'Ultra-gauche' : Squarcini, Alliot Marie, au centre de toutes les investigations : Sarkozy cherche a declarer l'etat d'urgence en France
DERNIERE MINUTE :
Nous venons d’apprendre que des neuf personnes mises en examen dans ce dossier, seuls Julien Coupat et sa compagne ont été maintenus en détention par la chambre de l’instruction de la cour d’appel.
On doit s’interroger sur l’incohérence révélée par ce traitement inégal. On voit mal pourquoi Julien Coupat et sa compagne n’ont pas eux aussi bénéficié d’une mesure de libération.--------------------------------------------------------------------------------
Par Karel Vereycken
31 novembre 2008 (Nouvelle Solidarité) — A l’aube du 11 novembre, quelque 150 policiers, opérant sur l’ensemble du territoire français, procèdent à l’arrestation de neuf personnes soupçonnées d’être à l’origine du sabotage des lignes TGV, en particulier lors du week-end du 8-9 novembre 2008, provoquant le retard d’une bonne centaine de trains.
La « cellule invisible » avait installé son quartier général dans une ferme à Tarnac (Corrèze), servant de lieu de vie, de passage et de réunion. On affirme que « le cerveau » bicéphale du groupe était le « philosophe » illuminé Julien Coupat (34 ans) et son ami Benjamin Rosoux (30 ans), ancien président de la Fédération des jeunes écolos européens (FJEE).
S’agit-il réellement de « jeunes élèves brillants, dégoûtés par notre société de surconsommation et cherchant à fonder une société nouvelle », de simples militants égarés de la mouvance « anarcho autonome ultra gauche » ayant pété un câble, ou d’un véritable « groupuscule à vocation terroriste » visant à renverser l’Etat ?
Personne ne le sait actuellement. L’anarchisme violent et le terrorisme ont toujours été des instruments de la guerre sournoise menée par l’oligarchie financière internationale contre les Républiques et les Etats-nations. Il est établi aujourd’hui que le terrorisme des années 1970 faisait partie de la « stratégie de la tension » manipulée par certains réseaux de l’OTAN (Gladio) pour imposer des régimes fascistes en Europe. S’agit-il alors des derniers rejetons de ceux qui cherchent à provoquer le retour des « années de plomb » ? Rien ne serait plus dangereux dans cette période de crise globale du système.
Né en 1974, Julien Coupat est le fils unique d’un médecin, dont l’épouse occupe un poste élevé dans un grand groupe pharmaceutique français. Si la presse l’a idéalisé comme un jeune élève brillant, d’abord d’une école huppée de commerce, puis d’une école de sciences sociales non moins prestigieuse, Coupat mène plusieurs vies.
Selon Le Figaro du 21 novembre, « J.C. » est à la tête d’une SARL, domiciliée chez son père, qui s’occupe de la « location de terrains et autres biens immobiliers », une activité qui « lui a rapporté plus de 60000 euros en 2007 ». Son « bras droit », Benjamin Rosoux, en est le gérant. De quoi faire tourner, par ailleurs, même à perte, la ferme-épicerie de Tarnac qui leur a permis de se rendre populaires auprès des élus locaux convaincus d’accueillir des jeunes sympathiques, désireux d’apporter un peu d’animation dans la vie locale. Si papa annonce aujourd’hui au Figaro qu’il « aimerait comprendre ce qu’il y a dans la tête de cette génération », c’est, d’après Le Monde, ce même papa « qui a découvert Tarnac il y a un an, a acheté la maison jouxtant l’épicerie. Il a également acquis pour son fils, dans le 20e arrondissement de Paris, un ancien atelier d’artisan de 50m2 qui devait héberger un futur projet de journal militant ».
D’autres soutiens bien plus troublants apparaissent dans cette histoire. Car avant de s’installer à Tarnac, Julien Coupat fréquente les milieux intellectuels parisiens, ceux qu’Erasme appelait de son temps, avec raison, les « folie-sophes ». A Paris, Coupat tisse de « vrais liens avec le philosophe italien Giorgio Agamben, rencontré lors d’un séminaire. Ils jouent de temps à autre au football, le philosophe l’a aidé au moment du lancement de la revue Tiqqun en lui trouvant un imprimeur [la prestigieuse maison Einaudi de Turin] en Italie. » Coupat sera le principal rédacteur de cette revue d’inspiration post-situationniste dont le premier numéro sort en 1999 à Venise, où Agamben enseigne. Tiqqun se définit comme « l’organe conscient du parti imaginaire » et Coupat y écrit que « la période historique dans laquelle nous entrons doit être un temps d’une extrême violence et des grands désordres ».
Qui est Giorgio Agamben ?
Mentor et véritable maître à penser de Julien, Giorgio Agamben est un « philosophe-mutin » italien de 66 ans, réputé grand expert d’Aristote, de Marx, de Walter Benjamin (un proche d’Adorno, de l’Ecole de Francfort) et du philosophe Martin Heidegger, un ancien membre du parti nazi, dont il a suivi, en 1968, les séminaires sur Héraclite et Hégel. En 1974, il est un « fellow » de l’Institut Warburg de Londres, sur invitation de Mme Francis Yates, une spécialiste de l’occultisme néo-platonicien et membre de l’ordre de l’Empire britannique. Agamben enseigne dans plusieurs grandes universités américaines, allemandes, suisses et au Collège international de Philosophie de Paris.
D’après Wikipedia, il noue alors des relations avec des « figures importantes » de son époque, parmi lesquelles Pier Paolo Pasolini en Italie, mais aussi Guy Debord, Jean-Luc Nancy, Jacques Derrida, Jean-François Lyotard et l’idéologue proche des Brigades Rouges, Antonio Negri, enseignant en France.
Il serait prétentieux et malhonnête de résumer ici sa pensée en quelques lignes, surtout vu l’emprise qu’elle a pu prendre sur l’esprit et la vitalité de ceux qui, sous le charme « magique » de ce maître, se sont agglomérés dans la mouvance de la « cellule invisible ». Il est cependant permis d’en décrire les traits saillants qui ont inspiré les révoltés.
Contre le « bio-pouvoir » de l’Etat-nation
Agamben se sert des dangers bien réels qu’un contexte de crise systémique financière, économique et politique fait courir à la démocratie, pour attirer des jeunes ahuris par l’état de la société. Dans ce contexte, dit-il, certains Etats seront tentés de faire appel à l’état d’exception décrit par le juriste nazi Carl Schmitt. Agamben dénonce aussi, à juste titre, la politique de guerre permanente de Dick Cheney conduisant à la « suspension » de l’Etat de droit, comme on le voit avec le traitement scandaleux administré aux prisonniers à Guantanamo.
Cependant, différentes acrobaties nominalistes permettent à Agamben de conclure qu’en pratique, très peu de différence existe entre la gouvernance dite « démocratique » de nos Etats et les dictatures ouvertement fascistes. La souveraineté n’est alors pour lui rien d’autre que le droit du souverain à déclarer l’Etat d’exception. L’Etat-nation, « état d’exception devenu la règle », apparaît alors comme l’ennemi de tout être humain.
Le flicage croissant de notre société, ahurissant il est vrai, devient prétexte à la lutte violente. Dans la lignée de Michel Foucault, Agamben dénonce la « biopolitique » pratiquée par le « biopouvoir » des Etats, qui réduit l’homme à ce que les Grecs appelaient la « vie nue » (zôè), une existence réduite au simple « fait de vivre ». La souveraineté, selon Agamben, devient ainsi l’instrument non pas pour défendre la vie du citoyen bavard et bardé de droits, mais pour imposer la vie nue et réduite au silence des réfugiés, des déportés ou des bannis. Agamben dénonce le flicage croissant de nos sociétés « modernes », incapables de vraies relations entre hommes, mais suréquipées de caméras de surveillance, de passeports biométriques, de téléphones cellulaires géolocalisables et de fichiers d’ADN.
Cependant, au lieu de prôner l’avènement de véritables républiques et d’engager l’action non violente permettant de les fonder politiquement, il se prononce en faveur d’une « autre politique » qui doit s’abstraire de toute souveraineté, et plutôt l’affronter ou la subvertir. D’où l’attrait qu’il exerce sur les autonomistes de tout poil. Pour résister, les victimes du biopouvoir doivent pratiquer un « biopouvoir mineur » en contrepoint à celui de l’adversaire. Cela peut être la grève de la faim, mais aussi le refus de la biométrie. Agamben a refusé, par exemple, de retourner aux Etats-Unis depuis que le passeport biométrique conditionne l’entrée sur ce territoire. En revendiquant de quoi vivre, des traitements anti-rétroviraux, un revenu minimum garanti, des drogues légales et sûres, etc., les victimes doivent affronter le pouvoir là où il s’exerce : au guichet des administrations, dans les bureaucraties sanitaires, dans les tribunaux ordinaires, etc. Mais son message appelle plus à la révolte qu’à la révolution. Pour lui il ne faut plus affronter l’Etat car « il va se détruire lui-même. Il suffit donc de se soustraire ».
Lors de sa garde à vue, confirmant sa fidélité à Agamben, Coupat refuse tout élément permettant de dresser son profil génétique (le biopouvoir), notamment les prélèvements de sang. Il lave par exemple ses sous-vêtements avant saisie et mange sans porter à sa bouche les couverts afin d’éviter tout dépôt de trace biologique sur ceux-ci, qu’il jetait d’ailleurs dans les toilettes de sa cellule…
Intéressons-nous maintenant un instant à son « bras droit », Benjamin Rosoux, dont le cas est probablement plus révélateur.
Rosoux arrive à Rennes vers 2001 après avoir étudié la sociologie du développement et la responsabilité environnementale à l’université d’Edimbourg, en Angleterre. Comme nous l’avons dit, il sera pour une brève période président des Jeunes Verts européens, ce qui lui permet de se constituer un carnet d’adresses international. Après 2005, il deviendra le gérant de la Société civile immobilière de Coupat, qui est propriétaire de la ferme-épicerie de Tarnac où vivait le noyau dur du groupe.
D’après Ouest-France, Rosoux est connu pour avoir participé à la création de deux squats rennais. Deux expériences initiées par des étudiants de l’Institut d’études politiques (IEP), école dont il est diplômé. « Le premier, La Marmite, était un squat artistique », raconte un ancien résident. Après l’expulsion, il fonde un autre squat, plus politique, l’Ekluserie. « Ils vivaient du RMI et de la récupération de nourriture à la sortie des supermarchés ou des fins de marchés », dit un ancien. Jusqu’au sommet du G8 à Gênes, « temps fort qui a marqué toute une génération ». Plusieurs membres de L’Ekluserie font alors le voyage en Italie, où ils assistent aux affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. « Ils en sont revenus choqués, persuadés d’avoir été confrontés au fascisme moderne. L’action des Black Blocks, adeptes de la confrontation violente avec la police, les a fascinés. »
Le phénomène du « bloc noir » est apparu dans les années 1980 avec le mouvement autonome allemand Swarzer Block, notamment à travers la lutte contre la centrale nucléaire de Brokdorf, la défense des Freiräume (lieux autogérés) et les manifestations de solidarité avec la Bande à Baader (RAF).
Les blocs noirs se forment généralement en marge de manifestations normales dont ils se servent comme bouclier. A un moment donné, les Black Block, vêtus de noir et masqués, entrent en action. D’après Wikipedia, « ils procèdent de la doctrine d’action directe : destructions de banques, de bâtiments d’institutions officielles ou de sociétés multinationales, magasins, caméras de vidéo-surveillance, etc. Ces actions ne visent pas à s’attaquer aux personnes mais aux biens du capital. Le but est de faire perdre un maximum d’argent aux entreprises visées. Les activistes n’hésitent pas à affronter directement les forces de l’ordre qu’ils considèrent comme le bras armé du capitalisme ». Après une longue absence, les Black Blocks réapparaissent surtout lors de la guerre d’Irak en 1991. S’ils n’étaient que 200 à protester contre l’OMC à Seattle en 1999, où ils avaient créé une « zone autonome temporaire », leur mouvance s’élevait à 5000 lors du G8 à Heiligendamm, début juin 2007.
Un ami de Rosoux confesse : « Non-violent, altermondialiste, je l’ai vu s’éloigner progressivement vers l’écologie libertaire et l’action radicale. Vers la fin, je me souviens même de militants allemands venus au squat pour expliquer comment ils bloquaient les trains de transport de déchets nucléaires... »
La piste allemande trouve toute sa cohérence lorsque l’on constate que la date du 8 novembre, date des actions contre les lignes TGV en France, correspond à la date d’un convoi « Castor » transportant des déchets nucléaires de Cherbourg au centre nucléaire de Gorleben en Allemagne. Il fallut à ce convoi 80 heures pour parvenir à destination, où un bon millier de manifestations bloquaient l’accès au site.
Le 10 novembre, une revendication parvenait au quotidien allemand Berliner Zeitung, précisant que les actions visant à perturber le trafic ferroviaire en France et en Allemagne visaient l’ordre capitaliste et qu’ils « ont agi cette nuit au moyen de crochets métalliques ». La revendication était signée « en souvenir de Sébastien », en référence à Sébastien Briat, activiste mort lors du passage d’un train Castor en 2004. La police allemande a fait savoir que l’emploi de crochets métalliques identiques à ceux trouvés en France est pratique courante parmi certains verts ultras et que le dernier incident de ce type avait eu lieu le 12 octobre 2008 à Bischoffsheim. Une amie allemande de Julien Coupat apparaît d’ailleurs dans une procédure judiciaire pour des faits similaires commis en 1996.
On peut donc penser que la conjonction entre l’agembeniste Coupat et l’écolo radical Rosoux a pu fournir la matière intellectuelle d’un cocktail explosif, la matrice situationniste initiale tendant, avec l’aggravation de la crise financière mondiale, à muter en « violence régénératrice » et « déshumanisante » à la Georges Sorel.
Les provocations, de Gênes à Vichy
C’est lors du sommet du G8 en juillet 2001 à Gênes que Coupat et Rosoux, les deux meneurs de la « cellule invisible » soupçonnés d’avoir commis les actes de sabotage contre les lignes TGV lors du week-end du 8 novembre 2008, feront l’expérience directe des techniques du Black Block.
Dans l’Appel, un pamphlet des autonomes qui circule dans les squats et vante les qualités de cette « action directe » par rapport au militantisme ou au bougisme impuissant, on peut lire l’anecdote suivante : « Nous nous souvenons de cette scène, à Gênes : une cinquantaine de militants de la LCR brandissent leurs drapeaux rouges labellisés « 100% à gauche ». Ils sont immobiles, intemporels. Ils vocifèrent leurs slogans calibrés, entourés d’un service d’ordre. Pendant ce temps, à quelques mètres de là, certains d’entre nous affrontent les lignes de carabiniers, renvoyant les lacrymos, défonçant le dallage des trottoirs pour en faire des projectiles, préparant des cocktails Molotov à partir de bouteilles trouvées dans les poubelles et d’essence tirée des Vespa renversées. A ce propos, les militants parlent d’aventurisme, d’inconscience. Ils prétextent que les conditions ne sont pas réunies. Nous disons que rien ne manquait, que tout était là, sauf eux. »
À partir de là, l’Ekluzerie, le squat rennais animé par Rosoux lorsqu’il étudiait à Science-Po, serait devenu « le rendez-vous de toutes les radicalités ». Ceux qui le fréquentent y rejettent « les citoyennistes », terme désignant « tous ceux qui acceptent la démocratie, José Bové ou LCR compris ». L’expérience a pris fin le 24février 2005, avec la démolition des bâtiments qui l’abritaient. Ses fondateurs se seraient dispersés, quittant Rennes « pour aller fonder d’autres squats, urbains ou ruraux », comme celui de Tarnac.
En France, ce sont les manifestations contre le CPE de 2006 qui furent le laboratoire pour expérimenter les nouvelles techniques de guérilla urbaine. Dans L’insurrection qui vient, le livre écrit par Coupat et Rosoux, on peut lire : « Le mouvement contre le CPE n’a pas hésité à bloquer gares, périphériques, usines, autoroutes, supermarchés et même aéroports. Il ne fallait pas plus de trois cents personnes, à Rennes, pour immobiliser la rocade pendant des heures et provoquer quarante kilomètres de bouchons. Tout bloquer, voilà désormais le premier réflexe de tout ce qui se dresse contre l’ordre présent. Dans une économie délocalisée, où les entreprises fonctionnent à flux tendu, où la valeur dérive de la connexion au réseau, où les autoroutes sont des maillons de la chaîne de production dématérialisée qui va de sous-traitant en sous-traitant et de là, à l’usine de montage, bloquer la production, c’est aussi bien bloquer la circulation. »
Plus récemment, du 2 au 4 novembre, lors du sommet de l’UE sur l’immigration à Vichy, Coupat et son groupe se déploient pour transformer en émeute violente le contre-sommet pacifique, contestation juste et légitime de la politique anti-immigration. Rosoux y était et on y voyait Coupat, à la tête d’une cinquantaine d’individus masqués, ordonnant à ses troupes l’assaut d’une barrière de CRS. Une jeune adepte de Coupat à Vichy a reconnu son activisme au sein des Black Blocks en Allemagne et sa participation aux blocages des gares SNCF lors des manifestations contre le CPE en France.
Dans l’Appel, on lit également : « Nous ne contestons rien, nous ne revendiquons rien. Nous nous constituons en force matérielle autonome au sein de la guerre civile mondiale. L’urgence de la situation nous libère de toute considération de légalité ou de légitimité. La perspective de former des gangs n’est pas pour nous effrayer ; celle de passer pour une mafia nous amuse plutôt. D’un côté, nous voulons vivre le communisme, de l’autre, nous voulons répandre l’anarchie. »
Néanmoins, si le document appelle à l’action, il précise que ses partisans ne veulent tuer ni blesser personne. Non pour des raisons morales, mais pour une question de stratégie : « Il paraîtra judicieux de s’attaquer plutôt aux dispositifs matériels qu’aux hommes qui leur donnent un visage. C’est vers les formes d’opérations propres à toutes les guérillas qu’il nous faut nous tourner : sabotages anonymes, actions non revendiquées. »
Qui soutient Coupat ?
A peine quelques jours après leur arrestation, dans la rubrique Rebonds de Libération, Agamben monte au créneau pour défendre ses adeptes : « Il s’agit de Julien Coupat, un jeune philosophe qui a animé naguère, avec quelques-uns de ses amis, Tiqqun, une revue responsable d’analyses politiques sans doute discutables, mais qui compte aujourd’hui encore parmi les plus intelligentes de cette période. J’ai connu Julien Coupat à cette époque et je lui garde, d’un point de vue intellectuel, une estime durable. Passons donc à l’examen du seul fait concret de toute cette histoire. L’activité des interpellés serait à mettre en liaison avec les actes de malveillance contre la SNCF qui ont causé le 8 novembre le retard de certains TGV sur la ligne Paris-Lille. Ces dispositifs, si l’on en croit les déclarations de la police et des agents de la SNCF eux-mêmes, ne peuvent en aucun cas provoquer des dommages aux personnes : ils peuvent tout au plus, en entravant l’alimentation des pantographes des trains, causer le retard de ces derniers. En Italie, les trains sont souvent en retard, mais personne n’a encore songé à accuser de terrorisme la société nationale des chemins de fer. Il s’agit de délits mineurs même si personne n’entend les cautionner… »
Interrogé par Le Monde, il a également déclaré : « On ne va pas les traiter comme les Brigades rouges, ça n’a rien à voir ! On cherche le terrorisme et on finit par le construire, tout ça pour répandre la peur chez les jeunes gens ».
Autre appui étonnant en faveur de Julien Coupat, celui de Guillaume Dasquié, proche de certains services de renseignements et sévissant actuellement Libération. Dans un article publié le 24 novembre dans ce journal, il dénonce un vaste complot contre l’ultra-gauche animé par la ministre de l’Intérieur, Michelle Alliot-Marie.
La DST, « allumée » par l’ultra sécuritaire Alain Bauer, se serait fortement intéressée, dès sa parution, au livre L’insurrection qui vient, écrit par Julien Coupat et Benjamin Rosoux et publié aux Editions La Fabrique par Eric Hazan, lui-même auteur de Changement de propriétaire, la guerre civile continue.
Or les auteurs du livre signent non pas en leur nom mais au nom d’un « Comité invisible » et s’expriment dans un langage politico-poético-dépressif inspiré de Guy Debord. Ils y décrivent avec délectation leurs tentations de se livrer à des actes de sabotage contre des lignes du TGV et d’autres « flux » capables d’accélérer la fin d’une « civilisation en état de mort clinique ».
Ancien rédacteur en chef d’Intelligence Online, lettre professionnelle consacrée à l’actualité du risque politique et de l’intelligence économique, Dasquié est le co-auteur de L’effoyable mensonge (La Découverte, 2002, avec Jean Guisnel), un livre qui prétend que les interrogations de Thierry Meyssan sur le 11 septembre sont inspirées par les « élucubrations » de Lyndon LaRouche et de Jacques Cheminade. Son imagination paraît donc tout aussi délirante qu’opportunément orientée. Bien accueilli par le New York Times et le Financial Times de Londres, ses écrits sont fortement appréciés par les néo-conservateurs américains outre-Atlantique, toujours prêts à traiter de conspirationnistes ceux qui ne se soumettent pas à leur pouvoir.
Que conclure de cette affaire ? Quelles que soient les responsabilités et les intentions des uns et des autres, elle manifeste un climat de révolte impuissante dégénérant en provocation à la violence. Ceux qui créent le climat intellectuel pour qu’elle se produise visent à déstabiliser l’Etat-nation et servent ainsi, volontairement ou pas, les desseins de cette « nouvelle gouvernance mondiale » que souhaitent les banquiers de la City et le directeur général du FMI. Les « autonomistes » qui portent atteinte aux équipements publics ne sont sans doute qu’un maillon inconscient dans la chaîne, victimes, plus que responsables, des actes qu’on leur impute, en vue de desseins qui leur échappent. Il est, en tout cas, aujourd’hui reconnu, si l’on se penche sur un passé récent, que les Brigades Rouges étaient manipulées par un « Ordre noir » cherchant à provoquer un coup d’état fasciste en Italie.
Pour creuser le sujet : Manipulation par la terreur : non à la mise en place de régimes d’exception (mars 2004)
Mercredi 03 Décembre 2008
http://www.solidariteetprogres.org/
Nous venons d’apprendre que des neuf personnes mises en examen dans ce dossier, seuls Julien Coupat et sa compagne ont été maintenus en détention par la chambre de l’instruction de la cour d’appel.
On doit s’interroger sur l’incohérence révélée par ce traitement inégal. On voit mal pourquoi Julien Coupat et sa compagne n’ont pas eux aussi bénéficié d’une mesure de libération.--------------------------------------------------------------------------------
Par Karel Vereycken
31 novembre 2008 (Nouvelle Solidarité) — A l’aube du 11 novembre, quelque 150 policiers, opérant sur l’ensemble du territoire français, procèdent à l’arrestation de neuf personnes soupçonnées d’être à l’origine du sabotage des lignes TGV, en particulier lors du week-end du 8-9 novembre 2008, provoquant le retard d’une bonne centaine de trains.
La « cellule invisible » avait installé son quartier général dans une ferme à Tarnac (Corrèze), servant de lieu de vie, de passage et de réunion. On affirme que « le cerveau » bicéphale du groupe était le « philosophe » illuminé Julien Coupat (34 ans) et son ami Benjamin Rosoux (30 ans), ancien président de la Fédération des jeunes écolos européens (FJEE).
S’agit-il réellement de « jeunes élèves brillants, dégoûtés par notre société de surconsommation et cherchant à fonder une société nouvelle », de simples militants égarés de la mouvance « anarcho autonome ultra gauche » ayant pété un câble, ou d’un véritable « groupuscule à vocation terroriste » visant à renverser l’Etat ?
Personne ne le sait actuellement. L’anarchisme violent et le terrorisme ont toujours été des instruments de la guerre sournoise menée par l’oligarchie financière internationale contre les Républiques et les Etats-nations. Il est établi aujourd’hui que le terrorisme des années 1970 faisait partie de la « stratégie de la tension » manipulée par certains réseaux de l’OTAN (Gladio) pour imposer des régimes fascistes en Europe. S’agit-il alors des derniers rejetons de ceux qui cherchent à provoquer le retour des « années de plomb » ? Rien ne serait plus dangereux dans cette période de crise globale du système.
Né en 1974, Julien Coupat est le fils unique d’un médecin, dont l’épouse occupe un poste élevé dans un grand groupe pharmaceutique français. Si la presse l’a idéalisé comme un jeune élève brillant, d’abord d’une école huppée de commerce, puis d’une école de sciences sociales non moins prestigieuse, Coupat mène plusieurs vies.
Selon Le Figaro du 21 novembre, « J.C. » est à la tête d’une SARL, domiciliée chez son père, qui s’occupe de la « location de terrains et autres biens immobiliers », une activité qui « lui a rapporté plus de 60000 euros en 2007 ». Son « bras droit », Benjamin Rosoux, en est le gérant. De quoi faire tourner, par ailleurs, même à perte, la ferme-épicerie de Tarnac qui leur a permis de se rendre populaires auprès des élus locaux convaincus d’accueillir des jeunes sympathiques, désireux d’apporter un peu d’animation dans la vie locale. Si papa annonce aujourd’hui au Figaro qu’il « aimerait comprendre ce qu’il y a dans la tête de cette génération », c’est, d’après Le Monde, ce même papa « qui a découvert Tarnac il y a un an, a acheté la maison jouxtant l’épicerie. Il a également acquis pour son fils, dans le 20e arrondissement de Paris, un ancien atelier d’artisan de 50m2 qui devait héberger un futur projet de journal militant ».
D’autres soutiens bien plus troublants apparaissent dans cette histoire. Car avant de s’installer à Tarnac, Julien Coupat fréquente les milieux intellectuels parisiens, ceux qu’Erasme appelait de son temps, avec raison, les « folie-sophes ». A Paris, Coupat tisse de « vrais liens avec le philosophe italien Giorgio Agamben, rencontré lors d’un séminaire. Ils jouent de temps à autre au football, le philosophe l’a aidé au moment du lancement de la revue Tiqqun en lui trouvant un imprimeur [la prestigieuse maison Einaudi de Turin] en Italie. » Coupat sera le principal rédacteur de cette revue d’inspiration post-situationniste dont le premier numéro sort en 1999 à Venise, où Agamben enseigne. Tiqqun se définit comme « l’organe conscient du parti imaginaire » et Coupat y écrit que « la période historique dans laquelle nous entrons doit être un temps d’une extrême violence et des grands désordres ».
Qui est Giorgio Agamben ?
Mentor et véritable maître à penser de Julien, Giorgio Agamben est un « philosophe-mutin » italien de 66 ans, réputé grand expert d’Aristote, de Marx, de Walter Benjamin (un proche d’Adorno, de l’Ecole de Francfort) et du philosophe Martin Heidegger, un ancien membre du parti nazi, dont il a suivi, en 1968, les séminaires sur Héraclite et Hégel. En 1974, il est un « fellow » de l’Institut Warburg de Londres, sur invitation de Mme Francis Yates, une spécialiste de l’occultisme néo-platonicien et membre de l’ordre de l’Empire britannique. Agamben enseigne dans plusieurs grandes universités américaines, allemandes, suisses et au Collège international de Philosophie de Paris.
D’après Wikipedia, il noue alors des relations avec des « figures importantes » de son époque, parmi lesquelles Pier Paolo Pasolini en Italie, mais aussi Guy Debord, Jean-Luc Nancy, Jacques Derrida, Jean-François Lyotard et l’idéologue proche des Brigades Rouges, Antonio Negri, enseignant en France.
Il serait prétentieux et malhonnête de résumer ici sa pensée en quelques lignes, surtout vu l’emprise qu’elle a pu prendre sur l’esprit et la vitalité de ceux qui, sous le charme « magique » de ce maître, se sont agglomérés dans la mouvance de la « cellule invisible ». Il est cependant permis d’en décrire les traits saillants qui ont inspiré les révoltés.
Contre le « bio-pouvoir » de l’Etat-nation
Agamben se sert des dangers bien réels qu’un contexte de crise systémique financière, économique et politique fait courir à la démocratie, pour attirer des jeunes ahuris par l’état de la société. Dans ce contexte, dit-il, certains Etats seront tentés de faire appel à l’état d’exception décrit par le juriste nazi Carl Schmitt. Agamben dénonce aussi, à juste titre, la politique de guerre permanente de Dick Cheney conduisant à la « suspension » de l’Etat de droit, comme on le voit avec le traitement scandaleux administré aux prisonniers à Guantanamo.
Cependant, différentes acrobaties nominalistes permettent à Agamben de conclure qu’en pratique, très peu de différence existe entre la gouvernance dite « démocratique » de nos Etats et les dictatures ouvertement fascistes. La souveraineté n’est alors pour lui rien d’autre que le droit du souverain à déclarer l’Etat d’exception. L’Etat-nation, « état d’exception devenu la règle », apparaît alors comme l’ennemi de tout être humain.
Le flicage croissant de notre société, ahurissant il est vrai, devient prétexte à la lutte violente. Dans la lignée de Michel Foucault, Agamben dénonce la « biopolitique » pratiquée par le « biopouvoir » des Etats, qui réduit l’homme à ce que les Grecs appelaient la « vie nue » (zôè), une existence réduite au simple « fait de vivre ». La souveraineté, selon Agamben, devient ainsi l’instrument non pas pour défendre la vie du citoyen bavard et bardé de droits, mais pour imposer la vie nue et réduite au silence des réfugiés, des déportés ou des bannis. Agamben dénonce le flicage croissant de nos sociétés « modernes », incapables de vraies relations entre hommes, mais suréquipées de caméras de surveillance, de passeports biométriques, de téléphones cellulaires géolocalisables et de fichiers d’ADN.
Cependant, au lieu de prôner l’avènement de véritables républiques et d’engager l’action non violente permettant de les fonder politiquement, il se prononce en faveur d’une « autre politique » qui doit s’abstraire de toute souveraineté, et plutôt l’affronter ou la subvertir. D’où l’attrait qu’il exerce sur les autonomistes de tout poil. Pour résister, les victimes du biopouvoir doivent pratiquer un « biopouvoir mineur » en contrepoint à celui de l’adversaire. Cela peut être la grève de la faim, mais aussi le refus de la biométrie. Agamben a refusé, par exemple, de retourner aux Etats-Unis depuis que le passeport biométrique conditionne l’entrée sur ce territoire. En revendiquant de quoi vivre, des traitements anti-rétroviraux, un revenu minimum garanti, des drogues légales et sûres, etc., les victimes doivent affronter le pouvoir là où il s’exerce : au guichet des administrations, dans les bureaucraties sanitaires, dans les tribunaux ordinaires, etc. Mais son message appelle plus à la révolte qu’à la révolution. Pour lui il ne faut plus affronter l’Etat car « il va se détruire lui-même. Il suffit donc de se soustraire ».
Lors de sa garde à vue, confirmant sa fidélité à Agamben, Coupat refuse tout élément permettant de dresser son profil génétique (le biopouvoir), notamment les prélèvements de sang. Il lave par exemple ses sous-vêtements avant saisie et mange sans porter à sa bouche les couverts afin d’éviter tout dépôt de trace biologique sur ceux-ci, qu’il jetait d’ailleurs dans les toilettes de sa cellule…
Intéressons-nous maintenant un instant à son « bras droit », Benjamin Rosoux, dont le cas est probablement plus révélateur.
Rosoux arrive à Rennes vers 2001 après avoir étudié la sociologie du développement et la responsabilité environnementale à l’université d’Edimbourg, en Angleterre. Comme nous l’avons dit, il sera pour une brève période président des Jeunes Verts européens, ce qui lui permet de se constituer un carnet d’adresses international. Après 2005, il deviendra le gérant de la Société civile immobilière de Coupat, qui est propriétaire de la ferme-épicerie de Tarnac où vivait le noyau dur du groupe.
D’après Ouest-France, Rosoux est connu pour avoir participé à la création de deux squats rennais. Deux expériences initiées par des étudiants de l’Institut d’études politiques (IEP), école dont il est diplômé. « Le premier, La Marmite, était un squat artistique », raconte un ancien résident. Après l’expulsion, il fonde un autre squat, plus politique, l’Ekluserie. « Ils vivaient du RMI et de la récupération de nourriture à la sortie des supermarchés ou des fins de marchés », dit un ancien. Jusqu’au sommet du G8 à Gênes, « temps fort qui a marqué toute une génération ». Plusieurs membres de L’Ekluserie font alors le voyage en Italie, où ils assistent aux affrontements entre manifestants et forces de l’ordre. « Ils en sont revenus choqués, persuadés d’avoir été confrontés au fascisme moderne. L’action des Black Blocks, adeptes de la confrontation violente avec la police, les a fascinés. »
Le phénomène du « bloc noir » est apparu dans les années 1980 avec le mouvement autonome allemand Swarzer Block, notamment à travers la lutte contre la centrale nucléaire de Brokdorf, la défense des Freiräume (lieux autogérés) et les manifestations de solidarité avec la Bande à Baader (RAF).
Les blocs noirs se forment généralement en marge de manifestations normales dont ils se servent comme bouclier. A un moment donné, les Black Block, vêtus de noir et masqués, entrent en action. D’après Wikipedia, « ils procèdent de la doctrine d’action directe : destructions de banques, de bâtiments d’institutions officielles ou de sociétés multinationales, magasins, caméras de vidéo-surveillance, etc. Ces actions ne visent pas à s’attaquer aux personnes mais aux biens du capital. Le but est de faire perdre un maximum d’argent aux entreprises visées. Les activistes n’hésitent pas à affronter directement les forces de l’ordre qu’ils considèrent comme le bras armé du capitalisme ». Après une longue absence, les Black Blocks réapparaissent surtout lors de la guerre d’Irak en 1991. S’ils n’étaient que 200 à protester contre l’OMC à Seattle en 1999, où ils avaient créé une « zone autonome temporaire », leur mouvance s’élevait à 5000 lors du G8 à Heiligendamm, début juin 2007.
Un ami de Rosoux confesse : « Non-violent, altermondialiste, je l’ai vu s’éloigner progressivement vers l’écologie libertaire et l’action radicale. Vers la fin, je me souviens même de militants allemands venus au squat pour expliquer comment ils bloquaient les trains de transport de déchets nucléaires... »
La piste allemande trouve toute sa cohérence lorsque l’on constate que la date du 8 novembre, date des actions contre les lignes TGV en France, correspond à la date d’un convoi « Castor » transportant des déchets nucléaires de Cherbourg au centre nucléaire de Gorleben en Allemagne. Il fallut à ce convoi 80 heures pour parvenir à destination, où un bon millier de manifestations bloquaient l’accès au site.
Le 10 novembre, une revendication parvenait au quotidien allemand Berliner Zeitung, précisant que les actions visant à perturber le trafic ferroviaire en France et en Allemagne visaient l’ordre capitaliste et qu’ils « ont agi cette nuit au moyen de crochets métalliques ». La revendication était signée « en souvenir de Sébastien », en référence à Sébastien Briat, activiste mort lors du passage d’un train Castor en 2004. La police allemande a fait savoir que l’emploi de crochets métalliques identiques à ceux trouvés en France est pratique courante parmi certains verts ultras et que le dernier incident de ce type avait eu lieu le 12 octobre 2008 à Bischoffsheim. Une amie allemande de Julien Coupat apparaît d’ailleurs dans une procédure judiciaire pour des faits similaires commis en 1996.
On peut donc penser que la conjonction entre l’agembeniste Coupat et l’écolo radical Rosoux a pu fournir la matière intellectuelle d’un cocktail explosif, la matrice situationniste initiale tendant, avec l’aggravation de la crise financière mondiale, à muter en « violence régénératrice » et « déshumanisante » à la Georges Sorel.
Les provocations, de Gênes à Vichy
C’est lors du sommet du G8 en juillet 2001 à Gênes que Coupat et Rosoux, les deux meneurs de la « cellule invisible » soupçonnés d’avoir commis les actes de sabotage contre les lignes TGV lors du week-end du 8 novembre 2008, feront l’expérience directe des techniques du Black Block.
Dans l’Appel, un pamphlet des autonomes qui circule dans les squats et vante les qualités de cette « action directe » par rapport au militantisme ou au bougisme impuissant, on peut lire l’anecdote suivante : « Nous nous souvenons de cette scène, à Gênes : une cinquantaine de militants de la LCR brandissent leurs drapeaux rouges labellisés « 100% à gauche ». Ils sont immobiles, intemporels. Ils vocifèrent leurs slogans calibrés, entourés d’un service d’ordre. Pendant ce temps, à quelques mètres de là, certains d’entre nous affrontent les lignes de carabiniers, renvoyant les lacrymos, défonçant le dallage des trottoirs pour en faire des projectiles, préparant des cocktails Molotov à partir de bouteilles trouvées dans les poubelles et d’essence tirée des Vespa renversées. A ce propos, les militants parlent d’aventurisme, d’inconscience. Ils prétextent que les conditions ne sont pas réunies. Nous disons que rien ne manquait, que tout était là, sauf eux. »
À partir de là, l’Ekluzerie, le squat rennais animé par Rosoux lorsqu’il étudiait à Science-Po, serait devenu « le rendez-vous de toutes les radicalités ». Ceux qui le fréquentent y rejettent « les citoyennistes », terme désignant « tous ceux qui acceptent la démocratie, José Bové ou LCR compris ». L’expérience a pris fin le 24février 2005, avec la démolition des bâtiments qui l’abritaient. Ses fondateurs se seraient dispersés, quittant Rennes « pour aller fonder d’autres squats, urbains ou ruraux », comme celui de Tarnac.
En France, ce sont les manifestations contre le CPE de 2006 qui furent le laboratoire pour expérimenter les nouvelles techniques de guérilla urbaine. Dans L’insurrection qui vient, le livre écrit par Coupat et Rosoux, on peut lire : « Le mouvement contre le CPE n’a pas hésité à bloquer gares, périphériques, usines, autoroutes, supermarchés et même aéroports. Il ne fallait pas plus de trois cents personnes, à Rennes, pour immobiliser la rocade pendant des heures et provoquer quarante kilomètres de bouchons. Tout bloquer, voilà désormais le premier réflexe de tout ce qui se dresse contre l’ordre présent. Dans une économie délocalisée, où les entreprises fonctionnent à flux tendu, où la valeur dérive de la connexion au réseau, où les autoroutes sont des maillons de la chaîne de production dématérialisée qui va de sous-traitant en sous-traitant et de là, à l’usine de montage, bloquer la production, c’est aussi bien bloquer la circulation. »
Plus récemment, du 2 au 4 novembre, lors du sommet de l’UE sur l’immigration à Vichy, Coupat et son groupe se déploient pour transformer en émeute violente le contre-sommet pacifique, contestation juste et légitime de la politique anti-immigration. Rosoux y était et on y voyait Coupat, à la tête d’une cinquantaine d’individus masqués, ordonnant à ses troupes l’assaut d’une barrière de CRS. Une jeune adepte de Coupat à Vichy a reconnu son activisme au sein des Black Blocks en Allemagne et sa participation aux blocages des gares SNCF lors des manifestations contre le CPE en France.
Dans l’Appel, on lit également : « Nous ne contestons rien, nous ne revendiquons rien. Nous nous constituons en force matérielle autonome au sein de la guerre civile mondiale. L’urgence de la situation nous libère de toute considération de légalité ou de légitimité. La perspective de former des gangs n’est pas pour nous effrayer ; celle de passer pour une mafia nous amuse plutôt. D’un côté, nous voulons vivre le communisme, de l’autre, nous voulons répandre l’anarchie. »
Néanmoins, si le document appelle à l’action, il précise que ses partisans ne veulent tuer ni blesser personne. Non pour des raisons morales, mais pour une question de stratégie : « Il paraîtra judicieux de s’attaquer plutôt aux dispositifs matériels qu’aux hommes qui leur donnent un visage. C’est vers les formes d’opérations propres à toutes les guérillas qu’il nous faut nous tourner : sabotages anonymes, actions non revendiquées. »
Qui soutient Coupat ?
A peine quelques jours après leur arrestation, dans la rubrique Rebonds de Libération, Agamben monte au créneau pour défendre ses adeptes : « Il s’agit de Julien Coupat, un jeune philosophe qui a animé naguère, avec quelques-uns de ses amis, Tiqqun, une revue responsable d’analyses politiques sans doute discutables, mais qui compte aujourd’hui encore parmi les plus intelligentes de cette période. J’ai connu Julien Coupat à cette époque et je lui garde, d’un point de vue intellectuel, une estime durable. Passons donc à l’examen du seul fait concret de toute cette histoire. L’activité des interpellés serait à mettre en liaison avec les actes de malveillance contre la SNCF qui ont causé le 8 novembre le retard de certains TGV sur la ligne Paris-Lille. Ces dispositifs, si l’on en croit les déclarations de la police et des agents de la SNCF eux-mêmes, ne peuvent en aucun cas provoquer des dommages aux personnes : ils peuvent tout au plus, en entravant l’alimentation des pantographes des trains, causer le retard de ces derniers. En Italie, les trains sont souvent en retard, mais personne n’a encore songé à accuser de terrorisme la société nationale des chemins de fer. Il s’agit de délits mineurs même si personne n’entend les cautionner… »
Interrogé par Le Monde, il a également déclaré : « On ne va pas les traiter comme les Brigades rouges, ça n’a rien à voir ! On cherche le terrorisme et on finit par le construire, tout ça pour répandre la peur chez les jeunes gens ».
Autre appui étonnant en faveur de Julien Coupat, celui de Guillaume Dasquié, proche de certains services de renseignements et sévissant actuellement Libération. Dans un article publié le 24 novembre dans ce journal, il dénonce un vaste complot contre l’ultra-gauche animé par la ministre de l’Intérieur, Michelle Alliot-Marie.
La DST, « allumée » par l’ultra sécuritaire Alain Bauer, se serait fortement intéressée, dès sa parution, au livre L’insurrection qui vient, écrit par Julien Coupat et Benjamin Rosoux et publié aux Editions La Fabrique par Eric Hazan, lui-même auteur de Changement de propriétaire, la guerre civile continue.
Or les auteurs du livre signent non pas en leur nom mais au nom d’un « Comité invisible » et s’expriment dans un langage politico-poético-dépressif inspiré de Guy Debord. Ils y décrivent avec délectation leurs tentations de se livrer à des actes de sabotage contre des lignes du TGV et d’autres « flux » capables d’accélérer la fin d’une « civilisation en état de mort clinique ».
Ancien rédacteur en chef d’Intelligence Online, lettre professionnelle consacrée à l’actualité du risque politique et de l’intelligence économique, Dasquié est le co-auteur de L’effoyable mensonge (La Découverte, 2002, avec Jean Guisnel), un livre qui prétend que les interrogations de Thierry Meyssan sur le 11 septembre sont inspirées par les « élucubrations » de Lyndon LaRouche et de Jacques Cheminade. Son imagination paraît donc tout aussi délirante qu’opportunément orientée. Bien accueilli par le New York Times et le Financial Times de Londres, ses écrits sont fortement appréciés par les néo-conservateurs américains outre-Atlantique, toujours prêts à traiter de conspirationnistes ceux qui ne se soumettent pas à leur pouvoir.
Que conclure de cette affaire ? Quelles que soient les responsabilités et les intentions des uns et des autres, elle manifeste un climat de révolte impuissante dégénérant en provocation à la violence. Ceux qui créent le climat intellectuel pour qu’elle se produise visent à déstabiliser l’Etat-nation et servent ainsi, volontairement ou pas, les desseins de cette « nouvelle gouvernance mondiale » que souhaitent les banquiers de la City et le directeur général du FMI. Les « autonomistes » qui portent atteinte aux équipements publics ne sont sans doute qu’un maillon inconscient dans la chaîne, victimes, plus que responsables, des actes qu’on leur impute, en vue de desseins qui leur échappent. Il est, en tout cas, aujourd’hui reconnu, si l’on se penche sur un passé récent, que les Brigades Rouges étaient manipulées par un « Ordre noir » cherchant à provoquer un coup d’état fasciste en Italie.
Pour creuser le sujet : Manipulation par la terreur : non à la mise en place de régimes d’exception (mars 2004)
Mercredi 03 Décembre 2008
http://www.solidariteetprogres.org/
Erdogan executes arch-terrorist Peres at Davos
Warning 30 January 2009: Major False Flag Terrorist Operation In South of Europe, Yisrael to launch a deadly terrorist false flag operation, 'dirty bomb', as explained in this blog in November 2008, operation in coordination with western services from France, Great Britain and Germany, operation will be launch exactly 5 days after zionist elections according to our sources.
Wa Allah swt 'alam
Abu Suleyman
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a été accueilli en héros par des milliers de turques, à Istanbul dans la nuit de jeudi à vendredi de retour de Davos (Suisse). Il avait quitté la salle du Forum économique mondial, après avoir été empêché par l'organisateur de répondre, aux justifications du président israélien de la guerre contre Gaza, sous prétexte que la séance était terminée.
Trois mille personnes, selon les chaînes de télévisions, étaient venues aux abords de l'aéroport international Atatürk d'Istanbul, arborant des drapeaux
turcs, pour acclamer M. Erdogan.
Les manifestants ont scandé des slogans dénonçant "Israël" pour son agression contre la bande de Gaza et chanté en coeur "Nous sommes fiers de toi".
"Peres ne s'adresse pas à un chef de tribu. Il doit apprendre comment parler à un Premier ministre de la République de Turquie", a-t-il dit a-t-il dit à la presse avant de saluer les gens venus l'accueillir, selon l'agence Anatolie.
"Je ne peux rester impassible devant ce genre de choses, mon tempérament m'en empêche. Mon devoir est de faire respecter l'honneur de mon pays", a encore souligné M. Erdogan. "Je ne suis pas issu de la diplomatie, je suis un homme politique", a-t-il ajouté.
M. Erdogan, a fustigé quasi-quotidiennement l'agression de 22 jours d'"Israël" contre la bande de Gaza.
http://www.alterinfo.net/De-retour-de-Davos-Erdogan-accueilli-en-heros_a29210.html
La septième guerre : les préambules, les causes et les conséquence
La défaite sioniste prendra de l'ampleur dans les heures et jours a venir, Israel ne sait pas combattre sur un front unique pourquoi resisterait-elle a quatre ou cinq fronts permanents... La Victoire ou le Martyr insha Allah
Palestine - CPI
Depuis le samedi 27 décembre 2008, la bande de Gaza est le sujet d’une agression des plus affreuses. Toutes ses institutions civiles et sécuritaires, ses mosquées, ses universités, les maisons résidentielles et mêmes les écoles de l’UNRWA, tous sont pris en cible. De réels carnages ont été effectués par les forces israéliennes d'occupation. Le nombre de martyrs a dépassé les mille personnes, de loin. Le nombre de blessés a dépassé les cinq mille dont la moitié sont des femmes et des enfants. Auparavant, la Bande a vécu sous un blocus hermétique, depuis un an et demi.
Quelques notes
- La bande de Gaza est d’une superficie très limitée.
- Elle connaît la densité de population la plus forte du monde.
- Elle ne profite d’aucune ressource naturelle.
- Les anciens accords font d’elle un territoire dépendant d’"Israël" pour l’eau, l’électricité, le carburant et les produits commerciaux.
- Elle constitue une zone ouverte, militairement indéfendable.
- Elle ne possède aucune profondeur, ni géographique ni militaire.
- Elle est isolée, de la terre, de la mer et du ciel.
- Elle ne possède de forces, ni aérienne, ni maritime pour se défendre. Elle ne possède non plus d’armes lourdes.
- La résistance, dans la bande de Gaza, n’a aucun allié militaire ou politique.
- Tous les sièges et les bureaux qui soutiennent la résistance ont été détruits.
- La victoire pour la résistance palestinienne consiste en sa seule survie. Elle est pour les Israéliens liée à la réalisation des objectifs déclarés.
Préambule
Premièrement : Les efforts avaient connu l’échec pour prolonger l’accalmie, avant qu’elle ne prenne fin. Une accalmie qui a duré six mois. Le Caire voulait pousser le Hamas à accepter cette prolongation sans que l’occupation israélienne ne soit obligée d’appliquer les conditions de cette prolongation. En effet, les occupants israéliens a continué pendant les six mois d’accalmie à fermer les points de passage devant le passage des gens, des produits commerciaux et du carburant… De plus, les Israéliens continuent leur agression sporadique contre les civils de la bande de Gaza, ne respectant ainsi aucunes conditions de l’accalmie. Les Israéliens voulaient imposer à la résistance palestinienne des conditions : l’accalmie pour l’accalmie, la résistance pour la nourriture. On voulait geler la résistance afin que les occupants israéliens s’occupent de la Cisjordanie et de la ville d’Al-Quds, afin de confisquer plus de terrains, afin d’agrandir les colonies, afin d’arrêter plus de résistants, en collaboration avec l’autorité palestinienne. Cette dernière veut vendre la cause palestinienne dans des négociations qui ne font que donner à l’occupant la couverture qui lui est tant chère pour continuer son occupation et ses agressions contre tous les Palestiniens aussi bien de la Cisjordanie que de la bande de Gaza.
L’échec de l’accalmie avec ces conditions humiliantes signifiait le retour à la résistance, sur la scène palestinienne, qui signifiait à son tour une gêne pour ceux qui avaient choisi ces négociations inutiles avec les Israéliens. La fin de l’accalmie dans son ancienne forme a contrarié la volonté des Israéliens qui voulaient se débarrasser de la résistance ou l’isoler, et jouer avec les négociations pour que leurs projets coloniaux aillent bon train.
Deuxièmement : Les dirigeants égyptiens étaient en colère auprès du Hamas et de la résistance palestinienne, pour leur refus d’accepter la prolongation du mandat du président Abbas, mandat qui a normalement pris fin le 9 janvier 2009. Les mouvements ont également refusé de se présenter au Caire pour un dialogue organisé par l’Egypte. Ils ne voulaient pas y être présents avant que les dossiers du conflit soient résolus. Ces dossiers étaient la cause de la division sur la scène palestinienne, comme par exemple le dossier du mandat du président Abbas.
Troisièmement : Le mouvement du Hamas et les factions palestiniennes ont refusé une accalmie humiliante. Ils se sont attachés au choix de la résistance. Une fermeté dans la décision qui gêne la continuation de ces négociations inutiles. Par ailleurs, la politique de certains régimes arabes dont l’Egypte est pour le blocus mené contre Gaza. Cette politique a tendance à mettre aux enchères la cause palestinienne pour avoir l’approbation de l’Administration américaine.
Quatrièmement : Le mouvement du Hamas reste fidèle à sa position politique et aux droits du peuple palestinien. Les Palestiniens de la Cisjordanie et de Gaza continuent à montrer une résistance historique. Cela a énormément contrarié certains régimes arabes et certaines forces internationales. L’opinion publique a commencé à réagir pour lever le blocus imposé sur la bande de Gaza. Plus de gêne alors pour les participants au blocus.
Cinquièmement : La scène politique de l’Entité sioniste est dans une période préélectorale. Alors les politiciens israéliens ont fait de l’agression contre la bande de Gaza un outil pour gagner des voix, surtout que la concurrence est des plus fortes depuis la guerre de juillet 2006 menée contre le Liban.
Ces éléments et quelques autres ont poussé les Israéliens, en collaboration avec certains Arabes et Palestiniens, à décider de lancer un coup fort au mouvement du Hamas et aux factions palestiniennes et à la volonté populaire palestinienne. Un coup pour se débarrasser de la résistance de Gaza qui gêne pas mal de monde. Il y a ceux qui donnent la raison aux Israéliens pour leur agression contre Gaza. Ils vont jusqu’à porter au Hamas la responsabilité de la guerre, pour avoir refusé l’accalmie, avec ses conditions humiliantes. Ces conditions voulaient arrêter la résistance contre une bouchée de pain.
Le 25 décembre 2008, le monde entier a entendu les déclarations de Tsipi Livni, la ministre israélienne des affaires étrangères, accompagnée de l’Egyptien Ahmed Abou Al-Ghayd, au Caire. Elle a dit que la situation à Gaza allait changer en exterminant le mouvement du Hamas. Du côté des Egyptiens, ni Abou Al-Ghayd, ni Omar Solayman n’a posé d’objection (comme si ses propos leur convenaient).
La guerre contre la Bande : les causes réelles, apparentes et dissimulées
Les occupants israéliens avaient tiré des leçons de la guerre du Liban en 2006. Ils n’ont donc pas déclaré les objectifs de leur guerre contre la bande de Gaza. Ils ont compris qu’il ne faut pas se donner de grands objectifs, sinon leur machine de guerre connaîtrait un grand échec, si un de ces objectifs n’est pas réalisé.
Du premier jour de la guerre, l’Entité sioniste a tenu une position ambiguë devant les médias. Cependant, plus d’un de ses dirigeants en ont parlé. Déjà, un peu avant, Tzipi Livni a dit, au Caire, le 25 décembre 2008, que les Israéliens voulaient changer la situation dans la bande de Gaza et mettre fin au pouvoir du Hamas. Plus tard, les Israéliens ont dit qu’ils voulaient affaiblir le Hamas. Le ministre de la sécurité intérieur israélien Dikhter a informé la chaîne satellitaire Al-Jazeera, le 4 janvier 2009, qu’ils voulaient stopper définitivement les tirs de roquettes de la résistance et arrêter la contrebande d’armes et réaliser une accalmie différente de la précédente.
La guerre a des objectifs stratégiques et tactiques. Des objectifs principaux et d’autres secondaires. Toutefois, il y a toujours un but stratégique.
Les objectifs israéliens peuvent être résumés et classés en quelques points.
Anéantir le Hamas reste une première priorité. Pour les Israéliens et pour leurs alliés, le mouvement constitue un élément principal de la résistance palestinienne et de tout le front d’opposition. Les Israéliens et leurs alliés veulent liquider le Hamas pour liquider la cause palestinienne, de façon définitive ou presque. On parle de ramener la région à l’état d’avant l’an 1967.
Ils veulent achever le Hamas, en le prenant comme le principal obstacle à un accord de paix, version israélienne, une version acceptée par l’autorité palestinienne.
Le rapport israélien Finograd publié après la guerre du Liban de l’an 2006 est une cause de cette guerre menée contre la bande de Gaza. L’armée de l’occupation israélienne voulait retoucher sa réputation, après le flagrant échec de leur guerre avec le Hezbollah libanais. L’armée est alors partie à Gaza, le point faible à son avis.
Puis les occupants israéliens essaient de réaliser un paquet d’objectifs sur le terrain :
- Empêcher le tir de roquettes de la résistance palestinienne venant de Gaza reste un autre objectif de cette guerre.
- Obliger le mouvement du Hamas à accepter une accalmie sous des conditions israéliennes en est un autre.
- Finalement, les Israéliens voulaient amener des forces internationales pour protéger leur Entité et pour empêcher la résistance palestinienne de la bande de Gaza de se ravitailler en armes. Ils croient que ces deux points permettraient d’ouvrir la voie aux autorités palestiniennes d’Abbas pour qu’elles reprennent le contrôle de Gaza.
La position de la l’autorité palestinienne
Regard sur la scène politique palestinienne
Les échanges médiatiques entre les Palestiniens ont un peu cessé, pendant la guerre. Toutefois, l’atmosphère négative règne toujours sur la scène politique palestinienne.
Aucune initiative pour restaurer la maison intérieure palestinienne n’a été prise.
En Cisjordanie, la population n’a pu manifester contre la guerre, à cause des services de sécurité de l’autorité palestinienne de Ramallah.
Des positions par rapport à la résistance ont été exprimées.
Un soutien populaire à la résistance palestinienne pourra certainement affaiblir la présidence palestinienne. Cette présidence a montré une position très faible dans cette guerre. Pas seulement. Elle a été accusée d’y avoir participé. Elle n’a pas appelé à l’ouverture du point de passage de Rafah. Elle a soutenu avec force les positions égyptiennes.
La position de Ramallah s’est alignée sur celle de l’Egypte et de l’Europe pour garantir l’arrivée de Mahmoud Abbas à Gaza sous un accord qui suivrait les combats.
L’autorité palestinienne a protégé les arrières d’"Israël". Elle a réprimé toute manifestation en Cisjordanie et tout aspect de résistance. Elle a protégé l’Entité sioniste du risque d’ouverture d’un autre front en Cisjordanie.
Les actions politiques de cette autorité étaient pour des intérêts partisans, dit-on. Ses positions politiques riment avec ses intérêts venant à l’encontre de la résistance.
Les positions arabes
Regard sur la scène politique arabe
Les Arabes connaissent une faiblesse qui fait tort à la résistance palestinienne. Les Egyptiens ont refusé de traiter la cause palestinienne de façon positive.
Le camp des Arabes dits modérés a été accusé d’être avec les ennemis israéliens et américains. Cela a affaibli la politique américano-israélienne dans les pays arabes.
Le vide laissé par la déficience des pays arabes a été rempli par d’autres forces régionales, surtout par les Turcs.
Le refus populaire des systèmes arabes s’est renforcé. Les peuples commencent à pratiquer des pressions sur leurs dirigeants pour qu’ils viennent en aide aux Palestiniens et pour reprendre la position nationale de la Palestine.
L’Egypte a pour sa part montré son incapacité à faire quelque chose concernant le dossier palestinien. Elle a exprimé son besoin de la Turquie. Elle a voulu reprendre son rôle en invitant le Hamas au Caire.
Le point de passage de Rafah a été pris comme excuse pour faire des pressions sur le Hamas afin qu’il accepte une accalmie permanente et qu’il libère Chalit. Mais la direction égyptienne peut se retirer d’un moment à l’autre. L’opposition intérieure ne cesse de s’agrandir, au moment où les Israéliens poussent les Egyptiens à adopter des positions plus agressives avec le Hamas.
Grandes divergences, l’Egypte la plus perdante
En énumérant les causes et les objectifs de la guerre (israélienne menée contre la bande de Gaza), on remarque que cette guerre est dans l’intérêt de l’Egypte actuelle, se prenant pour une représentante de la tendance modérée dans la région.
En effet, la victoire du Hamas représente toujours un élément nouveau pour la position égyptienne face à la cause palestinienne. Les politiciens du Caire croient qu’il y a un lien entre le Hamas et l’opposition égyptienne d’une façon ou d’une autre.
Durant longtemps, le gouvernement égyptien a pu se retenir, se croyant capable de contenir le Hamas, même si c’est un peu difficile et fatiguant. Mais la position du Hamas fait face à l’initiative égyptienne par rapport à la réconciliation palestinienne interne.
Frapper le Hamas devient une nécessité pour les Egyptiens. Il faut éliminer toute chose qui prend une telle nomination, tel était leur vœu.
Le journal hébreu Haaretz dit, le 6 janvier 2009, que le président égyptien Mobarak avait déclaré, la veille, aux ministres des affaires étrangères européens, qu’il faut empêcher une sortie victorieuse du Hamas de ces affrontements.
Dans le même contexte, le vice-ministre de la guerre israélien Mtan Filnaaï, dans une interview donnée à la télévision israélienne, le 30 décembre 2008, a dit que plusieurs partis arabes comprennent "Israël" qui voulait frapper le Hamas. Cette compréhension arabe était un élément encourageant pour "Israël" pour qu’elle entame sa campagne militaire. Beaucoup de gouvernements arabes croient qu’ils ont un point commun avec "Israël" dans leur guerre contre l’Islam extrémiste, dit le magazine égyptien Al-Distour, le 5 janvier 2009. Il y a également le refus du système égyptien d’ouvrir le point de passage de Rafah, en dépit de la grave agression israélienne et du grand besoin de la bande de Gaza.
L’Egypte a beaucoup fait de mal à son rôle historique dans la région, par ses positions négatives envers le mouvement du Hamas.
L’Egypte est la grande perdante dans cette guerre. Elle perd de sa capacité d’influence. Elle perd aussi sa sécurité nationale, en se prenant comme une protégée américaine, laissant à "Israël" le rôle de force régionale unique.
La Syrie considère cependant l’agression israélienne contre la bande de Gaza comme une agression contre sa sécurité, dans la même mesure où frapper le Hezbollah est pris comme une menace à l’Iran. On veut faire comprendre à la Syrie qu’elle n’a aucune porte de sortie de ce que les Américains veulent pour la région, ni elle ni personne, ni tout pays ni toute organisation.
Pour ce qui est du Qatar, il traite le sujet avec une sorte d’équilibre. Il accorde au peuple palestinien son droit. Et il appelle à l’organisation d’un sommet arabe d’urgence.
La situation libyenne était claire. Son représentant au Conseil de sécurité et son ministre des affaires étrangères ont fait des déclarations positives.
L’Algérie a pour sa part reçu une personnalité du mouvement du Hamas : Sami Abou Zahra.
Le Soudan a pris une position positive contre la guerre. Son président Al-Bachir a rencontré la direction du Hamas, à Damas.
La scène arabe s’est montrée déchirée. Les dirigeants n’ont pas réussi à se rencontrer dans un sommet, malgré tous les efforts donnés par un parti ou par un autre. L’objection égyptienne était pour quelque chose dans cet échec.
La scène mondiale
Les Européens montrent une compréhension envers la guerre israélienne contre Gaza. Ils condamnent cependant le fait de prendre en cible les civils.
Ils proposent une initiative pour un cessez-le-feu permanent sans vouloir que le Hamas en profite.
Le rôle français sous la présidence de Sarkozy est actif.
En ce qui concerne l’administration américaine, Bush suivait de près la guerre, Obama ne montrait qu’une position floue.
Les Turcs se montrent très actifs, en coordination avec la Syrie et l’Iran.
Les Russes se détachent un peu de la position américano-européenne.
L’occupation israélienne n’a pas réussi à accomplir ses objectifs. Elle s’est alors retrouvée obligée de baisser un peu la barre de ses objectifs. Toutefois, elle a refusé toute initiative internationale pour se montrer forte et pour trouver une issue lui permettant de quitter Gaza sans perdre la face.
L’initiative européenne donne aux Egyptiens le droit de réagir, exclusivement.
Et les Egyptiens veulent en profiter pour ramener le Hamas sous leur égide. Ils veulent que ce dernier comprenne qu’il ne peut rien faire sans l’Egypte.
La septième guerre : les résultats
La scène israélienne
Les israéliens ne parlent pas tous sur la même longueur d’onde, ni au niveau politique, ni au niveau sécuritaire, en ce qui concerne les objectifs finaux de la guerre.
En tout cas, ils ont mené une politique destructrice à Gaza.
Ils mettaient du temps pour mettre à exécution leurs opérations, malgré le petit temps qui leur reste avant les élections et avant l’investiture du président Barack Obama.
La majorité de l’opinion publique israélienne soutient la continuation de l’opération militaire. Les chefs politiques ne voulaient rater cette opportunité pour renforcer leur popularité. L’axe Livni-Barak contre Netanyahu.
Les Israéliens ont plusieurs positions face à l’accalmie, face au déploiement des forces internationales, contrôleur d’un cessez-le-feu. Ils veulent mondialiser l’affaire comme cela s’est qui passé au sud du Liban. Un accord de cessez-le-feu non écrit laissant à "Israël" la possibilité de répliquer violemment à tout tir de roquette.
Mais sur la perte psychologique, les Israéliens en ont beaucoup. Leur image positive en occident s’est lourdement entamée, par la tombée de beaucoup de civils palestiniens.
La scène à Gaza
Le mouvement du Hamas a totalement mis la main sur la bande de Gaza après l’opération de 2006. Depuis, il contrôle les infrastructures de la résistance.
Il a pu profiter de l’ancienne accalmie pour renforcer la résistance : entraînement, matériels et planification.
La résistance palestinienne s’est préparée pour cette guerre depuis pas mal de temps.
La population abrite la résistance et la protège.
Le Hamas a fait de la coordination avec les factions palestiniennes une priorité. Elles participent et dans la résistance et dans la décision politique.
Il y a eu, pendant la guerre, une réaction palestinienne populaire forte à l’extérieur comme dans les territoires palestiniens occupés en 1948.
Un système de guerre urbaine a été adopté par les factions palestiniennes.
La résistance palestinienne a beaucoup profité de l’expérience de la résistance libanaise. Il y a une grande ressemblance entre les deux réalités de terrain.
La solidarité arabe et musulmane ne s’est jamais arrêtée.
Les médias arabes ont soutenu la résistance avec force. Ce soutien a épuisé la propagande israélienne.
Les médias de la résistance palestinienne étaient également très actifs et efficaces.
Le Hamas a tenu une position défensive, après que la banque d’objectifs israéliens a été épuisée.
Il faut noter que la victoire et la défaite ne seront pas chiffrés par les résultats sur le terrain, mais surtout par l’accomplissement des objectifs délimités.
En fait, l’armée israélienne a entamé la guerre pour reprendre sa notoriété perdue pendant sa dernière guerre avec le Hezbollah, et pour d’autres raisons, déjà évoquées plus haut. Pour sa part, la résistance palestinienne travaille pour sa survie. Donc ce que donne la résistance ne compte pas comme une perte.
La résistance a fait la surprise de ne pas dévoiler ses dispositions. Elle a pu tirer ses roquettes vers des portées assez éloignées, ce à quoi l’ennemi ne voulait même pas penser. Cela a constitué un élément supplémentaire capable de dessiner le parcours de la guerre. La résistance a pu résister et lancer des roquettes de façon constante, malgré tous ces tanks qui l’entouraient. Des données qui ne viennent pas au goût de l’armée israélienne.
Après la guerre : les gagnants et les perdants
C’est après la guerre qu’on fait le tri entre les gagnants et les perdants. Les grands perdants sont tout d’abord l’autorité palestinienne et le mouvement du Fatah. Et puis le régime égyptien. Le système arabe en général. Les grands gagnants sont les résistants, palestiniens en particulier, et arabes en général.
Conclusion
L’occupation israélienne a refusé la décision 1860 du Conseil de sécurité des Nations Unies publiée le 9 janvier 2009. Néanmoins, ce refus ne signifie guère qu’elle ne cherche pas une issue politique la sauvant du bourbier dans lequel elle s’est mise. Par ailleurs, la décision était au profit de l’occupation israélienne. Elle l’a refusée parce qu’elle n’avait pu accomplir ses objectifs. Elle a eu peur que le Hamas et la résistance palestinienne ne soient sortis victorieux de cette guerre après cette résistance héroïque devant l’armée israélienne, la plus forte de la région. Elle a essayé de travailler, couverte par les Américains, pour réaliser un de ses objectifs qu’elle avait échoué pendant deux semaines durant. Surtout stopper les roquettes de la résistance palestinienne qui entachent toujours sa réputation.
