seigneurs de guerre ont donc laissé les paysans cultiver ce qu’ils voulaient.


Par contre, lorsque les Talibans avaient pris le pouvoir dans les années 90, ils avaient brûlé les champs de pavots. Se faisant beaucoup d’ennemis au sein de la paysannerie. C’est pourquoi aujourd’hui, les Talibans n’empêchent plus les paysans de cultiver le pavot, mais interdisent la production d’opium. Ils retirent même des bénéfices grâce à la contribution financière des paysans. En fait, le gouvernement central n’a aucune possibilité de percevoir une taxe dans le Sud du pays, car tout est aux mains des Talibans. Or, un gouvernement incapable de percevoir une taxe n’est pas un gouvernement !


Beaucoup de spécialistes considèrent que la guerre en Afghanistan est impossible à gagner. Le général français Georgelin l’a même qualifiée de « merdier ingérable ». Quelles sont les difficultés rencontrées par les forces de la coalition ?


L’OTAN tue des civils chaque jour. Dès lors, la population s’est rapprochée des Talibans. A présent, ceux-ci contrôlent le Sud du pays, avec un gouvernement de fait dans chaque village. Ils sont mélangés à la population et les forces de l’OTAN enregistrent des pertes. Du coup, dès que quelque chose de suspect bouge, les GI’s ouvrent le feu, tuant des civils par la même occasion. Donc, les Afghans font face, d’un côté, aux seigneurs de guerre impérialistes bombardant des civils et, de l’autre côté, aux seigneurs de guerre régionaux pillant le pays et vendant de la drogue. Voilà pourquoi les Talibans ont le soutien de la population. Non qu’ils aient des idées progressistes, mais elle attend d’eux qu’ils ramènent la paix dans le pays. Exactement comme ils l’ont fait en 1992.


Est-ce pour cela qu’Obama s’est dit prêt à négocier avec les Talibans modérés ?


Il essaie de protéger les Etats-Unis d’une crise qui s’est accumulée depuis les sept dernières décennies. Et c’est très difficile. Obama veut montrer qu’il n’y a pas de guerre contre les musulmans, qu’il rejette le prétendu choc des civilisations. Il s’est donc dit prêt à négocier avec les Talibans modérés. Telle est la nouvelle politique US pour de nombreux endroits du monde où il y a des mouvements musulmans : les diviser entre les bons et les méchants.


Je ne sais si ce genre de négociations pourra mettre fin au conflit. Si Washington essaie cette voie, elle devra probablement programmer une nouvelle propagande montrant les Talibans sous leur bon côté. Mais ils ont des mentalités arriérées : ils ont détruit des temples bouddhistes pour installer la révolution islamique, leurs positions contre les femmes sont primitives et leur vision du monde archaïque. D’un autre côté, pour obtenir le soutien de la population, ils ont quand même appris de leurs erreurs. J’ai évoqué la culture du pavot.


Un autre exemple : contrairement à ce qu’ils avaient préconisé par le passé, les Talibans sont aujourd’hui d’accord avec le fait que les filles puissent aller à l’école. Ils ont évolué et sont plus forts pour résister. Mais ça ne veut pas forcément dire qu’ils seront ouverts pour négocier avec les Etats-Unis. Enfin, vous devez aussi tenir compte du fait que, désormais, le plus gros de la crise n’est plus en Afghanistan, mais au Pakistan.


Pourquoi la guerre afghane a-t-elle provoqué une telle crise au Pakistan ?


Comme je l’ai dit, la ligne de Durand tracée dans le territoire historique des Pachtounes est l’actuelle frontière séparant les deux pays. Ce qui veut dire que vous avez des Pachtounes des deux côtés de la frontière. Au Pakistan, ils sont le deuxième groupe ethnique après les Punjabis. C’est très important. Car l’élite pakistanaise, depuis l’indépendance du pays, a toujours soutenu l’impérialisme US. Vous pouvez travailler en tant qu’agent de votre patron quand vous accomplissez pour lui un boulot au loin, en Amérique du Sud ou en Afrique par exemple. Mais dans le cas de la guerre d’Afghanistan, c’est un suicide car les deux pays sont voisins et se partagent des groupes ethniques.


Il y a des Talibans dans le Nord du Pakistan aussi. Chaque jour, ils attaquent et détruisent les ravitaillements des forces de la coalition supposés passer du Pakistan à l’Afghanistan par un endroit stratégique de la frontière. Pour résoudre ce problème, le gouvernement pakistanais, marionnette de Washington, autorise l’Otan à bombarder les Pachtounes sur son propre territoire. En conséquence, les Talibans pakistanais se sont développés et estiment maintenant que leur ennemi est au Pakistan. Ils ont déclaré vouloir marcher sur Islamabad.


C’est pourquoi la frontière entre les deux pays n’a plus de sens. Et le peuple pakistanais doit faire face à ce problème : où est la légitimité du gouvernement pakistanais s’il laisse l’OTAN bombarder ses propres civils ? Le peuple pakistanais a maintenant deux solutions : devenir nationaliste et refuser le diktat US ou continuer sur cette voie qui mène à la disparition de son pays.


Quelles pourraient être les conséquences de cette crise ?


La clé, c’est la stratégie des Etats-Unis pour bloquer la Chine. Quand le tsunami est survenu, Washington a envoyé une importante aide humanitaire en Indonésie. En profitant pour y construire une base militaire dans la province d’Aceh. Cette base fait face au détroit de Malacca et c’est par ce détroit que passe le pétrole provenant de l’Océan Indien et à destination de la Chine.


Aujourd’hui, les Etats-Unis sont installés à cet endroit stratégique. Au moindre problème avec la Chine, ils seront en mesure de fermer ce détroit et priver Pékin de son pétrole. Tenant compte de cette situation, le géant asiatique - qui a de plus en plus besoin de pétrole pour développer son pays - cherche d’autres voies d’acheminement. Une solution passe par la Birmanie, qui a des ressources et qui pourrait permettre un accès vers le Bangladesh.


Une autre possibilité, c’est le port de Gwandar, construit par la Chine au Baluchistan qui est la plus grande province du Pakistan : environ 48% de la superficie du pays. Mais c’est aussi la province la moins peuplée : 5% de la population totale. Cette province a d’importantes réserves de gaz et de pétrole. Pékin pourrait aussi construire un pipeline partant de l’Iran et passant par le Baluchistan avant de rejoindre la Chine occidentale. Mais les Etats-Unis veulent absolument empêcher cette province de passer dans la sphère d’influence chinoise. D’où leur soutien au mouvement séparatiste du Baluchistan, afin de prendre, eux, le contrôle du port de Gwandar.


Avec, d’un côté, le problème des Pachtounes, et, de l’autre côté, la possible sécession de sa plus grande province, le Pakistan risque une balkanisation : l’éclatement en une série de petits Etats. Aujourd’hui, le peuple pakistanais devient plus attentif. C’est à lui que revient le devoir de stopper ce désastre et de virer les Etats-Unis du Pakistan. Mais c’est aussi la responsabilité de tous les mouvements démocratiques révolutionnaires de la région. En effet, si le Pakistan connaît le même sort que la Yougoslavie, toute la région devra faire face à des très graves problèmes.



Mohamed Hassan recommande les lectures suivantes :


Ahmed Rashid, Taliban. Militant Islam, Oil and Fundamentalism in Central Asia, Yale University Press, 2001 (existe en français: Ahmed Rashid, L’ombre des Talibans, Autrement, 2001)
Antonio Giustozzi, War, Politics and Society in Afghanistan, 1978-1992, Georgetown University Press, 2000


Alfred W. McCoy, The Politics of Heroin in Southeast Asia. CIA complicity in the global drug trade, Harper & Row, 1972 (existe en français: Alfred W. McCoy, La politique de l'héroïne l'implication de la CIA dans le trafic de drogues, Ed. du Lézard, 1998)


Michel Collon, Media Lies and the Conquest of Kosovo, Unwritten History, 2007 (existe en français: Michel Collon, Monopoly, L’Otan à la conquête du monde, EPO, 2000)


Obama speech in Cairo confirms that his war in Afghanistan-Pakistan is to help israelis build a pipeline

The planned route of the TAPI pipeline Obama is sending 17000 troops to die for Israel in Afghanistan
By Christopher Bollyn,





'All tyranny needs to gain a foothold is for people of good conscience to remain silent'. - Thomas Jefferson


President Barack Obama's speech in Cairo on June 4 was a carefully prepared speech meant to explain the administration's policies in the Middle East to the people of the region. I listened to see how he would explain his controversial decision to increase the number of U.S. troops and military activity in Afghanistan and Pakistan, a decision I strongly oppose. What I heard in Obama's speech about Afghanistan was very discouraging in that it revealed the appalling continuation of the blatant 9-11 deception by the new administration.


Here is the essence of what Obama said about 9-11 and the war in Afghanistan and Pakistan:
The first issue that we have to confront is violent extremism in all its forms. In Ankara, I made clear that America is not and never will be at war with Islam. We will, however, relentlessly confront violent extremists who pose a grave threat to our security because we reject the same thing that people of all faiths reject, the killing of innocent men, women, and children. And it is my first duty as president to protect the American people.


The situation in Afghanistan demonstrates America's goals and our need to work together. Over seven years ago, the United States pursued Al Qaida and the Taliban with broad international support. We did not go by choice. We went because of necessity. I'm aware that there's still some who would question or even justify the offense of 9/11. But let us be clear. Al Qaida killed nearly 3,000 people on that day.


The victims were innocent men, women, and children from America and many other nations who had done nothing to harm anybody. And yet Al Qaida chose to ruthlessly murder these people, claimed credit for the attack, and even now states their determination to kill on a massive scale. They have affiliates in many countries and are trying to expand their reach.


These are not opinions to be debated. These are facts to be dealt with. Make no mistake, we do not want to keep our troops in Afghanistan. We see no military -- we seek no military bases there. It is agonizing for America to lose our young men and women. It is costly and politically difficult to continue this conflict.


We would gladly bring every single one of our troops home if we could be confident that there were not violent extremists in Afghanistan and now Pakistan determined to kill as many Americans as they possibly can. But that is not yet the case.


And that's why we're partnering with a coalition of 46 countries. And despite the costs involved, America's commitment will not weaken…


This is how Obama explained the U.S. war effort in Afghanistan and Pakistan: As a necessary confrontation with 45 nations against the violent extremists behind the attacks of 9-11. We would bring our troops home, he said, if there were no "violent extremists" in those countries "determined to kill as many Americans as they possibly can."


What is the real reason behind Obama's war in Afghanistan?


THE 9-11 DECEPTION


Al Qaida was behind the mass murder of thousands of people on 9-11, Obama said. This is not an opinion to be debated, he added. "These are facts to be dealt with."


If the Obama administration were truly concerned about facts, he might take note of the disturbing fact that not a single 9-11 victim's case has gone to trial after nearly 8 years. If the legal case were so solid that Osama Bin Laden and his agents committed 9-11, why has the evidence not been presented in an open trial in a U.S. court? The military is supposedly holding Khalid Sheikh Mohammed, the person who is the "confessed" mastermind of 9-11, in Guantanamo. Why is he not put on trial in an open court? Why have the surviving airplane parts not been identified? Why has the evidence of thermite in the collapsed towers not been addressed?