A la fin, les occupants israéliens essayent de pratiquer plus d’opérations militaires et de mettre les bouchées doubles, sur le niveau diplomatique, pour trouver une issue à son bourbier. Ils veulent accomplir un cessez-le-feu à leurs conditions pour sauver la face complètement souillée par le sang de civils palestiniens.
Ils veulent que les combats continuent sur le terrain au moment où les efforts diplomatiques frappent de plein fouet. Il est clair que le Hamas garde toujours la main haute pour tout accord possible, grâce à sa résistance et à la résistance du peuple palestinien. Cette résistance obligera tout le monde à stopper en fin de compte cette affreuse agression et à lever le blocus imposé sur le peuple palestinien.
Rapport stratégique réalisé par le Centre Palestinien d’Information (CPI), pendant la guerre israélienne menée par les occupants israéliens contre la bande de Gaza, à partir du 27 décembre 2008. Ont participé à sa préparation Bachar Saïd, Nahed Abou Khaled, Osama Achqar et Ahmed Al-Hila.
Résumé et traduit de l’arabe par le département français.
Depuis le samedi 27 décembre 2008, la bande de Gaza est le sujet d’une agression des plus affreuses. Toutes ses institutions civiles et sécuritaires, ses mosquées, ses universités, les maisons résidentielles et mêmes les écoles de l’UNRWA, tous sont pris en cible. De réels carnages ont été effectués par les forces israéliennes d'occupation. Le nombre de martyrs a dépassé les mille personnes, de loin. Le nombre de blessés a dépassé les cinq mille dont la moitié sont des femmes et des enfants. Auparavant, la Bande a vécu sous un blocus hermétique, depuis un an et demi.
Quelques notes
- La bande de Gaza est d’une superficie très limitée.
- Elle connaît la densité de population la plus forte du monde.
- Elle ne profite d’aucune ressource naturelle.
- Les anciens accords font d’elle un territoire dépendant d’"Israël" pour l’eau, l’électricité, le carburant et les produits commerciaux.
- Elle constitue une zone ouverte, militairement indéfendable.
- Elle ne possède aucune profondeur, ni géographique ni militaire.
- Elle est isolée, de la terre, de la mer et du ciel.
- Elle ne possède de forces, ni aérienne, ni maritime pour se défendre. Elle ne possède non plus d’armes lourdes.
- La résistance, dans la bande de Gaza, n’a aucun allié militaire ou politique.
- Tous les sièges et les bureaux qui soutiennent la résistance ont été détruits.
- La victoire pour la résistance palestinienne consiste en sa seule survie. Elle est pour les Israéliens liée à la réalisation des objectifs déclarés.
Préambule
Premièrement : Les efforts avaient connu l’échec pour prolonger l’accalmie, avant qu’elle ne prenne fin. Une accalmie qui a duré six mois. Le Caire voulait pousser le Hamas à accepter cette prolongation sans que l’occupation israélienne ne soit obligée d’appliquer les conditions de cette prolongation. En effet, les occupants israéliens a continué pendant les six mois d’accalmie à fermer les points de passage devant le passage des gens, des produits commerciaux et du carburant… De plus, les Israéliens continuent leur agression sporadique contre les civils de la bande de Gaza, ne respectant ainsi aucunes conditions de l’accalmie. Les Israéliens voulaient imposer à la résistance palestinienne des conditions : l’accalmie pour l’accalmie, la résistance pour la nourriture. On voulait geler la résistance afin que les occupants israéliens s’occupent de la Cisjordanie et de la ville d’Al-Quds, afin de confisquer plus de terrains, afin d’agrandir les colonies, afin d’arrêter plus de résistants, en collaboration avec l’autorité palestinienne. Cette dernière veut vendre la cause palestinienne dans des négociations qui ne font que donner à l’occupant la couverture qui lui est tant chère pour continuer son occupation et ses agressions contre tous les Palestiniens aussi bien de la Cisjordanie que de la bande de Gaza.
L’échec de l’accalmie avec ces conditions humiliantes signifiait le retour à la résistance, sur la scène palestinienne, qui signifiait à son tour une gêne pour ceux qui avaient choisi ces négociations inutiles avec les Israéliens. La fin de l’accalmie dans son ancienne forme a contrarié la volonté des Israéliens qui voulaient se débarrasser de la résistance ou l’isoler, et jouer avec les négociations pour que leurs projets coloniaux aillent bon train.
Deuxièmement : Les dirigeants égyptiens étaient en colère auprès du Hamas et de la résistance palestinienne, pour leur refus d’accepter la prolongation du mandat du président Abbas, mandat qui a normalement pris fin le 9 janvier 2009. Les mouvements ont également refusé de se présenter au Caire pour un dialogue organisé par l’Egypte. Ils ne voulaient pas y être présents avant que les dossiers du conflit soient résolus. Ces dossiers étaient la cause de la division sur la scène palestinienne, comme par exemple le dossier du mandat du président Abbas.
Troisièmement : Le mouvement du Hamas et les factions palestiniennes ont refusé une accalmie humiliante. Ils se sont attachés au choix de la résistance. Une fermeté dans la décision qui gêne la continuation de ces négociations inutiles. Par ailleurs, la politique de certains régimes arabes dont l’Egypte est pour le blocus mené contre Gaza. Cette politique a tendance à mettre aux enchères la cause palestinienne pour avoir l’approbation de l’Administration américaine.
Quatrièmement : Le mouvement du Hamas reste fidèle à sa position politique et aux droits du peuple palestinien. Les Palestiniens de la Cisjordanie et de Gaza continuent à montrer une résistance historique. Cela a énormément contrarié certains régimes arabes et certaines forces internationales. L’opinion publique a commencé à réagir pour lever le blocus imposé sur la bande de Gaza. Plus de gêne alors pour les participants au blocus.
Cinquièmement : La scène politique de l’Entité sioniste est dans une période préélectorale. Alors les politiciens israéliens ont fait de l’agression contre la bande de Gaza un outil pour gagner des voix, surtout que la concurrence est des plus fortes depuis la guerre de juillet 2006 menée contre le Liban.
Ces éléments et quelques autres ont poussé les Israéliens, en collaboration avec certains Arabes et Palestiniens, à décider de lancer un coup fort au mouvement du Hamas et aux factions palestiniennes et à la volonté populaire palestinienne. Un coup pour se débarrasser de la résistance de Gaza qui gêne pas mal de monde. Il y a ceux qui donnent la raison aux Israéliens pour leur agression contre Gaza. Ils vont jusqu’à porter au Hamas la responsabilité de la guerre, pour avoir refusé l’accalmie, avec ses conditions humiliantes. Ces conditions voulaient arrêter la résistance contre une bouchée de pain.
Le 25 décembre 2008, le monde entier a entendu les déclarations de Tsipi Livni, la ministre israélienne des affaires étrangères, accompagnée de l’Egyptien Ahmed Abou Al-Ghayd, au Caire. Elle a dit que la situation à Gaza allait changer en exterminant le mouvement du Hamas. Du côté des Egyptiens, ni Abou Al-Ghayd, ni Omar Solayman n’a posé d’objection (comme si ses propos leur convenaient).
La guerre contre la Bande : les causes réelles, apparentes et dissimulées
Les occupants israéliens avaient tiré des leçons de la guerre du Liban en 2006. Ils n’ont donc pas déclaré les objectifs de leur guerre contre la bande de Gaza. Ils ont compris qu’il ne faut pas se donner de grands objectifs, sinon leur machine de guerre connaîtrait un grand échec, si un de ces objectifs n’est pas réalisé.
Du premier jour de la guerre, l’Entité sioniste a tenu une position ambiguë devant les médias. Cependant, plus d’un de ses dirigeants en ont parlé. Déjà, un peu avant, Tzipi Livni a dit, au Caire, le 25 décembre 2008, que les Israéliens voulaient changer la situation dans la bande de Gaza et mettre fin au pouvoir du Hamas. Plus tard, les Israéliens ont dit qu’ils voulaient affaiblir le Hamas. Le ministre de la sécurité intérieur israélien Dikhter a informé la chaîne satellitaire Al-Jazeera, le 4 janvier 2009, qu’ils voulaient stopper définitivement les tirs de roquettes de la résistance et arrêter la contrebande d’armes et réaliser une accalmie différente de la précédente.
La guerre a des objectifs stratégiques et tactiques. Des objectifs principaux et d’autres secondaires. Toutefois, il y a toujours un but stratégique.
Les objectifs israéliens peuvent être résumés et classés en quelques points.
Anéantir le Hamas reste une première priorité. Pour les Israéliens et pour leurs alliés, le mouvement constitue un élément principal de la résistance palestinienne et de tout le front d’opposition. Les Israéliens et leurs alliés veulent liquider le Hamas pour liquider la cause palestinienne, de façon définitive ou presque. On parle de ramener la région à l’état d’avant l’an 1967.
Ils veulent achever le Hamas, en le prenant comme le principal obstacle à un accord de paix, version israélienne, une version acceptée par l’autorité palestinienne.
Le rapport israélien Finograd publié après la guerre du Liban de l’an 2006 est une cause de cette guerre menée contre la bande de Gaza. L’armée de l’occupation israélienne voulait retoucher sa réputation, après le flagrant échec de leur guerre avec le Hezbollah libanais. L’armée est alors partie à Gaza, le point faible à son avis.
Puis les occupants israéliens essaient de réaliser un paquet d’objectifs sur le terrain :
- Empêcher le tir de roquettes de la résistance palestinienne venant de Gaza reste un autre objectif de cette guerre.
- Obliger le mouvement du Hamas à accepter une accalmie sous des conditions israéliennes en est un autre.
- Finalement, les Israéliens voulaient amener des forces internationales pour protéger leur Entité et pour empêcher la résistance palestinienne de la bande de Gaza de se ravitailler en armes. Ils croient que ces deux points permettraient d’ouvrir la voie aux autorités palestiniennes d’Abbas pour qu’elles reprennent le contrôle de Gaza.
La position de la l’autorité palestinienne
Regard sur la scène politique palestinienne
Les échanges médiatiques entre les Palestiniens ont un peu cessé, pendant la guerre. Toutefois, l’atmosphère négative règne toujours sur la scène politique palestinienne.
Aucune initiative pour restaurer la maison intérieure palestinienne n’a été prise.
En Cisjordanie, la population n’a pu manifester contre la guerre, à cause des services de sécurité de l’autorité palestinienne de Ramallah.
Des positions par rapport à la résistance ont été exprimées.
Un soutien populaire à la résistance palestinienne pourra certainement affaiblir la présidence palestinienne. Cette présidence a montré une position très faible dans cette guerre. Pas seulement. Elle a été accusée d’y avoir participé. Elle n’a pas appelé à l’ouverture du point de passage de Rafah. Elle a soutenu avec force les positions égyptiennes.
La position de Ramallah s’est alignée sur celle de l’Egypte et de l’Europe pour garantir l’arrivée de Mahmoud Abbas à Gaza sous un accord qui suivrait les combats.
L’autorité palestinienne a protégé les arrières d’"Israël". Elle a réprimé toute manifestation en Cisjordanie et tout aspect de résistance. Elle a protégé l’Entité sioniste du risque d’ouverture d’un autre front en Cisjordanie.
Les actions politiques de cette autorité étaient pour des intérêts partisans, dit-on. Ses positions politiques riment avec ses intérêts venant à l’encontre de la résistance.
Les positions arabes
Regard sur la scène politique arabe
Les Arabes connaissent une faiblesse qui fait tort à la résistance palestinienne. Les Egyptiens ont refusé de traiter la cause palestinienne de façon positive.
Le camp des Arabes dits modérés a été accusé d’être avec les ennemis israéliens et américains. Cela a affaibli la politique américano-israélienne dans les pays arabes.
Le vide laissé par la déficience des pays arabes a été rempli par d’autres forces régionales, surtout par les Turcs.
Le refus populaire des systèmes arabes s’est renforcé. Les peuples commencent à pratiquer des pressions sur leurs dirigeants pour qu’ils viennent en aide aux Palestiniens et pour reprendre la position nationale de la Palestine.
L’Egypte a pour sa part montré son incapacité à faire quelque chose concernant le dossier palestinien. Elle a exprimé son besoin de la Turquie. Elle a voulu reprendre son rôle en invitant le Hamas au Caire.
Le point de passage de Rafah a été pris comme excuse pour faire des pressions sur le Hamas afin qu’il accepte une accalmie permanente et qu’il libère Chalit. Mais la direction égyptienne peut se retirer d’un moment à l’autre. L’opposition intérieure ne cesse de s’agrandir, au moment où les Israéliens poussent les Egyptiens à adopter des positions plus agressives avec le Hamas.
Grandes divergences, l’Egypte la plus perdante
En énumérant les causes et les objectifs de la guerre (israélienne menée contre la bande de Gaza), on remarque que cette guerre est dans l’intérêt de l’Egypte actuelle, se prenant pour une représentante de la tendance modérée dans la région.
En effet, la victoire du Hamas représente toujours un élément nouveau pour la position égyptienne face à la cause palestinienne. Les politiciens du Caire croient qu’il y a un lien entre le Hamas et l’opposition égyptienne d’une façon ou d’une autre.
Durant longtemps, le gouvernement égyptien a pu se retenir, se croyant capable de contenir le Hamas, même si c’est un peu difficile et fatiguant. Mais la position du Hamas fait face à l’initiative égyptienne par rapport à la réconciliation palestinienne interne.
Frapper le Hamas devient une nécessité pour les Egyptiens. Il faut éliminer toute chose qui prend une telle nomination, tel était leur vœu.
Le journal hébreu Haaretz dit, le 6 janvier 2009, que le président égyptien Mobarak avait déclaré, la veille, aux ministres des affaires étrangères européens, qu’il faut empêcher une sortie victorieuse du Hamas de ces affrontements.
Dans le même contexte, le vice-ministre de la guerre israélien Mtan Filnaaï, dans une interview donnée à la télévision israélienne, le 30 décembre 2008, a dit que plusieurs partis arabes comprennent "Israël" qui voulait frapper le Hamas. Cette compréhension arabe était un élément encourageant pour "Israël" pour qu’elle entame sa campagne militaire. Beaucoup de gouvernements arabes croient qu’ils ont un point commun avec "Israël" dans leur guerre contre l’Islam extrémiste, dit le magazine égyptien Al-Distour, le 5 janvier 2009. Il y a également le refus du système égyptien d’ouvrir le point de passage de Rafah, en dépit de la grave agression israélienne et du grand besoin de la bande de Gaza.
L’Egypte a beaucoup fait de mal à son rôle historique dans la région, par ses positions négatives envers le mouvement du Hamas.
L’Egypte est la grande perdante dans cette guerre. Elle perd de sa capacité d’influence. Elle perd aussi sa sécurité nationale, en se prenant comme une protégée américaine, laissant à "Israël" le rôle de force régionale unique.
La Syrie considère cependant l’agression israélienne contre la bande de Gaza comme une agression contre sa sécurité, dans la même mesure où frapper le Hezbollah est pris comme une menace à l’Iran. On veut faire comprendre à la Syrie qu’elle n’a aucune porte de sortie de ce que les Américains veulent pour la région, ni elle ni personne, ni tout pays ni toute organisation.
Pour ce qui est du Qatar, il traite le sujet avec une sorte d’équilibre. Il accorde au peuple palestinien son droit. Et il appelle à l’organisation d’un sommet arabe d’urgence.
La situation libyenne était claire. Son représentant au Conseil de sécurité et son ministre des affaires étrangères ont fait des déclarations positives.
L’Algérie a pour sa part reçu une personnalité du mouvement du Hamas : Sami Abou Zahra.
Le Soudan a pris une position positive contre la guerre. Son président Al-Bachir a rencontré la direction du Hamas, à Damas.
La scène arabe s’est montrée déchirée. Les dirigeants n’ont pas réussi à se rencontrer dans un sommet, malgré tous les efforts donnés par un parti ou par un autre. L’objection égyptienne était pour quelque chose dans cet échec.
La scène mondiale
Les Européens montrent une compréhension envers la guerre israélienne contre Gaza. Ils condamnent cependant le fait de prendre en cible les civils.
Ils proposent une initiative pour un cessez-le-feu permanent sans vouloir que le Hamas en profite.
Le rôle français sous la présidence de Sarkozy est actif.
En ce qui concerne l’administration américaine, Bush suivait de près la guerre, Obama ne montrait qu’une position floue.
Les Turcs se montrent très actifs, en coordination avec la Syrie et l’Iran.
Les Russes se détachent un peu de la position américano-européenne.
L’occupation israélienne n’a pas réussi à accomplir ses objectifs. Elle s’est alors retrouvée obligée de baisser un peu la barre de ses objectifs. Toutefois, elle a refusé toute initiative internationale pour se montrer forte et pour trouver une issue lui permettant de quitter Gaza sans perdre la face.
L’initiative européenne donne aux Egyptiens le droit de réagir, exclusivement.
Et les Egyptiens veulent en profiter pour ramener le Hamas sous leur égide. Ils veulent que ce dernier comprenne qu’il ne peut rien faire sans l’Egypte.
La septième guerre : les résultats
La scène israélienne
Les israéliens ne parlent pas tous sur la même longueur d’onde, ni au niveau politique, ni au niveau sécuritaire, en ce qui concerne les objectifs finaux de la guerre.
En tout cas, ils ont mené une politique destructrice à Gaza.
Ils mettaient du temps pour mettre à exécution leurs opérations, malgré le petit temps qui leur reste avant les élections et avant l’investiture du président Barack Obama.
La majorité de l’opinion publique israélienne soutient la continuation de l’opération militaire. Les chefs politiques ne voulaient rater cette opportunité pour renforcer leur popularité. L’axe Livni-Barak contre Netanyahu.
Les Israéliens ont plusieurs positions face à l’accalmie, face au déploiement des forces internationales, contrôleur d’un cessez-le-feu. Ils veulent mondialiser l’affaire comme cela s’est qui passé au sud du Liban. Un accord de cessez-le-feu non écrit laissant à "Israël" la possibilité de répliquer violemment à tout tir de roquette.
Mais sur la perte psychologique, les Israéliens en ont beaucoup. Leur image positive en occident s’est lourdement entamée, par la tombée de beaucoup de civils palestiniens.
La scène à Gaza
Le mouvement du Hamas a totalement mis la main sur la bande de Gaza après l’opération de 2006. Depuis, il contrôle les infrastructures de la résistance.
Il a pu profiter de l’ancienne accalmie pour renforcer la résistance : entraînement, matériels et planification.
La résistance palestinienne s’est préparée pour cette guerre depuis pas mal de temps.
La population abrite la résistance et la protège.
Le Hamas a fait de la coordination avec les factions palestiniennes une priorité. Elles participent et dans la résistance et dans la décision politique.
Il y a eu, pendant la guerre, une réaction palestinienne populaire forte à l’extérieur comme dans les territoires palestiniens occupés en 1948.
Un système de guerre urbaine a été adopté par les factions palestiniennes.
La résistance palestinienne a beaucoup profité de l’expérience de la résistance libanaise. Il y a une grande ressemblance entre les deux réalités de terrain.
La solidarité arabe et musulmane ne s’est jamais arrêtée.
Les médias arabes ont soutenu la résistance avec force. Ce soutien a épuisé la propagande israélienne.
Les médias de la résistance palestinienne étaient également très actifs et efficaces.
Le Hamas a tenu une position défensive, après que la banque d’objectifs israéliens a été épuisée.
Il faut noter que la victoire et la défaite ne seront pas chiffrés par les résultats sur le terrain, mais surtout par l’accomplissement des objectifs délimités.
En fait, l’armée israélienne a entamé la guerre pour reprendre sa notoriété perdue pendant sa dernière guerre avec le Hezbollah, et pour d’autres raisons, déjà évoquées plus haut. Pour sa part, la résistance palestinienne travaille pour sa survie. Donc ce que donne la résistance ne compte pas comme une perte.
La résistance a fait la surprise de ne pas dévoiler ses dispositions. Elle a pu tirer ses roquettes vers des portées assez éloignées, ce à quoi l’ennemi ne voulait même pas penser. Cela a constitué un élément supplémentaire capable de dessiner le parcours de la guerre. La résistance a pu résister et lancer des roquettes de façon constante, malgré tous ces tanks qui l’entouraient. Des données qui ne viennent pas au goût de l’armée israélienne.
Après la guerre : les gagnants et les perdants
C’est après la guerre qu’on fait le tri entre les gagnants et les perdants. Les grands perdants sont tout d’abord l’autorité palestinienne et le mouvement du Fatah. Et puis le régime égyptien. Le système arabe en général. Les grands gagnants sont les résistants, palestiniens en particulier, et arabes en général.
Conclusion
L’occupation israélienne a refusé la décision 1860 du Conseil de sécurité des Nations Unies publiée le 9 janvier 2009. Néanmoins, ce refus ne signifie guère qu’elle ne cherche pas une issue politique la sauvant du bourbier dans lequel elle s’est mise. Par ailleurs, la décision était au profit de l’occupation israélienne. Elle l’a refusée parce qu’elle n’avait pu accomplir ses objectifs. Elle a eu peur que le Hamas et la résistance palestinienne ne soient sortis victorieux de cette guerre après cette résistance héroïque devant l’armée israélienne, la plus forte de la région. Elle a essayé de travailler, couverte par les Américains, pour réaliser un de ses objectifs qu’elle avait échoué pendant deux semaines durant. Surtout stopper les roquettes de la résistance palestinienne qui entachent toujours sa réputation.
A la fin, les occupants israéliens essayent de pratiquer plus d’opérations militaires et de mettre les bouchées doubles, sur le niveau diplomatique, pour trouver une issue à son bourbier. Ils veulent accomplir un cessez-le-feu à leurs conditions pour sauver la face complètement souillée par le sang de civils palestiniens.
Ils veulent que les combats continuent sur le terrain au moment où les efforts diplomatiques frappent de plein fouet. Il est clair que le Hamas garde toujours la main haute pour tout accord possible, grâce à sa résistance et à la résistance du peuple palestinien. Cette résistance obligera tout le monde à stopper en fin de compte cette affreuse agression et à lever le blocus imposé sur le peuple palestinien.
Rapport stratégique réalisé par le Centre Palestinien d’Information (CPI), pendant la guerre israélienne menée par les occupants israéliens contre la bande de Gaza, à partir du 27 décembre 2008. Ont participé à sa préparation Bachar Saïd, Nahed Abou Khaled, Osama Achqar et Ahmed Al-Hila.
Résumé et traduit de l’arabe par le département français.
Quand le Sheykh Ali Benhadj sabote le terrorisme de la France-Israel a Alger...
Ali Benhadj à Racines d’Outre-Med’
« Bouteflika fait comme Olmert en protégeant ses généraux des poursuites judiciaires pour crimes contre l’humanité »
Le cheikh Ali Benhadj est véritable cauchemar pour le régime d’Alger. Il promet de se porter candidat à la présidence de la république. Voilà de quoi inquiéter sérieusement Bouteflika et ses mentors. Car, au cas où celui qui souhaite succéder à lui-même au palais d’El-Mouradia oserait permettre à Ali Benhadj de jouir de son droit constitutionnel en acceptant de se mesurer à lui, il y a fort à parier que Bouteflika risque fort de laisser des plumes. Il suffit que tous ceux qui se disent contre Bouteflika soutiennent la candidature de Benhadj en faisant du « tout sauf Bouteflika » leur sacerdoce, l’Algérie connaîtra alors un véritable bouleversement par la chute d’un régime agonisant.
A une des questions posée par les lecteurs de d’Outre-Med’, dont nous publierons l’intégralité des réponses, prochainement, Ali Benhadj a assuré qu’il ira au ministère de l’intérieur retirer le dossier de candidature à la magistrature suprême. « C’est un droit constitutionnel dont jouissent tous les citoyens et il n’y a aucune décision de justice qui m’empêche d’en user »
Invité de livrer son opinion sur la candidature de Bouteflika, le numéro 2 du FIS rappelle que « jusqu’à l’heure actuelle l’actuel président de la république n’a pas annoncé son intention de se porter candidat pour un troisième mandat. Plutôt c’est la coalition gouvernementale qui tente par tous les moyens de l’inviter à présenter sa candidature.
Cette coalition, pourtant, ne représente rien pour le peuple algérien. Les dernières élections locales et législatives prouvent de manière indéniable qu’elle n’a aucun enracinement populaire. Même si les médias et particulièrement la chaîne unique de la télévision cherchent à donner à cette coalition une ampleur qu’elle ne possède pas.
D’autre part, ajoute Ali Benhadj, l’actuel président n’a pas honoré, au cours des deux mandats, les promesses faites au peuple. Il n’a pas non plus résolu la crise politiquement. Il a plutôt donné une immunité aux généraux qui s’étaient retournés contre la volonté du peuple. Il leur a assuré une protection qui les met à l’abri des poursuites judiciaires. Ces actes sont considérés comme des crimes passibles des tribunaux. C’est peut être pour cette raison que lors du dernier amendement de la constitution, il n’a pas jugé utile d’actionner la cour suprême qui est habilitée constitutionnellement de juger le président de la république et les hauts responsables de l’état.
Nous ne sommes pas d’accord pour que l’actuel président brigue un troisième mandat pour différentes raisons. D’abord, pour avoir non seulement mis sur le même pied d’égalité le bourreau et la victime mais il a été plus loin en octroyant aux putschistes une immunité comme l’a fait Ehud Olmert pour ses généraux qui ont commis des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre.
S’il avait du courage, il aurait imposé la solution politique équitable à cette crise qui dure encore et dont nous vivons à ce jours ses effets à travers les disparus, les personnes enlevées de force, les orphelins, les veuves et les problèmes sociaux que vivent les milliers de personnes qui ont accepté de déposer les armes dans le cadre de la politique de la concorde et de la réconciliation nationale. Ces gens s’aperçoivent qu’ils ont été trahis et trompés.
Ensuite, ce président a monopolisé pour lui et ses alliés le plus grand média alors qu’il devait laisser ceux qui boycottent les élections le droit d’intervenir à la télévision afin que le peuple puisse entendre l’autre son de cloche. Comme cela se passe dans les pays qui respectent le pluralisme politique, médiatique et syndical.
D’autres aspects concernant cette présidentielle que nous ne manquerons pas d’aborder en temps opportun si Dieu nous prête vie. »
Nous reviendrons prochainement sur cet entretien que nous a accordé le cheikh Ali Benhadj en répondant aux lecteurs de Racines d’Outre-Med’ et qui a duré cinq heures et demie. Un entretien dans lequel le cheikh Ali Benhadj fait beaucoup de révélations fort intéressantes.
Hichem ABOUD
Le 28/01/2009
« Bouteflika fait comme Olmert en protégeant ses généraux des poursuites judiciaires pour crimes contre l’humanité »
Le cheikh Ali Benhadj est véritable cauchemar pour le régime d’Alger. Il promet de se porter candidat à la présidence de la république. Voilà de quoi inquiéter sérieusement Bouteflika et ses mentors. Car, au cas où celui qui souhaite succéder à lui-même au palais d’El-Mouradia oserait permettre à Ali Benhadj de jouir de son droit constitutionnel en acceptant de se mesurer à lui, il y a fort à parier que Bouteflika risque fort de laisser des plumes. Il suffit que tous ceux qui se disent contre Bouteflika soutiennent la candidature de Benhadj en faisant du « tout sauf Bouteflika » leur sacerdoce, l’Algérie connaîtra alors un véritable bouleversement par la chute d’un régime agonisant.
A une des questions posée par les lecteurs de d’Outre-Med’, dont nous publierons l’intégralité des réponses, prochainement, Ali Benhadj a assuré qu’il ira au ministère de l’intérieur retirer le dossier de candidature à la magistrature suprême. « C’est un droit constitutionnel dont jouissent tous les citoyens et il n’y a aucune décision de justice qui m’empêche d’en user »
Invité de livrer son opinion sur la candidature de Bouteflika, le numéro 2 du FIS rappelle que « jusqu’à l’heure actuelle l’actuel président de la république n’a pas annoncé son intention de se porter candidat pour un troisième mandat. Plutôt c’est la coalition gouvernementale qui tente par tous les moyens de l’inviter à présenter sa candidature.
Cette coalition, pourtant, ne représente rien pour le peuple algérien. Les dernières élections locales et législatives prouvent de manière indéniable qu’elle n’a aucun enracinement populaire. Même si les médias et particulièrement la chaîne unique de la télévision cherchent à donner à cette coalition une ampleur qu’elle ne possède pas.
D’autre part, ajoute Ali Benhadj, l’actuel président n’a pas honoré, au cours des deux mandats, les promesses faites au peuple. Il n’a pas non plus résolu la crise politiquement. Il a plutôt donné une immunité aux généraux qui s’étaient retournés contre la volonté du peuple. Il leur a assuré une protection qui les met à l’abri des poursuites judiciaires. Ces actes sont considérés comme des crimes passibles des tribunaux. C’est peut être pour cette raison que lors du dernier amendement de la constitution, il n’a pas jugé utile d’actionner la cour suprême qui est habilitée constitutionnellement de juger le président de la république et les hauts responsables de l’état.
Nous ne sommes pas d’accord pour que l’actuel président brigue un troisième mandat pour différentes raisons. D’abord, pour avoir non seulement mis sur le même pied d’égalité le bourreau et la victime mais il a été plus loin en octroyant aux putschistes une immunité comme l’a fait Ehud Olmert pour ses généraux qui ont commis des crimes contre l’humanité et des crimes de guerre.
S’il avait du courage, il aurait imposé la solution politique équitable à cette crise qui dure encore et dont nous vivons à ce jours ses effets à travers les disparus, les personnes enlevées de force, les orphelins, les veuves et les problèmes sociaux que vivent les milliers de personnes qui ont accepté de déposer les armes dans le cadre de la politique de la concorde et de la réconciliation nationale. Ces gens s’aperçoivent qu’ils ont été trahis et trompés.
Ensuite, ce président a monopolisé pour lui et ses alliés le plus grand média alors qu’il devait laisser ceux qui boycottent les élections le droit d’intervenir à la télévision afin que le peuple puisse entendre l’autre son de cloche. Comme cela se passe dans les pays qui respectent le pluralisme politique, médiatique et syndical.
D’autres aspects concernant cette présidentielle que nous ne manquerons pas d’aborder en temps opportun si Dieu nous prête vie. »
Nous reviendrons prochainement sur cet entretien que nous a accordé le cheikh Ali Benhadj en répondant aux lecteurs de Racines d’Outre-Med’ et qui a duré cinq heures et demie. Un entretien dans lequel le cheikh Ali Benhadj fait beaucoup de révélations fort intéressantes.
Hichem ABOUD
Le 28/01/2009
2 comments:
cheickh ben hadj lui aussi c'est qu'il été ta victime il ne te fréquentera jamais il est allergique aux traitre que tu es!!!
juifs-sionistes français supportent avec enthousiasme mais jamais sans arrière pensée.
1- On leurs déroule le tapis rouge et on leurs fournie tout les moyens matériels permettant la promotion de leurs supposées "révélations" contre l'Algérie, leur faisant assumer le rôle d'idiots utiles que les harkis remplissaient il y a 50 ans.
2-Leurs associations avec les mouvements "Démoncratiques" affiliés
aux ONG gérées par la haute hiérarchie sioniste, chapeautée par les Kissinger-Soros-Breizjensky.
A leur tête (2 exemples):
-la presse "indépendante", (El Watan) et,
-"Human Watch" (l'outil des sionistes-juifs utilisé pour cibler les pays qui veulent assumer leur indépendance face au diktat judéo-sioniste installé aux USA).
3-Leur soutien aux criminels et psychopathes du FIS, Ali Belhadj et consorts qui dévoile leur entêtement à détruire l'Algérie en opposition à la main tendue de la concorde nationale qu'ils rejettent sournoisement prétextant des arguments imaginaires qui contredisent leurs déclarations d'adhésion au dogme de la "Sunna et du Coran" préférant celui de la "vengeance et de la rancune" propre aux mœurs des ignorants et hypocrites de la "jahilia" et du rite wahabiste sectaire.
Comparez leurs comportements à celui
digne et honorable de Bouteflika qui n'a jamais fait de déclaration préjudiciable contre son pays lors de son exil politique forcé !
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Ghaza ne croit pas aux larmes, et ne se nourrit pas de paroles
Ils sont des millions à sortir dans les rues un peu partout dans le monde
pour dénoncer l’agression barbare israélienne. Ils sont par millions à écrire,
discourir et crier haut et fort pour s’indigner des crimes de guerre commis
par la soldatesque israélienne. Ils sont des millions
à manifester par le verbe leur soutien aux populations de Ghaza la martyre.
Mais est-ce suffisant pour reconstruire Ghaza, nourrir se populations
et poursuivre devant les juridictions internationales les criminels de guerre ?
Non, ce n’est guère suffisant pour ne pas dire que tout cela est insignifiant
si l’on ne joint pas l’acte à la parole.
Pour que le soutien aux populations de Ghaza soit réel et concret une fondation
vient de naître. Elle a pour nom « Pour que la mémoire ne meure pas ».
Elle fixe la libération de la Palestine comme la priorité des priorités.
Cette fondation a besoin de l’aide de toutes les femmes et des hommes sincères
qui comprennent bien que Ghaza ne se nourrit pas de paroles et que la libération
de la Palestine ne se fera pas par le verbe quelle que soit sa verve.
Alors que le nerf de la guerre manque à Ghaza,
l’argent des arabes sert à acheter Robinhio pour l’équipe de football
de Manchester City et de proposer un salaire insultant à l’effort à un jouer
de football qui refuse de manger de ce pain.
L’argent des arabes sert à construire des stades aux clubs de football britanniques
qui ne sont guère dans le besoin. Tout comme il sert à offrir des parures
en diamants aux prostituées qui écument les grands palaces parisiens.
Les peuples qui ont bravé les interdictions de leurs gouvernants et ceux qui
sont spontanément sortis crier leur douleur n’ont certainement pas les fortunes
des émirs et des milliardaires arabes, mais aussi dérisoire la somme qu’ils verseront
sur le compte bancaire de la fondation « Pour que ne meure pas la mémoire »,
elle constituera une gifle aux émirs des de pacotilles et un soutien
réel au peuple de Ghaza.
Envoyez vos dons aussi minimes soient-ils au compte bancaire suivant :
Banque du Liban et d’Outre mer
Wa Djazakum Allah kheyren pour tout aide que vous fournirez.
Voleurs et squatters terroristes sionistes continuent à assassiner les Palestiniens
Après avoir volé les terres palestiniennes, tué des centaines de milliers de Palestiniens, hommes, femmes, enfants et bébés compris, et fait des millions de réfugiés, les Européens juifs-sionistes ont créé, en 1948, avec la complicité des Nations Unies, et contre la volonté des Palestiniens, un état illégal en Palestine appelé Israël. Pendant plus de 60 années, le vol et le squat des terres, et les massacres froidement exécutés du peuple palestinien continuent toujours sous le regard hypocrite des Nations Unies et des régimes arabes contrôlés par les Etats-Unis et Israël.
Le nettoyage ethnique, les holocaustes et l'exode des Palestiniens 1946-2005
Holocaustes, nettoyage ethnique et exode
La Palestine est une terre sacrée qui, avant 1948, comptait 90% de Musulmans, 5% de Chrétiens et 5% de Juifs, majoritairement de souches arabes Elle était occupée illégalement par les impérialistes britanniques qui, durant les années précédant, pendant, et suivant la Seconde Guerre mondiale, avaient déjà importé des centaines de milliers d'Européens juifs militants pour squatter sur les terres palestiniennes et pour attaquer ses propriétaires légitimes. En 1947, contre la volonté des Palestiniens, l'Organisation des Nations Unies avait illégalement approuvé un plan pour sauvagement découper la Palestine en donnant les meilleurs 55% de terres palestiniennes aux envahisseurs et terroristes juifs. Armée d’un tel soutien, l'armée juive a envahi la Palestine en 1948 tandis qu'elle était sous la ‘protection’ britannique. La Grande-Bretagne, ayant contribué à la défaite de la plus grande armée en Europe, celle d'Adolphe Hitler, prétendait être impuissante contre l'attaque juive en les laissant prendre possession de la Palestine et commettre une boucherie du peuple palestinien et les expulsant de leurs maisons et de leurs terres. Il ne fait aucun doute que la Grande-Bretagne était complice. Dans un délai de moins de trois ans, Israël a bâti une armée bien plus entraînée, mieux équipée et plus puissante que toutes les nations arabes réunies.
Le Retour de Deir Yassin
La Palestine a été divisée entre Israël, la Cisjordanie et Ghazza. Les occupants israéliens et leurs défenseurs se réfèrent à la Cisjordanie et à Ghazza comme les ‘Territoires Palestiniens’, mais, qui sont également sous occupation israélienne. Né à Brest-Litovsk (maintenant Brest Belarus), le terroriste juif-sioniste Menahem Begin de Irgun, qui devint plus tard Premier Ministre d’Israël, est reconnu pour les atrocités commises contre les Palestiniens. À la différence des Juifs non-sionistes, le terrorisme se trouve au coeur de l'idéologie juive-sioniste basée sur le Talmud. Afin d'essayer de traumatiser les Palestiniens et les subjuguer, en 1948, (l'année où Israël fut créé en Palestine), les terroristes d'Irgun et de Lehi violaient les filles et les femmes avant de décimer la population entière (hommes, femmes, enfants et bébés) du village arabe de Deir Yassin en Palestine. Cette stratégie sioniste a été conçue pour être l’objet d’une leçon aux Palestiniens qui ont été avertis qu'ils subiraient le même sort s’ils montaient une résistance contre les Sionistes. Tandis que les occupants britanniques, qui étaient effectivement la branche juive de l'armée britannique, désarmaient les Palestiniens, les Sionistes ont été armés jusqu’aux dents. Effrayés et terrorisés, bien de Palestiniens d'autres villages se sont enfuis pendant que les Sionistes rasaient leurs maisons. [ref. Auteur israélien Simha Flapan, « La naissance d'Israël »]. Les chefs israéliens se sont vantés que s'il n'y avait pas de Deir Yassin, il n’y aurait eu aucune Israël !
Selon la Convention de Genève, les Palestiniens ont le droit de se défendre contre l’occupation et la terreur. Alors que l’OLP sous Yasser Arafat était inefficace contre les féroces Israéliens, Hamas est un mouvement de résistance palestinien créé en 1987 par le Sheik paraplégique Ahmed Yassin, après 40 ans d’occupation sans cesse expansionniste des Sionistes et les massacres perpétrés par eux sans la paix en vue. Bien que Sheik Yassin fut assassiné par les Israéliens en mars 2004, Hamas a survécu. À noter que HAMAS était originalement soutenue par Israël contre les ‘terroristes’ de l’OLP de Yasser Arafat. HAMAS est un acronyme de Al-Islāmiyyah d'Al-Muqāwamat al-Ḥarakat, signifiant « Le Mouvement de Résistance Islamique », et, sous contrôle international, elle a été démocratiquement élue par les Palestiniens dans le but de libérer leur pays. Tandis que les pays européens de l’ouest se prétendent séculiers et laïque (dans le cas de la France), ils soutiennent entièrement, financièrement et militairement, un état juif illégal dans la Palestine, et ils sont contre tout état islamique sous n’importe quelle forme que ce soit en Palestine comme ailleurs. Leur stratégie est de diaboliser tout mouvement islamique les qualifiant d’`islamistes', un terme inconnu en Islam, et comme « terroristes », et d'employer cette forme de propagande pour justifier leurs atrocités comme nous en sommes témoins à Ghazza en Palestine.
Dotée d’un arsenal nucléaire, Israël commet des crimes horrifiques contre les Palestiniens par des bombardements aveugles et l'utilisation des bombes à uranium et au phosphore. Les bombes à uranium sont rendus ‘acceptables’ en les décrivant comme de l’uranium ‘appauvri’. Tandis qu’Israël et ses complices veulent que Hamas désarme, les Israéliens sont armés jusqu’aux dents et, lors de leurs attaques contre les Palestiniens de Ghazza par air, mer et terre, pendant 22 jours à partir du 27 décembre 2008, ils se servent des mêmes méthodes employées à Deir Yassin en 1948, pour recréer cette terreur dans les esprits des Palestiniens de sorte qu'ils puissent finalement se soumettre aux exigences des occupants et abandonner leurs terres. Les terroristes israéliens ont déjà assassiné environ 1400 hommes, femmes, enfants et bébés pendant les trois semaines de bombardements implacables avec l'ONU, comme d'habitude, ne prenant aucune mesure énergique, ce qui n’est qu’une répétition de leur politique de deux poids et deux mesures comme nous l’a été démontré lors des génocides en Bosnie-Herzégovine, au Rwanda, Tchétchénie et en Irak.
Dans une interview téléphonique avec Daryl Bradford Smith, le 6 janvier 2009, Riah Hanna Abu El-Assal, Évêque arabe palestinien de Jérusalem, a dit que l'enseignement talmudique européen (dont le Sionisme s’inspire) selon lequel les Palestiniens n'ont aucun droit de vivre dans leur patrie est « une idée idiote et ne se réalisera jamais ». Il dit que le nombre de Palestiniens en Terre Sainte (La Palestine) s’élève aujourd'hui à environ 4.5 à 5 millions de personnes, et qu’« aucun d’eux ne quitterait la Palestine ». En outre, il nous rappelle qu'il est bien connu que Menahem Begin chuchota à l’oreille du Président Jimmy Carter des USA que les « Palestiniens étaient les êtres sous-humains ». Les occupants israéliens sont endoctrinés par cette propagande pour faciliter la tuerie de ces goyim (animaux). Les massacres de Deir Yassin ont été répétés plusieurs fois depuis 1947, et le carnage continue.
« Le Sionisme en un mot »
« L'état juif pourrait servir comme un rempart entre l'Europe et l'Asie, un avant-poste de la civilisation contre la barbarie. » Theodor Herzl 1886, fondateur de l’Organisation Sioniste Mondiale.
« Le sionisme est une aventure de colonisation, donc, sa réussite ou son échec ne repose que sur la force des armes. Il est important… de parler hébreu, mais, malheureusement, il est bien plus important de savoir utiliser une arme», Vladimir Jabotinsky 1923, fondateur du Sionisme Révisionniste.
« Il n'y avait pas une telle chose que les Palestiniens, ils n'ont jamais existé. » Golda Maier 1969, P.M. Israélien.
« « Les Palestiniens » seraient écrasés comme des sauterelles… leurs têtes écrasées contre les rochers et les murs. » Yitzhak Shamir, Premier Ministre Israélien, lors d’un discours aux colons israéliens (squatters), New York Times, 1er avril 1988.
« À chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l'Amérique fera ceci et cela … je veux vous dire quelque chose très clairement : Ne vous inquiétez pas de la pression américaine sur Israël. Nous, les Israéliens, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. » Ariel Sharon le 3 octobre 2001, radio de Kol Yisrael.
Impuissance des Nations Unies
L'Arabie a été sous l’occupation occidentale depuis la chute du Khilafah ottoman en 1923. Les Britanniques avaient mis la famille Saud pour diriger le pays pour eux et pour l'occident, et ils se réfèrent aux Arabes de l'Arabie comme des `Saudiens', ce qui est une insulte à tous les Arabes. L’Égypte, qui a une majorité musulmane, a été neutralisée en 1981, par le meurtre d’Anwar El Sadat, un musulman, afin de le remplacer par un dictateur au nom de Hosni Mubarak qui est un agent européen et un traître. C'est une honte que Nelson Mandela (un ancien combattant de la liberté contre l’apartheid sud-africain) garde le silence sur le régime apartheid israélien et l'holocauste des Palestiniennes qui est en cours. Comme d'habitude, les Nations Unies sionisées passeraient résolution après résolution, mais elles n'ont jamais aidé les Palestiniens à regagner leur liberté et à reprendre leurs terres. Israël n'a jamais obéi aux ordres de l'ONU, pourquoi devrait-elle le faire maintenant ? L'action militaire concertée semble être la seule solution pour arrêter les massacres des Palestiniens et les libérer de la terreur israélienne. Les mêmes Nations Unies étaient inefficaces contre l’Afrique de Sud de l’Apartheid, mais très efficaces contre l'Irak en désarmant le pays afin de faciliter l'invasion sioniste. Si les troupes de l'ONU sont au Sud Liban, ce n'est certainement pas pour protéger les Libanais. La raison pour laquelle elles n'envoient pas de troupes en Palestine est parce qu'elles ne sont pas intéressées à protéger les Palestiniens contre l’occupation et la terreur. En vérité, ils veulent que les Palestiniens désarment tout en laissant les occupants Sionistes armés jusqu’aux dents.
Le « nazisme » de la BBC
L’histoire se souviendra de la collaboration de la BBC avec ce que le philosophe juif orthodoxe israélien Yeshayahu Leibowitz a appelé, il y a cela plus de trente ans, les Judéo-Nazis d’Israël ou encore ceux que le législateur britannique, un juif orthodoxe, Sir Gerald Kaufman, vient de qualifier de nazis et de criminels de guerre durant la cession du Parlement du 15 janvier 2009 (vidéos disponibles sur l’Internet). La BBC et la chaîne télévision Sky ont agi sous ordre des Judéo-Nazis en boycottant la transmission de la « Gaza Charity Appeal » de la « Disasters Emergency Committee (DEC) » (Comité d’urgence de Désastres) parce que l’État judéo-nazi d’Israël est responsable du nouvel génocide. Le Juif Mark LeVine, professeur d’histoire sur le Moyen Orient à l’Université de Californie, Irvine, précise que c’est bien Israël qui a violé le cessez-le-feu et est responsable de l'escalade après que Israël ait tué six membres de Hamas le 4 novembre 2008 sans provocation et puis placé Ghazza entièrement sous un siège bien plus intensif le jour suivant. [Ref. « Qui sauvera l'Israël de lui-même ? », Mark LeVine, 13 janvier 2009]. L’attaque contre les Palestiniens de Ghazza fut planifiée plus de six moins avant le 27 décembre 2008.
Conclusion
Ceux qui disent qu’Israël a le droit de se défendre mettent la charrue devant les bœufs. En fait, ce sont les Palestiniens qui ont le droit de se défendre contre l’occupation et la terreur des Israéliens, et le droit de reprendre leurs terres volées par ces derniers. Ceux qui disent que les Palestiniens doivent désarmer (quand ils sont à peine armés de toute façon) ont pareillement intériorisé la propagande sioniste puisqu'ils devraient inviter Israël à renoncer à la violence, à désarmer et à détruire ses armes nucléaires dans un pays qu'elle a occupé et volé. Israël est connue comme le plus grand et le plus cruel des squats au monde. De plus en plus de squatting en guise de ‘colonies’ est une occurrence régulière. Quand on parle d’Israël, Robert Fisk a raison de demander de quelle Israël s’agit-il, l'Israël de 1948 ou de 1967 ? [The Independent, 16 juin 2007]. Les non-Palestiniens ne sont pas en mesure de dire aux Palestiniens qui ils devraient et qui ils ne devraient pas accepter dans leur pays. Le monde civilisé devrait offrir toute l’aide dont les Palestiniens ont besoin afin de survivre leur extinction planifiée comme prévue par Golda Maier et d'autres Israéliens avec l'appui de l'occident européen, et de libérer la Palestine des griffes de la terreur sioniste. Le meurtre des enfants et des bébés est un trait caractéristique inhérent de la terreur sioniste car il les perçoit comme des combattants potentiels de la liberté.
L'Israélienne Victoria Buch a dit : « Je suis arrivée en Israël, il y a 40 ans de cela. Cela m'a pris beaucoup d'années pour comprendre que l'existence même de mon pays, comme elle est aujourd'hui, est fondée sur un nettoyage ethnique continu des Palestiniens. Le projet a commencé il y a de nombreuses années. Son origine a graine peut être retracée à une erreur fondamentale du mouvement sioniste, qui est parti pour établir un état national-juif dans un endroit déjà habité par une autre nation. » (6 janvier 2009, « Counterpunch »). À noter que les Juifs authentiques non-Sionistes, y compris de nombreux Rabbins (réf. Natureikarta), veulent le démantèlement de ce qu'ils appellent l'état « anti-Juif » tout en attendant l'arrivée de leur Messie.
M Rafic Soormally
Londres
Traduit et mise à jour le 24 janvier 2009
« Victory to the Palestinian Resistance », says British MP George Galloway
In his 08 January 2009 speech on « Victory to the Palestinian Resistance » held prior to the anti-Israeli occupation of Palestine and the stop the murder of Palestinians in Gaza rally on Saturday 10 January 2009, British MP George Galloway denounced the BBC, which he refers to as the « Bush & Blair Corporation » and as the English language arm of the Israeli attackers in Gaza. He asks why every Palestinian fighter is regarded as a militant when these people are the legitimate armed forces of the elected government of Palestine. He said that they would have needed no tunnels « if they were receiving right off the assembly lines of the arms manufacturers of the United States and Great Britain the latest armoury to murder people with ».
Mr Galloway said he did not believe the British government « understands the terrifying risks that it is running with the policy that it is pursuing », and pointed out that the government is « always looking for some Muslim cleric to ban, some Muslim organisation to proscribe, some hapless Imam to blame for the radicalisation of Muslim youths ». He went on to ask « How radical do you think Muslims in Britain are feeling after two whole weeks of watching this slaughter in Palestine ».
He complained that it took the British government three days to say that there should be a ceasefire, and said : « I’ll tell you the ceasefire they mean. They mean a ceasefire that sees the surrender of the legitimate resistance of the Palestinian people, the destruction of their ability to resist any further. The only moderate Palestinian for the British government is a Palestinian who follows Israel’s orders. I’ll tell you this, the ceasefire they have in mind is a surrender, and the Palestinian people will never surrender. Victory for the Palestinian Resistance. Victory for the Palestinian Resistance. »
While referring to the (disputed) figure of six million Jewish Europeans who were killed amongst millions of others by the Nazis in what became known as the « holocaust », Mr Galloway said : « It was the Deputy Defence Minister [Matan Vilnai] of Israel itself who promised the Palestinians a shoah, a holocaust, just a few months ago [..]. The people of Gaza are in exactly the position that the Jews in the Warsaw ghetto were in the early summer of 1943. We are not saying that the Israelis are Nazis, we are not saying that. But collective punishment of a captive population is a Nazi tactic which should be ceased without delay. »
Mr Galloway echoed the words of John Rees at a anti-occupation demonstration the previous Saturday, as follows : « The road to the liberation of Jerusalem runs through Cairo. There is no possibility of this small Palestinian people resisting this behemoth. There is no possibility of them liberating their country as long as the puppet presidents and the corrupt kings who rule the Arab world almost without exception from one end to the other continue to rule. So, I say now again what I said on Saturday. It’s time for the great people of Egypt, the people of Abdel Nasser, the people of the victories of 1973, to rise up and sweep away the tyrant Mubarak the collaborator, Mubarak the accomplice, the murderer Mubarak. The great name of Egypt is being dragged through the mud by this 99.9 percent of the vote dictator, and it’s time for everyone to say that the tyrant must fall. [..]. We have to help these Palestinians who have been abandoned by virtually everyone else. »
Finally, he said : « Do you know that in the Westfield Shopping Centre, in Blue Water, in the shopping centres all round Greater London, there are people who have set up inside something called the Israel Shop which has stolen goods grown on stolen land on sale, and people moving amongst the crowd talking to them about how Israel has made the desert bloom. We have to march, yes, but we have to target Israeli products in every shop that’s selling them and wipe this curse out of our retail cycle. The anti-Apartheid movement was victorious between the hammer of the resistance of the African National Congress and the anvil of an educated, motivated mass movement of people all around the world. That’s our job. Thank you very much. »
Hyde Park Speech
In his speech at Hyde Park at the demonstration against Zionist occupation of Palestine on 10th January 2009, Mr Galloway also had this to say:
« I want one image to stay in your mind from what I have to say today, it’s from the village on the edge of Gaza City called Zeituna where for four days the dead laid unburied and the wounded untreated as Israel refused to allow the medical services to reach them. When they got there, they found dead babies sucking on the toes of their dead mothers. Keep that picture in your mind ... »
M Rafic Soormally
London
13 January 2009
ABOUT GEORGE GALLOWAY
George Galloway, a Respect MP, was one of the 2 million anti-war protestors marching in London before the invasion of Iraq, and was a fierce critic of the Labour policy of war when he was a Labour MP. He was expelled from the Labour Party in October 2003 because of his strong opposition to the invasion of Iraq.
It is well-known that because of Mr Galloway’s outspoken views denouncing the corruption and crimes perpetrated by the imperialism of the British and the Americans and their support for Zionist terrorism, the authorities are trying, so far without success, to frame him like they have framed so many others. This is a well-known fascist strategy to silence those who are exposing the truth which governments want to suppress. Many of those who denounced South African Apartheid suffered the same fate, and were even murdered by the Apartheid authorities.
Pro-Zionist islamophobe Trevor Kavanagh of the gutter press which is The Sun newspaper and part of the Zionist-controlled Murdoch Empire falsely alleged that President Ahmadinejad wished to “wipe Israel off the map”. This was proven to be a fabricated quote. In his 2003 article “Paid to be a Traitor”, Kavanagh claimed that Galloway was an “employee of Saddam’s sadistic machine” and stole “£375,000-a-year from the impoverished Iraqi people”. The courts dismissed those fabricated allegations.
Jewish Paul Volcker, former Chairman of the US Federal Reserve, another notorious pro-Israel Zionist also made wild claims against Mr Galloway regarding an alleged allocation of an alleged 18 million barrels of Iraqi oil which allegedly benefited him. In fact, in the International Herald Tribune, the global edition of the New York Times dated 13th of May 2005, Alan Cowell reported : « In a report published Thursday in Washington, the Senate's Permanent Subcommittee on Investigations charged that Galloway and Charles Pasqua, a former French interior minister, had been "granted substantial oil allocations from the Hussein regime under the UN Oil for Food Program." ». Mr Galloway strenuously denied the allegations and said « I have never traded or benefited from any oil deals with Iraq. » He told the Jewish Republican Senator Norm Coleman, who accused him of perjury, to « put up or shut up » by bringing a prosecution or dropping the charges. [The Guardian, 25 October 2005, “Galloway rejects senate perjury claims”]. He accused Coleman and other pro-war politicians of covering up the theft of billion of dollars of Iraq’s wealth in post-invasion Iraq.
The British Government had close ties with the Iraqi government of Saddam Hussein, who was their ally. By meeting Saddam Hussein, George Galloway did not break any law. In fact, he pointed out before the US Senate that he met Saddam Hussein the same number of times as Donald Rumsfeld, the difference being that Rumsfeld met him to sell guns while he (Galloway) met him to find a way to end sanctions, suffering and war.
Mr Galloway also won, in 2005, £150,000 in libel damages against the Telegraph for publishing in 2003 documents alleging that he asked for an increase of oil allocation. The Telegraph appealed and lost, and leave of appeal to the House of Lords was refused. Agreeing with the trial Judge Mr Justice Eady, the three Appeal Court Judges stated : « "It appears to us that the newspaper was not merely reporting what the Baghdad documents said but... it both adopted and embellished them. It was alleging that Mr Galloway took money from the Iraqi oil-for-food programme for personal gain. That was not a mere repeat of the documents, which in our view did not, or did not clearly, make such an allegation". »
Similar investigations in the US claimed that there were WMD in Iraq, that Native Americans and Blacks were next to animals, that AIDS is an African disease, that Zionists are a superior people, and more and more lies. They suppress the fact that HAMAS is a lawful political party elected to free the Palestinian people from occupation.
George Galloway is an intelligent, duly elected, courageous and influential British politician, and his words carry weight around the world.
France sent secretly 100 soldiers in Rafah to help Israel : Sarkosy has 24 hours in his hand to call back his zionist mercenaries
Abu Suleyman
http://islamic-intelligence.blogspot.com/
A bâtons rompus avec le cheikh Ali Benhadj
Nous poursuivons la publication de l’entretien accordée par le cheikh Ali Benhadj à Hichem ABOUD.
11/ Pourquoi ne délaissez-vous pas votre discours religieux en optant pour un discours plus généraliste et ouvert sur la base des forces démocratiques qui ne sont pas en accord avec des leaders qui ménagent le pouvoir ?
Chaque formation politique possède son programme et son indépendance. Sinon le multipartisme n’aurait plus de sens. Le multipartisme impose l’existence de projets, d’idées et de visions diverses mais qui versent tous dans l’intérêt du pays et du peuple.
Le problème réside dans le régime politique pourri qui veut d’un multipartisme de façade pour tromper le peuple à l’intérieur et montrer sur la scène internationale un visage acceptable alors qu’en vérité il est hideux.
La coalition nationale est le parfait exemple de cette supercherie. Est-il raisonnable que des partis qui activent dans le cadre du multipartisme acceptent de se dissoudre complètement dans le programme aux contours obscurs du président de la république. Où est l’indépendance des partis politiques ?
Donc, Il n’y a pas de multipartisme réel en Algérie. Il y a un parti unique à têtes multiples.
12/ Envisagez-vous de présenter votre candidature à la prochaine présidentielle ?
Il est de mon droit politique et de mon droit civique de me porter candidat à la présidentielle. Je retirerais le formulaire de candidature et c’est aux frères de décider par la suite si je dois me porter candidat ou non.
13/ Mais, vous êtes privé de vos droits civiques et politiques.
Qui m’en a privé ?
14/ Le pouvoir
Lorsque j’ai été convoqué par un officier de la police judiciaire, il m’a été dit que les manifestations publiques sont interdites parce que nous sommes sous l’état d’urgence. Je leur ai dit que l’état d’urgence, constitutionnellement, doit être prononcé par le président de la république. Et comme en 1992 le président de la république avait été démis c’est Haut Conseil à la Sécurité, qui est un organe consultatif, qui a prononcé l’état d’urgence en l’absence du président de la république et du président de l’Assemble Populaire Nationale.
Comment peut-on permettre à un organe consultatif de créer le Haut Conseil d’Etat ? Qui lui a octroyé constitutionnellement ce droit ? En conclusion, l’état d’urgence est illégal et anticonstitutionnel. Par conséquent, les marches populaires, les sit-in et les rassemblements populaires et manifestations publiques sont légales. C’est l’état d’urgence qui est illégal.
Si nous étions dans un état de droit, on aurait traduit en justice ceux qui ont prononcé l’état d’urgence et qui ont arrêté le processus électoral.
15/ Possédez-vous un passeport ?
J’ai demandé un passeport et il m’a été refusé. On m’a répondu « tu es interdit de passeport et seul le président de la république peut te l’accorder »
16/ Lui avez-vous écrit ?
Je lui ai écrit pour lui faire part d’une initiative générale qui englobe ma réhabilitation dans mes droits civiques et politiques.
16/ Pourquoi ne pas le contacter de nouveau ?
Le problème c’est l’article 26 de la loi sur la réconciliation nationale qui me prive de mes droits politiques et civiques. C’est un article illégal car il est en contradiction avec la constitution. Toute loi qui est en violation avec la constitution est nulle et non avenue. D’autre part, l’article 26 est vague et ne définit pas qui sont les personnes qu’il vise. Il laisse la porte ouverte à toutes les interprétations. Pourtant, il n’y a aucune décision de justice qui énonce clairement que je suis privé de mes doits politiques et civiques.
Cet article suffit à lui seul pour dire que la loi sur la réconciliation nationale est illégal et anticonstitutionnel. Des juristes et des hommes de loi la considèrent comme violation des droits de l’homme et des accords internationaux signés par l’Algérie.
17/ Certains vous accusent d’être le responsable de la violence et du drame que vit l’Algérie.
Je pense que c’est à la justice de déterminer la responsabilité de chacun et non pas les moyens d’information. En quoi serai-je responsable s’il y a une dichotomie qui s’est opérée entre les gouvernants et les gouvernées, entre le peuple et le pouvoir ? Tout comme s’est opérée, aujourd’hui, une dichotomie entre le peuple et els partis politiques toutes tendances confondues parce que ces partis ont privilégié leurs intérêts sur ceux du peuple.
Ceux qui me font porter la responsabilité de la crise raisonnent comme ceux qui accusent le HAMAS en Palestine d’être la cause de ce qui est arrivé à Ghaza. Il va sans dire qu’en raisonnant de la sorte on va accuser les 22 historiques qui ont déclenché la guerre de libération sont responsables de la mort de un million et demi de martyrs et moi, je les accuserai de la mort de mon père.
En Palestine, HAMAS est élu du peuple par contre les 22 historiques n’étaient pas élus. Alors, on ceux qui m’accusent de la responsabilité de la crise ne sont pas habilités de me juger.
18/ Donc, vous êtes privé de vos droits civiques et politiques de manière illégale. Et je crois que vous êtes même privé de vos droits sociaux puisqu’il ne vous est pas permis de travailler. De quoi vivez-vous ?
Sans doute, ma privation de mes droits sociaux est aussi illégale que celle de mes droits civiques et politiques. Tout comme la peine de 12 années de prison purgée et que l’ONU a demandé à l’Algérie de me dédommager. Le gouvernement algérien a refusé d’appliquer la décision de l’ONU en ce qui concerne mon rétablissement dans mes droits.
La subsistance est entre les mains de Dieu. J’ai des frères, des amis et de la famille qui m’aident. J’ai demandé à ce qu’il me soit permis de travailler et qu’on m’accorde un emploi même comme balayeur dans les rues pour gagner honnêtement ma vie. Quand on pousse un homme à tendre la main pour subvenir à ses besoins et aux besoins de sa famille, c’est qu’on veut toucher à sa dignité.
19/ Comment voyez-vous l’Algérie aujourd’hui ?
Il y a une grande colère populaire qui couve. Le régime est en totale déliquescence. Le peuple vit dans une grande caserne à ciel ouvert. La capitale est entourée de casernes, des barrages de police et des barrages militaires partout ainsi que des cités pour les hauts gradés de la police et de l’armée. Par contre, les subalternes de ces deux corps vivent les mêmes difficultés que le simple citoyen. Il arrive qu’on envoie un policier matraquer le peuple dans la journée et le soir il rentre dormir dans un bidonville.
Je sais ce qu’endurent les policiers et les djounoud de l’armée. Durant mes années de détention plusieurs de mes gardent se plaignaient à moi de leurs conditions de vie. La colère du peuple finira par éclater à la face de ce régime.
A suivre
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La France-yisrael panique, le sheykh Ali Benhadj aux portes du pouvoir
Ni les interpellations ni les conduites aux commissariats de police et ni les interdictions de ses droits civiques, politiques et sociales n’ont eu raison d’un homme qui a fini par imposer le respect à ses plus ardents adversaires, par son courage et son attachement à des principes pour lesquels il a payé 18 années de sa vie dans les geôles du pouvoir.
Ali Benhadj est toujours égal à lui-même. Il n’a pas changé et il ne changera, certainement, pas tant il a une foi inébranlable en sa cause. Tout homme honnête, de quelque bord politique qu’il soit, ne peut que s’incliner devant tant de courage. Même ses geôliers lui reconnaissent cette qualité qui les fait trembler en sa présence.
Lorsque je l’ai sollicité pour un entretien à bâtons rompus où il n’y a guère de place à la langue de bois et à la complaisance, le cheikh Ali Benhadj n’a pas hésité un seul instant pour donner son accord. Rares, les hommes politiques qui acceptent ce genre d’entretien. Il n’y a ni de questionnaire à envoyer pour étude ni de réserve sur telle ou telle autre question. Au journaliste de poser ses questions sans gêne aucune et à l’acteur politique de répondre sans ambages ni détour.
Aux lecteurs de juger après lecture. Tout comme je laisse la porte ouverte aux lecteurs pour poser leurs questions que je ne manquerai pas de transmettre à l’invité de Racines d’Outre-Med’ pour les prochaines parties. Commençons par lire la première partie.
Entretien réalisé par Hichem ABOUD
1/ Ces derniers temps, vous avez occupé les devants de la scène politique à la faveur des manifestations de soutien aux populations de Ghaza. Cela n’a pas été du goût du pouvoir qui n’a pas hésité à vous interpeller à chaque fois que vous vous joignez aux manifestants. Comment expliquez-vous ce que certains qualifient de harcèlement policier ?
Louange à Dieu et Prière et salut sur son prophète et sur ceux qui se sont alliés à lui. Je vous remercie pour cette invitation et je jure devant Dieu que je répondrai à vos questions avec toute la franchise qui m’a toujours caractérisé.
Pour ce qui est de ces interpellations dont j’ai fait l’objet ces derniers temps, je les qualifie d’arrestations arbitraires car injustifiées et contraires aux lois et aux accords internationaux du respect des droits de l’homme dont l’Algérie est signataire. Ces arrestations sont arbitraires en ce qu’elles sont une violation de la constitution qui garantit au citoyen le droit à l’expression et à la manifestation pacifique.
Ces arrestations ont pour but de restreindre la liberté d’action d’un homme opposant au régime et à se orientations. Ce régime déficitaire en matière de légitimité, comme tout autre régime illégal, n’a pas d’autres voies et moyens pour s’imposer que de recourir à ces pratiques policières.
2/ Bien que manquant de légitimité, comme vous le dites, le régime a réussi à s’arracher la sympathie des médias au point où toutes vos interpellations sont passées sous silence du fait de l’embargo médiatique qui vous a été imposé. Comment expliquez-vous cet embargo médiatique si ce n’est un soutien au régime ?
Cet embargo médiatique est une forme de répression que le régime impose à tout opposant qu’il soit islamiste, démocrate, laïc ou nationaliste. C’est la même conduite qu’adopte le pouvoir à l’encontre de tous ses opposants. Les exceptions sont rares.
3/ Mais même la presse privée qui n’est pas gouvernementale ignore les violations de vos droits en tant que citoyen.
La presse privée souffre de problèmes de dettes énormes et de problèmes administratifs. Si elle ouvrait son espace à un opposant politique elle fera l’objet de persécution et elle risque de disparaître sous prétexte de faillite commerciale.
Il y a un lien étroit entre la presse et la politique. Il ne vous échappe pas que le premier ministre Ahmed Ouyahia a déclaré au parlement qu’il n’y aura pas de tribunes médiatiques pour l’opposition. Il l’a dit avant l’arrivée de Belkhadem et l’a répété quand il lui a succédé.
Dans notre pays, il y a une multiplicité de journaux mais le contenu est le même. C’est une diversification formelle. Pourtant, dans un pays qui se réclame du multipartisme la presse doit couvrir les activités du pouvoir et de l’opposition.
4/ Prétendez-vous que vous faites peur à tout un pouvoir avec sa police, son armées et ses moyens répressifs ?
Je ne prétends pas faire peur au régime. Mais, la réalité est là. Tous mes mouvements sont surveillés. Toutes mes activités sont interdites. Il n’y a pas un seul opposant qui subit le dixième de ce que je subis.
5/ Et comment expliquez-vous ce traitement particulier qui vous est réservé ?