One of the 9-11 facts the Obama administration will have to deal with is the evidence of super-thermite in the dust of the World Trade Center. This thin layer of super-thermite was evidently used to pulverize the concrete in the twin towers on 9-11. The people who applied tens of tons of thermite to the interiors of the twin towers are, in fact, directly responsible for the murder of 3,000 people on 9-11. If Al Qaida had teams of men spraying super-thermite and placing explosive charges in the buildings leased and owned by Larry Silverstein and the Israeli commando Frank Lowy, let's see the evidence. Otherwise, let's find out who really put the super-thermite in the twin towers.


The United States went to war in Afghanistan out of "necessity," Obama said, yet the American public has not been given any solid evidence to prove that the Taliban of Afghanistan had anything to do with 9-11. Why then is the Zionist-run Obama administration sending more troops to Afghanistan? And why have they expanded the war into Pakistan?


I have discussed in several articles the powerful Zionists behind the Obama White House. Obama was sponsored and molded since 1992 to be the first black president of the United States by the daughter of Philip Morris Klutznick, the former president of the B'nai B'rith and mega Zionist from Chicago. The chief of staff of the White House is Rahm Emanuel, an Israeli national whose father was a member of a Zionist terrorist organization in Palestine that was allied with Nazi Germany. These are a few real facts, not opinions, that need to be dealt with.


Understanding the Zionist nature of the Obama administration, the question that must be asked is why is the administration expanding the war in Afghanistan and Pakistan? The American people certainly have no real interest in Afghanistan or Pakistan and the Afghans and Pakistanis have no real interest in America. There must be a Zionist strategic goal in controlling these two Central Asian nations, but what is it?


As I pointed out in my article from 2001, "The Great Game: The War for Caspian Oil and Gas," the Israelis are deeply engaged in the region:


Turkmenistan and Azerbijan are also both closely allied with Israeli commercial interests and Israeli military intelligence. In Turkmenistan, a former Israeli intelligence agent, Yosef A. Maiman, president of Merhav Group of Israel, is the official negotiator and policy maker responsible for developing the energy resources of Turkmenistan.


"This is the Great Game all over," Maiman told the Wall Street Journal about his role in furthering the "geopolitical goals of both the U.S. and Israel in Central Asia. "We are doing what U.S. and Israeli policy could not achieve," he said, "Controlling the transport route is controlling the product."


"Those that control the oil routes out of Central Asia will impact all future direction and quantities of flow and the distribution of revenues from new production," said energy expert James Dorian recently in Oil & Gas Journal on September 10, 2001.


Foreign business in Turkmenistan is dominated by Maiman's Merhav Group, according to the Washington Report on Middle East Affairs (WRMEA). Maiman, who was made a citizen of Turkmenistan by presidential decree, serves as Turkmenistan's official negotiator for its gas pipeline, special ambassador, and right-hand man for the authoritarian President Saparmurad Atayevich Niyazov, a former Politburo member of the Central Committee of the Communist Party of the Soviet Union.


The Merhav Group of Israel officially represents the Turkmen government and has brokered all of the energy projects in Turkmenistan, contracts worth many billions of dollars.


ISRAEL & THE TAPI PIPELINE


The main Zionist goal in Afghanistan and Pakistan is to "pacify" these nations to allow the Turkmenistan-Afghanistan-Pakistan-India (TAPI) gas pipeline to be built. This line, once completed, could be extended to China. This project is the pipe dream of Joseph A. Maiman (a.k.a. Josef, Yosef, Yossi), one of the most powerful men in Israel.


Yosef A. Maiman


The Jerusalem Post of 23 July 2004, described Maiman as one of the leading miners of the gas of Central Asia, specifically Turkmenistan:


Though his sprawling multi-billion-dollar empire stretches from Channel 10 TV, where he is a partner, to Central Asian gas fields, where he is a leading miner, Maiman was born humbly, in a displaced persons camp in Germany, and grew up in Peru.


Maiman's Merhav Group started off in 1976 with Third World debt-financing, but later diversified into agriculture, energy solutions and telecoms. Today, it is the Republic of Turkmenistan's single largest foreign partner.


Just two weeks ago, the Israeli foreign ministry announced it would open a new embassy in Ashgabat, Turkmenistan, "saying it was a natural step in burgeoning bilateral ties, and reflected a new momentum in Israel's overall ties with the Central Asian countries," according to the Jerusalem Post of 21 May 2009.


Turkmenistan is reported to be "the second largest holder of gas reserves in the world, with some 28 trillion cubic meters of proven gas reserves," second only to Russia. The "former" Israeli Mossad agent Joseph A. Maiman is reportedly the owner or co-owner of much of that gas and has been the key person managing the development of Turkmenistan's gas fields. If the TAPI pipeline were to be completed, the Israelis connected with Maiman and Merhav would collect tens of billions of dollars by selling the gas of Turkmenistan to Pakistan, India, and China. This is certainly one of the key Israeli strategic goals in Afghanistan and Pakistan. The pipeline is meant to pass through Kandahar, the area where Canadians are serving and which Canada is obliged to defend until 2012.


The planned route of the TAPI pipeline


Mr. Maiman is also a business partner of Rupert Murdoch and Ronald Lauder. In November 2002, Yossi Maiman and the former head of the Mossad, Shabtai Shavit, launched a new political party with the former head of the Shin Bet, Ya'acov Perry. These people are all closely tied to the false-flag terror attacks of 9-11. Their roles are described in my chapter entitled, "The Architecture of Terror."


To really understand why the Obama administration is sending more troops to Afghanistan and waging war in Pakistan it is essential to understand what is at stake and who will benefit from the TAPI pipeline. Obama's speech in Cairo today was a blatant deception about the real purposes of the war in Central Asia.


OBAMA IN DRESDEN


Obama flew to Germany after speaking in Cairo and landed in Dresden, the Saxon capital city on the Elbe. Dresden was completely obliterated in a Allied fire-bombing attack on Valentines Day and Ash Wednesday 1945. Eyewitnesses to the holocaust of Dresden estimate that more than 500,000 people were killed in the attack in which the entire inner city was incinerated. Obama will visit the Buchenwald concentration camp in the outskirts of Weimar. I spent a month in Dresden and visited Buchenwald. I discovered that the death rate for German prisoners held in Buchenwald during the Soviet occupation was much higher than the death rate in the camp during the war.

Here are a few extracts from my Letter from Buchenwald:


According to a U.S. Army report dated May 25, 1945, a total of 238,980 prisoners had been held at Buchenwald in the period from July 1937 to April 1945. Of this number 34,375 died. This report, which shows a mortality rate of some 14 percent, was based on camp records confiscated by the U.S. Army.

Shortly after the U.S. Army "liberated" Buchenwald, it was turned over to the Soviet Union and became the so-called Special Camp No. 2 from 1945 to 1950. As the guide book, written by Sabine and Harry Stein says, "Prisoners moved into the barracks again hardly four weeks after the last survivors had left the National Socialist concentration camp in Buchenwald. Buchenwald became a place of isolation and death for another four and a half years...."Hunger and isolation seriously affected everyday life.


Hunger was almost omnipresent. Mass deaths ensued when the restricted rations were cut temporarily."More than one third of the total number of 122,671 prisoners died in the course of being there," the guide says about the post-war Soviet prison camp. "The victims of Buchenwald Special Camp were buried in mass graves. Their relatives did not receive any official notification."The history of Special Camp No. 2 and the existence of mass graves was subject to taboo in the German Democratic Republic," the guide says.The official mortality rate in the Soviet camps during the post-war period was more than twice that of Buchenwald during the war. According to camp records kept by the Soviet Union, the Soviet prison camp system in Germany held 122,671 prisoners between 1945 and 1950 of which 42,889 died. This is a death rate of nearly 35 percent. In addition, 756 persons were executed.


To understand what really happened in both of these places, I recommend reading my articles from Buchenwald and Dresden.


Sources and Recommended ReadingAbout Buchenwald and Dresden:Bollyn, Christopher, "Letter from Buchenwald," November 12, 2005


Bollyn, "Letter from Slaughterhouse Five," February 19, 2004




About Afghanistan and the Deception of 9-11:"Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe," Steven E. Jones et al, The Open Chemical Physics Journal, March 2009

President Obama's Speech on a New Beginning, Cairo, Egypt, June 4, 2009


Bollyn, Christopher, "The Great Game: The War for Caspian Oil And Gas," September 25, 2001



Bollyn, "Obama and the Jews," April 2008Bollyn, "The Israeli Who Will Run the Obama White House," November 6, 2008Keinon, Herb, "Israel opens 3 new diplomatic missions," Jerusalem Post, May 21, 2009Schechter, Erik, "I spy," Jerusalem Post, July 23, 2004"Turkmenistan: World’s Second Largest Holder of Gas Reserves," NewsCentralAsia.net, October 24, 2008


LE BILAN AMER DES PERTES AMERICAINES EN IRAK!

Le bilan amer des pertes réelles américaines en Irak


Khaled Al-Maîni
14 mai


Le volume des pertes matérielles et humaines des troupes d'occupation américaines en Irak a déstabilisé l'économie, principal facteur de la puissance US et de son hégémonie mondiale. Actuellement les responsables se sont résignés à retirer leurs troupes, au constat des pertes justement, mais une grande interrogation demeure quant à leurs chiffres réels. En effet, nous avons, d'une part, des chiffres de tués et de blessés relativement bas, communiqués par le Pentagone et, d'autre part, des chiffres nettement plus élevés retenus par de nombreuses sources américaines indépendantes ou neutres qui se sont inquiétées très tôt du taux élevé de ces pertes.


Dans ce papier qui vise à cerner la situation des pertes réelles américaines, nous allons procéder d'une façon méthodique, selon des critères objectifs et sur la base de rapports émanant de sources américaines fiables ainsi que des procédures de publication des communiqués officiels par les divers services militaires, pour convenir d'une équation permettant de déterminer le volume réel des pertes. Nous tiendrons compte de la différenciation des pertes, humaines et matérielles, et leur ventilation en pertes tangibles et non tangibles, ces dernières désignant des facteurs psychologiques et sociologiques tels que l'atteinte au moral, au prestige et à la position du pays . La désinformation de l'opinion américaine: Depuis la guerre du Vietnam, les services d'information militaires américains ont pris l'habitude de minimiser les pertes de leurs troupes au combat. Au début il s'agissait tout juste de quelques milliers de morts, mais avec le temps elles se sont avérées des dizaines de milliers (plus de trente mille), ce qui a conduit à la chute du Président Johnson à l'époque. En Irak, avec le déclenchement de la résistance et la recrudescence de ses attaques, l'Etat Major des troupes d'occupation a essayé de minimiser ces attaques et d'occulter les chiffres de leurs pertes, pour éviter, soi- disant, de conforter l'ennemi et de lui donner l'impression qu'il marquait des succès. L'administration américaine a déployé des efforts impressionnants pour truquer les chiffres des pertes, considérés comme des armes de guerre, et abuser son opinion. Elle a ainsi opéré à deux niveaux. Le premier niveau correspond aux chiffres auxquels on peut accéder facilement sur les sites officiels du gouvernement. Ce sont les chiffres publics et officiels.