D’abord, il y a une explication tirée de la réalité. Nous étions un parti politique agréé et qui a remporté les élections municipales, wilayales et parlementaires. Ces victoires nous les devons à la mobilisation d’un très large pan de la société. Cette base populaire, Dieu soit loué, existe toujours. Donc, le pouvoir n’a pas peur d’un homme, mais du projet que porte l’homme. Un projet qui bénéficie de l’adhésion populaire.
6/ Pensez-vous que le FIS existe encore ?
On m’a souvent posé cette question. « Le Front a-t-il toujours une assise populaire ? » Je ne saurai répondre ni par l’affirmative ni par la négative. Car, si je réponds par l’affirmative c’est comme si on a cautionné politiquement le Front. Et si je réponds par la négative, c’est comme si je niais une réalité indéniable sur la scène politique et sociale.
Mais, si on veut vraiment connaître la vérité et si le pouvoir, qui dit que le FIS est fini, veut connaître le poids le poids de ce parti sur la scène politique, il n’a qu’à nous laisser participer aux élections communales, parlementaires et à la présidentielle. Ainsi, nous serons tous fixé sur l’influence du FIS sur la scène politique. Les urnes nous donneraient, alors, une réponse objective loin de toute considération partisane.
7/ Vous mettez le pouvoir au défi, n’est-ce pas ?
Oui, nous défions le pouvoir. Qu’il nous rende nous droits civiques et politiques et il verra ce dont nous sommes capables. Sans doute, si le pouvoir, grâce à ses moyens connus et ses services secrets, savait que le FIS a perdu toute influence populaire, il n’aurait pas hésité à nous donner l’agrément et nous inviter à activer politiquement en nous disons « venez, activez et mesurez votre poids politique réel. »
8/ Vous signez vos communiqués en votre qualité de vice-président du FIS. Mais nous ne voyons pas son président, le cheikh Abbassi Madani.
Le cheikh Abbassi Madani active et œuvre dans la limite de ses possibilités. Il y a à peine quelques jours il a fait une déclaration. Il n’y a pas longtemps, il a proposé une initiative pour la sortie de crise. Mais, le pouvoir l’a ignoré. Si cette proposition avait été acceptée on aurait trouvé une solution. Donc, le cheikh Abbassi Madani, active dans la limite de ses possibilités et que Dieu soit loué.
9/ Où est la direction du FIS ? On ne la voit plus.
Il y a ceux qui sont morts en martyrs comme Abdelkader Hachani et ceux assassinés dans des conditions obscures tels Mohammedi Saïd, Abderrezak Redjam et d’autres frères (que Dieu leur accorde sa miséricorde) Il y a ceux qui sont encore en vie, Dieu merci, nous nous rencontrons, nous discutons et nous débattons des différentes questions qui portent sur les intérêts du pays et du peuple. D’autres frères, ont choisi d’activer dans un autre cadre et ils sont libres de le faire.
10/ Comment expliquez-vous le silence de la direction du FIS sur la persécution dont vous faites l’objet de la part du régime ?
Il y a un travail médiatique et il y a un travail de terrain. Chacun œuvre dans son domaine. Et chaque action a son importance. Vous n’ignorez pas que le FIS est interdit officiellement. Et il n’est pas aisé pour une direction d’un parti politique d’œuvrer quand elle est l’objet de persécution et de poursuites policières.
A suivre
19/01/2008
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Another War, Another Defeat
John J. Mearsheimer
Israelis and their American supporters claim that Israel learned its lessons well from the disastrous 2006 Lebanon war and has devised a winning strategy for the present war against Hamas. Of course, when a ceasefire comes, Israel will declare victory. Don’t believe it. Israel has foolishly started another war it cannot win.
The campaign in Gaza is said to have two objectives: 1) to put an end to the rockets and mortars that Palestinians have been firing into southern Israel since it withdrew from Gaza in August 2005; 2) to restore Israel’s deterrent, which was said to be diminished by the Lebanon fiasco, by Israel’s withdrawal from Gaza, and by its inability to halt Iran’s nuclear program.
The key to achieving this is to inflict massive pain on the Palestinians so that they come to accept the fact that they are a defeated people and that Israel will be largely responsible for controlling their future. This strategy, which was first articulated by Ze’ev Jabotinsky in the 1920s and has heavily influenced Israeli policy since 1948, is commonly referred to as the “Iron Wall.”
Hamas responded by continuing to fire rockets and mortars into Israel, while emphasizing that they still sought a long-term ceasefire, perhaps lasting ten years or more. This was not a noble gesture on Hamas’s part: they sought a ceasefire because the balance of power heavily favored Israel. The Israelis had no interest in a ceasefire and merely intensified the economic pressure on Gaza. But in the late spring of 2008, pressure from Israelis living under the rocket attacks led the government to agree to a six-month ceasefire starting on June 19. That agreement, which formally ended on Dec. 19, immediately preceded the present war, which began on Dec. 27.
How did Israel behave during this same period? It continued arresting and assassinating Palestinians on the West Bank, and it continued the deadly blockade that was slowly strangling Gaza. Then on Nov. 4, as Americans voted for a new president, Israel attacked a tunnel inside Gaza and killed six Palestinians. It was the first major violation of the ceasefire, and the Palestinians—who had been “careful to maintain the ceasefire,” according to Israel’s Intelligence and Terrorism Information Center—responded by resuming rocket attacks.
This is wishful thinking. For starters, Israel is unlikely to stop the rocket fire for any appreciable period of time unless it agrees to open Gaza’s borders and stop arresting and killing Palestinians. Israelis talk about cutting off the supply of rockets and mortars into Gaza, but weapons will continue to come in via secret tunnels and ships that sneak through Israel’s naval blockade. It will also be impossible to police all of the goods sent into Gaza through legitimate channels.
Israel could try to conquer all of Gaza and lock the place down. That would probably stop the rocket attacks if Israel deployed a large enough force. But then the IDF would be bogged down in a costly occupation against a deeply hostile population. They would eventually have to leave, and the rocket fire would resume. And if Israel fails to stop the rocket fire and keep it stopped, as seems likely, its deterrent will be diminished, not strengthened.
DJIHAD : Gaza est un nouveau front comme l'Iraq ou l'Afghanistan, remercions la 'race superieure juive sioniste' pour son intelligence !!!!
Trêve ou reddition ?
Cela sous la forme d'une trêve unilatérale décrétée par lui, ne laissant d'autre alternative à la résistance palestinienne que celle d'accepter la capitulation et le fait accompli de la réoccupation de la bande de Ghaza par l'armée sioniste, en contrepartie de l'arrêt des opérations de massacre. Plan machiavélique dont les concepteurs, israélien mais aussi arabes et occidentaux, escomptent la réussite en tablant sur l'effet de terreur qu'ont eu les semaines de bombardements intensifs sur la population ghazaouie et l'horreur que suscite leur poursuite dans l'opinion internationale.
Qui en effet est moralement ou légitimement en situation d'expliquer à cette population et à cette opinion internationale que l'arrêt des massacres aux conditions mises par l'Etat hébreu à sa trêve unilatérale n'est qu'un leurre par lequel il cherche à piéger la résistance palestinienne et à neutraliser le puissant mouvement international de réprobation et de condamnation de son agression ?
Les premiers qui se déchaîneront contre ceux qui soutiendront que la trêve unilatérale décrétée par l'Etat sioniste est une conclusion inacceptable moralement, politiquement et stratégiquement, sont ceux-là mêmes qui ont défendu dans le détail et le global le rejet par lui de tous les appels à l'arrêt de son agression. Leur argument sera que cette trêve est la démonstration de la dimension humaniste dont se prévaut l'entité sioniste. Partant de ce cynique plaidoyer, ces milieux accuseront quiconque s'exprimera contre cette trêve d'être un «pousse-au-crime» contre la population ghazaouie et l'allié des «terroristes palestiniens» voulant la destruction de l'Etat israélien.
Pourtant, ce que cette trêve unilatérale envisagée laisse prévoir d'humiliation pour les Palestiniens et de raisons pour qu'ils ne cessent pas la résistance sont d'une aveuglante transparence. Comment, après trois semaines d'enfer, des centaines de morts, des milliers de blessés et des agglomérations transformées en champs de ruine, la population ghazaouie va admettre une trêve qui, par ses conditions, lui impose en fait une reddition pure et simple. Il ne s'agit pas d'autre chose, puisque le plan israélien stipule que l'armée sioniste restera là où elle se trouve suite à son agression, que le blocus se poursuivra tant qu'Israël estimera que les conditions de sa levée ne sont pas réunies et que tout acte de résistance contre cette situation légitimera la reprise des opérations militaires de Tel-Aviv dans la bande de Ghaza.
C'est en somme dans une situation pire que celle qu'elle a eu à subir avant le déclenchement de l'agression que l'on veut remettre la population ghazaouie.
Avec des monceaux de cadavres et un fleuve de sang dont on voudrait lui faire admettre le vain sacrifice et le renoncement à la clef à toute perspective d'une indépendance nationale pour le peuple palestinien.
C'est donc à la paix des cimetières et de l'oubli que l'on veut le pousser. Et pour laquelle il se trouve, hélas, des Palestiniens et des Arabes qui ont vendu leur âme et leur dignité.
1 comment:
http://lyon.novopress.info/?p=3447
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Le Hamas est sorti vainqueur de la guerre israélienne contre Gaza
Le célèbre journal britannique "The Observator" a considéré dans son rapport sur Gaza, que la guerre sauvage de l'occupation israélienne qui visait à frapper le Hamas et lui donner une grande leçon inoubliable, n'a pas pu l'affaiblir durant les trois semaines d'agressions, au contraire le Hamas a pu séduir les coeurs des palestiniens en Cisjordanie comme à Gaza.
"Les palestiniens en Cisjordanie comme à Gaza sont inquiets de l'engagement de l'autorité dirigée par Mahmoud Abbas qui n'a rien fait durant l'holocauste perpétré par les forces israéliennes contre les femmes et les enfants palestiniens innocents", a rapporté le journal britannique.
Le journal a montré que les déclarations du dirigeant du Fatah, Kadoura Fares qui est convaincu que la guerre de l'occupation a renforcé le pouvoir du Hamas dans la scène palestinienne et à l'extérieur.
"Au moment où le Hamas était soutenu par le monde entier, durant ces 3 semaines d'agressions de l'occupation, cette n'a rien réalisé de ses objectifs que de montrer sa force sauvage contre des civils innocents", a confirmé "The Observator", tout en évaluant que la réconciliation entre le Hamas et Fatah va se baser sur l'accord de la Mecque, signé en 2005.
De sa part, l'activiste du Fatah, Zaccaria Mohammed, a déclaré que le Fatah doit décider le soutien de la résistance ou de disparaître de la scène palestinienne, en ajoutant que si le Fatah fera participer le Hamas, il aura donc une chance de réussir.
Il a révélé que certains dirigeants du Fatah ont parié sur la défaite et la faiblesse du Hamas, en tentant d'emporter la scène à travers la victoire de l'occupation israélienne sur lui, « mais ils se sont complètement trompés », a-t-il ajouté.
Yesraél Katz qui appartient au parti sioniste d'extrême droite "Likoud", a déclaré que l'opération militaire israélienne contre la Bande de Gaza a complètement échoué, après la décision du premier ministre, Ehud Olmert, d'annoncer un cessez-le-feu unilatéral.
Il a dit, aujourd'hui dimanche 18/1, lors d'une déclaration de presse que la guerre n'a rien réalisé, sans pouvoir finir la force des factions palestiniennes, ni de cesser l'entrée des armes clandestines à Gaza, ni même de libérer le soldat, Gilad Chalit.
"Alors que l'accord de Tzipi Livni avec son homologue Condolleeza Rice a été jeté complètement par l'Égypte", a-t-il aussi ajouté.
Le sommet de "Gaza" adopte le boycottage d'Israël, la levée du blocus et l'ouverture des passages
http://www.palestine-info.info/
Le sommet arabe de Doha a condamné les agressions sauvages de l'occupation contre les civils innocents à Gaza, notamment les enfants, les femmes et les personnes âgées, après que le bilan sanglant des victimes de cette guerre sioniste ouverte a atteint plus de 1133 martyrs dont un tiers d'enfants et plus de 98 femmes, tout en le portant responsable des crimes de guerre et en adoptant le boycottage de l'occupation et la suspension de l'initiative arabe de paix.
Le sommet arabe qui a eu lieu, hier 16/1, à Doha a fortement salué la position courageuse et humanitaire des pays qui ont boycotté l'occupation sioniste après ses agressions sauvages contre les habitants civils innocents de Gaza.
Les dirigeants qui ont participé à ce sommet ont adopté la suspension de l'initiative arabe de Paix, l'arrêt immédiat des agressions de l'occupation, le retrait total de ses forces de la Bande de Gaza, la levée totale et durable du blocus injuste, l'ouverture de tous les passages et la liberté de déplacement des marchandises et des individus.
Les participants ont appelé à un dédomagement rapide à tous ce qui a été endommagé à Gaza, en portant l'occupation israélienne responsable des crimes de guerre contre les doits de l'homme en violant toutes les lois, règles et chartes internationales.
Le sommet de Doha a porté ses recommandations au sommet économique du Kuweit qui va se tenir, lundi prochain, pour qu'elles soient examinées, tout en appelant à l'activation des efforts arabes et internationales pour la reconstructions des infrastructures à Gaza, et obliger les autorités sionistes à dédommager le peuple palestinien après leurs violentes attaques en commettant des crimes de guerre, très flagrants et sans précédants, dans l'histoire contemporaine.
La guerre israélienne contre Gaza ne connaîtra que l’échec, dit la presse internationale
Des journaux et des agences de presse internationaux croient à l’échec de la guerre menée par "Israël" contre la bande de Gaza. Les occupants israéliens ne peuvent en aucun cas réaliser une victoire contre le mouvement du Hamas.
Un mouvement difficile à vaincre
« Le carrefour de Gaza » : sous ce titre, le journal américain Washington Post écrit, le 10 janvier 2009, que la guerre menée par "Israël" contre la bande de Gaza connaîtra l’échec. Encore une fois, la guerre contre le Hamas montre qu’il est impossible de l’anéantir par des moyens militaires.
Le journal américain ajoute que l’Entité sioniste fait le pari sur la possibilité d’abaisser la capacité militaire du mouvement du Hamas, sur la possibilité de l’obliger à accepter un cessez-le-feu avec des conditions au profit des Israéliens. Toutefois, le Hamas a délimité sa victoire au seul fait de rester en confrontation avec "Israël". Le Hamas a alors refusé de jouer le jeu des Israéliens.
Une question difficile
Quant à l’agence Reuters, elle croit qu’une victoire israélienne contre le Hamas est un but lointain. Dans un rapport publié le 12 janvier, l’agence écrit qu’après le cessez-le-feu dans la bande de Gaza, une question restera en suspens : qui sera le victorieux ? Cette question dépendra du volume de la destruction et de la mort. "Israël" ne pourra certainement pas répondre à une telle question. La notion d’une victoire israélienne sera lointaine, dit le rapport.
Le gouvernement de l’occupation israélienne a prétendu que son attaque entamée le 27 décembre 2008 a pour but de mettre fin aux tirs incessants des roquettes et des obus de mortier sur les localités de l’Etat hébreu, venant de Gaza. Cependant, plus de deux semaines après le début de l’attaque, ces tirs ne connaissent pas une quelconque baisse de cadence. Même si leur nombre s’est légèrement atténué.
Il est possible, dit l’agence, que le Hamas accepte l’arrêt des tirs de roquettes. Néanmoins, la chance d’imposer éternellement un tel accord, comme le voudrait "Israël", restera néant.
Mettre un terme à la contrebande d’armes entre Gaza et l’Egypte est une volonté israélienne. Les Israéliens veulent priver le Hamas de tous les moyens permettant au Hamas d’acquérir des produits utilisés dans la fabrication des roquettes. Personne ne sait comment cette affaire sera réglée, d’autant moins que le Caire refuse le déploiement de forces internationales sur les deux côtés des frontières.
Reuters résume enfin que vaincre le mouvement du Hamas reste un objectif très difficile à réaliser ; en tout cas pas avant qu’"Israël" ne cède aux pressions internationales.
Le peuple palestinien
Le journal autrichien Der Ständer est du même avis. Dans son numéro du 10 janvier, il écrit que la guerre menée par l’armée israélienne contre le Hamas – et avant lui contre le Hezbollah et le Fatah – est une simple guerre traditionnelle. "Israël" use en premier ordre la force contre des groupes avec lesquels travaillent des combattants non conventionnels. Bien qu’ils soient moins armés, ils planifient et exécutent leurs opérations au milieu du peuple palestinien. Ainsi, l’Entité sioniste ne pourra pas arriver à son objectif et faire tomber le Hamas.
Dans la guerre actuelle, les frontières entre le terrorisme et les combats de rues ont disparu, le sang d’innocents s’est affreusement répandu, dans la bande de Gaza.
Finalement, le journal voit que le seul moyen pour sortir de la crise est qu’"Israël" commence à respecter la vie du peuple palestinien.
Issue à la crise
Il est difficile de trouver une issue à la guerre. Le mouvement du Hamas et toutes les factions palestiniennes représentent un vrai danger pour l’Etat hébreu, dit le journal londonien Times.
L’expert militaire israélien Ronnen Birgman constate que le Hamas a appris comment résister devant "Israël". Il a bien entraîné ses membres. Si "Israël" pousse ses forces à l’intérieur des quartiers, elles seront face à un ennemi obstiné, dit-il au journal Times.
De son côté, l’envoyé du journal hébreu Yediot Ahronot, qui accompagne les forces israéliennes d'occupation, montre son grand étonnement face à la préparation du Hamas.
Sur la porte d’un bâtiment, il y avait une poupée à la forme d’un combattant du Hamas. Si les soldats tiraient sur la poupée, tout le bâtiment explosait sur leurs têtes, affirma le journaliste, abasourdi.
Finalement, le journal britannique résume la scène en disant que le Hamas n’a besoin, pour réaliser sa victoire, que de rester en vie et de tirer quelques roquettes sur l’Etat hébreu.
Des factions palestiniennes dont le mouvement du Hamas participeront au sommet arabe de Qatar, disent des sources du mouvement. Le sommet devra se réunir aujourd’hui, vendredi 16 janvier 2009. Environ douze pays arabes y seront présents.
Des sources informent l’envoyé de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que Khaled Michaal, président du bureau politique du mouvement du Hamas, Ramadan Chalah, secrétaire général du mouvement du Djihad Islamique, Ahmed Jibril, secrétaire général du Front Populaire pour la libération de Palestine, et d’autres représentants d’autres factions palestiniennes sont dors et déjà arrivés au Qatar.
Des sources du Hamas ajoutent que le mouvement salue la proposition de l’Emir du Qatar. Elles espèrent cependant que ces propositions se traduiront par des décisions concrètes. Elles espèrent également que les Arabes prennent une position unie. Une position unie pourra constituer une pression suffisante pour arrêter l’agression israélienne.
Les factions palestiniennes continuent à affirmer leur attachement à leurs conditions pour une accalmie. « Nous réaffirmons la nécessité de l’arrêt de l’agression, de la retraite des forces israéliennes d'occupation, de la levée du blocus une fois pour toute et de l’ouverture de tous les points de passage dont celui de Rafah. »
Ramadan Chalah, secrétaire général du mouvement du Djihad Islamique, a appelé à dissoudre l’autorité palestinienne et à constituer un gouvernement de résistance.
Il ne faut pas laisser la Cisjordanie aux barrages de l’occupation israélienne et aux appareils sécuritaires d’Abbas, ajoute-t-il.
Dans des déclarations données, hier jeudi 15 janvier, à la chaîne satellitaire arabe Al-Jazeera, Chalah dit que son mouvement a refusé l’initiative égyptienne. Elle ne satisfait pas les quatre conditions de la résistance palestinienne qui réalise actuellement une victoire historique par sa résistance contre les forces israéliennes d'occupation au fin fond de Gaza.
L’initiative égyptienne n’exige pas un arrêt immédiat de l’agression israélienne, un retrait des troupes, une ouverture des points de passage, explique-t-il.
Et pour ce qui est du sommet arabe organisé par le Qatar, Chalah a salué les efforts de ce pays, et tous les efforts d’ailleurs. Il a cependant condamné de manière catégorique les pays refusant d’y être présents. Le sang du peuple palestinien n’est pas à vendre.
Finalement, le secrétaire du mouvement du Djihad Islamique affirme que toutes les factions palestiniennes travaillent en coordination totale. Il affirme également que l’armée israélienne fait face à une résistance historique. Elle n’a jamais pu réaliser une avanceé notable. Les combats continuent sur deux axes principaux : à Jabalia au nord, à Tel Al-Hawa au sud, ajoute-t-il.
TSVA HAGANAH LEHI IRGOUN ISRAËL
Par exemple, comme le Sioniste tsahalisraéliste algérien Gaston Ghrenassia (Enrico Macias) et ses Pieds-Noirs, le Nazi sioniste russo-polonais (socialo-marxiste) David « Ben Gourion » vint en Palestine musulmane et arabe en 1906. Avec 30,000 autres Juifs Pieds-Blancs (ashkéNAZIS), il trahit les Arabes et les Musulmans (il fallait s’y attendre !) en s’alliant à la Russie et à l’Occident contre l’Empire Ottoman. Après la conquête de la Palestine par les Britanniques, BenGourion (qui n’est pas son vrai nom !) s'engage dans la Légion « AL-QAEDA » Juive que l'armée Britannique met sur place pour la guerre terroriste en Palestine occupée (39e bataillon des fusiliers royaux). Les Juifs sionistes, tous des soldats britanniques, aidés par les autorités britanniques et les banquiers européens, avaient déjà créé Eretz Israël (un mini-état) en Palestine occupée, et avaient leur gouvernement (Jewish Agency), leur ville capitale (Tel Aviv), leur Police, leur armée terroriste (la Haganah), leur Parlement Communiste (Asefat ha-nivharim), et une population d’immigrés d’environ 450,000 Juifs importés par les Britanniques pour dépeupler et dépouiller la Palestine, et un dictateur, « Ben Gourion » lui-même. Les Arabes furent ainsi totalement vaincus en 1936. Les Juifs/Sionistes de Palestine constituèrent dés lors la plus formidable armée du Moyen Orient, mais, que, inexplicablement, ils n’ont pas utilisée contre leur copain nazi Adolph Hitler, avec qui ils avaient signé un Accord en 1933 (HAVAARA) pour l’empêcher de tuer « Six Millions » des leurs ! Qui va croire à ce conte de fées ?
À partir de Deir Yassin, en 1948, trois réseaux terroristes, armés jusqu’aux dents par les Britanniques, devaient déclencher le début de l’Holocauste à grande échelle des Palestiniens colonisés (ou sous occupation) et sans défense (désarmés par les Britanniques), le dépeuplement de leur pays, la destruction de leurs villages, villes et cultures pour faire place aux immigrés terroristes juifs des quatre coins du monde : Haganah, Irgun, et Lehi (groupe Stern). Aujourd’hui, la Haganah (milices juives) existent en parasites dans tous les pays du monde où il existe de riches et puissantes minorités juives, y compris en France.
La tentacule internationale du TSAHALISRAËL est notoirement connue comme MOSSAD, et constitue le plus formidable réseau d’assassins de la planète, et entraîne la plupart des Polices du monde dans leurs tactiques de meurtres, de tortures, de contrôle, et d’espionnage. Leur toute dernière opération terroriste s’est déroulée à Mumbaï (Bombay), en Hindoustan, et, comme on s’y attendait, le bouc-émissaire est le Pakistan et les Musulmans. MOSSAD a infiltré la plupart des pays arabes et musulmans, et les terroristes sionistes sont toujours prêts pour lancer des « false flag operations » pour ensuite accuser l’ennemi qu’ils ont pour dessein d’abattre. Ils sont derrière les attaques du 11 septembre 2001 aux USA, celles de Londres du 7 juillet 2005, etc.
La machine à tuer TSAHALISRAËL (armée de l’air, marine, services d’espionnage et de la mort) avait aussi opéré au Liban où elle avait orchestré l’Holocauste des Musulmans et des Arabes libanais et la destruction de leur pays, et de Beyrouth, une ville connue alors comme le Paris du Moyen Orient, en raison de ses institutions financières, et, très probablement, de ses réseaux de prostitution et de pornographie « arabe s». Elle a aussi aidé les USA et la Grande Bretagne pour détruire Bagdad, massacrer sa population en un Holocauste qui demeurera à jamais l’une des plus grandes infamies de l’histoire moderne. Cette entité sioniste pratique (et a légalisé dans certains cas) la torture, la prise d’otage, la démolition des maisons, le massacre des civils (même en fuite), la démolition des mosquées, des hôpitaux, des écoles, des universités, et des centres de réfugiés, les punitions collectives, l’apartheid, le boycott totale des vivres, de l’eau potable, de l’électricité, de médicaments, et a prouvé par ces actes barbares être la plus abominable créature que cette terre ait engendrée.
L’occident hégémoniste a armé le TSVA HAGANAH LEHI IRGOUN ISRAEL jusqu’aux dents afin de pouvoir contrôler toute la région, et de lancer des attaques même nucléaires contre les ennemis désignés de l’occident à travers la planète. Le Liban, le Pakistan et l’Iran sont leurs cibles actuelles. En fait, Tsahalisraël ne sert que comme un pion de l’occident impérialiste et de ses banquiers, un fort avancé comme à l’époque de l’Holocauste des indigènes des Amériques, pour la conquête du monde ! Mais, c’est un couteau à double tranchant, car cela risque de se retourner contre les occidentaux. Tsahalisraël n’a cessé de se vanter que c’est elle qui contrôle les USA (le Boucher Ariel Sharon), et qu’elle est prête à bombarder l’Europe si cette dernière refuse de se soumettre à sa dictature! Soutenu et financé par des millions de Chrétiens sionistes, Tsahalisraël appelle constamment à l’extermination des Arabes et des Musulmans. Il est à noter qu’elle assassine aussi des Rabbins et des Juifs orthodoxes qui refusent l’état bâtard. Le tout récent appel d’extermination proviendrait du « grand » rabbin séfarade Mordechai Elyahu (Matthew Wagner – israel.jpost.com). Elle envisage même, en plus des bombes à uranium et au phosphore, d’utiliser carrément des bombes atomiques sur Ghazza ! TSA HAÏL ISRAËL DU 4ÈME REICH !!!!!!!
Ghyslaine ROC
Ce 20ème jour de l’Holocauste (Shoah) palestinien de Ghazza promis et exécuté par TSAHALISRAËL avec le soutien de l’occident et de leurs alliés!
Vendredi 16 janvier 6009
2 comments:
A terre les dictateurs & les traitres!!!
Israel est à la poubelle de l'histoire.
"Allahou Akbar"
The TSAHALISRAEL (Air Force, Marine, Spy and Assassination Agencies) killing machine operated also in Lebanon where they orchestrated the Holocaust of Lebanese Muslims and Arabs and the destruction of their country, of Beirut, a town known at the time as the “Paris of the Middle East” most probably because of its banking and financial institutions and well as its “Arab” prostitution and pornography networks..
TSAHALISRAEL has also helped the USA and Great Britain to destroy Baghdad, massacre its population in a Holocaust that will for ever remain as one of the greatest infamies in modern history. This Judeo-Nazi Zionist entity practices (and has legalised in certain cases) torture (INUYIM), as Pr Yehoshua Leibovitz has pointed out, kidnappings, the demolition of houses, masajid (mosques), the massacre of civilians (even when they are fleeing), hospitals, schools, universities, refugee centres, collective punishments, apartheid, the boycott of food products, drinking water, electricity, medicine, and has proved by its barbaric acts of savagery to be the most abominable creature this earth has engendered.
The Hegemonist West has armed the TSVA HAGANAH LEHI IRGOUN ISRAEL to the teeth in order to be able to control all the neighbouring regions, and to launch attacks even of a nuclear nature against the Western selected enemies throughout the planet. Lebanon, Pakistan and Iran are their actual targets. In fact Tsahalisrael is only being used by the Imperialist West and of its Bankers, a military fort as a front like at the time of the Holocaust of the Natives of the Americas, for the conquest of the world.
But, it is a double-edged knife that runs the risk of turning against its user, the West. Tsahalisrael has not stopped boasting that it is the one controlling the USA (Butcher Ariel Sharon), and it (the monster) is ready to nuke Europe if the latter refuses to submit to its dictatorship. Supported and financed by millions of Zionist Christians, Tsahalisrael calls non-stop for the extermination of the Arabs and the Muslims. It must be notes however that it also assassinates Orthodox Jewish Rabbi who refuse the bastard entity. The most recent purimish call comes from the “grand” Sephardic Rabbi Mordechai Elyahu (Matthew Wagner – israel.jpost.com). Tshalisrael intends even, on top of the uranium and phosphorus bombs, to use outright atomic bombs on Ghazza.
LONG LIVE TSA HAÏL ISRAËL OF THE 4TH REICH !!!!!!!
(Written in French in 2009 and posted on Friday 16 January 2009 on the “Islamic Intelligence” website by Abu-Suleyman:
http://islamic-intelligence.blogspot.com/2009/01/tsva-haganah-lehi-irgoun-isral.html
Ghyslaine ROC
The Bill Poster (Colleuse d’Affiches )
This 20th Day of the Palestinian Holocaust (Shoah) of Ghazza promised and executed by TSAHALISRAEL with the support of the West and its Allies!
P.S. Posted before on “The Ugly Truth” and elsewhere. Its historicity has remained unchallenged to this day and the habitual trolls and non trolls did not react or show any concern most probably because I was a fool to believe I was doing some a favour.
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Cette brutalité ne cassera jamais notre volonté d’être libres
www.palestine-info.info
Pendant 18 mois mes compatriotes de Gaza ont été assiégés, incarcérés dans la plus grande prison du monde, isolés du monde par voie de terre, d’air et de mer, mis en cage et affamés, et même privés de médicaments pour les malades. Après la politique de la mort lente est venu le bombardement.
Dans le plus densément peuplé des lieux, rien n’a été épargné par les avions militaires israéliens : immeubles gouvernementaux, maisons, mosquées, hôpitaux, écoles et marchés. Plus de 540 ont été tués et des milliers mutilés pour toujours. Dont un tiers de femmes et d’enfants. Des familles entières ont été massacrées, certaines dans leur sommeil.
Cette rivière de sang est versée sous des mensonges et des faux prétextes. Pendant six mois, nous de Hamas avons observé le cessez-le-feu. Israël l’a rompu dès le début. Il a été demandé à Israël d’ouvrir les passages vers Gaza, et d’étendre la trêve à la Cisjordanie. Il a procédé vers le durcissement de son siège de Gaza, coupant l’électricité et l’eau à répétition.
La punition collective n’a pas stoppé, mais s’est accélérée, avec les assassinats et les morts. Trente Gazaouis ont été abattus par les tirs israéliens et des centaines de malades sont morts directement du siège pendant le soi-disant cessez-le-feu. Israël jouissait d’une période de calme. Pas notre peuple.
Quand cette trêve rompue est allée vers sa fin, nous avons exprimé notre disposition à une nouvelle trêve globale en échange de la levée du blocus et de l’ouverture de tous les passages de Gaza, y compris Rafah. Autant parler à des sourds. Pourtant nous serions prêts a commencer une nouvelle trêve sur ces bases après un retrait total des forces d’invasion de Gaza.
Aucune roquette n’a jamais été tirée depuis la Cisjordanie. Mais 50 Palestiniens y ont été tués et des centaines blessés des mains israéliennes l’an passé, tandis que son expansionnisme progressait sans trêve. Nous sommes supposés nous satisfaire de bouts de territoire qui s’amenuisent, une poignée de cantons à la merci d’Israël, bouclés de toutes parts. La vérité est qu’Israël recherche un cessez-le-feu obéis par nous seuls, en échange d’un siège, de la famine, de bombardements, d’incursions et de colonies de peuplement. Israël veut un cessez-le-feu gratuit.
La logique de ceux qui veulent que nous cessions de résister est absurde. Ils absolvent l’agresseur et l’occupant - avec ses armes de mort et de destruction les plus mortelles - de toute responsabilité, tout en blâmant la victime, le prisonnier et l’occupé. Nos modestes roquettes artisanales sont notre cri de protestation au monde. Les Israéliens et leurs mécènes Américains et Européens veulent nous tuer en silence. Mais nous ne mourrons pas en silence.
Ce qui est vécu à Gaza aujourd’hui l’a été par Yasser Arafat auparavant. Quand il refusa de se plier aux diktats d’Israël, il fut emprisonné dans ses bureaux de Ramallah, entouré de tanks pendant deux ans. Quand ceci ne parvint pas à casser sa résolution, il fut empoisonné.
Gaza a commencé 2009 comme 2008 : sous le feu israélien. L’an dernier, entre janvier et février, au moins 140 Gazaouis moururent des tirs aériens. Et juste avant qu’il se lance dans son assaut militaire raté contre le Liban en juillet 2006, Israël fit pleuvoir des milliers d’obus sur Gaza, tuant 240 personnes.
De Deir Yassine en 1948 à Gaza aujourd’hui, la liste des crimes d’Israël est longue. Les justifications changent, mais la réalité est la même : occupation coloniale, oppression, et injustice interminable. Si c’est le « monde libre » dont Israël défend les « valeurs », comme le prétend la ministre des Aff. Et. Tzipi Livni, alors nous n’avons rien à voir avec ça.
Les leaders israéliens restent saisis de confusion, incapables de fixer des buts clairs pour les attaques - entre éjecter le gouvernement légitimement élu de Hamas et détruire son infrastructure, et arrêter les roquettes. Comme ils ne parviennent pas à casser la résistance de Gaza, ils ont réduit la marque. Ils parlent maintenant d’affaiblir Hamas et de limiter la résistance.
Mais ils ne parviendront a aucun des deux. Les Gazaouis sont plus unis que jamais, décidés à ne pas être terrorisés par la soumission. Nos combattants, armés de la justice de leur cause, ont déjà causé de nombreuses victimes dans l’armée d’occupation, et combattront pour défendre leur terre et leur peuple. Rien ne peut défaire notre désir de liberté.
Encore une fois, Washington et l’Europe ont opté pour aider et encourager le geôlier, l’occupant et agresseur, et pour condamner les victimes. Nous espérions que Barack Obama romprait avec l’héritage désastreux de George Bush mais son début n’est pas encourageant. Alors qu’il a dénoncé sans tarder les attaques de Bombay, il reste muet après dix jours de massacres à Gaza.
Mais nous ne sommes pas seuls. Des millions d’hommes et de femmes adeptes de la liberté sont du côté de cette lutte pour la justice et la libération - comme en témoignent chaque jour les protestations contre l’agression israélienne, non seulement dans la région arabe et islamique, mais dans le monde entier.
Certainement Israël répandra destruction, mort et souffrance à Gaza. Mais il rencontrera le même sort à Gaza qu’au Liban. Nous ne serons pas brisés par le siège et le bombardement, et nous ne nous rendrons jamais devant l’occupation
La résistance met en échec plusieurs tentatives de l’occupation israélienne de pénétrer à Gaza
La résistance palestinienne, en tête les brigades d’Al-Qassam, branche militaire du mouvement du Hamas, ont pu mettre en échec la deuxième tentative des forces israéliennes d'occupation de pénétrer dans la ville de Gaza, par plusieurs axes.
Les brigades d’Al-Qassam confirment que leurs combattants ont pu directement toucher onze engins militaires israéliens, dans le quartier de Tel Al-Islam et Az-Zaytoune. Deux autres engins ont été indirectement touchés.
Après le discours de victoire donné par Ismaël Haniyeh, premier ministre palestinien, la nuit dernière, les forces israéliennes d'occupation ont essayé d’enregistrer une quelconque victoire. Sous un bombardement intense et en utilisant des obus au phosphore blanc, des dizaines de tanks israéliens ont essayé d’avancer, dans plusieurs axes.
Les envoyés de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) indiquent que c’était à partir des zones découvertes que les occupants israéliens ont essayé de pousser leurs tanks vers la zone Cheikh Ajleen et Tel Al-Islam et le quartier As-Sabra.
Les brigades d’Al-Qassam se sont engagées directement avec les envahisseurs en tirant vers leurs engins des obus RPG. L’envoyé de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) a mis en document beaucoup d’histoires héroïques des combattants des brigades d’Al-Qassam.
De leur côté, les Comités de la résistance populaire, les Saraya Al-Quds, branche armée du mouvement du Djihad Islamique, et les brigades des Moudjahidin ont, eux aussi, pu faire face aux forces israéliennes d'occupation avec leur obus anti-tanks et anti-blindés.
Pour couvrir leur échec, les forces israéliennes d'occupation ont bombardé les zones de façon inconsidérée, causant des martyrs et des blessés.
C’est la deuxième tentative échouée de la part des Israéliens d’envahir la ville de Gaza. Chaque fois, ils sont repoussés à ses confins.
"On a pris en cible un rassemblement de 10 chars et blindés de l'occupation, avec des obus et des roquettes "RPG", après qu'un groupe de nos résistants s'est infiltré derrière les soldats occupants qui tentaient d'envahir l'est de la montagne d'Al Kachef, où plusieurs soldats sionistes ont trouvé la mort", a souligné une source d'Al Qassam.
Les brigades d'Al Qassam ont déclaré que l'armée de l'occupation a échoué complètement d'atteindre ses objectifs sur le terrain, sauf d'assassiner les enfants, les femmes et personnes âgées, en bombardant leurs maisons, et que l'armée israélienne a reçu une bonne gifle avant le début prétendu de sa 3ème phase contre Gaza, alors que depuis 18 jours d'agressions elle n'a réellement rien réalisé que le massacre des civils.
Les brigades d'Al Qassam ont confirmé que la résistance nationale va poursuivre ses combats face aux crimes nazis sionistes jusqu'à la réalisation et la récupération de tous les droits légaux du peuple palestinien, tout en affirmant leur ferme volonté pour lutter avec obstination contre les forces de l'occupation et protéger les palestiniens civils innocents.
L'ancien chef qui a été chargé à la filière de la planification de stratégie, dans l'armée occupante et chef de l'unité d'études israélo-palestiniennes à l'institut des études stratégiques, Shlomo Broum, a affirmé, le mardi 13/1, lors de ses déclarations à la 7ème chaîne sioniste, que l'armée ne pourrait jamais réaliser ses objectifs que par la réoccupation de Gaza, sinon il serait vraiment impossible d'atteindre aucun de ces objectifs annoncés.
Il s'est réitéré que son état sioniste ne veut pas réoccuper, de nouveau, la Bande de Gaza, en faisant allusion à l'échec de l'armée occupante israélienne qui n'a pas encore réalisé les objectifs de sa compagne agressive contre Gaza, malgré 18 jours du début de ses opérations militaires.
Il a indiqué également que son gouvernement dirige sa guerre à travers deux axes, dont l'un est militaire à travers le bombardement de Gaza, et l'autre diplomatique, notamment l'Égypte qui est désignée capable de parvenir aux objectifs de l'occupation dont l'arrêt du lancement des roquettes Qassam, le bombardement des tunnels et mettre fin au marché clandestin d'armes.
Al Qassam :"plusieurs soldats sionistes tués et blessés dans un piège à l'est de Khan Younès".
Les brigades d'Al Qassam, l'aile militaire du Hamas, ont affirmé, aujourd'hui mardi 13/1, que les soldats d'une force spéciale sioniste ont été ciblés l'ors d'une embuscade des résistants à l'est de la ville de Khan Younès, tout en soulignant que les soldats israéliens hurlaient après avoir été pris en piège.
Lors d'un communiqué militaire dont le centre palestinien d'information a reçu une copie, aujourd'hui mardi, les brigades d'Al Qassam ont déclaré que leurs résistants ont pris en cible, durant 1 heure et 40 minutes, des soldats sionistes qui sont tombés dans une embuscade des brigades d'Al Qassam qui ont fait exploser une charge explosive et lancé des roquettes "RPG" sur cette force de l'occupation.
Les brigades d'Al Qassam ont confirmé qu'il y a plusieurs morts et blessés entre les soldats sionistes qui tentaient d'envahir l'est de Khouza'a, à Khan Younès.Il est à noter que les résistants palestiniens, notamment les brigades d'Al Qassam ont annoncé au correspondent du centre palestinien d'information que leurs résistants ont confirmé que plus de 11 blindés et chars militaires de l'occupation ont été détruits par leurs armes anti-chars, lors d'une tentative d'incursion dans le quartier de Te Al Islam et de Zeitoun, à Gaza.
Le dirigeant du Hamas, Dr Ismaïl Redwan, a affirmé lors d'une déclaration de presse, lundi 12/1, le refus du Hamas au déploiement de toute force internationale dans la Bande de Gaza, en considérant cette mesure de protection à l'occupation et en soulignant que le peuple palestinien va la considérer comme une force armée occupante. "La priorité actuelle est de presser sur l'occupation pour cesser ses agressions sauvages, sans précédent, contre des enfants, des femmes et personnes âgées, alors que la communauté internationale garde toujours le silence, malgré la décision du conseil international de sécurité qui exige un cessez le feu immédiat", a ajouté le dirigeant du Hamas en condamnant la position de l'autorité palestinienne qui ne travaille pas sérieusement pour lever immédiatement le blocus sévère, ouvrir le passage de Rafah de façon continuelle et sauver les habitants de Gaza.
How Will the World Respond to Israeli War Crimes in 2009?
By Christopher Bollyn,
Israel has used white phosphorus bombs on the civilian population since the beginning of their aggression against Gaza. This is a war crime, one which has been witnessed by millions of people watching television coverage from Gaza since December 27. Oddly, CNN's military expert, Brig. Gen. David Grange (ret.), failed to mention Israel's use of white phosphorus although CNN has repeatedly played video clips of the banned weapon exploding over Gaza. White phosphorus burns flesh - without stopping - as long as oxygen is present. Grange admitted that he had worked closely with the Israeli military.
As Israeli planes, tanks, and artillery bombarded the homes, schools, mosques, and medical clinics of the Palestinian refugees of Gaza, the Venezuelan government took a stand against the Zionist aggression. On January 6, the Venezuelan Foreign Ministry sent a telegram to the Israeli mission in Caracas informing Ambassador Shlomo Cohen that he was persona non grata in the Bolivarian republic. Shlomo and his cohort of six at the Israeli mission were banished and given 72 hours to leave Venezuela.
Venezuela issued a statement calling Israel's operation in the Gaza Strip a "flagrant violation of international law" and "state terrorism."
"For the reasons mentioned above, the government of Venezuela has decided to expel the ambassador of Israel and part of the personnel of the Embassy of Israel," the statement read.
The expulsion of the Israeli mission is the result of Israel's brutal aggression in the Gaza Strip, which President Hugo Chavez characterized as "genocide."
The extreme suffering of the Palestinians of Gaza is generally not understood in the West due to the censorship and distortion of the Zionist-controlled media. The Palestinians of Gaza have been victims of Israeli war crimes since 1947-48 when they were expelled from their homes and villages, which were stolen by Israeli forces. Refugees from Zionist ethnic cleansing comprise more than 75 percent of the population of Gaza Strip. Due to the complete closure or blockade of Gaza since mid-2007, imposed by Israel to punish the people for having elected Hamas, the population of Gaza has suffered near starvation for several years.
"The holocaust -- that is what is happening right now in Gaza," Chavez said in televised comments on January 6. "The president of Israel at this moment should be taken to the International Criminal Court together with the President of the United States." The president of Israel is Shimon Peres, who has a long history of weapons smuggling and false-flag terrorism (at least as far back as the Lavon Affair in the early 1950s). Peres is also the chief architect of Israel's illegal nuclear arsenal.
Israeli Terrorist Chief Demanded U.S. Abstain in U.N. Vote
Israeli Prime Minister Ehud Olmert, the man behind the war of aggression and state terrorism being carried out against the people of Gaza, took credit for the U.S. abstention in the Security Council vote for a ceasefire, saying he had "demanded" from President George W. Bush that the U.S. to abstain from voting for the ceasefire it had helped negotiate.
"I said: 'Get me President Bush on the phone,'" Olmert said in a speech on January 12 in the southern Israeli city of Ashkelon. "They said he was in the middle of giving a speech in Philadelphia."
I said, 'I don't care. I have to talk to him now,'" Olmert said, describing Bush, who leaves office on Jan. 20, as "an unparalleled friend" of Israel.
"YOU CAN'T VOTE IN FAVOR OF THIS RESOLUTION"
"They got him off the podium, brought him to another room and I spoke to him. I told him, 'You can't vote in favour of this resolution.' He said, 'Listen, I don't know about it, I didn't see it, I'm not familiar with the phrasing.'"
Olmert said he then told Bush: "'I'm familiar with it. You can't vote in favour.'
"He gave an order to the secretary of state and she did not vote in favour of it -- a resolution she cooked up, phrased, organised and manoeuvred for. She was left pretty shamed and abstained on a resolution she arranged," Olmert said.
Palestinian Foreign Minister Riad Malki said he was surprised by the U.S. abstention. "We were told that the Americans were going to vote in favor," he said on January 9, the day after the vote.
When Rice came in to the Security Council chamber, she unexpectedly informed the Saudi foreign minister, with an apology, that she would have to abstain but would clarify later that the U.S. supported the resolution nonetheless, according to Malki.
"What happened in the last 10 or 15 minutes, what kind of pressure she received, from whom, this is really something that maybe we will know about later," he said.
Now we know. Ehud Olmert, the Israeli leader who is behind the criminal aggression and terror attacks against Gaza and Lebanon -- and the person who made a secret visit to New York City on September 10-11, 2001, when that city was devastated by the false-flag terror attacks -- demanded from George W. Bush that the U.S. abstain. What power does Ehud Olmert have to order the U.S. president around? This is precisely the reason the George W. Bush's life is in danger as he leaves the White House -- he knows too much about the Zionist crimes of 9-11 and the illegal wars of aggression in the Middle East. He is likely to talk about how Zionist pressure forced him to make the unpopular and disastrous decisions that he will be forced to defend. The Zionist architects of 9-11 are afraid what Bush, Cheney, and Rice are likely to divulge when the leave office.
Sources: Landler, Mark, "Olmert Says He Made Rice Change Vote," New York Times, January 12, 2009
Keyser, Jason, "Israel's Olmert: Rice embarrassed over UN vote," Associated Press, January 12, 2009
Kessler, Glenn, "Rice, Eager to Depart, Heartily Defends Record," Washington Post, January 13, 2009
BBC REPORTS ISRAELI MASS MURDER IN ZEITOUN - GAZA STRIP
Reports of another Israeli war crime, an intentional mass killing of civilians in the Gaza Strip, surfaced on January 9. The BBC is reporting that eyewitnesses have reported a mass murder on January 4, of Palestinian civilians in the Gaza neighborhood of Zeitoun.
Allegra Pacheco, who received some of the reports, is an Israeli-American lawyer who works with the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs (OCHA). Pacheco called it "one of the gravest incidents" since the beginning of the Israeli criminal aggression.
On Sunday, January 4, Israel forces rounded up between 110 and 125 Palestinians in the village of Zeitoun and forced them into the single family home of the Samouni family and ordered them to stay in the house. The next day, Israeli forces then repeatedly shelled the house.
Pacheco, a human rights lawyer, was born in the United States to an Orthodox Jewish family from Long Island, New York. After working with the famous Israeli human rights lawyer Lea Tsemel in 1988 during the Intifada, Pacheco completed her law studies, emigrated to Israel in 1994 and began a legal practice.
On January 9, Pacheco told the BBC World News (TV) that the eyewitness reports had come directly from adult survivors who had carried wounded children to the hospital. A five-month old child died on arrival at the hospital. The Israeli army prevents any international reporters from entering the Gaza Strip.
"According to several testimonies, on 4 January Israeli foot soldiers evacuated approximately 110 Palestinians into a single-residence house in Zeitoun (half of whom were children) warning them to stay indoors," the OCHA report said.
"Twenty-four hours later, Israeli forces shelled the home repeatedly, killing approximately 30."
At least nine of those killed in the house were from the Samouni family, including his mother. A picture of three of the family's children in blood-stained clothing laid on a morgue floor and in front of their grieving father was shown in The Guardian. The father, Wael Samouni, said dozens of people had been sheltering in the house after Israeli troops ordered them and neighbors to stay inside.
Wael Samouni grieves over his three children that he carried to the hospital. Nine members of the Samouni family were killed when Israeli forces shelled his house, where they had ordered some 110 people to stay.
The UN said there had been extensive destruction in Zeitoun. For three days, from 3-7 January, the Israeli Defence Force prevented Red Cross medical teams from entering the area to evacuate the wounded. Yesterday the Red Cross vented its fury at Israel after the strike, saying it had found four starving children at the house clinging to the corpses of their dead mothers.
'Those who survived and were able walked two kilometres to Salah Ed Din road before being transported to hospital in civilian vehicles. Three children, the youngest of whom was five months old, died upon arrival at the hospital,' OCHA was quoted as saying in a report on the situation in the battered Gaza Strip.
'This is a shocking incident,' Pierre Wettach, Red Cross head for Israel and the Palestinian territories, said. 'The Israeli military must have been aware of the situation but did not assist the wounded.'
The accusation came as a 'credible' report from Gaza claimed one third of the 760 reported killed in the conflict have been children.
The UN said those who survived had walked 2 km (1.25 miles) to the main north-south road and were taken to hospital in civilian vehicles, the BBC reported.
"Three children, the youngest of whom was five months old, died upon arrival at the hospital," the report said.
"In Gaza, there is a severe protection of civilians crisis. There is no safe haven, no safe space, for all the civilians, particularly children," Ms Pacheco told the BBC.
"Since the ground operation, the number of children killed has risen by 250 percent." As of January 8, 257 children were among the approximately 760 reported dead in Gaza. There were another 1,080 children among the 3,100 injured in the conflict, according to statistics from Gaza's health ministry.
HOW DO WE RESPOND TO ISRAELI STATE TERRORISM?
The Venezuelan response is correct and proper. The criminal aggression against the defenseless population of Gaza demands a strong response from the leaders of the world. On an individual level, we should boycott Israeli produce and abstain from anything affiliated with the state of Israel. Why support an outlaw, racist, and terrorist regime with our hard-earned dollars? Check your produce before you buy it and make sure it comes from a nation that respects human rights.
The Israeli government headed by Ehud Olmert and Shimon Peres has amply demonstrated its utter disregard for international law and world opinion. There should be more national leaders like Chavez expelling Israeli missions. What does the global campaign against terrorism mean if Western nations coddle a terrorist regime like that of Ehud Olmert?
Obama with Olmert in July 2008
Will President Obama investigate Olmert's secret visit to New York City on September 10-11, 2001?
There is certainly more than enough evidence for Western nations to call for Ehud Olmert and his cronies to be arrested for war crimes, as has been done with the former warlords of Serbia and Croatia. Israel belongs to many European organizations and should be treated like any other state. When Serbian forces attacked civilian populations, Serbia was attacked by NATO. Serbian tanks were struck and Belgrade was bombed. Why is Israel treated differently? Why isn't Israel forced to comply with international norms and law, as every other nation is? The Zionist state's egregious criminal acts cannot be allowed to pass without punishment.
Having studied the history of the Zionist movement in Palestine for more than three decades, I have seen Israel commit many criminal atrocities like the current aggression in Gaza Strip and have read about many other crimes, including genocide, going back to the 1940s. Anyone born before 1970 has been able to witness similar Israeli war crimes on television, such as the aggression against Lebanon in 1982 and the massacres in Sabra and Shatila camps, the Israeli massacres at Qana (Cana) in 1996, and again in 2006, and the flattening of the Jenin refugee camp in April 2002. Like the current Israeli onslaught against the defenseless population of Gaza, these events clearly involved serious war crimes in which senior Israeli politicians and military officers were culpable. In some of these cases the same people, such as Olmert and Peres, have been involved more than once; they are, in fact, repeat offenders of the most serious war crimes -- but have never been held accountable.
No Israeli, in fact, has ever been held accountable for war crimes in an international court. While special international tribunals have been established to investigate and prosecute war crimes in Nazi Germany, the former Yugoslavia, and Africa, there has never been an international tribunal dedicated to prosecute Israeli war criminals. If there had, we probably would have avoided 9-11 and certainly would have prevented the carnage in Gaza today. Proper and non-selective enforcement of international law is essential for world peace. It would have checked Israeli ambitions and protected Israel and the world from the war criminals that control the Zionist state today.
How will the United States and the world respond to Israeli war crimes in 2009? The United States is Israel's essential ally and supporter. President George W. Bush has been a devoted Zionist and has never honestly addressed the Palestinian plight. President-elect Barack Obama was elected on a shallow one-word platform - "change." Does "change" under Obama mean the U.S. government will call for an international investigation of the Israeli war crimes being committed in Gaza? That would be a real change.
Obama has been very tight-lipped on the crisis in the Middle East. He commented for the first time on the Israeli offensive in Washington on January 6, saying that "the loss of civilian life in Gaza and in Israel is a source of deep concern to me, and after January 20th I'll have plenty to say about the issue." The question is how many more lives will be lost in the meantime.
Thousands of Palestinian children have been injured due to the Israeli bombings of the Gaza Strip. This girl was wounded on December 27, 2008. Why is Obama silent in the face of such incredible suffering? Where is his concern and compassion? Why does he not speak out as a human being concerned about his fellow man?
As Obama was holding his tongue on January 6, Israelis shelled a U.N.-run school where Palestinians had sought refuge from the fighting, killing at least 42 civilians and injuring 55 others. The Israeli military said its soldiers had fired in "self-defense" after Hamas fighters had launched mortar shells from the school. This appears to be another Israeli government lie.
The United Nations has opened 23 of its schools as emergency shelters for the 1.5 million residents of Gaza, who are prevented from leaving the territory. The Gaza Strip is often called the largest open-air prison in the world. By the night of January 6, the number of displaced Palestinians flooding into the schools had reached 15,000.
The people of Gaza are treated like prisoners and are not allowed to leave the territory although there are check points to Israel and Egypt. How can this be accepted in the 21st Century? Why are the people of the Holy Land forced to suffer so?
This is certainly not the first time Israeli forces have intentionally massacred refugees seeking shelter in U.N. camps and facilities. On 18 April 1996, for example, an Israeli artillery assault on the U.N. camp in Qana (Cana), Lebanon, killed 106 Lebanese civilians and left at least 116 injured.
John Ging, the head of the U.N. agency that runs the schools, UNRWA, told BBC World television on January 7 that the Israeli military's claim that it had been fired on from the school was "categorically untrue." The school, Ging said, had been under UNRWA control the entire time. Ging and the U.N. agency is demanding an investigation to find those accountable for the 97 Palestinians who were killed and injured in the attack on the school.
"I am appealing to political leaders here and in the region and the world to get their act together and stop this," Ging said, speaking at Gaza's largest hospital. "They are responsible for these deaths."
Dr. Bassam Abu Warda, director of Kamal Radwan Hospital, spoke about the injuries of the civilians from the U.N. school: "The wounded arrived with multiple fractures, ripped stomachs, amputated limbs," he said. "The bodies were ripped apart."
"I saw a lot of women and children wheeled in," said Fares Ghanem, a hospital official. "A lot of the wounded were missing limbs and a lot of the dead were in pieces."
Majed Hamdan, an AP photographer, rushed to the scene shortly after the attacks. He said many children were among the dead:
I saw women and men — parents — slapping their faces in grief, screaming, some of them collapsed to the floor. They knew their children were dead. In the morgue, most of the killed appeared to be children. In the hospital, there wasn't enough space for the wounded.
He said there were marks of five separate explosions, all in the same area outside the school. At the time of the attack, people were standing in a crowd outside the gate of the school, where hundreds of families had sought shelter.
The Israeli attack on the U.N. school came only hours after an Israeli missile struck a residential area in al-Bureij refugee camp, injuring seven U.N. workers in a nearby medical clinic. The day before, January 5, an Israeli airstrike on a U.N. school in Gaza City had killed three members of a family. CNN reported on January 7 that at least 5 ambulances had been shelled, a war crime Israeli forces have committed since at least 1982.
"There's nowhere safe in Gaza. Everyone here is terrorized and traumatized," Ging, the top U.N. official in Gaza, said after the first strike on the U.N. school that killed three people.
U.N. Secretary General Ban Ki-moon called the attacks on the schools "totally unacceptable." This should mean that these heinous war crimes will be investigated and the guilty brought to justice. This should mean that Israel's illegal 18-month blockade of the Gaza Strip, an act of aggression, and its flagrant use of white phosphorus bombs on the civilian population will also be investigated and punished. Finally, this should mean, after 6 decades of egregious Zionist crimes going unpunished, that an international tribunal for Israeli war crimes will be established.
With the Zionist-controlled governments of Britain and the United States having veto power on the Security Council, the chances of a U.N. special tribunal being seated to investigate Israeli war crimes are very slim, a situation which allows Israel to commit war crimes with impunity. But the times -- and attitudes toward Israel -- are clearly changing.
Evidence of Israeli involvement in 9-11 and the global economic crisis has seriously eroded support for the Zionist state around the world. People around the world are starting to feel like Palestinians. As the protests against the Israeli assault reveal, the world is being split between the people who demand peace and justice and the Zionists, who demand security for their belligerent and rapacious tribe.
The Zionist enterprise has clearly failed. Without constant stealing, begging, and bribing, Israel would be nothing but a failed state. Born in the sin of genocide and the ethnic cleansing of Palestine, Israel has completely failed, after 6 decades, to make peace with its neighbors. Israelis live in stolen homes and sell the stolen fruit from the orchards of stolen land. The rightful owners of Palestine are the people of Gaza, the West Bank, and the Palestinian refugee camps across the Middle East. This is the simple truth. Without justice for the Palestinians there will be no peace in the Middle East. The Israelis have to learn to live with the Palestinians -- not instead of them -- in Palestine. The Palestinians are very kind and civilized people. The Israelis could benefit from living with them and learning from them. The Palestinians are, after all, the people of the Holy Land.
The Israeli "Separation Wall" in Bethlehem -- The Zionist ideology prevents Israelis from living in peace with the Palestinians -- the people of the Holy Land. How long will the apartheid regime of Israel last? Its days are clearly numbered. History has shown that such artificial and criminal regimes cannot last long. How can any enlightened human being support a racist ideology like Zionism?
The days of the Israeli apartheid state are numbered and it will pass, just like the other monstrosity created by the communist Jews of Russia, the Soviet Union. One of the signs in a recent protest said, "Cleanse the world of Zionism." This sign does not reflect radical thinking but a logical and rational understanding of the real problem in the Middle East. The answer to the Palestinian problem has never been a two-state solution. The solution is one state in which all men are equal. How could an American president, especially a black man, support anything else?
Afflux de milliers combattants Musulmans aux abords de la Palestine
Le Hamas a affirmé que la campagne agressive sauvage des forces de l'occupation et leur holocauste perpétré contre les habitants civils de Gaza a échoué d'atteindre aucun de ses objectifs, et que le Hamas ne cèderait jamais sous les bombardements et ne présentera jamais de concessions qu'il n'avait pas donné sous le siège sévère imposé par l'occupation et ses alliés.
Dr. Ismaïl Redwan a dit lors d'une déclaration de presse dont le centre palestinien d'information a reçu une copie que le Hamas affirme que l'holocauste sioniste perpétré contre nos enfants, femmes et personnes âgées, après le bombardement des institutions de la société civile, comme les écoles de l'URNWA, les universités, les sièges de bienfaisance, a échoué complètement de réaliser tout objectif lors de ses attaques sauvages.
"Le Hamas refuse complètement toute accalmie durable, tant que l'occupation est existe", a souligné le dirigeant du Hamas.
Il a ajouté :"on exige un arrêt total des agressions criminelles des forces occupantes, le retrait immédiat de ces troupes, la levée du blocus de façon permanente, ainsi que l'ouverture des passages, notamment le point de Rafah".
Il a souligné que le Hamas appelle la communauté internationale de présenter les coupables sionistes à la cour pénale internationale pour les juger de leurs crimes de guerre contre les palestiniens civils, notamment les enfants et les femmes.
Redwan a souligné que la poursuite du lancement des roquettes, et la lutte acharnée des résistants palestiniens face aux troupes armées sionistes, prouve l'échec de leur compagne agressive, sans que l'occupation puisse réaliser aucun de ses objectifs, chose qui a provoqué le trouble politique et militaire des responsables sionistes et leurs forces occupantes.
In Solidarity with Palestinian Freedom Fighters
Harcèlement policier contre Ali Benhadj
Les signataires qui sont de diverses tendances politiques considèrent leur initiative comme acte de dénonciation d’une grave violation des droits de l’homme en Algérie et comme un désaveu de la politique de réconciliation nationale dans laquelle le pouvoir algérien a beaucoup investi
A
Mesdames et Messieurs les Président(e)s de
Fédération Internationale des Droits de l’Homme,
Human Rights Network International,
Amnesty International,
Cour Européenne des Droits de l’Homme,
Ligue Algérienne de défense des Droits de l’Homme,
Ligue Algérienne des Droits de l’Homme,
Haut Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU,
Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU,
Association pour la défense du droit international humanitaire, France (ADIF)
Monsieur le Président du Parlement Européen,
Mesdames et Messieurs les membres du Parlement Européen,
Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale Française,
Mesdames et Messieurs les député(e)s de l’Assemblée Nationale Française
L’Association Internationale des Juristes Démocrates
Mesdames et Messieurs,
bien vouloir intervenir auprès des autorités algériennes et plus particulièrement
auprès de Monsieur Abdelaziz Bouteflika, président de la république algérienne,
afin que cesse le harcèlement dont fait l’objet le citoyen Ali Benhadj contre
lequel aucun écart de conduite ou de langage n’a été retenu à l’issue des
innombrables interpellations dont il a fait l’objet ces derniers temps.
Salut. Il a purgé une peine de douze années de prison prononcée par le tribunal
militaire de Blida alors qu’il n’a commis aucune infraction pénale contre
l’institution militaire.
Benhadj a été arrêté en juin 1991 bien avant que ne sombre le pays dans la
violence suite à l’arrêt du processus électoral en janvier 1992.
comme responsables d’innombrables crimes ont bénéficié, au même titre que les
généraux responsables de la tragédie algérienne, de l’impunité dans le cadre de
l’application de la loi de la réconciliation nationale.
et se mêlent à la foule des hauts responsables de l’armée et de l’Etat lors
notamment des funérailles du général Smaïn Lamari, l’un des responsables des
disparitions forcées de milliers d’Algériens et de crimes contre l’humanité
(torture, déportations forcées, exécutions extrajudiciaires), Ali Benhadj se voit
privé du droit au travail et du droit à la parole.
tente de lui apporter aide et assistance, est arrêtée par la police et se voit
menacée d’inculpation pour acte de terrorisme.
jours, pour avoir tenté de participer comme n’importe quel citoyen aux marches
populaires de soutien aux populations palestiniennes de Ghaza, il est
quotidiennement arrêté dès le début de la manifestation avant qu’il ne soit
relâché tard dans la soirée aux services des urgences de l’hôpital Mustapha
Pacha d’Alger où il reçoit les premiers soins après avoir subi des maltraitances
de la part des policiers.
à Alger à 14h00 puis relâché à 15h00.
spontanée sortie de la mosquée "la provale" en direction de la présidence, Arrêté
à 14h00 ? Ali Benhadj est libéré à 20h00. Ses proches le recueillent au service
des urgences de l’hôpital Mustapha Pacha où il a été admis pour soins à l’issue
de sa détention qui a duré six heures.
13h30Il est interpellé à 16h00 juste avant le début du meeting. Il est libéré à
22h00 (six heures de détention).
à Alger où il devait remettre une lettre de protestation à son excellence
l’ambassadeur. Il est relâché à 20h00 après dix heures de détention arbitraire.
générale est membre du parlement algérien, il a été invité à participer à un
meeting à la place des martyrs à Alger. Dés son arrivée un groupe de
journalistes et quelques sympathisants se sont rassemblés autour de lui pour
poser quelques questions. Ce qui n'a pas été du goût des services de sécurité
présents sur les lieux. Ils ont immédiatement procédé à son arrestation à 11h00
du matin. Il ne fût libéré qu'à 19h00.
Islah à la salle de cinéma "Tamghout" à Bab-El-Oued Ali BENHADJ est arrêté
une première fois au niveau du siège de la Direction Générale de la Sûreté
Nationale pour le prétendu motif que la voiture dans laquelle il circulait était
volée. Il leur a laisse la voiture pour vérification et rejoint le lieu du meeting à
pied. Une fois arrivé, il est interpellé par les forces de sécurité aux environs de
16h30. Il est libéré deux heures plus tard, soit à 18h30.
forces de sécurité où son interrogatoire - toujours le même - ne durait qu'une
dizaine de minutes. Le reste du temps, on le gardait assis sur une chaise ce qui
n'a pas manqué de lui causer d'atroces maux de dos, séquelles des douze années
passés en prison.
que la loi de la réconciliation nationale n’a été instituée que pour absoudre les
crimes commis par les généraux de l’armée et les chefs des groupes armés
responsables de la mort de plus de 250.000 Algériens, de la disparition de plus
de 7500 personnes et de la déportation de plus de 15.000 personnes. Des chiffres
qui en disent long sur les crimes contre l’humanité pour lesquels la communauté
internationale semble indifférente.
votre part auprès des autorités algériennes, afin que cessent l’arbitraire et
l’injustice dans un pays qui a longuement souffert de la violence qui a endeuillé
des milliers de familles algériennes.
distinguées.
des Exilés et Réfugiés (ADER) en France), Brahim YOUNESSI (politologue et
Président du comité préparatoire des assises du Collectif Contre l’Impunité des
crimes contre l’humanité en Algérie), Abdelwahab BOUKEZOUHA (réfugié
politique en France et membre fondateur de l’ADER), Lyès LARIBI (écrivain
réfugié en France et Vice président de l’ADER), Anwar MALEK (journaliste
réfugié en France et membre fondateur de l’ADER) Khaled MOKHTARI
(Juriste réfugié en France Secrétaire général de l’ADER), Mohamed TAMALT
(journaliste réfugié à Londres), Mohamed-Chems-eddine BELLAMINE
(journaliste-France), (Mouloud BOUDOUCE –Belgique), B. Abdelkader
Londres, ancien détenu politique 1991/1997)
Solidarité avec Ghaza dans les rues d’Alger : Les harkis tuent a nouveau dans les rues d'Alger
et Ali Benhadj de nouveau arrêté
A l’issue de la prière du vendredi des milliers de citoyens sont sortis dans les rues de la capitales manifester leur solidarité avec les populations de Ghaza. Les forces de police ont usé de la violence pour disperser les manifestants faisant de nombreux blessés dont un journaliste du quotidien En-Nahar qui a été évacué à l’hôpital Mustapha pacha où il a subi une intervention chirurgicale. Du côté des forces de police, on dénombre, également, plusieurs blessés par des jets de pierre de la part des manifestants.