Le second niveau correspond à ce qui est occulté et auquel on ne peut accéder qu'à travers une loi relative à la liberté d'accès à l'information, appelée loi FOIA*. Ce niveau renferme des informations sur les pertes réelles, humaines et matérielles dont la publication comporte des risques politiques et économiques importants. L'administration américaine a usé de divers moyens pour contrôler son opinion publique américaine notamment à travers "l'orientation de l'ensemble de l'arsenal médiatique" du monde à sa disposition, des contraintes et des pressions exercées sur le reste des moyens d'information nationaux et internationaux. La longue durée du conflit, la croissance du nombre des morts, des blessés et des suicidés et la montée en flèche du coût économique et financier de la guerre ont conduit de nombreux chercheurs et des commissions indépendantes à faire la vérité sur les pertes réelles américaines, loin de toute politisation, de l'occultation et du camouflage du Pentagone. L'administration s'entête à propager les chiffres du Pentagone selon lesquels il n'y aurait eu que quelques quatre mille et quelques centaines de tués, alors que tout le monde sait que ce chiffre ne tient pas compte des morts des "entreprises de mercenaires", en service dans les troupes américaines dans le cadre de la privatisation de la guerre.


Ces mercenaires s'occupent d'une large palette d'actions allant de la maintenance des systèmes d'armement, aux opérations militaires, à la garde rapprochée des diplomates américains. Leur effectif dépasserait les 160.000 membres. Le chiffre officiel des tués ne comprend pas non plus celui des soldats contractuels engagés dans le dessein d'obtenir la nationalité américaine, ni ceux des entreprises asiatiques et notamment indiennes qui s'occupent des services de cuisine, de nettoyage et de manutention… Le critère du nombre de blessés et d'attaques: Nous avons utilisé plusieurs critères pour affiner notre recherche et parvenir à plus de précision sur les pertes réelles et nous avons fait de nombreux recoupements. Les armées traditionnelles utilisent des formules multiples pour parvenir à obtenir le nombre de tués par rapport à celui des blessés en se basant entre autres sur la durée du conflit, la nature de la guerre et le niveau du développement des moyens d'évacuation des blessés. La guerre en Irak appartient à ce qu'on appelle une guerre asymétrique, c'est-à-dire une guerre de libération ou de partisans. Pour déterminer le rapport des tués aux blessés, nous avons tenu compte et fondé notre recherche sur les rapports officiels de l'armée américaine donnant le nombre des tués et des blessés depuis 2003 et jusqu'à la fin de 2008.


Le nombre des blessés enregistrés auprès du ministère des anciens combattants pour les motifs les plus divers (couverture sociale, demande de soins et d'indemnités…) est de 224.000. Sur la base de un tué pour sept blessés, le nombre de tués serait de 32.000. Ce chiffre est confirmé par de nombreuses sources fiables et de commissions américaines indépendantes. En tête de ces commissions, il y a la Commission Baker-Hamilton, désignée par le Congrès, qui a été aidée par 183 experts civils et militaires et qui a produit un premier rapport, reconnaissant pour la première fois que "le nombre d'attaques au mois d'octobre 2006, a atteint le chiffre de 180 par jour et celui des tués 102".


Un autre rapport américain qui n'est pas moins important donne une idée sur les pertes réelles américaines. Il émane du GAO (Government Accountability Office) en date du 23 juillet 2008 et qui donne pour la première fois le nombre d'attaques exécutées par la résistance irakienne: 164.000 attaques considérées comme importantes et violentes, ce chiffre ne comprenant pas les attaques effectuées au sud et à l'est du pays. Ainsi, en ajoutant les 300 militaires tués lors des premières semaines de l'invasion américaine et jusqu'au mois d'avril 2003, les 1315 tués des entreprises de mercenaires, le nombre total des tués américains en Irak serait de 33.615, et ce jusqu'à la fin de 2008. On ne dispose pas par contre d'informations fiables sur le nombre de tués dans "les missions hors combat", les suicidés ou les blessés morts dans les hôpitaux allemands ou lors de leur évacuation, et qui traditionnellement ne sont pas comptés dans les morts officiels. Les pertes matérielles Le coût matériel, financier et économique de la guerre en Irak n'est pas moins important. Il est même plus important dans le cas des USA, compte- tenu des conditions de son financement.


En 2003, le coût était estimé à 4,4 Milliards $. En 2008, il monte 12 Milliards $. Selon des sources américaines, notamment la commission économique conjointe du Congrès américain, l'étude Joseph Stiglitz, lauréat 2001 du prix Nobel d’Economie, professeur d’économie à l’Université de Columbia et co-auteur, avec Linda Bilmes, de The Three Trillion Dollar War : The True Costs of the Iraq Conflict. Effectué sur la base de documents officiels et avec le concours de l'organisation des anciens combattants. C'est une guerre à 3000 milliards $. Ce coût comprend les opérations, y compris les salaires du personnel militaire et des mercenaires, plus le coût du matériel, équipements et armements (blindés, chars, hélicoptères, avions) dont la moitié est devenue obsolète et le restant nécessitant des réparations et des remises en état pendant cinq ans comme le signale le rapport Baker-Hamilton- dans sa recommandation 48.


Ce coût comprend aussi les dépenses engagées pour la couverture sociale et médicale des militaires blessés ainsi que des intérêts des emprunts faits pour le financement de la guerre, hors budget officiel. En résumé: Nombre de tués de 2003 à 2008: 33.615 Nombre de blessés de 2003 à 2008: 224.000 Nombre d'attaques de la résistance irakienne de 2003 à 2008: 164.000, non comprises celles effectuées dans l'Est et le Sud du pays. Coût financier 3Trillions $ Je ne prétends pas être parvenu à des résultats d'une précision absolue mais ces résultats proviennent de sources exclusivement américaines. Je n'ai pas mentionné les pertes immatérielles en rapport avec l'effondrement du moral des troupes, la montée du niveau de haine contre les USA dans le monde, de son discrédit et celui de son discours sur la démocratie, son influence et sa place dans le monde…en plus de la montée du chômage, de l'endettement. Il est attendu que juste après la fin de la guerre ou peut-être après le retrait des troupes américaines des villes, on ait un bilan officiel de cette guerre. *Le Freedom of Information Act (FOIA) est une loi américaine signée le 4 juillet 1966 par le président Lyndon B. Johnson, et entrée en application l'année suivante.


Fondée sur le principe de la liberté d'information, elle oblige les agences fédérales à transmettre leurs documents, à quiconque en fait la demande, quelle que soit sa nationalité [1]. Contexte du vote de la loi et dispositions Le FOIA a été voté dans le contexte de la guerre du Vietnam, l'opinion publique exigeant un accès plus aisé aux documents de l'administration américaine. Toutefois, cette liberté d'accès est restreinte par neuf exemptions, pour raison de sécurité nationale, de secret défense, de politique étrangère, de secrets de fabrication, de respect du secret médical et de la vie privée, ainsi que les informations géologiques et géophysiques (y compris les cartes) concernant les puits.


Traduit de l'arabe par Ahmed Manai







IMBROGLIO GEOPOLITIQUE : Idriss Deby pion d’Israël contre le Soudan !

L'agent israelien Sarkosy et le pantin de la DGSE Deby


A l’issue du sommet des Etats Sahélo-Sahariens qui vient de se tenir à Sabratha en Libye sous l’égide du président Mouammar Kadhafi, toute l’opinion africaine a retenu que le guide Libyen a promis de trouver une solution définitive au conflit Tchad- Soudan, fût-ce – a – t – il précisé – par les sanctions ou la force.



L’Afrique toute entière souhaiterait bien que cette promesse ne soit pas un simple vœu pieux. Surtout que ce qui se passe en réalité entre ces deux pays – du moins depuis 1990 - est loin, bien loin, de ce que s’entêtent à marteler bon nombre d’objecteurs ou de directeurs de consciences, à savoir des agressions alternées de l’un contre l’autre.



Et si cette entreprise de normalisation est menée jusqu’au bout, ce que l’on se complait à qualifier d’opinion internationale aura droit à de bien cocasses surprises. Notamment sur ces mouvements de rébellions Tchadiens et Soudanais qui n’ont rien de commun ni de comparable, et surtout - comme cerise sur le gâteau - la vérité sur la cynique détermination de certains lobbies à déstabiliser et à faire main basse sur le Soudan.



Seuls les observateurs les plus perspicaces de la politique Africaine, ou les moins formatés par cette prétendue bienpensance sentant bon la condescendance occidentale, ont compris, depuis belle lurette, la profonde réalité de ce qui se passe au Soudan. Et corrélativement au Tchad voisin.

Ils ne sont en tout cas pas nombreux à admettre que l’incendiaire instabilité qui calcine le Soudan depuis près d’une dizaine d’années, ainsi que cet acharnement irréductible d’une certaine « opinion internationale » à l’endroit de son président, ne sauraient uniquement être expliqués par l’explosion des velléités sécessionnistes de quelques groupuscules ethniques militarisés – aussi antagonistes qu’aux motivations échevelées - , ou encore du fait de la gesticulation juridico- terroriste de quelques apprenti-sorciers au service d’une justice internationale en mal d’expérimentation.

La réalité est beaucoup plus effrayante : car il est de plus en plus visible qu’une coalition désormais identifiée veut à la fois la peau du président El Béchir, le contrôle politico-administratif du Soudan, ainsi que la mainmise absolue sur ses énormes richesses minières et énergétiques. En somme, le beurre, l’argent du beurre, la vache, la fermière, et même… la ferme !

De même, les offensives militaires effectuées depuis bientôt six ans contre le régime Tchadien voisin – systématiquement qualifiées « d’agressions du Soudan contre le Tchad » - ne sont, et n’ont jamais été, que la solution du désespoir de patriotes Tchadiens. Des patriotes et non des « mercenaires » - comme on se complait à dire uniquement au palais rose à N’djamena - ayant été contraints à la solution extrême de l’affrontement militaire face au président Idriss Deby qui a verrouillé toute possibilité d’alternance politique, et même du moindre dialogue objectif et sincère avec les acteurs politiques de son pays où, ce n’est un secret pour personne, la dictature et la violation constante des libertés fondamentales sont la seule règle de gouvernement.

La plus flagrante preuve du cynisme politique du président Deby est la démarche absolument absurde qu’il adopte ces temps derniers où il crie à hue et à dia, après la tenue du sommet des États Sahélo-Sahariens, sa volonté de faire la paix avec le Soudan. Il ne fait nullement allusion à dialoguer, ou à faire la paix avec l’UFR qui est le mouvement politico-militaire le plus important, et par voie de conséquence incontournable dans le contexte politique Tchadien.

Cela veut clairement dire que le problème du président Deby ne se situe pas au niveau des politico-militaires qu’il connait bien, et dont il n’ignore rien des nobles motivations ni des objectifs politiques. Sa seule obsession étant de pouvoir se mettre d’accord avec le Soudan, ainsi – pense-t-il - l’UFR, qu’il croit soutenu par le Soudan, n’aura plus de protecteur, et devrait donc logiquement se retrouver hors- jeu.