A la place du 1er mai, après la prière du vendredi à la mosquée "khaled-ibn-el-walid" de Belcourt, une marche spontanée et pacifique s'est mise en place avec la participation de cheikh Ali Benhadj. Les services de sécurité ont voulu arrêter le numéro 2 du FIS mais les participants à la marche se sont opposés et il a fallu l'intervention de cheikh Ali Benhadj pour calmer les esprits en acceptant de suivre de son plein gré les forces de sécurité afin d'éviter toutes confrontations.
Il est à rappeler que c’est la septième fois en treize jours cheikh Ali Benhadj fait l'objet d'une interpellation arbitraire de la part des forces de sécurité Algérienne. Ce harcèlement policier, ne semble pas faire plier le leader islamiste.
Lire, par ailleurs, le communiqué de Abdelhamid Benhadj au sujet
http://www.racinesdoutremed.com/
1 comment:
j'ai participé a des manifestations a blida et il n'y a eu aucune intervention policiere
seulement quand il y a des depassements et arretez votre propagande anti algérienne
les manifs sont interdite depuis 2001 depuis les emeutes alors STOP propagande .
AU MAROC 1 JEUNE TUE PAR LES POLICIERS LORS DES MANIFS ALORS ON NE PARLE PAS
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Guerre et gaz naturel : Invasion israélienne et gisements gaziers au large de Gaza
L'invasion militaire de la Bande de Gaza par les forces israéliennes, est en relation directe avec le contrôle et la possession de réserves stratégiques de gaz offshore.
Il s'agit d'une guerre de conquête. Découvertes en 2000, d’immenses réserves de gaz gisent au large de la côte de Gaza.
Des droits d’exploitation gazière et pétrolière de 25 ans, signés en novembre 1999 avec l'Autorité Palestinienne (PA), ont été accordés à British Gas (BG Group) et à son partenaire d’Athènes, Consolidated Contractors International Company (CCC), propriété du Liban et de la famille Sabbagh Koury.
Les droits sur le gaz offshore se montent respectivement à 60 pour cent pour BG, 30 pour cent pour CCC, et 10 pour cent pour le Fonds d'investissement de l'Autorité Palestinienne (Haaretz, 21 octobre 2007).
L’accord PA-BG-CCC inclue l’aménagement des gisements et la construction d'un gazoduc. (Middle East Economic Digest, 5 janvier 2001).
La licence de BG couvre la totalité de la zone maritime au large de Gaza, laquelle est contiguë à plusieurs installations gazières offshore israéliennes. (Voir la carte ci-dessous). Il convient de noter que 60 pour cent des réserves gazières le long de la côte de Gaza et d’Israël appartiennent à la Palestine.
BG Group a foré deux puits en 2000 : Gaza Marine-1 et Gaza Marine-2. British Gas estime que les réserves sont de l'ordre de 1,4 billions de pieds cubes (plus de 39 milliards de m3), évaluées à environ 4 milliards de dollars. Ce sont les chiffres publiés par British Gas. La taille des réserves de gaz palestiniennes pourraient être bien plus importantes.
Carte 1
Qui est propriétaire des gisements gaziers
La question de la souveraineté sur les gisements gaziers de Gaza est cruciale. Du point de vue juridique, les réserves de gaz appartiennent à la Palestine.
La mort de Yasser Arafat, l'élection du Hamas au gouvernement et la débâcle de l'Autorité Palestinienne ont permis à Israël d'établir un contrôle de facto sur les réserves de gaz offshore de Gaza.
British Gas (BG Group) a eu à traiter avec le gouvernement de Tel-Aviv. De son côté, le gouvernement du Hamas a été court-circuité en ce qui concerne l'exploration et la reconnaissance des droits sur les gisements gaziers.
L'élection du Premier Ministre Ariel Sharon en 2001 fut un tournant majeur. La souveraineté de la Palestine sur les gisements de gaz offshore fut contestée à la Cour Suprême israélienne. Sharon déclara sans ambiguïté qu’« Israël n'achèterait jamais de gaz à la Palestine, » laissant entendre que les réserves gazières au large de Gaza appartiennent à Israël.
En 2003, Ariel Sharon opposa son veto à un premier accord, qui aurait permis à British Gas d’alimenter Israël en gaz naturel des réserves offshore de Gaza. (The Independent, 19 août 2003).
La victoire électorale du Hamas en 2006 a favorisé la fin de l'Autorité Palestinienne, qui est devenue confinée à la Cisjordanie, sous mandat du régime de Mahmoud Abbas.
En 2006, British Gas « a été à deux doigts de signer un accord de pompage de gaz pour l'Égypte. » (Times, 28 mai 2007). Selon les rapports, le Premier Ministre britannique Tony Blair est intervenu pour le compte d'Israël pour faire capoter l'accord avec l'Égypte.
L'année suivante, en mai 2007, le Cabinet israélien a approuvé une proposition du Premier Ministre Ehud Olmert, « d'acheter du gaz à l'Autorité Palestinienne. » Le contrat proposé était de 4 milliards de dollars, avec des bénéfices de l'ordre de 2 milliards de dollars, dont un milliard pour les Palestiniens.
Toutefois, Tel-Aviv n'avait pas l'intention de partager les revenus avec la Palestine. Une équipe de négociateurs israéliens a été constituée par le Cabinet israélien pour arriver à un accord avec le BG Group en court-circuitant à la fois le gouvernement du Hamas et l'Autorité Palestinienne :
Les autorités de la défense israéliennes veulent que les Palestiniens soient payées en biens et en services, et insistent sur le fait qu’aucun argent ne doit aller au gouvernement contrôlé par le Hamas. (Ibid).
L'objectif était avant tout de rendre caduc le contrat signé en 1999 sous Yasser Arafat entre BG Group et l'Autorité Palestinienne.
Dans le cadre de l’accord avec BG proposé en 2007, le gaz palestinien des réserves au large de Gaza devait être acheminé par un gazoduc sous-marin vers le port israélien d'Ashkelon, transférant de cette façon le contrôle sur la vente du gaz naturel à Israël.
L'accord a échoué. Les négociations ont été suspendues :
Meir Dagan, le chef du Mossad, s’est opposé à l'opération pour raison sécuritaire, prétextant que cela pourrait financer le terrorisme (Membre de la Knesset Gilad Erdan, allocution à la Knesset sur « L'intention du Vice-Premier Ministre Ehud Olmert d'acheter du gaz aux Palestiniens alors que le paiement servira le Hamas, » 1er mars 2006, cité dans l’article du lieutenant-général (à la retraite) Moshe Yaalon, Does the Prospective Purchase of British Gas from Gaza's Coastal Waters Threaten Israel's National Security? Jerusalem Center for Public Affairs, octobre 2007)
L'intention d’Israël était d'empêcher que de possibles redevances soient payées aux Palestiniens. En décembre 2007, Le BG Group s’est a retiré des négociations avec Israël, et, en Janvier 2008, il a fermé son bureau en Israël. (site Internet de BG).
Le plan d'invasion à l’étude
Selon des sources militaires israéliennes, le projet d'invasion de Gaza dans le cadre de l'« Opération Cast Lead » a été mis en branle en juin 2008 :
Des sources dans le personnel de la défense ont déclaré que le Ministre de la Défense Ehud Barak a chargé les Forces de la Défense Israéliennes de se préparer à l'opération il y a plus de six mois [juin ou avant juin], bien qu’Israël ait commencé à négocier un accord de cessez-le-feu avec le Hamas. (Barak Ravid, Operation "Cast Lead": Israeli Air Force strike followed months of planning, 27 décembre 2008).
Ce même mois, les autorités israéliennes ont pris contact avec British Gas, dans le but de reprendre des négociations cruciales sur l'achat du gaz naturel de Gaza :
À la fois le directeur général du Ministère des Finances, Yarom Ariav, et le directeur général du Ministère des Infrastructures Nationales, Hezi Kugler, ont convenu d’informer BG du souhait d'Israël de renouer les pourparlers.
Les sources ont rajouté que BG n'a pas encore officiellement répondu à la demande d'Israël, mais que des cadres de l'entreprise pourraient sans doute aller quelques semaines en Israël pour des conversations avec certains fonctionnaires du gouvernement. Globes online-Israel's Business Arena, 23 juin 2008)
La décision d'accélérer les négociations avec British Gas (BG Group) coïncidait chronologiquement à la planification de l'invasion de Gaza, amorcée en juin. Il semblerait qu’Israël était soucieux de parvenir à une entente avec BG Group avant l'invasion, qui était déjà à un stade de préparation avancée.
Et qui plus est, ces négociations avec British Gas ont été conduites par le gouvernement Ehud Olmert qui savait que l’invasion militaire était à l’étude. Selon toute vraisemblance, un nouvel arrangement politico-territorial « d'après-guerre » a aussi été envisagée par le gouvernement israélien pour la Bande de Gaza.
En fait, les négociations entre British Gas et les responsables israéliens étaient en cours en octobre 2008, 2 à 3 mois avant le début des bombardements du 27 décembre.
En novembre 2008, le Ministère israélien des Finances et le Ministère chargé des Infrastructures Nationales ont ordonné à Israel Electric Corporation (IEC) d’engager des négociations avec British Gas, pour l'achat de gaz naturel provenant de la concession de BG au large de Gaza. (Globes, 13 novembre 2008).
Yarom Ariav, directeur général du Ministère des Finances, et Hezi Kugler, directeur général du Ministère des Infrastructures Nationales, ont écrit récemment à Amos Lasker, chef de la direction d’IEC, l'informant de la décision du gouvernement de permettre aux négociations d'aller de l'avant, conformément à la proposition cadre approuvée plus tôt cette année.
Il y a quelques semaines, le conseil d’administration d’IEC, dirigé par le président Moti Friedman, a approuvé les principes de la proposition cadre. Les pourparlers avec BG Group commenceront dès que le conseil d’administration approuvera l'exemption pour l’offre. (Globes, 13 novembre 2008)
Gaza et la géopolitique de l'énergie
L'occupation militaire de Gaza a pour but de transférer la souveraineté des gisements gaziers à Israël, en violation du droit international.
À quoi pouvons-nous nous attendre suite à l'invasion ?
Quelle est l'intention d'Israël en ce qui concerne le gaz naturel de la Palestine ?
Un nouvel arrangement territorial, avec le stationnement de troupes israéliennes et/ou la présence de « forces de maintien de la paix » ?
La militarisation de la totalité du littoral de Gaza, lequel est stratégique pour Israël ?
La confiscation pure et simple des gisements gaziers palestiniens et la déclaration unilatérale de la souveraineté israélienne sur les zones maritimes de la bande de Gaza ?
Si cela devait arriver, les gisements gaziers de Gaza seraient intégrées aux installations offshore d'Israël, qui sont adjacentes. (Voir la carte 1 ci-dessus).
Ces diverses installations offshore sont aussi reliées au couloir de transport énergétique d’Israël, qui se prolonge jusqu’au port d'Eilat, le port maritime terminal de l’oléoduc sur la Mer Rouge, au terminal du pipeline à Ashkelon, vers Haïfa au nord, et se rattachant éventuellement grâce à un pipeline israélo-turc en projet au port turc de Ceyhan.
Ceyhan est le terminal du pipeline Trans-Caspien Bakou, Tbilissi Ceyhan (BTC). « Ce qui est envisagé, c’est de relier le pipeline BTC au pipeline Trans-Israel Eilat-Ashkelon, aussi connu sous le nom d'Israel’s Tipline. » (Voir Michel Chossudovsky, The War on Lebanon and the Battle for Oil, Global Research, 23 juillet 2006).
Hamas : la résistance tue 12 soldats sionistes en levant le nombre à 45 morts et 120 blessés
Le Hamas a déclaré, vendredi soir 9/1, que les résistants des brigades d'Al Qassam, la branche militaire du Hamas ont tué 12 soldats de l'occupation sioniste.
Le membre du bureau politique du Hamas, Mohammed Nazzal, a affirmé lors d'une déclaration de presse , vendredi soir, que les résistants d'Al Qassam ont pris en cible 4 soldats sionistes dans diverses régions dans la Bande de Gaza, alors que 8 autres ont été tués par les tirs d'Al Qassam après une embuscade tendue dans une maison.
"45 soldats sionistes ont été tués, ainsi que plus de 120 autres ont été blessés", a affirmé Nazzal selon de nouvelles statistiques de la résistance.
L'armée de l'occupation impose une interdiction médiatique contre les pertes et décès de ses forces armées pour ne pas provoquer le "front intérieur" dans l'entité sioniste, au moment où elle n'a reconnu que la mort de 15 soldats et la blessure de 115 autres, par crainte des conséquences des partes qui vont influer d'une manière négative sur ses opérations militaires agressives contre les civils innocents de la Bande de Gaza.
Dans un communiqué militaire dont notre Centre Palestinien d’Information (CPI) a reçu une copie, les brigades d’Al-Qassam disent : « Les brigades d’Al-Qassam déclarent leur responsabilité dans le bombardement, pour la première fois, de la base militaire aérienne de Tal Nouf. Elle se trouve à 45 kilomètres de la bande de Gaza. C’est la plus grande base, au centre de la Palestine occupée, au nord-est de la ville de Jdira. C’est la portée la plus longue que les roquettes des brigades d’Al-Qassam ont atteint jusqu’à maintenant ».
Les brigades d’Al-Qassam soulignent que leurs combattants ont tiré la roquette Grad en direction de la base à 8h05 de ce matin, vendredi. Ce tir fait partie du « Combat Al-Forqane » engagé par les brigades d’Al-Qassam pour contrecarrer la guerre menée par les Israéliens contre la bande de Gaza. C’est une des répliques à la mort de plus de 760 martyrs et aux milliers de blessés.
Le communiqué ajoute : « Les brigades d’Al-Qassam annoncent cette mission de djihad pour confirmer que l’ennemi n’a fait qu’une bêtise (avec cette guerre). Il pousse ses soldats dans le piège préparé par nos combattants. Nos combattants les attendent avec impatience pour leur donner les leçons qu’ils méritent. Les jours à venir montreront combien ce Barak était stupide lorsqu’il a décidé d’entrer à Gaza ».
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Urgent : Plusieurs pays arabes et occidentaux sont sous la pression de coups d 'Etat
Des sources locales informent l’envoyé de notre Centre Palestinien d’Information (CPI) que les forces israéliennes d'occupation se sont retirées de l’est de Qarara, après avoir été confrontées à une résistance acharnée. En fait, les brigades d’Al-Qassam, branche militaire du mouvement du Hamas, ont pu abattre un soldat israélien et en blesser plusieurs autres.
Après la défaite des forces israéliennes d'occupation, des secouristes ont réussi à évacuer les corps de trois personnes âgées qui étaient tombées en martyre par les bombardements israéliens.
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Yisrael provoque le Hizbullah et ouvre le front Nord avec le Liban
ABU SULEYMAN
http://islamic-intelligence.blogspot.com/
Des sources militaires sionistes ont déclaré que des roquettes de type "Katioucha" se sont abattues, aujourd'hui jeudi 8/1, sur le nord des territoires palestiniens occupés en 1948 dans la région de Naharia et Shlomi, près des frontières palestino-libanaises.
"5 roquettes de type Katioucha qui ont été lancées à partir d'un village du sud Liban se sont abattues sur le nord des territoires occupés en blessant, au moins, 5 israéliens", ont annoncé des sources de l'occupation, tout en écartant que le Hezbollah soit derrière cette opération.
Les sources hébreux ont déclaré que l'armée de l'occupation a répondu par le lancement de 4 obus d'artillerie sur ce village libanais.
Suite à ce bombardement, l'armée de l'occupation a alerté les habitants sionistes qui résident dans les régions limitrophes du Liban, en donnant l'ordre de fermer les écoles.
Pour sa part, le ministre sioniste de la guerre, Ehud Barak, avait averti des tentions sur les frontières libanais, en affirmant que durant la guerre ouverte contre les palestiniens dans la Bande de Gaza, les occupants israéliens restent très vigilants envers la situation très sensible sur les frontières avec le Liban. Dans ce contexte les services de la sécurité libanaise avaient déclaré qu'ils ont saisi des roquettes près de cette région, sans qu'il y ait de revendication, jusqu'à maintenant, envers cette escalade militaire.
2 comments:
Les sionistes sont entrés dans leur phase finale, ils jouent le tout pour le tout ! C'est le sursaut de la bête, comme le mouton qu'on égorge qui donne des coups de pieds pour essayer de ne pas mourir seul ! Ces dévots de satan sionistes veulent entrainer le modne avec eux !
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La Resistance Islamique de Palestine affirme recevoir de l'aide de partout sur la planete et renouvelle son appel au Djihad contre Israel
"Une grande charge explosive a pris en cible un "Merkava 4" et un groupe de soldats sionistes, dans la région derrière le marché des voitures, où plusieurs d'entre eux ont été tués et d'autres blessés", a confirmé une source d'Al Qassam.
L'armée de l'occupation a indiqué que durant plusieurs affrontements qui ont eu lieu, lundi dernier, certains palestiniens avec des ceintures chargées d'explosives ont participé à des combats, en prétendant que les résistants "porteurs de ceintures piégées" se trouvent à la périphérie des zones résidentielles.
Selon les rapports de l'armée sioniste, les combattants du Hamas dont des porteurs de ceintures explosives qui utilisent des tunnels creusés sous le sol augmentent leurs actions dans le but de surprendre les soldats israéliens.
L'analyste et spécialiste dans les affaires du Moyen-Orient, David Hartwell, a jugé impossible les prétentions de la victoire de l'armée de l'occupation israélienne sur le Hamas, en déclarant que la situation sécuritaire ne va pas s'améliorer, même si elle durera longtemps.
Lors d'un communiqué publié par ce journal, le mardi 6/1, l'expert britannique a considéré que l'occupation essaye de gagner du temps (une semaines ou dix jours) pour finir ses opérations à Gaza, surtout que les pressions internationales prennent beaucoup de temps pour adopter la nécessité d'une motivation diplomatique.
Il a souligné que l'occupation tente d'arriver à des réalisations réelles sur le terrain pour justifier ses pertes humaines et financières.
7 janvier 2009: Arrestation du Sheykh Ali Benhadj
Il a été retenu de dix heures du matin à vingt heures du soir , heure de sa libération du CHU mustapha BACHA à Alger.
Ce matin 07 janvier 2009, il a été invité à participer à un rassemblement organisé par le Parti des Travailleurs de Louisa HANOUNE à la place des martyrs à Alger ; arrivé sur le lieu du rassemblement en faveur de la population de Ghaza, aprés un bref entretien avec quelques journalistes sur place, il a été une nouvelle fois interpellé par les services de sécurité algériennes aux environs de onze heures du matin.
A noter que c'est la sixième fois que cheih Ali BENHADJ a été enlevé par les services de sécurité pour avoir voulu exprimer sa solidarité avec ses frères de Ghaza en Palestine occupée.
1: devant le siège de l'APN à Alger.
2: marche pacifique à la sortie de la mosquée à Alger.
3: marche pacifique à la sortie de la mosquée à Alger.
4: rassemblement à la salle de l'UGTA à Alger.
5: remise d'une lettre de protestation à l'ambassade des usa.
6: ce matin lors d'un rassemblement à la place des martyrs à Alger à l'initiative du parti des travailleurs.
Abdelhamid BENHADJ
Alger le 07 janvier 2009
Why is Obama Silent about Israeli War Crimes?
“If white phosphorus was deliberately fired at a crowd of people someone would end up in The Hague. White phosphorus is also a terror weapon. The descending blobs of phosphorus will burn when in contact with skin.”- Charles Heyman, British military expert The Times (U.K.), 5 January 2009
The Israelis are clearly using white phosphorus incendiary shells on the civilian population of Gaza. This is just one of the egregious war crimes being committed by the criminal regime headed by Ehud Olmert. Why is Obama silent in the face of such obvious crimes? Will Ehud Olmert and Ehud Barak end up in The Hague?
Photo: Jack Guez/AFP/Getty Images
Israel rains fire on Gaza with phosphorus shells in these photos, which are clear evidence of war crimes being committed in real time. Why is President-elect Obama, who happens to share the same Hebrew name, i.e. Barak, as the Israeli leading this criminal assault, mute about the genocidal war crimes being committed by Israel in Gaza?
"Israel rains fire on Gaza with phosphorus shells" is the title of The Times (U.K.) article dated 5 January 2009. It describes the evidence that Israel is using white phosphorus shells on the defenseless civilians of the Gaza Strip in what is a clear-cut war crime:
Israel is believed to be using controversial white phosphorus shells to screen its assault on the heavily populated Gaza Strip yesterday. The weapon, used by British and US forces in Iraq, can cause horrific burns but is not illegal if used as a smokescreen.As the Israeli army stormed to the edges of Gaza City and the Palestinian death toll topped 500, the tell-tale shells could be seen spreading tentacles of thick white smoke to cover the troops’ advance.
It should be noted that the Israelis have been using these white phosphorus shells since the beginning of the aerial assault on Gaza, which is obvious from watching the television footage from the first week of the assault - before the ground invasion began. That is criminal, as the Times article notes. CNN International, for example, has shown many clips of the jellyfish-like tentacles of the phosphorus bombs raining down on Gaza, but has never discussed the use of this criminal weapon on the defenseless Palestinians.
See also: "Israel uses phosphorus shells as smokescreen for troops," Robert Mendick, Evening Standard (U.K.), 5 January 2009The Israelis have also been targeting ambulances in Gaza, a war crime they have committed with impunity since at least 1982:
The civilian toll in the first 24 hours of the ground offensive — launched after a week of bombardment from air, land and sea— was at least 64 dead. Among those killed were five members of a family who died when an Israeli tank shell hit their car and a paramedic who died when a tank blasted his ambulance.
Barack and his Israeli friends: Candidate Obama visits the Israeli settlement of Sderot, July 2008. People who wonder why President-elect Obama has failed to condemn the criminal aggression against the Palestinians of Gaza should look closely at the following photos from July 2008 of Obama with Ehud Barak (left), the Israeli "defense minister" running the criminal assault on the defenseless population of Gaza. Obama is another Zionist puppet - just like George W. Bush. What a change.
Sderot, an Israeli settlement with a population of about 12,000, lies one kilometer from the Gaza Strip, which is home to more than 1 million Palestinian refugees whose homes and land were stolen by the Zionist invaders from Russia and the Pale of Settlement in 1948. The Zionist criminals occupying Palestine have tried to kill as many refugees as possible because the refugees have clear legal rights to their homes and land in Palestine, which the Zionists (i.e. Israelis) occupy today.
Sderot was created from the former Gevim-Dorot transit camp. Most of original residents were Kurdish and Persian Jewish immigrants who lived in tents and shacks. In 1954, Israel began building permanent structures. Moroccan immigrants comprised 87 percent of Sderot's population in 1961 with 11 percent immigrants from Kurdistan. In the 1990s, Sderot absorbed a large number of immigrants from the former Soviet Union.
As Barack Obama supported Israel's perverse right of "self defense" in 2008 against the resistance of the native Palestinian population forced into exile in Gaza by the Zionist ethnic cleansing of 1948 and subjected to Israeli aggression and blockades, the Israeli defense minister Ehud Barak could clearly be seen laughing in the background. See CNN footage to see Barak laughing.
Obama was surrounded by Zionist extremists during his 2008 visit to Israel/occupied Palestine. Israeli foreign minister Tzipi Livni (foreground) is the daughter of the former terrorist chief of the Irgun, which killed and bombed its opponents. How does an American president befriend terrorists?Obama could easily laugh with the Israelis about the situation in Gaza because he never went to Gaza. He was "Eyeless in Gaza."Obama laughed very easily with Ehud Olmert, the Israeli war criminal who paid a secret visit to New York City on September 10-11, 2001. What joke are they sharing? Crimocracy? What crimocracy?
Azzedine Al Qassam confirme 120 soldats sionistes abattus, 97 blessés... La preuve en image
Mise a jour : Ce message s'adresse a tous les Musulmans en age de combattre, la guerre, selon plusieurs de nos sources, va s'etendre au Moyen Orient dans les 48 a 72 heures, vraisemblablement au Liban et en Syrie. La Resistance Islamique Palestienne demande a tout Musulman en age de combattre de se presenter le plus tot possible dans les differents lieux dits pour preter main forte aux familles de Gaza assiegées.
"Au moins10 soldats sionistes ont été tués, lundi soir 5/1, alors que plus de 30 autres ont été blessés de l'élite d'une force sioniste, dans une embuscade ", ont affirmé des sources aux brigades d'Al Qassam, la branche militaire du Hamas.
Les sources d'Al Qassam ont confirmé au centre palestinien d'information que leurs résistants ont piégé des dizaines de soldats sionistes, dans une maison, dans la région nord de la bande de Gaza.
"Les résistants d'Al Qassam ont encerclé les soldats sionistes dans une maison piégée, puis les ont ciblé à l'intérieur par des tirs de roquettes, d'obus et des balles de type lourde, où les hélicoptères de l'armée ont intervenu pour les évacuer sous le couvert d'un feu nourri.
Les sources ont souligné que les brigades d'Al Qassam ont tué 10 soldats en blessant plus de 30 autres, tout en indiquant qu'Al Qassam va annoncer les détails de cette opération plus tard.
Au moins 16 soldats sionistes abattus hier soir sur la ville de Gaza, un merkava detruit, Yisrael cible les civils deliberement
Abou Obeida, porte-parole des brigades du martyr Ezzeddine Al-Qassam, la branche militaire du Hamas, a promis lundi 5/1 la victoire contre les forces armées qui tiennent une offensive terrestre à Gaza, où plusieurs habitations surpeuplées ont été prises en cible via diverses armes de l'occupation. Au moins plusieurs enfants et femmes ont été tués.
Sur la chaîne de télévision Al-Aqsa, Abou Obeida a affirmé que des milliers de résistants palestiniens, notamment d'Al-Qassam, sont prêts à combattre les troupes armées d'invasion aux alentours de la ville de Gaza.Abou Obeida a menacé avec vigueur les soldats sionistes : "Nous vous avons préparé de bonnes surprises qui vous amèneront près de votre ami Châlit. On lui a promis qu'il ne sera plus seul dans son incarcération".Le dirigeant d'Al-Qassam a annoncé que les résistants palestiniens attendent avec impatience les accrochages avec les soldats qui n'ont pas le courage d'apparaître sur les lieux de bataille.
Les Brigades d'Al Qassam affirment que 11 soldats et un colonel ont été tués
Des sources des brigades d'Al Qassam, la branche militaire du Hamas ont affirmé, dimanche soir 4/1, que leurs résistants ont tué un colonel et 11 soldats sionistes, alors que plus de 48 autres ont été blessés, en 24 heures seulement.
Les sources ont souligné que 5 soldats sionistes sont morts, samedi la nuit, et 6 autres pendant la nuit de dimanche dont un colonel qui avait participé à la guerre contre le Liban.
Des médias hébreux ont publié que l'armée sioniste a déclaré que ses soldats sont devant une vraie bataille très forte et s'accrochent, actuellement, avec les résistants palestiniens qui luttent avec obstination.
De sa part, le membre du bureau politique du Hamas, Mohammed Nazzal a déclaré selon des nouvelles sur le terrain de la bataille avec l'armée de l'occupation, que 60 soldats ont été blessés alors que 11 soldats sont morts, ainsi qu'un colonel de la brigade spéciale "Golani" qui a été tué dans le quartier de Zeitoun, ainsi que plus de 48 autres ont été blessés.
Nazzal a fortement estimé le discours du Roi du Qatar, Hamad Ben Khalifa, en le qualifiant d'un "discours politique avancé", car il représente une critique à la position faible des dirigeants arabes, tout en espérant que ce discours va contribuer à un avantage politique très important.
Nazzal a indiqué que la non tenue du sommet arabe représente un point noir qui prouve que les arabes ne sont pas encore au niveau de leurs responsabilités.
Nazzal a révélé l'existence de certains contacts européens et autres qui demandent au Hamas de presser sur les résistants pour qu'ils arrêtent le lancement des roquettes, tout en soulignant que l'arrêt des roquettes ne va pas arrêter jusqu'à l'arrêt total des agressions de l'occupation et l'ouverture des passages.
Le Sheykh Ali Benhadj a nouveau la cible de la France et ses harkis
Après avoir été interpellé lors du sit-in organisé devant l’APN et son interpellation vendredi dernier, Ali Benhadj est de nouveau arrêté ce dimanche 4 janvier selon un communiqué signé par son frère Abdelhamid.(voir original)
Parce qu’il participe comme n’importe quel citoyen aux rares manifestations de solidarité organisée à Alger avec le peuple de Ghaza, le cheikh Ali Benhadj est interpellé, malmené, molesté et puis relâché. Quel danger représente-t-il à un état fort de son armée, de sa police et de tout un appareil répressif ? Pourquoi persécuter un homme sans défense et inoffensif au point de faire de lui un martyr sans qu’il ne le demande ?
N’a-t-il pas suffi au régime des généraux d’avoir fait purger au numéro 2 du FIS 12 années de prison en lui collant la responsabilité de la violence qui a frappé et qui frappe encore le pays alors qu’il était bien loin des événements pour avoir été arrêté en juin 1991 bien avant le déclenchement des opérations terroristes qui ont suivi le coup d’état de janvier 1992.
Sous les applaudissements des pseudo démocrates on fait payer le prix de la violence à Ali Benhadj et avec leur silence complice on fait bénéficier de l’impunité les chefs terroristes que sont Layada, Benaïcha, Madani Mezrag et leurs officiers traitants que sont les généraux putschistes. Ceux qui ont ordonné les bombardements au napalm des zones civiles et qui ont ordonné les enlèvements et les liquidations des milliers d’innocents continuent de narguer le peuple, les orphelins et les veuves dont le père, le mari ou l’enfant est porté sur la liste des milliers de disparus reconnue par le pouvoir lui-même.
Que veut le pouvoir à Ali Benhadj ? Après l’avoir emprisonné, privé de ses droits civiques et politiques, et du droit au travail pour subvenir à ses besoins et aux besoins de sa famille, que lui reste-t-il à faire d’autre si ce n’est l’organisation e son assassinat de manière crapuleuse ?
La loi de la réconciliation imposée aux victimes de la tragédie nationale ne s’applique-t-elle pas à Ali Benhadj? Parce qu’il n’a pas tué il n’est pas concerné par cette loi ? Finalement, cette loi ne concerne que les criminels qu’ils soient des généraux ou de simples voyous qui ont fait de l’islamisme une couverture à leur banditisme comme les généraux ont fait de la défense de la démocratie un alibi à leurs crimes.
Avec le temps, les masques sont tombés. Ceux qui ont profité du FIS pour obtenir le droit d’asile dans les capitales occidentales en s’adonnant au commerce du sang et des larmes ne se soucient plus de Ali Benhadj. Ils sont les premiers à le trahir. Les pseudo démocrates qui ont fait de Ali Benhadj leur ennemi numéro un alors qu’ils devaient lutter contre le régime maffieux sont aujourd’hui les premiers à jouer aux opposants sans s’organiser dans un cadre constructif. Ils jouent aux GIA du net en tirant à boulets rouges sur tous ceux qui dénoncent le régime par les faits ou oeuvrent à faire tomber ses symboles.
Mais quoiqu’il en soit, la vérité finira par triompher. Les fourbes, les traîtres et les intrus finiront par tomber comme tomberont les têtes d’un régime pourri qui vit de la corruption et de la passivité des hommes et formations politiques qui se réclament de l’opposition.
Hichem ABOUD
1 comment:
comment avez-vous intégrer votre widget de géolocalisation sur votre blog ?
cordialement
r.pellegrin
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L’occupation israélienne entre l’enclume du bourbier de Gaza et le marteau des roquettes
Les dirigeants de l’Entité sioniste sont dans une position très délicate. Ils n’ont pas pu stopper les roquettes de la résistance palestinienne, après une semaine d’une guerre si dévastatrice. Ils se trouvent obligés d’envoyer leur armée dans une guerre terrestre, bien qu’ils savent qu’un échec très possible les attend à la fin du tunnel.
Ils auraient préféré voir les roquettes s’arrêter même pour un laps de temps pour dire à leurs électeurs qu’ils ont pu réaliser quelque chose, et pour retoucher un peu leur image ternie pendant la guerre du Liban 2006.
Par contre, si les dirigeants israéliens avaient décidé de ne pas commencer une guerre terrestre, on aurait dit qu’ils avaient peur de le faire.
Le journal hébreu Haaretz dit qu’on espérait que tous les changements, les manœuvres et les armements modernes réalisés après la guerre du Liban pouvaient faire quelque chose. Et bien non. Les images nous montrent des scènes semblables au passé, dans les territoires palestiniens ou au Liban, dit le journal hébreu.
La peur de la guerre terrestre
Les Israéliens ont une grande peur de la guerre terrestre. Elle leur fait rappeler leurs pertes. Pendant l’opération « L’hiver chaud », les brigades d’Al-Qassam, branche militaire du mouvement du Hamas, ont pu infligé aux Israéliens des pertes humaines considérables. Toutes nouvelles pertes peuvent entamer le soutien populaire de l’opération actuelle. La question actuelle est la suivante : qui va tomber le premier, le Hamas ou le soutien populaire ?
Le bourbier de Gaza
Amous Oz écrit dans le journal hébreu Yediot Ahronot que l’opération terrestre pourra enliser l’armée israélienne dans le bourbier de Gaza, qui est beaucoup plus terrible que celui du Liban.
Et puis cette opération pourra mettre en danger la vie du soldat détenu Gilad Chalit. Son destin sera comme celui du pilote Arad capturé au Liban dans les années quatre-vingts.
Les Israéliens prennent au sérieux les menaces de la résistance palestinienne de capturer un grand nombre de soldats, des menaces qui ont beaucoup de surprises dans leur sac.
De plus, il y aurait des dangers sécuritaires sur l’Entité sioniste, si le Hamas tombait. Il est très difficile de combler la lacune laissée par le Hamas.
En tout cas, l’opération terrestre a commencé. Des soldats israéliens sont morts. Déjà, des dizaines d’autres sont blessés. Un nombre inconnu est capturé. L’opération terrestre a commencé, mais les roquettes vont dans la profondeur de l’Entité sioniste, de plus en plus loin.
L’occupation israélienne se trouve vraiment entre l’enclume du bourbier de Gaza et le marteau des roquettes.
43 soldats sionistes abattus, 2 captures vivants, les communications sionistes coupees au sol, Yisrael embourbee
Les Brigades des martyrs Ezzeddine Al Qassam, la branche militaire du Hamas ont capturé, samedi soir 3/12, deux soldats sionistes après l'invasion des forces armées sionistes dans les alentours de la bande de Gaza.
Des sources bien informées ont rapporté selon une source du Hamas que les résistants des brigades d'Al Qassam ont capturé deux soldats israéliens dans la région de la montagne d'Al Raïs, à l'est de la ville de Gaza.
"Les soldats occupants ont été enlevé et emmenés vers une direction secrète et loin de la bataille", ont ajouté ces sources.
Le porte parole des brigades d'Al Qassam, Abou Obeida, a promis la nation de grandes surprises, tout en déclarant qu'il ne veut pas donner d'informations gratuites à l'armée sioniste, au moment où il a annoncé que les nouvelles concernant l'enlèvement des soldats occupants seront publiées ultérieurement.
"Dans ce contexte, l'armée occupante a dit qu'elle a perdu ses contacts avec l'un de ses soldats", ont souligné les mêmes sources au centre palestinien d'information.
Le porte parole d'Al Qassam a qualifié la décision de l'occupation d'envahir la Bande de Gaza de forte stupidité, en révélant que les résistants des factions palestiniennes se sont bien préparées pour cette bataille.
Il a souligné : "nous les avons surpris dès la première demi-heure de leur incursion et nous les avons attaqué avec plusieurs charges explosives, tout en confirmant que les résistants ont entendu les cris et les hurlements sur les ondes de leur radio ainsi que leur discours de 5 morts et 20 blessés parmi leurs soldats".
Notons que les dirigeants du Hamas, notamment Khaled Mechaal ainsi que les dirigeants d'Al Qassam et son porte parole, Abou Obeida, ont avertit l'occupation qu'il va y avoir plusieurs Chalit.
Certains observateurs très intéressés et préoccupés par les évènements de la scène palestinienne dans la Bande de Gaza, ont exprimé leur fort étonnement en ce qui concerne la patience, la volonté très solide et historique des résistants palestiniens, tout en prévoyant leur triomphe sur les forces armées de l'occupation.
Il est noté que des sources palestiniennes avait révélé que 5 soldats sionistes ont été tués durant les premiers accrochages avec les résistants palestiniens, alors que l'armée de l'occupation a reconnu seulement 30 autres blessés dont 2 dans un état très grave.
Manifestation de solidarité avec les populations de Ghaza
Plusieurs milliers d'Algériens ont bravé l'interdiction à Alger et dans de nombreuses villes du pays pour exprimer leur solidarité agissante avec Ghaza. Ils ont été nombreux à faire face au gourdin et à la matraque des policiers. D'autres ont été arrêtés et conduits aux postyes de police.
A Kouba à l’issue de la prière du vendredi, un groupe de manifestants, dont le nombre ne cessait de croître au fil des premiers kilomètres parcourus, a été vite stoppé par une quarantaine de camions de police postés pas loin de l’hôpital. Selon l’un des manifestants joint par téléphone, les policiers n’ont lésiné sur aucun moyen pour arrêter la marche qui se dirigeait vers l’ambassade d’Egypte à Alger.
De nombreux blessés ont été dénombrés parmi les marcheurs et le cheikh Ali Benhadj qui était parmi la foule des manifestants a été enlevé par des policiers en civils qui l’ont placé dans une Golfe de couleur blanche.
Ses lunettes brisées, son qamis déchiré, blessé au bras et aux pieds, il a été transporté au commissariat de police de Benomar avant d’être transféré au commissariat central d’Alger.
Dans une communication téléphonique, à l’issue de sa sortie du service des urgences de l’hôpital Mutapha Pacha où il a été transféré après sa garde à vue au commissariat de Police, Ali Benhadj nous a déclaré qu’aux policiers qui lui ont indiqué que les manifestations publiques sont interdites pour cause d’état d’urgence, il leur a répondu que l’Egypte aussi est sous état d’Urgence, mais le peuple a manifesté dans les rues sa solidarité avec Ghaza. Il n’a pas manqué de rappeler que l’Algérie de Djamila Bouhired et des martyrs de la révolution de novembre a pour devoir d’apporter son soutien à la résistance palestinienne au moment où ce peuple frère subit les affres d’un véritable génocide » Il a ajouté « dans tous les pays du monde y compris Les Iles Comores et le Vatican les gens sont sortis dans les rues manifester contre l’agression israélienne et se solidariser avec la Palestine. »
Aux policiers qui lui ont déclaré faire leur devoir en l’interpellant, le numéro 2 du FIS a répliqué par un cinglant « moi, aussi, je fais mon devoir en manifestant en faveur des frères palestiniens. » A l’issue de sa garde à vue, Ali Benhadj a refusé de signer le PV d’audition. Il a été transféré, ensuite, au service des urgences de l’hôpital Mustapha pacha pour soigner ses blessures avant qu’il n’appelle ses proches pour aller le chercher à une heure tardive de la nuit.
En apprenant qu’en France des appels ont été lancés dans les mosquées pour appeler les citoyens à manifester dans les grandes villes du pays, Ali Benhadj a éclaté en sanglots en disant « en Algérie, pays musulman, il est interdit de lancer pareils appels dans les mosquées alors que cela est permis en Occident »
C’est la deuxième fois en une semaine que le cheikh Ali Benhadj se trouve entre les mains de la police pour avoir tout simplement participé, comme n’importe quel citoyen, à une manifestation de soutien aux populations palestiniennes de Ghaza.
Il est navrant de constater que le gouvernement algérien qui n’entretient pas de relations diplomatiques avec l’Etat d’Israël contrairement à d’autres pays arabes, interdit au peuple algérien de manifester sa solidarité avec leurs frères palestiniens.
Or, dans toutes les capitales et grandes villes occidentales qui ne cachent pourtant pas leur amitié avec Israël, les manifestations de soutiens aux populations de Ghaza se sont tenues et se tiennent encore sans que les organisateurs ou les participants ne rencontrent le moindre problème.
Le pouvoir algérien craindrait-il que les manifestations de solidarité avec le peuple palestinien ne se transforment en manifestations hostiles au régime ? Ou est-ce que l’influence de l’administration américaine serait-elle pour quelque chose ? Dans un pays où la communication du président de la république est entre les mains de la CIA, comme nous le démontrerons dans un prochain article, il est permis de faire dans le verbiage officiel. Mais il n’est guère permis de laisser la rue s’exprimer en toute spontanéité. Les marches spontanées (el-massirate el-afwiya) relèvent du domaine réservé de l’état.
Hichem ABOUD
3 janvier 2009
L’occupation cache ses lourdes pertes, 35 sionistes morts mais avoue la mort d’un officier et d’un soldat en plus de 30 blessés
Dans une tentative pour cacher les grandes pertes dans les rangs de l’armée sioniste, l’occupation avoue la mort d’un officier et d’un soldat ainsi que la blessures de 30 autres, alors que la résistance palestinienne affirme qu’elle a tué 5 sionistes et a blessé plus de 30 autres dont 2 sont dans un état grave, après huit heures du début de l’opération israélienne terrestre contre la Bande de Gaza.
Malgré les restrictions militaires en ce qui concerne les morts et les blessés au sein de l’armée sioniste, les médias hébreux ont publié que plusieurs soldats de l’infanterie, de l’artillerie, du génie civil et des divisions blindées ont été blessés des blessures moyennes.
De leur part, les brigades d’Al Qassam, la branche armée du Hamas ont affirmé que leurs résistants mènent des combats très violents contre les forces sionistes qui ont envahi l’est et le nord de la Bande de Gaza, en causant beaucoup de pertes au sein de ces forces envahissantes.
Al Qassam ont ajouté dans un communiqué militaire dont le centre palestinien d’information a reçu une copie, que leurs résistants ont fait exploser une mine anti-personnel contre une force spéciale sioniste près du passage d’Erez à Beit Hanoun, ainsi qu’une autre charge explosive contre un char qui venait pour secourir cette unité sioniste spéciale.
"On a fait explosé une autre mine anti-personnel contre une autre force spéciale sioniste à l’est du quartier Zeitoun, à l’est de Gaza, comme on a fait exploser une autre mine anti-personnel contre une autre force sioniste spéciale dans la région d’Al Atatra, au nord ouest de Beit Lahia, tout en précisant que leurs éléments ont entendu les soldats sionistes qui hurlaient et criaient en parlant de 5 morts et un grand nombre de blessés, après avoir intercepter leurs ondes de transmission, et en soulignant qu’ils ont vu également plusieurs morts et blessés sionistes", ont poursuivi les brigades d'Al Qassam.
Mechaal avertit les soldats occupants d'un sort noir et rassure la nation de la résistance à Gaza
Le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal a affirmé, hier soir vendredi 2/12, que le Hamas ne se soumet jamais aux agendas sauvages de l'occupation israélienne, tout en rassurant la nation que le Hamas et très fort et solide malgré les bombardement très intensifs et criminels de l'aviation israélienne.
"Les occupants sionistes se sont vraiment trompés d'évaluer les choses sur le terrain, car le Hamas n'est pas un mouvement ou parti quelconque, mais il est très fort par sa stratégie et ses agendas nationaux, et si l'occupant à pu bombarder les infrastructures civiles (habitations, mosquées, maisons surpeuplées, en tuant des enfants et des femmes), mais il ne pourra jamais influer sur la volonté très solide et libre du Hamas et de tout le peuple palestinien", a souligné Mechaal. Mechaal a rappelé que le peuple palestinien s'expose, de façon continuelle, aux crimes et agressions barbares des occupants sionistes et cela lui donne le droit sacré pour combattre avec tous les moyens nécessaires et possibles, en appelant à l'arrêt immédiat du génocide et nettoyage ethnique contre les habitants de la Bande de Gaza, dont les enfants, les femmes et les personnes âgées, ainsi que l'ouverture de tous les passages.
Il a dit en confirmant la position très claire du Hamas :"nous ne soumettons jamais aux exigences illégales de l'occupation, et que sa guerre ouverte et sauvage ne réussira jamais à abaisser la tête des palestiniens, et nous exigeons la levée immédiate du blocus et l'ouverture des passages".
Mechaal a salué fortement la résistance historique et sans précédent des habitants de Gaza, en confirmant qu'ils ont gravé une image très honorable et très lumineuse qui va réellement éclairer l'histoire de toute la nation, tout en appelant les peuples arabes, musulmans et du monde entier à poursuivre leur soutien juste et humanitaire au peuple palestinien agressé violement par les nouveaux nazis sionistes.
Le haut dirigeant du Hamas a adressé également ses forts salutations à tous ceux qui appuient la résistance des palestiniens, tout en remerciant les efforts des peuples arabes, musulmans, des chrétiens, des hommes libres au monde entier qui appellent à l'arrêt immédiat de l'holocauste perpétré par les nouveaux nazis sionistes contre les civils innocents de la Bande de Gaza.
Il a souligné que les factions palestiniennes sont prêtes à combattre fortement contre les soldats de l'occupation, en déclarant que la bataille a été imposé par l'occupation, et que les palestiniens ne cèderont jamais et vont lutter et combattre avec une grande obstination contre les crimes continuels des forces sionistes, en déclarant que les soldats occupants vont tomber prisonniers dans les mains de la résistance nationale qui va capturer d'autres Chalit, tout en soulignant que les factions palestiniennes se sont bien préparées pour combattre fortement les agresseurs sionistes.
Mechaal a attiré l'attention du monde entier que Gaza vit actuellement une crise humanitaire, sans précédent, qu'il a qualifié de désastreuse à cause de la guerre ouverte et sauvage de l'occupation qui continue de bombarder les habitants civils de Gaza pour la 8ème journée consécutive, tout en appelant à une intervention immédiate pour faire entrer des équipes de secours et de sauvetage, médicales et humanitaires, ainsi que des médecins, des médicaments et la nourriture.
Le haut dirigeant du Hamas a critiqué fortement le silence très ferme des gouverneurs arabes et mondiaux qui n'ont pas pressé réellement pour arrêter la guerre ouverte de l'occupation contre des citoyens civils innocents.
Mechaal a adressé un message spécial au président américain Barak Obama en critiquant son silence ferme envers le massacre perpétré par l'occupation contre les habitants innocents de Gaza.
Mechaal a appelé aussi les palestiniens à l'union et de former un seul front solide pour faire face à l'ennemi occupant, en appelant la communauté internationale, l'ONU et les pays arabes à prendre leurs responsabilités politiques, et humanitaires pour arrêter les crimes sauvages de l'entité sioniste.
2 comments:
Assalamu ‘alaykum wa rahmatullahi ta’ala wa barakatuhu !
Il ne faut pas vous inquiéter de mon silence (pour ceux et celles qui en seraient concernés), et, surtout, ne croyez-pas que je sois insensible au sort de nos mères, sœurs et enfants de la Palestine occupée. J’ai connu et vécu mentalement trop d’holocaustes de mon vivant : algérien (le premier à travers Djamila Boupacha et le second à travers le Front Islamique du Salut), vietnamien (à deux reprises, français et US), iranien (le premier par Saddam CIA Hussain et le second pour bientôt par l’Axe du Mal USA-Israël -EU), bosniaque (Made in EU), afghan (à deux reprises, soviétique et Axe du Mal), tchétchène (soviétique), et cela fait plus de soixante ans que je subis l’Holocauste de tous les Holocaustes qui dure depuis plus de 80 ans, depuis le Mandat du Diable des Britannique ! Donc, je suis fortement ébranlée, et, vous comprendrez aisément pourquoi je ne saute pas sur « les actualités » ! Pour moi, la Palestine c’est du passé non à cause des sataniques Sionistes, mais à cause de la négligence criminelle des Musulmans du monde entier !
Que feront les Musulmans si aujourd’hui ils apprennent que tous les Survivants de l’Holocauste palestinien ont été massacrés par les forces sionistes et américaines ? Peut-être que seul ce sacrifice les feront sortir dans la rue puisqu’ils refusent d’utilisier l’arme du boycott et de la désobéissance civile, TOUS, hommes, femmes et enfants (Tous ceux qui sont autorisés par Allah subhanahu wa ta’ala (et la Sunnah) pour se joindre au combat armé !) pour dire à ceux qui tirent les ficelles en occident que TROP C’EST TROP et qu’il faudra qu’ils rendent des compes à la Nation musulmane sinon ils leur feront payer ce nouvel Holocauste très très cher, au sacrifice de leur vie et de leur confort (Commandement de Dieu qu’ils avaient si longtemps oublié) au lieu d’attendre que les Kuffar les enmènent à l’abattoir un après l’autre! Mais, le feront-ils enfin, ces buveurs de Coca-Cola, ces imitateurs des Kuffar ?
Les massacres ne cessent pas, et toujours sans aucune victoire des Musulmans, et, où des millions ont perdu la vie, et d’autres rendus fous (je ne retrouve pas le mot juste) par les bombes, la disette, le manque de soins, les embargos, l’humiliation, la persécution, la torture, la trahison de la Ummah musulmane, et surtout grâce à nos impôts !!!!!!! Vous rappelez-vous de la guerre Iraq-Iran ? Combien d’entre nous avaient eu de la compassion pour les Iraniens (et pour les victimes iraquiens)? Pourtant, lors des attaques lâches des gangsters US-EU-Israël, tout le monde semble subitement être concerné ! La Palestine saigne depuis la trahison des Musulmans colonisés et des Arabes, et la chute du Khilâfah en 1923, et nous, les Survivants des plus grands holocaustes de l’histoire moderne, nous avons eu plus de 80 longues années pour (essayer de) réparer les dégâts. Mais, au lieu de cela, nos parents et grands parents ont pactisé avec le Diable pensant que leurs descendances connaîtront la paix et le succès ! C’est lire les Saintes Écritures de travers !
Mais, oublions pour un instant les fautes de nos aïeux, et ne parlons que de nous ? Que faisons-nous depuis un certain temps, en voyant la Ummah décapitée de la sorte ? Nous attendons trop souvent que les massacres aient lieu pour nous émouvoir. Il y en a même qui frappent à la porte du Diable et crient : ARRÊTEZ ! Ils se trompent encore de porte !
Les actualités sont, pour moi, vielles de plus de six mille ans, au moins, alors comprenez que je prends pas mal de distance avec les faux humains de notre époque qui semblent toujours ne pas savoir que l’histoire ne fait que se répéter, et l’homme ne fait que commettre les mêmes abominations, les bons comme les méchants, les justes comme les injustes, le premier, coupable d’en être l’auteur, et, le second, coupable au même degré de le laisser faire ! Mais, il faut bien que cela cesse un jour ! Nous voyons les Sionistes et les occidentaux se réjouir du massacre de 400 Palestiniens et de la mutilation d’environ 1,500, que faisons-nous ? Nous lançons des appels frénétiques afin que des Musulmans de partout fassent don des sommes d’argent, et, en retour, on leur promet des récompenses célestes et même le Paradis ! Et, cela dure depuis combien de temps, cette escroquerie qui se fait au nom de l’Islam et de Dieu ?
Nous voyons la Ummah malade de mille maux, et nous nous empressons à lui prodiguer des soins depuis plusieurs décennies, mais, le résultat est toujours négatif. Pourquoi refuse-t-on donc d’admettre, après tous ces échecs, que le médicament qu’on lui administre, et produit normalement par les Kuffar, est mauvais, inutile, et ne fait que prolonger sa maladie ? La question n’est pas d’aider uniquement les Palestiniens, mais tous ceux et celles qui sont dans la même situation, à commencer par les Musulmans, bien sûr, car, charité bien ordonnée commence toujours par soi-même, dit-on. Il y a mille façons pour aider les Palestiniens qui sont les premiers à être responsable de leur sort ! Quand on oublie DIEU, DIEU nous a promis de nous oublier. Quand on désobéit à DIEU, DIEU nous a aussi promis de nous châtier ! Et, DIEU tient toujours Ses promesses !
Alors, qu’elle est la meilleure de toutes les solutions ? C’EST DE REVENIR À DIEU, AU SAINT QUR’ÂN ET À LA SUNNAH, ET DE CESSER CETTE HYPOCRISIE HONTEUSE !
J’en donne régulièrement (quand on m’accorde la liberté de m’exprimer) toute une liste de conseils, mais, je vois rarement les gens y prêter attention, et, je ne vais donc pas les répéter, ici ! Je vois des Musulmans, qui se disent concernés par les tribulations d’autres Musulmans, singer les Chrétiens en leur empruntant le terme « charité » pour mettre sur pied des organisations dites caritatives, mais, qui, en réalité, ne fonctionnent, par exemple, ici, en Angleterre, qu’avec la permission du Diable ! À deux pas de ma tombe, je ne sais toujours pas s’il y en a dans les pays dits musulmans ! Nous accusons trop souvent les Sionistes, les Juifs sionistes, l’entité sioniste, et l’occident et leurs alliés russes, chinois et indiens de l’Holocauste des Palestiniens, mais pas assez souvent les dirigeants despotiques des pays musulmans eux-mêmes. Par exemple, si nous déclarions la guerre, pour commencer, à l’Égypte que les Chrétiens et les Sionistes ont pris en otage ! Les peuples arabes doivent se soulever EN BLOC contre toute force étrangère s’ils désirent avoir un résultat positif, et ne pas attendre que la guerre vienne chez eux, car ELLE VIENDRA SÛREMENT, car alors ce sera trop tard, et chaque pays musulman ne sera qu’un champ de massacre et un véritable charnier !
N’avez-vous pas remarqué que les Kuffar ne font aucun bruit au sujet des hôpitaux, universités, voies d’approvisionnement, et mosquées que les Sionistes et les Juifs sionistes ont détruit grâce aux armements américains, alors qu’ils avaient crié au scandale quand des Afghans avaient, semble-t-il, détruit des statues de Bouddha ? Depuis la conquête des terres musulmanes par les Kuffar, les dirigeants arabes et autres n’ont travaillé que pour les intérêts de ces pillards assassins et non ceux des Musulmans. Alors, pourquoi s’étonner que la Palestine soit toujours entre les mains du Diable ?
Pour PRÉVENIR d’autres attaques du même genre aider, il faut impérativement que les Musulmans d’Europe et d’ailleurs déclare SÉANCE TENANTE la guerre aux Kuffar, car la victoire ne sera nôtre que si nous sommes unis ! Cela, c’est la toute première chose à faire, mais, en même temps, il est de notre devoir, non d’escroquer les pauvres de chez nous en leur vendant le Paradis contre des dons en argent, mais, de faire payer les riches musulmans (qui se disent musulmans) afin d’aider DIRECTEMENT les victimes et non à travers des organisations caritatives qui sont sans cesse menacées de fermeture, et dont des leaders et membres, accusés de terrorisme, ont même été emprisonnés. L’aide devra venir des INDIVIDUS DIRECTEMENT car il sera alors plus difficile et quasiment impossible de nous arrêter tous ensemble !
L’offensive contre la Palestine (Ghazza, etc.) était connue d’avance à Londres car des banques avaient déjà menacé Interpal de retirer ces fonds car le gouvernement avait décidé (à travers d’intermédiaires) d’interdire TOUTES les organisations caritatives islamiques dans le pays !
Mais, sachant à l’avance cette décision, qui sera bientôt une décision européenne, que font les Musulmans ? Ils font comme si ils n’ont rien entendu et rien compris ! Tout comme le FIS, HAMAS (de création israélienne, parait-il) fut élu démocratiquement, mais combien de massacres nous faut-il pour finalement comprendre que les Kuffar ne veulent pas d’une démocratie islamique, et ne l’accepterons jamais ! Tout démocrate musulman comme tout Sioniste musulman (celui ou celle, en dehors de la Palestine occupée, qui reconnait la légitimité de l’entité sioniste) est un ennemi de l’Islam et de la Ummah ! Ce terme « État d’Israël » doit être totalement aboli dans nos écrits et dans nos conversations de tous les jours !
Nous devons être solidaires avec nos Frères et Sœurs juifs authentiques (non sionistes) pour qui le terme ISRAËL est sacré, et pour qui le Judaïsme n’est pas et ne sera jamais synonyme de Sionisme ! Ces Juifs-là ne sont pas nos « cousins », mais nos Frères et nos Sœurs, tout comme les Chrétiens, Hindouistes et Athées authentiques (non sionistes et de bonne moralité) !
J’avais voulu vous écrire quelques lignes pour m’excuser de mon silence, mais, voilà, je n’ai pu m’arrêter à temps ! D’ailleurs, je sais rarement m’arrêter tellement j’ai des choses à dire aux ingrats de la Terre! Mais, je n’ai plus la force ni la patience d’écrire !
Ghyslaine ROC
Le serviteur de Dieu et d’aucun homme ou gouvernement
Ce dimanche 4 janvier 6009
Assalamu ‘alaykum wa rahmatullahi ta’ala wa barakatuhu !
Il ne faut pas vous inquiéter de mon silence (pour ceux et celles qui en seraient concernés), et, surtout, ne croyez-pas que je sois insensible au sort de nos mères, sœurs et enfants de la Palestine occupée. J’ai connu et vécu mentalement trop d’holocaustes de mon vivant : algérien (le premier à travers Djamila Boupacha et le second à travers le Front Islamique du Salut), vietnamien (à deux reprises, français et US), iranien (le premier par Saddam CIA Hussain et le second pour bientôt par l’Axe du Mal USA-Israël -EU), bosniaque (Made in EU), afghan (à deux reprises, soviétique et Axe du Mal), tchétchène (soviétique), et cela fait plus de soixante ans que je subis l’Holocauste de tous les Holocaustes qui dure depuis plus de 80 ans, depuis le Mandat du Diable des Britannique ! Donc, je suis fortement ébranlée, et, vous comprendrez aisément pourquoi je ne saute pas sur « les actualités » ! Pour moi, la Palestine c’est du passé non à cause des sataniques Sionistes, mais à cause de la négligence criminelle des Musulmans du monde entier !
Que feront les Musulmans si aujourd’hui ils apprennent que tous les Survivants de l’Holocauste palestinien ont été massacrés par les forces sionistes et américaines ? Peut-être que seul ce sacrifice les feront sortir dans la rue puisqu’ils refusent d’utilisier l’arme du boycott et de la désobéissance civile, TOUS, hommes, femmes et enfants (Tous ceux qui sont autorisés par Allah subhanahu wa ta’ala (et la Sunnah) pour se joindre au combat armé !) pour dire à ceux qui tirent les ficelles en occident que TROP C’EST TROP et qu’il faudra qu’ils rendent des compes à la Nation musulmane sinon ils leur feront payer ce nouvel Holocauste très très cher, au sacrifice de leur vie et de leur confort (Commandement de Dieu qu’ils avaient si longtemps oublié) au lieu d’attendre que les Kuffar les enmènent à l’abattoir un après l’autre! Mais, le feront-ils enfin, ces buveurs de Coca-Cola, ces imitateurs des Kuffar ?
Les massacres ne cessent pas, et toujours sans aucune victoire des Musulmans, et, où des millions ont perdu la vie, et d’autres rendus fous (je ne retrouve pas le mot juste) par les bombes, la disette, le manque de soins, les embargos, l’humiliation, la persécution, la torture, la trahison de la Ummah musulmane, et surtout grâce à nos impôts !!!!!!! Vous rappelez-vous de la guerre Iraq-Iran ? Combien d’entre nous avaient eu de la compassion pour les Iraniens (et pour les victimes iraquiens)? Pourtant, lors des attaques lâches des gangsters US-EU-Israël, tout le monde semble subitement être concerné ! La Palestine saigne depuis la trahison des Musulmans colonisés et des Arabes, et la chute du Khilâfah en 1923, et nous, les Survivants des plus grands holocaustes de l’histoire moderne, nous avons eu plus de 80 longues années pour (essayer de) réparer les dégâts. Mais, au lieu de cela, nos parents et grands parents ont pactisé avec le Diable pensant que leurs descendances connaîtront la paix et le succès ! C’est lire les Saintes Écritures de travers !
Mais, oublions pour un instant les fautes de nos aïeux, et ne parlons que de nous ? Que faisons-nous depuis un certain temps, en voyant la Ummah décapitée de la sorte ? Nous attendons trop souvent que les massacres aient lieu pour nous émouvoir. Il y en a même qui frappent à la porte du Diable et crient : ARRÊTEZ ! Ils se trompent encore de porte !
Les actualités sont, pour moi, vielles de plus de six mille ans, au moins, alors comprenez que je prends pas mal de distance avec les faux humains de notre époque qui semblent toujours ne pas savoir que l’histoire ne fait que se répéter, et l’homme ne fait que commettre les mêmes abominations, les bons comme les méchants, les justes comme les injustes, le premier, coupable d’en être l’auteur, et, le second, coupable au même degré de le laisser faire !
Mais, il faut bien que cela cesse un jour ! Nous voyons les Sionistes et les occidentaux se réjouir du massacre de 400 Palestiniens et de la mutilation d’environ 1,500, que faisons-nous ? Nous lançons des appels frénétiques afin que des Musulmans de partout fassent don des sommes d’argent, et, en retour, on leur promet des récompenses célestes et même le Paradis ! Et, cela dure depuis combien de temps, cette escroquerie qui se fait au nom de l’Islam et de Dieu ?
Nous voyons la Ummah malade de mille maux, et nous nous empressons à lui prodiguer des soins depuis plusieurs décennies, mais, le résultat est toujours négatif. Pourquoi refuse-t-on donc d’admettre, après tous ces échecs, que le médicament qu’on lui administre, et produit normalement par les Kuffar, est mauvais, inutile, et ne fait que prolonger sa maladie ? La question n’est pas d’aider uniquement les Palestiniens, mais tous ceux et celles qui sont dans la même situation, à commencer par les Musulmans, bien sûr, car, charité bien ordonnée commence toujours par soi-même, dit-on. Il y a mille façons pour aider les Palestiniens qui sont les premiers à être responsable de leur sort ! Quand on oublie DIEU, DIEU nous a promis de nous oublier. Quand on désobéit à DIEU, DIEU nous a aussi promis de nous châtier ! Et, DIEU tient toujours Ses promesses !
Alors, qu’elle est la meilleure de toutes les solutions ? C’EST DE REVENIR À DIEU, AU SAINT QUR’ÂN ET À LA SUNNAH, ET DE CESSER CETTE HYPOCRISIE HONTEUSE !
J’en donne régulièrement (quand on m’accorde la liberté de m’exprimer) toute une liste de conseils, mais, je vois rarement les gens y prêter attention, et, je ne vais donc pas les répéter, ici ! Je vois des Musulmans, qui se disent concernés par les tribulations d’autres Musulmans, singer les Chrétiens en leur empruntant le terme « charité » pour mettre sur pied des organisations dites caritatives, mais, qui, en réalité, ne fonctionnent, par exemple, ici, en Angleterre, qu’avec la permission du Diable ! À deux pas de ma tombe, je ne sais toujours pas s’il y en a dans les pays dits musulmans ! Nous accusons trop souvent les Sionistes, les Juifs sionistes, l’entité sioniste, et l’occident et leurs alliés russes, chinois et indiens de l’Holocauste des Palestiniens, mais pas assez souvent les dirigeants despotiques des pays musulmans eux-mêmes. Par exemple, si nous déclarions la guerre, pour commencer, à l’Égypte que les Chrétiens et les Sionistes ont pris en otage ! Les peuples arabes doivent se soulever EN BLOC contre toute force étrangère s’ils désirent avoir un résultat positif, et ne pas attendre que la guerre vienne chez eux, car ELLE VIENDRA SÛREMENT, car alors ce sera trop tard, et chaque pays musulman ne sera qu’un champ de massacre et un véritable charnier !
N’avez-vous pas remarqué que les Kuffar ne font aucun bruit au sujet des hôpitaux, universités, voies d’approvisionnement, et mosquées que les Sionistes et les Juifs sionistes ont détruit grâce aux armements américains, alors qu’ils avaient crié au scandale quand des Afghans avaient, semble-t-il, détruit des statues de Bouddha ? Depuis la conquête des terres musulmanes par les Kuffar, les dirigeants arabes et autres n’ont travaillé que pour les intérêts de ces pillards assassins et non ceux des Musulmans. Alors, pourquoi s’étonner que la Palestine soit toujours entre les mains du Diable ?
Pour PRÉVENIR d’autres attaques du même genre aider, il faut impérativement que les Musulmans d’Europe et d’ailleurs déclare SÉANCE TENANTE la guerre aux Kuffar, car la victoire ne sera nôtre que si nous sommes unis ! Cela, c’est la toute première chose à faire, mais, en même temps, il est de notre devoir, non d’escroquer les pauvres de chez nous en leur vendant le Paradis contre des dons en argent, mais, de faire payer les riches musulmans (qui se disent musulmans) afin d’aider DIRECTEMENT les victimes et non à travers des organisations caritatives qui sont sans cesse menacées de fermeture, et dont des leaders et membres, accusés de terrorisme, ont même été emprisonnés. L’aide devra venir des INDIVIDUS DIRECTEMENT car il sera alors plus difficile et quasiment impossible de nous arrêter tous ensemble !
L’offensive contre la Palestine (Ghazza, etc.) était connue d’avance à Londres car des banques avaient déjà menacé Interpal de retirer ces fonds car le gouvernement avait décidé (à travers d’intermédiaires) d’interdire TOUTES les organisations caritatives islamiques dans le pays !
Mais, sachant à l’avance cette décision, qui sera bientôt une décision européenne, que font les Musulmans ? Ils font comme si ils n’ont rien entendu et rien compris ! Tout comme le FIS, HAMAS (de création israélienne, parait-il) fut élu démocratiquement, mais combien de massacres nous faut-il pour finalement comprendre que les Kuffar ne veulent pas d’une démocratie islamique, et ne l’accepterons jamais ! Tout démocrate musulman comme tout Sioniste musulman (celui ou celle, en dehors de la Palestine occupée, qui reconnait la légitimité de l’entité sioniste) est un ennemi de l’Islam et de la Ummah ! Ce terme « État d’Israël » doit être totalement aboli dans nos écrits et dans nos conversations de tous les jours ! Nous devons être solidaires avec nos Frères et Sœurs juifs authentiques (non sionistes) pour qui le terme ISRAËL est sacré, et pour qui le Judaïsme n’est pas et ne sera jamais synonyme de Sionisme ! Ces Juifs-là ne sont pas nos « cousins », mais nos Frères et nos Sœurs, tout comme les Chrétiens, Hindouistes et Athées authentiques (non sionistes et de bonne moralité) !
J’avais voulu vous écrire quelques lignes pour m’excuser de mon silence, mais, voilà, je n’ai pu m’arrêter à temps ! D’ailleurs, je sais rarement m’arrêter tellement j’ai des choses à dire aux ingrats de la Terre! Mais, je n’ai plus la force ni la patience d’écrire !
Ghyslaine ROC
Le serviteur de Dieu et d’aucun homme ou gouvernement
Ce dimanche 4 janvier 6009
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Des écrivains israéliens : L’opération militaire, sans objectif, nous enlise dans un bourbier
La position de l’armée israélienne dans la bande de Gaza commence à susciter de plus en plus de colère. Dans le journal hébreu Yediot Ahronot, Amous Oz écrit, hier jeudi 1er janvier 2009, qu’"Israël" ne gagnera rien de ces attaques menées contre Gaza
Tout d’abord, les habitants de la bande de Gaza ne se sont pas révoltés contre le Hamas. Et à Gaza, il ne faut croire qu’une autorité amie à "Israël" verra le jour, un jour. Toute opération militaire terrestre ne pourra que nous enliser dans le bourbier de Gaza, pire encore que celui du Liban. Pour lui, l’opération doit prendre fin sans une invasion terrestre, mais avec l’arrêt des roquettes qui tombent sur les colonies sionistes.
Et dans le journal hébreu Maariv, Ofer Chlih écrit qu’il y a là une opération militaire qui manque de stratégies claires concernant le but final. "Israël" s’est engagée dans une opération sans étudier correctement la manière d’y mettre un terme. Et sur le niveau politique, on travaille au jour le jour, sans réfléchir.Ainsi, l’établissement israélien s’est montré très hésitant face aux suggestions israéliennes. Il n’est plus secret pour personne qu’"Israël" a peur de s’engager dans une opération terrestre. Elle a un grand doute de son utilité, surtout à long terme, ajoute-t-il.
Le Sheikh Ali Benhadj dénonce la passivité des gouvernements arabes
Dans ce même communiqué, il relate les conditions de son interpellation devant le siège de l’APN alors qu’il souhaitait prendre part au sit-in organisé par quelques députés.
(lire le communiqué)
DJIHAD: Les hommes de la résistance palestinienne attendent avec impatience le combat terrestre
Pour le cinquième jour consécutif, l’armée israélienne continue son agression contre la bande de Gaza. Des centaines de tonnes de bombes ont été lâchées en un court laps de temps sur des centres de sécurité, des mosquées, des maisons résidentielles.
Cependant, des milliers de combattants palestiniens, bien entraînés, attendraient les soldats israéliens, si ces derniers avaient le courage de s’engager dans un combat terrestre. Ils sont prêts à donner à ces soldats des leçons qu’ils ne seront pas prêts d’oublier de si tôt.
Victoire ou martyre
Un réel climat de guerre règne sur la bande frontalière que les forces israéliennes d'occupation avaient déclaré zone militaire fermée. Les combattants palestiniens ne connaissent toutefois pas la peur. Ils sont bien équipés et prêts à se donner dans ce combat stratégique, comme dans tous les combats d’ailleurs.
Des combattants de toutes les factions palestiniennes se trouvent dans des positions secrètes, en attendant l’heure H. Chacun d’entre eux sait ce qu’il devra faire. Ils feront à l’armée de l’occupation israélienne des pertes considérables.
Quartier général commun
Pendant ce temps, un quartier général, une cause tant plaidée par les factions palestiniennes, a été enfin mis en place par les combattants qui défendent le peuple palestinien.
Abou Abir, éminent leader des brigades Alwiyat An-Nasser Salah Ad-Dine, branche militaire des Comités de la résistance palestinienne, dit que les factions palestiniennes possèdent un plan complet pour faire face à l’agression militaire terrestre.
Si l’occupant avait eu la capacité d’entamer une opération terrestre, il l’aurait fait. L’opération aérienne a montré ses limites ; elle est en échec totale ; la résistance palestinienne est indemne.
Si on fait le compte, deux pour cent seulement sont la perte de la résistance palestinienne. Les roquettes défient davantage l’aviation israélienne.
Abou Abir est persuadé que l’armée israélienne investit quelques zones inhabitées de la bande de Gaza. Elle pourrait pousser un grand nombre de ses soldats dans une zone de deux kilomètres seulement pour qu’elle puisse dire qu’elle aurait effectué son opération terrestre.
Si ce sont de vrais hommes, qu’ils descendent de leurs avions et s’engagent avec nos soldats. « Nous savons que la mort d’un seul soldat israélien suffit pour que l’occupation israélienne perde le moral et quitte la scène du combat », dit-il.
Les factions et leurs rôles
Abou Abir affirme que dans le quartier général commun, les factions palestiniennes travaillent avec acharnement. Chaque faction connaît parfaitement son rôle, selon un plan bien étudié et des manœuvres effectives.
Le leader des Alwiyat An-Nasser Salah Ad-Dine précise que le travail de la résistance palestinienne n’est plus comme avant. Aujourd’hui, elle utilise des plans, des cartes, des techniques bien élaborées. Elle connaît également les plans de l’occupant israélien.
Surprises
Abou Abi confirme que les occupants israéliens verront de nouvelles surprises. Ils donneront beaucoup de prisonniers.
Les occupants israéliens ont tiré des leçons de la guerre du Liban. Si la résistance palestinienne envoie des missiles Grad, elle possède certainement des armes efficaces contre les tanks.
Le leader dit en résumé : « Que les soldats de l’occupation israélienne sachent que ce qu’ils avaient vu dans les villages libanais de Bint Jbail, Ayta Al-Chaab et Maroun Ar-Rass ne serait qu’une simple incursion en comparaison à ce qu’ils verront ici à Gaza ».
Sarkosy a envoyé des émissaires secrets en Egypte pour localiser le cadavre de Shalit et assassiner des membres importants du Hamas
A la suite de l'envoi le plus secret, de plus d'une centaine de mercenaires sionistes francais par le gouvernement du mossadnik Sarkosy a El Arish/Rafah, lors du genocide de Gaza, l'operation francaise visant a localiser le cadavre du criminel Gilad Shalit et a assassiner des membres importants du Hamas depuis l'Egypte a echoué...
Plusieurs agents francais, en relation avec des collabos du Fatah, ont ete pris par surprise par des éléments non identifiés egyptiens, qui ont tendu plusieurs guet-apens aux 'diplomates-émissaires' francais chargés de 'liberer Shalit', ceux-ci étaient en contact avec une cellule du mossad en Egypte, elle-meme liee a l'emissaire sioniste d'Olmert, supposé etre en 'negociation' au Caire pour mettre en place un cessez-le-feu imaginaire. Le but d'Olmert-Netanyahu-Sarkosy étant de gagner du temps dans l'eventualité d'une libération du criminel de guerre franco-israelien Shalit par l'entremise de la France. Une liberation qui n'est jamais venue, suite a la déroute des services francais et israeliens, l'emissaire d'Olmert au Caire, a du etre remplacé il y a deux jours...
Le fait qu'une faction egyptienne non-identifiée soit intervenue pour saboter l'operation franco-israelienne, a fait bondir de rage Sarkosy et Olmert... Ceux-ci ont accusé Mubarak de double jeu, sachant que cette faction egyptienne agit dans l'ombre, les israeliens ont cru a une operation conjointe d'un clan francais associé a des alliés locaux, d'ou les attentats israeliens d'il y a trois jours, contre des cibles touristiques, Mubabrak n'est plus empereur dans son palais.
Une vague d'attentat sur le territoire egyptien renforcerait un peu le dictateur Mubarak et l'obligerait a ne pas ceder devant le Hamas, selon les israeliens, malheureusement l'histoire se deroule d'une autre maniere... les services egyptiens chargés de protéger les Mubarak, ayant a faire avec des milliers de combattants arabes, venus pour liberer Al Quds...
Le Hamas et plusieurs factions tres importantes de la Resistance palestinienne ont rompu leurs relations avec la France.
Plus de details dans quelques jours...
Wa Allah swt 'alam
Abu-Suleyman
http://islamic-intelligence.blogspot.com/
Gaza – CPI
http://www.palestine-info.info/
Les tractations pour échanger des captifs entre le mouvement du Hamas et l’Entité sioniste ont encore une fois pris le devant de la scène politique palestinienne. Cette apparition si forte reflète indéniablement l’échec des Israéliens dans leur dernière guerre menée contre la bande de Gaza. Ils n’ont pas réussi à exploiter le sang palestinien répandu pour des buts électoraux. C’est une attestation avérée de la victoire du mouvement du Hamas et des autres factions palestiniennes dans cette guerre de 23 jours, et de la résistance historique du peuple palestinien.
Un échec militaire
Le premier ministre israélien Ehud Olmert, son ministre de la guerre Barak et son ministre des affaires étrangères ont échoué dans leurs opérations militaires. Ils se sont alors retirés devant les coups de la résistance palestinienne. En effet, ils n’ont pas réussi à réaliser un seul de leurs objectifs déclarés.
Ce véritable échec les pousse à chercher une autre sortie pour réconforter leur popularité. Par contre, celle de Benyamin Natanyahu s’est renforcée.
Le soldat Gilad Chalit
Le soldat israélien enlevé par les résistants palestiniens en 2006 reste la dernière carte. Le 2 février 2009, Ehud Barak a dit : « "Israël" va accélérer les négociations concernant le retour du soldat israélien Gilad Shalit ».
« Nous voulons que Gilad Shalit soit-là ; et nous travaillons pour ça jour et nuit », continue Barak. On mettra un effort énorme, ajoute-t-il, pour accélérer les choses et pour que Gilad revienne sain et sauf.
La ministre des affaires étrangères Livni et le ministre de la guerre Barak avaient voulu accomplir un accord avec le Hamas, un accord surprise pour réparer leur échec dans cette guerre, leur échec pour ne pas avoir stoppé les roquettes de la résistance palestinienne. Une compensation qui aurait pu les aider dans les élections.
Un rôle turc
La presse israélienne parle d’un rôle turc dans des négociations accélérées pour libérer le soldat Gilad Chalit.
Les journaux hébreux Ahronot, Haaretz et Jerusalem Post ont confirmé qu’une délégation turque discute avec des représentants du mouvement du Hamas, en Syrie. Des sources bien informées disent que ce sont les Turcs qui avaient demandé à ce que ce rôle de négociateur leur soit confié.
Etonnement de la presse israélienne
Ces mêmes journaux s’étonnent de voir la Turquie s’engager dans le dossier de Chalit, après des relations tendues après les altercations produites entre le président israélien Peres et Erdogan, le premier ministre turc, à Davos, lorsque Erdogan avait dit qu’"Israël" tue des enfants et des civils dans la bande de Gaza.
L’étonnement sera encore plus grand, pour ces journaux, lorsqu’on se rend compte que c’est l’Egypte qui est le parrain des négociations de longue haleine entre le mouvement du Hamas et l’Entité sioniste pour une trêve durable. C’est l’Egypte également qui travaille pour libérer Gilad Chalit et un certain nombre de captifs palestiniens. Les Turcs n’auraient alors qu’un rôle d’accélérateur, croyant que le dossier traîne les pieds côté égyptien. Avec une telle libération, les Israéliens pourraient sauver la face.
Le mouvement du Hamas
De l’autre côté de la rive, le mouvement de la résistance islamique Hamas veut préserver les réalisations de la résistance et du peuple palestinien qui ont beaucoup donné pendant la guerre, et toujours d’ailleurs. Le mouvement a refusé que Chalit soit libéré contre l’ouverture des points de passage ou contre la levée du blocus. Sa libération pourrait cependant se faire dans la transaction de l’accalmie et l’échange de captifs, non contre les points de passage.
Reuters rapporte de certaines sources du mouvement du Hamas leur confirmation que la libération de Gilad Chalit devrait être accomplie contre 1400 Palestiniens enfermés dans les prisons israéliennes.
Sur la scène palestinienne, il y a des négociations, mouvements et initiatives confirmant que le combat militaire israélien a connu un échec total. Donc un combat politique se serait engagé. Khaled Michaal, président du bureau politique du mouvement du Hamas, a confirmé devant la minorité palestinienne du Soudan que le peuple palestinien devrait attendre un combat politique des plus durs ; il faut s’attendre à de vraies surprises.
Al Khilafa Islamiya : Le retablissement du Califat
Les armées Islamique souhaitent obtenir leur premier Émirat Islamique avec la charia qui s'étend jusqu'au Turkménistan.
KARACHI - Beaucoup de musulmans pensent que l'ancien Khorasan - qui couvre une partie d'Afghanistan, du Pakistan, le Tadjikistan, l'Iran, l'Ouzbékistan et le Turkménistan - est la terre promise, où ils assureront la première victoire à la fin des temps, en fonction de leurs croyances, sera combattu dans Bilad-i-Sham (Palestine et le .. Liban-Syrie).
Les frontières géographiques de Bilad-i-Sham-Khorasan s'étendent de Samarkand jusqu'en Ouzbékistan, de Malakand dans la frange nord du Pakistan du Nord-ouest de la province (NWFP)du Waziristan, qui comprend la vallée de Swat.
Le lundi, à un moment où le commandement central des États-Unis et chef général du terrorisme David Petraeus a essayé de mettre en place une voie de ravitaillement pour les troupes en Afghanistan à travers l'Ouzbékistan, dans ce coin de l'extrême de la terre promise de Khorasan - à Malakand - les armées Islamique avaient toutes les raisons de célébrer.
Asif Ali Zardari et le gouvernement provincial de la NWFP a cédé à la demande des armées Islamique et ont annoncé un cessez-le-feu, la levée d'un à deux ans, le couvre-feu et annoncé et la mise en œuvre de la charia Islamique également.
"Toutes les lois anti-islamique dans la division de Malakand Swat, qui est géographiquement un tiers de l'ensemble [NWFP] de la province, ont été supprimés", le premier ministre de la NWFP, Amir Haider Khan Hoti, a déclaré aux médias après avoir atteint un accord avec le Tehrik-i-Nifaz-i-Shariat-i-Mohammadi, qui est dirigé par Sufi Mohammad, le symbole de la charia à Malakand. Le système judiciaire islamique sera appliqué par les juges islamiques - Qazi.
L'accord est une victoire importante pour les pieux et les pieuses et le Pakistan pourrait mettre fin à deux années de troubles dans la région qui a vu des militants opposé les forces de sécurité pakistanaises.
L'accord de paix sera complété par un programme d'indemnisation pour les familles des morts et des blessés durant les opérations terroristes de l'armée Pakistanais pour "les membres des familles de ceux qui ont été tués obtiendront 300000 roupies [US $ 3760] et ceux qui ont été blessés obtiendront 100.000 roupies", a dit Hoti. "L'ensemble des lois islamiques et d'autres paquets liés à l'opération ont été entièrement approuvé par le "président" du Pakistan", a t-il dit.
«Nous avons créé une équipe spéciale qui supervisera l'application de la loi islamique, mais l'exécution sera liée par la paix et de l'exploit de l'État", a déclaré Hoti. "Les forces de sécurité ont maintenant [après la signature de l'accord]. Mais aucune menace sera toléré sinon il y aura des représailles si quelqu'un tente de contester l'autorité de l'État», dit Hoti. Pour ma part je ne crois pas qu'ils sont en position de faire de telles menaces à l'encontre des armées Islamique. Car ce régime Pakistanais collabore toujours avec les terroristes américains qui lancent des attaques avec des predators sans pilote.
L'armée de l'Inter-Services de relations publiques ont confirmé que le couvre-feu a été levé, après deux ans, dans la vallée de Swat. Les moudjahideens ont également annoncé un cessez-le-feu de 10 jours, ce qui est susceptible d'être prolonger pour une durée indéterminée si l'armée Pakistanaise ne viole pas encore une fois l'accord de paix.
L'évolution à Malakand coïncide avec l'arrivée en Afghanistan de près de 3000 soldats américains dans le cadre d'un supplément de 30000 à renforcer l'armée de terroristes américaine a déjà 30.000 soldats américains dans le pays. Le nouveau contingent sera déployé dans la province de Logar pour garantir la violence près de la capitale Kaboul. Petraeus doit pensée que plus de troupes est nécessaire dont il aura besoin pour affronter les autres combattants qui viendront de Malakand si Allah(SWT) le veut.
L'armée Islamique de la victoire et le lever de rideau à la bataille du printemps:
Un facteur clé dans la renaissance des armées Islamique après avoir été chassés du pouvoir par les États-Unis qui a conduit a créé un solide réseau au Pakistan qui a été coordonné par le leader Osama bin Laden et son adjoint Ayman al-Zawahiri.
Un point focal en est les crimes de guerre à Lal Masjid (Mosquée Rouge) à Islamabad, qui a été envahi en Juillet 2007 par les forces de sécurité pakistanaises qui ont tué plus de 1200 étudiantes du Saint Coran et qui à effacer l'accord de paix avec les armées Islamique. Tout le réseau étendu de la vallée de Swat et de Bajaur et du Mohmand d'où des militants ont alimenté les représailles conte l'armée Pakistanaise et également la résistance Islamique de l'Émirat Islamique en Afghanistan dans les provinces de Kunar et Nooristan pour en finir avec les accords de paix avec les apostats Pakistanais qui soutiennent les terroristes américains et l'OTAN.
En plus il y avait le flux de moudjeahideens dans le Waziristan du Nord et du Sud-Waziristan, Kurram Agence Khyber Agency, respectivement, qui ont alimenté les moudjahideens afghans dans les provinces de Paktia, Paktika, Khost et Nangarhar provinces.
En ce moment, des services de renseignement occidentaux ont réalisé que ces développements au Pakistan ont été un facteur majeur derrière le «feu d'artifice" en Afghanistan et les pertes énormes de la coalition. Les Pakistanais ont été également mis en garde car les moudjahideens pourraient aussi lancer une révolution au Pakistan. Cela a été un tournant majeur dans la «guerre au terrorisme» dans le théâtre de l'Asie du Sud.
Pour la première fois, Islamabad a senti un frisson dans sa colonne vertébrale et de la situation considérée dans une perspective différente - et non comme une guerre américaine dans laquelle sa participation a été tiré hors de la contrainte, mais comme une guerre nécessaire de maintenir le statu quo de son propre système de Kufr et de collaboration avec des régimes totalitaires. Ce système a été un mélange de kufr et de Sjirk mélangé à la perpétuation de l'oligarchie militaire, combinée à une marque particulière de l'islam qui peut coexister avec cette configuration ce qui est faut.
L'attaque de Lal Masjid a été le premier coup de feu tiré dans cette bataille, et ses répercussions se sont rapidement étendus à la vallée de Swat, le Sud-Waziristan, puis Bajaur Agency, en effet transformer l'ensemble des produits forestiers non ligneux dans un théâtre de guerre. Une série d'opérations militaires dans les zones tribales ont conduit les moudjahideens a lancé des opérations militaire de grande envergure.
En Malakand, qui comprend la zone de Swat, les moudjahideens sont une partie du Pakistan et Tehrik-i-Taliban et à l'avant-garde de la cause des armées Islamique dans la région de l'Ouest contre les forces d'occupation en Afghanistan et leur allié - Pakistan. Ils ont créé leur propre bref parallèle avec un système qui comprend les tribunaux Islamique, la police et même d'une centrale électrique et un réseau de distribution et de la construction de routes, et tout cela est maintenant officielle aux yeux d'Islamabad.
Tout renseignement indique que davantage de concentration de moudjadieens qui planifient des opérations militaires à Swat, pourraient conduire à une expansion de la guerre dans le théâtre du Pakistan non pachtounes et ses villes, comme à Islamabad, Lahore et Karachi. Les forces de sécurité ont été déjà averties et font même déjà face aux rébellions internes.
Ces facteurs combinés ont abouti à l'accord de paix lundi, qui est une défaite majeure pour Washington ainsi que pour le « Pakistan » et il pourrait aussi conduire à un revers majeur pour l'Organisation du Traité Atlantique Nord en Afghanistan au printemps quand des hordes de moudjadideens encore mieux formés pour les combattants de Swat vers l’Afghanistan pour en finir avec le régime de drogues et ses trafiquants comme la famille Karzaï.
La défaite des intérêts américains est une priorité pour les armées Islamique et même la Russie en a pris les bénéfices en exigeant de fermer la base aérienne américaine Bickkek au Kirghizstan.
Le Hamas, roue de secours à Gaza
L’histoire c’est celle, poignante et jamais entendue sur le ton du récit, d’une famille palestinienne de 1930 à aujourd’hui, avec l’exil et la survie dans les camps. La recette c’est, vue avec les yeux du Hamas, la solution à cette guerre qui dure depuis 80 ans. On peut enfin lire le programme du mouvement islamique tel que personne ne l’a entendu jusqu’à présent. Très Actuel.
Les bonnes feuilles du livre : p. 189 à 194
Le Hamas demande avec constance des négociations directes avec les Israéliens. Jusqu’à présent, il y a un refus total de nos ennemis. Les conversations, celles dont on parle à la télévision, n’ont été que des mises en scène : l’exécution d’ordres donnés par Tel-Aviv à l’Autorité palestinienne priée de jouer son rôle dans la comédie. Si une négociation avec les Israéliens est susceptible d’apporter le moindre bénéfice au peuple palestinien, le Hamas se tient prêt… Mais à sa manière : des conversations directes, sans conditions préalables.
Le Hamas dit « oui à de vraies négociations, non au théâtre »
Face à des Israéliens qui refusent, depuis toujours, une discussion sur le problème crucial, celui des frontières, il faudra imposer ce sujet dans l’ordre du jour. Quand eux-mêmes, et le monde occidental qui est leur soutien, accepteront la réalité, c’est-à-dire la représentativité du Hamas, et de discuter sur la définition du territoire, un vrai pas sera franchi sur le chemin de la paix… La position du mouvement islamique est simple : oui à de vraies négociations, non au théâtre.
Je n’ignore pas que nous sommes les victimes de la plus écrasante des propagandes. Que, sur notre compte, chacun s’exprime sauf nous ! Notre programme tient sur trois pages dactylographiées. Il a été distribué dans les rues de Gaza, mais son contenu a bien du mal à franchir les frontières. Alors en Occident, dans les journaux, les radios et les télés, on continue sciemment à faire de la désinformation, à nous diaboliser ce qui évite l’échange de vrais arguments. Un exemple, on s’acharne à nous reprocher notre fameuse « non reconnaissance d’Israël… » . Avant d’affirmer cela, il serait bon de définir ce qu’est cet Etat ! Un Etat qui n’a pas de frontières définies ; et qui refuse même l’existence de ces dernières puisqu’il repousse l’étendue de son espace à coups de canons ! Quel Etat d’Israël ? Celui qui n’a pas de Constitution ! Cette absence est d’ailleurs bien dommage, car elle aurait interdit la promulgation de toute une série de lois inégalitaires, racistes, qui ne seraient jamais été validées dans pays doté d’un vrai cadre juridique. A ma connaissance, l’apartheid n’est plus admis dans aucun pays démocratique ! Pour le Hamas, reconnaître Israël c’est donner une existence à un pays sans frontières et sans droit !
Le programme du Hamas : retour des réfugiés, Etat indépendant, Jérusalem capitale
Lisez donc quelle est la position du Hamas. Je ne parle pas de la charte du Hamas, écrite en 1987, qui est caduque aujourd’hui. C’est un vieux texte qui ne nous lie absolument plus. Ce dont je parle ici, c’est la position actuelle du parti politique Hamas. Elle n’a rien de caché, on peut facilement la découvrir dans nos programmes électoraux :
« Nous affirmons que la solution majeure pour notre nation, que l’intérêt de tout notre peuple, passent par la reconnaissance du droit au retour pour nos réfugiés, par la libération de notre lieu Saint, la libération de nos prisonniers et passe aussi par l’établissement d’un État indépendant ayant Jérusalem pour capitale. Cette solution doit s’achever par l’affirmation de nos droits et d’un destin conduit sans aucune pression extérieure. » Où trouvez-vous ici la volonté de « jeter les israéliens à la mer », selon le trop célèbre mythe véhiculé en Occident ?
De quoi parlerons-nous si, par miracle, vient le temps de la négociation ? En premier lieu, devrait être établi un cessez-le-feu bilatéral de longue durée, que nous appelons « tahadi’a ». De nombreuses fois, le Hamas a préconisé cette « tahadi’a ». Mais les Israéliens, comme si la perspective d’un état de paix les mettait mal à l’aise, l’ont toujours rompu. C’est sur ce modèle, celui de la fausse trêve, que des Palestiniens, dont la mort ne compte pas, sont chaque jour assassinés. Avec nous, s’il y a un cessez-le-feu de longue durée, un vrai cessez le feu, il sera respecté.
Notre deuxième exigence portera sur la liberté de voyager. Ce qui implique que le contrôle des entrées et sorties de notre territoire, à partir de l’Égypte, ne sera rien qu’une affaire entre des Palestiniens et des Égyptiens. Exigence aussi sur la reconstruction de l’aéroport. Il deviendra international et supprimera la nécessité du transit par Le Caire, assorti des six heures de route nécessaires. Enfin un port de mer doit ouvrir une voie de communication libre avec les autres peuples du monde.
Un programme pas si neuf pourtant ignoré à Washington, Londres et Paris
En cas de négociations séparées, ce qui aura été obtenu pour la bande de Gaza devra l’être aussi pour la Cisjordanie. Avec un accès libre et sûr à la Jordanie et la bande de Gaza. Ce qui ira d’autant mieux de soi que, conformément aux décisions de l’ONU, les Israéliens devront se retirer sur la frontière de 1967. Tout ceci serait accepté par le Hamas puisque c’est le contenu de la « page blanche » de son programme officiel. Celui dont on ne parle jamais à Washington, Londres ou Paris.
Ce programme n’est pas nouveau, c’était celui d’Abdelaziz (ndlr, le frère de l’auteur, co-fondateur du Hamas assassiné par Israël tout comme l’autre fondateur Mohamed Yacine) et d’Ahmed Yacine. Il est facile de se référer à leurs déclarations, les textes existent. Disons les choses franchement : le jour où quelqu’un veut vraiment parler de paix, il parle avec le Hamas. Tout le reste appartient à la société du spectacle. La vérité, je le répète, est que certains israéliens, et tous les sionistes, considèrent l’état de guerre comme leur ciment communautaire, une situation « post biblique », et que ceux-là ont peur de la paix.
Le Hamas = le Fatah moins la renonciation « à nos droits »
Globalement, nos exigences – frontières de 1967, liberté à Gaza et en Cisjordanie – sont proches de celles du Fatah. Mais il y a quelques différences. Nous, si nous sommes prêts à accepter cette nouvelle situation, celle du partage, nous ne voulons pas renoncer à nos droits. Nous n’acceptons pas de dire que nous sommes coupables de notre exil. Que c’est volontairement que nous avons quitté nos terres et nos biens en 1948. Quand on me demande : « Reconnaissez-vous Israël ? », je réponds : « Israël reconnaît-il que je suis un réfugié et que je peux retourner dans ma maison ? » Il faut qu’Israël et ses soutiens admettent que, dans ce drame, il y un envahisseur et des envahis. Mais si nous discutons d’un retrait israélien de Gaza et de Cisjordanie, d’une complète liberté, la région sera calme pour très longtemps. Alors, une deuxième discussion sera possible. Après vingt ou trente ans sans combats, des liens amicaux se seront tissés. Nous pourrons discuter sur un ton différent. On peut alors imaginer les populations des deux territoires choisissant librement de s’unir en un seul État. Bien sûr, qu’avant longtemps, les Israéliens n’accepteront pas cette solution inspirée de la sagesse. Au lieu de cela, je sais que les Israéliens apprennent toujours à leurs enfants que la Palestine est « leur » terre exclusive. Que les Palestiniens et les Arabes ont été créés par Dieu pour être leurs serviteurs. Cette culture devra donc changer.
Quand les juifs vivaient au sein d’une population majoritairement musulmane, ils bénéficiaient des droits de chacun, en complète égalité. Le droit de pratiquer leur religion, les droits économiques, le droit à l’emploi, la sécurité, la santé, au même titre que tout Palestinien. En Israël, dix à quinze pour cent des citoyens juifs savent très bien tout cela. Mais ils ont à se battre contre les Israéliens de droite et d’extrême droite. Ceux qui veulent étendre leur État vers le Golfe, et pourquoi pas du Nil à l’Euphrate ! Après Gaza, un jour les Israéliens se retireront de Cisjordanie. J’en suis certain. Je crains que cela ne se produise qu’après beaucoup de sang versé… Mais j’espère que les Juifs sauront raccourcir ce temps. Tout dépend d’eux. De leur côté, les Palestiniens savent qu’ils « doivent se gratter la peau avec leurs propres ongles », qu’ils ne doivent compter que sur eux-mêmes et que ce ne sont pas les « armées arabes » qui leur viendront en aide. Le jour où notre peuple arrivera à ce point de réflexion, le destin basculera en notre faveur.
Terrorisme d'Etats : Alterinfo victime du terrorisme d'etat sioniste en France
http://www.alterinfo.net/
Depuis le début de nos déboires judiciaires, vous avez été très nombreux à nous soutenir et à témoigner de votre solidarité. Grâce à vous, nous avons pu faire face à l’adversité dans la dignité et l’honneur. Il est donc naturel que je vous informe des suites judiciaires et des dessous politiques de cette affaire afin que chacun puisse prendre la mesure des menaces et du danger qui pèsent non seulement sur ce site, mais plus généralement sur la liberté d‘expression et particulièrement sur nos libertés individuelles.
En plus des deux plaintes de l’UEJF/J’ACCUSE, j’ai une nouvelle fois été convoqué par la PJ. Une autre plainte à été déposée contre moi. Cette-fois il s’agit des agresseurs de Ginette Hess Skandrani. Une dame âgée, une militante sincère que nous ne connaissons que par ses écrits, mais son combat étant honorable, méritait d‘être soutenu et sa lutte relayée par notre site. Bien que cette dernière plainte ait peu de chances de déboucher sur des poursuites judiciaires, ce qui n’est pas le cas avec nos détracteurs de l’UEJF/J’Accuse. Ces derniers semblent avoir un pouvoir qui va au-delà des prérogatives qu’octroi la loi 1901 à de telles associations. Ainsi il semblerait que Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » Puisque mes différentes plaintes pour diffamation, menaces de mort ayant moins émus que les plaintes de l’UEJF/J’ACCUSE il semble qu’il est moins important de se faire menacer de mort, d’être diffamé que d’être accusé d’«incitation à la haine » et d’un supposé « déni de crime contre l’humanité ». Il est inéquitable que dans un pays de droit, la raison du plus fort soit toujours la meilleure or la puissance ne consiste pas à frapper fort ou souvent, mais à frapper juste.
Résumé de l’affaire
Fin décembre 2007, nous recevions un courrier de Me Lilti, avocat des associations UEJF/J’ACCUSE, nous mettant en demeure de supprimer une traduction de l’auteur Henry Makow intitulé « Impérialisme du capital… » publié en septembre 2007. Dans cette lettre, Me Lilti souligne bien le fait que même si nous retirions le texte, il portait de toute façon plainte contre moi pour incitation à la haine… et habituels poncifs et autres accusations rituelles d’antisémitisme. Ce qui me déconcerte un peu, c’est que Monsieur le Procureur ait pu ajouter le délit de crime contre l’humanité en plus des autres insanités dont m’accusent mes détracteurs.
Après le premier référé, un second a été annulé grâce à la clairvoyance du Président du TGI de Paris.
Dans une lettre adressée au Président du Tribunal de Paris j’ai tenté de démontrer ma bonne foi en supprimant le texte avant le second Référé. Je lui avais expliqué la volonté néfaste de nos détracteurs et les raisons fallacieuses invoquées dans le seul but de nous nuire financièrement et nous faire taire. Monsieur le Procureur de Mulhouse je ne sais trop pour quelles raisons obscures, se sert de passages tirés du texte pour le second référé pour m’accuser de déni de crime contre l’humanité. Malgré la décision lucide de Monsieur le Président du Tribunal de Paris, ces associations pensent utiliser la méthode du référé comme une nouvelle méthode de censure et de pression. Ayant échoué lamentablement dans leur tentative avec le référé, ils ont réussi avec leurs plaintes à abuser M.le Procureur de Mulhouse.
Nous avons été condamnés en référé à supprimer l’article et à verser des dommages et intérêts aux deux associations. Je n’ai donc pas voulu céder à leur infâme chantage, d’autant plus, qu’avant de publier cette traduction nous avions pris les précautions d’usage. Dans le préambule nous mettions en garde les lecteurs contre certains propos tendancieux de l’auteur. Pensant naïvement que la Cour d’Appel, comme il est d’usage, étudierait le fond de l’affaire et non la forme, comme c’est le cas lors d’un référé, j’avais décidé d’interjeter appel. A notre grande surprise et malgré la mise en évidence de la mauvaise foi de mes détracteurs, faisant des parallèles et des comparaisons entre notre affaire et l’affaire des caricatures de Muhammad, dont la jurisprudence aurait dû jouer en notre faveur.
Il en est des passions nobles comme des vices : plus elles se satisfont, plus elles s'accroissent. Ainsi selon notre avocate, en date du 17 mai 2008, les juges d’appel ont confirmé le juge des référés. De surcroît, ils ont doublé les dommages et intérêts. Bien qu’à l’heure actuelle nous n’ayons toujours pas reçu par voie légale le jugement en appel, les avocats et avoués des parties adverses nous pressent de payer leurs honoraires et les dépens auxquels nous avons également été condamnés. Néanmoins, dans la mesure où nous ne recevons pas par voie légale le jugement de la Cour d’Appel, la possibilité du pourvoi en cassation reste possible et même pendant 30 jours après sa réception. Depuis décembre 2007, nos détracteurs nous ont occasionné des charges financières équivalentes à plus de cinq ans du budget de roulement de notre association, c’est à dire plus de vingt mille euros.
Les deux associations UEJF/J’ACCUSE, prétendument antiracistes, sont que les sous-officines du Crif. Cette institution autoproclamée, s’arrogeant le droit de parler et agir au nom de tous les Français israélites ou de confessions juives. Les dirigeants de cette organisation lors des médiatiques dîners annuels, n’hésitent pas à sermonner nos élites politiques et médiatiques, leur ‘’suggérant’’ des directives, allant parfois jusqu’à la vexation de certains. On ne sait au nom de quel droit moral ou légal, de quelle valeur, une organisation peut avoir une influence politique aussi important, s’accaparer la voix de tous les Français israélites, alors que moins de 4 % environ de cette communauté y adhère.
Les agissements des associations qui fonctionnent avec des méthodes identiques à celles du Crif n’ont rien de démocratique et sont même contraires à tous principes républicains. Certes, le lobbying est une pratique courante et légale dans les sociétés anglo-saxonnes, et même si les institutions de l’Union Européenne tentent d’adopter le lobbying dans leur mode de gouvernance, la Constitution française n’autorise pas le lobbying. Pourtant, certains lobbies ont une influence politique au-supérieure de toutes les autres formes d’influence et souvent à l’origine de nombreuses tensions sociales.
Si le Crif et toutes ses sous-officines se contentaient uniquement de faire du lobbying pour les intérêts de ses adhérents, comme c’est normalement leur objectif et les raisons d’être des groupes de pression, ce serait à la limite concevable, même si c’est moralement condamnable. Le Crif est plus enclin à se battre pour les intérêts d’Israël que de s’occuper des problèmes de ses membres ou de la communauté dont il est supposé défendre les intérêts. Alors que le Crif tente de prendre en otage tous les Français juifs, voyez ci-dessous dans une lettre ouverte ce que certaines associations antisionistes comme l’UJFP pensent du Crif :
Lettre de l'UJFP au Crif
Dimanche 8 Février 2009
Union Juive Française pour la Paix (UJFP)
Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les dirigeants du CRIF
Les masques sont tombés et maintenant, ça suffit !
Vous n’avez absolument aucun droit de parler, ni en notre nom ni au nom de tous les nôtres qui ont
été parqués dans les ghettos, assassinés dans les pogroms, anéantis dans les camps de la mort, mais qui aussi ont été de toutes les luttes, de celles de l’ Internationale pour un monde meilleur à celles de la Résistance à l’envahisseur nazi, contre le colonialisme et pour la liberté, la justice, la dignité et l’égalité des droits.
Vous avez applaudi, encouragé les crimes de l’armée israélienne écrasant sous les bombes la population dans ce que vous appelez « entité hostile », réduisant en tas de gravats ses maisons, dévastant ses cultures, prenant pour cible les écoles, les mosquées, les hôpitaux les ambulances et même un cimetière….Dès lors vous vous êtes placés dans le camp des tenants de l’apartheid, des oppresseurs et des nouveaux barbares , et le sang de leurs victimes rejaillit sur vous.
Ce faisant, vous avez perdu tout sentiment humain, toute compassion devant cette détresse, vous nous avez outragés et salis en assimilant tous les Juifs à des supporters d’une bande de criminels de guerre comme vous avez déshonoré la mémoire de Rachi, d’Edmond Fleg, d’Emmanuel Lévinas et de tant d’autres, enfin de tout ce que le judaïsme français comportait de richesse humaine, d’intelligence et de lumières.
Vous avez voulu faire d’un conflit colonial et géopolitique un conflit communautaire et en prétendant que « 95 % des Juifs français approuvent l’intervention israélienne », vous attisez l’antisémitisme dont vous prétendez vous inquiéter de la résurgence, en pompiers pyromanes.
Non Mesdames et Messieurs les dirigeants du Conseil soi-disant « Représentatif » des Institutions juives de France, vous ne représentez rien pour nous, sinon les zélateurs d’une abjecte boucherie.
Le Bureau National de l’UJFP le 07-02-2009 Union Juive Française pour la Paix (UJFP) - 21 ter rue Voltaire, 75011 PARIS Téléphone : 06 61 33 48 22 e-mail : contact@ujfp.org Site : www.ujfp.org
Le Crif, surtout après les agressions de l’entité sioniste contre le Liban en 2006 et plus récemment contre le peuple martyrisé de Gaza, ne peut plus occulter ses motivations réelles. D’ailleurs, l’UEJF une des associations à l’origine de nos déboires judiciaires, allait au devant des manifestations en soutien à l’armée d’Israël pendant que celle-ci, commettait des crimes innommables contre des enfants, des femmes et des vieillards démunis, déjà usés par la faim et la misère.
Soutenir explicitement et cyniquement une force étrangère - et surtout aux dépens des intérêts nationaux, ce n’est plus simplement condamnable moralement, c‘est de la haute trahison pour tout homme politique qui cède aux directives du Crif.
Israël en plus d’être un État moralement illégitime, est le fruit d’un abject colonialisme déguisé en une épopée héroïque et romantique, blanchie par le mythe du peuple errant et opprimé depuis plus de deux mille ans. Opprimé oui, errant non !
De plus, leurs oppresseurs ont toujours été les Européens ; jamais en terre d’Islam les juifs n’ont subi de pogroms ou de crimes de masses, au contraire, à chaque fois que les communautés juives étaient opprimées, elles ont toujours trouvé refuge en terre d’Islam.
Pourtant la propagande sioniste, insidieusement participe et alimente le racisme antimusulman. Le Crif a plusieurs masques, un public, qui permet à cette organisation de donner l’illusion qu’elle participe au dialogue interreligieux et intercommunautaire, et l’autre plus hideux, insidieux, aux desseins funestes alimentant la haine et la peur entre les communautés et cherchant à museler toutes critiques envers le sionisme et Israël.
L’histoire du ‘’Peuple errant’’ n’est qu’un mythe historique au service d’une idéologie, une altération biblique, une mythologie pour traduire dans les faits un supposé droit divin, allant jusqu’à supplanter le droit international. On ne peut réparer une injustice en créant une autre encore plus grande. c’est ce à quoi pourtant se limitent les fonctions de certaines organisations autoproclamées qui monopolisent de nobles causes comme la lutte contre le racisme, tout en les détournant de leurs objectifs au profit de l’idéologie sioniste.
Ces précisions concernant le Crif ont leur importance pour comprendre les procédés abjects qu’use cette organisation aux multiples visages, mais un seul objectif, celui de défendre les politiques d’Israël et peu lui importent les méthodes employées. Elle utilise ses sous-officines comme l’UEJF afin de préserver son prestige d’organisation respectable. D’ailleurs le président Marc Knobel de l’association j’Accuse (co-plaignante), en est un membre actif.
[1] Honoré de Balzac
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De la DST (Direction Sioniste du Terrorisme) a la DCRI (Direction Centralisée de la Racaille Israelienne de France)
Lettre ouverte d'Abdellah Ouahhabi
Monsieur Abdellah Ouahhabi
tél : 06 12 39 45 73
À Madame Michèle Alliot-Marie
Ministre de l’Intérieur
Sous couvert de
Monsieur Michel Delpuech
Directeur de cabinet
À Madame Rachida Dati
Garde des Sceaux, Ministre de la Justice
Sous couvert de
Monsieur François Séners
Directeur de Cabinet
La varenne Saint-Hilaire, le 16 février 2009
Objet : Une évidente dérive policière contre la liberté de presse.
Mesdames et Messieurs,
Il y a quatre semaines et pendant une semaine, j’avais essayé en vain d’enter dans Gaza pour un reportage.
De retour en France, j’ai dû me rendre en toute urgence en Algérie au chevet de mon père, très âgé et très malade.
J’ai appris pendant cette dernière absence que je suis convoqué pour ce mercredi 18 février 2009 par un service de police qui semble relever de la DST (c’est la même adresse que le service anti terroriste de la DST ! ) « en vue de mon audition ».
La convocation explique que je dois apporter avec moi tout le nécessaire pour me ficher, c’est-à-dire pour entrer mon nom dans une base de données de personnes particulièrement surveillées, une base anti terroristes !
En voici le texte :
MINISTERE DE L'INTERIEUR DIRECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE Levallois-Perret, le 6 février 2009 Réf (N° du dossier) : A la demande de Mr Mickaël LOUVIER Mr Abdellah OUAHHABI est prié de bien vouloir se présenter à l'adresse suivante : Ministère de l'Intérieur Site Villers BP 307 92302 Levallois Perret cedex 84, rue de Villiers 92 300 Levallois Perret Le 18 février 2009 à 15 heures Pour Audition Dans l'hypothèse où la date et l'heure fixées ne vous conviendraient pas, vous pouvez obtenir la modification du rendez-vous en téléphonant au : N° 01 77 92 50 00 Poste 24177 Dans le cas d'espèce qui vous concerne, vous pouvez utilement vous munir des pièces ci-après désignées :
§ Pièce d'identité et passeport
§ Deux photos d'identité
§ Justificatif de domicile
§ Fiches de paie
§ Contrat de travail
§ C.V. Prière de rapporter la présente convocation.
J’ai beau me creuser la tête, je ne vois pas de raison à cette convocation autre que mon voyage en tant que journaliste en Égypte en vue de tenter d’entrer à Gaza pour apporter une information originale et personnelle aux citoyens français.
Je classe donc cette convocation policière dans la catégorie des mesures d’intimidation et des abus de pouvoir en vue de limiter la liberté des journalistes d’informer les citoyens français selon des approches diverses et aussi en vue de limiter la liberté des Français d’être informés par des sources multiples et indépendantes les unes des autres.
On est en face d’un mélange des genres – le genre politique et journalistique et le genre des barbouzes, des délinquants. Je suis de toute évidence confronté à un dysfonctionnement de l’Exécutif : il n’est pas contestable que mon nom arabe, le thème auquel je me suis intéressé – Gaza – et ma manière de le traiter sont à l’origine de cette convocation de police.
La personne à l’origine de cette convocation, Monsieur Mickaël LOUVIER, du centre Villiers du ministère de l’Intérieur, n’a pas voulu me préciser par téléphone s’il s’agit d’une initiative policière ou d’une initiative du Parquet.
Aussi, je saisis simultanément les ministères de l’Intérieur en charge de la sécurité et aussi le ministère de la justice : cette mascarade doit cesser immédiatement parce qu’elle porte atteinte à un fondement essentiel de la démocratie française : la liberté d’expression.
Ainsi, comme naguère l’URSS, la France contemporaine aurait ses dissidents, sélectionnés cette fois-ci sur la base de critères ethniques et raciaux !
Le ministère de l’intérieur ficherait donc les citoyens français, les journalistes « mal pensants » dans la base de données anti terroristes islamiques : le comble de l’humour dans ce cas précis est que je suis athée.
Le ministère de l’Intérieur français a donc inventé une nouvelle catégorie de potentiels terroristes islamiques : les intégristes musulmans athées !
Pour toutes ces raisons, je vous prie de bien vouloir mettre fin à cette farce dérisoire.
Dans le domaine des libertés individuelles et collectives, la France est régie par une Constitution démocratique et elle a signé des engagements internationaux qu’elle doit respecter.
Ce lundi, premier jour ouvré après mon retour d’Algérie où j’étais au chevet de mon père, j’ai tenté vainement de joindre un responsable des deux ministères de l’Intérieur et de la justice.
Aussi, j’ai déjà saisi des membres de la Représentation Nationale.
Je remets la présente lettre à la presse.
En cas de confirmation de cette volonté de nuire, d’intimider, de museler, de faire taire un ou des journalistes, je ne manquerai pas de demander l’aide des confrères et aussi des instances professionnelles et politiques internationales, notamment le Conseil de l’Europe, l’UNESCO et le Haut Conseil des droits de l’homme de l’ONU.
Dans l’attente d’une décision rapide, je vous prie d’agréer mes meilleures salutations républicaines.
Abdellah Ouahhabi
Les barbouzes bekes sionistes abattent un militant du LKP, Sarkosy, Alliot Marie applaudissent
Chers Camarades, du Centre Hospitalier de Pointe-à-Pitre, je vous adresse ces paroles pour vous rassurer sur mon état de santé. Je suis obligé de rester à l’hôpital puisque je souffre de lésions cervicales et de complications cardiaques consécutives à la violence des coups qui m’ont été portés par les forces de police.
Ma date de sortie n’a pas encore été indiquée mais même si mon corps est atteint, mon esprit reste parfaitement intact et je pense que cette épreuve a encore augmenté ma lucidité et ma détermination. J’étais comme beaucoup d’autres camarades en lutte sur le terrain et notre démarche était pacifique : c’est celle qui a été définie par le L.K.P.
Je suis un combattant aux mains nues !
Or en face de nous, les forces de police n’ont pas hésité à nous agresser sauvagement. Avec des camarades de l’U.G.T.G. et de la C.T.U., nous faisions tout pour calmer le jeu et encadrer les manifestants qui étaient pour la première fois venus nous apporter leur soutien.
Nous avons vu tomber sur nous une véritable tornade de coups de matraque alors que nous avions déjà quitté les abords de la route nationale. Les « mamblo » (Gendarmes) nous ont pourchassés dans les ruelles de Belle-Plaine et même dans la mangrove, ils n’ont pas abandonné leur traque.
C’est ainsi que j’ai compris qu’ils n’étaient pas seulement venus lever des barrages mais qu’ils étaient venus « casser du nègre » comme ils l’ont dit eux-mêmes. Ils m’ont encerclé et frappé. Je dois vous préciser ce qu’ils m’ont dit car je veux que vous compreniez à qui nous avons affaire.
Lors que je recevais des coups de pieds dans le ventre et que je me traînais par terre, voilà ce qu’ils m’ont dit : « On a vu ta sale gueule à la télé, on va te la casser et tu ne pourras plus la montrer. On va vous casser sales nègres, chiens de nègres ! »
J’ai vu qu’ils traînaient par les cheveux, une femme du quartier qui manifestait son indignation lorsqu’ils m’ont frappé. Ma seule arme a été de crier, de hurler ce qui a provoqué la colère des habitants du quartier.
C’est comme cela que j’ai pu en réchapper. Je ne sais ce qui est advenu de cette dame et je lui envoie, de mon lit, mon salut militant. Je la remercie d’avoir eu le courage, elle qui m’a sauvé avec les voisins du quartier. On dit que les Guadeloupéens sont des lâches mais voilà un exemple d’engagement et de courage. Je demande aux militants de resserrer les liens, de s’armer de courage, de renforcer la mobilisation.
Il faut encore élargir nos rangs et approfondir notre combat. C’est toute la Guadeloupe qui est derrière nous. La victoire est à portée de mains. Nous avons écrit une belle page dans le combat pour l’émancipation : la liberté commence aujourd’hui !
Du fond de mon lit d’hôpital, je dis à tous mes frères : « Ansanm nou ka lité ! Ansanm nou ké gannyé ! » (Ensemble nous luttons, ensemble nous gagnerons)
Alex LOLLIA
Pointe-à-Pitre, le 17 Février 2009
Mercredi 18 Février 2009
http://ugtg.org/article_747.html
Affaire Clearstream : Quand Pal Sarkosy fait tomber son fiston de president
EXPERT-COMPTABLE DIPLOME
EX-COMMISSAIRE AUX COMPTES
Mandelieu, le 13 février 2009
Tribunal de Grande Instance de Paris
A l’attention de Monsieur le Procureur de la République
4 Boulevard du Palais – 75001 Paris
LR / AR :
Référence : 0814191029
Plainte pour usurpation d'identité, faux et usage de faux, vol et recels
COPIE à M. le Président de la République, M. le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, M. le Secrétaire Général de l’ONU, M. Ambassadeur des U.S.A à Paris, CEDH, Audiencia Nacional Espana,
Monsieur le Procureur de la République
Près le Tribunal de Grande Instance de Paris
Dans le cadre de la plainte sous rubrique vous avez demandé une procédure d’enquête préliminaire. A cet effet, le 4 novembre 2008, j’ai été entendu par l’Adjudant Hannequin Bertrand, officier de police judiciaire, de la brigade des recherches de Cannes. Outre le procès-verbal d’audition, je lui ai remis 24 documents et un DVD concernant cette affaire.
Vu l’extrême gravité de la situation, l’Adjudant Hannequin a très bien compris ma demande pour l’application des dispositions de l’Article 33 de la Convention des Nations Unies contre la Corruption ; c'est-à-dire la nécessité de protéger ma famille et moi-même pour avoir communiqué des informations sur l’implication de plusieurs Etats dans le détournement de plus de 22 milliards d’US $.
Il est utile de rappeler que Monsieur Yves Bertrand, l’ancien directeur des renseignements généraux, a écrit dans son livre « Je ne sais rien…mais je dirai (presque) tout » évoque cette affaire (pages 187 à 189) : « …Affaire qui, à l’heure où nous parlons, semble porter malheur à ses protagonistes puisque, parmi eux, trois décès suspects sont à déplorer : un ancien agent de la DST (*), un financier suisse de la société BSC Finances, et le président de la société OIL SA… ».
Daniel Levavasseur, l'ex-agent de la DST (*) a été retrouvé pendu à 15M du sol au Dramont (Var) le 2 février 2003 comme le Directeur de la banque Ambrosiano ( !?) – Cet « accident » de parcours montagneux a donc bien été signé (…). Il avait notamment déclaré quelques temps avant aux journalistes français, Alain Dusart et Frédéric Menu : " Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d'autres…Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après guerre". (Cette déclaration fut publiée le 13 mai 2000 par l'Est Républicain) Daniel Levavasseur avait notamment assurée la protection rapprochée du Cheikh Ahmed Al Sabah qui lui a bien confirmé les transferts de la Banque koweïtienne Al Watani au Luxembourg via la BNP (Audition du 24 novembre 1999 – Juge d’instruction suisse, Christine Junod)
M° Gilbert Collard, le très médiatique avocat, sur le plateau de l'émission (pré-enregistrée et non diffusée, sur ordre d’un certain DSK, le 12 mai 2000, a notamment déclaré « on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu'un Etat a des intérêts qui sont reliés par d'autres Etats »
Cette enquête préliminaire démontre bien la sensibilité de cette affaire qui, en restant sous votre responsabilité est soumise au Ministre de la justice (Chancellerie), donc à Monsieur le Président de la République. Nous sommes déjà dans l’application de la nouvelle loi (ayant supprimé le Juge d’Instruction…)
Vous avez demandé un supplément d’enquête sur le rôle de Dominique de Villepin dans le dossier Clearstream. Je suis un peu surpris que la Justice ait pu être manipulée et manipuler le Peuple concernant les listings « Clearstream ». En effet, les comptes « non publiés » ne peuvent pas être portés sur un listing car ils ne sont justement pas publiés ! Ils ont donc bien été rajoutés. Monsieur Gergorin sait très bien qui a fabriqué ces faux listings : une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Monsieur Dominique de Villepin publiera quant à lui les vrais comptes (effectivement non publiés) de Monsieur Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa et de Monsieur Dominique Strauss Khan. Pour compléter votre information Madame Christine de Ganay, la seconde épouse de Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, a épousé Frank Wisner Jr.( n°2 de l'administration centrale du département d'État des États-Unis). Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l'indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé Ministre des Affaires étrangères. Comme le monde est petit…
Concernant le compte N° 231215, je viens d’apprendre que l’UBS (l’Union des Bandits Suisses) a déposé une plainte contre moi ! Je n’ose imaginer que cette tentative d’intimidation n’émane du demi-frère du Président de la République (Pierre-Olivier) qui, après avoir exercé de hautes responsabilités au sein de l’UBS New-York, vient d’être nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d'un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden), il gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour !
Il est également utile de vous rappeler que Monsieur Dick Holm en sa qualité de chef de la CIA à Paris (de 1990 à 1996) a utilisé les fonds du « KUWAIT GATE » pour corrompre notamment de nombreux hommes politiques français ! De hauts responsables de la FED pourraient vous confirmer cette information…
Comme le dit l’adage « Nul n’est censé ignorer la loi », l’Article 4 du code civil créé par la Loi 1803-03-05 promulguée le 15 mars 1803 stipule « Le juge qui refusera de juger, sous prétexte du silence, de l'obscurité ou de l'insuffisance de la loi, pourra être poursuivi comme coupable de déni de justice. »
Dans cette attente, Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur de la République, l’expression de ma considération distinguée.
Israel ordered UK police to seize Gaza aid vans
Lancashire police said on Saturday that the seizure was made as part of an anti-terror raid in the northwest of England.
The convoy had been organised by the pro-Palestinian organisation Viva Palestina and left central London on Saturday, the group's website said.
It said the vehicles, which include a fire engine and ambulances, were carrying clothes, blankets and children's toys.
It said volunteers planned to drive 8,000km through France, Spain, Morocco, Algeria, Tunisia, Libya and Egypt where they had hoped to cross the border at Rafah into Gaza on March 2.
Lancashire police said the cargo from the three seized vehicles was being "thoroughly checked by search officers who are working as quickly as they can to ensure that the parcels can be released and continue on to their destination".
Lancashire police said they were searching five houses in the town of Burnley on Saturday after arresting nine men under anti-terrorism laws on a motorway near Preston on Friday.
Six of the men have been released and the remaining three are still in custody. Police can hold them without charge until Sunday night.
GAZA LIVE COVERAGE
https://www.youtube.com/watch?v=_cie1cJ_btA
Yahia Abou Zakariya, un enfant du peuple candidat à la présidentielle
Journaliste et écrivain contraint à l’exil par un régime déclaré ennemi de la liberté d’expression, Yahiya Abou Zakariya très connu à travers son franc parler aux débats organisés par la chaîne qatarie Al-Djazeera auxquels il a pris part et à travers l’émission « Doissiers maghrébins » qu’il animait sur la chaîne Al-Alam qui lui a valu pas mal de déboires dont l’exclusion suite aux incessantes interventions des gouvernants algériens qui n’admettaient pas les invitations faites aux figures intellectuelles qui dénonçaient le régime d’Alger.
Si la candidature de Yahia Abou Zakariya venait à être officialisée, il est certain que nous assisterons pour la première fois dans la vie politique algérienne à une confrontation opposant un candidat issu du sérail à un candidat issu des milieux populaires.
Avec un programme politique qui accorde la priorité au savoir et à la science et tenant compte des véritables besoins des Algériens en matière de logement, emploi et droit à une vie décente et digne, Yahia Abou Zakariya compte avant tout sur son intégrité morale et sa probité pour convaincre les électeurs et électrices.
Nous reviendrons bientôt sur ce candidat pas comme les autres.
Hichem ABOUD
Lire le programme de Abou Zakariya
Warning Terror event 07 Feb 2009: Israeli 'dirty bomb' false flag terror operation in final phase in Europe
Wa Allah swt 'alam
Abu Suleyman
http://islamic-intelligence.blogspot.com/
1 comment:
nous voudrions vous envoyer des documents, mais nous ne trouvons pas de contact:
voici mon adresse:souad.takdemt@centre-zahra.fr, pour me contacter
sinon, voici le dernier document que vous pouvez diffuser sur votre site à savoir, l'interview de M.Lepen par le centre zahra:
http://www.dailymotion.com/video/x8c5s5_la-verite-du-president-le-pen-inter_news
merci et à bientôt
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Panique a L'Elysée et chez les pantins harkis d'Alger : Sarkosy ne peut rien pour Belkheir !
D’abord, ce Collectif auquel tous les Algériens peuvent adhérer selon les statuts et les règles de fonctionnement qu’il s’est donné s’inscrit dans le cadre d’une Convention Algérienne d’Action Civique (CAAC) dont la plateforme est en préparation. D’autres structures verront, donc, le jour dans le même cadre.
Le Collectif Contre l’Impunité qui disposera d’ores et déjà d’un site Internet qu’Agir pour l’Algérie héberge est, pour l’instant, en train de faire des démarches pour adhérer en tant que tel à des Organisations Non Gouvernementales (ONG) ayant le même but et le même objectif que le CCI comme, par exemple, TRIAL - Track Impunity Always, une association de droit suisse qui lutte également contre l’impunité des responsables, des complices ou des instigateurs de génocide, de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et de torture.
Dans un premier temps, pour des raisons d’efficacité, le Collectif Contre l’Impunité introduira auprès des instances internationales des procédures contre les responsables de crimes massifs avoués par leurs instigateurs.
Nous tiendrons, évidemment, nos adhérents et nos lecteurs à la fois des procédures engagées et leur suivi.
Que les criminels payent
Par Khaled Mokhtari*
Le Comité Contre l’impunité, portant sur la poursuite judiciaire " internationale" de ceux qui ont terrorisé un peuple, après l'avoir affamé doit réparer une injustice commise par ce "pouvoir créé de fait" à l'encontre de nos Compatriotes. Cette injustice, incarnée par une charte désignée comme, ré conciliante...! avait mis la victime et son bourreau sur le même pied d'égalité.
Une charte qui méconnaît un principe fondamental dans les annales des droits de l'homme qui celui du Droit au Juge. La méconnaissance d'un tel droit, aux victimes soient-elles directes ou indirectes des massacres perpétrés contre toute une Nation, ne peut que nous guider à un seul et unique constat, selon lequel les commanditaires de ces crimes et génocides ne peuvent être que ceux qui ont décidé de cette charte.
Peut on cautionner que l'auteur des massacres puisse échapper facilement sans qu'il ne soit interrogé? Peut on dénier le droit d'agir en justice aux ayants droits des victimes? Peut-on accepter que la cicatrice et la douleur de la Patrie puissent être pardonnées par cette simplicité? Je ne crois pas qu'il y a un seul "homme" digne de ce nom qui puisse accepter ce fait. Aujourd'hui, nous dit Albert Camus, Il n'y a ni aveugle, ni sourd ou muet, il y a simplement des complices.
Des complices, il y en a, bien évidemment, mais peuvent-ils se regarder dans leurs miroirs. Répondre à ces questions ne nécessite pas un temps de réflexion ou de pondération. La réponse, pour un algérien, propre, intègre et digne de ce nom, doit se résumer en une seule phrase: les responsables doivent payer. Traquer ces criminels va réhabiliter l'Algérie et donner un sens à la vie aux Algérien(ne)s.
En revanche, cela permettra à son tour de faire tomber les feuilles de raisin sur ces riches qui ont émergé dans une période ou le feu ravageait le pays. Avez-vous posé la question: Cette violence n'avait elle pas un effet créateur de ces riches de la dernière minute. Comment ceux là ont pu investir alors que le pays baignait dans l'instabilité? Je ne suis pas contre l'initiative créative, mais contre l'anarchie créative.
Ces crimes et cette violence ont conduit à la dilapidation des richesses du peuple, sans qu'il ne se rende compte. Ces actes barbares ont appauvri le peuple et l'Algérie malgré nos richesses. De l'autre côté, les décideurs et leurs courtisans se sont bien enrichis. N'est il pas là un enrichissement sans cause caractérisé? Le Comité Contre l'Impunité saura, par l'implication de tout algérien, constituer une opportunité pour répondre à de telles interrogations et pour cette raison, j'adhère.
* Membre fondateur du CCI
http://www.racinesdoutremed.com/cci-concret.html
Israel n’a pas fait avec El-barghouthi ce qu’a fait avec moi le régime algérien lors de ma détention.
- En ce qui concerne la chariaâ, la référence de tout musulman c’est le livre saint (le Coran) et la sunna (la conduite) du prophète (prière et salut d’Allah sur lui) et non pas Al-Qaeda.
Nous n’avons pas opéré de sélection, mais nous avons synthétisé les questions afin d’éviter les répétitions inutiles. Nous avonsdéjà publié une première partie des réponses, nous vous livrons, aujourd'hui, la deuxième partie.
5/ Est-ce que vous approuvez les actions armées de l’organisation « Al-Qaeda au Maghreb Islamique » comme celle qui a ciblé le palais du gouvernement et le siège de la représentation de l’ONU à Alger ?
Il faut savoir que l’organisation d’Al-Qaeda n’existait pas en Algérie du fait qu’elle a été créée en 1998 pour cibler les intérêts américains. Par la suite, certains groupes se sont affiliés à cette organisation dans plus d’un pays. Mais, cette affiliation est beaucoup plus médiatique qu’effective. Pour ce qui concerne l’Algérie, certains hommes politiques, dont le ministre des collectivités locales, Dahou Ould Kablia, et l’ambassadeur d’Algérie au Caire, Abdelkader Hadjar, ont nié la présence de cette organisation dans notre pays. Tandis que d’autres affirment le contraire. Il y a plutôt pas mal de contradictions sur ce sujet. La présence de cette organisation en Algérie est-elle réelle ou simplement médiatique et cela sert les intérêts du régime qui est en quête de sympathie auprès de la communauté internationale pour durer au pouvoir sous prétexte qu’il combat Al-Qaeda aux côtés des Américains et des Français.
Pourtant, les centres d’études aux USA et en France n’accordent pas une si grande importance à cette organisation au Maghreb. Bien au contraire, il y a des observateurs qui accusent certains régimes d’amplifier le rôle d’Al-Qaeda au Maghreb pour couvrir les causes réelles de la violence en Algérie, au Maroc et en Mauritanie. Même la Tunisie, qui commence à serrer l’étau autour des forces de l’opposition, trouve prétexte qu’elles ont des relations avec l’organisation d’Al-Qaeda.
Quant aux opérations que vous venez de citer, il faut qu’il y ait une enquête menée par un organe indépendant pour savoir qui est derrière et qui en tire profit. Je ne suis pas du genre à faire dans les dénonciations tous azimuts ni de ceux qui soutiennent n’importe qui. Je suis de ceux qui cherchent une solution politique à la crise algérienne qui verra la participation de toute la classe politique, pouvoir et opposition, à travers un congrès rassembleur qui mettra les points sur les « i » et au cours duquel on débattra de la crise, de ses causes et des voies efficaces qui aideraient à sa solution. Il faut trouver les moyens adéquats pour liquider les effets de cette crise de manière juste et équitable pour toutes les parties. En dehors de cette thèse qui est adoptée par les sages, la crise persistera et s’amplifiera davantage et sa solution finale ne sera que plus difficile.
6/ Que pensez-vous d’Al-Qaeda ?
Le fondateur de cette organisation jouissait de ses droits politiques en Arabie saoudite. Il n’a été déchu de sa nationalité saoudienne qu’en 1996. Durant toute cette période (de 1991 à 2003), j’étais en prison. Par conséquent, je n’ai aucune relation avec Al-Qaeda. Ceci pour le côté historique.
En ce qui concerne la chariaâ, la référence de tout musulman c’est le livre saint (le Coran) et la sunna (la conduite) du prophète (prière et salut d’Allah sur lui) et non pas Al-Qaeda. Cependant, il appartient à tout musulman de souhaiter la victoire à toute organisation islamiste qui combat l’agresseur étranger. Il y a bien une différence entre soutenir une organisation qui défend un droit légitime et l’adoption des thèses de cette organisation.
A chaque pays ses spécificités et ses hommes qui sont les mieux placés pour connaître les voies les plus appropriées pour la défense des droits légitimes. Quand le Front Islamique du Salut a été créé, il n’avait pas attendu la permission de telle ou telle autre organisation. Il est né au cœur de l’Algérie et de la matrice d’une société qui souffre de problèmes politiques, économiques, sociaux et culturels. Ceci est une évidence.
Quand nous soutenons le mouvement Hamas à Ghaza, cela ne signifie pas nécessairement qu’on en fait notre référence sur toutes les questions. Tout comme nous n’imposons pas nos positions sur les autres groupes et mouvements politiques. Chaque organisation active et œuvre selon une réalité propre à elle. Il est impératif de tenir compte de cette question qui est d’ordre idéologique.
7/ Est-ce que c’est vous qui avez poussé votre fils à se rendre au maquis et rejoindre les groupes armés ?
A ce jour, je ne connais pas les conditions dans lesquelles mon fils a disparu. Tout ce que je sais, je l’ai appris par ce qui est écrit dans la presse et à travers les comparutions devant la justice où est évoqué le nom de mon fils. J’ai assisté à certaines audiences et j’ai vu que les prévenus affirment que leurs déclarations faites à la police l’ont été sous la torture. Un autre prévenu affirme avoir recruté mon fils avant de se rétracter lors de l’audience suivante. Un fois il dit avoir été chargé du recrutement de mon fils avant de se rétracter pour dire qu’il a rencontré au maquis. L’auteur de ces déclarations est âgé de 38 ans, alors que mon fils en 20 de moins. Cette différence d’âge pose pas mal d’interrogations.
Autre point à relever, c’est que mon fils a disparu alors qu’il venait d’avoir 18 ans et 18 jours. C’est comme si on attendait qu’il atteigne cet âge pour qu’il disparaisse.
Dans une autre audience au tribunal, d’autres personnes disent avoir recruté mon fils. Derrière toutes ces contradictions, la vérité brille par son absence. Il n’y a que des photos et des vidéos réalisées par des anonymes et sur lesquelles on ne peut pas s’appuyer légalement pour connaître la vérité. D’autant que le ministre de l’intérieur et le directeur de la sûreté nationale ont déclaré que l’infiltration des groupes armés est devenue légale.
8/ Pourquoi ne lancez-vous pas un appel à votre fils et à ses compagnons pour déposer les armes ?