A la limite, daigne-t-il inviter tout opposant à – non pas dialoguer dans un cadre formel mais – plutôt de venir se joindre à la plate forme du fameux accord du 13 Août 2007 qui est – à l’heure qu’il est - fort décrié par ses malheureux signataires qui n’en finissent pas de le qualifier d’escroquerie politique.

Il serait difficile d’évoquer les rebelles tchadiens sans parler de ceux, Soudanais, qui logent au vu et au su du tout N’djamena à l’hôtel Kempinsky et sont entretenus au doigt et à l’œil par le régime en place. Ces rebelles sans réelle idéologie, et seulement animés par une rigide logique de sécession du Soudan, n’ont jamais reculé devant rien pour atteindre leur principal objectif : la partition de cet immense pays, et au bout du compte l’instauration d’une république islamique.

Pourtant, le président Omar El Béchir n’a jamais hésité à négocier avec ces mouvements, certes sans foi ni loi, mais animés par des Soudanais. D’ailleurs après le succès de la médiation Qatarie avec le MJE il y a quelques mois- suivie de leur offensive d’il ya quelques jours- le président El Béchir est toujours disposé à dialoguer. Contrairement à Idriss Deby !

En dépit de cette positive propension à la normalisation du climat politique dans son pays, le président Omar El Béchir a fort à faire sur d’autres plans. Car depuis près de huit ans, une insidieuse et cohérente stratégie de déstabilisation d’envergure internationale s’est tissée autour de sa personne et de son régime. Elle aura atteint son point d’orgue avec ce mandat international que vient de lancer la Cour Pénale Internationale à son encontre, lui un président de République en fonction.

Cette hallucinante conspiration contre le Soudan a fini par être étalée ces derniers temps au grand jour à la suite de la divulgation de scandaleux documents qui font aujourd’hui le tour des salles de rédactions ainsi que des salons feutrés de certaines chancelleries Africaines.

En effet, dans la cynique et criminelle optique d’envahir le Soudan, mettre son président sur la touche ou en prison – et accessoirement l’exécuter – et surtout assouvir des appétits pétroliers gargantuesques, et couper l’herbe sous les pieds des chinois - ainsi que des éventuels partenaires économiques nouveaux en Afrique - les États Unis ont mis les petits plats dans les grands. L’accusation pourrait sembler excessive s’il n’y avait pas, pour recouper les faits, des documents, des témoignages, des rapports officiels vérifiables.

Et bien évidemment, quand on parle des USA, Israël n’est jamais loin. Israël que l’on imaginerait encore plus enflammé par sa haine atavique contre tout ce qui est arabe, n’a guère hésité à mettre en marche – et les preuves foisonnent à ce sujet - une sorte d’Internationale Juive pour s’occuper particulièrement du Soudan, particulièrement impardonnable à ses yeux d’héberger sur son sol des supposés Palestiniens militants actifs du Hamas.

Et pour régler ses comptes avec Khartoum, l’État Hébreu n’a eu qu’à appuyer sur un bouton pour mettre à contribution deux prestigieuses personnalités, aujourd’hui aux premières loges en France, que sont le juif Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République, et le non moins Juif Bernard Kouchner, à la tête de la diplomatie française. Cela pourrait paraitre tout simplement incroyable, mais les agissements de l’un comme de l’autre ne laissent guère beau coup de doutes quant à l’authenticité de cette insolite collusion.

Personne n’a d’ailleurs oublié que, par solidarité politico ethnique vis - à -vis de son frère juif Sarko, Kouchner avait préféré jeter ses convictions socialistes aux orties au lendemain de la dernière élection présidentielle en France afin d’obtenir en contrepartie ce que de nombreux observateurs considèrent comme le plus grand ministère du gouvernement français. La France n’étant rien dans le monde sans sa diplomatie.

Ce lobby juif en question - à la détermination féroce quant à la déstabilisation du Soudan - a néanmoins tenu à avancer à visage couvert, et pour ce faire, il a pu et su trouver un pion en or en Afrique, près du Soudan, tout près du Soudan : il s’agit de l’ogre de N’djamena, le bien nommé Idriss Deby Itno.

C’est ainsi qu’il serait simpliste de penser que tout ce qui se passe aujourd’hui au Soudan ne pourrait s’analyser uniquement qu’à l’aune des turbulences politico sociologiques ayant installé une guerre insupportable ainsi qu’un véritable drame humanitaire sur le sol du pays le plus vaste d’Afrique.

En fait, les malheurs du Soudan proviennent de ce qui fait sa force : l’immensité de son territoire, la multiplicité de ses énormes richesses pétrolières, minières, et énergétiques qui ont suscité d’indescriptibles convoitises de la part des grandes puissances en mal d’hégémonie néo coloniale. Bien entendu, la plus grande force de ce pays n’étant autre que son chef d’État, El Hadj Omar Hassan El Béchir, un homme de fortes convictions et de caractère qui - contrairement à bon nombre de dirigeants Africains - sait ce qu’il veut pour son pays, et surtout n’a jamais accepté la moindre compromission dès lors qu’il est question de la souveraineté de la Nation Soudanaise.



UNE INTERNATIONALE JUIVE CONTRE KHARTOUM.


A en croire donc tout ce qui se dévoile aujourd’hui sur l’opération planifiée de la fragilisation du Soudan, il s’est posé un problème sérieux aux yeux des puissances conjuguées et déterminées à faire main basse sur l’un des sols les plus riches du continent Africain : comment mettre Omar El Béchir à terre en donnant l’impression de rendre service à la communauté internationale ?

C’est ainsi que l’option de désarticulation de ce vaste territoire fut méthodiquement planifiée et mise en marche : des groupuscules prétendument rebelles se formèrent – armés et soutenus par des sponsors identifiés par la suite – montèrent violemment et sauvagement à l’assaut du gouvernement de ce pays qui, jusque là, ne s’était distingué en Afrique que par sa bonne santé économique et le nationalisme indestructible de son leader.

Qu’une certaine presse occidentale hagarde ait tenté de justifier les motivations séparatistes de ces groupuscules rebelles, et même, que certains gouvernements aient – contre toute décence - refusé de condamner les inadmissibles actes de barbarie perpétrés sur les pauvres populations par de prétendus « libérateurs » aux mains rouges de sang, n’ont guère détourné le chef de l’État Soudanais de son obsession à faire face, et même de faire front à cette cabale internationalisée. Une cabale que l’on a scientifiquement saupoudrée de sensiblerie en criaillant sur tous les toits au génocide et à la catastrophe humanitaire.

En fait, la vérité est toute simple : Israël et ses alliés naturels - que sont les États-Unis d’Amérique et la France - s’acharnent en coulisses, depuis près d’une dizaine d’années, à tenter de renverser le régime du président Béchir afin de placer à la tête de l’État soudanais des hommes plus réceptifs à leurs … appétits pétroliers.

Surtout que, pour la commercialisation du pétrole soudanais, le président El Béchir a opté depuis de nombreuses années de traiter avec des partenaires plus sensibles à la notion de commerce équitable comme la Chine, qui est, on le sait, l’antithèse des puissances impérialistes d’occident qui trouvent un incroyable plaisir à dépouiller les pays d’Afrique de leurs ressources minières, pour ne leur offrir en contrepartie que des brimborions et des cacahuètes.

Encore que, par ailleurs, outre le fait de ne penser qu’à dépouiller le Soudan à peu de frais de son pétrole, la coalition israélo-franco-américaine affiche une soif inextinguible à traquer les résistants des mouvements nationalistes palestiniens, notamment ceux du Hamas, ayant trouvé refuge dans ce pays ou ailleurs. On peut donc comprendre la haine viscérale d’Israël pour le Soudan, coupable à ses yeux d’accorder égards et gîte à ses ennemis jurés.

Mais bien avant la mise en marche de la vendetta Israélienne contre le Soudan, il faut dire que depuis au moins l’année 2002, les États Unis d’Amérique poursuivent une vicieuse politique de contrôle géostratégique en Afrique. C’est ce qu’on a appelé au pays de l’oncle Sam : « la nouvelle course à l’Afrique »

En effet, si le grand déploiement économique des pays d’Asie en Afrique est qualifié par les spécialistes de « Grand Jeu », ceux-ci parlent plutôt de nouvelle “Course à l’Afrique” pour ce qui concerne le nouvel intérêt de la part des grandes puissances occidentales, notamment les USA.
Ainsi, selon « The National Security Strategy of the United States de 2002 » – la balise directrice des stratégies globales du gouvernement Américain - le “combat contre le terrorisme mondial et la nécessité d’assurer la sécurité énergétique des USA requièrent des États Unis qu’ils augmentent leur engagement en Afrique. »



« Combat contre le terrorisme », « assurer la sécurité énergétique des États-Unis » : Voilà les prétextes fourre-tout qui ont toujours justifié les pires vilénies des américains à travers le monde. Personne n’a oublié que c’est au nom de ces deux motifs que l’Irak avait été envahi en 2001 et Saddam Hussein exécuté.

En parlant de nouveau « d’assurer la sécurité énergétique » pour justifier un « engagement des USA en Afrique », il est clair que ce sont les pays producteurs de pétrole qui sont visés. Et quand on ose seulement penser que le Soudan possède d’immenses gisements d’or noir, le compte est bon pour le pays d’Omar El Béchir qui, en plus, traine la réputation d’avoir hébergé Ben Laden à une certaine époque.

Ainsi, le prétexte de terrorisme peut tranquillement être accolé au « souci de la sécurité énergétique »pour réserver au Soudan le sort de tous les États étiquetés de « voyous » par les administrations Américaines.



C’est donc dans cette logique que les USA ont ameuté - dès 2004 – tous leurs alliés objectifs et affidés pour une « coalition volontaire » afin d’établir des arrangements sécuritaires sur le continent Africain. Dans la même foulée, le Commandement US d’Europe, basé à Stuttgart, en Allemagne - et chargé des opérations militaire en Afrique subsaharienne, notamment au Tchad - a augmenté ses activités en Afrique de l’Ouest, tout en focalisant son attention sur les pays affichant d’importantes productions ou réserves de pétrole dans ou autour du Golfe de Guinée (en gros de la Côte d’Ivoire à l’Angola).



Précision de taille : depuis 2004 le Commandement militaire US pour l’Europe consacre pas moins de 70% de son temps et de ses moyens logistiques à la collecte, la compréhension, et la gestion des affaires africaines, alors que celles-ci avaient une part encore insignifiante en 2003.
Ce n’est pas gratuit, et de nombreuses études sont menées en permanence au Département d’État Américain pour que les États-Unis occupent désormais une position d’importance sur le continent noir.

Il n’est donc pas surprenant que Richard Haass, actuel président du Conseil sur les Relations étrangères au Département d’État, ait jugé utile et opportun d’affirmer dans la préface de son rapport de 2005, sous le titre « More Than Humanitarianism: A Strategic U.S. Approach Toward Africa »( Plus que de l’humanitarisme : une approche stratégique US de l’Afrique): « À la fin de la décennie, l’Afrique subsaharienne est susceptible de devenir une source d’importations énergétiques US aussi importante que le Moyen-Orient.»