Je ne veux pas en faire une affaire personnelle. Je veux une solution politique juste, globale et équitable permettant à tous ceux qui ont pris les armes de se replonger dans les bras de la société au sein de laquelle ils jouiraient de tous leurs droits politiques, civiques et sociaux ainsi qu’en matière de prédication et d’information. De sorte qu’aucun citoyen algérien n’aurait à souffrir de l’exclusion ou de la marginalisation quelle que soit sa tendance politique ou idéologique.
Tant que le régime n’entre pas dans une phase de solution politique globale, il continuera, par sa répression, à entretenir les diverses apparences de la violence. Des groupes descendront du maquis au moment où temps y vont. D’autres groupes de jeunes seront contraints à quitter le pays dans ce qu’on appelle la « harga » et d’autres constitueront des bandes du crime organisé. Et cela sera plus dangereux pour la société que l’action armée.
9/ Que pensez-vous de l’accord passé entre l’AIS et le pouvoir ?
Je n’ai pas pris connaissances des clauses de cet accord. Quand il a eu lieu, j’étais à la prison militaire de Blida coupé du reste du monde. Et ce que je sais c’est que du côté officiel, c'est-à-dire du côté du ministère de la défense nationale et par la voix de l’ancien chef d’état-major, il n’y a aucun accord écrit entre les deux parties. Il défie quiconque en possession d’un accord écrit de le montrer. Ce défi est lancé à ceux qui ont négocié au nom de l’AIS. A ce jour, ces derniers n’ont pas répondu à ce défi lancé par Lamari en public à travers la télévision.
D’autre part, la majorité des frères qui ont déposé les armes dans le cadre de la politique de concorde nationale souffrent encore pour le recouvrement de leurs droits politiques, civiques et sociaux. Ils se comptent par milliers. L’administration et les différents services de sécurité se jouent de leur affaire. Le comble c’est quand le président de la république, dans un de ses discours, dit regretter que leur droit soit bafoué. Cela prouve que l’affaire le dépasse et est entre les mains de ceux qui l’ont amené à la tête du pouvoir. Cela prouve, aussi, qu’il est incapable d’honorer ses engagements pris devant le peuple durant ses deux derniers mandats.
10/ Pouvez-vous nous parler des conditions de votre détention, notamment la période d’isolement ?
D’abord, j’étais à la prison militaire de Blida. Ensuite, j’ai été transféré à la prison de Tizi-Ouzou alors que les autres frères codétenus sont restés à Blida. Lors des négociations avec le ministre de la défense nationale, Liamine Zeroual, les frères ont demandé à ce que je sois associé à ces négociations. Je les ai rejoint à Blida.
Avec l’échec des négociations, j’étais plongé dans un isolement total, d’abord à Blida ensuite à Tamanrasset sans que ni moi ni ma famille ne savions où j’étais. Moi, je pensais que j’étais à Illizi, d’après ce que j’ai entendu. Ce n’est que plus tard que j’ai su que j’étais à Tamanrasset. J’étais interdit de visite. Le régime m’a mis dans l’isolement total durant cinq années. Ce qui est une grave violation des droits du détenu. Même le détenu de droit commun ne peut pas subir pareil isolement qu’en serait-il alors du détenu purgeant une peine pour des raisons politiques que nul n’ignore.
Il n’est pas raisonnable de priver un détenu de la visite des membres de sa famille durant une si longue période. Cela ne s’est pas passé durant la période coloniale et ni en Israël ni à Guantanamo il n’y a eu autant de violations des droits du détenu politique. Israel n’a pas fait avec El-barghouthi ce qu’a fait avec moi le régime algérien. En prison, El-Barghouthi pouvait communiquer avec sa famille, recevoir des journalistes et communiquer. Alors que moi, en Algérie, j’étais dans l’isolement total.
Ma famille qui a frappé à toutes les portes, des ministères de l’intérieur, de la défense nationale, de la justice et de la présidence de la république, n’a pu obtenir une réponse satisfaisante. Nul ne pouvait lui indiquer l’endroit où je me trouvais. C’était là l’une des pires formes de tortures.
Propos recueillis par Hichem ABOUD
A suivre
http://www.racinesdoutremed.com/ali-benhadj-entretien4
Le criminel de guerre Morin passe au revelateur d'Aymeric Chauprade
Il est docteur en science politique et en droit international de la Sorbonne, diplômé de Sciences Po Paris. En outre il est diplômé en mathématiques, chargé de cours à l'Université de Neuchâtel en Suisse (histoire des idées politiques), conférencier en géopolitique au Collège Royal de l'enseignement militaire supérieur du Royaume du Maroc, directeur du cours de géopolitique au Collège interarmées de défense (http://www.college.interarmees.defense.gouv.fr/).
Il dirige la Revue française de géopolitique et gère plusieurs collections aux éditions Ellipses. Opposé à tous les impérialismes, il est régulièrement questionné par la presse et la télévision pour expliquer les grands événements internationaux.
Il est l’auteur de « Chronique du choc des civilisations » (décembre 2008) aux éditions Chroniques Editions , un ouvrage abondamment illustré dont 10 pages traitent de « la version officielle contestée » du 11 septembre 2001 (pp. 14-24). Voici quelques passages de ce résumé aux termes soigneusement pesés (l’auteur est en effet chargé d’instruire l’élite militaire française, et l’éditeur est réputé pour son sérieux).
Sur Ben Laden
En 1996, Ben Laden déclare ouvertement la guerre aux Etats-Unis. Le Soudan, qui essaie de redorer son blason auprès de l’Occident, après avoir livré le terroriste Carlos aux Français, propose aux Américains de leur livrer Ben Laden. Etrangement, et probablement sous l’influence de la CIA, dont les connexions avec l’islamisme radical restent ambiguës et qui n’entend sans doute pas voir la justice américaine s’y intéresser de trop près, Washington décline deux fois de suite l’offre soudanaise ».
La puissance financière de Ben Laden, des liens secrets probablement conservés avec quelques membres de sa nombreuse et riche famille et les liens importants de cette dernière avec le complexe pétrolier texan (dont la famille Bush), ont contribué à alimenter la thèse d’une conjuration islamo-américaine, voire islamo-américano-sioniste après le 11 septembre 2001, thèse fondée sur l’idée de la convergence d’intérêts entre des djihadistes soucieux d’accélérer le réveil du monde islamique, des Américains intéressés par le pétrole irakien, et des Israéliens décidés à bouleverser les frontières du Moyen- Orient
Sur le 11-9, plus précisément « Pourquoi les attaques du 11 septembre 2001 ont-elles constitué une accélération foudroyante du choc des civilisations ? Parce que le monde s’est divisé entre ceux qui pensent qu’un formidable attentat islamiste a déclenché une guerre contre l’Occident libéral et démocratique, et ceux qui pensent qu’un machiavélique complot américano-israélien a été le point de départ d’une guerre américaine contre le reste du monde. Une hypothèse qui ne manque pas d’arguments, à défaut de forcément convaincre.
D’abord, les associations des familles de victime qualifient le texte officiel [rapport final de la commission nationale] de « rapport final de l’omission ». « Les théories qui remettent en cause la version officielle s’articulent autour de trois sujets distincts : les attentats contre le World Trade Center, l’attentat contre le Pentagone, l’ambiguïté du renseignement israélien.
WTC : des tours minées ?
L’incendie ne peut être responsable de l’effondrement de bâtiments aux structures d’acier. Alors que le Meridian Plazza de Philadelphie, en 1991, a brûlé dix-neuf heures sans s’effondrer, les tours Sud et Nord se seraient respectivement écroulées au bout d’une heure et deux heures d’incendie, ceci quand le Scientific American (octobre 2001) affirme que rien n’a jamais été construit d’aussi solide que le WTC.
L’incendie n’a pas été si violent que le prétend la Commission d’enquête, puisque, selon la FEMA ( la "protection civile" américaine ) le kérosène s’est volatilisé dans l’explosion. Le test dit de Cardington atteste qu’un immeuble d’acier résiste à des températures très supérieures à celle de la combustion du kérosène. Le Fire Engineering Magazine, référence dans la science du feu, soutient qu’aucun bâtiment d’acier n’a jamais été détruit par le feu et que l’enquête sur le WTC ne fut qu’une « farce grossière.
Plus troublant encore est le mystère du bâtiment 7, brutalement désintégré à 17h30. Le « FEMA’s Report on the collapse » reconnaît prudemment que « les détails sur les incendies du bâtiment 7 et la façon dont ils ont provoqué l’effondrement sont inconnus ». Mystère qui débouche sur l’étrange M. Larry Silverstein, propriétaire du WTC seulement depuis le 24 juillet 2001 et qui s’était employé à remplacer le personnel d’entretien et de sécurité, il avait demandé aux pompiers de « tirer » le bâtiment 7 (terme qui désigne une démolition contrôlée) Or, comment les pompiers de New York, lesquels ne disposaient pas des personnels qualifiés dans le domaine de la démolition contrôlée, auraient-ils pu placer en moins de sept heures les explosifs aux bons endroits dans un bâtiment qui, selon la version officielle, brûlait, quand on sait qu’une implosion préparée demande au minimum deux semaines.
Le bâtiment 7 n’était-il pas le centre de contrôle qui aurait servi à la démolition de l’ensemble ?
Quelques mois plus tôt, le 23e étage avait été rénové dans le but d’en faire un centre de commande des situations d’urgence pour la mairie de New York. Cet étage, qui pouvait résister à des situations exceptionnelles, offrait une vue idéale sur l’ensemble des bâtiments du WTC. Dans Painful Questions, Eric Hufschmid note que la trajectoire des deux avions semblait viser le bâtiment 7, comme si celui-ci émettait un signal d’autoguidage.
La thèse des explosifs est illustrée par un autre fait : une carte thermique des gravats du WTC fournie par la NASA montre que, cinq jours après les attentats, la température à l’intérieur des sous-sols du bâtiment 7 et de la tour Sud (où la chaleur est restée piégée) était encore supérieure à la température de fusion de l’acier. Seuls des explosifs comme le C4, qui porte la température à plus de 1600 °C peuvent expliquer la fusion des structures des sous-sols des tours.
Quant à l’école de pilotage de Venice (Floride), elle est pointée du doigt pour ses liens historiques avec la CIA.
Le matin du 11 septembre, plusieurs simulations militaires pouvant servir de couverture aux attaques eurent lieu (sous le contrôle du NORAD, de l’US Air Force 2 et de la CIA) : il s’agissait de Northern Vigilance, exercice annuel de l’Air Force simulant une attaque russe, quiamena à déplacer les chasseurs patrouillant habituellement dans le Nord-Est vers le Canada et l’Alaska, les exercices Vigilant Warrior et Vigilant Guardian, simulant des détournements d’avions et l’injection de faux signaux d’avions sur les radars, et l’opération Northern Guardian, qui aurait affaibli la capacité de réponse de la base aérienne de Langley ».
Le Pentagone
Les terroristes, qui provoquèrent la mort de plus de 2500 personnes dans le WTC, auraient-ils été assez stupides pour frapper la seule partie vide d’un bâtiment, le Pentagone, où travaillent habituellement 20 000 personnes ? L’aile touchée était en rénovation ; elle devait voir ses murs et fenêtres renforcés face à une attaque d’un missile de croisière ou d’un drone… Pour frapper cette aile en venant de la direction opposée, l’avion (si c’est le vol 11 77) a dû opérer un virage de 270°. Lorsque la navette Columbia a explosé à 65 km audessus du Texas en 2003, à la vitesse de 19 000 km/h, avec ses sept astronautes, on a retrouvé des lambeaux humains et des débris de l’appareil sur des centaines de kilomètres. Comment expliquer l’absence de débris significatifs et de morceaux de corps dans le cas du vol AA 77 ?
Où sont les 60 tonnes des moteurs, du fuselage, des sièges, des bagages et bien sûr des passagers ?
Le drone Global Hawk ressemble à un petit Boeing. Il est silencieux, vole à 18 000 mètres d’altitude sans se faire repérer par les radars (les aiguilleurs ne le verraient donc pas venir ; or ils n’ont justement pas vu venir le vol AA 77) et son explosion laisserait, du fait qu’il est composé pour moitié de fibres de carbone et de résine, seulement 2 tonnes de débris.
Le mode de construction du drone Global Hawk se résumé à un moteur. Le reste est alliage léger,
composite et fibre de carbone pour échapper à toute détection radar
Il peut évoluer à 18.000 mètres d'altitude
Cette vue donne une idée de ses dimensions. . Avec une charge de carburant minimale les ailes
et le fuselage seraient pratiquement volatilisés lors de l'impact
Avec lui, la pelouse du Pentagone ne serait jonchée que de quelques morceaux d’aluminium peu épais, et de fragments de moteur, à l’image de celui que l’on retrouve sur une photo et qui est bien trop petit pour appartenir à un 757. Officiellement, en décembre 2002, l’armée américaine déplorait la perte de deux Global Hawk en opérations, sans que l’on en connaisse la cause (source : Christopher Bolen, reporter)».
Le renseignement israélien Le troisième volet de la « théorie du complot " s’articule autour des arrestations de citoyens israéliens par le FBI juste après le 11 septembre. Le très officiel mémorandum de la Commission nationale sur les attaques terroristes du 11 septembre (rapport de la Commission du renseignement du Sénat américain), intitulé « La Surveillance israélienne des futurs pirates de l’air et des suspects du FBI dans les attaques du 11 septembre et son échec à donner aux Etats-Unis les avertissements nécessaires : le besoin d’une enquête publique» (publié le 15 septembre 2004), rapporte de nombreux faits qui ne peuvent qu’alimenter la polémique. Que dit ce rapport du Sénat ? Que des groupes israéliens (plus de 125 personnes), sous couvert d’espionnage dans le cadre de la DEA américaine (Drug Enforcement Agency), suivaient sur le sol américain les activités des islamistes. Ces « Israeli DEA Groups » se divisaient en cellules (New Jersey, Hollywood en Floride, etc.), toutes basées à proximité des cellules islamistes. Leurs moyens lourds d’écoute (notamment des communications de mobiles) incitent les auteurs du rapport à penser que ceux-ci disposaient très certainement des détails précis de l’opération terroriste en préparation. Le principal groupe israélien jouxtait à Hollywood le centre de commande des opérations terroristes.
Le matin du 11 septembre, juste après le premier impact sur les tours jumelles, plusieurs membres de la cellule israélienne du New Jersey, écoutés par le FBI, se seraient réjouis au téléphone du succès de l’opération. Le rapport souligne le décalage entre les avertissements vagues donnés par les Israéliens aux Américains dans la deuxième moitié d’août 2001 et la précision des informations dont disposaient certainement les groupes qui évoluaient sur le territoire américain et « tenaient à la culotte » les groupes islamistes ; il s’interroge sur le rôle de la CIA qui semblait protéger ces groupes israéliens et sur l’ambiguïté de la coopération du « renseignement extérieur » avec le FBI, lequel n’hésita pas à placer plusieurs de ces citoyens israéliens incriminés sur la liste des suspects du 11 septembre, au même titre que les islamistes.
Mais ces Israéliens ne resteront pas longtemps aux Etats-Unis. Sans doute du fait des pressions de la CIA et de ses relations avec le Mossad, ils seront expulsés libres, vers Israël et l’on ne parlera plus de l’affaire des espions israéliens du 11 septembre, encore moins en France d’ailleurs qu’aux Etats-Unis.
A cela s’ajoute l’ensemble des spéculations financières étranges, remarquées par la Commission des opérations de Bourse de New York.
Opération sous faux drapeau ?
Si l’on fait la synthèse de ces trois volets, chacun ébranlant fortement la thèse officielle, on voit alors s’esquisser une sorte de complot – pas nécessairement à un niveau gouvernemental ou présidentiel, mais associant obligatoirement des composantes du renseignement américain et (ou) israélien – se superposer au complot islamiste.
Une conspiration chargée de réussir un attentat « sous faux drapeau » de façon à justifier des choix politiques américains forts. Al-Qaïda, dont la responsabilité dans le 11 septembre proprement dit n’a jamais vraiment été établie, ne serait dès lors que le réseau exécutant et le responsable visible de cette conspiration.
Des avions pilotés à distance auraient été téléguidés sur des tours qui devaient s’effondrer sous l’effet de destructions contrôlées à l’explosif, orchestrées à partir du centre de contrôle du bâtiment 7.
Le vol AA 77 aurait atterri sur une base militaire de l’Ohio où il aurait disparu avec ses passagers et il aurait été remplacé par un drone Global Hawk envoyé sur l’aile en réfection du Pentagone.
Les événements tragiques du 11 septembre auraient alors constitué le premier acte d’une sorte de coup d’Etat
invisible limitant les libertés civiles (Patriot Act), et donnant des marges de manoeuvre géopolitiques considérables tant à l’Amérique (Asie centrale, Irak, Iran, etc.) qu’à Israël (libéré des contraintes internationales sur la Palestine grâce au spectre du terrorisme international), ainsi que des perspectives économiques nouvelles au complexe militaro-industriel et à l’industrie pétrolière des Etats-Unis.
Dans une Amérique hantée par le souvenir de l’assassinat de Kennedy et par les ambiguïtés de l’attaque japonaise de Pearl Harbor, profondément marquée par la culture du complot (ses thrillers multiplient les scénarios et coup d’Etat invisible contre les vieilles libertés américaines), et où la CIA a de lourds antécédents en matière d’opérations « sous faux drapeau », la thèse du complot intérieur est-elle vraiment plus étonnante que la thèse officielle selon laquelle des gens peu expérimentés et non rompus aux techniques du renseignement auraient réussi une opération aussi extraordinaire ?
Reste toutefois, pour les tenants de la thèse officielle, l’argument le plus fort : comment une telle conspiration n’a-t-elle pas pu être démasquée dans un pays où tant de contre-pouvoirs peuvent jouer et où tant d’hommes, farouchement attachés à leurs, libertés sont prêts à se dresser pour « tuer Liberty Valance », pour paraphraser le titre de l’un des plus célèbres westerns de John Ford ?
http://www.jp-petit.org/Presse/ARMES/chauprade_analyse.htm
« Lies, lies, lies » - no Jews killed in gas chambers by Nazis?
Bishop Richard Williamson on gas chambers
In November 2008, on All Saints Day, British Bishop Richard Williamson, the auxiliary Bishop of The Society of St. Pius X brotherhood, went to a Zaitkofen castle near Regensburg, Germany, to make a Swedish convert Sten Sandmark into a deacon of the Society. On the sidelines, and totally unconnected with the function Bishop Williamson was attending, Stockholm TV reporter Ali Fagan interviewed the Bishop in the castle’s chapel on the latter’s belief that not one Jew was gassed in gas chambers by the Nazis during World War II based on what the Bishop had said in 1989 at Notre-Dame-de-Lourdes church in Sherbrooke, Canada. The interview was aired on 21 January 2009. Below is a transcript of this interview.
INTERVIEWER ALI FAGAN - « Bishop Williamson, are these your words? “There was not one Jew killed by the gas chambers. It was all lies, lies, lies.” Are these your words? »
BISHOP WILLIAMSON - « You are quoting from Canada, I believe, yes, many years ago. I believe that the historical evidence, the historical evidence is strongly against, is hugely against six million Jews having been deliberately gassed in gas chambers as a deliberate policy of Adolph Hitler. »
ALI FAGAN - « But you say not one Jew was killed. »
BISHOP WILLIAMSON - « In gas chambers. »
ALI FAGAN - « There was no gas chambers? »
BISHOP WILLIAMSON - « I believe there were no gas chambers, yes. I think, as far as I have studied the evidence, I am not going by emotion, as far as I have understood the evidence, I think, for instance, people who are against what is widely believed today about, quote unquote, the holocaust, I think that people, those people conclude, the revisionists as they are called, I think the most serious conclude that between 200- and 300,000 Jews perished in Nazi concentration camps, but not one of them by gassing in a gas chamber.
You may have heard of the Leuchter Report. Fred Leuchter was an expert in gas chambers. He designed three gas chambers for three states, three of the fifty United States for the execution of criminals. So he knew what’s involved. And he studied what the supposed gas chambers in Germany, at some point of the 1980’s, what remains of the supposed gas chambers, the crematoria in Birkenau, Auschwitz for instance. And his conclusion, his expert conclusion was it’s impossible that these could ever have served for the gassing of large numbers of people, because cyanide gas is very dangerous. If you, let’s suppose you gas 300 people that you’ve crowded into one chamber and you gas them, and they were already wearing some clothes, for instance if they were wearing any clothes, it’s very dangerous to go in to pull out the corpses, because one whiff of gas that’s strapped in the clothing will kill the person. It’s extremely dangerous. In order to .., once you have gassed people, you’ve got to get rid of, you’ve got to evacuate the gas to be able to get into the chamber again and use it. To evacuate the gas you need a high chimney. If it’s a low chimney, the gas goes onto the pavement and kills anybody walking by. You need a high chimney, right. Forget how high he says it must be. If you, if there was a high chimney, then the shadow, most times of the day the shadow would have fallen on the ground, and the allied aerial photographers that flew over the camps would have picked up the shadow of this chimney. There were never any such shadows. There was no such chimney, which is Gordon Fred Leuchter’s testimony “there can’t have been gas chambers”. He looks at the doors, and then he says the door has to be absolutely airtight. Otherwise, again, the gas escapes and kills the people outside. The doors of the gas chamber that is shown to tourists in Auschwitz are absolutely not airtight, absolutely not. »
ALI FAGAN - « What you are saying now is that the Holocaust never occurred, not in the way historians see it today ».
BISHOP WILLIAMSON - « I am going by what I judge to be the historical evidence according to people who have observed and examined that evidence. I believe that what they conclude, if they change their conclusion, I would be liable to follow their conclusion because I think they judge by the evidence. I think that two to three hundred thousand Jews perished in Nazi concentration camps, but nothing like, but none of them via a gas chamber. »
ALI FAGAN - « But if this not anti-Semitism, what is anti-Semitism?
BISHOP WILLIAMSON - « Anti-Semitism, if anti-Semitism is bad, it’s against truth. If something is true, it’s not bad. I am not interested in the word anti-Semitism, I mean, the word is very dangerous ».
ALI FAGAN - « The Bishop [he does not say who] calls you anti-Semite ».
BISHOP WILLIAMSON - « The Bishop can call me, he can call me a Dinosaur, he can call me an idiot, he can call me what he likes. This is not a question of name calling. This is a question of historical truth. Historical truth goes by evidence and not by emotion. There’s certainly been a huge exploitation. Germany has paid out billions and billions of Deutschmarks and now Euros because the Germans have a guilt complex about their having gassed six million Jews. But I don’t think six million Jews were gassed. Now, be careful, I beg of you, this is against the law in Germany. You could have me thrown into prison before I leave Germany. I hope that’s not your intention. »
The Society of Saint Pius X
Vatican City, Jan 24, 2009 - In a move to achieve unity in the Church, « Pope Benedict XVI has lifted the excommunication of the four bishops [including Bishop Richard Williamson] from the Society of St. Pius X (SSPX) ordained by Marcel Lefebvre in 1988 ». This Society was founded in 1970 by French Archbishop Marcel Lefebvre and celebrates the Mass in Latin to this day. The Bishops were excommunicated in 1988 by Pope Jean Paul II for defying his authority since the 1988 Episcopal consecrations were performed by the late Marcel Lefebvre without pontifical mandate. At the same time, the Society does not recognise the legitimacy of the Second Vatican Council which absolved the Jewish people of the charge of « deicide » (killing of a god, in this case Jesus) and adopted the term « anti-Semitism ». The Church has been criticised for allowing infiltration by Zionists for the benefit of Israel-in-Palestine. During WW2, Aron Jean-Marie Lustiger rejected Judaism and became a Catholic to save his life. Although he was admitted into the Church as a reward and became Archbishop in Paris, he claimed that he was still Jewish and a fervent supporter of Israel, and advocated that all Catholics are Jews. Born Karol Józef Wojtyła, the late Pope John Paul II, who excommunicated the Bishops of the Society of St. Pius X, had similar Polish roots to Archbishop Lustiger and, said to have a Jewish mother in the name of Emilia Kaczorowski (Emily Katz in English), he was raised exclusively among Jews. He also beatified other Jews who ‘converted’ to Christianity but who remained Jewish all the same, such as Edith Stein in 1987, who he later canonised. Pope John Paul II accepted the Zionists’ version of the holocaust and departed from the Vatican policy not to recognise Israel-in-Palestine and embraced the Jewish state while effectively condoning the Al Nakba-deniers.
Truth Seekers
Holocaust researchers, such as David Cole (son of Orthodox Jews), Pr Norman Finkelstein (another Jew), and many more Jews and non-Jews alike, have been persecuted for bringing what they believe to be the truth based on evidence which contradicts the contention that six million Jews were gassed by the Nazis during World War II. To prevent those truth seekers from stating researched facts and communicating their findings about the holocaust and the serious doubts cast over the alleged gassing of Jews, many European countries, including Germany, Austria and France, have passed draconian laws to force people to accept the Zionists’ version as an article of faith in the holocaust ‘religion’. Anyone who questions the holocaust is accused of being a ‘holocaust-denier’, an anti-Semite (a ‘Jew-hater’) or a ‘revisionist’, or all at the same time. The term ‘self-hating Jew’ is used to describe a Jew who questions the holocaust. Many so-called revisionists were forced to recant, such as David Cole. Bishop Williamson said he was not interested in the word « anti-Semitism ». In fact, Arabs of all faiths are regarded as the true Semites, and Arabic, Hebrew, Aramaic as Semitic languages.
Many researchers also find it strange why the Nazi army, reputed as a killing machine, would go through the high expense of transporting 6 million Jews to concentration camps, pay their train tickets from France, for example, feed them for days, weeks, months and even years, in order to gas them. Many are also asking how the other 50-60 million victims of World War II were killed and why this is not regarded as the true holocaust also deserving reparation. It is argued that the holocaust is being kept alive as an ‘industry’ (ref. Pr Norman Finkelstein) in order to extract benefits and so that the ‘world’ can continue to accept the creation of Israel in Palestine, the stealing of Palestinian lands and the real and well documented holocaust of Palestinians. The beliefs of Bishop Richard Williamson are seen as a grave threat to the holocaust institution, monopolised by Jews, and to Israel as the Church tries to maintain unity and integrity and starts to reject the counterfeit ‘Church’ of Judeo-Masonry within the Church proper.
Mel Gibson’s « The Passion of the Christ » depicting the truth of the charge of « deicide » never shown before by an equally Zionist-controlled Hollywood has sent the Judeo-Masonry institution reeling and attacking Mel Gibson, a fervent Catholic, as an anti-Semite.
Conclusion
« Even the Auschwitz museum has lowered the number of Jews killed there from 4 million to 1.5 million, and Red Cross records reveal far fewer than 1 million deaths », point out many researchers. Although Bishop Williamson said that, based upon the evidence, he believes that there was not a single Jew gassed in gas chambers by the Nazis in WW2, he is being attacked in various Jewish quarters and in a pro-Jewish section of the Church as well and being called all sorts of names. Many argue that, like Jesus Christ, Bishop Williamson has a penchant for speaking the truth - See John 8:44 : « Ye are of your father the devil, and the lusts of your father ye will do. He was a murderer from the beginning and abode not in the truth, because there is no truth in him. When he speaketh a lie, he speaketh of his own: for he is a liar and the father of it. » It is not denied that a great number of Jews died in Nazi concentration camps and during the war, but there were many more non-Jews who also died in those camps, and there were also many other holocausts. For example, millions of Christians were killed in the Soviet Union at the hands of mainly Jewish Communists, many of whom immigrated to Israel after 1948.
M Rafic Soormally
London
02 February 2009
Mechaal : Nous nous préparons pour la libération de la Palestine et la récupération d'Al-Qods
Le chef du bureau politique Hamas Khaled Mechaal a déclaré : "Nous nous préparons pour la libération de la Palestine, de toute la Palestine, et pour la récupération d'Al-Qods occupée, et nous assurer le retour des réfugiés".
Pendant son discours devant un groupe d'étudiants iraniens, mardi 3/2, lors de sa visite à la République d'Iran, Mechaal a ajouté : "Si Dieu le veut, nous allons libérer Al-Qods, et nous allons y prier ensemble".
Au cours d'un entretien avec l'ayatollah Ali Khamenei, Mechaal a exclu un "cessez-le-feu permanent" avec l'ennemi sioniste, et il a appelé à la levée du siège injuste imposé contre la bande de Gaza.
Pour sa part, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a averti d'une nouvelle agression sioniste sur Gaza, en soulignant que malgré leur échec flagrant, les Sionistes tentent de commettre une nouvelle agression contre Gaza.
Israeli Spokesman Says We Control Stupid Americans
The television military correspondent stated that the Israeli warplanes had dropped more than a thousand tons of explosives, including white phosphorous and DIME (Dense Inert Metal Explosive) bombs, during three weeks on the virtually unarmed densely populated 360 square Kilometers Strip.
He added that the shells fired by tanks, artillery, gunboats, and infantry were not included in those fired by the air force.
After a whole week of continuous air bombardments Israel sent in its elite foot soldiers; 30,000 of them, and called in 10,000 of its reservists. Armed with the latest weapons of mass murder, covered with an umbrella of free reigning air force, and accompanied with raining shells of heavy artilleries, they drove their tanks into the civilian towns murdering civilians and destroying every structure in their path.
Living outside of Gaza one cannot fully understand the barbarity of this genocide especially when the Western media had barely covered any of its atrocity. To gain a slight idea of its enormity one should remember that, during the 6-days war of 1967, this same Israeli army was distributed on four fronts; Egyptian, Jordanian, Syrian, and Lebanese, and it was fighting regular armies. Now the whole brunt of this army is concentrated on a small strip against unarmed and untrained civilian population.
Latest official count was 1350 murdered, 40% of them were children, and 5300 were injured; mutilated and amputated. It was reported that 80% of the injured were the victims of burning phosphorous bombs. More dead are being discovered under the rebels, and many seriously injured are expected later on to die.
Israeli tanks had left several city blocks completely destroyed without any homes or structure standing. The tanks shelled homes and apartment towers. Due to the small size of Gaza Strip Palestinians had to build vertically. Many apartment towers went up 15-20 stories high with each story containing 6-8 apartments.
A total of 20,000 buildings were completely or partially burnt and damaged. The UN has reported that more than 50,000 Palestinians are left homeless and are now crowded into 50 emergency shelters.
An estimated of 50,000 more are living with relatives and in tents they erected on the ruins of their homes.
The Israeli bombardment targeted everything in Gaza including government buildings, police headquarters, banks and business offices, the main university, 67 schools sheltering civilians, shopping centers and market places, factories, water, sewer, and electricity infrastructures, private homes and apartment towers and charity organizations.
Farms, including their animals, were also targeted and hundreds of acres of crops and fruit groves were incinerated. Religious buildings, where civilians usually seek shelter, were specifically targeted. Israeli fighter planes had completely destroyed 41 mosques, and partially damaged 51 others. One church was also targeted. Even cemeteries were not spared; 5 of them were bombed.
Although the Israeli army was given the exact GPS co-ordinates of every UN structure, as asserted by Christopher Gunness, the UNRWA spokesman, Israeli F-16 planes had repeatedly dropped phosphorous bombed on UN schools knowing very well that hundreds of civilians had taken shelter there. At least 45 children and women were burnt and murdered there.
The UN headquarters in Gaza City was also hit with three, not just one, phosphorous bombs burning tons of humanitarian aid and food stuff. The fire kept on burning for three days. UN-flagged humanitarian convoy was also shelled killing one driver.
Medical centers and paramedics were not spared. The Red Crescent Al-Quds hospital in Tal el-Hawa neighborhood was hit by Israeli shells and caught on fire. Other two hospitals; Al-Wafa and Al-Fata hospitals, were also shelled, leading the World Health Organization to express its deep concern about the serious implications of such bombardments. 16 other smaller health clinics and 16 ambulances were also damaged. Medics were targeted and prevented from helping the injured. Ten of them, including two doctors, were murdered.
Media centers were particularly targeted. Local and international news reporters were prevented from entering Gaza. Those, who were able to enter, were directly targeted. The Al-Shuruq office tower housing several international and Arab media outlets was directly hit. Two cameramen working for Abu Dhabi TV were injured, while the offices of Reuters News Agency, Fox TV, Sky, and Al-Arabiya TV offices were damaged. Another raid had damaged the headquarter offices of Al-Resala newspaper.
Similar to all their previous wars the Israeli soldiers had committed massacres against Palestinian unarmed civilians. They have used internationally banned weapons such as phosphorous bombs, DIME, and depleted uranium, as reported by international physicians, eyewitnesses, and military experts. Israeli soldiers had mutilated the bodies of their victims to instill terror in the hearts of people hoping they will leave Gaza. Israeli soldiers herded many families in one building using them as human shield, and then later on bombed the building on top of them. They shot civilians, mainly children, directly and at point blank. The bodies of some children were found shot several times; as many as 18 bullets in the body of a 12 years old girl, and 12 bullets in the body of her 2 years old sister.
Israeli soldiers had wiped off whole Palestinian families. Al-Samuni family lost 11 members, Abu Aisha family lost 6, Batran family lost 6, al-Rayyan family lost 15 and al-Balousha family lost 5 sisters. Other families, too many to mention here, were either murdered or incinerated by the phosphorous bombs. The Israeli army has been carrying out a deliberate indiscriminate mass murder. During the first Intifada, 1987 – 1993, they murdered 1162 Palestinians. During the second Intifada, 2001- 2006, they murdered 5500 Palestinians. Now, in a short period of three weeks, they murdered 1350 Palestinians.
This onslaught is a holocaust since the many tons of phosphorous bombs, dropped on Gaza cities, had burnt civilians to the bones, burnt their homes and buildings, and burnt their fields and crops. This is the holocaust that the Israeli Deputy Defense Minister, Matan Vilnai, had threatened Palestinians with when he stated: "the more Qassam fire intensifies and the rockets reach a longer range, they will bring upon themselves a bigger shoah (holocaust) because we will use all our might to defend ourselves."
One cannot help but wonder how could a group of people, who claim to be the victims of a holocaust, commit another holocaust against another nation. What is it that feeds, perpetuates and intensifies this Judaic genocidal spirit although all Arabs, including Palestinians, had offered these Zionist Jews many agreements of coexistence, peace and security? The answer comes through their media outlets, through the words of their scholarly educators, and through the teachings of their Rabbis.
"All of the Palestinians must be killed; men, women, infants, and even their beasts" cries the religious opinion of Rabbi Yisrael Rosen, the director of the long-established Tsomet Religious Institute. He wrote that Palestinians are like the nation of Amalekites, who attacked the Israelite tribes led by Moses on their way to Jerusalem. He stated that the Lord sent down in the Torah a ruling that allowed the Jews to kill the Amalekites, and that this ruling is known in Jewish jurisprudence.
The Torah states: "Annihilate the Amalekites from the beginning to the end. Kill them and wrest them from their possessions. Show them no mercy. Kill continuously, one after the other. Leave no child, plant, or tree. Kill their beasts, from camels to donkeys." Rosen stated that Amalekites are not a particular race, but rather all those who hate and oppose the Jews; Christians and Muslims.
Many leading Israeli Rabbis support Rosen’s views. Israel’s former Sephardic Chief Rabbi Mordechai Eliyahu advocated carpet bombing of Gaza stating that "there is absolutely no moral prohibition against the indiscriminate killing of civilians during massive military offensive on Gaza" (The Jerusalem Post, 30 May, 2007). His son Rabbi Shmuel Eliyahu amplified his father’s genocidal call stating: "if they don’t stop after we kill 100, then we must kill a thousand, then we must kill 10,000 and even a million"
Many Rabbis had argued that Palestinians in Gaza are not innocent civilians and that during war time it is not individuals but nations the Israelis are fighting. (It seems that Hitler had adopted this Telmudic teaching when he persecuted all European Jews)
Israeli educators, scholars, and politicians, openly, advocate the annihilation of all Palestinians. Dr. Nachum Rakover, a legal scholar, opined "They voted for killers and sent them to kill us. To call them (civilians) innocent is a tragic comedy… civilians are partners of the killers" Eli Yeshai, Israeli official in the Orthodox Shas party argued that "extermination of the enemy is sanctioned by the Torah" Many other politicians called for the need for "wiping off Gaza from the face of earth", and "annihilating of every moving thing there." The right-wing Israeli politician Avigdor Lieberman proposed nuking Gaza following the US example when it dropped the atomic bomb on Japan during WWII.
This "ideology of annihilation" is by no means a minority opinion in Israel, but represents a mainstream in the Jews of Israel as well as Jews in the West (US). The popular attitude is "if it was right by God to order us to commit genocide during Biblical time, why can’t it be right to commit genocide now. Has God changed his mind?" Indeed Judaic god is a racist genocidal god.
Watch and listen here to an example of how Israeli Jews are brainwashed and indoctrinated into the ideology of annihilation by their rabbis and scholars through Israeli media. Watch Max Blumenthal’s videotape of a group of messianic Orthodox Jewish Chabad-Lubavitch exhibit this ideology in NYC in January 11, 2009.
The Israeli spokesman, Nachman Abramovic demonized Palestinian children stating "They may look young to you, but these people are terrorists at heart. Don’t look at their deceptively innocent faces, try to think of the demons inside each of them … I am absolutely certain these people would grow to be evil terrorists if we allowed them to grow… would you allow them to grow to kill your children or finish them off right now? … honost and moral people ought to differentiate between true humans and human animals. We do kill human animals and we do so unapologetically. Besides who in the West is in a position to lecture us on killing human animals. After all, whose hands are clean?"
Human animal mentioned by Abramovic refers to the Judaic religious belief that Jews are Gods chosen people; the elite and the pure-blooded, while all others (non-Jews, Goyims, gentiles) are animal souls incarnated into human bodies to serve the Jews. Killing a human animal is just a sport like hunting deer or birds.
Israel, Sarkosy, l'UPM, Hasseni, Andrews Warren, l'Alliance Base et les attentats du 11 Avril/Decembre 2007 a Alger contre l'ONU
Andrews Warren: un agent secret très spécial
Par Djaafer El-Djazaïri
Il est très intéressant de connaître l’itinéraire de cet intrépide officier de la CIA à Alger avant qu’il ne soit exfiltré par ses collègues, en Octobre de l’année écoulée, à la suite de l’affaire de viol commis sur deux algériennes à son domicile algérois d’El Biar. Andrews est un afro-américain féru de l’histoire des arabes et de la culture arabo-islamique.
Touché par les événements survenus sur les tours jumelles le11 Septembre 2001, Andrews postule pour une intégration dans l’armée US en 2002. Il passe les examens de sélection avec succès. Toutefois, deux caractéristiques attirent l’attention des recruteurs de l’armée, il maîtrise parfaitement la langue arabe et possède une très bonne connaissance du Coran et se dit converti à la religion musulmane.
« Il était l’homme qu’il nous fallait et sur le champ » commente une de ses connaissances au Los Angeles Times du 29 Janvier 2009. Sa première affectation fut dans le secteur financier a Manhattan, en 2002. Intégré dans une équipe de recherche des circuits du financement du terrorisme il éplucha les comptes bancaires des personnalités arabes et musulmanes à travers le monde et ainsi que ceux des associations caritatives musulmanes présente sur le sol américain.
Mais après la chute des Talibans en Afghanistan, les besoins de ses compétences lui impose un autre destin, il est envoyé en Afghanistan où il a mis en pratique son savoir faire au service des siens. « Il circulé habillé en kamis dans les rues de Kaboul et participe à la prière de chaque vendredi » explique la même source au Los Angeles time. Il a également participé au programme de pacification du pays.
Cette politique est sensée neutraliser les seigneurs de la guerre en Afghanistan en les achetant par des liasses de dollars. Etrangement les officiers de la CIA réitèrent les mêmes pratiques des Talibans et d’Al Quaida précédemment maître du pays. C’est de cette manière qu’Andrews créa une équipe composé d’Afghano américain, tout en respectant les différences ethniques et religieuses composant le tissu démographique de l’Afghanistan.
Il sillonna le pays pachtoune au Sud et au centre, le tadjik au Nord est, l’ouzbek au nord Ouest ainsi chez les Hazaras chiite de l’ouest du pays. Son réseau s'étale jusqu’au aux zones tribales frontalières du Pakistan voisin. Satisfait de l’opération de pacification du pays, ces supérieurs lui demande d’intégrer, pour un certain temps, s’exercer sur les techniques d’interrogatoire et de retournement des combattants avant leur transfert dans les camps de Guantanamo à Cuba.
« Il est doué d’une grande capacité d’adaptation et de compréhension des sociétés musulmanes, ses connaissances et compétences lui procurent une facilité du travail et une efficacité du rendement de ses missions » explique une de ses connaissances dans le Washington post du jeudi 28 janvier. Après une mission pleinement accompli en Afghanistan, il est transféré durant l’année 2005, à la plus grande ambassade US en Afrique, l’Egypte. On ne connaît pas les contours de sa fonction dans ce pays, néanmoins, il est certain que son carnet d’adresse a été rempli de noms égyptiens ce qui laisse présager que sa mission consistait au recrutement d’intellectuels dans les milieux bourgeois du Caire.
Soucieux du fin de règne de MOUBARAK, la CIA tente de préparer la relève tant le pays vit une crise sociale grave. Il est en ébullition permanent avec les événements liés à la crise proche orientale. La aussi, Andrews fait ses preuves au sein du milieu universitaire dans le sillage du sociologue et militant des droits de l’homme Egypto-américain SAADEDDINE Ibrahim. Celui-ci est considéré par le gouvernement égyptien comme étant un agent de l’étranger. Harcelé, plusieurs fois arrêtés et emprisonnés, il est condamné par contumace en août de l’année passé. Il choisit l’exil, « c’est scandaleux » a aussitôt commenté l’ambassadrice Margaret SCOBEY.
Se sentant étroitement surveillé, restreignant ses déplacements au Caire, Andrews se voit tous ses contacts politiques arrêtés ou surveillés. Il faut noter que la majorité de son réseau son des partisans de l’opposant AYMAN Nour qui s’était porté candidat face à MOUBARAK en 2005. Identifié en tant qu’officier des services US opérant en Egypte, il se voit son rayon d’action se rétrécir et les résultats escomptés s’éloignés. Où lui octroie une peu ou prou similaire dans un pays du Maghreb : l’Algérie.
Dés son arrivée à Alger en Février 2007, il est briefé par le chef d’antenne d’Alger sur les pourtours de sa fonction dans le pays. Il s’installe dans un appartement sur les hauteurs d’Alger dans le chic quartier d’El-Biar, à l’avenue de Cheikh El Bachir El Ibrahimi. D’emblée il entre en conflit avec les services du pays à cause de ses multiples alertes d’attentats non exécutés que l’ambassade US avait annoncé au média. Il a également été derrière les bulletins d’alerte du département d’Etat qui recommandait aux citoyens US de ne pas se rendre en Algérie ou les risques d’attentat sont catégorisées élevées voire imminentes. Sa méthode de travail et ses conclusions agaçaient autant les responsables du DRS que le ministres de l’intérieur. Ce dernier a manifesté son mécontentement à l’ambassadeur US sur les faits d’annonce d’attentat qui produit plus de panique que de l’anticipation.
L’histoire donna raison a Andrews le 11 Avril 2007 avec le double attentat contre le palais du gouvernement et le poste de police de Bab Ezzouar. Dés lors, on commença à le respecter et à l’écouter. Mais, la tension persiste avec les responsables sécuritaires algériens lorsqu’il était derrière l’annonce par l’ambassade de l’imminence d’un attentat contre le bâtiment de la RTA et de la grande poste en plein centre d’Alger. Andrews détenait des informations sensibles mais ne savait ni l’heure ni le lieux précis de leur exécution.
L’efficacité d’Andrews repose sur les informations recueillies sur le terrain. Son rayon d’action est le sud Ouest d’Alger. Il fréquentait les lieux réputés fiefs des islamistes à BACHDJARAH et EL HARRACH, BAB EZZOUR, HAMIZ.Il faisait sa prière hebdomadaire dans ces lieux. Il préfère être opérationnel qu’un officier du bureau comme le sont la majorité des officiers du DRS dont la plupart de la recherche du renseignement reposerait sur les indics. Andrews préfère avoir sa propre conception du problème et développer un jugement précis de la situation. Il est fort à parier qu’il chercher d’avoir un contact permanent avec les éléments du GSPC et de l’AQMI opérant en Algérie.
(A suivre)
le 01/02/09
http://www.racinesdoutremed.com/andrews-warren.html
Raed Salah : Le congrès sioniste qui a eu lieu à Al-Qods vise à installer le prétendu temple juif
Le chef du mouvement islamique dans les territoires palestiniens occupés en 1948, Cheikh Raed Salah, a affirmé que la conférence sioniste qui a eu lieu dans la ville d'Al-Qods occupée a eu lieu, selon des propos sionistes, dans le but d'installer leur prétendu temple, aux dépends de la sainte mosquée d'Al-Aqsa.
Lors de ses déclarations de presse, dimanche 1/2, Salah a mis en garde contre les projets sionistes très dangereux qui menacent la bénie mosquée d'Al-Aqsa et les lieux saints islamiques et chrétiens dans la ville d'Al-Qods.
Le célèbre responsable palestinien a attiré l'attention du monde entier, en particulier de la nation arabo-musulmane et des hommes libres, sur les énormes creusements sionistes qui se continuent de se dérouler sous les fondations d'Al-Aqsa, ce qui a récemment causé l'effondrement d'une partie majeure de l'école proche de la porte des Maghrébins et la blessure de plusieurs écolières.
Raed a appelé les pays arabes et musulmans, la ligue arabe, la fédération de l'organisation de la conférence islamique mondiale, les institutions et organisations qui s'occupent des affaires et lieux saints, à faire face aux crimes sionistes, et à déployer tous les efforts nécessaires pour démasquer les violations des autorités occupantes au niveau international, et à protéger la sainte mosquée d'Al-Aqsa.
As confirmed by Islamic-Intelligence blog, 'operation November 1950: dirty bomb plots' warned that Zionist jews in UK, France and Germany are behind
ABU SULEYMAN
Comme annoncé par le blog Islamic-Intelligence deux mois auparavent, l'agent israelien Mohamed Dahlan assassinera Abbas et blamera le Hamas
La télévision "Otv" Libanaise allié au dirigeant Libanais, Mitchell Aoun a rapporté, le mardi 24/3, selon des sources qu'elle avait désigné de bien informées, que Mohamed Dahlan, l'ancien dirigeant sécuritaire proche du président sortant de l'autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, est entré à Beyrouth, deux jours seulement, avant l'assassinat du dirigeant du Fatah, au Liban, Kamel Medhat.
Les sources ont affirmé selon la Télévision "Otv", que Dahlan est entré avec un passeport égyptien, et a résidé à l'est de Beyrouth.
Il est à noter que les palestiniens ont accusé l'entité sioniste et ses alliés de l'assassinat du dirigeant patriotique palestinien, Kamel Medhat, qui tentait d'unir les palestiniens et que son assassinat vise de frapper le consensus national palestinien.
Genocide in Gaza : Videos of Gaza war crimes investigation
The films focus on three separate cases of alleged war crimes; (1) The use of Palestinian children as human shields. (2) The systematic targeting of medics and hospitals by the Israeli Army. (3) The use of state of the art precision weapons such as UAV aircraft to fire on groups of unarmed civilians.
Three documentaries produced by Guardian Films and Clancy Chassay made during a month-long investigation add weight to calls this week for a full inquiry into the events surrounding Operation Cast Lead which left over 1400 Palestinians dead.
You can watch the three films HERE
Solidarity with Christopher Bollyn
THANK YOU IN ADVANCE FOR YOUR PRECIOUS HELP,
WA BARAK ALLAH FIKUM
Dear Friends and Supporters,
I am writing to explain why my website www.bollyn.info has not been working for the past week. Basically, it is because my website has been hijacked by the technical administrator, an Estonian named Aivar Hiienurm, who has a web-hosting business called Holyfield Studios. While he is the person who is directly responsible, I suspect he is acting on behalf of others.
Mr. Hiienurm's website is at www.holyfieldstudios.com
His email is: aivar@unison24.com
His phone number is: (372) 58 176 515
Without going into great detail, my wife and I have had problems with our Estonian-managed websites since January. Helje's website, www.elaestonia.org, was severely corrupted with malicious code that scared readers away and rendered it virtually unusable. This website deals solely with the M/V Estonia ferry catastrophe of September 1994, in which she lost a loved one. My website www.bollyn.info, which also deals with this sinking, was the next to be hijacked. I could see the writing on the wall and warned my readers ahead of time.
We suspect the hidden hand of Estonian military intelligence is involved in these problems. Helje organized two extremely important Estonia truth events in September (with Jutta Rabe) and November (with Anders Bjorkman) 2008 in Estonia that exposed crucial new information into the sinking. After these events she collected 150 signatures of relatives of Estonia victims demanding their government re-open the investigation. Shortly thereafter our troubles began. We were forced to leave Estonia at the end of January or face prosecution.
I wrote about these Estonia-related events on www.bollyn.info and was amazed at how many readers were interested in the article about the Estonian spy Herman Simm and his role in the Estonia cover-up. Furthermore, my chapter about the war games that were on-going during 9-11, the London bombings, and the Estonia sinking, was read by some 50,000 readers and was the second most popular article until my article about Bernard Madoff passed it in early March.
This leads me to think that Estonian military intelligence, which is controlled by U.S. military intelligence, is behind these attacks. Estonia is a very small country and the intelligence circles are extremely small. I came across a very important piece of information about the Estonia sinking last summer and decided to act on it in December or January.
What I had learned was that a person named Toivo Treima, a senior Estonian military intelligence agent, had handed the surviving captain of Estonia, Avo Piht, over to the "American side" at a Swedish navy base shortly after the sinking. As my Estonia readers will recall, Capt. Avo Piht is one of the dozen or so key people who were reported as having survived the sinking and who disappeared from their hospital beds the following day – never to be seen again.
When the Herman Simm spy scandal broke, Toivo Treima suddenly left his position at the Baltic Defense College in August 2008 and became a priest in the newly-founded Estonian Orthodox Church. This is, of course, not a real church. Estonians who are religious are usually Lutheran, although very few Estonians are religious these days; Russians are orthodox.
What we know about Toivo Treima is that in the early 1990s he worked with a fake Swedish church group called Livets Ord, which was actually a Zionist outfit dedicated to finding Jews in the former Soviet Union and Warsaw Pact states and bringing them to Israel. Livets Ord is headed by a Swedish Jew named Ulf Ekman. This fake Christian operation was called Operation Jabotinsky. The Estonian press wrote that Treima operated between Israel and Sweden and lived in both countries.
Later, Treima was taken to the United States where he studied with the U.S. military in Norfolk, Virginia, and Fort Hucachuca, Arizona. Fort Hucachuca is the training center for U.S. Army Intelligence. A person from Fort Hucachuca was behind getting me kicked off of RumorMillNews.com about a year ago.
I tried to go to Treima's "ordination" in October and spoke with Mrs. Treima to arrange an interview with her husband, the new priest. I didn't get an invitation or an interview, but one of the first things she said was that they had never been to Israel, media reports notwithstanding.
When I broached this subject with Estonians who are supposedly interested in getting to the truth of what happened they reacted in one of two ways: they either freaked out or ignored it as not important. If it is true that Treima was involved in the disappearance of Capt. Piht, then it is the key to exposing the whole can of lies about what happened to the weapons-smuggling ferry that sank with nearly 1,000 lives lost. There is more to this story, but that can wait. This is the background about what we think is behind our website problems. Estonia is a country of fewer than 1 million Estonians. Its population is smaller than a small American city. Condoleezza Rice said the other day that it is a country in an extremely "dire situation." They followed the American (Milton Friedman) model, rather than the German model of development, which is why they are in such dire straits. 18 years after independence and they still don't have a direct train link to Germany!
Well, in any case, we hope to be online very soon, although it might be bollyn.com that will be functioning first. I have a very interesting article to post about the Arthur Nadel scam and how it is connected to Bernard Madoff and Israel Discount Bank of New York. I have a good explanation about why Art Nadel is being held in the same jail in New York as Madoff, although his crimes took place in Florida.
Thank you for your support. I am not giving up.
Donations can be sent to bollyn@bollynbooks.com
Many thanks and best wishes,
Christopher Bollyn
Le Sheykh Ali Benhadj est pret a confronter quiconque devant une juridiction nationale ou internationale
UK terrorist networks are in the hands of british-israelis like Jonathan Evans head of MI5, Jack Straw and David Milliband, puppets Blair-Brown
Is it Time for Interpol to Arrest Blair?
Written by Wazir Uddin
Lord Carlisle, the government's own terrorism watchdog, has called for a judicial enquiry and this has been echoed by a senior Conservative MP, David Davis, who is quoted as saying:
"I am convinced... that Binyam Mohamed was actually tortured. ...I am pretty convinced that we knew about it, and I'm reasonably convinced - I think there's a prima facie case - that we colluded in it in some way."
The unambiguous claim made by Binyam Mohamed is that it could only have been British intelligence that supplied his abusers since the series of questions asked by his torturers required specific knowledge of his life in the UK.
Also, Binyam's revelation that it was British intelligence who interrogated him in Karachi, at the beginning of the many years of his ordeal, makes it incredible to think that the subsequent torture of this man was outside of the UK government's knowledge.
So far, the government has not used their ultimate defence of denying a judicial enquiry on the basis of "national security" and it is uncertain if this claim could be sustainable in light of the increasing pressure to investigate.
The Binyam Mohamed case is not likely to be an isolated criminal act but part of a much broader British collusion in a programme of extraordinary renditions, torture and extra-judicial custody - all in the name of "national security". It is of utmost concern that values of liberty, the rule of law and accountable government have been contravened in light of a meta-narrative of security.
Something for us all to consider is what impact do immoral and illegal actions abroad have on our liberal values at home? For sure, the government will make the incredulous claim that there is no connection, but for us who can see the state's incursion into private space and freedom the connection is very apparent.
FROM THE FAMILY OF BABAR AHMAD
In our fight for justice, many doors were slammed in our faces. Firstly by the Police, then the Independent Police Complaints Commission, then the Police tribunal which praised those very officers for their bravery.
Today The Metropolitan Police have finally admitted full liability for the brutal assault their officers carried out on Babar on 2nd December 2003.
The Metropolitan Police admit Babar did not resist arrest. They also admit they repeatedly punched him and stamped on his feet. They have admitted holding him twice in a dangerous head-lock which made him fear for his life.
The Police even admit that they did indeed place Babar in the Muslim prayer position and taunted him, “Where is your God now?”
These words alone were a direct attack not just on Babar, but on every single Muslim in the world.
Despite the Police admitting that their officers carried out this brutal, islamophobic attack, they have refused to offer any form of apology for their actions. This shows their arrogance and refusal to express any remorse.
Before this day, the Police had repeatedly accused Babar of lying. These admissions have exonerated Babar and prove that they were the ones who were lying.
There are still many unanswered questions and we call for an independent inquiry. For example, what happened to the bags of evidence that have miraculously “disappeared”, including all the officers’ notebooks and interview transcripts?
We feel that there has been a cover-up. It took five years and only after court proceedings began did they admit fault. This is something the IPCC should also be investigated for, so that no one should ever have to face the brutal treatment that Babar received at the hands of the Police.
We would like to thank our excellent legal team at Bhatt Murphy Solicitors, in particular Fiona Murphy and Phillippa Kaufmann, and all our friends and supporters whose assistance has been invaluable.
Throughout this ordeal, our faith has not waivered as we believe that our Lord never forsakes us. For those officers who asked, “Where is your God now?” Here is the answer.
Family of Babar Ahmad, Outside Royal Courts of Justice, London
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Viens jeter un œil sur ce blog insh'allah :
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Face A Israël, Obama A-T-IL La Volonté De Defendre La Souveraineté Des Etats Unis ?
Le Futur Conseiller A La Securité Nationale De Netanyahou Interdit De Séjour Aux US
"...Ils (Obama et Clinton) doivent clairement indiquer quelle serait la position des Etats Unis au cas ou Israël déciderait d'agir unilateralement (contre l'Iran)..." Uzi Arad, un ancien responsable du Mossad, prochain conseiller à la sécurité nationale de Netanyahou, considéré aux US comme une menace à la sécurité nationale, y est interdit d'entrée.
Benjamin Netanyahou s'apprête à sélectionner Avigdor Lieberman comme son ministre des affaires étrangères. On n'empêchera peut être pas Lieberman d'entrer aux US mais je doute qu'on lui fera l'honneur d'une séance photo le montrant chaleureusement accueilli par le Président Obama. Quant au conseiller à la sécurité nationale, Uzi Arad, il y a peu de chance qu'il puisse bénéficier d'un contact face à face avec ses homologues américains car actuellement l'ancien directeur de recherche du Mossad ne peut se rendre en visite aux US. Pour l'instant, il a interdiction d'entrer sur le territoire dans le cadre d'une règlementation qui empêche l'entrée de personnes qui peuvent chercher " à violer toute loi des Etats Unis liée avec l'espionnage ou le sabotage".
Pendant ce temps, le chef d'état major des forces de défense israéliennes (IDF), Gabi Ashekenazi, en visite aux US, a utilisé l'occasion pour réitérer que les i["IDF doivent se préparer à une attaque militaire contre l'Iran."
Si les IDF suivent les conseils d'Arad, qu'il a formulé il y a deux ans, voilà ce à quoi on peut s'attendre tel que rapporté par UPI (United Press International) :
Israël devrait menacer de frapper " tout, et toute chose de valeur" a-t-il dit.
Israël devrait -t-il menacer de frapper leur direction ? Oui. Leurs sites les plus sacrés ? Oui. L'ensemble ? Oui. C'est ce qu'a recommandé Arad.
Obama et sa secrétaire Clinton (et son acolyte Dennis Ross) peuvent rappeler l'obligation de " poursuivre toutes les voies de la diplomatie", il y a cependant une arme diplomatique qu'ils leur faut rapidement brandir - avant qu'il ne soit trop tard : ils doivent clairement indiquer quelle serait la position des Etats Unis au cas ou Israël déciderait d'agir unilatéralement.
Les responsables israéliens proféreraient -ils des menaces imprudentes s'ils ne se sentaient assurés qu'en cas d'engagement militaire entre Israël et l'Iran, les US se tiendraient résolument aux côtés de leur allié - même si l'état juif avait choisi d'agir unilatéralement ?
Leur fanfaronnade repose certainement sur la certitude qu'ils ont qu'à Washington aucune administration n'a le courage de leur dire qu'ils se retrouveront seuls.
Il existe un danger réel que les US soit entraîner dans une autre guerre, contre la volonté du peuple américain et de son gouvernement, sauf si Obama change son approche.
Il faut montrer aux Israéliens les lignes rouges à ne pas franchir. Si cela ne se fait pas, la décision la plus grave concernant la sécurité nationale et ayant un impact sur les Etats Unis sera une décision pour laquelle le gouvernement des US aura choisi de se taire.
Paul Woodward - 18/03/09 - Editorial de War In Context- www.warincontext.com
Le Secrétaire A La Securité Nationale De Netanyahou Interdit De Séjour Aux US
Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a choisi un ancien responsable du Mossad peu apprécié aux Etats Unis comme conseiller à la sécurité nationale dans le gouvernement qu'il est entrain de former. Uzi Arad, un ancien chef du Mossad, s'est vu depuis deux ans refuser l'entrée sur le territoire des US car il y est considéré comme une menace à leur sécurité. Arad a été membre des services d'espionnage israéliens du Mossad pendant deux décennies à partie de 1975. Par la suite il a servi comme conseiller aux affaires étrangères de Netanyahou et comme contact avec la CIA pour des opérations des services secrets.
Arad a été impliqué aux US dans l'affaire Lawrence Franklin, un fonctionnaire américain poursuivi et condamné en 2005 pour avoir fourni des documents sur l'Iran classés top secret à deux employés d'AIPAC. Arad s'est vue refuser un visa d'entrée depuis juin 2007 en référence à la section 212 3(a) de la loi sur l'immigration et la nationalité, et cela malgré des pressions exercées par des israéliens et sionistes américains influents dans les hautes sphères de Washington. Cette loi permet aux fonctionnaires consulaires et au Departement de la Justice US d'interdire l'entrée à ceux qui pourraient " violer toute loi des US en lien avec l'espionnage ou le sabotage".
Uzi Arad, un personnage clé dans le futur gouvernement Netanyahou
Récemment, quand Hillary Clinton a rencontré Benjamin Netanyahou en Israël, son équipe s'est interrogée sur la présence d'Uzi Arad lors de cettte entrevue. Devenu suspect depuis qu'il a été prouvé qu'il était impliqué dans l'affaire d'espionnage Franklin, l'équipe Clinton, soucieuse de ne pas faire de vague diplomatique, a discrètement demandé à ce que seuls trois représentants de chacune des parties assistent à la discussion. A leur grand étonnement, c'est l'ambassadeur israélien aux US, Sallai Meridor, à qui Netanyhaou a demandé de quitter la pièce. Le lendemain, Meridor annonçait qu'il démissionnait de son poste d'ambassadeur. Le bureau de Netanyahou a expliqué plus tard que la présence d'Arad était nécessaire, le sujet central des discussions portant sur l'Iran.
Arad s'est toujours prononcé pour une politique de " dissuasion maximum" vis à vis de l'Iran. Concernant les Palestiniens, lors d'une interview accordée à Arutz Sheva, le réseau de médias des colons basé en Cisjordanie, il a été demandé à Arad s'il le moment n'était pas venu d'abandonner la solution à deux états pour régler le conflit israélo palestinien. Il a répondu :
" je ne pense pas qu'il faille aller si loin parce qu'en fait la majorité des Israéliens ne se perçoivent pas comme responsables des Palestiniens. Nous ne voulons pas contrôler la population palestinienne. Ce n'est pas nécessaire. Ce que nous voulons vraiment c'est protéger nos frontières, pour les colonies juives et pour les zones qui ne sont pas peuplées, et que nos intérêts sécuritaires soient bien défendus. Cela deviendrait un fardeau de prendre sur nous la responsabilité de ces populations qui, je crois, ne sont pas les plus productives sur terre. Nous voulons nous soustraire à ce fardeau que constituent les populations palestiniennes - mais pas les territoires. Ce sont les territoires que nous voulons conserver, mais nous voulons nous débarrasser des populations".
Un discours on ne peut plus clair, qui fait écho à celui du futur ministre des affaires étrangères israéliens, Avigdor Lieberman. Netanyahou est entrain de mettre sur pied un gouvernement raciste ayant pour objectif principal affiché le nettoyage ethnique de toute la Palestine.
Concernant l'Iran, selon l'accord signé entre le Likoud et le parti d'extrême droite, Yisraël Beiteinou, Lieberman a obtenu de s'occuper lui -même du dialogue stratégique US Israël sur le sujet. Le Comité sur le dialogue stratégique conjoint US Israël est l'endroit où sont prises les décisions stratégiques concernant la politique menée par les deux pays sur ce qu'ils considèrent comme une menace nucléaire, de même que sur les principaux problèmes stratégiques. Ce Comité se réunit deux fois par an. Lors des réunions précédentes, Olmert avait nommé l'ex chef d'état major de l'armée israélienne et ministre des transports de son gouvernement, Shaoul Mofaz, pour diriger la délégation israélienne au sein du Comité, considérant que la ministre des affaires étrangères sortante, Tzipi Livni, était une novice sur les sujets touchant au domaine militaire. Lieberman cherche absolument à avoir une emprise sur les relations US Israël, bien que traditionnellement se soit le Premier Ministre qui s'en occupe.
Uzi Arad étant le MR Sécurité de Benjamin Netanyahou, difficile de s'imaginer que l'actuelle interdiction d'entrée sur le territoire américain résistera à la pression Sioniste du prochain gouvernement de Tel Aviv. Le Lobby Sioniste à Washington, bien sûr, l'appuiera. La violente campagne de diffamation que ce Lobby à mener contre la nomination de Freeman à la NSA (National Security Agency), entrait probablement dans cette démarche là.
Traduction et Synthése Mireille Delamarre
A quoi sert l’Opep ?
Mais à quel jeu de yo-yo est donc soumis le baril de pétrole ? De 100 dollars en janvier, il est monté jusqu´à 147 dollars, mi-juillet, avant de dégringoler pour retrouver son niveau du début de l´année. Tous les pays producteurs sont en effet convaincus que le marché marque des signes de "surabondance", la consommation reculant dans les grands pays industrialisés (Etats-Unis, Europe, Japon...) et progressant moins vite que ces dernières années dans les pays émergents (Chine, Inde...). Cette chute de près de 50 dollars en deux mois est passée presque inaperçue dans les médias occidentaux. Autant nous étions saturés d´informations tendancieuses quand le prix était à la hausse - les pays occidentaux ont parlé de 3e choc pétrolier pour culpabiliser l´Opep - autant c´est le silence radio quand il a commencé à dégringoler.
On se souvient du forcing américain pour inonder le marché. En juin, à Djeddah, deux sons de cloche, le président de l´Opep qui assure que le marché est approvisionné correctement, il n´y a pas pénurie. De son côté pourtant, l´Arabie saoudite s´est dit prête à produire, pour le restant de l´année et s´il existe la demande correspondante, plus que les 9,7 millions de barils de pétrole par jour qu´elle a déjà décidé de pomper en juillet. Le Koweït a, pour sa part, indiqué hier par la voix de son ministre du Pétrole, Mohammed Al-Olaïm, qu´il " (n´hésiterait) pas à augmenter (sa) production si le marché l´exigeait ".
Pourquoi la chute des prix du pétrole ?
Les cours du pétrole remontaient timidement vendredi 12 septembre, dopés par l´approche de l´ouragan Ike, qui a entraîné la fermeture des installations pétrolières et gazières dans le golfe du Mexique, et par la menace du président vénézuélien de ne plus fournir les Etats-Unis en pétrole. Par ailleurs, le 10 septembre l´AIE réduit ses prévisions sur la demande pétrolière mondiale. La demande mondiale de pétrole augmentera moins que prévu cette année. L´AIE a réduit de 100 000 barils par jour (bpj) sa projection de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2008 à 690 000 bpj et a également réduit la projection de 2009, de 40 000 bpj à 890 000 bpj. L´AIE, qui conseille 27 pays industrialisés en matière de politique énergétique, a également revu en baisse sa projection de l´offre des pays non-Opep, de 180 000 bpj pour 2008 et de 85 000 bpj en 2009.
Les prix du pétrole reculent également en raison de la remontée du dollar qui a touché, mardi dernier, dans les échanges asiatiques, un niveau plus haut, depuis octobre 2007, se rapprochant du seuil d’1,40 dollar pour 1 euro. La remontée du dollar face à l´euro décourage les achats de matières premières libellés en dollars, car elle érode le pouvoir d´achat des investisseurs munis d´autres devises. Elle incite aussi les investisseurs à racheter des dollars au détriment d´autres placements, tels que les matières premières. Il faut ajouter à cela que le département américain à l´Energie a fait savoir, mardi 2 septembre, que les Etats-Unis allaient sortir 250 000 barils de pétrole de leurs réserves stratégiques afin de pallier les perturbations engendrées par le passage de l´ouragan Gustav dans l´approvisionnement. Cela va donc créer une abondance artificielle contre le concept de la loi du marché.
Pourtant, de notre avis, la chute sans fin des prix du pétrole n´est pas une bonne nouvelle pour tout le monde. La spéculation, après avoir fait son miel jusqu´en juillet, se déplace vers d´autres niches. Comme l´écrit Paul Loubière économiste : "La bulle pétrolière est en train d´éclater. Les fonds ont déplacé plusieurs dizaines de milliards de dollars du pétrole vers d´autres actifs. Il n´est donc pas absurde de penser que le prix du pétrole est en train de renouer avec les fondamentaux. Faut-il s´en réjouir ? Pas forcément. Ce mouvement de baisse est, en effet, le reflet d´une baisse de la consommation observée en Europe et aux Etats-Unis. Nous sommes donc dans une situation d´excédent de pétrole. En bonne logique, cela se traduit par une baisse des cours. Mais cette baisse des cours risque de relancer la consommation à l´approche de l´hiver. Pour peu qu´il fasse froid et l´excédent de pétrole sera absorbé. Résultat, les prix pourraient repartir à la hausse. Quoi qu´il en soit, les aléas des cours ne peuvent faire oublier que la tendance lourde, sur le long terme, est celle d´une inéluctable pénurie. Dans ce contexte, un reflux des prix du pétrole n´est pas nécessairement une bonne nouvelle : il risque de nous faire oublier nos bonnes résolutions d´économie et de retarder la mise en place d´énergies de substitution. (1) Curieusement l’automobiliste européen ne profite pas de cette baisse de 33 % des prix du pétrole ! La baisse de l’essence n’a été en moyenne que de 7 %. Où est passée la différence, cherchez l’erreur ! On comprend aussi le danger d’une remise en cause de toutes les bonnes dispositions pour conjurer les changements climatiques si le prix du pétrole dégringolait à un seuil qui interdit la compétitivité des énergies renouvelables.
On se souvient qu´en termes à peine voilés en juin à Djeddah le ministre français de l´Energie et de l´Ecologie, Jean-Louis Borloo, a dénoncé les effets de la spéculation sur l´envolée des prix du pétrole "Il y a un accord général sur l´idée que, si les marchés étaient plus transparents, il y aurait moins de spéculation. On a proposé qu´autour de l´Agence internationale de l´énergie et du Forum de l´énergie, il y ait un groupe de travail pour regarder comment donner toutes les informations sur les réserves, sur les stocks et sur les besoins des consommateurs", a ajouté le ministre. C´est une façon comme une autre de contrôler le fonctionnement de l´Opep.
A quoi sert l’Opep ?
Ce n´est pas la première fois que l´Opep est diabolisée. Pourtant, elle est tenue d´une main de fer par l´Arabie saoudite pour le compte des Etats-Unis. Pourquoi George W. Bush aurait-il demandé à deux reprises en 2008 à son chef de file, le roi saoudien Abdallah, d´accroître le débit pétrolier ? Et pourquoi le Congrès américain aurait-il voté en mai, à une très large majorité, républicains et démocrates confondus, une loi anti-Opep (refusée par la Maison-Blanche) ? Ce texte prévoit la création d´une équipe rattachée au ministère de la Justice pour enquêter sur le mécanisme des prix et sur d´éventuelles manipulations des cours du pétrole (y compris aux Etats-Unis), mais aussi la possibilité de poursuivre en justice les pays membres de l´Opep au nom des lois antitrust. Le 10 septembre, l´AIE met en garde : toute initiative pour freiner la production pétrolière mondiale pourrait se révéler "contreproductive" pour l´économie mondiale.
L´Opep a connu plusieurs vies. Dans les années 60 et 70, elle était véritablement une organisation qui avait pour but la défense des intérêts des pays producteurs. Depuis le milieu des années 70, elle a commencé à perdre son influence suite à l´avènement de l´AIE, véritable machine de guerre créée par Kissinger, le secrétaire d´Etat américain dont le but était de casser l´Opep. Depuis près de trente ans maintenant, l´Opep a accepté de se mettre sous la protection américaine qui dicte ses desiderata par pays du Golfe interposés.
"Faute d´avoir mis en place des mécanismes de réaction adaptés à l´évolution du marché, le cartel des exportateurs en est réduit, aujourd´hui, à naviguer à vue. Les ministres des pays membres de l´Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont clos la réunion du 22 septembre avec le sentiment du devoir accompli. À vrai dire, l´Opep, en dépit de ses moyens et de son pouvoir, ne dispose pas d´instruments de mesure assez sophistiqués pour connaître, avec précision, la quantité d´or noir disponible sur le marché. Ce n´est un secret pour personne : les données de l´industrie du pétrole, aussi bien la production que les stocks et la demande, ne sont pas fiables. Résultat : l´Opep est réticente à ouvrir les robinets pour anticiper un pic de la demande, de peur que celui-ci ne se produise pas. Il est vrai que la dernière fois qu´elle l´a fait, en 1997, les prix se sont effondrés à leurs cours les plus bas depuis la Seconde Guerre mondiale".
Pour éviter une telle volatilité, l´Opep devrait pouvoir disposer, à l´instar des banques, de moyens très sophistiqués pour contrôler la masse monétaire. Mais l´Organisation est une vieille machine mal adaptée à l´économie évolutive d´aujourd´hui. Selon Robert Mabro, directeur du Centre d´études énergétiques d´Oxford, "il n´y a pas eu de changement d´approche depuis 1982". Et les ministres des pays producteurs continuent de se livrer à ce travail de divination risqué consistant à présager de la demande. Pour Léo Drollas, directeur adjoint du Centre d´études pour l´énergie mondiale basé à Londres, "ils ne pensent pas à long terme. Quand ils le font, c´est trop peu et, souvent, trop tard".(2)
Un exemple de bonne gouvernance du pétrole nous est donné par le Brésil. "Il y a quelques jours, écrit Jean-Pierre Langellier, sur une plate-forme pétrolière au large des côtes du sud-est de son pays, le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, s´est abandonné à un lyrisme de bon aloi. C´est un signe de Dieu, un passeport pour l´avenir, a-t-il lancé à propos des immenses gisements de pétrole et de gaz récemment découverts dans les eaux très profondes de l´Atlantique. Un trésor énergétique sommeille à quelque 250 kilomètres au large des Etats de Santa Catarina, Sao Paulo, Rio de Janeiro et Espirito Santo. Ces champs pétrolifères s´étirent sur une bande longue de 800 kilomètres et large de 200 kilomètres. L´or noir qu´ils contiennent est enfoui à une profondeur allant de 5 000 à 7 000 mètres, sous une épaisse croûte de sel pouvant atteindre 2 000 mètres. Le gisement de Tupi, découvert en novembre 2007 dans le bassin de Santos, contient entre 5 et 8 milliards de barils récupérables. Dans un élan de nationalisme pétrolier, l´Etat veut, à la fois, mieux contrôler la production et accroître ses bénéfices. Dans cet esprit, l´attribution des concessions de forage a été suspendue en 2007. Que faire de cet argent ? Le président lui assigne deux objectifs sociaux : financer l´éducation et éradiquer la pauvreté. L´accroissement de ces ressources suppose de mettre en place une industrie pétrolière puissante. Celle-ci stimulera, par une vertueuse contagion les autres secteurs industriels et permettra de vendre en Europe, aux Etats-Unis ou au Japon des produits raffinés à forte valeur ajoutée, comme le gazole. Le jour où sa production dépassera les besoins nationaux, le Brésil qui produit 1,9 million de barils/jour n´envisage pas d´exporter du brut. C´est pourquoi il a poliment décliné la récente invitation à rejoindre l´Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) que l´Iran lui avait transmise". On comprend que le Brésil décline l´offre des rentiers de l´Opep, du fait que ce pays est un cap, une utopie mobilisatrice, il sait où il va. (3)
Comme on le sait, à la veille de la réunion de l´Opep, plusieurs de ses membres ont jugé que le monde est loin de manquer de pétrole. "Le marché commence même à souffrir d´une surabondance", a déclaré Chokri Ghanem, le président de la compagnie pétrolière nationale libyenne. A la demande des Etats-Unis, Saudi Aramco produit plus que le quota officiel autorisé par l´Opep. Il devrait réduire la voilure, sans que l´on sache dans quelle proportion. Washington veille. Dans une campagne présidentielle américaine où la question de l´énergie tient une place importante, il ne fait guère de doute que l´administration Bush pèse de tout son poids pour que l´Opep, via le Royaume saoudien, maintienne sa production pour faire baisser les prix.
Cependant, l´Opep ne veut pas rééditer la fatale erreur commise en décembre 1997 à la réunion de Djakarta (Indonésie). Alors que la crise économique se profilait en Asie, ils avaient décidé de relever la production de 10 %, provoquant un effondrement des cours de 40 %. Le baril était alors tombé à moins de 10 dollars ! Même scénario en 1986-1987, le prix du pétrole était tombé à moins de 10 dollars. C´est en fait le passage symbolique, mardi dernier, des cours du pétrole sous 100 dollars qui a sans doute pesé dans la décision de réduire l´offre pour enrayer la chute des prix. L´Opep a décidé, mercredi dernier, de retirer 520 000 barils par jour du marché pour enrayer la chute des prix du pétrole brut, passé sous les 100 dollars à Londres le mardi 9 septembre. Dans la pratique, elle a décidé de revenir "aux quotas de septembre 2007", ce qui équivaut à 28,8 millions de barils par jour. Un porte-parole du cartel a indiqué que les membres s´étaient engagés à respecter "strictement" cette décision.
En conclusion et comme l´écrit Jean Michel Bezat, "le retournement ne doit pas grand-chose à l´Opep. Elle court après les événements, mais elle n´a pas de gestion active des marchés", corrige Jan Horst Keppler, professeur d´économie à Paris-Dauphin (Centre de géopolitique de l´énergie et des matières premières). Robert Mabro, ancien directeur de l´Oxford Centre for Energy Studies, ironisait volontiers sur l´impuissance de l´Opep : "Elle devrait envisager de prendre un sac de thé comme logo, parce qu´elle ne marche que dans de l´eau chaude." Autrement dit, quand la maison brûle et que les prix se replient trop vite, comme on le constate depuis juillet. M. Keppler reconnaît que "l´Opep va revenir". Et M.Terzian prévoit qu´"elle mènera en 2009 une action coordonnée pour stabiliser les prix entre 80 et 100 dollars. (…) Tôt ou tard, elle retrouvera son poids des années 1970, quand elle assurait 60 % de la production mondiale d´or noir. Tout le monde spécule maintenant sur l´arrivée du Kazakhstan et surtout du Brésil, officiellement invité par l´Iran". (4)
Nous ne sommes pas d´accord avec Jean-Michel Bezat. Certes, l´Opep continuera d´exister car elle sert avant tout les intérêts des pays industrialisés en disciplinant des "faucons" comme l´Iran, ou le Venezuela par Arabie saoudite interposée. Dans ce combat de géants, l´Algérie n´existe pas, elle n´a ni la surface financière de l´Arabie saoudite ni le poids scientifique et technologique de l´Iran, puissance spatiale. Nous sommes des petits rentiers qui gaspillons frénétiquement une ressource qui appartient à nos enfants. Pour nous, il est très possible que les 500 000 barils/jour ne changeront pas grand-chose à la donne, le prix du pétrole continuera à glisser, peut-être jusqu´aux 80 dollars (55 euros) c´est-à-dire moins que les 30 dollars de 1982 en termes de parité d´achat que les pays occidentaux. Pourquoi l´Algérie s´entête-t-elle, une fois de plus, à produire d´une façon débridée ? Que faisons-nous dans l´Opep ? Pourquoi, à l´instar du Brésil, n´a-t-elle pas un cap : produire en fonction des besoins et miser sur l´éducation. Encore une fois, notre meilleure banque est encore notre sous-sol !
1. Paul Loubière, "La Baisse du baril, une fausse bonne nouvelle", Challenges, 03/09/2008.
2. Dow Jones & Company Inc. Dans Jeune Afrique, "À quoi sert l´Opep ?", 05/10/1999.
3. Jean-Pierre Langellier, "Le Brésil cherche à faire le meilleur usage de son nouveau statut de grande puissance pétrolière", Le Monde, 12/09/2008.
4. Jean-Michel Bezat, "Le Retour annoncé de l´Opep", Le Monde, 08/09/2008.
Pr Chems Eddine Chitour
Ecole Polytechnique Alger
Six Jewish Companies Own 96% of the World’s Media
“You know very well, and the stupid Americans know equally well, that we control their government, irrespective of who sits in the White House. You see, I know it and you know it that no American president can be in a position to challenge us even if we do the unthinkable. What can they (Americans) do to us? We control congress, we control the media, we control show biz, and we control everything in America. In America you can criticize God, but you can’t criticize Israel…”
Facts of Jewish Media Control
Electronic News & Entertainment Media
The largest media conglomerate today is Walt Disney Company, whose chairman and CEO, Michael Eisner, is a Jew. The Disney Empire, headed by a man described by one media analyst as a “control freak”, includes several television production companies (Walt Disney Television, Touchstone Television, Buena Vista Television), its own cable network with 14 million subscribers, and two video production companies. As for feature films, the Walt Disney Picture Group, headed by Joe Roth (also a Jew), includes Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, and Caravan Pictures. Disney also owns Miramax Films, run by the Weinstein brothers. When the Disney Company was run by the Gentile Disney family prior to its takeover by Eisner in 1984, it epitomized wholesome, family entertainment. While it still holds the rights to Snow White, under Eisner, the company has expanded into the production of graphic sex and violence. In addition, it has 225 affiliated stations in the United States and is part owner of several European TV companies. ABC’s cable subsidiary, ESPN, is headed by president and CEO Steven Bornstein, a Jew. This corporation also has a controlling share of Lifetime Television and the Arts & Entertainment Network cable companies. ABC Radio Network owns eleven AM and ten FM stations, again in major cities such as New York, Washington, Los Angeles, and has over 3,400 affiliates. Although primarily a telecommunications company, Capital Cities/ABC earned over $1 billion in publishing in 1994. It owns seven daily newspapers, Fairchild Publications, Chilton Publications, and the Diversified Publishing Group. Time Warner, Inc, is the second of the international media leviathans. The chairman of the board and CEO, Gerald Levin, is a Jew. Time Warner’s subsidiary HBO is the country’s largest pay-TV cable network. Warner Music is by far the world’s largest record company, with 50 labels, the biggest of which is Warner Brothers Records, headed by Danny Goldberg. Stuart Hersch is president of Warnervision, Warner Music’s video production unit. Goldberg and Hersch are Jews. Warner Music was an early promoter of “gangsta rap.” Through its involvement with Interscope Records, it helped popularize a genre whose graphic lyrics explicitly urge Blacks to commit acts of violence against Whites. In addition to cable and music, Time Warner is heavily involved in the production of feature films (Warner Brothers Studio) and publishing. Time Warner’s publishing division (editor-in-chief Norman Pearlstine, a Jew) is the largest magazine publisher in the country (Time, Sports Illustrated, People, Fortune). When Ted Turner, a Gentile, made a bid to buy CBS in 1985, there was panic in media boardrooms across the nation. Turner made a fortune in advertising and then had built a successful cable-TV news network, CNN. Although Turner employed a number of Jews in key executive positions in CNN and had never taken public positions contrary to Jewish interests, he is a man with a large ego and a strong personality and was regarded by Chairman William Paley (real name Palinsky, a Jew) and the other Jews at CBS as uncontrollable: a loose cannon who might at some time in the future turn against them. Furthermore, Jewish newsman Daniel Schorr, who had worked for Turner, publicly charged that his former boss held a personal dislike for Jews. To block Turner’s bid, CBS executives invited billionaire Jewish theater, hotel, insurance, and cigarette magnate Laurence Tisch to launch a “friendly” takeover of the company, and from 1986 till 1995 Tisch was the chairman and CEO of CBS, removing any threat of non-Jewish influence there. Subsequent efforts by Turner to acquire a major network have been obstructed by Levin’s Time Warner, which owns nearly 20 percent of CBS stock and has veto power over major deals. Viacom, Inc, headed by Sumner Redstone (born Murray Rothstein), a Jew, is the third largest megamedia corporation in the country, with revenues of over $10 billion a year. Viacom, which produces and distributes TV programs for the three largest networks, owns 12 television stations and 12 radio stations. It produces feature films through Paramount Pictures, headed by Jewess Sherry Lansing. Its publishing division includes Prentice Hall, Simon & Schuster, and Pocket Books. It distributes videos through over 4,000 Blockbuster stores. Viacom’s chief claim to fame, however, is as the world’s largest provider of cable programming, through its Showtime, MTV, Nickelodeon, and other networks. Since 1989, MTV and Nickelodeon have acquired larger and larger shares of the younger television audience. With the top three, and by far the largest, media companies in the hand of Jews, it is difficult to believe that such an overwhelming degree of control came about without a deliberate, concerted effort on their part. What about the other big media companies? Number four on the list is Rupert Murdoch’s News Corporation, which owns Fox Television and 20th Century Fox Films. Murdoch is a Gentile, but Peter Chermin, who heads Murdoch’s film studio and also oversees his TV production, is a Jew. Number five is the Japanese Sony Corporation, whose U.S. subsidiary, Sony Corporation of America, is run by Michael Schulhof, a Jew. Alan Levine, another Jew, heads the Sony Pictures division. Most of the television and movie production companies that are not owned by the largest corporations are also controlled by Jews. For example, New World Entertainment, proclaimed by one media analyst as “the premiere independent TV program producer in the United States,” is owned by Ronald Perelman, a Jew. The best known of the smaller media companies, Dreamworks SKG, is a strictly kosher affair. Dream Works was formed in 1994 amid great media hype by recording industry mogul David Geffen, former Disney Pictures chairman Jeffrey Katzenberg, and film director Steven Spielberg, all three of whom are Jews. The company produces movies, animated films, television programs, and recorded music. Two other large production companies, MCA and Universal Pictures, are both owned by Seagram Company, Ltd. The president and CEO of Seagram, the liquor giant, is Edgar Bronfman Jr., who is also president of the World Jewish Congress. It is well known that Jews have controlled the production and distribution of films since the inception of the movie industry in the early decades of the 20th century. This is still the case today. Films produced by just the five largest motion picture companies mentioned above-Disney, Warner Brothers, Sony, Paramount (Viacom), and Universal (Seagram)-accounted for 74 per cent of the total box-office receipts for the first eight months of 1995. The big three in television network broadcasting used to be ABC, CBS, and NBC. With the consolidation of the media empires, these three are no longer independent entities. While they were independent, however, each was controlled by a Jew since its inception: ABC by Leonard Goldenson, CBS first by William Paley and then by Lawrence Tisch, and NBC first by David Sarnoff and then by his son Robert. Over periods of several decades, these networks were staffed from top to bottom with Jews, and the essential Jewishness of network television did not change when the networks were absorbed by other corporations. The Jewish presence in television news remains particularly strong. As noted, ABC is part of Eisner’s Disney Company, and the executive producers of ABC’s news programs are all Jews: Victor Neufeld (20-20), Bob Reichbloom (Good Morning America), and Rick Kaplan (World News Tonight). CBS was recently purchased by Westinghouse Electric Corporation. Nevertheless, the man appointed by Lawrence Tisch, Eric Ober, remains president of CBS News, and Ober is a Jew. At NBC, now owned by General Electric, NBC News president Andrew Lack is a Jew, as are executive producers Jeff Zucker (Today), Jeff Gralnick (NBC Nightly News), and Neal Shapiro (Dateline). The Print Media After television news, daily newspapers are the most influential information medium in America. Sixty million of them are sold (and presumably read) each day. These millions are divided among some 1,500 different publications. One might conclude that the sheer number of different newspapers across America would provide a safeguard against Jewish control and distortion. However, this is not the case. There is less independence, less competition, and much less representation of our interests than a casual observer would think. The days when most cities and even towns had several independently owned newspapers published by local people with close ties to the community are gone. Today, most “local” newspapers are owned by a rather small number of large companies controlled by executives who live and work hundreds or ever thousands of miles away. The fact is that only about 25 per cent of the country’s 1,500 papers are independently owned; the rest belong to multi-newspaper chains. Only a handful are large enough to maintain independent reporting staffs outside their own communities; the rest depend on these few for all of their national and international news. The Newhouse empire of Jewish brothers Samuel and Donald Newhouse provides an example of more than the lack of real competition among America’s daily newspapers: it also illustrates the insatiable appetite Jews have shown for all the organs of opinion control on which they could fasten their grip. The Newhouses own 26 daily newspapers, including several large and important ones, such as the Cleveland Plain Dealer, the Newark Star-Ledger, and the New Orleans Times-Picayune; the nation’s largest trade book publishing conglomerate, Random House, with all its subsidiaries; Newhouse Broadcasting, consisting of 12 television broadcasting stations and 87 cable-TV systems, including some of the country’s largest cable networks; the Sunday supplement Parade, with a circulation of more than 22 million copies per week; some two dozen major magazines, including the New Yorker, Vogue, Madmoiselle, Glamour, Vanity Fair, Bride’s, Gentlemen’s Quarterly, Self, House & Garden, and all the other magazines of the wholly owned Conde Nast group. This Jewish media empire was founded by the late Samuel Newhouse, an immigrant from Russia. The gobbling up of so many newspapers by the Newhouse family was in large degree made possible by the fact that newspapers are not supported by their subscribers, but by their advertisers. It is advertising revenue–not the small change collected from a newspaper’s readers–that largely pays the editor’s salary and yields the owner’s profit. Whenever the large advertisers in a city choose to favor one newspaper over another with their business, the favored newspaper will flourish while its competitor dies. Since the beginning of the 20th century, when Jewish mercantile power in America became a dominant economic force, there has been a steady rise in the number of American newspapers in Jewish hands, accompanied by a steady decline in the number of competing Gentile newspapers–primarily as a result of selective advertising policies by Jewish merchants. Furthermore, even those newspapers still under Gentile ownership and management are so thoroughly dependent upon Jewish advertising revenue that their editorial and news reporting policies are largely constrained by Jewish likes and dislikes. It holds true in the newspaper business as elsewhere that he who pays the piper calls the tune.
Three Jewish Newspapers
The suppression of competition and the establishment of local monopolies on the dissemination of news and opinion have characterized the rise of Jewish control over America’s newspapers. The resulting ability of the Jews to use the press as an unopposed instrument of Jewish policy could hardly be better illustrated than by the examples of the nation’s three most prestigious and influential newspapers: the New York Times, the Wall Street Journal, and the Washington Post. These three, dominating America’s financial and political capitals, are the newspapers which set the trends and the guidelines for nearly all the others. They are the ones which decide what is news and what isn’t, at the national and international levels. They originate the news; the others merely copy it, and all three newspapers are in Jewish hands. The New York Times was founded in 1851 by two Gentiles, Henry Raymond and George Jones. After their deaths, it was purchased in 1896 from Jones’s estate by a wealthy Jewish publisher, Adolph Ochs. His great-grandson, Arthur Ochs Sulzberger, Jr., is the paper’s current publisher and CEO. The executive editor is Max Frankel, and the managing editor is Joseph Lelyveld. Both of the latter are also Jews. The Sulzberger family also owns, through the New York Times Co., 33 other newspapers, including the Boston Globe; twelve magazines, including McCall’s and Family Circle with circulations of more than 5 million each; seven radio and TV broadcasting stations; a cable-TV system; and three book publishing companies. The New York Times News Service transmits news stories, features, and photographs from the New York Times by wire to 506 other newspapers, news agencies, and magazines. Of similar national importance is the Washington Post, which, by establishing its “leaks” throughout government agencies in Washington, has an inside track on news involving the Federal government. The Washington Post, like the New York Times, had a non-Jewish origin. It was established in 1877 by Stilson Hutchins, purchased from him in 1905 by John McLean, and later inherited by Edward McLean. In June 1933, however, at the height of the Great Depression, the newspaper was forced into bankruptcy. It was purchased at a bankruptcy auction by Eugene Meyer, a Jewish financier. The Washington Post is now run by Katherine Meyer Graham, Eugene Meyer’s daughter. She is the principal stockholder and the board chairman of the Washington Post Co. In 1979, she appointed her son Donald publisher of the paper. He now also holds the posts of president and CEO of the Washington Post Co. The Washington Post Co. has a number of other media holdings in newspapers, television, and magazines, most notably the nation’s number-two weekly newsmagazine, Newsweek. The Wall Street Journal, which sells 1.8 million copies each weekday, is the nation’s largest-circulation daily newspaper. It is owned by Dow Jones & Company, Inc., a New York corporation which also publishes 24 other daily newspapers and the weekly financial tabloid Barron’s, among other things. The chairman and CEO of Dow Jones is Peter Kann, who is a Jew. Kann also holds the posts of chairman and publisher of the Wall Street Journal. Most of New York’s other major newspapers are in no better hands than the New York Times and the Wall Street Journal. The New York Daily News is owned by Jewish real-estate developer Mortimer B. Zuckerman. The Village Voice is the personal property of Leonard Stern, the billionaire Jewish owner of the Hartz Mountain pet supply firm.
Other Mass Media
The story is pretty much the same for other media as it is for television, radio, and newspapers. Consider, for example, newsmagazines. There are only three of any note published in the United States: Time, Newsweek, and U.S. News and World Report. Time, with a weekly circulation of 4.1 million, is published by a susidiary of Time Warner Communications. The CEO of Time Warner Communications, as mentioned above, is Gerald Levin, a Jew. Newsweek, as mentioned above, is published by the Washington Post Company, under the Jewess Katherine Meyer Graham. Its weekly circulation is 3.2 million. U.S. News & World Report, with a weekly circulation of 2.3 million, is owned and published by Mortimer Zuckerman, a Jew. Zuckerman also owns the Atlantic Monthly and New York’s tabloid newspaper, the Daily News, which is the sixth-largest paper in the country. Among the giant book-publishing conglomerates, the situation is also Jewish. Three of the six largest book publishers in the U.S., according to Publisher’s Weekly, are owned or controlled by Jews. The three are first-place Random House (with its many subsidiaries, including Crown Publishing Group), third-place Simon & Schuster, and sixth-place Time Warner Trade Group (including Warner Books and Little, Brown). Another publisher of special significance is Western Publishing. Although it ranks only 13th in size among all U.S. publishers, it ranks first among publishers of children’s books, with more than 50 percent of the market. Its chairman and CEO is Richard Snyder, a Jew, who just replaced Richard Bernstein, also a Jew.
The Effect of Jewish Control of the Media
These are the facts of Jewish media control in America. Anyone willing to spend several hours in a large library can verify their accuracy. I hope that these facts are disturbing to you, to say the least. Should any minority be allowed to wield such awesome power? Certainly, not and allowing a people with beliefs such as expressed in the Talmud, to determine what we get to read or watch in effect gives this small minority the power to mold our minds to suit their own Talmudic interests, interests which as we have demonstrated are diametrically opposed to the interests of our people. By permitting the Jews to control our news and entertainment media, we are doing more than merely giving them a decisive influence on our political system and virtual control of our government; we also are giving them control of the minds and souls of our children, whose attitudes and ideas are shaped more by Jewish television and Jewish films than by their parents, their schools, or any other influence.
Additional Research:
Zionist, Jewish Hollywood’s Brainwashing Of America
How Jewish is Hollywood?
No One Talks About Israel’s Spying On America!
Video: Illuminati Exposed!
Video: The Arrivals Series (Compiled)
The International Jew - by Henry Ford
Who are the Israelites & Jews and Who is their real Target
The United States of Israel
The Tribe That Controls America
The ‘Jewish Question’ Now A Global Issue
Israeli Spokesman Says We Control Stupid Americans
The Mossad’s Infiltration Of America
“We, The Jewish People, Control America”
Video: How American News Media Works In Favor Of Israel
Israel Is Nobody’s Friend
Lights, Camera… Covert Action: The Deep Politics of Hollywood
Reprint: Some Things You Need to Know before the World Ends
A Message To The World On The Obama Inauguration
Is Geo TV a CNN affiliate or is it the psy-ops wing of the CIA?
Le Sheykh Ali Benhadj accuse les pantins anglo-israeliens des Al Saud de diviser la nation musulmane
Dans un communiqué daté du 18 mars, le cheikh Ali Benhadj a répliqué à la déclaration du prince Saoud Al-Fayçal, ministre saoudien des affaires étrangères qui sèment la division dans les rangs des musulmans au nom du panarabisme.
Au nom de Dieu Clément et Miséricordieux,
« Et si vous vous détournez, Il vous remplacera par un peuple autre que vous, et ils ne seront pas comme vous » (Sourate Mohamed, Verset 39)
Le cheikh Ali Benhadj a qualifié de très graves les déclarations du ministre saoudien des affaires étrangères au sujet du soutien iranien à la cause arabe.
Pourquoi l’Arabie Saoudite a-t-elle soutenu le djihad en Afghanistan, les Moudjahidine en Tchétchénie et défendu la cause juste de la Bosnie et de l’Herzégovine sans demander la permission es états voisins et non arabes ?
Le cheikh Ali Benhadj a, ensuite, souligné que « les arabes sans l’Islam ne valent rien. » Il rappellera plus loin « celui qui étudie l’histoire des arabes constateras aisément que les plus grands savants musulmans dans tous les domaines ne sont pas d’origine arabe. » Ce rappel est suivi par de multiples exemples avant que le vice-président du FIS ne rappelle que l’Islam peut être défendu par tous les croyants quelle que soit leur origine ou leur ethnie.
Lire le communiqué en langue arabe
Mettre à genoux la résistance palestinienne
Les pourparlers portent sur l’aide à la reconstruction et au développement palestinien et sur la réintégration politique et économique dans le giron du groupe de nations "de consensus"/"modéré". Ce sont des tentatives évidentes de la part des puissances régionales et internationales pour canaliser le mécontentement et la résistance palestiniennes vers quelque chose qui serait considéré comme beaucoup plus acceptable.
Ils suivent la même voie qui avait été prescrite et largement suivie depuis le "processus de paix" d’Oslo qui a créé l'Autorité Palestinienne et nommé les actuels dirigeants pour parler et négocier (en apparence) au nom des Palestiniens. Malheureusement, pour les besoins du "processus de paix" et de la "feuille de route pour la paix", les Palestiniens, en tant que groupe national, ont été intentionnellement limités et réduits par la non-inclusion des réfugiés et de la diaspora, ainsi que par la marginalisation et l'ossification de l'OLP.
Néanmoins, et alors que tout était contre eux, la résistance palestinienne à l'occupation et les espoirs de libération nationale ont persisté. Les développements récents sont la preuve du succès partiel provenant de l'incapacité d'Israël à détruire le Hamas et de la défaillance de l'embargo économique et politique qui lui a été imposé. Et pourtant, l'agression contre la bande de Gaza a également montré que les coûts pour le Hamas sont trop importants pour qu’il le supporte seul, et qu'il ne peut pas, à lui seul, lever l'embargo international. De même, le Fatah a perdu son pari de battre le Hamas et il est maintenant forcé de dialoguer avec son ennemi.
Les discussions sur la "réconciliation" ont même été élargies à tous les Etats arabes. Elles ont été lancées, pour la première fois, dans le cadre d'un sommet économique qui s'est tenu au Koweït le 19 janvier 2009 et traite également de la situation difficile dans laquelle se sont retrouvés les Etats arabes après l’attaque israélienne. Leur situation était et est due au fait qu’ils s'opposent à la résistance (fondamentalistes islamiques ou autres).
Mais la persistance du Hamas et d'autres groupes palestiniens face aux violentes attaques israéliennes les a présentés comme une partie qui s’obligeait à accepter les anciens accords politiques confortables longtemps utilisés pour "la modération ", "les discussions sans fin" et les concessions sans limites. Inutile de dire que le Hamas, le gouvernement élu, dirigeant de facto dans la bande de Gaza, et principal parti qui a été visé par l'attaque, n'a pas été invité au sommet au Koweït. Par contre, l’Autorité Palestinienne dont le mandat a expiré l’a été.
Ensuite, le Qatar a proposé d'accueillir une réunion du sommet arabe à Doha à la fin de ce mois. De façon prévisible, les dirigeants arabes ont décidé de ne pas accepter. Al-Jazira a indiqué qu’en raison des «objections» égyptiennes, le Qatar avait été exclu de toute participation dans la préparation du mini-sommet qui se tiendra à Riyad. (Le Qatar avait précédemment invité les dirigeants du Hamas à "dialoguer" et il est perçu comme étant plus réceptif aux groupes n’appartenant pas à l’Autorité Palestinienne et comme favorisant un rôle plus légitime pour le Hamas au niveau international.) Apparemment, Moubarak n’a vu aucune contradiction dans l'exclusion du Qatar quand il a fait ses déclarations sur la nécessité d'unir les Arabes face aux "plans extérieurs qui viennent de l'extérieur de la région arabe" pour empêcher toute réconciliation. (1)
Même si les Arabes sont habitués à l'échec total de la grande majorité de ces sommets arabes, ces dernières réunions sont encore importantes dans le sens où elles révèlent à quel point l'équilibre régional des forces s’oppose à toute forme active de la résistance palestinienne. Ce sommet est destiné à avoir des conséquences. Il ne faut pas ignorer que, même si son nom est "Réconciliation Arabe", il tente en même temps de promouvoir l'Initiative de Paix Arabe soutenue par l'Arabie Saoudite qui a été présentée à Israël en 2002, et reproposée à n’en plus finir, depuis lors. (2)
Si l'on considère le fait qu'Israël n'a pas réussi à déloger le Hamas par sa dernière atrocité militaire, et, avant cela, par la tentative de coup d'Etat des forces de Dahlan (soutenue par Bush-Rice-Abrams) en Juin 2007 (3), alors il devient évident que cette exclusion du Qatar est une fois de plus la suite de la guerre d'Israël en utilisant d'autres moyens. Elle est maintenant effectuée en leur nom par les Egyptiens (et, naturellement dans les coulisses, les Saoudiens).
En effet, bien que le Hamas soit le gouvernement légalement élu des Palestiniens, alors que le mandat de l’Autorité Palestinienne a expiré, l'Autorité Palestinienne reste le partenaire préféré pour les négociations et comme leader - pour des raisons évidentes. Par conséquent, même si le Hamas devrait être le parti qui choisit la composition du prochain gouvernement palestinien, ce n'est pas le cas. Au lieu de cela, le Hamas a été invité (à contrecœur) aux discussions sur la "réconciliation" avec l’Autorité Palestinienne dirigée par le Fatah, au cours desquelles ils sont censés unir le front palestinien et discuter de questions épineuses.
Vu de cette perspective, le discours du chef des renseignements égyptiens, Omar Suleiman, aux factions palestiniennes prend des dimensions sinistres et hégémoniques. Il exhorte la formation d'un gouvernement de technocrates qui serait capable de "communiquer avec le monde," afin de lever le siège de Gaza. C'est un "bâton" évident qui est l'une des menaces restantes pour obliger la résistance palestinienne à accepter des quasi-solutions prédéterminées pour leur occupation. L’autre côté est la "carotte" qui offre une aide pour la reconstruction qui doit être acheminée par l'Autorité Palestinienne (corrompue) et son (ex) ministre des Finances, Salam Fayyad, selon les exigences les États-Unis, l’Europe et Israël .
L'insistance des États-Unis sur un gouvernement de transition dirigé par Fayyad semble avoir été devancée, pour l'instant, par sa démission et, éventuellement, par le rejet véhément du Hamas pour ce choix.
Alors que l'Occident a évité un précédent gouvernement d'unité en 2006, il reste encore à voir si celui-ci, s’il est formé, sera accepté. Suleiman est allé plus loin en insistant sur les terribles conséquences d'un autre rejet des diktats du "consensus" international. Il a prévenu : "Je ne veux pas vous rappeler les conséquences de l’échec, pourvu que cela n’arrive pas." (4)
Ce qui se profile à l'horizon, et peut-être menace cette démonstration de force internationale contre l'expression de la résistance palestinienne, c’est l’éventualité d'une autre victoire du Hamas lors de la future élection. Un récent sondage réalisé par le Centre palestinien d'études et de recherches politiques (PCPSR) indique que le Hamas a gagné une forte popularité sur Abbas et Fayyad, alors que le Fatah reste plus populaire dans l'ensemble que le Hamas. (5)
Voyez cela comme un autre «succès» de la Doctrine Bush (dépendance dans la guerre) et de ses manifestations israéliennes. Il est intéressant de noter que dans un précédent sondage réalisé par le PCPSR début Septembre 2007, et après la victoire militaire du Hamas suite à la tentative de coup d’Etat de Dahlan, un cinquième seulement des Palestiniens soutenaient les actions militaires du Hamas dans la bande de Gaza.
De façon significative, le Hamas a conservé sa position dominante écrasante parmi les réfugiés, un groupe qui a été presque totalement écarté par le gouvernement post-Oslo dirigé par l’Autorité Palestinienne. (6)
Il convient également de noter les raisons de l'absence d’un succès du Hamas encore plus grand dans les sondages, compte tenu de sa position contre Israël. Les raisons indiquent que les pressions (et la dévastation des vies, de l'économie, des infrastructures, du développement, etc.) du «consensus international» fonctionnent dans une certaine mesure. Les préoccupations des citoyens ordinaires concernant la fin au blocus et l'unification de la Cisjordanie et de la bande de Gaza sont évidemment des questions électorales prépondérantes. (7)
Les attitudes à l'égard des «qui» et «comment» de la lutte palestinienne de libération rappellent de précédentes manifestations historiques de la résistance palestinienne et les réponses militaires (et autres) similaires pour la réprimer.
La dépossession des Palestiniens, économique et politique, a été la politique délibérée d'Israël depuis sa création. Le travail des historiens israéliens comme Ilan Pappe, raconte une politique délibérée, sur plusieurs fronts, dont l'ultime objectif est de purifier ethniquement la population autochtone gênante.
Les stratégies de dépossession et de nettoyage ethnique englobent l’achat de terres par l'Agence Juive/l’Organisation Sioniste Mondiale à de riches propriétaires absents. Beaucoup d’entre eux avaient profité des nouvelles lois sur l'enregistrement des biens fonciers qui avait permis la privatisation des terres précédemment communales/Musha'. Les Sionistes ont alors non seulement intimidé et terrorisé les paysans mais ils les ont poussés à quitter leurs terres ancestrales.
Ils ont également instauré des politiques économiques qui ont rendu impossible et illégal pour ces personnes devenues soudainement sans-abri d'être employées par les kibboutz sionistes. En outre, les Palestiniens ne peuvent pas être membres du «syndicat» israélien, la Histadrout. Cette organisation a seulement un rôle secondaire en tant que syndicat. Son rôle principal était et est un instrument du colonialisme et de l'apartheid à travers la promotion de la colonisation, du travail discrimination, de l'exclusion, de la spoliation, et fournit une couverture/rationalisation "de gauche" pour les nombreuses guerres d’Israel.
Par exemple, Zeev Sternhell déclare dans Mythes Fondateurs du Sionisme, (1998: p.180) comment la Histadrout a fondé le groupe terroriste Haganah qui est devenu ensuite l'armée israélienne, tout comme le Mapai, le prédécesseur de l'actuel Parti Travailliste.
De même, Z. Tzahor explique comment la Histadrout a été le "bras exécutif du mouvement sioniste" et est devenu un "Etat en gestation." (Écrit dans « Histadrout », dans "Documents essentiels sur le Sionisme", (1996, pp. 505-506)) (8)
Les échos de ces politiques (pour ne pas mentionner leurs répercussions à long terme et destructrices sur les Palestiniens) se poursuivent encore aujourd'hui. Cachée derrière un "consensus" international pour des "négociations de paix", il y a la réalité des pressions et des tentatives incessantes pour détruire toutes les manifestations d'expressions et les demandes de libération des Palestiniens.
L'utilisation de moyens économiques pour déposséder les Palestiniens, fragmenter leur société, et les priver ainsi d’une direction efficace et représentative continue. Les méthodes utilisées comprennent le vol des ressources, l'expropriation des terres pour des raisons de "sécurité" et l’expansion des «colonies», le vol de l'eau des nappes aquifères sous la Cisjordanie et Gaza au profit des colons et des Israéliens, les barrages routiers, les embargos économiques et des centaines de checkpoints. Tous sont destinés au contrôle social et politique et à l'assujettissement des Palestiniens.
Egalement, au niveau sociologique, l'Autorité Palestinienne a une fonction importante. Elle fonctionne souvent comme l'équivalent d'une classe compradoriste dont les intérêts sont plus alignés sur l’occupation et Israël dont dépend sa fortune. La création de l'Autorité Palestinienne n’a pas seulement éliminé le rôle des dirigeants autochtones qui avaient le soutien de la base lors de la première Intifada. Elle a également apporté une ère de monopoles, d’institutions, d’administration de l’"aide étrangère" et de corruption qui a causé des ravages parmi les structures sociales palestiniennes (par exemple, en faisant disparaitre la classe moyenne) et à l'économie palestinienne dans les territoires occupés.
Les statistiques sur le recul du "développement" de la Banque Mondiale et de la CNUCED en disent long - (Même si ces institutions ont un intérêt dans la promotion du «succès» des "réformes" et des modèles de l'économique néo-libérale, qui sont en réalité des formes de domination hégémonique sur les pays en développement).
Un récent rapport (Septembre 2008) publié par la Banque Mondiale montre qu'il y a eu un recul de l'économie palestinienne dans les territoires occupés depuis Oslo et sous le contrôle de l'Autorité Palestinienne.(9) Depuis la fin des années 1990, le PIB est passé de la stagnation à la baisse. Mais quand la croissance de la population est prise en compte, alors le niveau de vie des Palestiniens se situe 30% en dessous de son maximum en 1999, et le PIB par habitant est tombé de manière ahurissante à 60% de son niveau de 1999. (10)
L'économie palestinienne souffre de nombreux problèmes, dont l'augmentation des restrictions imposées par l'occupation et de la diminution liée à ce fait de l'économie productive.
Le mur de l'apartheid, la fragmentation géographique, la destruction physique et économique du patrimoine de production palestinien, le blocus économique, entre autres, sont des choses qui ont entrainé le déclin de l'agriculture, l'industrie, l'éducation et les soins de santé. Il y a aussi une dépendance accrue aux "aides", qui en 2008 représentaient plus de 32% du PIB.
Le taux de chômage a également augmenté de 19% en 2008 en Cisjordanie et de 25% dans la bande de Gaza au cours de la même période. Il est probable que ces chiffres sont bien pires maintenant, après l'attaque israélienne. Les statistiques sur la pauvreté sont encore pires. Le même rapport précise que «si l’on exclut les envois de fonds et l'aide alimentaire et que l’on base la pauvreté uniquement sur les revenus des ménages, le taux de pauvreté grimpe à 79,4% dans la bande de Gaza et à 45,7% en Cisjordanie et le taux d'extrême pauvreté passerait à 69,9% à Gaza et à 34,1% en Cisjordanie. Ceci illustre le taux élevé de dépendance à l'aide de la Cisjordanie et de Gaza, en particulier quand on tient compte du fait que la majorité des salaires du secteur public sont financés par l'aide étrangère."(11)
Selon les statistiques de la CNUCED, le déficit commercial palestinien est également révélateur. En 2006, les importations sont passées à 86% du PIB, alors que le PIB reculait. Cette année-là, Israël représentait plus de 66% du déficit commercial, ce qui signifie que la moitié du PIB palestinien a été utilisé uniquement pour payer Israël.
En outre, la retenue régulière par Israël des recettes fiscales palestiniennes a entrainé un accroissement de la dépendance à l'égard de l’"aide" des donateurs.
L'économie palestinienne est totalement dépendante d'Israël. Une autre facette de la dépendance est le «choix» des partenaires commerciaux, qui sont de loin le groupe de "consensus" des Etats "modérés". Les dix premiers fournisseurs et clients de l'Autorité Palestinienne, sont, notamment, Israël, la Turquie, l’Egypte, les Etats-Unis, l’Italie, le Royaume-Uni, la Jordanie, les Émirats Arabes Unis.
Le rapport de la CNUCED a fourni les preuves que ce recul du développement a eu lieu entre 2000 et 2006 (et nous devons nous attendre à pire maintenant): "La détérioration structurelle à long terme est illustrée par une comparaison sur 10 ans des secteurs agricole et manufacturier. Entre 1996 et 2006, la production agricole a diminué de 19%, mais en 2006, ce secteur employait 80% personnes de plus qu'en 1996. De même, la valeur ajoutée manufacturière a baissé de 7% en 10 ans, mais l'emploi dans le secteur a augmenté de 3%."(12)
Aussi les données d'information sur le coefficient RNB du PIB, qui calcule le revenu par habitant est un indicateur de la répartition des richesses. Ces données montrent clairement un fossé croissant dans la répartition des richesses depuis début en 2002, et s’est accéléré après 2005.(13)
On apprend beaucoup en regardant quels «progrès» la Banque mondiale essaie de vendre comme réformes et développements « accomplis » dans les Territoires occupés avec l'aide et l'administration de l'Autorité Palestinienne.
Quelques exemples suffisent : la "révision du système de retraite non viable", la réduction des emplois dans le gouvernement de 180.000 en 2007 à 141.000 au premier semestre 2008 (et ici, l’Autorité Palestinienne a dépassé les attentes des Nations Unies qui étaient de 153000), et le fait que l'Autorité Palestinienne ait amélioré la «sécurité», en augmentant "le déploiement des forces de sécurité palestiniennes" en Cisjordanie (naturellement, la sécurité est l’acolyte toujours présent dans le sabotage économique déguisé en développement).(14)
Ces "succès" seront familiers à toute personne qui a suivi le chemin destructeur des « réformes » néo-libérales (et régressives) qui ont été imposées au monde en voie de développement. Bien évidemment, ces "solutions" économiques imposées et favorisées de l'extérieur, tout comme leurs solutions sœurs au niveau politique, sont à bien des égards, destructrices et pourraient être considérées comme faisant partie d'une méthode plus large de contrôle et d'hégémonie sur les Palestiniens déjà opprimés.
En fin de compte, il est ridicule de prétendre que l'Autorité Palestinienne ait une véritable politique économique.
Voici une entité qui n'a aucune souveraineté sur les frontières, sur les ressources naturelles, ou sur la circulation des personnes ou des marchandises. Il n’a même sa propre monnaie (il y a trois monnaies en circulation) et une indépendance monétaire. Et pour couronner le tout, elle est dépendante d'Israël pour l'accès même à ses propres recettes fiscales et de la communauté internationale pour "l'aide".
Reconnaitre ces faits serait faire un long chemin pour affronter la réalité de la situation palestinienne. En abordant la multitude de contraintes auxquelles sont confrontés les Palestiniens, on peut espérer (sans doute en vain!), que les dirigeants palestiniens aussi bien du Fatah que du Hamas remarqueront que, malgré le faste entourant leur réconciliation en Égypte, ils se battent actuellement pour récupérer des miettes. Alors que le Hamas parle de résistance, il semble plus que prêt à faire des compromis et à reconnaître Israël de facto sinon de jure, et à maintenir un "cessez-le-feu», même unilatéral. (15) Aussi, le Hamas affiche une naïveté dans sa confiance en ceux qui parrainent les négociations : L'Egypte et l'Arabie Saoudite.
D’autre part, le Fatah ne fait même pas semblant de vouloir résister, même s’il est le "leader" de l'Organisation de Libération de la Palestine. Pour le bien des Palestiniens, il serait utile que ces "leaders" fassent une évaluation honnête de leurs décisions antérieures et de leurs conséquences. Ils doivent comprendre que, lorsqu’Israël échoue par la guerre à obtenir ses objectifs, il recourt à d'autres moyens, à la fois économiques et politiques.
Au lieu de se concentrer sur les miettes, les dirigeants palestiniens devraient insister sur les principes de base: la résistance, la libération, une véritable souveraineté, la résolution de la crise des réfugiés, et l’obtention du droit au retour (et de l'égalité) pour tous les Palestiniens.
A NEW EUROPEAN ALLIANCE AGAINST ZIONISM
In an attampt to rid it's country from the contol of Zionist Lobby Groups and organizations, France has launched it's new Anti Zionist Political Party called "Parti Anti Sioniste." Below are the parties goals taken from a translated page:
EFFORTS AND AMBITIONS OF ANTI Zionist PARTY IN FRANCE
To eliminate the Zionist interference in the affairs of the Nation.
Denounce all the politicians who are advocating Zionism.
Eliminating all forms of Zionism in the nation.
Prevent companies and institutions to contribute to the war effort of a foreign nation that does not respect international law.
Unleashing our state, our government and our institutions of the grip and the pressure of Zionist organizations.
Unleashing the media for a plurality of information to promote freedom of expression.
Promote the free expression of the politics, culture, philosophy and religion and free of Zionism.
Restoring power in France and the French under the new geopolitical and economic rules on the big issues that engage the responsibility of the Nation.
Do not engage France in the wars of colonization and repatriate our armed forces stationed in Africa, Afghanistan and around the world.
Requiring a referendum for any new commitment of France abroad.
Establish a bill to ban dual nationality to participate in war without explicit mandate of the Nation.
Prohibit any militia whatever their faith.
Establish a national dialogue to raise awareness and a society that excludes any advocacy of Zionism.
Set the mode of voting by proportional representation so that all segments of society are represented.
Advocate for the establishment of a society of justice, progress and tolerance.
Translated Link HERE
Non translated link HERE
Tip of the hat to: http://irish4palestine.blogspot.com/2009/03/new-anti-zionist-party-launched.html
See also:
The Case Against Israel's "Right To Exist"
By Roger Tucker
3/14/09
How the israeli Madoff is a key financial player in 9/11
Understanding the Zionist Corporate Network Linking 9-11 and the Financial Crisis
"P-Tech is the one thread, the one golden thread you pull on, and all of this is unraveled." "All of this stuff took money to fund. And it was funded through major financial crimes, money laundering, and looting, looting of the S&L’s, looting of the banking system...it’s all being done systematically to keep the slush funds up for the game at play."– Indira R. Singh
The terror attacks of 9-11 and the financial crisis that exploded in September 2008 are similar and connected. The similarity between the two events that occurred almost exactly seven years apart reveals the criminal thinking behind both events – and the method.
On 9-11, the world witnessed the horrific terror spectacle when the World Trade Center was attacked, bombed, and demolished into a pile of rubble in broad daylight. The demolition of the twin towers is an unprecedented event in world history.
What we know about the destroyed towers is that they had recently come under the control of two Zionist Jews, Larry Silverstein and the former Israeli commando fighter, Frank Lowy. With the connivance of fellow Zionist Jews, these two active and dedicated Zionists obtained the leases, with borrowed funds, for the WTC properties in the end of July 2001 and immediately insured them to the hilt – including anticipated future earnings – against a terror attack like the one that occurred six weeks later on 9-11. They won the jackpot, blood and all.The security of the twin towers was also in the hands of a Zionist firm and had been since 1993. That company was under the control of Maurice Greenberg and Jules Kroll. The first plane that struck the World Trade Center homed in on the secure computer room of a company (Marsh) headed by one of Greenberg's sons, in the northeast section of the North Tower.
The first plane flew directly into the secure computer room of a Greenberg (A.I.G.) company, Marsh. The second plane also homed in on a secure computer room in the South Tower. The planes were not being flown by incompetent Arab pilots; they were remotely guided and directed by computer signals. The whitish burst on the left is indicative of pre-placed explosives.
An Israeli-American Zionist, Michael Chertoff, headed the criminal division of the Dept. of Justice in 2001-2002 and is ultimately responsible for the non-investigation and destruction of evidence from 9-11.
The Israeli Michael Chertoff oversaw the criminal non-investigation of 9-11 in which virtually all of the evidence was destroyed. His mother was one of the first Mossad agents. He went on to head the Dept. of Homeland Security.
The Zionist-controlled media promoted the preposterous and unproven theory that Osama Bin Laden and his 20 hijackers had carried out the attack from their headquarters in Afghanistan. The United States went to war against the Taliban regime in Afghanistan based on wholly unproven allegations and false evidence as the real evidence of mass murder was furtively being shipped to Asia where it was destroyed in smelters.Larry Silverstein and Frank Lowy received huge pay-outs from the insurance companies. The American people and U.S. taxpayers were left with a pile of incredibly hot rubble and an immense price tag, which only grew as time went on.
The incredibly hot fires that raged beneath the rubble created a bluish smoke rich in extremely toxic nano-size particles of heavy metals. This is prima facie evidence that the owners of the World Trade Center, i.e. Larry Silverstein and Frank Lowy, were complicit in the demolition of the twin towers and WTC 7. Did Osama put tons of Thermite in the twin towers?
Seven years later, to the exact day, two immense pillars of the financial world collapsed in a strikingly similar fashion. These two columns were Lehman Brothers bank and the American International Group (A.I.G.), managed and controlled for decades by the very same Maurice R. Greenberg. Like the twin towers, both companies were thought to be too large and powerful to simply collapse, but collapse they did. By September 11, 2008, these companies seemed to have lost both their foundations and core columns and were in a state of free fall. Investors pulled their money and global panic ensued. Like the twin towers, both Lehman and A.I.G. were Zionist-controlled organizations. The systems of corporate financial security, enforcement, and investigation were also under their control. Despite repeated warnings, indictments, and violations of the law by A.I.G., the heads of the U.S. Treasury and Federal Reserve Bank called for the U.S. taxpayer to bail-out these corrupt and criminal enterprises. The key player in this huge and historic bail-out was Ben Shalom Bernanke, a dedicated Zionist who spent summers working for a well-known Jewish criminal who controlled elections in Dillon, South Carolina, when he studied at Harvard.
Ben Shalom Bernanke is the driving force behind the trillion dollar bail-out.
An immense amount of taxpayer money, some $180 billion, has been poured into the financial black hole known as A.I.G. This is roughly equivalent to taking $600 from every man, woman, and child in the United States and using it to prop up (or absorb the losses of) the criminal and fraudulent financial/insurance structure built by Maurice Greenberg. The profits made by Lehman Brothers and A.I.G. have gone into private off-shore accounts while the debts and obligations have been passed on to the U.S. taxpayer. These companies were looted and plundered and then allowed to collapse. Once again, the rubble and costs were forced upon the American people against their will. The American public was at least 1,000-to-1 against the Zionist bail-out.The fact that the first plane that hit the World Trade Center flew directly into the secure computer room of Marsh, a company run by Maurice Greenberg's son Jeffrey, is just one of the most obvious connections between these two catastrophic events; Ptech's dodgy enterprise software is another.
Maurice Greenberg's son Jeffrey is CEO of MMC. The first plane flew directly into his company's computer room. His company revamped security at the World Trade Center in 1993. What a coincidence.
In Part 1 of this chapter, the key role of Ptech enterprise software in 9-11 was discussed. The primary person who brought public awareness to the Ptech problem is a "risk architect" named Indira R. Singh, who lived near the World Trade Center and was working with JP Morgan Chase on 9-11. Singh is very knowledgeable about Ptech and what such enterprise software can do in situations like 9-11 -- and the financial crisis that gripped Wall Street in September 2008.My research found that one of the key people involved in the founding of Ptech was a Jewish lawyer from Worcester, Massachusetts, named Michael S. Goff. Goff's father and grandfather had both been highest level Freemasons in the Zionist secret society of B'nai B'rith [The Real Elders of Zion]. Michael was Ptech's first marketing manager and all-around general director in 1994, according to his own published statements about his role with the company. He was responsible for all hiring, training, and procurement for the company.
Goff went on to work for Guardium, an Israeli software company founded and headed by individuals from Israeli military intelligence. As I explain in The Architecture of Terror: Mapping the Israeli Network Behind 9-11, one of the founders and directors of Guardium is Gill Zaphrir (a.k.a. Zafrir), an Israeli colonel who "headed the research and development department of the Israel Air Force." Goff worked for Zaphrir's Guardium in 2005 when I discovered his role in founding Ptech.
Michael Goff quit his job as a lawyer and played a key role in creating Ptech. He described the various functions he performed at Ptech on his company website.
Singh doesn't say anything about Goff at Ptech, but that is understandable. This Israeli connection is something I discovered in 2005 and it has not been discussed in any of the mainstream media. It is unlikely that anybody else would have told Singh about Goff's key role in building Ptech in the mid-1990s. Furthermore, Israelis are generally seen as allies of the United States. Understanding the role of Ptech's dodgy enterprise software and the connection between Ptech and Israeli military intelligence requires reading my previous articles about Ptech and Mitre. With this Israeli conection to Ptech in mind, I recommend reading "The Story of Indira Singh" from an interview she did in April 2005. This is one of the most informative and least biased interviews she has done. It's rather long, but well worth reading for anyone interested in understanding 9-11 and the financial crisis. This interview also has extremely interesting testimony about the downing of Flight 93 and extremely mysterious demolition of the 47-story WTC 7, which was the third tower owned by Larry Silverstein.Singh's comments about Ptech and her work at JP Morgan shed a great deal of light on how this Ptech enterprise software may have played a role in both 9-11 and the financial meltdown. I strongly recommend reading the entire interview. To give an idea of what Singh discusses, I have provided some of the most interesting extracts below.
Extracts from The Story of Indira SinghOur World in Balance -- April 27, 2005
Indira Singh has been working on Wall Street since 1975. On 9/11 she was working as a senior consultant for JPMorganChase. She was tasked with developing a next-generation, operational, risk-blueprint. Which would proactively identify exposures, including money laundering, rogue trading, and illicit financing patterns. It was in this capacity 9 months later, she became aware of the biggest threat to our country, a trans-nationally protected terrorist cartel that brought us 9/11. Indira Singh is a private pilot and a climber. Prior to 9/11, she volunteered as a civilian emergency medical technician, until she was injured at ground zero.
They [the twin towers] were mysterious international structures that were the center and the heart of our Western Civilization, basically.- Indira Singh
Read the extratcs here : http://www.bollyn.info/home/articles/911/understanding-the-zionist-corporate-network-linking-9%1111-and-the-financial-crisis-%11-part-3/
Finis
Sources and Recommended Reading
An Interview with Indira R. Singh, "The Story of Indira Singh," Our World in Balance, 27 April 2005
5 comments:
http://how911wasdone.com
Exposes more of this absolute fraud.
Thank you Chris for you always excellent work on the side of the angels.
http://www.jewishjournal.com/nation/article/warren_buffetts_jewish_connection_20060602/
Buffet paid himself $30-billion annual salary tax-free, via money laundering with his foundation run by his son-in-law Greenberg.
Buffet was CEO of Soloman Bros, HQ in Soloman Bros Building (aka WTC7). On 9.11.2001 Buffet was playing golf with WTC CEOs and George W Bush at Strategic Air command HQ bunker in Omaha Nebraska. Buffet's NetJets jet was stalking Flight 93 when it was shot down by Lt Col Rick Gibney.
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Le Hamas a-t-il été une création du Mossad ?
Par Ramzy Baroud
Ahmad Yassin et Abdel Aziz Rantissi, principaux et successifs dirigeants hitsoriques du mouvement Hamas, tous deux assassinés par les sionistes.
Tandis que les divers gouvernements occidentaux s’escriment à trouver une voie possible de communication avec le mouvement palestinien du Hamas, quelques milieux progressistes et de gauche sont tout aussi mal à l’aise concernant leur propre perception du mouvement islamique. Certains ont même été jusqu’à prétendre que le Hamas était, plus ou moins, le résultat d’une cuisine israélienne.
En fait, l’accusation selon laquelle le Hamas serait une création des services secrets israéliens est devenue si banale qu’elle ne demande souvent aucune argumentation sérieuse. Bien que cette affirmation prise telle quel soit incorrecte, il y a certainement une raison et une histoire à son origine. Le Hamas est-il oui ou non l’œuvre du Mossad ?
La seule idée qui vient à l’esprit concernant cette affirmation est liée à ses conséquences, non seulement parce que c’est une façon de discréditer une organisation mais aussi parce qu’elle implique que les Palestiniens ont été floués et qu’ils n’ont réellement aucun contrôle sur leur destin collectif. Cette idée — que le Hamas serait une création d’Israël — est tout simplement fausse.
Si on ne dispose d’aucune connaissance de l’histoire sociale, économique et religieuse de la bande de Gaza, le lieu de naissance du mouvement Hamas, il peut être réellement difficile de comprendre comment un tel mouvement a pu y prendre pied et s’épanouir en disposant d’un tel soutien populaire.
Durant des années les Palestiniens ont souffert sous l’occupation israélienne de la pauvreté, de la faim et des humiliations. Et tandis que l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) jouait un rôle important en représentant et en parlant au nom du peuple palestinien à l’extérieur de la Palestine, sa fonction dans les territoires occupés était au mieux insuffisante.
Il y a des raisons à cela et pas des moindres, l’OLP ayant alors des priorités régionales et internationales complexes et manquant de l’implantation sur le terrain dont bénéficiait le mouvement islamique. Dans le cadre d’une réaction normale, l’institution religieuse a comblé le vide dû à l’absence de gouvernement, un rôle qu’elle a rempli avec sérieux.
Mais examinons avec un peu plus de soin l’évolution et la croissance du Hamas et en particulier à Gaza, une présence qui avait un fort impact dès 1967.
Dans les premières années de l’occupation, le mouvement islamique à Gaza a défini une stratégie qui exigerait une base puissante et bien établie. Le mouvement a initialement rejeté la notion de lutte armée, ce pour quoi il a été fréquemment critiqué et ridiculisé par les mouvements laïcs de libération l’accusant de dissimuler sa faiblesse derrière son « pacifisme ».
La vérité est que le mouvement islamique dans Gaza ne rejetait pas la lutte armée en tant que telle ; il estimait que cette nation constituée surtout de réfugiés était dans un situation trop vulnérable et avait besoin d’années de préparation avant de se tranformer en une force réelle avec laquelle il faudra compter. Pour cette raison, ce mouvement a consacré des décennies à renforcer les liens sociaux dans la société gazaouite en construisant des mosquées, des centres de soins pour les enfants, des hôpitaux, des écoles et ainsi de suite.
Les années entre 1967 et 1975 ont été présentées par le mouvement islamique comme l’étape de « construction de la mosquée ». La mosquée a été l’institution centrale qui a exalté la société islamique dans Gaza. Ce n’était pas simplement un lieu de culte mais aussi un carrefour pour l’éducation, l’action sociale et culturelle et l’organisation politique à venir.
Dans la période allant de 1967 à 1987, le nombre de mosquées à Gaza a triplé, passant de quelques 200 à environ 600. Les années allant de 1975 au milieu des années 80 ont vu l’étape de « construction de l’institution sociale », ce qui comprenait la formation de clubs islamiques, d’organisations caritatives, de sociétés d’étudiants etc..., toutes ces organisations servant de lieux de rencontre à la jeunesse musulmane.
En 1973 a été construit le Centre Islamique à Gaza, réellement au coeur des activités de tout le mouvement. Il a été assez largement considéré que le centre était une émanation de l’ancien mouvement des Frères Musulmans d’inspiration égyptienne. Israël a volontairement fait peu de choses pour stopper l’enracinement de l’organisation, comme il a également peu agi pour aider à sa croissance.
La curieuse attitude d’Israël a pu s’expliquer en tant qu’élément de sa politique maniant la carotte et le bâton.
Du fait que les Islamistes avaient à ce moment particulier renoncé à la lutte armée et fournissaient les services qui allégeaient le budget israélien d’un grand nombre de millions, il semblait y avoir eu peu de raisons d’interrompre ce qui paraissait être d’inoffensives activités. Mais plus important, Israël était soucieux de l’augmentation à l’étranger du nombre d’institutions liées à OLP et de son influence croissante sur la société palestinienne dans les territoires occupés.
De même, les difficultés croissantes entre le mouvement islamique conduit par cheik Ahmad Yassin, et d’autres mouvements de libération dans Gaza ont donné l’espoir à Israël que ces hostilités grandissantes auraient comme conséquence la paralysie de tous les groupes en question, épargnant à Israël la tâche difficile de les contenir. On peut aussi soutenir que n’importe quelle action israélienne dans cette période pour stopper la croissance et l’évolution du mouvement islamique dans Gaza, aurait simplement accéléré sa radicalisation plutôt que de réussir à totalement l’annihiler.
Les années 70 et les années 80 ont été des années de grands boulversements pour les Palestiniens avec les accords de Camp David, l’invasion israélienne du Liban, les nombreux massacres commis par Israël et qui ont culminé en 1982 avec celui commis par un groupe de miliciens chrétiens des Forces Libanaises dans les camps de Sabra et Chatila.
C’était durant cette période que le mouvement islamique gazaouite a connu une importante métamorphose. Des décennies de travail de terrain étaient maintenant mis à l’épreuve alors que le mouvement évoluait pour adopter la lutte armée. Ce n’était certainement pas une transformation brutale, mais plutôt une évolution entamée depuis dès 1967.
Les courants religieux peuvent être rationnels ou non dans leurs narrations, mais la croissance, le changement de stratégie et l’évolution du mouvement islamique palestinien dans ses manifestations dans la bande de Gaza, ont suivi un processus logique qui est unique à Gaza et à son histoire.
Aucune autre place en Palestine n’était autant qualifiée que la bande de Gaza pour y voir naître un mouvement islamique important. Le territoire était désespérément pauvre, sa population essentiellement composée de réfugiés et de leurs descendants. Les dirigeants islamistes étaient eux-mêmes des réfugiés vivant dans les camp de réfugiés.
C’est alors que le « Hamas » a finalement fait son apparition officielle en 1987, faisant passer au mouvement islamique dans Gaza une nouvelle étape avec la naissance de la première Intifada palestinienne. Presque deux décennies plus tard, le Hamas a obtenu une victoire écrasante lors des élections palestiniennes, une autre démonstration de sa croissance échelonnée et calculée.
Plutôt que de vouloir comprendre et évaluer l’histoire qui est à l’origine de ce mouvement populaire, les pays occidentaux ont répondu par des sanctions, des blocus, et un siège prolongé et suffocant maintenu par Israël qui a culminé avec le massacre le plus sanglant depuis 1948 de civils palestiniens sans défense.
Les analystes, hommes politiques, critiques et autres peuvent bien se quereller au sujet des origines et de l’histoire de ce mouvement qui a parmi beaucoup d’autres choses donné à une grande partie de la société palestinienne un sentiment d’amour-propre et de puissance face à leurs occupants. Mais prétendre que le Hamas ait été monté de toutes pièces par quelques agents israéliens voulant à tout prix la disparition de la cause palestinienne n’est que foutaise.