Et de préciser dans le même rapport que : «l ’Afrique de l’Ouest dispose de quelques 60 milliards de barils de réserves pétrolières avérées. Son pétrole, à faible teneur en soufre, est un brut doux fort apprécié par l’économie US. Les agences et les boîtes à idées Américaines prévoient qu’un baril de pétrole sur cinq entrant dans le circuit économique mondial dans la deuxième moitié de cette décennie viendra du Golfe de Guinée, et que la part provenant du Golfe de Guinée dans les importations US passera de 15 à 20 % en 2010, et à 25% en 2015. Le Nigeria fournit déjà 10% du pétrole importé par les USA. L’Angola en fournit 4%, et sa part devrait doubler d’ici la fin de la décennie. La découverte de nouvelles réserves et l’expansion de la production pétrolière sont en train de faire d’autres pays de la région des exportateurs importants de pétrole, notamment la Guinée équatoriale, São Tomé et Principe, le Gabon, le Cameroun et le Tchad. La Mauritanie deviendra un exportateur de pétrole en 2007. Le Soudan, limité par la Mer rouge à l’Est et le Tchad à l’Ouest, est un important producteur de pétrole. »

Un important producteur de pétrole dont aucun chiffre n’est précisé sur la production ni sur les potentialités, mais qui – à d’autres niveaux – mérite des attentions particulières.





UNE AMBASSADE D’ISRAEL AU SOUDAN.



Des attentions qui ont commencé par la recherche de la maitrise politique de ce pays grand comme cinq fois la France, et dont le président est du genre pas malléable du tout. C’est alors qu’Israël s’engagea jusqu’au cou dans le soutien matériel et logistique des rebelles Soudanais.

En 2008, Abd Al-Wahed Al-Nour, le chef du très sanguinaire Mouvement de libération du Soudan, dans un élan d’enthousiasme irrépressible à cause du soutien qu’apporte Israël à leur mouvement par le biais du Tchad - affirmait sur les antennes de la chaîne de télévision Al-Arabiya : « le Mouvement de libération du Soudan déclare haut et fort que dès que nous arrivons au pouvoir, nous ouvrirons une ambassade israélienne à Khartoum». Ils sont en tout cas nombreux à savoir, de N’djamena à Tel Aviv, que le Tchad reçoit depuis plus de cinq ans des armes fournies par l’État hébreu, et destinées aux différents mouvements rebelles du Soudan, et du Darfour plus particulièrement.



Ceux qui pouvaient encore douter de l’implication directe ou induite d’Israël dans tout ce qui peut se passer au Soudan n’ont qu’à se référer auprès de ceux qui se souviennent de la réunion tenue le 20 mars 2007 à la Mutualité à Paris par les membres d’un certain "collectif Urgence Darfour", où la volonté des lobbies juifs d’en finir avec le président El Béchir et son régime avaient clairement dépassé le stade des simples intentions.

En effet, appuyés par les juifs français, Bernard-Henri Lévy et Bernard Kouchner, le Conseil représentatif des institutions juives, l’Union des étudiants juifs de France, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, entre autres, des orateurs aux yeux injectés de sang avaient exigé « une intervention internationale au Darfour contre le gouvernement de Khartoum, et recommandé à la communauté internationale d’armer les rebelles du Mouvement de libération. »
C’est pourquoi, aujourd’hui plus qu’hier, Israël qui – bien que niant avoir signé des accords de défense avec le Tchad - ne se limite pas seulement à l’envoi du matériel militaire aux rebelles du Darfour du SLA d’Abd Al-Wahed Al-Nour - quoique ces derniers soient jugés ces derniers temps un peu timorés, mais se charge également de leur formation tant en Israël qu’en France.

C’est surtout le cas du MJE de Khalil Ibrahim dont ses éléments sont assimilés aux troupes de Deby. Ce sont d’ailleurs les hommes du MJE entraînés et armés à Am-Djéres et Tiné, puis emmenés à N’djamena par des avions français qui ont combattu, début Février 2008, les forces de l’UFDD dirigées par le Général Mahamat Nouri et les autres dans le cadre de la Coordination Militaire Unifiée (CMU), aux côtés de la soldatesque de Deby et des soldats français d’origine africaine et antillaise.



Assuré donc du soutien d’Israël dans la croisade contre le président Omar el Béchir, Idriss Deby Itno multiplie rodomontades et bravades contre le Soudan.



On l’a vu, il y a une semaine, avec l’aviation tchadienne qui a effectués – avec insolence - des raids aériens en territoire soudanais, pratiquement jusqu’à 60 kilomètres à l’intérieur des terres de ce pays, bien qu’aucun rebelle tchadien ne se trouve en territoire soudanais. Alors que les doungourous de Idriss Deby, avec à leur tête le chargé des relations publiques pour le Tchad devant le Conseil de Sécurité, le Franco-juif et très anti-arabe, Bernard Kouchner qui n’a jusqu’ici cessé de présenter le Soudan comme l’agresseur… par rebelles interposés du Tchad.





LE TCHAD AGRESSE LE SOUDAN SOUS LE SILENCE INTERNATIONAL.


Bien évidemment, l’agression tchadienne perpétrée contre le Soudan, au nez et à la barbe du monde entier, qualifiée par N’djamena - de « droit de poursuite » - n’a pas ému le moins du monde les bien pensants de la communauté internationale qui savent jouer très promptement les vierges effarouchées quand il faut condamner « l’agression du Tchad » pour un oui ou pour un non.



Il y a quelques jours encore, des rebelles du MJE darfouri armés par le Tchad, et partis de N’djamena, ont tenté une incursion dans les localités de Kornoi et Umm Burra avant d’être repoussés fermement par une armée Soudanaise qui a su, à l’occasion, faire montre de sa vigoureuse puissance de feu. Là encore, ni la France, ni le Conseil de Sécurité des Nations Unies n’ont condamné. Pourtant tout le monde avait vu ces rebelles partir de la capitale Tchadienne et prendre la direction de la frontière Soudanaise.



Ces deux attaques consécutives ont étonné le monde entier, les Africains, notamment, surpris de voir le Tchad faire preuve d’un tel culot et attaquer une armée aussi puissante que celle du Soudan – classée 7ème parmi les plus grandes armées d’Afrique.
Il faut dire qu’en fait le Tchad tire sa petite audace - à laquelle le Soudan aurait répliqué depuis, si de nombreuses personnalités et chefs d’États africains ne lui conseillaient la retenue – au soutien que lui apporte de plus en plus l’armée sioniste.



Pendant ce temps, la propagande israélo-occidentale peut toujours en mettre plein les oreilles au monde entier, en évoquant de supposés génocides perpétrés au Darfour par le régime du président El Béchir, alors qu’en réalité celui-ci ne fait que défendre son pays contre les attaques d’un immense mafia internationale dont les racines se trouvent en Europe (la France), en Amérique (Les États-Unis), au moyen Orient (Israël) et surtout en Afrique, à ses portes : le Tchad.

Le Tchad où le combat des patriotes de l’UFR est présenté à une certaine opinion internationale – et même devant le Conseil de Sécurité – comme une folle cavalcade de mercenaires Soudanais. Voilà un ridicule amalgame qui ne profite à personne, et surtout pas au régime d’Idriss Deby qui s’obstine à vouloir croire qu’il pourrait éternellement faire de la symétrie avec de fausses fenêtres.

Un amalgame qui n’honore pas non plus la France qui connait parfaitement la réalité du contexte politique Tchadien, mais s’obstine à maintenir au pouvoir – au grand dam de tout le peuple Tchadien – un autocrate dénué de toute ambition démocratique pour son pays.

En 1989, la manne du pétrole au Tchad avait suscité les convoitises des multinationales occidentales, notamment ELF Aquitaine, une société française d'extraction pétrolière. C’est ainsi que fut propulsé Idriss Deby par le gouvernement français de l’époque pour servir de pion. La machination a marché sur le dos du peuple tchadien. Une minorité de la population tchadienne avait cru en Deby un temps, quand il est arrivé au pouvoir…par les armes en 1990 avec son fameux slogan : « je vous apporte, ni or ni argent, mais la liberté ». Bluff ! Mais le masque fut tombé trois mois après l’avènement de MPS. Beaucoup de cadres civils et militaires, paysans, commerçants, étudiants et autres ; ont été contraints au maquis et au choix des armes auquel ils ont été acculés par un régime autiste, corrupteur, et criminel qui broie et élimine tous ceux qui s’imaginent que la Démocratie pourrait changer le Tchad.

La lutte des combattants de l’UFR est légitime, et le temps finira par leur donner raison. La France le sait, toute l’Afrique le sait, et tout le peuple Tchadien le sait.


La Rédaction de Tchadvision






http://www.tchadvision.com/Detail2.asp?item_id=467&


Y-a-t-il un lien entre les tensions americano-sioniste aux Emirats et au Bresil sur le nucleaire civil, Areva gene-t-il la diplomatie israelienne ?

La liste des passagers du vol AF 447 devrait etre publiée bientot, elle sera tronquée, mais il vous sera tres facile alors de comprendre que ce vol etait tres sensible. Sarkosy recoit la diplomatie iranienne ce Mercredi et le Bresil est considéré comme la chasse gardée des anglo-saxons. Ce qui est étonnant c'est que Sarkosy n'a meme pas voulu envisager la piste 'terroriste', de peur que les francais ne decouvrent reellement ce qu'est sa diplomatie ? On comprend également que ni les autorites ni les journaleux ne se sont defoulés sur les Musulmans comme a l'accoutumé, le syndrome des attentats de Londres peut etre ? La reponse est dans la liste des passagers... et le manque de cooperation des Etats-Unis... la competition entre Areva et l'industrie nucleaire US, du Moyen Orient a l'Amerique du Sud, il vous faut comprendre les tenants et les aboutissements de la strategie 'Areva' de Sarkosy pour comprendre que la nucléairisation de certains pays fait dresser les cheveux des israeliens et d'une partie de l'establishment americain et britannique!


Areva -a-t-il plus d'influence sur Sarkosy que la destinée d'Israel ?


Nous avons a ce jour notre idée sur ce qui s'est passé mais nous attendons que Sarkosy accuse certaines personnes pour le griller devant toute la planete, c'est peut-etre pour cela que la racaille de la DCRI n'a pas encore fait sa sortie mediatique sur demande du CRIF ! A mon avis, il vous sera difficile de faire taire Lulla !


Souvenez de l'avion de la Flash Airline en 2004, les israeliens avaient pris les commandes de l'appareil a distance et l'avaient precipité dans la mer rouge, puis il s'en etait suivi des prise d'otages aussi bidons les unes que les autres, de Chenot Malbrunot a Aubenas... Chirac refusait alors de s'engager dans la guerre contre l'Iraq et de soutenir l'effort de guerre israelien, aujourd'hui l'Iran est dans le collimateur, Sarkosy est un farouche supporter d'Israel mais peut-il reellement se ranger a ses cotes sans qu'il ne mette son pouvoir en danger, les militaires suggerant clairement dans l'article ci-dessous que la construction d'une base militaire a Abu Dhabi, gage de garantie de la securité d'installation nucléaire francaise la bas ? entraine de facto la France dans n'importe quel mecanisme militaire au Moyen Orient. La strategie 'Areva' est a plusieurs niveaux de lecture, et elle gene incontestablement ses rivaux US, britannique ainsi que la diplomatie de Tel Aviv... 