* Ramzy Baroud est écrivain et rédacteur en chef de « PalestineChronicle.com ». Ses écrits ont été publiés dans de nombreux journaux, magazines et anthologies dans le monde entier.
Son dernier livre est « The Second Palestinian Intifada : A Chronicle of a People’s Struggle » (Pluto Press, London).
Site Internet : www.ramzybaroud.net
5 mars 2009 - Communiqué par l’auteur
Traduction de l’anglais : Claude Zurbach
http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article
A peine mis en ligne, le site du Sheykh Ali Benhadj piraté
Par Hichem ABOUD
Interdit d’action et de parole, le cheikh Ali Benhadj, ne pouvait rester les bras croisés et laisser faire ses adversaires qui se recrutent parmi les ennemis de l’Algérie. Pour braver ces interdictions il a créé, comme beaucoup de gens dans le monde, un site internet. Quoi de plus normal !
A peine quelques jours se sont écoulés sur son lancement que le nouveau né de la blogosphère a fait l’objet d’attaques directes et indirectes. Certains n’ont pas hésité à franchir le pas pour attribuer la paternité de cet espace de liberté à l’organisation d’« Al-Qaeda au Maghreb Islamique ». D’autres ont été se précipiter sur le « who is » pour obtenir les coordonnées des responsables administratifs et techniques du site ainsi que leurs coordonnées.
Si cela ne s’arrêtait qu’à ces curiosités et autres colportages de rumeurs et de fausses propagandes, on n’aurait jamais pris la peine de perdre notre temps à leur répondre. Malheureusement, les choses sont autres.
Deux jours après avoir mis en ligne le site, je reçois un émail signé par le « service commande » de l’hébergeur, ayant pour objet « demande de documents ». Le contenu de l’émail est étonnant à plus d’un titre surtout que je ne suis pas un nouveau client de « Domaine achat ». Entretemps le site ne s'affiche plus. Voici le contenu de cet émail :
« Cher(e) Client(e),Afin de finaliser votre inscription et profiter pleinement de nos services, pourriez-vous nous faire parvenir s'il vous plait une copie de votre pièce d'identité (carte d'identité, passeport ou permis de conduire) ainsi que de votre carte de crédit (Recto/Verso), sur lesquels je vous demanderai de bien vouloir indiquer votre site web. Je vous demanderai de plus de bien vouloir masquer une partie des chiffres de votre carte de crédit et de ne laisser apparaitre que les 6 premiers et les 4 derniers.Vous pourrez nous faire parvenir ces documents par email l'adresses suivantes : commande@domaine-achat.frAttention : dans l'absence de réception de ces documents après un délai de 72h, nous serions malheureusement obligé d'annuler votre inscription.Nous vous remercions pour votre confiance et restons votre entière disposition.A très bientôt sur http://www.domaine-achat.frCordialement,Service Commandehttp://www.domaine-achat.fr »
Contactée, la direction de « domaine achat » ni avoir envoyé cet émail dont le contenu ne fait pas partie de leur stratégie commerciale. Le site avait été remis en ligne et je croyais qu’on a fini avec ces pratiques malveillantes. Malheureusement, non. Le lendemain, en me connectant au site « assawt-alhor », la page d’accueil ne s’affiche pas. J’ouvre le serveur et je constate la destruction de tout le fichier. L’auteur de cette lâche besogne manque certainement d’intelligence. Il suffit de quelques clics de souris et le serveur est de nouveau alimenté en fichiers. Pourquoi se donner tant de mal à détruire les fichiers d’un site ou à le pirater ?
A ces énergumènes qui sont à court d’arguments pour contredire « assawt-alhor », je conseille vivement de réfléchir à d’autres moyens pour faire taire les hommes libres. Car, quelles que soient les manœuvres pour parasiter le site, « assawt-alhor » continuera de s’élever dans le monde des nouvelles technologies.
Quant à ces mauvaises langues qui tentent de discréditer le cheikh Ali Benhadj en attribuant la paternité de son site à des cercles hostiles à l’Algérie ou à des organisations étrangères, j’ai toujours privilégié la transparence qui dérange les lâches qui s’agitent sous la burka de l’anonymat : Comme je l’ai souligné dès le premier jour dans « Racines d’Outre-Med’ », je suis le concepteur, le réalisateur et le financier du site « assawt-alhor » du cheikh Ali Benhadj.
Je ne suis pas militant du FIS et je n’ai jamais milité dans ce parti ni dans un autre mais je suis un militant de la liberté d’expression sans exclusive et c’est pour cette raison que j’ai apporté ma contribution à faire entendre la voix du cheikh Ali Benhadj dans les quatre coins du monde à travers la toile du net. Mon amour et mon attachement à l’Algérie ne sont pas à démontrer à de lâches anonymes qui ont pour soucis premier de trouver un pays de rechange en se faisant naturaliser à la première occasion qui s’offre à eux.
Je suis démocrate mais de ceux qui confondent les révoltés contre un régime honni avec les décideurs criminels de ce même régime en cherchant à diaboliser un homme fidèle à ses principes et qui n’a absolument rien à voir avec la violence commise par un régime qui a mis à feu et à sang notre pays.
« Assawt- Alhor » continuera de déranger les ennemis de la liberté d’expression et tant pis pour eux !
H.A
Le 12 mars 2009
L'agent israelien Bernard Squarcini pris en flagrant déli de terrorisme dans l'affaire des 'bombes sales' revelée par 'Operation November 1950'
LA RUSSIE ET D'AUTRES PAYS SUSPECTENT LES SERVICES FRANCAIS, DIRIGÉS PAR BERNARD SQUARCINI, DE PREPARER DES OPERATIONS TERRORISTES DE TRES GRANDES ENVERGURES EN EUROPE POUR LE COMPTE DE TEL AVIV. LA MARINE DE GUERRE RUSSE A COULÉ UN BATEAU CHINOIS SUSPECTÉ DE TRANSPORTER DU MATERIEL NUCLEAIRE RUSSE, POUVANT SERVIR A LA FABRICATION DE BOMBES SALES LORS D'ATTENTATS, SUR LES SOLS EUROPEENS OU NORD AMERICAINS IL Y A A PEINE DIX JOURS, COMME DECRIT CI-DESSOUS:
Times said the New Star was sequestered in Nakhodka for 'alleged smuggling,' a charged rejected by J-Rui. The newspaper said a Russian Coast Guard cruiser fired at least 500 rounds on the ship and 'forced it to sail back toward the port in force-6 winds.'
The ship began to sink on the way back to port and one of the two lifeboats was engulfed by high waves, the newspaper said. It said three of the eight missing crew were Chinese and the rest were Indonesian.
China's Foreign Ministry gave different numbers for the crew and missing, saying three of the 10 Chinese crew on board were rescued and seven were missing.”
BERNARD SQUARCINI, ET LE CHEF DU BND ALLEMAND, EN COLLABORATION AVEC DES PAYS DU MAGHREB A TENTÉ DE FAIRE CROIRE QUE CES BOMBES SALES ETAIENT L'OEUVRE DU GSPC/AQMI EN EUROPE, GROUPE ENTIEREMENT A LA SOLDE DE L'AGENT FRANCAIS DE LA DST, LE GENERAL MEDIENE DIT TEWFIK.
A SUIVRE,
ABU-SULEYMAN
Galloway: Nous soutenons le gouvernement de Haniyeh qui est le premier ministre de tous les hommes libres
Le député britannique et chef du convoi anti-blocus "Artère de la vie", George Galloway a adressé un message fort aux hommes libres du monde entier, en les appelant a se motiver pour briser le siège imposé arbitrairement contre les habitants de la Bande de Gaza, en insistant sur des moyens efficaces, comme l'acheminement des caravanes d'aides humanitaires vers Gaza.
Lors de son arrivée, lundi, à Gaza, le député britannique, Galloway a organisé une conférence de presse en présence des députés du bloc "changement et reforme" du Hamas, en confirmant que sa caravane qui comporte plus de 200 véhicules en provenance de la Grande Bretagne, a fait un geste humanitaire pour briser le blocus injuste de l'occupation et ses alliés et attirer l'attention de la communauté internationale sur l'injustice du blocus egypto-israelien qui viole les droits palestiniens.
Les organisateurs de la caravane britannique qui viennent en solidarité avec les palestiniens, notamment les habitants de Gaza, ont exprimé, dès leur arrivé à Gaza, leurs étonnement envers la situation très critique et l'inexistence de tout respect de la vie humaine, en soulignant que des millions de militants au monde soutiennent le peuple palestinien agressé par l'occupation, et en affirmant que la justice doit régner un jour en Palestine, et que les palestiniens récupéreront tous leurs droits légaux.
Galloway a confirmé que tous les hommes libres du monde entier soutiennent le gouvernement d'entente nationale, dirigé par le premier ministre, Ismaïl Haniyeh, tout en souhaitant aux palestiniens la récupération de leurs droits dont la libération d'Al Qods occupée.
'PEACE CONVOY 'VIVA PALESTINA' UNDER ISRAELI-FATAH MILITIAS ATTACK IN EL ARISH/RAFAH
Ce convoi est composé de 120 véhicules anglais, offert, remplis de produits de première nécessité, et conduits par d’humbles mais non moins courageux citoyens anglais. Il est à l’initiative de Georges Galloway, un parlementaire anglais. Il à été agrémenté de 100 camions de vivre et matériaux de construction par la Libye. Tout les pays traversés ont apporté un accueil populaire de grande valeur, sauf en France. Le convoi à fait étape le 15 février au soir dans la ville de Bègles, dont le maire est Noël Mamère. La presse française fait le blocus de l’information.
La route s’est faite sans complication majeure, les frontières ont été facilement ouvertes. L’Algérie et la Libye ont même fournis le carburant des véhicules.
Mais aujourd’hui, la réalité du blocus rattrape le convoi, le gouvernement égyptien interdit l’accès au barrage. Georges Galloway et les organisateurs du convois ont passé la journée à négocier sans effets. Les autorités égyptiennes posent des conditions pour gagner du temps. En un premier temps elles demandent que le convoi soit divisés sur plusieurs jours, puis que n’entrent pas le camion de pompier, le bateau et d’autres véhicules spécifiques. Et certainement d’autres mauvaises conditions dont on apprendra plus tard le cynisme du contenu.
Durant ce temps, des faux militants du Fatah ont attaqué une partie du convoi à coup de pierres sans que la police ne réagisse. Ils ont endommagés des véhicules et légèrement blessés des chauffeurs en criant des slogans anti-Hamas. Il Faut savoir que Georges Galloway était un ami et soutient indéfectible de Yasser ARAFAT, le leader charismatique de l’OLP devenu FATAH. De plus personne ne peut sérieusement soutenir que ce convoi d’aide humanitaire pour le peuple martyre est un soutient au HAMAS.
On se souvient que durant le bombardement de la population de GAZA par l’aviation, la marine et l’artillerie israélienne, des rumeurs de milices arabes pro-israéliennes stationnant en Égypte dans l’attente d’une éventuelle incursion s’étaient faites jour. Peut être sont-ils ces faux militants du FATAH. Dans tout les cas cette attaque destinée à intimider les chauffeurs ne fait que discréditer un peu plus le FATAH. Et l’Égypte qui n’a volontairement pas protégé le convoi qu’elle encadre pourtant militairement depuis son entrée, lui imposant un rythme d’enfer, soit disant justement pour des questions de sécurité.
L’état égyptien est responsable de la sécurité de ce convoi et de son entrée à GAZA.
Il ne faut pas laisser ce convoi sans soutien. Le gouvernement français collaborant ouvertement aux crimes en cour en fournissant un navire, le porte hélicoptère « Germinal » pour intensifier le blocus par mer, ce soutien doit être populaire.
N’ayant pas de leaders politiques courageux de la trempe d‘un Georges Galloway, le peuple français n’a pour l’heure qu’une seule arme, promouvoir le boycotte de l’Égypte en même temps que celui d’Israël. Et le faire savoir! Code barre d’Israël 729. Code barre de l’Égypte 622.
Ceux là qui ont su mobiliser des manifestations de masse durant les bombardement de GAZA, doivent recommencer. Il faut soutenir ce convoi.
ça y'est, après sa petite manif le monde est retourné regardé le télé? Y a-t-il autre chose que des veaux dans notre pays?
Vincent Després Levard
Fraternités des ignorants
fraternitesdesignorants@laposte.net
Recolonisation de l'Afrique par le sionisme franco-britannique
Devant des dizaines de milliers de manifestants venus le soutenir lors de la manifestation monstre qui eut lieu à Khartoum, le président soudanais a rappelé la lutte menée par son pays contre les colonisateurs britanniques au 19ème et au 20ème siècle, situant l’offensive de la CPI dans ce contexte.
Omar el-Béchir a pris un malin plaisir à rappeler comment les soudanais avaient jugé et puni l’Empire britannique pour ses crimes contre la population chinoise et d’autres peuples asiatiques et africains, en exécutant le gouverneur britannique Charles Gordon Pasha, au Palais présidentiel de Khartoum, en 1885. El-Béchir a rappelé que Gordon Pasha, connu comme « Gordon le chinois », était célèbre pour les tortures qu’il a infligées et les campagnes d’extermination qu’il a menées contre les populations asiatiques.
Les Britanniques n’ont jamais pardonné au peuple soudanais l’exécution de Gordon et ont riposté à l’époque en durcissant leur lutte armée, a dit Béchir, énumérant les nombreuses batailles que le peuple soudanais a du mener à travers le pays pour repousser l’assaillant britannique.
L’action de la CPI est la suite de cette politique, a dit en somme el-Béchir. Ils veulent soumettre l’Afrique, arrêter son développement économique et piller ses richesses naturelles.
Ceux qui aujourd’hui se permettent de « juger » l’Afrique, sont les mêmes qui ont perpétré des crimes tels l’esclavage en Afrique, ou l’attaque américaine contre Hiroshima et Nagasaki, la guerre du Vietnam, les invasions contre l’Afghanistan et l’Irak, et la guerre israélienne contre le Liban et Gaza, qui constituent toutes des crimes de guerre.
http://www.alterinfo.net/Omar-el-Bechir-declare-la-guerre-a-l-Empire-britannique_a30502.html?PHPSESSID=fdafba505ce5f4e8cde185ffce386b07
Le cheikh Ali Benhadj ouvre la campagne du boycott
Une foule nombreuse de fidèles attentifs a suivi l’intervention faite par le cheikh Ali Benhadj à la mosquée « Al-Wafa A’ala –Al-Ahd* » de Kouba à Alger, à l’issue de la prière du vendredi. L’intervention du vice-président du FIS marque l’ouverture de la campagne du boycott de la présidentielle qu’il compte mener à travers les mosquées et les media.
En intervenant à la mosquée, le cheikh Ali Benhadj a tenu à rappeler que les pouvoirs publics interdisent officiellement les communications politiques dans les lieux du culte. Il relève néanmoins que ces mêmes pouvoirs publics sont les premiers à fouler du pied leurs propres lois puisque le ministre des affaires religieuses en personne s’est réuni il y a quelques jours avec les imams pour les inviter à appeler, dans leurs prêches, les citoyens à participer au scrutin. « Cette instruction ministérielle a été suivie à la lettre, comme le souligne le numéro 2 du FIS, par un imam qui du haut du minibar a appelé les fidèles à voter le jour de la présidentielle. »
"le pouvoir n’est pas à sa première violation de ses propres lois"
L’orateur relève que "le pouvoir n’est pas à sa première violation de ses propres lois.» Et il cite à titre d’exemple du ministre de l’intérieur et celui de l’enseignement qui se sont rendus récemment au lycée Hassiba Benbouali de Kouba où ils ont prononcé des discours appelant les lycéennes à se rendre en masse aux bureaux de vote le jour du scrutin.
Ali Benhadj a relevé dans son intervention que non seulement les ministres violent les lois qui interdisent la politisation des lieux du culte et les établissements scolaires, mais le président Bouteflika lui-même ne sait plus faire la différence entre son rôle de président de la république et celui de candidat. Il cite à cet effet, le meeting d’Oran où le chef de l’état saisissant la célébration de la date du 24 février pour présenter son bilan, faire des promesses électorales et appeler les citoyens à participer au vote du 9 avril prochain.
Poursuivant l’énumération des contradictions du pouvoir en place qui « se permet de rendre licite pour lui ce qu’il interdit aux autres comme le font tous les hypocrites », le numéro 2 du FIS a dénoncé la politique de la carotte et du bâton pratiquée par le régime qui promet, d’un côté, des augmentations de salaires tous azimuts, aux policiers, aux militaires, aux fonctionnaires et ce à la veille du scrutin comme pour inciter les citoyens à aller voter. Et d’un autre côté , il verse dans l’intimidation de manière indirecte pour menacer ceux qui ne voteraient pas de subir les pires difficultés et les privations allant jusqu’à la répression.
plein de volonté et décidé de braver tous les interdits que le cheikh Ali Benhadj lance sa campagne du boycott de la présidentielle
Tout en soulignant que tout est fait pour que Bouteflika soit assuré de sa victoire, mais les décideurs persistent à violer les principes de bases de la démocratie en privant de parole les partisans du boycott. « On ne me permet pas d’intervenir à la télévision ni dans la presse écrite ni à la mosquée ni dans la rue pour exprimer mon opinion tandis que tout est permis à ceux qui appellent à la participation aux élections » dit le cheikh Ali Benhadj avant de déclarer « je ne me laisserais pas faire. Moi, aussi, je mènerai campagne pour le boycott là où il me serait possible de le faire.»
C’est, donc, plein de volonté et décidé de braver tous les interdits et de surmonter tous les écueils que le cheikh Ali Benhadj lance sa campagne du boycott de la présidentielle bien qu’il ne lui échappe pas que les dés sont pipés dès le départ et les jeux sont faits.
Les autres formations politiques qui ont appelé au boycott emboîteraient-elles le pas au numéro 2 du FIS en mettant tout leur poids pour que la prochaine présidentielle soit un cuisant échec au pouvoir en ramenant le taux de participation au scrutin à moins de 50% comme cela était le cas des législatives et des communales ? Ou ces formations continueraient-elles à faire dans les calculs mesquins de certains de ses leaders qui font du bizness sur le dos des militants ?
Partie 1
https://www.youtube.com/watch?v=uLQ33B1D0TA
Haniyeh : Le dialogue n’est pas une tactique politique, la priorité est la réconciliation
http://www.palestine-info.info/
Ismaël Haniyeh, premier ministre palestinien, a accordé à notre Centre Palestinien d’Information (CPI) une interview exclusive, la veille du jour du lancement du dialogue inter-palestinien du Caire, le jeudi 26 février 2009.La réconciliation nationale reste la priorité du mouvement du Hamas et son cabinet, insiste-t-il à dire.
Le dialogue est le sentier vers l’attachement aux principes et aux droits palestiniens.
L’OLP doit être restaurée sur de nouvelles bases démocratiques, loin de toutes pressions et conditions imposées de l’extérieur, pour qu’il garde au peuple palestinien son droit à la résistance.
« Partenaires dans la résistance, partenaires dans la reconstruction » est un slogan donné par Ismaël Haniyeh, premier ministre palestinien. Il faut mettre les bouchées doubles pour cette reconstruction pour mettre fin aux souffrances de nos familles de la bande de Gaza, souffrances causées par l’affreuse guerre menée par l’armée israélienne pendant 23 jours consécutifs.
Pour ce qui est des bonnes relations avec l’Egypte, Haniyeh les considère comme un choix stratégique et non une relation d’intérêts.
A travers cette interview, Ismaël Haniyeh lance un appel au monde arabo-islamique et au monde entier pour garder l’élan vu pendant et après la dernière guerre israélienne.
La résistance du peuple palestinien et son attachement à ses droits mettront les rêves des occupants israéliens dans l’embarras.
Il nous donne son point de vue sur ces sujets et tant d’autres, dans l'interview ci-après, traduite de l'arabe et résumée par nos soins.
Le dialogue et la réussite
CPI : Les rencontres entre les mouvements du Hamas et du Fatah se multiplient, en préparation pour un dialogue total. Mais il y a ceux qui parlent du doute qu’on puisse arriver à quelque chose de positif. Qu’en dites vous ?
Ismaël Haniyeh : Il faut commencer par dire que la division palestinienne n’est point un phénomène normal. Il faut à tout prix en sortir et recommencer à travailler selon les règles constitutionnelles et pour réaliser les intérêts suprêmes palestiniens dont surtout l’unité entre la Cisjordanie et la bande de Gaza.
La forme du dialogue
CPI : Quelle sera la forme du dialogue et ses résultats ?
Ismaël Haniyeh : Nous sommes pour un dialogue national sérieux, honnête et approfondi, un chemin vers les principes et les droits palestiniens qui préservera pour notre peuple palestinien sa dignité et ses victimes. Il faut restaurer l’OLP sur de nouvelles bases, démocratiques. Il faut un gouvernement national, loin de toutes pressions et conditions étrangères. Il faut reconstruire les services de sécurité, loin de toute coopération avec l’occupation israélienne. Il faut assurer au peuple palestinien son droit de résistance.
Réconciliation
CPI : Quelques-uns refusaient le dialogue, catégoriquement. Ce sont eux qui maintenant l’exigent. Quelle en serait l’explication selon vous ?
Ismaël Haniyeh : Nous ne voulons pas parler des raisons des autres. Après la ténacité historique de notre peuple, de notre gouvernement et de notre mouvement dans la bande de Gaza, la priorité pour nous est actuellement de réaliser une réconciliation nationale réelle et exhaustive. Une réconciliation qui rendra aux Palestiniens l’unité afin de pouvoir faire face à l’avenir.
Un dialogue possible
CPI : Le dialogue pourra-t-il donner quelque chose ?
Ismaël Haniyeh : Nous avons beaucoup de choses qui peuvent nous aider à un dialogue attendu par notre peuple : l’accord du Caire, l’accord d’entente nationale, l’accord de la Mecque…
Et pour un climat propice, des décisions doivent être prises : fermer le dossier de l’arrestation politique, cesser les campagnes sécuritaires, rouvrir les établissements…
Joie et doute
CPI : Les derniers jours ont connu de telles décisions, sans pour autant qu’elles soient appliquées, alors qu’en est-il ?
Ismaël Haniyeh : Notre cabinet a reçu avec beaucoup de satisfaction les accords de principes conclus entre les deux mouvements… Malheureusement, les nouvelles venant du terrain ne reflètent rien de bon, même en ce qui concerne la torture.
Et Gaza ?
CPI : On dit qu’à Gaza, la situation est identique. Est-ce vrai ?
Ismaël Haniyeh : Chez nous également, il y a des erreurs. Personne n’est parfait. Cependant, nous essayons de tout revoir pour établir de nouvelles règles…
Nous savons que le chemin du dialogue est difficile. Le dialogue fait cependant partie des intérêts nationaux supérieurs. Il faut le réussir, loin de tout intérêt partisan.
Les priorités
CPI : Après la dernière guerre israélienne menée contre Gaza, que seront les priorités ?
Ismaël Haniyeh : La formidable relation établie entre la résistance et le peuple était l’une des factures de la victoire dans la bataille « Al-Forqane ». L’agression israélienne n’a pas réussi à semer la zizanie entre le peuple, le gouvernement et la résistance. Nous essayons, plus que jamais, de nous rapprocher du peuple. Nos priorités sont désormais les suivantes :
1- Secourir d’urgence les victimes de la guerre, les familles des martyrs, les blessés, les ouvriers…
2- Mettre tous les efforts pour lever le blocus et ouvrir les points de passage…
3- Reconstruire Gaza. Une commission parlementaire comportant des personnalités indépendantes doit superviser le projet de reconstruction, loin de toute politique. Il est urgent de soigner les blessures.
« Partenaires dans la résistance, partenaires dans la reconstruction » est notre slogan. Nous ne sommes pas pressés de recevoir de l’argent, mais de commencer à mettre fin aux souffrances de nos familles.
L’accalmie et l’échange de captifs
CPI : Et pour ce qui est de la trêve et de l’échange de captifs ?
Ismaël Haniyeh : Nous allons où va l’intérêt de notre peuple palestinien. L’accalmie a été accomplie dans ce dessein, à plusieurs reprises. Et après l’agression israélienne, nous allons dans la même direction, pour protéger notre peuple, ouvrir les points de passage, mettre fin au blocus. On était sur le point d’accomplir une trêve, sauf qu’au dernier moment, les Israéliens se sont retirés et ont mis le dossier du soldat Chalit avec l’affaire de l’accalmie.
Le retrait israélien
CPI : A votre avis, pourquoi l’occupation israélienne s’est retirée de l’accord d’accalmie ?
Ismaël Haniyeh : L’occupant israélien essaie d’accomplir la trêve selon ses désirs, inacceptables par notre peuple palestinien.
Notre peuple veut arriver à un échange de prisonniers, mais les Israéliens ne cessent de mettre des bâtons dans les roues.
Les relations avec l’Egypte
CPI : Certains essaient de laisser comprendre que le Hamas représente un danger pour la sécurité nationale égyptienne ?
Ismaël Haniyeh : Notre relation entre le peuple palestinien et l’Egypte est une relation stratégique…
Nous confirmons que le Hamas réagit de façon à protéger la sécurité nationale égyptienne et ne fait aucune ingérence dans l’affaire interne égyptienne. Les points de vue différents en ce qui concerne le conflit avec l’occupation israélienne ne pourront entamer nos relations basées sur le respect mutuel.
Une nouvelle émigration
CPI : On parle d’une émigration vers le Sinaï ?
Ismaël Haniyeh : Notre peuple est enraciné sur sa terre. Il ne la quitte pas, ni pour la Sinaï ni pour ailleurs. Même ceux qui étaient à l’extérieur de la Bande, pendant la guerre, sont revenus.
Le point de passage de Rafah
CPI : Et pour ce qui est de votre demande permanente d’ouvrir le point de passage de Rafah ?
Ismaël Haniyeh : Nous croyons que les frères d’Egypte sont capables de prendre des décisions afin d’ouvrir le point de passage de Rafah, non seulement pour des buts humanitaires, mais également politiques.
Et il nous faut un gouvernement d’unité nationale pour qu’il y ait un contrôle total du point de passage.
Les visites de Gaza
CPI : Comment voyez-vous les visites effectuées dans la bande de Gaza ?
Ismaël Haniyeh : Nous saluons tout un chacun qui est venu rendre visite à la bande de Gaza, pendant l’agression ou après. Nous regardons avec satisfaction les visites de parlementaires et de ceux qui y viennent pour collecter des informations concernant les crimes de guerres israéliens.
Néanmoins, la population aime beaucoup voir des résultats concrets de ces visites : reconstruction, ouverture de points de passage, jugements de criminels de guerre…
CPI : Certaines délégations n’ont pas traité avec le Hamas ?
Ismaël Haniyeh : Malgré cela, ces visites représentent en elles-mêmes un changement de leur politique, probablement qu’un nouvel équilibre politique est à l’horizon.
La bataille « Al-Forqane »
CPI : Comment était le mouvement arabo-islamique pendant la bataille « Al-Forqane » ?
Ismaël Haniyeh : C’était un élan populaire sans précédent que le monde a connu. Cet élan de solidarité avec la cause palestinienne l’a remis à sa juste place…
Nous espérons que cet élan continue, surtout que le blocus, les menaces de l’ennemi, le danger qui menace la ville d’Al-Quds sont toujours là. Nous appelons à organiser le travail populaire de manière stratégique pour qu’il puisse profiter à la victoire de Gaza.
Les élections israéliennes
CPI : La droite israélienne extrémiste a gagné, où va l’Entité sioniste ?
Ismaël Haniyeh : Les résultats des dernières élections ne faciliteront pas la chose dans l’Etat d’occupation. La décision politique connaîtra plus d’incertitude. Les élections anticipées n’ont non seulement pas résolu la crise politique, mais y ont de plus ajouté de nouvelles complications.
Et ceux qui avaient mené la guerre contre la bande de Gaza pour des raisons électorales ont connu un échec cuisant. C’est un signe que la résistance de notre peuple et son attachement à ses droits coûteront beaucoup aux chefs de l’occupation israélienne.
Plus d’un expriment leur peur de la droite israélienne, mais nous ne faisons que répéter la parabole d’Allah (le Tout Puissant) :
{C'est le Diable qui vous fait peur de ses alliés. N'ayez donc pas peur d'eux. Mais ayez peur de Moi, si vous êtes croyants} (Le Saint Coran, Sourate 3, verset 173)
The Iraqi Resistance Responds to Obama
The Political Committee
Baghdad
The Republic of Iraq
Statement in Response to President Obama’s Remarks made on the 27th or February 2009 regarding the proclaimed ending to the occupation of The Republic of Iraq.
Official English Transcript Release No: 57
March 02, 2009 "Information Clearing House" --Good Evening,
In Respect to the remarks of President Barak Hussain Obama, The president of the United States of America. The Political Committee of a number of factions in the Iraqi Resistance, mainly the factions present in our front, respond with our point of view on the contents of his speech.
Over the last four months, as the battle of our people continues to free Iraq of all foreign occupation. We have been studying the movements on the ground as well as analyzing the intelligence in order to assess the next strategy that the US administration will take under the leadership of the new presidency.
We had formulated our own plan of action based on the above mentioned, but have chosen to give the new president enough time to gather his thoughts and have a suitable amount of reports & briefings that would give him also a good picture of the daily developments on the ground.
President Obama, After listening to your speech on the 27th of February 2009, in which you declared your general and public understanding of the ongoing war against our people, and gave your military and the honorable people of the United States brief points on your intentions in our country, we felt the spirit of the speech that your predecessor President JFK gave on the 20th of January 1961, on his inaugural address. In this speech, he offered a turbulent world, a way out of tensions and paid with his own blood for challenging the interests of those in your consecutive governments who hold the true keys to power. Those who would do anything to preserve their interests, wealth, & power to create wars & conflict.
We mention this with great honesty in hope to spread awareness and remembrance that a new Caesar may be betrayed, by his own, if he chooses to follow a different path. We do believe, on the other hand, that the spirit of the speech was well chosen.
We have listened well to your economic plans for your country released before this speech as well, and as ambitious as it may seem, we believe that if intentions are genuine within your congress, a considerable number of what you seek will eventually be fulfilled, but in case of failure, the republicans will be looking for a scapegoat to relate all their failures to. In this case it would be your administration. This will guarantee them a fast comeback.
You have inherited a nation at war, a failed economy, and a desperate people who are bearing the full brunt of an economic crisis that was not of their making. As well as thousands of young men dead and handicapped.
We have inherited a foreign occupation, endless counts of innocent dead, injured, and handicapped, millions of refugees, in essence, Mr. President, the complete and planned disintegration of our nation and people.
We believe that the funds wasted in this war would have been more useful if it were spent on research to develop alternative energy, which no doubt would have reduced energy conflicts, cures for cancer, agricultural solutions to prevent worldwide poverty, advancements to develop Africa, where people still die of starvation and intentional neglect. Endless causes, all in need of immediate attention.
By the will of God almighty, the resilience of our men, and the patience of our humble people, we have so far managed to halt and render useless all imperialist agendas set for Iraq and the region in whole. Simply by choosing to resist occupation, a right guaranteed by God first and then by international conventions to all men. A right your country’s policies continue to disrespect and dishonor, in clear example to state sponsored Terrorism.
You have spoken to our people in part of your speech, and we thank you for these words, you have displayed a far better understanding our nation, than your predecessor, who preferred to dive deep into the oceans of illiteracy and ignorance. Despite the fact that you did not mention the Iraqi resistance in your speech, and chose to label us as terrorists along with those who arrived with your troops, we will set that aside for now, and mention a few facts for the record.
1- The people of Iraq whom you addressed, in all their sects colors and religions, refuse your occupation, and those who accept it, are those who benefit from it.
2- The Iraqis you addressed, as we truly hope, are not the ones who bathe in the riches of treason, behind your walls of the green zone, nor are they the likes of Ahmed Al Chalabi, whom your previous government conspired with and his likes from the dark alleys of 5 star hotels in the US and Europe prior to your occupation.
3- The Iraqi people you talked to, are those who never invited your occupation, and were trying their best to survive on what was possible, under the criminal sanctions that went on for 13 years only to be crowned with a foreign occupation, unmatched in criminal acts, in today’s modern world.
President Obama, The suffering, that our people had to go through is beyond comprehension. And the endless crimes of your troops as well as that of neighboring countries, cannot simply be undone or dismissed, nor can they be brushed under the carpet. Your troops still occupy the land and kill the innocent, that is why we can only address you as the president of an occupying nation.
The Iraqi People are disappointed in your plan. They expect your troops to leave our country in full and not in part. Our people, seek a complete end of occupation and not the fulfillment of a strategic treaty that was rushed against the will of our people, in the last few days of your predecessor.
Our people, as well as the majority of people around the world, and in your country, want to see the last president be presented to an international war crime tribunal for all the crimes he has committed in the name of your country, only to benefit those who brought him to power in the first place.
We have never invited your occupation, nor have we asked your country to steal our country’s resources to benefit your corporations and to those neighboring states which historically fall under your influence. We have never asked you for your precious blood or ours, to us, all blood is precious even that of the your soldiers sent by your government to die not knowing what they were truly fighting for. This has to be addressed to the man who started this war, and is hiding now in Texas, while you try to undo his damage.
We the Iraqi People and their resistance demand the following:
1- The fulfillment of all the conditions presented to your government through the mediators you
Sent in 2006.
2- The hand over of all the traitors & Collaborators in the green zone to the Iraqi people where
They will be dealt with as any nation would do with in cases of high treason.
3- The full & just compensation for our people for the losses they have suffered.
4- The halting of all compensations paid to those who fall under your umbrella in the region from the resources of our people.
5- The return of all land stolen from our country.
6- The departure of all foreign corporations mainly in the sectors of energy, communication, & infrastructure rebuilding, specifically those linked to Neocon interests. Our people are more than qualified to rebuild and operate our institutions.
7- The hand over of all mercenaries accused of killing innocent civilians mainly security contractors in Black Water and their CEO to be tried for murder.
8- All foreign advisors are to leave Iraq with your troops.
9- The dismantling of all militias equipped by your country and Iran together to shift the nature of battle towards the sectarian nature in order to allow your troops to concentrate on the major resistance activities in the central region of Iraq.
10- The halting of all support to the sectarian government elected in the orchestrated elections in the green zone.
11- The reduction of the influence of your Persian allies in Iraq which your previous government worked with in close conjunction and who continue to fund Al Qaeda on behalf of your intelligence agency’s behalf.
12- The return to the old constitution of a unified Iraq. And the Upholding of new elections
Within 6 months of the resistance taking power of the nation, this will be supervised,
By must be conducted in the presence of a number of credible international monitors. Not the ones
Sponsored by the CIA.
13- Cities and provinces are to be handed over one by one starting with the four main cities and airports of Baghdad, Basra, then Mosul and Kirkuk in the same order. The rest will fall immediately in our hands. The borders will have other arrangements.
The list goes on, but the intention is to give you an idea of what we pledged our people to achieve. In return for our people’s demands, we will cease to attack all occupation forces withdrawing to the south and beyond the border post of Safwan.
Without these straightforward moves on your part, we regret to inform you that the resistance of the people of Iraq will continue until that last boot of US/British/Persian occupation is thrown across the borders of our country.
If you choose change as you claim, then you must have reached the conclusion that to continue dealing with the same people your predecessor appointed to fulfill his dirty work, will fail to deliver positive results for both our people. It is not the thieves of the green zone who brought the defeat of your military.
You must search further for the honest Iraqis and from the ranks of our people and not those of your collaborators to achieve a just solution. You can also recognize the right for the Iraqi people to resist and publicly ask for our advice and representation. The Iraqi people intend to be masters of their own house as they always have, and by following the plan you have declared, you have not yet fully understood Iraq well.
There are those who will claim, that a quick withdrawal from Iraq will cause civil war, and that is a possibility, but we would also like to clarify that the forces of the puppet government which has been equipped to defeat the resistance will not stand ground, nor will they block our efforts to liberate our cities one by one if we had to, and all the efforts of your collaborators to move to the north and south of the country and create their own federal states have been studied well for their weaknesses and will be crushed within a short period. This is a more realistic scenario. True there will be still the Persian occupation which will offer it’s militias support, but we know that the US cannot leave the oil rich south to be occupied by Iran, and they would rather see it fall in our hands instead. As it would be giving too much to a close yet not so trust worthy ally, and would deprive your military necessary funds that would support long-term military presence necessary in Iraq and throughout the region. Funds that some in your government think they can still rely on. Funds that your economy can no longer bear in the midst of the turmoil in the globalized economy of your nation, to control the world.
The Iraqi resistance understands well that the US could not continue to sell oil at a high price
of 120 USD/Barrel to cover the costs of it’s war, as this strengthens old adversaries. And it would be only a matter of time before this tactic backfires on the US foreign policy. But it also understands that the US cannot fund foreign occupation any more without depending on local resources and revenues to cover the expenses. This is the true cause of the change of “Strategy” as you named it President Obama.
With oil prices falling to their true realistic market values, & the winter ending in the consuming economies, the oil prices should fall to 30 USD plus mark, which is also effecting the local economies of your allies in the region, as anything below 55 USD per barrel, is already becoming a burden on these economies, which in turn can no longer assist to their full potential in funding and supporting the costs of US aggression in the Region.
The Declining of oil revenues, which we truly thank you for mentioning in your speech, will make it more difficult to fund your military’s operations in Iraq, and that is why the numbers of your troops is to be reduced. To match the income predicted from the oil projects sponsored by your corporations in the south and the oil theft operations run by your agent, Hamid Jaffar in the north of Iraq in collaboration with NGO oil of Norway, is what your strategists think is possible.
Yes President Obama, we do agree with you, that the US needs a smarter, more sustainable & comprehensive approach, but rest assured, that what your predecessor has failed to achieve with all the military might at his disposal, we will make sure that you will fail to achieve the same goals through the soft hand of the Democratic party.
In fact, it is more logical and practical to follow the alternative energy programs that you have set wisely, to ensure the non reliance of your economy on oil as well as the utilization of advancements and added fruits of R&D to employ the unemployed, and support a new and young market for the shift in energy dependence, and in turn end the monopolization of energy, practiced by the corporations that control it and control world political and social stability, than to merely dream of expecting the Iraqi People to hand you over their resources.
We on the other hand intend to nationalize and use our resources to build an alternative energy base our selves and offer our people a life of prosperity, & stability, as well as supporting the energy transition of other nations that are oil dependant, a task we truly believe is noble and worthwhile.
The Iraqi Resistance will not accept any short term or long term energy contracts with the US until we ensure that the rights of our people are properly addressed. And within the parameters of relations based on mutual respect first and mutual interests second.
President Obama, It is time that people in Washington understand that there are no shared interest between an occupying tyrant and an oppressed victim of occupation.
Your government would have stayed forever in Iraq if the traitors who conspired with your consecutive administrations had their way in starving the Iraqi people into submission and force them to welcome your occupying troops with flowers as Chalabi promised you. But after three wars and over a decade of sanctions, there were enough honest men to defeat the world’s most powerful army & play a major role in destroying the most imperialistic Globalized economy ever developed by expansionary capitalism.
These are the type of people you are speaking to Mr. Obama. And if you were not presented with this reality throughout the briefings that occurred, and understood the true scale of the economic disaster with all the social and geopolitical implications of your military defeat in Iraq, then please allow us to mention a few of the major achievements that the Iraqi Resistance have promised it’s people and the free people of the world and has delivered:
1- We promised to pin down your troops in Iraq and drain your economy until you admit defeat and withdraw your troops. And this we fulfilled.
2- We promised to halt the US plan for Middle East in full, and prevent the loss of other innocent lives in other neighboring countries, and that we fulfilled.
3- We embraced the war and continue the fight on behalf of all the oppressed world, which not only stood still and watched the massacre of our people and the illegal occupation of our nation, but many of it’s leaders participated and continue in harming our people inside and outside Iraq and assist in the theft of our resources. This, apart from the support of honest people all around the world,
4- including citizens of your country, who marched day and night to support the cause of Iraq’s right to resist, marches that defied the weather, and weathered criminal defiance and ignorance of world politicians. Marches that we will ever be indebt to, and in gratitude & in appreciation for. May god bless those people wherever they are. And this we fulfilled and continue to do so.
5- We have understood the nature of international balances of power and most importantly predicted the primitive mind of the occupation and played a major role in forcing the US to increase oil prices in clear desperation for cash. And use that to allow other powers to recover. And the numbers never lied, this we also fulfilled.
6- The Iraqi People wrote a new chapter in Urban warfare, and invented the art of remote combat, and in turn gave the world lessons and set a new standard in how to defeat the world’s most powerful army. In this, the most dangerous achievement that threatens US global influence is that all the oppressed people who suffer from negative US influence, can use this experience to free themselves as well. This also has been delivered.
7- The Resistance has already drafted its 2, 5 and 10 year plan to engage Iraq in rebuilding programs that will set a new standard for development in the Region and restore Iraq to it’s rightfully earned place in world politics and positive human development. This while maintaining Iraq’s isolation from harmful neighboring countries at the same time, these plans was prepared and drafted in the early months of 2007 and are ready to implement once we see the end of your occupation.
8- The resistance created a new battle field and utilized every tool available to break free of the corporate media and tell, inform, and educate the world of the true nature of the struggle, and present every curious man and woman daily reports and videos of your military’s defeat and in every language possible. People from all over the world, chose out of their own free will and time, people of different religions and backgrounds chose to be soldiers of the cyber wars and translated all what we had to tell, asking nothing in return but the truth. The true casualties of your war are yet to be declared. (We refer to the green card soldiers)
9- The resistance has sparked not only the collapse of the US economy, but also caused the domino effect and the destruction of your fine tuned and delicate Globalized economy, and forced the return to national economic protection, and the rights of local and regional economies to grow and ensure a decent life and practice their right to develop as well. All your efforts to restore the globalized economy will deliver nothing of value, and puppet governments that maintain your oversight of world resources will eventually fall, one after the other, as their faults will be more evident to their average citizens, and that is why you are now receiving daily reports, from the CIA about the world economy.
ALL THE ABOVE, AND YOU STILL CHOOSE TO IGNORE THE RESISTANCE OF THE IRAQI PEOPLE AND THE RESISTANCE OF THE GLOBAL ALLIANCE OF THE FREE, WHICH WE INTENT TO PROPOSE TO THE WORLD AS THE NEXT STAGE OF FREEING THE PLANET FROM YOUR DOMINENCE WHEN THE TIME IS RIGHT.
ALL THIS SAID, AND THE GLOBAL MEDIA WHICH YOU STILL MAINTAIN CONTROL OVER STILL LABELS FREE PEOPLE AS TERRORISTS AND EQUALS THE RESISTANCE OF OCCUPATION WITH CRIMINAL ACTS OF STRIKING CIVILIANS IN BUILDING AND TERRORISING THE LIVES OF THE INNOCENT.
TRULY IRONIC !! Nevertheless represents the true state of shock you policy makers have reached. But all can be reversed if you truly believe in Change Mr. President.
The resistance along with the votes of the peace loving people in your country and choice of the world
Who brought you to power, are more than capable to pull you down and defeat your new strategy, if you choose to lie to them and follow the plans of your predecessor.
You must understand that the time when your foreign policy bullied and bribed people into submission is over and for a considerable time. And your politicians and strategists have to understand that to be accepted as a superpower you must first learn to speak to the world with modesty and respect that others in this planet, also have the right to provide for their families a decent life, the right to food and water, the right to education and knowledge, the right to industry and employment, and free from your corporate despotism.
We in the Iraqi resistance, renew our pledge to our people and to our brothers and sisters in the global family, to continue the fight and struggle to free Iraq and give our allies the chance to follow suite.
While you were preparing your new strategy in leaving the streets and highways of Iraq to your collaborators, and hiding your troops behind the walls of the castles and green zones you have prepared for your minimized long term presence, we have been preparing to address your new tactics and will deal with them in the proper manner.
Remember, that hiding behind and holding castles is no longer sustainable in modern warfare!
Your finest fighting force as you name it, is up against the most witty, resilient & innovative self-propelled resistance honorable humanity has ever presented. Rest assured that we are not impressed with your plan and will follow your movements on the ground and cross examine them to your declared intentions and daily economic reports. There is no such thing as friendly occupation, and we advise you to revise your plans to vacate Iraq at a time suitable for our people and not suitable for your agents in the green zone.
And if you need to talk to honest Iraqis, then you know very well, where to find them. John F Kennedy also said “Let us never negotiate out of fear, but never fear to negotiate”
You choose to negotiate with all the parties that worked for your predecessor and have caused all this harm, yet you choose to ignore the only true party that can offer you a decent outcome.
Good Luck President Obama!
Radfidan
The Political Committee - Baghdad – The Republic of Iraq
The 3rd of Rabi' Awwal 1430 H
The 28th of February 2009 M
Israel ties on 9/11 : Zionists are blaming their puppets for 9/11, CIA, MI6 and Cheney
By Christopher Bollyn
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The current financial crisis, like 9-11, did not just fall out of the sky. Rather, both 9-11 and the financial melt-down are the results of decades of planning and preparation. President Clinton's denial of responsibility for the current economic crisis notwithstanding, it was his administration, indeed, his special adviser, the Israeli son-of-a-terrorist Rahm Emanuel, who took credit for single-handedly pushing the economically treasonous NAFTA bill through Congress. That a president from the pro-labor Democrat party would support a bill designed to destroy the jobs of millions of working Americans as it devastated the U.S. manufacturing sector is something that the mainstream media has never addressed.
Rahm Emanuel, President Obama's chief-of-staff, is seen here at the inauguration. Emanuel was President Clinton's special adviser in the White House and the key person who pushed the disastrous NAFTA through Congress during Clinton's first year in office.
What Americans are reaping in 2009 are the real economic consequences of that "giant sucking sound" that the anti-NAFTA candidate Ross Perot warned of during the presidential debates of 1992. Seventeen years later, however, no one is laughing about Perot's phrase that he used to describe what NAFTA and other free trade agreements would do to the American economy.
Americans are now suffering from having accepted the big lie about NAFTA and "free trade" with China. Ross Perot was right about how NAFTA and other "free-trade" policies would destroy America's prosperity by devastating our manufacturing sector.
Millions of U.S. jobs were lost as American companies moved their factories to Mexico, China, and elsewhere as a result of the disastrous free trade policies enacted during the Clinton administrations. Nowadays in American stores one rarely finds clothing, shoes, or other products that carry the label "Made in America." Such original American symbols like blue jeans and Converse sneakers are no longer even made in the United States.
H. Ross Perot ran a valiant campaign as an anti-NAFTA independent candidate to protect American jobs, our manufacturing sector, our way of life and national prosperity. Clinton won and the American people lost.
The ever increasing trade deficits suffered since the early 90's are the clearest evidence that America's wealth was being sucked out of the nation at an incredible rate. Ross Perot was right: the U.S. dream could not be sustained solely by the service sector. I wonder if they still teach that lie in American universities. Perhaps they will rediscover the wisdom of the writings of the founding fathers, such as Alexander Hamilton on the importance of manufacturing and the economic causes of the American Revolution.Behind such massive criminal hoaxes as the "false-flag" terror attacks of 9-11 and the current financial crises and government bail-outs are years of planning and preparation by high-level criminal organizations. Such immense crimes are designed to steal huge amounts of money, shape public opinion, and facilitate drastic changes in society and government. The so-called "War on Terror," the PATRIOT ACT, the U.S. Department of Homeland Security, and the trillion-dollar bail-outs and stimulus bills are all examples of such pre-planned responses. Fear is the main tool used by the controlled-media and politicians to force these pre-planned radical changes onto the skeptical and patriotic public.THE TYRANNY OF LIES
Maurice Greenberg, who is tied to 9-11, is the head of the criminal insurance company A.I.G., which has received some $150 billion of U.S. taxpayer funds. The first plane that struck the World Trade Center flew straight into the secure computer room of Marsh, a company run by his son Jeffrey. A coincidence?
Who is behind such huge lies and massive hoaxes? While some of the key culprits behind the current financial crisis are known, e.g. Bernard Madoff and Maurice Greenberg of A.I.G., there has been no investigation by the mainstream media of the criminal networks they operate within. On the other hand, there has been a great deal of discussion by the media about the alleged Islamic network behind 9-11. The official - but unproven - version of events, which has been promoted without question by the media, is that Al Q'aida, a non-state entity supposedly headed by Osama Bin Laden, with the support of some state actors, such as Afghanistan, Pakistan, and Saudi Arabia, planned and carried out the 9-11 terror attacks for some reason which has yet to be articulated by the perpetrators - or explained by the U.S. government.
From the day of 9-11, President George W. Bush told the world that Al Q'aida had destroyed the World Trade Center and attacked the Pentagon simply because it hated America's democratic freedoms, as if that makes any sense. According to the unproven claims made by the Bush administration and distributed by the controlled media, an anti-democratic Islamic faction from undemocratic lands had committed the 9-11 terror atrocity in order to start a war between the Islamic world and the western democracies, headed by the United States. Incredibly hot fires, hotter than the boiling point of iron, inexplicably raged beneath the rubble of the World Trade Center for more than three months as the physical evidence of demolition was furtively being removed and destroyed with the connivance of the U.S. government (specifically the criminal division of the Dept. of Justice headed by the Israeli-American Michael Chertoff). The Bush administration showed a callous disregard for starting an independent blue ribbon investigation of the worst terror attack in U.S. history as it eagerly took up the gauntlet against Afghanistan, governed by the Islamic fundamentalist Taliban. The pre-planned U.S. military response, the so-called "War on Terror," began long before the fires were even extinguished at the World Trade Center.
The "War on Terror" is actually a long-planned Zionist war plan to dominate the Middle East first articulated by the right-wing Israeli prime minister Benjamin Netanyahu (Likud) in the mid-1980s. This radical Zionist plan became U.S. policy in the aftermath of 9-11 military campaign and provided the lame excuse for at least four on-going wars and/or military occupations in the region: U.S. vs. Iraq (19 years), Afghanistan (7 years), Somalia, and Pakistan.
President Obama recently ordered some 17,000 more U.S. troops to Afghanistan, which, according to the government fairy tale about Bin Laden and the 20 hijackers, is the hot-bed of Islamic terrorism from which 9-11 sprang. Obama's strategy to expand and prolong this failed military campaign is extremely ill-advised. The Soviet Union had a land border with Afghanistan, more troops in the country, and killed more than a million people -- and still lost the war. How, or what, does Obama possibly expect to win? (Suggested viewing: Imran Khan interview with Fareed Zakaria)
The question remains: who really carried out 9-11? This is the key point where the official story diverges from the path of the evidence. It is also the fundamental question of culpability where "truth seekers" disagree. The U.S. government, which confiscated and destroyed tons of evidence, is actually holding the person alleged to be Khalid Sheik Mohammed, the "mastermind of 9-11," but refuses to put him on trial in the United States; how very odd. At the same time, grieving 9-11 relatives have been denied an open trial for 7 years in their tort litigation against the airlines and passenger screening companies who allowed 19 Arabs with weapons on the aircraft.
Meanwhile, very real evidence of Israeli involvement in the events of 9-11 has been completely ignored by the government and media as if it did not exist and has absolutely no meaning. I, on the other hand, have examined and investigated these leads for more than 7 years. This investigation has revealed a complex corporate and financial network in which high-level Zionists and Israeli intelligence agents have long operated in the United States and beyond.
Within this network the connections of Zionists and Israelis to both 9-11 and the current financial crisis can be seen. In my earlier research article, "The Architecture of Terror: Mapping the Israeli Network Behind 9-11," I pointed out some of the key individuals and companies in this corporate network and their connection to the events of 9-11.
While the huge U.S. government bail-out was being discussed and planned in the fall of 2008, I saw that some of the same individuals and entities, such as Maurice Greenberg of A.I.G., were involved in the financial crisis at the highest level. A.I.G., for example, a dodgy insurance company that has long engaged in criminal practices, has received more than $150 billion of U.S. tax-payer funds. As I pointed out in my article about the bail-out, some of the key people behind the bail-out, Ben Shalom Bernanke, the Chairman of the Federal Reserve, for example, are themselves dedicated Zionists with histories of working with and for criminals. In Bernanke's case, he had worked for Alan Heller Schafer, the well-known Jewish criminal and political boss who ran a sprawling roadside gambling and drinking establishment called South of the Border.
Alan Schafer, Bernanke's criminal employer while he studied at Harvard, was convicted of rigging elections in South Carolina.
Bernanke's boss Schafer was later convicted of rigging elections in South Carolina and sentenced to three and a half years in federal prison. As I concluded in my article about Bernanke's ties to Schafer, it is simply not credible that Bernanke, a student at Harvard, was unaware of Schafer's legendary criminality.
The so-called "mainstream media," outlets such as The New York Times, Chicago Tribune, Los Angeles Times, CNN, and FOX News, however, will never investigate the connections of the Zionist corporate network with 9-11 or the financial crisis because they are part of the same network. This is how the Zionist-controlled media works: shield Zionist crooks by blaming others. This is also why CNN and FOX sought to smear me as an anti-Semite rather than discuss the evidence of 9-11.
The situation with the Zionist bankers and corrupt Israeli banks like IDB is exactly like that depicted in The International, a current film about a corrupt bank which profits from Middle East weapons deals and war debt. As the Italian weapons dealer turned politician said: "It's not about the profits from the weapon deals; it's about control." Debt is the banker's instrument of control.
It is a fairly daunting undertaking for an independent journalist to investigate the sprawling criminal network behind such huge crimes. Apart from the very real dangers it presents, it requires a great deal of research. I have paid a very high price for my 9-11 research and activism and seen the lives and careers of fellow truth seekers destroyed because they dared to challenge the audacious lies being imposed on the public mind.
Although there is a great deal of research left to be done, I want to present a facet of the corporate nexus behind 9-11 and the financial crisis to illustrate the basis of my thesis that a high-level Zionist network is involved in both crises. This network is not simple; it is rather complex and spans a period of several decades.
Because of the limited scope of this article, some important aspects will not be discussed in detail. For those who wish to explore these subjects more deeply I have added links within the text and source articles in the bibliography. To help introduce this fairly complicated subject, I am presenting it as I discovered it.
SINGH: THE PTECH WHISTLEBLOWER
During the first year or two after 9-11 a woman named Indira Singh came forward with a series of claims that a Massachusetts-based enterprise software company called Ptech had played a key role in the events of 9-11. In 2002, Singh was described in the Boston press as "a former Ptech consultant." Singh, said to be a risk architect and IT professional with JP Morgan, certainly knew a great deal about Ptech and its dodgy spy software, which had reportedly been loaded onto the most critical computer networks in the U.S. government prior to 9-11. A Boston Globe article from 7 December 2002 described Singh as "a former Ptech consultant" citing an interview Singh she had done with WBZ-TV:
Singh said last night in an interview on WBZ that she told the FBI ''in no uncertain terms'' about the connection between Ptech and [Yasin al] Qadi. She said that weeks after talking to the Boston FBI, she was ''shocked'' and ''frustrated'' to learn that the FBI still had not alerted any of the government agencies using Ptech software that there were questions about the company's ties to suspected terrorist fund-raisers.
Indira Singh, the former Ptech consultant turned whistleblower, sought to put the blame on Arabs and the CIA.
The essence of Singh's 9-11 presentation was that the people behind Ptech were Arab Moslems tied to Saudi financiers of terrorism and a rogue element within the CIA, which included Vice President Dick Cheney.
Singh later did a series of interviews with Jamey A. Hecht, editor of From the Wilderness (FTW), a website that featured material written by Mike Ruppert. In these interviews Singh discussed Ptech's enterprise software, how it could have been used to manipulate data on critical government computer networks, such as the FAA, NORAD, and U.S. Air Force, and who she thought was behind the company:
Jamey Hecht, a graduate of Brandeis, taught English at Baruch College in 2005.
Hecht: You said at the 9-11 Citizens' Commission hearings, you mentioned - its on page 139 of transcript - that Ptech was with Mitre Corporation in the basement of the FAA for 2 years prior to 9-11 and their specific job was to look at interoperability issues the FAA had with NORAD and the Air Force, in case of an emergency.
Singh: Yes, I have a good diagram for that…
Jamey Hecht: And that relationship had been going on mediated by Ptech for 2 years prior to 9-11. You elsewhere say that the Secret Service is among the government entities that had a contract with Ptech. Mike Ruppert's thesis in Crossing the Rubicon, as you know, is that the software that was running information between FAA & NORAD was superseded by a parallel subsuming version of itself that was being run by the Secret Service on state of the art parallel equipment in the PEOC with a nucleus of Secret Service personnel around Cheney.
Singh claimed that Ptech was connected to the CIA and Saudi millionaires, using terminology like "blowback," a term that is not commonly used:
"Ptech had all the markings," said Indira Singh. All the markings of a CIA front company. "I think there is a CIA within the CIA," Indira told FTW. "I think there is a Shadow CIA that does the Iran-Contra type of things -- they get funding from illicit methods--and that the Saudis are in on it. They might have trained some operatives, and later it backfired - it was blowback within blowback, perhaps."
In one of the FTW articles about Ptech by Michael Kane, a list of three suspect groups is presented: the Muslim Brotherhood, Christian Cultists, and Nazis. Kane describes Ptech as "the Alpha dog" in a relationship with Mitre, but the ownership of Mitre is never discussed. Elsewhere, Vice President Dick Cheney is named as a suspect, depicted as the mastermind single-handedly running the whole show:
Ptech was working with Mitre Corp. in the FAA and, according to Indira, Ptech was the Alpha dog in that relationship. Mitre has provided simulation & testing technologies for the Navy. They provide multiple FAA technologies and boast in their annual reports that their two biggest clients are DOD & FAA. Mitre knew the FAA's technological enterprise inside and out, including any simulation-and-testing (war game) technology operated by the FAA.This was the perfect marriage to ensure that the capacity to covertly intervene in FAA operations on 9/11 existed - in the middle of simulated war games. It is also the perfect marriage to ensure that the command and control of these capabilities was readily available to Dick Cheney via Secret Service Ptech software in the Presidential Emergency Operations Center, the bunker to which Cheney was "rushed" by the Secret Service. As already pointed out in Part 1 of this series, Ptech does what Total Information Awareness (TIA, the DARPA program to monitor all electronic transactions in real-time) is supposed to do. There are an undetermined number of other software programs in the hands of an undetermined number of corporations also capable of this. Again, enterprise architecture software is designed with the express purpose of knowing everything that is going on throughout the entirety of the "enterprise" in real-time. In the case of Ptech software, installed on White House, Secret Service, Air Force and FAA systems (as well as most American military agencies), the enterprise included all of the real-time data of the above mentioned agencies.
Hecht, senior editor of the FTW website, described Ptech as a den of thieves and murderers in the introduction to "Ptech, 9-11, and USA-Saudi Terror" (2005):
The human side of Ptech is where the thievery and murder come in: among the financiers and programmers of Ptech are apparent members of an international network of organized criminals involved in decades of narcotraffic, gunrunning, money laundering, and terrorism. Their personal and professional connections reach up into the highest levels of the American government, and their activities are still underway.
But who are these financiers and programmers of Ptech? Who are the "apparent members of an international network of organized criminals involved in decades of narcotraffic, gunrunning, money laundering, and terrorism?" What Hecht, Kane, and Singh overlooked in their investigation of Ptech was the conspicuous role played by Michael Goff, a Zionist Jewish lawyer from Worcester, Mass., who had suddenly left his law practice to manage Ptech, a start-up company headed by a Lebanese Muslim. How much sense does that make? Not much, unless of course one considers the idea that Ptech was an Israeli-controlled cut-out operation from the beginning.
Michael Goff was the first marketing and general manager of Ptech. He went on to work for Guardium, a similar enterprise software company owned and operated by Israeli military intelligence.
Goff wore many hats at the new company whose software found its way onto the most critical networks of the U.S. government. Goff, who was Ptech's first marketing manager, was also responsible for the procurement of all software for a company that supposedly wrote enterprise software. He was also responsible for the hiring and training of personnel. As I pointed out in my 2005 exposé about Ptech, Goff went on to represent Guardium, an Israeli software company founded and run by members of Israeli military intelligence. Goff was clearly not just a simple Jewish lawyer who wanted to help a Lebanese immigrant promote his software company. This is probably why Goff could not tell me the name of the agency which had placed him with Ptech; the agency was most likely a branch of Israeli military intelligence. In that case, how do Hecht and Singh fit in? Who are they and who do they really work for in their apparent disinformation campaign?
Why is Jamey Hecht spreading disinformation about Ptech? Who is he working for?
To me, the evidence indicates that Ptech was a cut-out, a company disguised to look Arab-owned but which was actually run by Israeli intelligence. Goff was Israel's point man within the company and the person who hired the right people and through whom the Israeli-manipulated software became Ptech enterprise software. Goff appears to have been the instrument through whom malicious Israeli spyware was loaded onto U.S. government computers. Hecht, Ruppert and Singh were spin-masters to pin the blame on Arabs and a nebulous cabal at the CIA - and distract the investigators from the Israeli connection to Ptech.
How else could it be that Singh, Hecht, and Kane only saw Arabs and rogue CIA agents running Ptech without noticing Mike Goff, the Jewish lawyer from Worchester, Mass., who played so many key roles running Ptech from the beginning? How is it that Singh knew so much about Ptech – but absolutely nothing about Michael Goff? Goff's name was on Ptech documents, after all.Were Singh, Hecht, Kane, and Ruppert intentionally spreading disinformation about Ptech? With all due respect, this certainly appears to have been the case. But who were they working for?
Jamey Hecht, who studied at Brandeis University and taught at Baruch College (CUNY) was Assistant Managing Editor and Senior Staff Writer at www.fromthewilderness.com from 2003-2006. Hecht, standing on left, poses with the staff of From the Wilderness Publications at the Petrocollapse Conference in New York, May 2006. Mike Ruppert, Editor in Chief, is kneeling; Jenna Orkin, who actively lobbied Jimmy Walter to keep Christopher Bollyn off the 9-11 truth tour to Europe in 2005, is third from left; fifth from left, Michael Kane; rightmost, Dmitry Orlov.
End of Part One
Sources and recommended reading:
Imran Khan interview with Fareed Zakaria, February 22, 2009Bollyn, Christopher, "The Architecture of Terror: Mapping the Israeli Network Behind 9-11," July 24, 2008
Bollyn, Christopher, "Why are Honest 9-11 Researchers Targeted?" May 15, 2007 (and linked articles)
Bollyn, Christopher, "9-11 and the Crisis on Wall Street," September 17, 2008
Liban : Assassinat de Harriri : La piste franco-israelienne confirmée
Affaire Hariri : un dossier monté de toutes pièces par des Professionnels
A peine quelques heures après l’assassinat du Premier ministre Rafic Hariri, le bloc du 14 Mars pro-américain a lancé une campagne de désinformation et propagande à l'encontre des quatre haut-officiers libanais détenus dans l’enquête sur l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri en 2005, qui a constitué un coup dur pour la stabilité et la paix civile au Liban.
Le sang des victimes n’avait pas encore séché que l’onde de choc provoquée par l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri frappait déjà le Liban. Radicalisation du discours du bloc du 14 Mars pro-américain, accusations contre le pouvoir libanais et son tuteur syrien, exacerbation des sentiments confessionnels: tous les ingrédients sont réunis pour plonger le Liban, dans le chaos. Un chaos qui profite en premier et en dernier à l’entité sioniste. Des manifestations bien organisées ont sillonné les rues de la capitale, des groupes ont commencé à se former devant des mosquées sunnites, et une permanence de la branche libanaise du parti Baas au pouvoir en Syrie a même été attaquée et incendiée. Partout, la foule criait sa haine contre Damas et ses protégés libanais. Le coupable est déjà désigné. C’était le début de ce que le camp pro-américain avait appelé la Révolution des Cèdres, une révolution made in USA, avec pour principaux slogans, la vérité, la souveraineté et l’indépendance. Des slogans revues et corrigées par l’administration de Georges Bush junior et de ses faucons partisans d’un nouvel Moyen-Orient.
Jeudi 30 Avril 2009
http://www.almanar.com.lb/
Afghanistan/Pakistan : Le nouveau Viet Nam des USA et ses alliés, violents combats depuis plusieurs semaines, les pertes sionistes sont tres elevees
Ce même jour, une opération commando a eu lieu contre un blindé. La résistance a détruit un véhicule et 8 collabos terroristes occupant ce véhicule sur la route kaboul-kandahar près de Qatat. Cette attaque a été menée a l’aide d’une mine terrestre commandée a distance. La mine a été déclenchée au passage d’un convoi de jailani Khan, le chef de la police collabo de la province de Zabul. Nous n’avons pas d’information sur la santé du chef de la police qui avait été la principale cible de cette opération : rapporté par zabihullah Mujahid.
Ce même jour, a la même heure, en parallèle, les envahisseurs terroristes yankees ont été attaquées par la résistance de la liberté de l’Afghanistan dans la province de paktika khoshamand. Un tank a été détruit par une mine télécommandée avec tous son équipage terroristes. En colère, les terroristes de cette patrouille ont tiré dans toute les directions, deux personnes a moto ont été blessés par des tirs d’enragés rapporté par zabihullah Mujahid.
L’aéroport de kandahar a été bombardé par la résistance vers 1h45 de deux tirs de mortier. Ces tirs étaient destinés a une assemblé de terroristes yankees et canadiens. Les pertes n’ont pas été signalées ainsi que les dommages : rapporté par Qari Mohammad Yousuf.
Dans la soirée du 22 avril, un autre blindé de terroristes yankees a été détruit par la résistance. Le tank a été détruit dans la région de paktika par une mines terrestres, tous ses occupants terroristes yankees ont été tués dans l’attaque : rapporté par zabibhullah. Un autre véhicule a été détruit par l’explosion d’une mine télécommandée au passage d’une patrouille de collabos terroristes. 6 mercenaires afghans ont trouvé leur salut dans la destruction d’un camion de transport près de zabul : rapporté par Qari muhmmad yousuf.
Un convoi de trois véhicules des mercenaires afghans a été détruit par une embuscade de la résistance afghane. Ceci s’est passé dans la province de Wardak maidan. Dans l’attaque, des mercenaires collabos ont été tués et blessés : signalé par mujahid.
Un autre convoi de ravitaillement a été attaqué par la résistance de la liberté ce 22 avril a amanouallah dans la province de helmand. Dans l’attaque 5 véhicules ont été détruits et 9 mercenaires collabos ont trouvé la mort et 7 ont été blessés : rapporté par Youssuf.
http://antipropagandecom.blogspot.com/2009/04/les-terroristes-yankees-sont-jusquau.html