Abu Suleyman




Airbus AF-447 : et s’il s’agissait d’un attentat ?




2 juin 2009



2 juin 2009 (Nouvelle Solidarité) – Si l’hypothèse principale retenue par les médias pour expliquer « la disparition » étrange de l’Airbus A330 d’Air France reliat Rio à Paris est celui de la foudre, de plus en plus de spécialistes s’accordent pour croire que l’hypothèse d’un attentat ne peut être écartée d’un revers de manche.





Ensuite il s’interroge sur le message électronique annonçant une panne de circuit électrique : « Il y a cinq sources d’énergie électrique à bord d’un appareil. Pour qu’il y ait une panne totale, il faudrait que ces cinq sources ne fonctionnent plus. Lorsque tout tombe en panne, une batterie prend de façon transitoire et partielle le relais, ainsi qu’un moteur qu’on utilise généralement au sol. Une sorte d’éolienne est déclenchée pour générer de l’électricité. Pour que le commandant de bord n’ait plus aucune capacité à piloter l’avion, il faudrait que toutes ces sources d’électricité soient endommagées. Ça me paraît difficile. »



Enfin, il n’hésite pas à affirmer que l’on « peut très bien imaginer qu’une bombe a provoqué une dépressurisation de l’appareil, et que l’avion prenne du temps à se démonter en morceaux. De même, ça peut carrément être une grosse bombe qui a fait exploser tout l’avion, ce qui expliquerait que l’appareil n’a pas eu le temps d’envoyer un signal d’alerte. »





« Nous n’évoquons pas cette éventualité pour nourrir une quelconque théorie du complot, d’autant moins que les services spécialisés estiment n’avoir pas eu d’indice d’une particulière montée de tension, ni avoir identifié de menace spécifique. Pour autant, ne laissons pas complètement de côté cette éventualité, à tout le moins tant que des éléments techniques ne l’auront pas exclue. N’oublions pas que des groupes moyens-orientaux sont très implantés en Amérique du Sud, et qu’ils y font d’ailleurs l’objet d’une surveillance attentive des services spécialisés. L’histoire ne manque pas, hélas, d’attentats non revendiqués, non annoncés, et ne faisant l’objet d’aucune explication. Mais la France, très engagée au Moyen-Orient, dans le Golfe, en Afghanistan, et ailleurs, n’aurait-elle reçu aucun avertissement ? Et si c’était le cas, l’aurait-elle dit ? Il ne s’agit que d’une hypothèse parmi d’autres, et rien de plus. Mais ne la balayons pas d’un revers de manche... »



Sans tirer de conclusion, signalons l’inquiétude exprimée par certains de nos militaires depuis le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN.



D’après Le Canard Enchaîné du 27 mai, parlant de la nouvelle base française d’Abou Dhabi, située à 220 km des côtes iraniennes et que le président Sarkozy vient d’inaugurer, ces spécialistes « décèlent chez Sarkozy ‘un comportement à risque’, car, lors d’une crise majeure, la France pourrait être impliquée dans un éventuel conflit. Et sans qu’elle l’ait voulu, en cas de raids israéliens ou américains contre des sites nucléaires iraniens. »








L’avenir de la résistance palestinienne (1)

Centre Az-Zaytouna – CPI

http://www.palestine-info.info/


Après la guerre agressive israélienne menée contre Gaza et la baisse des opérations de résistance en Cisjordanie, une grande interrogation se pose sur l’avenir de la résistance palestinienne.

Les données actuelles indiquent que la résistance passe une période difficile, que des frappes l’attendront dans un avenir proche. De la même façon qu’"Israël" souffre de crises, sur le niveau intérieur comme sur le niveau extérieur. Il faut indiquer que la résistance est désormais soutenue politiquement comme populairement. En général, la résistance est en ascension. Tout le monde devra la prendre en considération.

Préambule

La résistance vit une période exceptionnelle. Une partie du peuple palestinien est contre elle. Cette partie va jusqu’à arrêter toute personne qui porte l’arme contre l’occupant. Plusieurs pays arabes travaillent contre elle et participent au blocus imposé sur elle. Il y a également cette guerre agressive israélienne menée contre Gaza. Toutes ces données et tant d’autres font que se pose une vraie interrogation sur l’avenir de la résistance palestinienne.

La résistance à l’intérieur comme à l’extérieur

La résistance palestinienne se fait sur deux volets. A l’intérieur se trouvent les mouvements du Hamas, du Djihad Islamique, de la Résistance Populaire, des Saraya Al-Djihad et d’Abou Ali Mostapha. A l’extérieur, il y a le Front Populaire, le Fatah Intifada et d’autres qui se trouvent dans des camps du Liban.

C’est la résistance de l’intérieur qui se trouve au milieu du combat, au front face à l’ennemi sioniste.

La résistance de l’extérieur, bien qu’elle soit toujours prête, est enchaînée par des donnes arabes et internationales : les relations avec le gouvernement libanais, le conflit entre les Syriens et les Israéliens… Sans oublier que l’extérieur est le reflet de l’intérieur et vice-versa.

Pourquoi freiner la résistance ?

De plusieurs problèmes, difficultés, ennuis et soucis souffre la résistance palestinienne.

Premièrement : La résistance est toujours sur le qui-vive, étant toujours face à "Israël" qui possède une machine de guerre impressionnante, des plus grandes. La résistance fait avec, baisse et monte en puissance. Mais elle améliore toujours sa capacité, son endurance face à cette machine.

Deuxièmement : La résistance devra faire face à un grand défit intérieur. En effet, la déclaration de Yasser Arafat, président de l’OLP, de laisser tomber le terrorisme (la résistance armée), faite en 1985, constitue un point tournant contre la lutte armée, confirmé par l’accord d’Oslo, entre autres. De tels accords obligent des Palestiniens à interpeller d’autres Palestiniens, pour protéger la sécurité d’"Israël" !

Une armée de Palestiniens commence à poursuivre tout Palestinien qui pense à la résistance contre l’occupation. En plus de cela, la résistance est en face de défis : défis d’organisation, d’armement, de financement…

Troisièmement : Il y a aussi ces pays arabes qui contrarient la résistance, en préférant reconnaître "Israël" et une normalisation des relations avec elle. Ils vont jusqu’à participer au blocus mené contre la bande de Gaza. Quelques-uns d’entre eux étaient même aux côtés des occupants durant la guerre agressive israélienne menée contre Gaza (2008-2009), en participant au contrôle d’armes arrivées aux résistants.

Certains sont de mèche avec des pays occidentaux qui frappent la bande de Gaza par un blocus financier. De plus, les pays arabes qui payent 53% des salaires des fonctionnaires de l’autorité palestinienne font des pressions sur les Palestiniens pour qu’ils reconnaissent "Israël" et respectent les accords signés par l’OLP.

Quatrièmement : Au niveau international, il y a de grandes puissances telles l’Amérique et l’Europe qui font opposition à la résistance palestinienne. Elles se réunissent derrière "Israël" pour la protéger et pour étouffer la résistance palestinienne, politiquement, médiatiquement et militairement. De cette façon, on comprend bien combien les défis qu’envisage la résistance sont grands, difficiles, durs de conséquences, pour une résistance déjà vulnérable.

Cinquièmement : Une partie des intellectuels palestiniens, notamment en Cisjordanie et dans la bande de Gaza, sont pris par l’ambiance de négociations avec "Israël". Ils appellent désormais à la reconnaître et à arrêter la résistance. Ils croient qu’il faut donner une chance à l'établissement de l’Etat palestinien par des moyens pacifiques. Sur la scène palestinienne, la situation est telle qu’il y a des Palestiniens qui haïssent d’autres Palestiniens – des résistants. Ils vont jusqu’à louer la coopération avec l’ennemi et l’attaque contre la résistance comme un service fait à la patrie !

Le rapport écrit par le Centre Az-Zaytouna d’études et de conseils, résumé et traduit par nos soins, est basé sur une étude écrite par Dr. Abdou As-Sattar Qassim.


Netanyahu’s new quest: The game is on

By Ramzy Baroud

Online Journal Contributing Writer

Jun 1, 2009

“We’ve accomplished quite a few things, and I think the most important one is to cement the principle that the path to peace is through negotiations and not through violence.”
These were the ‘encouraging’ words modestly uttered by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu during a joint press conference with the US president. The president was Bill Clinton, and the date was October 2, 1996.


In the occupied Palestinian territories, the situation then seemed incredibly grim. But there was no Israeli wall. The settlements were smaller in size and in population. Gaza was besieged, but not to the point of total suffocation.


Prime Minister Netanyahu paid a highly anticipated visit to the White House on May 18, 2009, this time meeting with Barack Obama.


“I share with you very much the desire to move the peace process forward. And I want to start peace negotiations with the Palestinians. I would like to broaden the circle of peace to include others in the Arab world,” said Netanyahu.


One need not emphasize the harm inflicted upon the Palestinian people during those years. The violence, which Netanyahu seemingly decried in ’96, visited Palestinians countless times. Starting December 27, 2008, and for 22 frightening days, much of Gaza was decimated by the Israeli army, using US weapons, killing and wounding thousands. There is now a giant wall, hundreds of miles in length, snaking around the West Bank, separating Palestinians from their land, livelihoods and any possibility of a true state. There are Jewish settlements, joined by Jewish-only roads that hopelessly fragment the occupied West Bank. They all are illegal under international law, as is the so-called Separation Wall, as are the brutal attacks and siege on Gaza, as is the Israeli military occupation altogether.


We are told that Obama is serious about peace in the Middle East. He maybe is. But even such assumed seriousness might not be able to change the disturbing pattern that forced Clinton before him, according to former top Middle East advisor Aaron David Miller to utter the following words: “Who the f*** does he think he is? Who’s the f***ing superpower here?”
In recent meetings between the two leaders, Obama clearly highlighted his country’s commitment to a Palestinian state, and, surprisingly, made mention of “Gaza” during the press conference. But the words of praise of Israel’s greatness were at an all time high. “Obama talked about the ‘extraordinary relationship [with Israel], the special relationship . . . the stalwart ally . . . the historical ties, emotional ties [and] the only democracy in the Middle East . . . a source of admiration and inspiration for the American people,’” observed commentator George Hishmeh.
Following his meeting with Obama, Netanyahu made a visit to the US Congress, where he conferred with the “great friends of Israel.” On his visit to Capitol Hill, he met House Speaker Nancy Pelosi and House Minority Leader John Boehner. The Israeli leader also met members of the Senate Foreign Relations Committee and Jewish legislators. He was given the same exceptional treatment enjoyed by other Israeli leaders. Senate Foreign Relations Committee Chairman John Kerry was “encouraged by a number of things” Netanyahu had said. Following meeting with congressional leaders, Netanyahu observed, as if breaking some unexpected news: there is “an American consensus” regarding “the special relationship we have between Israel and the United States.”


The game is on. Netanyahu will once again try to overwhelm the president of the United States by rallying the Congress behind him in preparation for any possible confrontation with Obama’s administration. Obama, on the other hand, will attempt, however bashfully, to assert a new direction in US foreign policy -- through tempting Israel by embracing harsher Iran policies and pressuring the Arabs to normalize with the Jewish state in exchange for Israel’s mere promise of moving the peace process forward.


In 1996, Netanyahu spoke of the immediate danger facing Israel, in reference to Iraq. Now Iraq -- which had no weapons of mass destruction, after all -- is no longer an “existential threat” to the state of Israel.


And now the Israeli leader has set his sights on Iran. “The challenge is the potential arming of Iran with nuclear weapons capabilities. That is a great danger to all of us . . . We have to do this in tandem . . . I was very encouraged to learn that this is the American policy. We’re going to try to do it together, because if we do it together we’ll get a lot further, a lot faster.”


It might not take 13 more years before Netanyahu’s wishes come true, before getting a lot further, a lot faster, i.e. unleashing a war against Iran. But mark my words, Netanyahu, as well as those before him, as well as those after him, have no intentions of making peace with the Palestinians. He is simply waving a carrot before Obama to get what Israel wants, an attack on Iran. It’s as simple as that.


If Obama hesitates in confronting the new Israeli agenda, and if the Congress continues to treat Israel’s security obsessions as top American priorities, there is no telling what the Middle East will look like the next time Netanyahu arrives in Washington to meet the new American president.


Ramzy Baroud is an author and editor of PalestineChronicle.com. His work has been published in many newspapers and journals worldwide.

His latest book is The Second Palestinian Intifada: A Chronicle of a People’s Struggle Struggle” (Pluto Press, London), and his forthcoming book is, “My Father Was a Freedom Fighter: Gaza’s Untold Story” (Pluto Press, London).(Pluto Press, London,) and his forthcoming book is, “My Father Was a Freedom Fighter: Gaza The Untold Story” (Pluto Press, London).


Ussama Bin Laden: 9/11 “It was Jews”


- Osama Bin Laden was immediately blamed for the 9/11 attacks by the Jewish owned media, and top level U.S. government officials, although no evidence has ever come forth proving this assertion. In fact, on Usama Bin Laden’s FBI’s most wanted terrorists poster, 9/11 is not at all listed as one of his crimes.(fbi.gov)


Immediately after the attacks Bin Laden was interviewed by Pakistani newspaper Ummat. When asked if he was involved in the attacks he stated:


“I have already said that I am not involved in the 11 September attacks in the United States. As a Muslim, I try my best to avoid telling a lie. I had no knowledge of these attacks, nor do I consider the killing of innocent women, children and other humans as an appreciable act. Islam strictly forbids causing harm to innocent women, children and other people. Such a practice is forbidden even in the course of a battle.”


He went on to say:


“In the same way, whether it is President Bush or any other U.S. President, they cannot bring Israel to justice for its human rights abuses or to hold it accountable for such crimes. What is this? Is it not that there exists a government within the government in the United Sates? That secret government must be asked as to who carried out the attacks.”


He further goes on to state:


“I have already said that we are not hostile to the United States. We are against the [U.S. Government] system, which makes other nations slaves of the United States, or forces them to mortgage their political and economic freedom. This system is totally in the control of the American Jews, whose first priority is Israel, not the United States. It is clear that the American people are themselves the slaves of the Jews and are forced to live according to the principles and laws laid down by them. So the punishment should reach Israel. In fact, it is Israel, which is giving a blood bath to innocent Muslims and the U.S. is not uttering a single word.”





North Jersey: epicenter of 'Kosher Nostra' and Mossad activity


By Wayne Madsen,
Online Journal,
Contributing Writer,
Jul 30, 2009, 00:22


(WMR) -- The recent rolling up of a Syrian Jewish criminal syndicate that was involved in buying off local elected and appointed government officials in north Jersey is but one in a long series of law enforcement operations directed, sometimes unsuccessfully due to the immense power of the Israel Lobby in the United States, against Jewish criminal networks in the New Jersey-New York region. These criminal networks also have one important thing in common: close connections to Israeli politicians and businessmen.

The FBI used a confidential witness to identify a number of Syrian Jewish rabbis who were using synagogues and yeshivas as money laundering fronts reportedly for the illegal sale of knock-off designer handbags and even human organs. The witness, Solomon Dwek, is a major real estate developer and gambling boat owner who was arrested in 2006 for trying to pass a bad check and defraud PNC Bank of $25 million. Dwek is a member of the powerful Syrian Jewish clan in New Jersey and New York, which has been called the SY Empire” and the “Dwek clan.”

Dwek’s father, Isaac Dwek, is a rabbi of a synagogue and yeshiva school in the Syrian Jewish enclave of Deal, New Jersey, on the Jersey shore. Deal is a nexus for the radical Israeli right that is opposed to any peace agreement with the Palestinians and the ultra-orthodox Israeli Shas Party, a member of the current Israeli coalition government, has held fundraisers in Deal. The Syrian Jewish community is also heavily involved in worldwide Chabad Houses, which WMR has previously linked to drug smuggling and money laundering, particularly in Mumbai, Bangkok, and other Asian cities. In 1992, the Syrian government lifted travel restrictions and limits on the disposition of property for the Syrian Jewish community. Syrian Jews were relatively free to travel, including to the United States.

Among the rabbis arrested was Saul Kassin, the 87-year-old chief rabbi of the 80,000-member Syrian Jewish community in Brooklyn and New Jersey. Rabbis from Brooklyn and Deal were also arrested for money laundering operations that used the tax-exempt status of Jewish religious organizations to avoid detection and reporting to the government.

The mayors of Hoboken, Secaucus, and Ridgefield were also arrested as part of the bribery probe of the Syrian Jewish syndicate, as well as a Jersey City state assemblyman and an Ocean Township mayor and assemblyman. A member of New Jersey Governor Jon Corzine’s cabinet was also arrested, along with appointed officials in Bayonne, Hoboken, and Jersey City.

The latest reported criminal activity among the region’s Syrian Jewish community is nothing new. One prominent member of the community, which traces its origins back to the Syrian city of Aleppo, was Eddie Antar, the owner of a regional chain of consumer electronics stories called “Crazy Eddie’s,” who fled the United States for Israel after being indicted for fraud. Antar had laundered some $80 million through Panamanian and Israeli banks, much of it ending up at the Bank Leumi in Tel Aviv, Swiss banks, a “folding tent” Liberian company, and a Liechtenstein foundation. Antar used a fake passport and the alias of David Jacob Levi Cohen to enter Israel. Antar also used the alias of Alexander Stewart. Antar was eventually arrested near Tel Aviv and was extradited back to the United States where he eventually received an eight-year prison sentence. The chief federal prosecutor against Antar was Michael Chertoff.

Syrian-Jewish businessman Norman Jemal, the head of another influential Syrian-Jewish family and a consumer electronics competitor of Crazy Eddie, saw his store chain Nobody Beats the Wiz, collapse into bankruptcy in 2003.

Another prominent Syrian Jew was Edmond Safra who founded Banco Safra in Brazil in 1955. The Beirut-based Safra family had long served as important bankers for the Ottoman Empire. Safra eventually became a billionaire banking and investment tycoon. Safra founded the Republic National Bank in New York in 1966. In 1999, Safra was killed in an arson attack on his Monte Carlo home. Safra’s U.S.-born nurse, Ted Maher, a former U.S. Army Green Beret, was arrested and charged with starting the fire but his conviction was overturned. Safra’s killer or killers still remain at large. Safra’s security chief, Shmuile Cohen, had recruited a number of Israeli military special forces personnel to guard Safra, but Shmule and the guards were given the night off by Safra’s wife. Before his death, Safra was negotiating the sale of Republic Bank to HSBC. Safra was also cooperating with the FBI in its probe of the use of U.S. banks by the Russian-Israeli mafia to launder billions of dollars. There is speculation that Safra was murdered by the Russian-Israeli mob to keep him from divulging more details of their operations to the FBI.

After the recent bust of prominent Syrian-Jews in New Jersey and New York, the FBI and Justice Department revealed their investigation had lasted for 10 years. The Safra murder occurred 10 years prior to the recent corruption arrests. WMR has learned that the FBI is actually probing a much bigger criminal syndicate, one that involves more powerful politicians and businessmen involved in real estate and financial services in New York and New Jersey. The arrest of mayors, other small-time politicians, and rabbis may lead to higher-ups if there is cooperation from those already arrested from plea deals with prosecutors.

One prominent member of the Syrian Jewish community is Joseph Cayre, the real estate business partner of Larry Silverstein and Lloyd Goldman in the pre-9/11 lease of the World Trade Center from the New York-New Jersey Port Authority and the subsequent redevelopment of the “Ground Zero” site. Silverstein, Cayre, Goldman, and New York Mayor Michael Bloomberg have recently been feuding with the Port Authority over the terms of the redevelopment scheme. Part of the redevelopment strategy is central to the “Cornerstones Project,” a project to establish four mega-entertainment and sports complexes in Manhattan connected to two other such centers on Coney Island and at the Meadowlands Xanadu entertainment and shopping complex in East Rutherford, New Jersey, next to Secaucus. The Xanadu project is being underwritten by Goldman Sachs and is a favorite of Governor Corzine, a former chairman of Goldman Sachs.

In the criminal complaint against Rabbi Eliahu “Eli” Ben Haim of the Ohel Yaacob congregation in Deal, a co-conspirator only identified as “I.M.,” who is based in Israel and was a principal source of cash for Ben Haim, is cited. It is odd that “I.M.” is only identified by initials when two other co-conspirators of Ben Haim are identified by their full names: Schmulik Cohen of Brooklyn and Arye Weiss, also of Brooklyn. “I.M.”s modus operandi is described in the criminal complaint:

“Defendant BEN HAIM also mentioned that he owed another individual $495,000. This individual, according to defendant BEN HAIM, had wired money from Hong Kong to Israel, and stated that ‘he has money in Hong Kong from his -- the kickbacks from the factories.’ Defendant BEN HAIM also further described the activities of Coconspirator I.M. in the following terms: ‘the head contact’s in Israel . . . He has different people, he has, . . . he has a hundred cus-, no customer in New York [u/i] [unintelligible] money in Israel [u/i] real estate investments, they, they want to hide their money. They don’t want it to show. So they give the cash here to him and he gives me the cash . . . You see the merry-go-round? This guy’s been doing it for 20, 30 years.’ Defendant BEN HAIM also indicated that he would pick up cash, as coordinated by Coconspirator I.M., at locations in Brooklyn. The CW [confidential witness] offered to pick up the cash that defendant BEN HAIM anticipated would be available to him the following week.”

The complaint provides even greater details of “I.M.’s” money laundering activities:

“Defendant BEN HAIM told the CW about ‘customers from two, three years ago that are calling me,’ and indicated that “[t]hat’s a signal that the market is tight.’ Defendant BEN HAIM also discussed his source for cash, Coconspirator I.M., and stated that he spoke to Coconspirator I.M. ‘[e]very day - every other day.’ Referring to Coconspirator I.M., defendant BEN HAIM then asked the CW ‘[d]id you know that he had me in the last 4 years send out wires every time to a different place in the world to a different name? It’s unbelievable. I never saw anything like it.’ When the CW asked whether defendant BEN HAIM was referring to different locations in only Israel, defendant BEN HAIM replied ‘[n]o, all over the world . . . All over the world. From Australia to New Zealand to Uganda. I mean [u/i] every country imaginable. Turkey, you can’t believe it. . . . All different names. It’s never the same name. . . . Switzerland, everywhere, France, everywhere, Spain. . . . China, Japan.’ Defendant BEN HAIM also explained that the market for cash was tight ‘only in the beginning of the year and the end of the year.’”

It appears that the FBI was being careful about naming “I.M.” due to his extensive contacts from Israel to countries around the world, an indication that “I.M.,” unlike the rabbis and the New Jersey politicos, is a big fry who is laundering large sums of money, possibly from gambling operations, through synagogues and Jewish charities. It is known that Solomon Dwek was involved in a casino boat business and that jailed GOP lobbyist Jack Abramoff was similarly involved in taking control of Sun Cruz Casino boats in Florida. Abramoff also funded radical Israeli settler movements on the West Bank.

WMR has learned from a reliable source that the identity of “I.M,,” if revealed, would serve as a body blow to the Likud government of Netanyahu and his major coalition partners, Yisrael Beiteinu of extreme right-wing Foreign Minister Avigdor Lieberman and the ultra-orthodox Shas Party. The revelation of “I.M.’s” identity, we are told, will also provide encouragement to the Palestinians to stand their ground against Israeli encroachment in east Jerusalem and the West Bank. In fact, the timing of the recent arrests in New Jersey and New York may be directly tied to Israel’s move to build a residential complex in east Jerusalem over the objections of President Barack Obama.

On July 26, 2009, the Israeli newspaper Yedioth Ahronoth reported that Rabbi David Yosef, the son of Shas spiritual leader and former Chief Rabbi of Israel Rabbi Ovadia Yosef, left the Long Branch, New Jersey, home of Ben-Haim for Israel just hours before the FBI raid that saw the arrest of Ben-Haim. In May, Aryeh Deri visited the Syrian-Jewish community in the New York-New Jersey region seeking funds for a new political party. Deri’s successor as the head of Shas, Eliyahu “Eli” Yishai, currently serves as interior minister and a deputy prime minister of Israel.

Ovadia Yosef recently condemned President Barack Obama for pressuring Israel on the freeze of settlements. Yosef also called for the rebuilding of the Jewish temple on the site of the Al Aqsa mosque in Jerusalem, one of Islam’s holiest sites. Yosef complained that there “are Arabs there.”

The North Jersey/Brooklyn area has long been a hub for intelligence and criminal activities by Israeli nationals. In many cases, those arrested have gotten off with light or no sentences. WMR has reported extensively on these, including:

On the afternoon of September 11, 2001, New Jersey police arrested five Israeli employees of Urban Moving Systems of Weehawken, New Jersey, which is nestled between Jersey City and Hoboken, near Giants Stadium in East Rutherford, next to Secaucus. The Israelis were earlier seen celebrating, high-fiving, jumping up and down, and videotaping the first and second plane attacks on the World Trade Center.


The five Israelis were later linked to an Israeli-owned office moving company called Urban Moving Systems headquartered in Weehawken, New Jersey at 3 West 18th Street. Another Urban Moving office was located on West 50th Street in Manhattan. Urban Moving’s owner, Dominik Otto Suter, identified by the CIA and FBI as a Mossad officer, fled to Israel shortly before he was to be re-questioned by the FBI. The five Israelis, after being jailed for five months, were quietly deported to Israel without criminal charges being filed.


Information Spectrum, Inc. (ISI) of Cherry Hill, New Jersey, a subsidiary of the Fairfax, Virginia-based defense contractor, Anteon, took over the operation of the Jersey City police computer system that handled all incoming emergency phone calls on September 11 . . . According to Jersey City Police officials, after the emergency call system was changed from a Wang to a Windows environment, 8,000 emergency 911 system calls registered on September 11 were scrubbed from the archives. In fact, archives dating back to 1989, including those dealing with the 1993 bombing of the World Trade Center, were similarly affected.


In October 2000, an Israeli veteran of the Israel Defense Force overheard a conversation between three men in the Gomel Chesed Cemetery in Newark, New Jersey. The three men speaking in Hebrew were discussing the “planes hitting the twins,” a reference to the 9/11 attacks some 11 months later. The FBI Newark office was informed of the conversation. There was no follow-up by the FBI.


A Syrian Jew named Rimon Alkatri was indicted by a New York City grand jury for phoning a false terrorist threat to the New York City police in May 2006. The indictment charged Alkatri with making a false terrorist threat in the first degree. Alkatri was arrested on July 31, 2006, a little over a week from the hype generated by the “great airplane liquid bombing hoax.” Alkatri, who owns the El Castillo de Oro jewelry store on Knickerbocker Avenue in Brooklyn and who arrived in the United States in 1996, was arrested by police while he was leaving his apartment in a Syrian Jewish neighborhood on East 9th Street. In May, Alkatri, using the alias Jose Rodriguez, and claiming to be from Israel, said he overheard five Syrian employees of his store use the phrase “Allahu Akbar” (God is great) and that they were plotting to hide explosives in hollowed-out jewelry and perpetrate a suicide bombing in the New York subway system on the Fourth of July. Police later discovered that the five Syrian “conspirators” identified by Alkatri were not even Muslims, but Christians and Jews. Alkatri, who could have been sentenced to seven years in jail, was given a six-month sentence.


In 2003, Yehuda Abraham, a dual U.S.-Israeli citizen, global diamond dealer, and native of Afghanistan, was charged with money laundering for an Indian weapons smuggler named Hemant Lakhani who was attempting to purchase Russian portable missile launchers to bring down American passenger planes, including Air Force One, in the United States. Abraham was later convicted in the scheme that also involved a Malaysian bagman associated with the Southeast Asian Al Qaeda offshoot Jemaah Islamiya. Abraham and Lakhani conducted their meetings near Newark International Airport. Abraham was sentenced to home detention.
In 2003, Israeli-born Mark Brener, proprietor of Emperor’s Club VIP and three money laundering firms -- QAT Consulting Group, QAT International, and Protech Consulting -- moved from South Brunswick, New Jersey, to an affluent condo in Cliffside Park, New Jersey, with his 19-year-old girlfriend Cecil (“Ceci”) Suwal. Emperor’s Club VIP was the escort service that enmeshed New York Governor Eliot Spitzer and, which more recently is said to involve another governor, reportedly Ed Rendell of Pennsylvania. Brener received a 30-month prison sentence.


The targeting of New Jersey Governor Jim McGreevey, a former mayor of Woodbridge, New Jersey, by Israeli intelligence operative Golan Cipel in a homosexual “honey trap” resulted in McGreevey’s sudden resignation from office in 2004. McGreevey appointed Cipel to a top homeland security job for the state of New Jersey. The Emperor’s Club VIP expose about Spitzer came on the same day that it was reported that emails from the McGreevey administration were erased from the state’s computer systems. Cipel today works as an independent consultant.


In December 1995, Israeli Interior Minister Haim Ramon barred from entering Israel six U.S. citizens, all members of the terrorist Jewish Defense League, as well as Rabbi Abraham Hecht of the Syrian Jewish community in New York, for involvement in illegal activities in Israel. Hecht had suggested that assassinated Prime Minister Rabin could have been a “moser,” a Jew who handed over Jews or Jewish property to non-Jews, and deserved the death penalty.
* * * * *

WMR has also learned from sources in China of a significant Turkish angle to the illegal Israeli-run human organ smuggling trade. Apparently, Turkish military surgeons have worked with ethnic Uighurs to harvest organs from young Chinese. The center of the human organ trade is in Israel. Recently, police in Shenzen, China raided a Uighur-run restaurant where younger customers had a habit of disappearing. Police then discovered the restaurant had a grisly secret business: that it was an organ harvesting center, operated with medical expertise from Turkish military surgeons who identified usable organs for wealthy Israelis, as well as Arab potentates. The Turkish military surgeons apparently got their start after the 1999 Izmit-Istanbul earthquake, the first major operation for the organ harvesters.

The Shenzen eatery’s refrigerators were primed for cryogenics, the storage of human organs until transport to customers. The human remains -- limbs, spines, and heads . . . were boiled down and dumped into the sewer or sold to pig farmers for slop. Bones were crushed and likewise went down the sewer pipes. Police were originally stymied in collecting evidence in their investigation of the criminal enterprise.

Previously published in the Wayne Madsen Report.


Copyright © 2009 WayneMadenReport.com


Wayne Madsen is a Washington, DC-based investigative journalist and nationally-distributed columnist. He is the editor and publisher of the Wayne Madsen Report (subscription required).

4 comments:

LanceThruster said...
What seems clear to me is that part of the process always involves funneling money to Israel. My guess is that the reach of Israeli intel requires this as well as pays substantial dividends as far as being helped to operate below the radar.

It would be fascinating to know just how often and to what extent criminal activities within our borders are facilitated by Israeli security organizations. The fact that this must be open knowledge all the way to the top of the Israeli leadership means with a broad grin they shake our hand with one hand while twisting the knife in our back with the other.
Joey said...
I think it's funny how there are only articles as long as this one dedicated to the incrimination of Israel/Israelis. I mean look at the ones who are actually terrorizing the world. Do we then condemn all inhabitants of that country? Or all the followers of that religion? That would be foolish and inconsiderate. Of course there are bad people in a group, that's just humanity. It's in no way connected to a specific country. Additionally there are probably thousands of such operations going on unnoticed why use theses such caught instances to focus on one group of people? Does that help us solve this worldwide problem? Think about it.
LanceThruster said...
@Joey - I think your premise is wrong right from the start. The media goes to great lengths to demonize Muslims/Arabs/Palestinians and it's rare to find reports to the contrary. It is, more often than not, ignored when Israel acts in the manner of a terrorist state.

Mr. Madsen's report does not at all tar all Israelis/Jews with the same brush as he is well aware that there are Israelis and Jews scandalized by the criminal behavior he is reporting on. My point is that it defies logic to think that criminal enterprises such as these could operate unseen to the extent they have for so long without the Israeli intelligence apparatus becoming aware of them. If they could find a way to benefit the state or the state's intelligence arm, I feel that Israel has a long history of turning a blind eye to such actions. Look at the other areas Israel nationals are involved in criminal activity; Ecstacy rings, prostitution rings, weapons smuggling rings, financial fraud, surveilance abuses, false flag operations, and on and on. True these crimes are not limited to Israelis, but that doesn't mean one must ignore the Israeli's criminal activity because of it.
fOOgAzEE said...
It's no secret that the Jewish lobby is the most powerful lobby on Capitol Hill. The U.S. federal government is complicit because what other choice do they have? Even George H.W. Bush was quoted complaining about his inability to get anything of significance passed by Congress because of their lobbying monopoly in our nation's Capitol! How else do you think Bill Clinton beat him in 1993?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire