Guerre geo-economique au Maghreb : Bush-Sarkosy-Mohamed VI-Belkheir-Tewfik contre Zapatero-Front Polisario-Bouteflika ?
Affaire Samraoui : mise à jour du 20 novembre 2007
LE COLONEL MOHAMED SAMRAOUI, UNE MONNAIE D"ECHANGE POUR SARKOSY ET LE CLAN D"EXTREME DROITE PRO-ISRAELIEN A MADRID ?
M. Samraoui se trouve toujours en Espagne où il attend que le juge Moreno prenne une décision sur son cas. Pour rappel, le juge Moreno a demandé à la justice algérienne de lui fournir le dossier de M. Samraoui. Ce dossier doit lui parvenir avant le 2 décembre 2007 pour être en conformité avec la législation espagnole qui accorde un délai de 40 jours à la partie ayant émis le mandat d'arrêt. Il est cependant quasi-certain que ce dossier ne viendra pas, et que même s'il venait à être envoyé il ne contiendrait aucun élément concret permettant d'inculper M. Samraoui.
Nous diffuserons à partir d'aujourd'hui une série d'interventions de M. Samraoui sur RachadTV (http://fr.rachad.org/).
Enfin, Nous tenons aussi à exprimer nos sincères remerciements à toutes celles et ceux qui continuent de manifester leur soutien et leur solidarité à M. Samraoui.
Rachad, secrétariat
Les pertes des banques se comptent en millier de milliards
Le dollar américain et le système financier ont déjà explosés. Les discussions à propos de comment la crise systémique « arrive » ne devraient pas exister - la crise est déjà là. Le krach du système basé sur le dollar provoquera l’explosion du système financier international dans son ensemble. Dèjà, des débris de la planète éclatée volent dans tous les sens, comme des astéroïdes - mais seul un idiot pourrait prétendre que les astéroïdes « vont causer » l’explosion ! La planète a explosée ! Seul un idiot ou un menteur débattrait « d’une tendance allant vers une crise à venir ». La catastrophe est maintenant.
La brève qui suit représente l’un de ces éclats :
20 novembre 2007 (LPAC) - Selon les annonces de ces derniers jours - relatives à des pertes dues à la crise financière, de la part de grandes banques - l’énorme bulle de contrats dérivés financiers tenue par les banques, évaluée de 500 000 à 700 000 milliards de dollars, ajoutée aux « pertes à effet de levier » sur les actifs de crédit, constitue le nouvel épicentre des pertes - comme le LPAC et l’EIR l’avaient prévenu, avec par conséquent un krach de plusieurs milliers de milliards de dollars face à nous.
Dans le cas le plus notable, la compagnie géante de réassurance, Swiss Re, a reconnu avoir essuyé une perte d’un milliard de dollars, venant seulement de deux contrats de dérivés connus comme des « credit swaps ». Swiss Re a refusé de nommer l’autre partie, sans nul doute une banque, à l’adresse de laquelle ces deux contrats de dérivés étaient destinés, bien que Goldman Sachs soit soupçonnée.
Le 16 novembre, l’économiste en chef de Goldman Sachs pour les Etats-Unis, Jan Hatzius, a publié une estimation effrayante des dégâts dans le système bancaire. Il prévoit que les pertes directes pour les banques américaines au cours de l’année prochaine soient de 400 milliards de dollars (une estimation très similaire venait juste d’être produite par l’économiste en chef de la Deutschebank). En supposant simplement que la moitié de ces pertes soient en actifs fortement multipliés (où le taux de dollars empruntés dans l’argent utilisé pour acheter les actifs est de 10 pour 1), Hatzius prévoit que la baisse totale dans la capacité des banques à prêter soit de 2 000 milliards de dollars. A titre de comparaison, en 2006, selon la Réserve fédérale, les prêts totaux des banques américaines aux ménages et aux sociétés non financières étaient de 3 240 milliards de dollars. En déclarant beaucoup moins que la réalité, Hatzius appelle le résultat « une récession substantielle ».
Le lecteur devrait ne pas se laisser prendre au jeu de la folie collective des financiers, et s’armer de ce que Lyndon LaRouche a proposé comme alternative au système financier, d’ores et déjà anéanti.
http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article-breve.php3?id_article=3534
Sarkosy insulte encore les Musulmans, a defaut de ne pouvoir declencher une nouvelle guerre dans les banlieues : Pourquoi se rend-il au Maghreb ?
NDLR: Sarkosy l'a dit lui meme aux Etats-Unis, il est fier d'etre 'juif' et et il est fier de defendre israel... Defendre israel, c'est insulter les Musulmans et l'Islaam, declencher des emeutes dans les banlieues, superviser des attentats en Europe et au Maghreb... La France est aux mains de la frange la plus raciste et extremiste de la communaute juive qui nee peut supporter prendre des coups sans repondre. Provoquer les Musulmans est une strategie qui ne marche plus, le CRIF et Fachozy devraient le savoir, par contre se defouler sur Sarkosy le rend litteralement fou...
Apres tout ce n'est qu'un pantin 'aux mains des islamistes', et vous n'imaginez meme pas tout ce qu'il a fait pour les Musulmans, a l'insu de son plein gre bien evidemment !
Le Président dérape sur les musulmans, les médias se taisent
« Votre président a vraiment un problème avec les musulmans. Il ne les aime pas ». Le verdict de cet intellectuel marocain, on ne peut plus modéré et installé aux Etats-Unis, est sans appel. Le propos est grave et notre homme s’appuie sur l’excellent blog du journaliste Jean Quatremer qui couvre Bruxelles pour le quotidien Libération. Le 14 novembre dernier, ce dernier écrivait : « Selon mes sources, le chef de l’État s’est lancé dans un monologue confus d’une vingtaine de minutes, « dans un langage très dur, très familier, choquant pour tout dire », contre le « trop grand nombre de musulmans présents en Europe » et leurs difficultés d’intégration. Il a aussi décrit de façon apocalyptique le « choc de civilisation » qui oppose les musulmans à l’occident. Le tout, manifestement, pour justifier son opposition à l’adhésion de la Turquie à l’Union.
Selon Jean Quatremer, Nicolas Sarkozy aurait tenu ces propos devant les Premiers ministres suédois et irlandais qui « n’en sont toujours pas revenus » et qui, face à l’énormité du propos, « ne sont même pas sûrs de l’avoir bien compris, tant le discours était décousu et surtout hors de propos avec l’objet de ces rencontres, la préparation du Sommet de Lisbonne des 18 et 19 octobre ». Conclusion des deux hommes, selon Quatremer : non seulement Nicolas Sarkozy a un « sérieux problème avec les musulmans » mais en plus, il a « du mal à maîtriser ses nerfs ».
Passée plutôt inaperçue, cette information a fait bien des vagues sur la blogosphère comme s’en explique le journaliste dans un écrit mis en ligne le 16 novembre : « mon post sur « Sarkozy et les musulmans » (…) m’a valu pas mal d’insultes et même de menaces. (…) Je ne parle même pas des insultes racistes que j’ai dû censurer à tour de bras ». Depuis une semaine maintenant tant l’information faisant état du dérapage verbal de Nicolas Sarkozy à Bruxelles que les menaces proférées contre Jean Quatremer par des excités du Net sont consciencieusement passées sous silence par les grands médias français. Ceux-là même qui trouvent sans ambages de la place pour disserter sur les errements du président français face aux marins pêcheurs. Pathétique.
Sarkosy souhaite eliminer Bouteflika le plus rapidement possible !
NDLR: Selon plusieurs sources jugees tres fiables, Sarkosy prepare une nouvelle vague d'attentats au Maghreb, les sites petroliers, gaziers (de petite importance et les oleoducs courant vers l'Espagne et l'Italie sont vises, de violents accrochages Maroc-Algerie sont egalement au programme des operations sionistes depuis Paris).
Selon les sources, Sarkosy devrait egalement organiser un attentat contre sa propre personne, cet attentat sera impute aux groupes franco-americains controles par lui-meme et son ami Bush se faisant passer pour Al Qaeda au Maghreb. Plus de details dans les prochains jours !
Sarkosy pret a envoyer ses GIA en Iraq
La France prête à entraîner des membres des services de sécurité irakiens ?
Le 30 octobre 2007, Cédric Goubet, Chef de Cabinet du Président de la République, a assuré aux Amitiés franco-irakiennes que Nicolas Sarkozy a « pris connaissance avec attention des proposition » que l’association lui a soumis après la réunion de son bureau élargi, le 4 octobre dernier.
Ces propositions étaient les suivantes :
1. Accorder des visas et des titres de séjour aux réfugiés irakiens – en particulier aux francophones - jusqu'à la réunion des conditions leur permettant de retourner dans leur pays, comme cela a été le cas pour les Kurdes irakiens dans les années 80 et pour les réfugiés du Kosovo.
2. Renoncer au projet de former des policiers et des gendarmes irakiens en France ou à l’étranger, jusqu’au changement significatif de la situation.
3 . Interdire sous peine de sanctions aux sociétés de sécurité françaises d’intervenir en Irak.
4 . Interdire en application de la loi du 14 avril 2003 aux mercenaires français d’intervenir en Irak, y compris au sein de sociétés de sécurité étrangères.
5. Refuser toute participation de forces armées françaises en Irak, y compris dans le cadre de l’ONU, de l’OTAN ou de l’Union Européenne.
6. Reconnaître la Résistance nationale irakienne comme représentante légitime du peuple irakien, sans attendre que les Etats-Unis, qui négocient secrètement avec elle, en donnent le signal.
7. Oeuvrer pour l’organisation, à Paris, d’une « Conférence internationale pour la concorde et la paix en Irak », avec la participation de la Résistance irakienne.
L’association demandait également que ces mesures soient adoptées par l’Union européenne, et que des décisions soient prises pour que les troupes d’occupation se retirent d’Irak.
L’association des Amitiés franco-irakiennes se réunira fin novembre pour décider de la suite à donner à la réponse de Nicolas Sarkozy, notamment après avoir appris par une dépêche de l’agence de presse koweïtienne Kuna (4/11/07) que le « Président » irakien Jalal Talabani a déclaré le 3 novembre, après une réunion avec Jawad Al-Boulani, son « ministre » de l’Intérieur, que « la France est prête à entraîner des membres des services de sécurité irakiens ».
Cet accord, s’il est confirmé, rendrait la France complice des exactions commises par les escadrons de la mort irakiens.
Paris, le 7 novembre 2007
Contact AFI : Gilles Munier, Secrétaire général - 06 19 74 45 99 – gilmun@club-internet.fr
La bataille de Fallouja, ou la défaite américaine en Irak
La bataille de Fallouja, ou la défaite américaine en Irak
Synthese telechargeable en Arabe ci-dessus (format pdf):
ftp://ia341240.us.archive.org/2/items/mansour_fallujah/1.JPG
ftp://ia341240.us.archive.org/2/items/mansour_fallujah/14.pdf
Bonne lecture, le livre sera traduit en anglais tres bientot.
Bonne lecture, le livre sera traduit en anglais tres bientot.
L'apocalypse selon Tel Aviv, Londres et Washington
LE « GRAND JEU » BRITANNIQUE MÈNE À LA GUERRE
A aucun autre moment depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, on n’avait vu autant de régions du monde sombrer dans le chaos, la guerre asymétrique et la désintégration économique. Sur fond d’effondrement du système financier mondial, ces conflits apparemment isolés posent la menace grandissante d’une troisième guerre mondiale, cette fois-ci asymétrique.
Tout comme l’assassinat de l’Archiduc François-Ferdinand à Sarajevo en 1914 servit de détonateur à la Première Guerre mondiale, l’un quelconque de ces foyers de crise pourrait provoquer une conflagration.
La région frontalière entre le Pakistan et l’Afghanistan est au bord de l’explosion, suite à la « guerre au terrorisme » menée par les Etats-Unis et l’OTAN, créant des conditions d’instabilité dans les deux pays (cf. ci-dessous). En même temps, l’Afghanistan est devenu un véritable narco-Etat, les « seigneurs de l’opium » à l’oeuvre dans tout le pays fournissant entre 75 et 90 % de la consommation mondiale d’héroïne.
Le constat est semblable pour toute la région de la Corne d’Afrique. L’instabilité du Soudan gagnerait automatiquement l’Egypte. Le 5 novembre, le Groupe de crise international a publié une déclaration, avertissant que l’Ethiopie et l’Erytrée sont au bord d’une véritable guerre, bien pire que le conflit qui ensanglanta la région en 1998-2000. Les deux pays sont engagés dans une guerre interposée en Somalie, et depuis fin septembre, l’Ethiopie menace de rompre le Pacte d’Alger qui mit fin à la guerre en instaurant une commission frontalière.
Dans le Caucase, le président géorgien Mikhail Saakashvili a déclaré un état d’urgence de quinze jours pour faire taire les protestations, de plus en plus violentes, contre son gouvernement. Il reproche aux Russes de fomenter les manifestations, provoquant un regain de tension entre Tiflis et Moscou, qui risque de relancer d’autres insurrections séparatistes dans la région, entretenues depuis longtemps par des combattants étrangers, souvent recrutés en Grande-Bretagne.
La faction de Dick Cheney à la Maison Blanche continue de mobiliser pour des frappes militaires américaines contre l’Iran, ce qui ne manquerait pas de provoquer une explosion régionale et, probablement, des guerres de religion.
http://www.solidariteetprogres.org/spip/article-imprim.php3?id_article=3505
A aucun autre moment depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, on n’avait vu autant de régions du monde sombrer dans le chaos, la guerre asymétrique et la désintégration économique. Sur fond d’effondrement du système financier mondial, ces conflits apparemment isolés posent la menace grandissante d’une troisième guerre mondiale, cette fois-ci asymétrique.
Tout comme l’assassinat de l’Archiduc François-Ferdinand à Sarajevo en 1914 servit de détonateur à la Première Guerre mondiale, l’un quelconque de ces foyers de crise pourrait provoquer une conflagration.
Toutefois, hier comme aujourd’hui, la vraie cause du conflit se trouve dans les machinations géopolitiques de l’empire britannique. Il existe cependant une différence fondamentale par rapport à cette époque : aujourd’hui, les Etats-Unis sont beaucoup plus sous l’mprise des maîtres du jeu géopolitiques et de l’idéologie libérale anglo-hollandaise qu’à la veille de la Première Guerre mondiale. A travers des agents comme Bernard Lewis, George Shultz et tout l’appareil néo-conservateur, le gouvernement Bush-Cheney est devenu l’instrument de l’autodestruction des Etats-Unis et de l’abolition de l’Etat-nation au profit de l’Empire.
Des sources au sein de la communauté du renseignement américain ont qualifié de « chaos géré » cette stratégie britannique consistant à plonger de plus en plus de nations dans l’ingouvernabilité, sans aller jusqu’à provoquer l’éclatement d’une guerre généralisée. En même temps, à la faveur de la faiblesse du dollar, les cartels de l’énergie et des matières premières renforcent leur emprise.
Des sources au sein de la communauté du renseignement américain ont qualifié de « chaos géré » cette stratégie britannique consistant à plonger de plus en plus de nations dans l’ingouvernabilité, sans aller jusqu’à provoquer l’éclatement d’une guerre généralisée. En même temps, à la faveur de la faiblesse du dollar, les cartels de l’énergie et des matières premières renforcent leur emprise.
Cependant, de tels jeux d’équilibre mènent souvent à la guerre.
Depuis la Corne de l’Afrique jusqu’au Caucase, en passant par le Proche-Orient et l’Asie centrale, on a affaire à des crises « locales » à une échelle sans précédent :
Une guerre entre la Turquie et l’Irak est attisée par les attaques militaires contre l’armée turque, menées par les Kurdes du PKK depuis leurs bases situées dans le nord de l’Irak, à la frontière turque. L’Armée turque et le parti au pouvoir sont convaincus que les opérations du PKK sont protégées et soutenues par les Etats-Unis et l’OTAN, du fait que les insurgés kurdes conduisent également des attaques contre l’Iran, pays prioritaire sur l’agenda Bush-Cheney pour un « changement de régime ».
Depuis la Corne de l’Afrique jusqu’au Caucase, en passant par le Proche-Orient et l’Asie centrale, on a affaire à des crises « locales » à une échelle sans précédent :
Une guerre entre la Turquie et l’Irak est attisée par les attaques militaires contre l’armée turque, menées par les Kurdes du PKK depuis leurs bases situées dans le nord de l’Irak, à la frontière turque. L’Armée turque et le parti au pouvoir sont convaincus que les opérations du PKK sont protégées et soutenues par les Etats-Unis et l’OTAN, du fait que les insurgés kurdes conduisent également des attaques contre l’Iran, pays prioritaire sur l’agenda Bush-Cheney pour un « changement de régime ».
La région frontalière entre le Pakistan et l’Afghanistan est au bord de l’explosion, suite à la « guerre au terrorisme » menée par les Etats-Unis et l’OTAN, créant des conditions d’instabilité dans les deux pays (cf. ci-dessous). En même temps, l’Afghanistan est devenu un véritable narco-Etat, les « seigneurs de l’opium » à l’oeuvre dans tout le pays fournissant entre 75 et 90 % de la consommation mondiale d’héroïne.
Le constat est semblable pour toute la région de la Corne d’Afrique. L’instabilité du Soudan gagnerait automatiquement l’Egypte. Le 5 novembre, le Groupe de crise international a publié une déclaration, avertissant que l’Ethiopie et l’Erytrée sont au bord d’une véritable guerre, bien pire que le conflit qui ensanglanta la région en 1998-2000. Les deux pays sont engagés dans une guerre interposée en Somalie, et depuis fin septembre, l’Ethiopie menace de rompre le Pacte d’Alger qui mit fin à la guerre en instaurant une commission frontalière.
Dans le Caucase, le président géorgien Mikhail Saakashvili a déclaré un état d’urgence de quinze jours pour faire taire les protestations, de plus en plus violentes, contre son gouvernement. Il reproche aux Russes de fomenter les manifestations, provoquant un regain de tension entre Tiflis et Moscou, qui risque de relancer d’autres insurrections séparatistes dans la région, entretenues depuis longtemps par des combattants étrangers, souvent recrutés en Grande-Bretagne.
La faction de Dick Cheney à la Maison Blanche continue de mobiliser pour des frappes militaires américaines contre l’Iran, ce qui ne manquerait pas de provoquer une explosion régionale et, probablement, des guerres de religion.
Comment la Resistance Islamique d'Iraq a defait l'occupant
LIVRE: LA BATAILLE DE FALLOUJA OU LA DEFAITE AMERICAINE EN IRAK
Livre "La bataille de Fallouja, ou la défaite américaine en Irak !" Ahmed Mansour
Livre "La bataille de Fallouja, ou la défaite américaine en Irak !" Ahmed Mansour
Il est de plus en plus fréquent que des journalistes et des grands reporters arabes qui suivent des mouvements de résistance sur le terrain ou couvrent des guerres et des batailles pour leurs journaux ou leurs chaînes télévisées, couronnent leur travail de terrain par un livre. C'est le cas récemment de Ahmed Mansour, une vedette de la chaîne Al Jazeera, qui s'est révélé à cette occasion, davantage un écrivain et un conteur de talent, au style fluide et attachant, qu'un simple journaliste en mission de reportage (1).
Ahmed Mansour avait couvert les deux batailles meurtrières de Fallouja, en avril et novembre 2004, et vient d'en tirer un pavé de 448 pages (en arabe), avec un titre prémonitoire sur le sort de l'aventure étasunienne en Irak : La bataille de Fallouja, ou la défaite américaine en Irak (2) ! Les millions de téléspectateurs arabes et arabophones qui ont suivi les reportages quotidiens de Ahmed Mansour à la télévision Al Jazeera, au cours des deux batailles de Fallouja, se souviendront longtemps de cet homme et se demanderont toujours, qui, du courage physique, du verbe et de la verve ou du professionnalisme l'emportait chez cet homme. Il faut croire qu'il y a chez lui tout cela à la fois, avec, pour ceux qui connaissent sa grande émission hebdomadaire Bila-Houdoud (Sans Frontières), une culture encyclopédique, une aisance et une maîtrise des sujets débattus et même un brin de perfectionnisme dans la manière dont il dirige les débats. On ne compte pas ses prestigieux invités, notamment le Général Mark Kimmit, porte parole des forces d'occupation en Irak, qui en ont fait les frais.
Ce même Général, qui ne s'est pas gêné de s'étaler sur « les allégations mensongères et le parti pris » du reporter d'Al Jazeera, et exigé même sa sortie et celle de son équipe de Fallouja, pour ordonner un cesse-le- feu, sera en effet l'invité de Ahmed Mansour dans son émission Bila Houdoud du 26 avril 2006, soit deux ans après la première bataille de Fallouja. Le face à face, souhaité par le Général et ses services de propagande et destiné à rehausser le prestige des forces d'occupation et celui de leur porte-parole, tourna au net avantage du journaliste. Avant de passer au studio le général Kimmit tint à rendre hommage à son adversaire dans ces termes « Je voudrais vous dire quelque chose avant de commencer l'entretien. Je suis toujours en désaccord avec vous et je l'étais toujours avec tous les reportages que vous faisiez lors de la bataille de Fallouja, mais je vous prie de me permettre de vous exprimer mon profond respect et ma considération pour votre personne et pour votre courage, surtout lors de votre présence à Fallouja ».
« La bataille de Fallouja » est avant tout le récit empoignant de la tragédie, vécue à chaque instant des semaines qu'ont duré les deux batailles de Fallouja, par une population civile, soumise aux horreurs qui lui furent infligées par la plus puissante armée du monde mais si dédaigneuse et méprisante des simples lois de la guerre. C'est aussi le récit, non moins saisissant, du courage, du mépris de la mort et de la bravoure de quelques centaines de résistants, légèrement armés, qui ont arrêté net l'avancée des divisions blindées américaines lors de la première bataille et leur ont interdit l'accès et l'occupation de leur ville. La deuxième bataille de Fallouja, au mois de novembre 2004, ne fut en fait qu'une revanche des vaincus de la première et où tout leur semblait permis. Les chapitres du livre relatant les faits d'armes de ces deux batailles et la volonté de l'occupant d'écraser la ville, mériteraient de s'intituler « Delenda Fallouja », pour reprendre le leitmotiv de Caton le censeur (234 av.J.C.) à propos de Carthage, ou aussi, « il faut brûler Fallouja », tant les militaires américains en « brûlaient » de désir.
N'avaient-ils pas d'ailleurs bombardé la ville au phosphore blanc, prétendant que cela leur servait surtout à éclairer le champ de bataille, alors que dans un magazine militaire interne, ils parlent de "shake and bake missions": « secouer et rôtir »! Le livre, « La bataille de Fallouja » est aussi l'histoire de la destruction systématique d'un pays, de sa société, de son Etat national, de son histoire, de son patrimoine culturel qui se trouve être aussi celui de l'humanité, mais aussi de son industrie et des moyens matériels de sa reconstruction. On a beaucoup parlé et écrit sur le pillage du pétrole et du patrimoine culturel de l'Irak, tant cela avait commencé dès les premières heures de l'occupation et sous l'œil des caméras de télévision. Mais que savons-nous de la destruction méthodique et planifiée du tissu industriel de l'Irak, du démantèlement de ses usines et du pillage de ses équipements modernes, achetés à grands frais au cours des années qui ont précédé la guerre, stockés dans des magasins s'étalant sur des dizaines de milliers d'hectares et destinés à moderniser l'industrie et l'armée irakiennes ? Dès les premières heures de l'occupation, des équipes spécialisées, munies de moyens sophistiqués, s'en sont occupées. A l'aide de tronçonneuses géantes, elles ont réduit en amas de ferraille ce qui allait équiper l'Irak de demain.
Tout passait : des avions, aux équipements informatiques, aux pièces de rechange de l'industrie pétrolière, aux laboratoires dans tous les domaines de la recherche scientifique, vendu à 1, dollar $ la tonne, par des sergents de l'armée américaine à des clients inconnus et transportés hors du pays par une noria incessante de camions géants ! Ce livre est aussi le récit de la descente aux enfers de l'administration de la superpuissance américaine, imbue de son droit naturel à imposer sa loi au monde et à défier cette loi simple de la nature qui veut qu'un peuple agressé, si faible soit-il, trouvera toujours dans les profondeurs de son être, de son histoire et de sa volonté de survivre, les moyens de résister à un occupant, quelque soit la puissance de feu de son armée et la capacité de corruption de sa monnaie. Merci à Ahmed Mansour d'avoir écrit ce livre pour rappeler aux hommes, si souvent distraits ou oublieux, qu'en ce début de siècle, une armée américaine est venue mettre « A mort l'Irak (3) » au prétexte fallacieux de libérer son peuple !
1) L'auteur, prolifique, a écrit dix huit livres, en arabe, dont :
Sous le feu en Afghanistan
Une femme d'Afghanistan
L'infiltration israélienne dans le monde arabe
Sous le feu à Sarajevo
Le récit de la chute de Bagdad
2) La bataille de Fallouja, ou la défaite américaine en Irak (Arabe) 448 pages Editions: Dar Al Kitab Al Arabi, Beyrouth: Liban, 2007.
3)” A mort l'Irak” : titre du livre de Denis Gorteau, Evelinédition, Montigny, août 2006 et dont une interview de l'auteur paraîtra bientôt sur le site.
Par Ahmed Manai
http://www.tunisitri.net
2 comments:
(pages 80 et 81)
Le paparazzo, le Coran et l’américain
…Pour aller à Samarra, je m’étais fait accompagner du jeune Souheib Samarraï, un confrère originaire de cette ville, qui travaillait au siège d’Al- Jazeera, à Bagdad. Au bout de deux jours passés ensemble, nous avons sympathisé et il m’a raconté son histoire, que je relaterai ici brièvement.
Souheib s’était transformé, comme nombre de jeunes irakiens de son âge, en une sorte de « paparazzo » amateur, mais sans la notoriété, ni les avantages matériels liés à cette activité en Europe. En Irak, les paparazzi, à l’instar de Souheib ne disposent que d’un matériel très rudimentaire : tout au plus, une petite caméra vidéo ou un banal appareil photographique. Ils parcourent les rues de Bagdad, ou bien ils vont de ville en ville, à l’affût du scoop: des photos des forces d’occupation en position périlleuse ou d’une action armée miraculeuse coïncidant avec leur passage dans les parages. Puis ils courent proposer leurs photos aux rédactions des chaînes télévisées ou des agences de presse, qui pullulent, en Irak, mais qui ne disposent pas de suffisamment de personnel pour couvrir tous les événements survenant dans le pays.
Souheib a eu la chance, comme nombre de ses camarades, de vendre quelques photos à la chaîne Al Jazeera, à Bagdad et il s’était montré si entreprenant que des confrères lui ont proposé de travailler pour eux à la pièce. Alors, muni de sa petite caméra, il traînait dans les rues de Bagdad à longueur de journée. Puis il choisit, par la suite, de parcourir la route Bagdad- Samarra- Mossoul, devenue la « route des embuscades », à la recherche d’une opération militaire ou d’un accrochage des troupes américaines avec la résistance, susceptible d’être filmé, pour en vendre le produit à Al Jazzera. Les prix varient, généralement (selon la qualité du film, mais surtout selon l’importance de l’événement). C’était un chasseur à qui il arrivait parfois de ramener du gibier, mais surtout, de rentrer bredouille à la maison…
Un jour, il tomba nez-à-nez avec la fin d’une embuscade tendue par des éléments de la résistance irakienne aux troupes américaines. Ces dernières finissaient de ramasser leurs morts et leurs blessés au moment où Souheib arrivait sur les lieux : il se mit le plus naturellement du monde à filmer la scène. Il était tout heureux de pouvoir enfin vendre quelque chose de consistant à Al Jazeera, et il pensait peut-être au montant qu’il pourrait en escompter. Mais, à peine à l’œuvre, les soldats américains l’aperçurent et l’appréhendèrent, l’accusant de connivence avec la résistance. Sinon, comment pouvait-il être là au moment opportun, s’il n’avait pas été mis au courant de l’opération ? Quand il les informa qu’il travaillait pour la chaîne Al Jazzera, ils se convainquirent que cette chaîne télévisée était, elle aussi, de mèche avec la résistance, qu’elle était au courant à l’avance de ses opérations et qu’elle envoyait ses caméramans les filmer. De nombreux responsables militaires américains, tels que le Général Ricardo Sanchez et son chef, John Abizaïd, avaient déclaré plusieurs fois que les caméramans d’Al Jazzera étaient toujours présents sur les lieux des embuscades et que la chaîne savait à l’avance où et quand elles se produiraient. En réalité, c’était tout simplement le fait du hasard, comme dans le cas de Souheib, ou, le plus souvent, c’étaient les hommes de la résistance qui filmaient leurs actions et les passaient gratuitement à Al Jazzeera et à d’autres chaînes.
Le cas de Souheib, ainsi que de nombreux autres, du même genre, ont été utilisés à fond dans la propagande contre Al Jazeera.
Après son arrestation, Souheib fut conduit à la prison tristement célèbre d’Abu Ghraïb. Il fut soumis à de nombreux interrogatoires, mais aucune charge n’a été retenue contre lui. Il demeura néanmoins en prison, comme des milliers d’autres irakiens détenus sans le moindre chef d’accusation.
Du fond de sa cellule, Souheib psalmodiait tous les soirs le Coran à haute voix. Il avait une voix suave et généreuse, qui faisait le bonheur de ses codétenus et de ses voisins des autres cellules. Un matin, un haut responsable américain, chargé des interrogatoires, lui rend visite et lui dit : « Je t’ai entendu chanter quelque chose ; tu as une belle voix et je voudrais t’écouter chanter ». Souheib lui répondit que ce n’était pas des chansons, mais des versets du Saint Coran ! ». L’Américain garda le silence un instant puis lui demanda : « Alors, c’est ça, le Coran » ? « Oui ! », lui répondit Souheib. « Peux-tu m’en réciter quelques passages ? », lui demanda l’officier américain.
Souheib lui répondit que oui, et se mit à psalmodier quelques versets. Au bout d’un certain moment, l’américain, qui ne comprenait pas l’arabe et se faisait aider par l’interprète, était tellement ému qu’il se mit à sangloter. Souheib s’arrêta alors de psalmodier, mais l’Américain lui fit signe de continuer. Quand il s’arrêta enfin, au bout d’un certain moment, l’Américain cessa de pleurer, puis lui demanda pourquoi il était là. Souheib lui raconta son histoire. L’Américain lui dit alors qu’il allait tout faire afin de le sortir de là, quoique cela lui paraisse difficile et demande beaucoup de temps. Il lui demanda si, en attendant, il pouvait venir chaque jour l’écouter psalmodier quelques versets du Coran à son intention ?
Souheib raconte que cet Américain revint, à plusieurs reprises, auprès de lui et qu’à chaque fois, c’était la même scène : Souheib psalmodiait le Coran et l’Américain sanglotait, après quoi il s’en allait…
Un jour, il est venu me dire : « ça y est tu vas être libéré : j’ai réussi à régler ton dossier ! ». C’était au bout de soixante-dix-sept jours d’incarcération, à Abou Ghraïb…
Traduit de l’arabe par Ahmed Manai :
www.tunisitri.net/ ET NON
www.tunisitri.com/ comme vous l'avez écrit
A.M.
Idriss Deby (DGSE) sera depose dans quelques jours. Les militaires francais seront-ils expulses du Tchad avec l'Eufor ?
La France ne veut pas fâcher le Tchad
Le bazar provoqué par l’Arche de Zoé gêne les militaires français, qui sont en train de renforcer leur présence dans ce pays, décidément très central en Afrique
La controverse née de la malencontreuse opération humanitaire de L’Arche de Zoé au Tchad embarrasse les militaires français. Non seulement, ils ont prêté main forte, sur place, aux responsables de cette association, sans savoir, plaident-ils aujourd’hui, quels étaient les buts réels de leur séjour au Tchad. Mais l’utilisation politique de cet incident par le président tchadien Idriss Déby, très contesté dans son pays, a fait monter la pression. Et les enchères : son indispensable appui à la future opération militaire européenne « Eufor Tchad-Centrafrique », destinée à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire aux réfugiés du Darfour, lui vaut bien des attentions.
Nicolas Sarkozy et son ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, se sont beaucoup démenés, ces dernières semaines, pour amadouer le président tchadien sur la nécessité de ce déploiement militaire européen. Les Français ont arraché, le 25 septembre, le vote à l’ONU de la résolution 1778 autorisant cette force multinationale, après avoir bataillé pour convaincre également les autres pays européens, très réticents a priori.
Depuis le 15 octobre, cette force militaire en cours de création (3000 soldats dont 1500 Français), dont le quartier général est situé à Paris, est dirigée par un irlandais, le général Patrick Nash, secondé par le général français Jean-Philippe Ganascia. Ensemble, les deux gradés ont effectué leur première visite au Tchad du 21 au 24 octobre. Occupés à ces intenses préparatifs diplomatico-militaires, les responsables Français n’ont peut-être pas suivi de très près tout ce que pouvait mijoter l’association L’Arche de Zoé. Le ministre de la défense, Hervé Morin, a d’ailleurs ordonné une enquête à ce sujet.
La courte visite éclair de Nicolas Sarkozy au Tchad dimanche avait donc une arrière-pensée militaire autant qu’un objectif humanitaire. Surtout ne pas froisser le président Déby. L’armée française est d’autant plus soucieuse de réussir cette opération « Eufor » au Tchad qu’elle permet de justifier la présence récurrente des soldats français dans ce pays, jugé stratégique. Un peu plus d’un millier de militaires tricolores y séjournent de manière permanente depuis 1986, date de déclenchement de l’Opération Epervier (destinée à contrer les intrusions libyennes), entre la base de N’Djamena, dite « sergent chef Adji Kosseï », le camp Croci d’Abéché et celui de Faya-Largeau.
Pour les état-majors français, la position centrale de N’Djamena sur le continent africain est particulièrement adaptée aux opérations militaires dans la région sub-saharienne. Mieux que la base de Djibouti et celle du Gabon. Les six avions de chasse, les trois avions de transport et le ravitailleur, parqués dans la capitale tchadienne, sont toujours prêts à décoller pour des missions aussi discrètes que variées : surveillance de la frontière Soudan-Tchad, envois de commandos lors des récentes attaques de rebelles en République Centrafricaine, appuis aux forces africaines et onusiennes dépêchées en République démocratique du Congo. Le chef d’état-major de l’armée de l’air, le général Abrial, a confié récemment à quelques parlementaires que cette base permettait d’offrir à la France une « capacité inégalable de rayonnement » dans la région. Voilà pourquoi il ne faut pas trop se fâcher avec le Tchad…
Al-Qassam dans une nouvelle position de force
Leurs opérations héroïques de qualité ont obligé l’armée sioniste à reconnaître la force ascendante des brigades du martyr Ezzidine Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas. Elle a reconnu sa difficulté à avancer sur les territoires de la bande de Gaza.
La plus importante de ses opérations est « la chasse des reptiles ». En trois étapes, les brigades d’Al-Qassam ont montré que leurs opérations ne se limitent pas uniquement à faire face aux incursions de l’ennemi, mais également à faire des opérations offensives, précise leur porte-parole Abou Obeyda. « L’ennemi doit s’attendre à davantage de coups ».
Tendre des embuscades, avoir des accrochages directs avec les forces spéciales de l’armée de l’occupation, utiliser des armes lourdes pour chasser les hélicoptères Apache sont, entre autres, des procédés utilisés par Al-Qassam.
Les embuscades
Parmi les opérations de qualité, on peut compter l’attaque effectuée en Cisjordanie contre la colonie israélienne d’Ariel qui a visé un soldat et des colons. Il y a aussi l’attaque contre une embarcation sioniste, devant la plage de Rafah.
Des soldats de l’occupation israélienne ont été témoins de l’efficacité des brigades d’Al-Qassam. Le commentateur militaire sioniste René Daniel a rapporté le témoignage de ses soldats, qui disent qu’ils « confrontent des cellules bien organisées qui combattent de façon bien développée, ressemblant à celle de Hezbollah. Elles mettent en place des embuscades dangereuses. Et désormais, quand elles tirent, elles atteignent leurs objectifs ». Et désormais, les soldats de l’occupation « ne vont plus en incursions d’agréments dans la bande de Gaza ». « Ils confrontent à l'avenir une vraie armée régulière et bien entraînée ».
Dans le même contexte, les médias israéliens ont rapporté du général Tamir, chef de brigade à Gaza, sa confirmation que le Hamas installe dans la Bande une armée dont les capacités s’améliorent de jour en jour.
Le journal hébreu Maariv dit que le mouvement du Hamas n’a plus peur de l’entité sioniste.
Une défaillance catastrophique des renseignements
Le journal hébreu Yadiot Ahranot a rapporté de sources sécuritaires sionistes leur confirmation que l’opération d’attaque contre la colonie Ariel a été « la défaillance catastrophique des renseignements la plus grande de ce siècle. Jamais vue ailleurs », selon le journal.
La force balistique de la branche militaire du Hamas est aussi en constante progression. Pour la première fois, une fusée de moyenne portée a été récemment lancée contre la colonie de Ntifut au sud de la Palestine. Une escalade très dangereuse pour l’armée de l’occupation israélienne.
Tous ces développements montrent que ces brigades ont changé les règles du jeu dans leur conflit avec l’Entité sioniste. Désormais, l’occupant doit beaucoup donner, en hommes et en matériels, s’il pense envahir la bande de Gaza.
En effet, les récents rapports de l’armée de l'occupation israélienne avouent la difficulté de ces soldats à avancer plus d’un kilomètre dans la Bande.
Depuis que le Hamas y a mis fin à l’anarchie sécuritaire, le Hamas « devient plus fort, car il possède dorénavant des institutions sécuritaires, une armée et une résistance », selon le Dr. Mahmoud Al-Zahhar, leader dans le mouvement de la résistance islamique Hamas.
Algerie occupee: Relance des plaintes pour genocide contre Paris et Alger a Madrid
Il est notoire que le régime d'Alger qui utilise Interpol pour harceler ses opposants ne donne jamais suite aux demandes des juges saisis des dossiers d'extradition pour la simple raison que les accusations relèvent systématiquement de la fabulation.A la veille de la commémoration de la glorieuse révolution algérienne, Rachad se félicite de cette libération et constate que les manoeuvres de la part du pouvoir d'Alger ne font en définitive que le discréditer encore plus.
Arrestation de Mohamed Samraoui : Sarkosy et le general de la DST Mohamed Mediene dit Tewfik font connaissance avec la justice internationale
L’ancien lieutenant-colonel de l’armée algérienne, Mohamed Samraoui, croupit depuis le 22 octobre dans une prison espagnole dans l’attente de son éventuelle extradition vers l’Algérie. Objet d’un mandat d’arrêt international émis depuis un mois par la justice algérienne, Samraoui a été arrêté dans la région de Malaga (dans le sud de l’Espagne) alors qu’il participait à une conférence organisée par la Fédération internationale de jeux d’échecs par correspondance (FIJEC). Bien que les accusations portées contre lui soient de nature grave - il est recherché pour « désertion, dénonciations calomnieuses contre l’armée et terrorisme » -, l’ex-officier du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) encourt peu de risques d’être livré à la justice de son pays. C’est que Mohamed Samraoui, auteur du livre Chroniques des années de sang (Paris, Denoël 2003), bénéficie depuis 1996 du statut de réfugié politique, délivré par les autorités allemandes. Si son extradition n’est pas donc envisageable dans l’immédiat, le moins que l’on puisse dire est que cette affaire tombe on ne peut plus mal. Alors que les relations entre Alger et Madrid n’ont jamais été aussi tendues en raison de profondes divergences sur des contrats énergétiques, ce dossier risque de les rendre encore plus exécrables. Comment cet homme dont on dit cultivé et avisé, comment ce pourfendeur des généraux algériens qu’il accuse d’avoir créé, manipulé et instrumentalisé les groupes islamiques armés (GIA) est-il tombé dans le panneau ? Amateur de jeux d’échecs, Mohamed Samraoui est un habitué des voyages à travers l’Europe pour le compte de la fédération dont il est président. Sa chambre à l’hôtel Alay, à Balmadena (sur la Costa Del Sol), un charmant quatre étoiles avec court de tennis, piscine et bar à tapas, étant réservée depuis plusieurs semaines, Mohamed Samraoui se rend donc au cours de la deuxième quinzaine d’octobre dans la région de Malaga où sa fédération avait convenu d’organiser un tournoi. Son séjour se déroule en toute quiétude jusqu’à ce lundi 22 octobre vers 11h30. Alors que Samraoui assistait à une conférence, deux officiers de la police judiciaire espagnole demandent à lui parler. Munis d’un mandat d’arrêt délivré par le juge d’instruction Ismael Moreno de l’Audience nationale (le tribunal compétent pour juger les crimes internationaux), ils procèdent à son arrestation en vertu d’un mandat d’arrêt international diffusé via Interpol.
Un dossier compliqué
L’intéressé n’oppose aucune résistance, c’est juste s’il demande aux policiers qu’on lui permette de remettre un cadeau à un ami. Aussitôt conduit vers le commissariat de Torremolinos (une petite commune située à 18 km de la ville de Malaga), il sera placé en garde à vue. Tandis qu’un avocat lui est commis d’office, Samraoui est autorisé à entrer en contact avec sa femme, restée en Allemagne. Une fois la garde à vue légale (en Espagne elle dure 3 jours) achevée, le prévenu sera transféré vers le centre de détention de Soto Del Real, près de Madrid. Il faudra attendre le 27 octobre pour que l’information soit rendue publique. La presse espagnole, un quotidien algérien (Le Jour d’Algérie) ainsi que le site internet « rue89 » évoquent l’arrestation et l’incarcération. On s’en doute, cette affaire met les autorités espagnoles dans l’embarras. Aux organisations de défense des droits de l’homme qui s’émeuvent du sort réservé à l’ex-dissident, le ministère espagnol des Affaires étrangères assure que l’Espagne est un Etat de droit. Alerté, le ministre de l’Intérieur, Alfredo Pérez Rubalcaba, jusque-là tenu dans l’ignorance des faits, entreprend les démarches nécessaires pour améliorer les conditions de détention de Samraoui. Celui-ci sera alors transféré vers le quartier VIP (Very Important Person) alors qu’un nouvel avocat, maître Manuel Ollé Sesé, sera chargé d’assurer sa défense. Juriste spécialisé en droit pénal, avocat au barreau de Madrid, celui-ci est connu dans le milieu associatif en tant que président de l’Association de défense des droits de l’homme d’Espagne (APDHE). Selon une source proche de l’affaire, Manuel Ollé Sesé devrait incessamment introduire une demande de remise en liberté provisoire au bénéfice de Mohamed Samraoui. Bien que le dossier de ce dernier soit compliqué en raison de ses implications politiques, les proches de Samraoui ont bon espoir que celui-ci bénéficie, au moins, d’un contrôle judiciaire. Mais en cas de refus, l’ancien officier devrait s’armer de patience, car les démarches relatives à son extradition prendront du temps avant que le dossier n’atterrisse sur le bureau du juge d’instruction. Le département algérien de la justice n’ayant pas une bonne réputation en ce qui concerne le traitement et le suivi des dossiers d’extradition (voir Les ratés d’une extradition, El Watan du 20 septembre), l’attente risque ainsi d’être longue. Alger, Berlin, Paris puis Madrid, le parcours de Mohamed Samraoui, 54 ans, aura été celui d’un officier supérieur (il aurait été n°2 du contre-espionnage) dont la carrière, plutôt brillante du reste, finira par se disloquer sur l’autel de la « sale guerre ». Ancien haut responsable du DRS, le contre-espionnage algérien, entre mars 1990 et juillet 1992, cet ingénieur en biochimie fut au cœur de cette tumultueuse époque qui a vu la montée du mouvement intégriste, la rupture du processus électoral, l’assassinat du président Mohamed Boudiaf ainsi que le début du terrorisme islamiste. Responsable du service de recherches et d’analyses à la direction du contre-espionnage, il prendra une large part dans la lutte contre les réseaux terroristes avant qu’il ne décide de s’éloigner du pays. Muté à l’étranger, il est désigné attaché militaire et chef du bureau de la sécurité à l’ambassade en Allemagne, avec le grade de commandant, puis de lieutenant-colonel. En Allemagne, l’officier ne chôme guère dans la mesure où cette contrée d’Europe avait la réputation d’être une terre d’asile pour les islamistes de tout acabit. N’est-ce pas à Bonn que Rabah Kebir avait trouvé refuge avant de devenir l’un des principaux dirigeants et pourvoyeurs en armes, en munitions et en argent des maquis terroristes en Algérie ? Le séjour de Samraoui en Allemagne se déroule sans encombre jusqu’au mois de septembre 1995, date à laquelle un grave différend l’oppose à ses supérieurs. Numéro deux du DRS, le défunt Smaïn Lamari lui aurait ainsi demandé de liquider deux responsables du FIS à Bonn, Rabah Kebir et Abdelkader Sahraoui, mais Samraoui refuse d’exécuter la décision. Info ou intox, toujours est-il que notre lieutenant-colonel est rappelé à Alger. Ayant consommé définitivement sa rupture avec les services secrets, il quitte l’Algérie en février 1996 pour la Belgique avant de regagner, peu de temps après, l’Allemagne où il obtient le statut de réfugié politique.
Octobre, mois du déballage
Jusqu’à l’année 2003, seuls les services algériens, les services allemands de l’immigration ainsi que quelques voisins de palier connaissaient le nom de Mohamed Samraoui. La mode étant au déballage médiatique sur les affres de la guerre civile en Algérie, l’homme défrayera la chronique dès l’été 2003 avec la sortie en France de son livre coup-de-poing Chronique des années de sang : Algérie, comment les services ont manipulé les groupes islamistes. Tout est dans le titre. Samraoui règle ses comptes avec les responsables militaires en racontant sa version de la guerre. Sa thèse ? Un poil identique à celle d’un autre ex-militaire, Habib Souaïdia, auteur du désormais classique La sale guerre. Pour Mohamed Samraoui, les groupes islamistes ont été instrumentalisés par les services secrets algériens bien avant et longtemps après l’interruption du processus électoral de janvier 1992 de manière à terroriser le peuple et présenter l’armée comme le seul recours pour sauver le pays. Fortement relayé par la presse occidentale ainsi que par la chaîne qatarie El Jazeera, l’ouvrage fera mal. D’autant plus mal que Samraoui n’est pas un bidasse lambda, un second couteau, un sous-fifre. Précédé d’une réputation d’intellectuel, il possède cette légitimité à laquelle un Habib Souaïdia ne peut prétendre : Mohamed Samraoui fut un officier du DRS, ce qui, aux yeux de beaucoup de personnes, confère à ses révélations un sens, du poids et de la crédibilité. Délire d’un officier désavoué par sa hiérarchie, affabulations d’un dissident de l’armée en mal de reconnaissance et d’argent ou vérité sur une guerre qui n’a pas encore livré tous ses secrets, le livre de Samraoui fait date. C’est de ce déballage jugé nauséabond dont il est aujourd’hui redevable aux yeux de la justice algérienne. Certes, Alger et Madrid sont liés par un accord d’extradition, mais le cas Samraoui est ardu. Pour l’heure, son statut de réfugié politique le met à l’abri d’un prochain retour vers l’Algérie. En attendant, cette affaire soulève des interrogations. Pourquoi la justice algérienne a-t-elle attendu octobre 2007 pour émettre un mandat d’arrêt contre un ex-officier dont la désertion date de février 1996 et dont les premières déclarations remontent à l’année 2003 ? Pourquoi a-t-on attendu qu’il séjourne précisément en Espagne pour saisir Interpol en vue de son extradition ? Certes, il n’est jamais trop tard pour la justice de demander des comptes, mais tout de même… Difficile de croire que l’incarcération de Mohamed Samraoui dans une prison espagnole relèverait de la pure coïncidence.
Purification ethnique et Genocide en Palestine
Gaza – CPI
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a condamné la décision des autorités de l'occupation d'imposer plus de sanctions sévères contre les habitants de la bande de Gaza.
Ban Ki-Moon a exprimé, lors de son communiqué publié par son porte-parole, son refus des sanctions sévères imposées par l'occupation israélienne contre Gaza en affirmant qu'elles vont augmenter la souffrance des habitants. Il a appelé le gouvernement de l'entité sioniste à revoir cette décision contre Gaza. Le porte-parole de l'ONU Michèle Montas a dit que Ban Ki-Moon a demandé à toutes les parties concernées de protéger les civils palestiniens.
De son côté, la commissaire européenne des relations étrangères Benita Ferrero-Waldner a fortement critiqué les sanctions en relation avec les besoins nécessaires des Palestiniens.Il a également averti des punitions collectives contre les habitants de la bande de Gaza en disant que les résultats des nouvelles punitions seront dangereuses.
Dans le même contexte, Moscou a condamné les punitions sionistes contre Gaza. Le ministère russe a dit dans un communiqué que les sanctions sionistes touchent les besoins nécessaires des civils.
De plus, l'organisation de la conférence islamique a fortement critiqué la politique de punition collective imposée par l'occupation israélienne contre la bande de Gaza.Son secrétaire général Ekmeleddin Ihsanoglu a averti, dans un communiqué, des conséquences dangereuses de cette décision sioniste en appelant la communauté internationale et l'ONU à intervenir, immédiatement, pour empêcher toute catastrophe humanitaire.
Des responsables palestiniens ont affirmé, hier, le lundi 29/10, que les Sionistes ont réduit la livraison de carburant de Gaza.
1 comment:
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Terrorisme d'Etat : La Direction Sioniste du Terrorisme (DST) en pleine guerre sainte contre l'Islaam en France
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Mardi 30 Octobre 2007
Arrestation du Lt-Colonel Samraoui, qui veut la tete de Tewfik ?
Le secrétariat de Rachad a continué ses contacts durant le week-end pour garantir les droits de M. Samraoui. Un nouvel avocat a été mandaté pour défendre les intérêts de M. Samraoui. Il s'agit de Maitre Manuel Ollé Sesé.
Pour rappel, M. Samraoui a été arrêté en Espagne le 22 octobre 2007 ou il s'était rendu pour participer à une réunion de la fédération internationale de jeux d'échecs par correspondance (ICCF), organisation dont il est le président. Cette arrestation fait suite à un mandat d'arrêt émis par le pouvoir algérien et relayé par Interpol. Le mouvement Rachad estime regrettable qu'Interpol donne suite à de tels mandats en flagrante violation de l'article 3 de ses statuts qui fixe le cadre juridique de ses activités en matière d’affaires présentant un caractère politique, disposition qui lui interdit notamment de donner suite à de tels mandats.Nous tenons aussi à attirer l'attention de nos chers lecteurs que les articles de presse que nous reprenons ne signifient nullement que nous adhérons aux thèses qu'ils véhiculent. Le fait que nous les publions découle simplement de notre souci de transparence et d'information. En fait, certains de ces articles ont un caractère manifestement diffamatoire et sortent directement des officines de la presse aux ordres des "services". Bien évidemment, nous rejetons totalement les accusations et graves insultes proférées par cette presse – qui reste heureusement minoritaire - à l'encontre de M. Samraoui qui a toujours honorablement servi son pays. Ce que lui reprochent les dictateurs n’est plus ni moins le fait qu’il ait refusé de cautionner leurs crimes et qu’il a été de ceux qui ont eu le courage et la dignité de les dénoncer.Rachad réitère une fois de plus son attachement aux valeurs qu'il défend et ne se laissera nullement intimider par de telles manœuvres qui ne feront en définitive que le renforcer dans sa lutte pour ramener la justice et l'Etat de droit en Algérie.Enfin, Rachad tient à remercier tous les citoyens et citoyennes, les personnalités, les partis politiques ainsi que les ONGs de défense des droits de l'homme pour leur solidarité et leur témoignage de sympathie.Secrétariat de Rachad.
Le sheykh Ussama Ibn Laden accuse le 'noyau juif' du gouvernement americain d'avoir organise les attaques du 11 Septembre 2001
بسم الله الرحمن الرحيم
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Crise au sein de la direction sioniste
Les Israéliens viennent de commémorer le départ de leur ancien premier ministre Yitshak Rabin, assassiné en 1995. A cette occasion, un sondage a montré que la société palestinienne est en difficulté.
En premier lieu, c’est le retrait unilatéral israélien de la bande de Gaza qui est la première cause de ce déchirement dont souffre la société israélienne. L’assassinat de l’ancien premier ministre Yitshak Rabine en constitue la deuxième. Et la deuxième guerre du Liban prend la troisième place, selon le sondage effectué par l’institut hébreu Motahim pour le compte du journal hébreu Yediot Ahronot et de l’association de Jisher. 500 personnes représentant différentes couches de la société juive y ont participé.
Le retrait unilatéral de Gaza
Répondant à la question sur l’événement qui avait fait un grand mal à la société israélienne, 34% des personnes sondées ont insisté sur le fait que c’est le plan de retrait de la bande de Gaza qui a aggravé la déchirure de la société israélienne. 25% sont d’avis que c’est l’assassinat de l’ancien premier ministre Yitshak Rabin qui est la raison principale. 18% croient que c’est la deuxième guerre du Liban qui en est la cause. 15% sont pour la guerre de 1993.
Une analyse rapide des résultats montre que les personnes dont l’âge se situe entre 18 et 44 ans ont mis le plan de retrait en tête de liste. Ceux dont l’âge dépasse les 45 ans croient que l’assassinat de Rabin est la première cause de la déchirure actuelle de la société israélienne.
Et si la religion est prise pour une base d’analyse, on constate que les laïcs sont les seuls qui mettent le départ de Rabin avant le plan de retrait de la Bande. Les conservateurs, eux, mettent le retrait en tête de la liste. 71% des religieux sont pour le retrait.
Qui contre qui ?
« Qui est le plus détesté par les Juifs ? » est une question posée par le sondage. 21% des sondés croient que ce sont les religieux de Haridim. 11% ont choisi les colons. 9% les nouveaux arrivants. 4% les religieux. 4% les laïcs. 44% des personnes disent qu’ils n’ont pas un groupe à détester.
29% des laïcs n’aiment point les Haridim, montrent encore le sondage. Et 15% d’entre eux ne portent pas les colons dans leur cœur. Et en ce qui concerne les religieux, 22% n’apprécient pas les immigrés, et 20% d’entre eux ne supportent pas les Haridim qui, à leur tour, n’aiment pas les nouveaux immigrés à un taux de 29%. Enfin, 10% des personnes constatent qu’elles ne s’aiment pas !
La crise inquiétante
Le sondage a posé une dernière question : quelle est la crise qui vous inquiète le plus ? 37% pensent à la crise au sein de la direction. 19% aux tentions qui règnent dans la société juive. 18% aux relations entre Arabes et Juifs. 16% ne pensent qu’à leurs problèmes personnels.
En se basant sur la religion encore une fois, on constate que les Haridim sont les seuls qui ne mettent pas la crise de la direction à la tête la liste des crises inquiétantes. Les tentions qui ébranlent la société israélienne sont la première cause pour 31% d’entre eux. Cependant, les religieux et les laïcs ont mis la crise de la direction en tête de la liste des problèmes qui provoquent le plus d’inquiétudes.
Le pillage des richesses musulmanes par la France-Yisrael
La conférence de presse, passionnante pour une fois car elle a permis de faire toute la lumière sur la triste réalité des relations entre la France et le Niger depuis l’accession de ce pays à « l’indépendance », est le dernier épisode du bras de fer qui oppose les deux pays pour le contrôle de l’exploitation de ses mines d’uranium. Aidé par la concurrence à laquelle se livrent les grandes puissances pour le contrôle des matières premières stratégiques, le gouvernement de Mamadou Tandja au Niger a décidé récemment de mettre fin au monopole qu’exerçait la France sur l’extraction de ce matériau stratégique depuis plus de trente ans et de s’ouvrir à d’autres compagnies, notamment chinoises, canadiennes, américaines et sud-africaines. La brouille entre Paris et Niamey va très loin : l’été dernier, le gouvernement nigérien, qui soupçonne la compagnie nucléaire française Areva de financer la rébellion bien armée et organisée dans le nord du pays, a renvoyé deux hauts responsables de la compagnie. Ce contexte de crise a cependant permis aux Nigériens de négocier avec Areva une hausse de prix importante, faisant passer le prix de la tonne d’uranium de 27 000 à 40 000 francs CFA.
Interview avec Monsieur Ibrahim Loutou *Ancien ambassadeur, ancien ministre, ancien conseiller du Président du Niger
Deux grands projets impliquant le Niger
Projet de revitalisation du Lac Tchad (extrait du dossier "Le rôle de l’Europe pour assurer une Renaissance africaine", Institut Schiller 1990)
Sarkosy travaille pour Yisrael pas pour la France. Sarkosy prepare une guerre civile en France
Le mouvement de la résistance islamique Hamas a fortement condamné les déclarations du président français Nicolas Sarkozy qui a refusé le retour des réfugiés palestiniens vers leurs maisons dans les territoires palestiniens occupés en 1948 en appelant à les laisser retourner, seulement, vers l'état de l’autorité palestinienne.
Le porte-parole du mouvement du Hamas Sami Abou Zouhri a dit, aujourd'hui, le mercredi 24/10, dans une déclaration spéciale au Centre Palestinien d'Information, que son mouvement trouve que ces déclarations sont très dangereuses car elles affirment que la France est le premier pays qui annonce officiellement son soutien au dépassement de la décision internationale de l'ONU concernant le droit au retour des réfugiés palestiniens.
La quatrieme guerre d'Algerie a lieu en France : Les reseaux de l'OTAN sous controle americano-sionistes affrontent les reseaux de la France-Afrique
La thèse controversée est connue depuis de longues années: derrière les attentats de 1995 se cacheraient les généraux algériens.
Video: La Resistance Islamique d'Iraq : Apres l'unification, apporter la parole !
Les documentaristes Steve Connors and Molly Bingham ont interrogé les résistants irakiens. Commerçants, professeurs, anciens militaires, partagent tous le même objectif : restaurer la souveraineté de leur pays en expulsant les armées étrangères. Bande annonce de « Meeting Resistance, » transcription VF.
Mais ces images terribles masquent la réalité de la résistance irakienne. Celle d’un peuple qui ne tolère pas l’occupation étrangère et qui porte des coups incessants d’abord et avant tout contre l’armée ennemie.
En ne posant pas la question du retrait américain, en ne contestant pas la création de bases militaires américaines destinées à permettre une occupation permanente de l’Irak, nous nous faisons les complices de cette situation.
Mais les irakiens interrogés par les auteurs de Rencontre avec la Résistance nous rappellent cette vérité très simple : aucun peuple ne peut accepter de vivre sous la botte.
Eretz Yisrael: Un vieux reve sioniste bien mal en point
Sarkosy Ben Mossad !
Maintenant, Sarkosy doit l'assumer ou accepter la contre-partie: Celle de reconnaitre qu'il est un pantin tout nu aux mains de ses ennemis ! Au fait pourquoi ne porte-t-il pas plainte pour diffamation le bougre ? De quoi a-t-il peur ? D'une juridiction internationale ?
1 comment:
SARKOZY MALLAH NAGY BOSCA askhénase d'origine Khazar tribue perdue d'Israel
charlemagne
carolus.magnus1331@gmail.com
Israel est finalement demasque pour le 11 Septembre 2001.
L'extermination silencieuse de la Bande de Gaza
Tout enfant rêve de continuer ses études et de vivre son enfance, mais celui de la bande de Gaza se trouve obligé de quitter la classe pour chercher de quoi se mettre sous la dent pour sa famille.
La scène de ces enfants qui errent dans les rues et qui assument des besognes aussi dures que leur âge est encore fragile, le journal « Palestine » en a rencontré quelques-unes.
Humiliation
Bahaa n’a même pas onze ans. Dès qu’il arrive de l’école, il repart pour rejoindre la place principale de la ville en espérant vendre ses pacotilles. Je suis obligé de travailler en me faufilant parmi les tas de voitures, en laissant de côté mes devoirs. Mon père est au chômage depuis plus de sept ans, dit-il.
Je ne suis pas un mendiant
« Qu’est-ce qui te pousse à supporter quelque chose d’amère, sinon une autre plus amère encore ? », dit Bahaa en réaction à une dame qui l’avait blessé avec des propos durs.
« Beaucoup me prennent pour un mendiant, ils ne savent combien nous avons besoin de tout Shekel. Un besoin qui me pousse à m’humilier dans les rues de Gaza et devant mes copains », a-t-il dit en partant chercher quelqu’un qui voulait acheter une boîte de chewing-gum ou de chocolat.
L’école est la victime
Mohammed, un enfant de Beit Hanoun, se réveille le matin dans l’espoir d’aller à l’école, mais en voyant ses petits frères, il part vendre ses jouets. Son père avait perdu son travail, derrière la ligne verte, et un de ses frères qui souffre d’une maladie chronique a besoin d’une opération qui coûte trop cher. Dans toute cette affaire, c’est l’enfance qui est perdante, surtout dans l’éducation. Mohammed espère que le siège économique imposé sur Gaza sera levé pour qu’il puisse retourner à l’école.
Dilemme
Charab, étudiante universitaire, à l’instar de ses amies, ressent de la gêne de voir ces enfants qui s’approchent d’elles pour vendre des choses dont elles n’ont aucun besoin. Elles en achètent tout de même, ne sachant distinguer ceux qui en ont un vrai besoin de ceux qui pratiquent ces procédés pour gagner des sous, dépensés ensuite dans la cigarette et dans n’importe quelle autre futilité.
Des chiffres
48% de ces enfants aiment retourner à leurs classes, mais les conditions de vie sont trop dures pour les laisser faire, indique une étude statistique palestinienne. Et 27% des familles de tels enfants disent que leurs budgets familiaux seront affectés dans le cas où leurs enfants ne travaillaient plus.
Un phénomène négatif
La montée du chômage et le niveau de vie économique sont derrière le phénomène de ces enfants travailleurs.
Cependant, Omar Chaaban, expert palestinien, croit que les causes de ce phénomène ne sont pas uniquement économiques. Il est vrai que les conditions dans lesquelles vit la bande de Gaza en est la première raison, mais il y a des raisons psychologiques, sécuritaires et sociales.
Les avis des enfants
Chaaban explique que le gouvernement manque de moyen pour proposer des activités éducatives et culturelles et de loisir. Ainsi, beaucoup d’enfants rempliront alors leur temps à mendier, à vendre une chose ou une autre, ou à pratiquer toutes activités mêmes dangereuses et interdites par la loi.
Enfin, il a appelé tous les responsables politiques à y trouver des solutions adéquates. Le Conseil législatif doit approuver des lois mettant un terme à ce fléau social et mettre les plans nécessaires ramenant ces enfants vers leurs classes et une vie sociale normale.
Article publié par le journal « Palestine »
Traduit en résumé par CPI
Attentats de 1995 : La Direction Sioniste du Terrorisme a nouveau accusee !
Durant toute la décennie noire en Algérie, ainsi que nous l'avions signalé dans nos différents articles, les services secrets algériens (DRS) étaient les seuls “habilités” à soumettre les détenus à la “question” pour leur extraire des informations dites “opérationnelles” sur les activités des présumés réseaux terroristes actifs sur le sol européen, notamment en France.
C'est sur les ordres de l'ex-patron du contre-espionnage algérien, Smain Lamari, récemment décédé, que tous les détenus ayant des contacts à l'extérieur de l'Algérie étaient séquestrés dans les centres du DRS et soumis aux tortures les plus horribles. Les aveux obtenus lors de ces “séances de torture” étaient transmis à la DST sous forme de procès-verbaux d'audition. Pour être à l'abri des critiques en France sur le caractère légal de ces documents, la DST exigeait que ces procès-verbaux soient établis au nom de la police nationale algérienne pour éviter à leurs collègues algériens du DRS de comparaître éventuellement devant la justice française. La DST savait également que les informations étaient obtenues sous la torture.
De fait, pour satisfaire aux desiderata de la DST, le général Smain Lamari communiquait les procès-verbaux sous le sceau officiel de la police nationale algérienne. À titre d'exemple, signalons le cas d'un réseau GIA de trafic d'armes en Suisse et qui avait des ramifications en France dont le chef était le dénommé Bensouna Yazid, ressortissant algérien. Ce fut sur la base de ces “vrais-faux” procès-verbaux d'audition que la DST et les services suisses avaient mené leurs opérations.
Maintenant que le procès de l'affaire Ramda, présumé financier des attentats de Paris (1995), est en cours, il convient d'attirer l'attention des différentes parties sur le fait que les procès-verbaux éventuellement versés au dossier de ce procès et faisant état d'aveux ou d'informations obtenues sous la torture et illégalement validés par la police algérienne sont juridiquement sujets à caution.
Ce procès n'aurait en effet aucun sens si la justice française en général, et les parties civiles et la défense en particulier, n'exigeaient pas la comparution, au moins à titre de témoin, des responsables des services secrets et de la police algériens (le général Mohamed Mediene et Mohamed Issouli), et des services français de l'époque (Philippe Parant et Roger Marion). Mieux encore, entendre les victimes innocentes de torture, elles seules à même de révéler les méthodes du DRS et le silence complice des autorités françaises de l'époque, certainement informées par la DST et la DGSE.
Les victimes des attentats et leurs proches ont le droit de savoir toute la vérité sur les relations entre les services secrets algériens et français car d'importantes zones d'ombre planent encore sur les véritables commanditaires des attentats. Il n'est pas question ici de dédouaner Rachid Ramda qui, si sa culpabilité est établie, est à notre sens, un simple exécutant.
La justice française se doit de mettre au jour ces zones d'ombre pour que le procès ait toute sa plénitude et prenne le sens qu'il mérite. Tronquer ce procès reviendrait à un gigantesque mensonge par omission, insoutenable pour les victimes des attentats de 1995 et leurs familles.
Abdelkader Tigha
Anouar Koutchoukali, ONG Justitia Universalis, La Haye, Pays-Bas
La France, le terrorisme du GIA et les hydrocarbures d'Algerie
Un degré de barbarie inouïe, des massacres apparemment incompréhensibles... Derrière la vitrine officielle du pouvoir et sa scène politique factice, se cache un pouvoir de l'ombre. Une terre en deuil se plonge dans les coulisses de ce pouvoir, avec ses hommes clés et ses négociations secrètes.
Bien qu'Alger semble apparemment conforté par la nouvelle donne stratégique du 11 septembre, pour la population algérienne et sa jeunesse, les problèmes restent entiers. Comment la première République algérienne, issue de l'Indépendance, parviendra-t-elle à tourner l'une des pages les plus sombres de son histoire? Un document dont on pourrait dire qu'il d'utilité nationale pour l'Algérie mais peut être aussi pour tous les acteurs internationaux qui ont pris part à la mise à mal du pouvoir algérien. Un document d'exception de ceux qui ont la capacité d'amorcer un réveil dans le coeur des Algériens afin qu'ils reprennent en main leur pays et leur destin. Un très bon support pédagogique et de connaissance de ce qui fait l'Algérie, de l'indépendance jusqu'à nos jours.
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Sarkosy et Perle, ces terroristes israeliens, heberges en France
ENTRETIEN EXCLUSIF. Avant la fusion de leurs deux services en 2008, les directeurs des RG et de la DST font le point pour «Libération» sur les menaces que la mouvance Al-Qaeda fait peser sur la France.
Par PATRICIA TOURANCHEAU, Libération, lundi 8 octobre 2007
Interviewés pour la première fois ensemble, à l’initiative de Libération, les patrons de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Bernard Squarcini, et des Renseignements généraux (RG), Joël Bouchité, mettent fin aux rivalités entre ces deux services de police pour soutenir la «fusion», dans une même direction, du renseignement intérieur, afin de contrer le terrorisme islamiste de plus en plus menaçant.
La menace terroriste en France est-elle montée dans le rouge après les consignes de Ben Laden et d’Al-Zawahiri de frapper «les fils de France» et depuis les attentats en Algérie ?
Bernard Squarcini. C’est un élément complémentaire qui s’inscrit dans un contexte préalable où la menace se situe déjà à un niveau élevé, pour notre territoire national ou nos intérêts à l’étranger. L’allégeance des maquis algériens à la mouvance Oussama ben Laden, ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) devenu Al-Qaeda au Maghreb islamique (AQMI), nous pose un problème. Car nous nous retrouvons sous une double menace, à savoir la menace venant de la mouvance internationaliste, donc Ben Laden, mais également la proximité de l’Algérie, et donc un risque de récidive par rapport à ce que l’on a connu dans les années 94-95.
Joël Bouchité. Le fait d’obtenir ce label Al-Qaeda Maghreb islamique représente un grand danger pour les intérêts français et la France, et les trois pays du Maghreb. Puisqu’un groupe circonscrit au territoire algérien s’inscrit désormais dans le jihadisme international, et associe le pouvoir algérien, qu’il conteste fortement, au pouvoir français.
Contrairement à l’Espagne et à la Grande-Bretagne, qui ont été attaqués de plein fouet par Al-Qaeda, comment expliquez-vous que l’Hexagone ait été relativement épargné ?
B.S. Depuis 94-95, il y a un savoir-faire. Le système à la française, qu’il soit le fait du travail très étroit, très précis effectué sur le territoire national par les RG ou du système de renseignement et de traitement judiciaire de la DST, permet de neutraliser avant même le passage à l’acte tout groupe ou individus susceptibles de commettre une action en France. Donc nous adoptons le principe de précaution et l’action préventive.
J.B. Le dispositif français repose sur l’humain. Il est indispensable d’être à l’heure technologique, mais notre capital, depuis 1995, c’est d’avoir continué à miser sur les sources humaines.
Comment vous répartissez-vous actuellement les tâches entre les RG et la DST en matière de lutte antiterroriste ?
J.B. Aux RG, on assure en amont la détection d’islamistes radicaux. Ensuite, on analyse et on construit des dossiers de renseignements. Puis on essaie de les neutraliser sur un plan administratif. Ce à quoi il faut ajouter l’action préventive menée avec les déchéances de nationalité et les expulsions d’islamistes radicaux : 60 depuis quatre ans, 20 depuis le début de l’année.
Dans quels milieux essayez-vous de les détecter ?
J.B. On travaille sur des mouvements de réislamisation, sur des prédicateurs, sur des gens qui embrigadent. Les lieux propices, ce sont certaines mosquées, des associations avec des buts dissimulés, le milieu carcéral - où se côtoient les condamnés de 95 - et des filières afghanes - avec des individus récupérés pour des délits de droit commun. Et là, nous avons un très gros souci. La preuve, c’est que le réseau de Trappes démantelé par la DST avait été monté en 2005 par Safé Bourada, qui avait participé au réseau terroriste de 95, puis était sorti de prison en 2003.
B.S. Nous travaillons également sur le phénomène des convertis à l’islam et des filières. Nous ne sommes plus dans la même configuration qu’en 1995. Nous avions des réseaux déjà installés sur le territoire national, à Lyon et à Chasse-sur-Rhône, que des imams sont venus exhorter au passage à l’acte. Aujourd’hui, on est face à de l’individuel, de la conversion de Français, de l’expatriation sur un théâtre d’opérations, à un moment la Tchétchénie, aujourd’hui l’Irak et à nouveau la zone pakistano-afghane. Donc des choses plus difficiles à détecter. Un parcours idéologique peut se faire en trois mois sur Internet. Un individu peut, le soir chez lui, s’autoradicaliser via Internet et entrer en contact avec des membres haut placés des organisations terroristes. Pour nous, le format de veille opérationnelle doit changer si on veut être capable d’anticiper ou de neutraliser par avance ce qui peut nous arriver.
Que peut apporter la fusion prochaine de vos deux services dans une même direction du renseignement intérieur ?
B.S. Ce service unique, conformément aux instructions du président de la République, relayées par une lettre de mission à la ministre de l’Intérieur, verra le jour en 2008, et devra être tiré vers le haut en méthodes d’action et capacités technologiques. La méthode française des années 95 a été payante, et on a su garder une longueur d’avance. Il est temps de revoir la voilure et de l’adapter aux nouvelles menaces. Nous avons un besoin de relations plus étroites avec tous les services de renseignement étrangers. Car nous ne cherchons plus uniquement des réseaux ou des groupes, mais aussi des individus tout seuls, capables d’actions de type kamikaze. Pour nos démocraties et la protection de nos concitoyens, nos systèmes de veille doivent évoluer pour chercher des cibles tête d’épingle. Si on devait raisonner plus matériellement, la maille du filet doit absolument changer, et devenir plus petite. Ceci ne peut se faire en l’état actuel, car il y a trop de déperdition, trop de missions. A partir des savoir-faire et des cultures des deux services, il faut monter un pôle d’excellence dévolu au contre-terrorisme.
J.B. Face à l’étendue des nouvelles menaces, il faut absolument que nos deux services soient totalement intégrés l’un à l’autre pour travailler en commun, sur le plus petit élément isolé jusqu’à éventuellement la projection d’une source à l’extérieur afin de suivre le groupe dangereux. Quand trois services se retrouvent en 1995 sur le même point de surveillance, en 2007 ça devient néfaste. Il faut avoir un fonctionnement interactif, car le contexte international nous oblige à une riposte extrêmement rapide. Alors ce ne sera pas une DST renforcée de RG, ni des RG renforcés de technologies, mais une nouvelle maison du renseignement intérieur.
Entre les RG et la DST, vous partagez des sources communes, infiltrées ou envoyées à l’étranger ?
B.S. Oui, nous partageons des sources communes. Pour éviter les doublons et les failles. Pour une couverture maximale de tout ce que l’on doit voir passer sur nos écrans radar. Nous avons des opérations communes, mais nous en avons également avec les services relevant du ministère de la Défense. Nous avons besoin de l’extérieur et de renforcer nos relations internationales. Car il faut aller chercher très loin ce qui risque de nous revenir sur le territoire national. Un guichet unique évitera des déperditions ou des subtilités qui ont entraîné pour nous souvent le fait d’être actionnés chacun de notre côté par les services étrangers sur notre territoire national.
Comment analysez-vous que cette fusion voulue et soutenue par la gauche ne soit mise en place qu’en 2008, sous Sarkozy ?
B.S. Le projet, dans les années 90, du préfet Jacques Fournet, qui fut patron des RG, puis de la DST, a été vendu à la partie suivante, la droite, mais n’a pas pu aboutir, car il y a eu un choc culturel. Ce projet n’a pas pu voir le jour il y a quatre ans, car le ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, n’a pas réussi à convaincre le Président.
J.B. Pour aboutir dans la réforme du service de renseignement, il faut une volonté politique forte et homogène, et il faut arriver à la produire à froid, sans scandale, sans acte terroriste. Et il faut des hommes engagés, qui agissent en harmonie, en intelligence et pour lesquels les enjeux de structure vont primer sur les enjeux de personnes. Les conditions sont actuellement réunies.
B.S. On a aussi une nouvelle génération, un rajeunissement qui permet de faire fi du passé, d’un certain emploi des services. Il faut se tourner résolument vers l’avenir à un moment où il n’y a ni scandale, ni autre chose. On n’est pas sous l’effet du pasteur Doucé [disparu alors qu’il était surveillé par des RG de la préfecture de police de Paris en 1990, ndlr] ou du congrès du PS à la Villette [espionné par des RG]. On est en situation calme et sereine, où l’on peut réfléchir.
Les RG ont une réputation sulfureuse, de coups tordus…
J.B. Les services de renseignement suscitent des affaires d’Etat lorsqu’ils sortent de leur rôle. Le mouvement de modernisation des services débarrassés des anciens systèmes et des anciennes méthodes permet de rester garde haute sur l’essentiel.
B.S. Au niveau européen, tous les services se réforment dans le même sens. Tous ces gens qui ont travaillé ensemble contre l’ultragauche européenne - Action directe, Fraction armée rouge, Brigades rouges, organisation du 17 novembre - et qui s’entendent parfaitement bien aussi sur la lutte anti-ETA constatent chacun dans leur coin la nécessité de revoir le format. Puisque nous passons à une menace plus diffuse, difforme, constante, qui va s’étaler sur plusieurs dizaines d’années, un Jihad islamique, basé sur du fondamentalisme religieux et non plus du support terroriste d’Etat.
Avez-vous déjoué récemment des attentats ou arrêté des types seuls qui auraient pianoté sur Internet et fabriqué leur bombe ?
B.S. Notre veille opérationnelle a permis d’arrêter quelqu’un à Nancy qui, manifestement, offrait ses services, en martyr de la cause, à l’organisation et préparait un passage à l’acte sur notre territoire. A Mulhouse, on a capté un message inquiétant d’un individu au profil intéressant qui indiquait que «le 6 septembre, pour Nicolas Sarkozy, ça allait être le 11 Septembre». Comme le Président se déplaçait à Mulhouse, l’affaire a été bouclée en quarante-huit heures : il s’agissait d’un simple dossier camisole, et ça a fini par un internement administratif.
La vidéo de Ben Laden qui ressort au bout de trois ans de silence vous paraît-elle authentique ?
B.S. Concernant l’authenticité de la vidéo, il y a effectivement une réflexion qui s’impose sur l’aspect technique, décors, couleurs, intonations, mouvements et autres.
Parce qu’il n’a pas l’air de trop bouger et d’avoir les bras coincés ?
B.S. Vous savez tout. Des services du ministère de la Défense ont examiné la bande et arrivent à certaines conclusions proches de ce que vous analysez.
C’est-à-dire ? C’est Ben Laden qui parle ? Ou pas ?
B.S. Très peu de temps. deux minutes et demie, sur la longueur de bande.
Et le reste ? Ce n’est pas sa voix ?
B.S. Peu importe. Ce qui est important, c’est le fait de repasser régulièrement, tel un feuilleton, certaines périodes rythmées et autres. Ceci dit, lui ou pas lui, on est à un niveau où peu importe la position d’OBL [Oussama ben Laden], tout est déjà lancé. Le jihad à un niveau planétaire est largement inscrit dans les mentalités pour ceux qui veulent choisir cette voie. Le fait de relancer la mécanique une fois par an ne rajoute en rien ou ne retranche en rien. Les gens reviennent formatés pour frapper quand ils veulent et où ils veulent.La seule nouveauté au niveau du message, c’est l’actualisation des personnes citées, comme Nicolas Sarkozy. La France n’avait pas besoin de ce message supplémentaire pour savoir qu’elle était ciblée. Mais cela confirme.
Yisrael incapable d'affronter l'Iran seul, Yisrael fait dans son froc !
Ainsi, le vice-président Dick Cheney, le principal avocat d’une attaque dans l’administration américaine, demande des frappes limitées contre un nombre réduit de cibles, qui seraient des sites d’entraînement des Pasdarans (Gardes de la Révolution Iranienne) et des bases logistiques censées approvisionner les insurgés irakiens.
Hersh précise que le président Bush n’a pas encore donné son feu vert à l’action militaire contre l’Iran, mais il souligne que les derniers détails sont mis au point actuellement, et à un rythme accéléré. De plus, la CIA a massivement accru ses activités en Iran, avec des opérations similaires à celles menée à l’automne 2002 sur le sol irakien et qui avaient précédé l’invasion.
Selon Hersh, le nouveau plan de guerre implique l’emploi de missiles mer-sol contre des sites des Pasdarans, et des interventions ciblées des Forces Spéciales américaines contre des bases d’entraînement des insurgés, également situées à l’intérieur de l’Iran.
Hersh affirme que les gouvernements !français et britannique soutiennent ce plan militaire plus limité, bien que le gouvernement de Gordon Brown exige plus de preuves concernant l’implication iranienne en Irak, des preuves plus solides que ce qu’exigeait Blair de Bush avant l’invasion de l’Irak.
L’article de Hersh, publié sur le site du New Yorker avant la publication papier, a pressé plusieurs chaînes à inviter l’auteur dans les traditionnels émissions politiques américaines du dimanche, ce qui ne manquera pas de faire monter l’ire contre Cheney, qui apparaît clairement comme l’architecte de cette poussée pour la guerre.
3 autres groupes de résistance irakiens, essentiellement des anciens militaires, décident de s'unir sous la bannière du Commandement des Forces Armées
Purification ethnique de la bande de Gaza
Le ministère de la santé au gouvernement légal d'entente nationale, dirigé par le premier ministre Ismail Haniyeh, a fortement accusé le gouvernement illégitime de Fayyad d'empêcher l'arrivée des aides humanitaires à la bande de Gaza.
Dans leur communiqué de presse dont le Centre Palestinien d'information a reçu une copie ce mardi 2/10, le ministère a dit que le sévère blocus imposé par l'occupation contre les citoyens de Gaza, dont l'empêchement de l'arrivée de médicaments, de nourriture d'enfants, l'arrestation des malades sur les barrages et la politique de répression perpétrée contre les civils innocents, n'est pas étrange, car c'est un ennemi qui soutient sa culture d'assassinat et de destruction.
Le ministère de la santé a qualifié l'action du gouvernement de Fayyad de crime non ethnique et qu'elle est certainement étrange et non patriote.
Le manque de médicaments, d’équipements et de matériels nécessaires pour les laboratoires constitue une image parlante de toutes ces souffrances causées par le siège israélien, fermant les points de passage et interdisant l’arrivée de tout médicament, confirme Na‘im dans un conférence de presse donnée à Gaza hier, le jeudi 4 octobre 2007.
La réserve de quelque cinquante sortes de médicaments vitaux est tombée à ZERO. Et environ 470 autres sortes ne suffiront que pour une période de moins d’un mois… Evidemment, tout ce manque perturbe considérablement le travail des centres vitaux du ministère tel le centre de soin intensif, le centre du cœur, du cancer, du rein…
Le manque de matériel de radio, de laboratoire, de banque de sang ne fait qu’aggraver la situation. Et la fermeture des points de passage met en péril la vie de ceux dont les problèmes de santé ne peuvent trouver de solutions qu’à l’étranger.
Vague d'attentats en Europe : Pour impliquer la France dans la guerre en Iran, Sarkosy doit organiser des attentats
LE GSPC a ete armee par la France, au travers de Sarkosy et Alliot Marie depuis fin 2005, par l'intermediaire de marchand d'armes maliens et tchadiens proches de Idriss Debi. Des armes ont transite depuis le Tchad vers le sud de l'Algerie, la Mauritanie, le Mali, le Niger a egalement vu des groupes controles par le mossad, armes jusqu'au dents. La Libye fournit maintenant le mossad et la CIA en camps d'entrainement et mercenaires venus de toute part.
Tout attentat commis en Europe sera le fait des reseaux sionistes atlantistes. Les reseaux clandestins de l'OTAN dans le sud de la France servent de logistiques aux services franco-israeliens, la meme chose pour l'Allemagne. Une fois encore les services de la France-Yisrael sont humilies en public, n'est ce pas Abu Sarksuzy al AZFI ? Sarkosy, t'as pas fait que rater Bouteflika.
Quant a l'article publie ci-dessous, il est a mourrir de rire, mais bon 50,7% a vote pour un le pantin, il ne faut donc pas s'etonner du niveau !
A bon entendeur...
La CIA craint qu'Al-Qaida prépare des attentats en Europe
Ce courriel, rédigé en anglais par un auteur inconnu, suggère la mise en œuvre d'un attentat contre les égouts de Paris dans le but de provoquer le chaos dans la ville. Les services français restent circonspects sur la probabilité d'un tel acte, déjà évoqué dans le passé et dont l'éventualité avait fait l'objet d'un reportage sur la chaîne de télévision arabe Al-Jazira.
De telles menaces sont fréquentes, et la CIA répercute toute information lui parvenant, indique-t-on du côté des services de renseignement français. A l'automne 2006, ce type de menace imprécise avait mobilisé les services français, en vain.
Toutefois cette menace doit "être prise au sérieux", selon une note confidentielle de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT), en raison des déclarations récentes du numéro deux d'Al-Qaida, Ayman Al-Zawahiri, appelant l'ex-GSPC à frapper la France et les intérêts français au Maghreb.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3210,36-962740@51-952278,0.html
Vague d'attentats en Europe : Pour impliquer la France dans la guerre en Iran, Sarkosy doit organiser des attentats
LE GSPC a ete armee par la France, au travers de Sarkosy et Alliot Marie depuis fin 2005, par l'intermediaire de marchand d'armes maliens et tchadiens proches de Idriss Debi. Des armes ont transite depuis le Tchad vers le sud de l'Algerie, la Mauritanie, le Mali, le Niger a egalement vu des groupes controles par le mossad, armes jusqu'au dents. La Libye fournit maintenant le mossad et la CIA en camps d'entrainement et mercenaires venus de toute part.
Tout attentat commis en Europe sera le fait des reseaux sionistes atlantistes. Les reseaux clandestins de l'OTAN dans le sud de la France servent de logistiques aux services franco-israeliens, la meme chose pour l'Allemagne. Une fois encore les services de la France-Yisrael sont humilies en public, n'est ce pas Abu Sarksuzy al AZFI ? Sarkosy, t'as pas fait que rater Bouteflika.
Quant a l'article publie ci-dessous, il est a mourrir de rire, mais bon 50,7% a vote pour un le pantin, il ne faut donc pas s'etonner du niveau !
A bon entendeur...
La CIA craint qu'Al-Qaida prépare des attentats en Europe
Ce courriel, rédigé en anglais par un auteur inconnu, suggère la mise en œuvre d'un attentat contre les égouts de Paris dans le but de provoquer le chaos dans la ville. Les services français restent circonspects sur la probabilité d'un tel acte, déjà évoqué dans le passé et dont l'éventualité avait fait l'objet d'un reportage sur la chaîne de télévision arabe Al-Jazira.
De telles menaces sont fréquentes, et la CIA répercute toute information lui parvenant, indique-t-on du côté des services de renseignement français. A l'automne 2006, ce type de menace imprécise avait mobilisé les services français, en vain.
Toutefois cette menace doit "être prise au sérieux", selon une note confidentielle de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT), en raison des déclarations récentes du numéro deux d'Al-Qaida, Ayman Al-Zawahiri, appelant l'ex-GSPC à frapper la France et les intérêts français au Maghreb.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3210,36-962740@51-952278,0.html
L'Air Force a refusé d'emmener en avion des armes sur le théâtre du Moyen-Orient
L'ONU et Ban Kimoon des pantins au service d'Israel
Gaza-CPI
www.palestine-info.info
Le mouvement de la résistance islamique Hamas a apprécié, ce samedi 1/10, les déclarations de John Dugard, responsable à l'ONU, qui a accusé l'ONU et le Quartet de prendre position au profit de l'entité sioniste, et de négliger régulièrement les rapports concernant les crimes de l'occupation contre le peuple palestiniens.De son côté, le porte parole du Hamas Sami Abou Zouhri a dit, dans sa déclaration dont le Centre Palestinien d'Information a reçu une copie, que les déclarations de ce responsable de l'ONU sont une preuve claire que l'ONU et son secrétaire générale Ben Kimon prennent une position au profit de l'occupation tout en négligeant ses crimes perpétrés contre les Palestiniens.
On note que le responsable de l'ONU (John Dugard ) a remarqué dans son discours sur Al-Jazzera que Ben Kimon (le secrétaire général de l'ONU) reçoit ses engagements de Washington pour soutenir l'entité sioniste.En conséquence, Abou Zouhri a ajouté que ses déclarations justes condamnent fortement le Quartet et ses engagements qui servent les objectifs et les intérêts de l'entité sioniste, alors qu'Abbas devra arrêter de s'engager dans les promesses de cette commission (Quartet) qui pratique le rôle de l'ennemi du peuple palestinien.
Attentats de 1995 :Tewfik, la DST... le GIA c'est la France
Par PATRICIA TOURANCHEAULibération, 1 octobre 2007
Douze ans après les d’attentats - dont celui du RER Saint-Michel, huit morts - qui ont frappé la France en 1995, Rachid Ramda comparaît ce matin devant la cour d’assises spéciale de Paris. Cet intellectuel algérien de 38 ans est poursuivi pour avoir «financé» et «supervisé» depuis Londres cette campagne terroriste pour le compte du Groupe islamique armé algérien (GIA). Libération ouvre ses colonnes à ce terroriste présumé, actuellement écroué. Vues les conditions strictes de sa détention au centre pénitencier de Fresnes (Val-de-Marne), cet interview a été réalisé de façon indirecte. Nous lui avons transmis des questions, Rachid Ramda nous a transmis ses réponses. Il nous livre son strict point de vue et retouche son portrait. Il réfute dans l’ensemble les accusations, évoque un «montage policier», se défend d’être un islamiste armé et se définit comme «un simple musulman». Il admet avoir «participé à la rédaction d’El-Ansar» mais dément qu’il s’agisse du bulletin de propagande du GIA. Il prétend ne pas connaître les auteurs des attentats de 1995, en s’exprimant de manière bien plus détaillée que dans ses interrogatoires.Quel a été votre itinéraire ? Je suis né le 29 septembre 1969 à El Ogla, dans l’est du pays, dans une grande famille d’origine berbère (chaouia pas kabyle). Ma culture comme ma langue c’est l’arabe. Ma famille est de confession musulmane et nous pratiquons l’islam d’une façon traditionnelle. Mon père est herboriste dans sa propre officine et gère également la grande ferme familiale. Nous sommes une famille où la culture et le savoir ont une place prédominante. Tous mes frères ont fait des études supérieures. Ahmed, mon frère aîné, est ingénieur architecte. Un autre de mes frères, Lazhar, est ingénieur informaticien. Ma mère est l’âme de la maison, c’est à elle qu’a incombé la lourde tâche de nous élever en nous inculquant les vraies valeurs humanistes de notre culture. En Occident, ma mère serait qualifiée de femme au foyer, mais ce terme est trop réducteur au regard de la place et du rôle essentiel de la femme et de la mère dans la civilisation arabo-musulmane. J’ai également plusieurs sœurs, toutes mariées. J’ai fait mes études à l’institut polytechnique, en architecture.Avez-vous assisté à la création du FIS en Algérie ? Depuis l’indépendance, le pays fut dirigé d’une main de fer par le FLN, qui a étouffé la vie des musulmans. Il y avait bien sûr quelques mouvements de résistance à ce régime totalitaire. Ces mouvements que le monde, depuis le 11 Septembre, feint de découvrir en les qualifiant d’islamistes. Le régime a écrasé de manière brutale toute forme d’opposition, surtout au début des années 70 et 80. Mon frère aîné a vécu en direct cette période et nous a transmis ces expériences. Dès cette époque et malgré mon jeune âge, j’ai commencé à prendre conscience de ce qui se passait à l’intérieur du pays, mais aussi à l’extérieur. 1988 est l’année charnière et le tournant de la révolution du peuple musulman algérien pour reconquérir sa Liberté de penser et d’agir contre l’injustice, la pauvreté et la corruption érigée en institution. Le mouvement islamique commence alors à prendre la forme d’un parti politique. Tout le peuple algérien voulait appartenir a ce parti, sauf les mouvements radicaux de la gauche (léniniste, trotskiste, etc).Certes, j’ai été parmi les jeunes gens qui ont encouragé et soutenu ce parti d’opposition, mais quelles que soient mes qualités réelles ou supposées, j’étais bien trop jeune et je ne pouvais pas en être l’un des créateurs ou inspirateurs. Par contre, l’un de mes prof de littérature arabe était un des fondateurs du FIS. En ce qui concerne l’annulation des élections et la constitution des GIA (Groupes islamiques armés), j’étais déjà hors du pays.Comment analysez-vous ces évènements ? La révolution contre le régime dictatorial était une obligation religieuse et une nécessité humaine pour que le pays se débarrasse de la pourriture, et commence à respirer enfin l’air pur de la liberté et de la prospérité. Nous étions pendant trente années (pas glorieuses) sous la direction d’une clique militaire corrompue qui nous a conduit vers un abîme, vers l’extermination de l’esprit inventif, culturel et aussi moral.Pourquoi quittez-vous l’Algérie ? J’ai quitté l’Algérie en 1989 pour le Pakistan, car j’ai eu une envie irrépressible d’aller là-bas après avoir vu un documentaire à la télé en 1987, qui traitait de la situation catastrophique des réfugiés afghans, dans l’indifférence internationale. Je sortais certes à peine de l’adolescence, mais j’étais déjà assez mature pour avoir pris conscience que le constat du malheur des autres ne me suffisait pas, et qu’il me faudrait m’investir personnellement pour être en accord avec mon créateur. Dès lors, toutes mes préoccupations durant les deux années qui ont suivi ont été de trouver le moyen de me rendre au Pakistan.Je me suis donc rendu à Peshawar pour être en contact direct avec les refugiés afghans afin de leur venir en aide. Au début, j’ai rencontré des musulmans de toutes nationalités, puis des arabes musulmans, travaillant avec les organisations humanitaires mais aussi des membres d’organisations non musulmanes, telles que MSF. J’ai mis entres parenthèses mes études d’architecture pour me consacrer à plein temps à l’aide humanitaire.Avez-vous participé à Londres à la rédaction ou à la diffusion d’ El-Ansar, le bulletin clandestin du GIA ? La revue hebdomadaire El-Ansar n’a jamais été le bulletin clandestin ou officieux du GIA. La preuve se trouve dans le communiqué no34 de monsieur Djamel Zitouni, chef du GIA, diffusé le 21/5/1995, où il dénie toute appartenance d’ El-Ansar au GIA. Par contre, il ne faisait aucune objection à ce que El-Ansar reste un supporteur comme tant d’autres de par le monde. Je réitère donc qu’ El-Ansar n’a jamais été particulièrement le porte-parole du GIA ou de tout autre mouvement de lutte. Oui, j’ai participé à la rédaction et à la diffusion d’ El-Ansar qui soutenait tous les mouvements (algérien ou d’autre) combattant les dictatures et les tyrannies.Vous êtes arrêté le 4 novembre 1995 à Londres, car les juges et les policiers vous considèrent comme le «donneur d’ordre» et financier d’actes de terrorisme commis en France. Comment expliquez-vous ces accusations ? Je n’étais pas et je ne suis pas en mesure de donner des ordres à quiconque car je ne possède aucun pouvoir sur quiconque. Ces accusations sont aberrantes. En ce qui concerne le «financier» que je suis censé être, les Britanniques ont confirmé à leurs collègues français que «no bank accounts have been identified which could be associated with Ramda, or the other possible names used» (rapport de l’inspecteur de Scotland Yard John MacMillan du 23/11/1995) (1).L’enquête démontre que le chef du réseau à Paris, Boualem Bensaïd, vous appelle à Londres, juste avant ou après les attentats. Dans le dossier d’accusation, le gouvernement français parle d’enregistrements de conversations téléphoniques entre membres soi-disant du GIA et moi-même ! Ce que je nie catégoriquement. Face à ces affirmations péremptoires, j’ai demandé à pouvoir prendre connaissance de ces fameux enregistrements et que soit procédé à une analyse comparative du spectre. Or, j’apprends maintenant que ces fameux enregistrements n’existent pas. Que dois en conclure ? Est-ce vrai, faux, une coïncidence de dernière minute ? Quant à parler d’un complot…Vous apparaissez dans les carnets d’adresses des poseurs de bombes sous des pseudonymes. Etes-vous Abou Farès ? Dans l’acte de l’accusation, le gouvernement français m’a attribué plus de huit alias, je ne sais d’ou ils viennent ! La presse française, durant ces douze années, a toujours fait croire au public que ces alias et moi-même ne faisions qu’un. Comme dit le proverbe français : «Quand on veut tuer son chien, on prétend qu’il a la rage !» Pour ma part, j’ai essayé au cours de «l’instruction à sens unique» de donner les explications permettant de tirer au clair cette histoire d’alias, mais de toute évidence la vérité n’intéresse pas l’accusation…. Pour moi, confirmer ou nier ne change rien, mais j’aime le nom que mes parents m’ont donné, et jamais je n’en changerai. Quant aux numéros de téléphone qu’on m’attribue, je peux vous confirmer qu’ils ne sont pas les miens.Connaissez-vous Boualem Bensaid et l’artificier Ait Ali Belkacem ? Je suis catégorique : non, je ne connais ni l’un ni l’autre, et je ne les ai jamais rencontré.Mais vos empreintes digitales figurent sur un bordereau de 38 000 francs versés à Bensaïd. Je ne conteste pas les empreintes, mais je conteste les interprétations données d’abord par les services de police français, et ensuite l’instruction faite uniquement à charge afin d’étayer et de donner corps à ce qui est et restera un montage policier.Vous définissez-vous comme un émir du GIA, un fondamentaliste religieux, un membre d’Al - Qaeda ou un simple musulman algérien ? Depuis la Révolution de 1789, les Français sont obsédés par la classification des genres et des gens : «les sans-culottes», «pantalon contre culotte», «sectionnaire contre clubiste», «pétitionnaire contre émeutier», «robespierriste» etc. A croire que pour exister, il faut absolument enfermer les êtres dans des cases ! Je suis un simple musulman qui vit dans les préceptes de sa foi et qui veut vivre en harmonie les principes d’humanité et de justice.Que pensez-vous du combat d’Oussama ben Laden et des attentats le 11 septembre 2001 ? En prison depuis douze longues années, je suis trop loin de la vie sociale, coupé de ce qui passe dans le monde. Je n’ai pas les capacités d’un homme libre pour donner des jugements basés sur mes propre analyses, et je ne peux considérer les informations du monde extérieur que par les analyses de ceux qui font l’information. Je me fais bien sûr ma propre opinion et, pour ce qui est du sujet que vous abordez, je me place davantage sur le point de vue historique que dans l’événementiel.Pouvez-vous comparer vos conditions de détention en Grande-Bretagne et en France ? Belmarsh, ou j’ai passé dix ans en détention provisoire, à l’isolement total dans une unité spéciale haut risque (HSSU), est, je crois, ce qui se rapproche le plus de ce que j’ai pu voir et lire dans la presse sur Guantánamo. J’ai beaucoup souffert du manque total de contact humain,, et plus particulièrement avec ma famille. Le gouvernement anglais a refusé à douze reprises de donner des visas à mes parents pour me rendre visite. Ma situation carcérale en France n’est pas très différente. Dès que j’ai été remis au autorités françaises, j’ai été choqué par la façon irrespectueuse dont les policiers et les personnels penitentiaires se comportent avec les personnes détenues. J’ai d’abord pensé que cette attitude m’était réservée mais j’ai dû me rendre à l’évidence, c’est un comportement généralisé.Qu’attendez-vous de votre procès à Paris ? J’espère que mes explications seront entendues et que les interrogations qu’elles ne manqueront pas de susciter obligeront la Cour à pousser les vérifications. Je me demande pour quelle raison le gouvernement français me juge deux fois pour les mêmes faits. J’ai déjà été condamné à dix ans de prison pour les mêmes chefs d’accusation. Il est à craindre que ce procès soit sous les auspices de l’amalgame et de l’escamotage.(1) «Aucun compte bancaire n’a pu être associé à Ramda, ou à un autre nom qu’il aurait utilisé.»http://www.liberation.fr/actualite/societe/281773.FR.ph
L’occupation assassine trois résistants d’Al-Qassam et 12 Palestiniens en quelques heures
www.palestine-info.info
Les forces de l’occupation israélienne ont assassiné, à l'aube de ce jeudi 27/9, trois résistants des brigades d’Al-Qassam, la branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas qui se sont accrochés avec des forces spéciales de l’armée occupante à l’entrée de la ville de Beit Hanoun au nord de la bande de Gaza.Les forces occupantes ont tué hier soir et ce matin, le jeudi 27/9, douze Palestiniens, blessant également plusieurs autres personnes.
La branche militaire du Hamas, les brigades d’Al-Qassam, a annoncé dans un communiqué militaire dont le Centre Palestinien d’Information a reçu une copie que trois de ses résistants ont été tués alors que trois autres ont été blessés dont l’un dans un état critique.Le communiqué d’Al-Qassam a ajouté que les trois résistants sont tombés en martyre après que l’armée occupante a lancé plusieurs obus contre un groupe de résistants à l’est de la ville de Beit Hanoun.
Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine
Les deux politologues démontrent dans ce livre précis et extrêmement bien documenté qu’Israël a été le pays au monde qui a le plus bénéficié de l’aide économique, militaire et diplomatique américaine depuis la seconde guerre mondiale.
Ed. La Découverte
L’État hébreu a systématiquement et largement été favorisé, soutenu et défendu par l’Oncle Sam, même sur des questions sensibles comme par exemple le développement illégal de l’arme nucléaire, la colonisation des territoires palestiniens ou la violation des Droits de l’Homme. De fait, depuis 1972, les États-Unis ont mis leur veto à 42 résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU critiquant la politique israélienne, y compris lorsqu’il s’agissait de crimes contre l’humanité ou de crimes de guerre, sans compter les nombreuses autres résolutions affaiblies afin d’éviter la mise en accusation d’Israël, qui de toutes façons multiplie les infractions au Droit international sans être jamais inquiété.
Et chaque année, Israël, pays industriel pourtant désormais aussi riche que l’Espagne, continue de recevoir à lui seul plus d’un cinquième de l’aide économique étrangère des États-Unis (soit environ 500 dollars par an et par Israélien), à laquelle il faut ajouter une très importante fourniture d’armes et d’assistance militaire, le Pentagone et Tsahal collaborant étroitement. Plus radicalement, les auteurs affirment entre autres que George W. Bush est entré en guerre contre l’Irak de Saddam Hussein à la demande d’Ariel Sharon et de ses affidés au Pentagone tels Paul Wolfowitz, même si ce n’est pas l’unique facteur, et qu’Al-Qaïda est à l’origine une émanation conjointe des services secrets israélo-américains. De même pour les conflits comme la récente guerre au Liban ou les menaces de guerre nucléaire avec l’Iran qui, sous couvert de lutte contre le terrorisme islamique, sont les résultats de la désastreuse politique commune entre israéliens et américains. Enfin les deux chercheurs n’hésitent pas à dénoncer pour leur partialité en faveur d’Israël les grands médias américains, qu’ils soient journaux ou télévisions de tous bords politiques.
Adoptant un point de vue résolument réaliste, Stephen Walt et John Mearsheimer estiment que l’Etat juif est plus un fardeau qu’un atout stratégique car la protection zélée de Washington, qui va jusqu’à compromettre la sécurité de l’ensemble des pays occidentaux, est extrêment dangereuse, politiquement contre-productive, et stratégiquement néfaste tout autant à l’intérêt national américain qu’à celui d’Israël et à la paix dans le monde. Entre parenthèses, il serait intéressant de connaître l’avis du très atlantiste et très pro-israélien Nicolas Sarkozy, nouveau "caniche" européen de George W. Bush, et de son ministre des affaires étrangères Bernard Kouchner, qui viennent tout juste d’aligner sans aucun complexe la politique étrangère de la France précisément sur celle des Etats-Unis.
Le soutien indéfectible et irraisonné des États-Unis à Israël ne peut s’expliquer ni par des intérêts stratégiques communs ni par des impératifs moraux, estiment les deux auteurs. Arguments, chiffres et documents incontestables à l’appui, ils démontrent clairement qu’un puissant lobby pro-israélien — représenté notamment par l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC, 100.000 membres actifs), quelques autres organisations juives de droite et d’influents cercles de réflexion comme entre autres la Brooking Institution — exerce une influence considérable dans tous les secteurs, de l’administration aux médias en passant par l’université, et travaille activement à l’orientation de la politique étrangère américaine. Ce lobby est soutenu par les nombreux néoconservateurs et chrétiens évangéliques fondamentalistes — tels ceux de Chrétiens Unis pour Israël (pour qui la "renaissance" d’Israël s’inscrit dans un dessein biblique) — tous fervents sionistes largement représentés dans l’administration Bush.
Mearsheimer et Walt estiment in fine que, s’il n’en allait de la sacro-sainte sécurité de la Jérusalem juive, l’Amérique de George W. Bush ne serait aujourd’hui pas autant exposée aux menaces terroristes venant de Syrie, d’Irak ou d’Iran. "Israël n’a pas le poids stratégique que les États-Unis mettent en avant. Israël a pu avoir un poids stratégique pendant la guerre froide, mais il est devenu un handicap grandissant maintenant que celle-ci est terminée", écrivent-ils, ajoutant que "Le soutien inconditionnel à Israël a renforcé l’antiaméricanisme dans le monde, a contribué à alimenter le problème de terrorisme pour les États-Unis, et a affaibli les liens avec des alliés en Europe, au Proche-Orient et en Asie". En conclusion, ils prônent un changement radical de politique envers Israël.
La thèse de Stephen Walt et John Mearsheimer ne présente guère d’éléments nouveaux pour les observateurs de la politique étrangère américaine, la réalité des chiffres et des actes étant difficile à nier. Elle n’a cependant pas échappé à une violente vague de réactions hostiles et de commentaires haineux dans les médias, sans parler des "punitions" (Stephen Walt a par exemple été "démissionné" de son poste de doyen). La polémique tient sans doute au fait qu’il ne s’agit pas d’un simple pamphlet anti-israélien mais d’un très sérieux essai politique rédigé par des intellectuels américains réputés et de plus responsables d’études sur ces questions dans des universités prestigieuses.
L’article à l’origine du livre, prévu initialement pour être publié par la revue américaine Atlantic Monthly qui l’avait commandé en 2002, a été refusé par toutes les revues américaines lorsqu’elles ont pris connaissance du propos. Il a pu être publié quelques jours en mars 2006 sur le site web de la Fac de Droit d’Harvard mais a été précipitamment retiré sous la pression des donateurs et sponsors de l’université. C’est la London Review of Books, vénérable revue littéraire et intellectuelle britannique lue par l’intelligentsia libérale éclairée, qui a finalement eu le courage de publier l’article en version abrégée au printemps 2006, (version française), provoquant un énorme tollé.
Pas un éditorialiste américain, du Los Angeles Times au Washington Post en passant par le New York Times ou The New Republic, sans parler du virulent Daniel Pipes qui diffuse dans tous les médias néo-conservateurs sa propagande sioniste, qui n’ait pris position, le plus souvent pour condamner l’essai de façon méprisante et accuser les deux auteurs d’antisémitisme quant ce n’est pas de pure et simple démence. Certains ont été jusqu’à parler d’un nouveau Protocole des sages de Sion, en référence au célèbre faux antisémite. La plupart des commentaires de la presse ne portaient généralement pas sur les questions soulevées par l’article mais sur les "intentions" de Stephen Walt et John Mearsheimer.
Globalement, le ton de la presse a été celui donné par Eliot Cohen dans le Washington Post : "Si, par antisémitisme, on entend des croyances hostiles irrationnelles et obsessionnelles sur les Juifs ; si on les accuse de manque de loyauté, de subversion et de trahison, d’avoir des pouvoirs occultes et de participer à des tractations secrètes pour manipuler les institutions et les autorités gouvernementales ; si quelqu’un liste systématiquement tout ce qu’il y a d’injuste, de laid et de faux chez les Juifs pris individuellement ou collectivement et en même temps exclut systématiquement toute information à leur décharge, alors oui, cet article est antisémite". Le mois dernier encore, alors qu’ils devaient parler devant le Chicago Global Affairs Council, la réunion avec Walt et Mearsheimer a été annulée au dernier moment pour "protéger l’institution". Certains critiques courageux comme David Remnick dans The New Yorker ont toutefois jugé qu’il n’y avait pas lieu de crier à l’anti-sémitisme et qu’un débat sur le sujet était nécessaire, même s’il est très improbable qu’un tel débat ait lieu pendant l’actuelle campagne pour l’élection présidentielle américaine.
En brisant le tabou sur l’alliance israélo-américaine, les deux intellectuels ont pris le risque de voir briser leur carrière et leur réputation par les groupes de pression qu’ils dénoncent. Ils déplorent l’impossibilité de débattre des relations israélo-américaines, un aspect pourtant central des relations extérieures de la première puissance mondiale, sans se voir systématiquement affublé d’une casquette d’antisémite ou de juif renégat. "Nous ne développons pas une position extrémiste. Notre livre ne met pas en question le droit d’Israël à exister et ne dépeint pas les groupes pro-israéliens comme faisant partie d’une espèce de conspiration contrôlant la politique étrangère des Etats-Unis. Au contraire, il décrit ces groupes et ces individus — des juifs et des non-juifs — comme un groupe d’intérêt dont les activités ne sont pas très différentes du lobby des armes, du lobby agricole ou d’autres lobbies ethniques", se défendent-ils.
Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine de John Mearsheimer et Stephen Walt est publié simultanément par les éditions Farrar Strauss & Giroux (États-Unis), Campus (Allemagne), Kodansha (Japon), Atlas (Hollande), Penguin (Royaume-Uni), Mondadori (Italie) et La Découverte (France).
La République des Lettres
"Depuis la publication du Choc des civilisations dans le magazine Foreign Affairs en 1993, aucun essai universitaire n’avait autant défrayé la chronique." (Michael Massing, New York Review of Books)
" Il se pourrait que l’analyse réaliste que Mearsheimer et Walt présentent de façon si pertinente [...] mette en branle un utile changement de paradigme dans la politique américaine au Proche-Orient ". (L. Carl Brown, Foreign Affairs)
John J. Mearsheimer est professeur de sciences politiques à l’université de Chicago et est l’auteur de The Tragedy of Great Power Politics. Consulter le site personnel de John J. Mearsheimer.Stephen M. Walt est professeur de relations internationales à la Kennedy School of Government d’Harvard. Son dernier livre s’intitule Taming American Power : The Global Response to US Primacy (Traduction française à paraître aux Éditions Demopolis en octobre 2007).
À paraître le 27 septembre 2007
Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine - John J. Mearsheimer, Stephen M. Walt (Traduit de l’américain par Nicolas Guilhot, Laure Manceau, Nadia Marzouki et Marc Saint-Upéry) - La Découverte, Paris, 2007 - 504 p., 20 €
Purification ethnique de la bande de Gaza
Beyrouth – CPI
www.palestine-info.info
Le représentant du mouvement de la résistance islamique Hamas au Liban, Oussama Hamdan, a considéré que la décision de l’occupation israélienne d’annoncer que la bande de Gaza est une entité ennemie représente une annonce de guerre totale contre le peuple palestinien.Il a accusé le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, de présenter des justifications à l’ennemi sioniste.Hamdan a dit dans des déclarations télévisées que la décision de l’entité sioniste de considérer que la bande de Gaza est une entité ennemie porte plusieurs dimensions dont l’annonce de la guerre ouverte contre le peuple palestinien en faisant référence aux agressions continuelles des forces occupantes contre la bande de Gaza et la Cisjordanie, faisant de nombreux martyrs palestiniens.
Il a ajouté que l’occupation israélienne demande au monde de rester muet devant ses crimes perpétrés contre le peuple palestinien à travers cette décision.Le représentant du Hamas au Liban a affirmé que le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a présenté des justifications pour l’occupation israélienne vis-à-vis de cette décision à travers ses condamnations des opérations de lancement de missiles de la résistance palestinienne contre l’occupation et ses déclarations que le Hamas a des relations avec Al-Qaida.
Au sujet du congrès prévu en automne prochain selon l’appel du président Bush, Hamdan a dit que tout le monde sait que ce congrès échouera, parce que la direction américaine n’est pas sérieusement concernée par la réalisation de la paix dans la région.Il a ajouté que ce congrès sera une manifestation sans sens politique en affirmant que son échec va servir le choix de la résistance palestinienne.Il a dévoilé que le premier ministre du gouvernement légal d’unité nationale, Ismaïl Haniyeh, a contacté toutes les parties arabes et islamiques afin d’expliquer la situation palestinienne actuelle en soulignant que la position arabe appelle au dialogue entre le mouvement du Hamas et celui de Fatah.
Le gouvernement du terroriste de Tel Aviv n'est pas celui de la France, c'est un gouvernement de juifs sionistes terroristes travaillant pour Yisrael
Après avoir été chahuté par des manifestants anti guerre américains l’accusant, lui et Bush d’être des va-t-en guerre, à la fin de son intervention il a défendu le programme nucléaire israélien lorsqu’un manifestant a appelé à un Moyen Orient sans nucléaire. Répondant à cet appel à un monde sans arme nucléaire, dont devrait, selon le TNP, se défaire les puissances nucléaires militaires comme la France, les US, la Grande Bretagne, la Chine, la Russie, Israël le Pakistan et l’Inde (bien que ces trois derniers n’aient pas signé le TNP), il a dit « je suis d’accord avec vous ce serait mieux » mais a suggéré que ce n’était pas une solution adéquate face aux réalités de la vie au Moyen Orient.
« Israël est menacé par le président Ahmadinejad » a-t-il dit, se référant probablement au mythe véhiculé par les médias menteurs sur « balayer Israël de la carte », et quand une menace est faite, « nous devons réagir, nous devons nous défendre nous mêmes », « nous devons défendre la démocratie ». Il reprend ainsi, mot pour mot, le discours de Tel Aviv (notez le « nous » significatif de l’adhésion totale de Kouchner au sionisme et ses intentions nucléaires belliqueuses) qui envisage de bombarder les installations nucléaires iraniennes y compris avec des Bunkers Busters, ces bombes nucléaires à pénétration souterraine, fournies gratuitement par les US.
Kouchner, c’est clair, quoi qu’il fasse et dise pour faire croire le contraire, après avoir appelé à une guerre contre l’Iran, endosse donc une guerre nucléaire contre ce pays, par une attaque nucléaire éventuellement menée par l’état sioniste.
Quant à Sarkosy, affirmant avec houtzpa (culot) dans son dernier discours télévisé que l’Iran cherche à fabriquer une bombe atomique, pour semer la peur dans l’opinion publique française, lui aussi répète ce mensonge fabriqué par les américano sionistes.
La bande de parvenus qui s’est emparée de la République avec force magouilles médiatiques, sondages bidon et soutien de l’extrême droite tellement aveuglée par sa haine de l’étranger au point de voter pour un arriviste laquais de Washington et de Tel Aviv, dynamiteur de la République française, va-t-elle plonger la France dans une guerre « sans fin », une guerre qui pourrait être la 4 ème Guerre Mondiale (la Guerre Froide ayant été considérée par beaucoup comme la 3ème) ?
Experts en brouillage de l'information
À partir de la fin 2006, les actions terroristes du GSPC-AQMI vont donc encore s’intensifier dans le Nord de l’Algérie. Et pourtant, étrangement, une fraction des « décideurs » algériens les plus en vue et certains journalistes « sécuritaires » vont commencer à faire état publiquement comme (presque) jamais auparavant de leurs doutes sur les liens organiques entre le GSPC et Al-Qaida, invoquant plutôt la main, derrière les chefs du groupe djihadiste, d’« autres intérêts », du « grand banditisme », de la « mafia politico-financière », voire de « capitales étrangères ».
Les fissures au sommet du pouvoir et l’affaire Brown & Root-Condor
Avant d’examiner les détails de ce surprenant retournement, il est indispensable de rappeler le contexte politique de l’Algérie de 2006, plongée dans une crise profonde, à la fois sociale, économique et politique, et dont les clans qui la dirigent s’inscrivent de façon complexe dans les conflits géopolitiques des grandes puissances actives dans la région (principalement la France et les États-Unis, mais aussi la Russie, la Chine et les riches États du Golfe arabo-persique)[116].
Paradoxalement, alors que l’économie réelle (hors pétrole et gaz) est sinistrée, jamais le pays n’a été aussi riche : l’explosion des prix des hydrocarbures a accru de façon vertigineuse les ressources de l’Algérie, laquelle dispose désormais de dizaines de milliards de dollars de réserves de change. L’énormité de ce « gâteau » a exacerbé l’appétit des clans du pouvoir : certains d’entre eux, surtout liés aux réseaux de la « Françalgérie » (mais aussi à d’autres acteurs internationaux comme la Russie) et utilisant la figure déclinante du président Bouteflika, ont commencé en 2006 à contester la domination du « clan Tewfik », exercée presque sans partage depuis sa victoire de 1998 contre le « clan Zéroual ».
Cette conjoncture, ainsi que plusieurs autres facteurs, explique que la « coupole » des dirigeants algériens est depuis lors traversée par une féroce lutte de clans pour le contrôle des richesses du pays, aussi violente que celle des années 1996-1998. Sur le plan interne, le général Mohammed « Tewfik » Médiène n’a pu atteindre son objectif d’une « sortie de crise » qui aurait permis d’instaurer durablement un nouveau mode de pouvoir assurant à son clan à la fois l’impunité de ses crimes contre l’humanité commis au cours des années 1990, une relative paix sociale et la certitude de maintenir (à son profit et à celui de ses enfants) le pillage organisé des ressources du pays.
En effet, l’« autoamnistie » de février 2006 a renforcé les blocages à tous les niveaux de la société : les familles des victimes de la « sale guerre » contestent les mesures destinées à les faire taire, l’opposition islamiste critique l’interdiction de toute activité politique imposée à ses membres et l’opposition dite « républicaine » est sortie laminée de son soutien aux militaires dans les années 1990 – car les chefs du DRS l’ont marginalisée après l’avoir efficacement utilisée comme relais de désinformation, en particulier auprès des médias et des politiques français. S’ajoute à cela le maintien de l’état d’urgence instauré en février 1992 et la répression interdisant tout rassemblement et débat autour des « années de sang ». Parallèlement, la dégradation des conditions de vie d’une grande majorité d’Algériens est telle que les émeutes sont devenues quasi quotidiennes depuis 2003.
Cette crise larvée explique le discret ralliement autour de la figure de Bouteflika, afin de contrer le clan Tewfik, d’une fraction significative des « décideurs » algériens (y compris sans doute certains des généraux de l’ANP écartés par Tewfik Médiène, au premier rang desquels le général Mohammed Lamari, « démissionné » en août 2004 de ses fonctions de chef d’état-major de l’armée, et qui avait été pourtant un adversaire de Bouteflika). Pour cette coalition de circonstance, Bouteflika est bien moins un leader qu’un commode paravent. Son objectif principal : casser l’alliance stratégique que le général Tewfik avait nouée – au détriment de la France – avec les États-Unis et qui s’était traduite par l’attribution à des firmes américaines de très importants contrats d’exploitation des hydrocarbures algériens.
Le net rapprochement d’Alger avec Moscou, très vraisemblablement poussé par le « clan Bouteflika », s’est traduit à partir de 2006 par la conclusion de grands contrats d’achats d’armements russes (pour quelque 15 milliards de dollars[117]) et le resserrement des liens entre les grandes compagnies pétrolières et gazières russes et Sonatrach pour l’exploitation des hydrocarbures algériens, jusque-là chasse (presque) gardée des firmes américaines[118].
C’est dans ce contexte qu’éclate, au cours de l’été 2006, une très étrange affaire qui défraiera au cours des mois suivants la chronique de la presse algérienne, laquelle se gardera bien toutefois d’en donner les clés, sauf de façon très cryptée : celle de la firme algéro-américaine Brown & Root-Condor (BRC).
Au-delà des disputes autour des commissions qu’aurait touchées le clan Tewfik sur les affaires de BRC, une des clés de l’affaire, qui a contribué de façon décisive à durcir la lutte des clans, sera donnée en novembre 2006 par l’article publié sur le Web d’un journaliste indépendant, Madjid Laribi (dont nous avons pu vérifier le sérieux)[120]. Selon celui-ci, à une date indéterminée (sans doute début 2006), les services de renseignement militaire russes (GRU) ont révélé aux chefs de l’armée algérienne le trucage par les services américains des systèmes de communications sophistiqués récemment achetés aux États-Unis par BRC pour le compte de l’état-major général.
Mars-avril 2007 : attentats terroristes et messages codés
Le 10 décembre 2006, survient un étonnant attentat, revendiqué dès le lendemain sur son site par le GSPC : à Bouchaoui (près d’Alger), un bus transportant des salariés de la société BRC est mitraillé, faisant deux morts (un Algérien et un Libanais) et plusieurs blessés (dont un Américain et quatre Britanniques). Pour la première fois depuis 1992, une cible américaine est frappée par le « terrorisme islamiste ». Le lieu (ultra-sécurisé) et les circonstances de cette attaque indiquent d’emblée que ses commanditaires sont à chercher ailleurs que dans les maquis de Boumerdès...
Très curieusement, si une partie de la presse algérienne voit là classiquement la main d’Al-Qaida (d’autant plus que « la branche irakienne de la nébuleuse terroriste de Oussama Ben Laden salue, dans un communiqué publié par la vitrine web du groupe salafiste, l’attaque “anti-américaine” de Bouchaoui[121] »), les réactions d’autres journaux et de certains responsables politiques rompent avec cette vulgate jusque-là unanime et évoquent des pistes internes. Ainsi, le ministre de l’Intérieur Yazid Zerhouni, réputé hostile au « clan Tewfik » et rallié au « clan Bouteflika », déclare que le communiqué du GSPC revendiquant l’attentat « n’est qu’un document » et qu’« aucune piste n’est écartée pour le moment[122] ». Parallèlement, la journaliste d’El-Watan Salima Tlemçani, relais habituel des thèses du DRS (elle avait jusque-là souvent affirmé la thèse du GSPC instrument d’Al-Qaida), évoque bizarrement les « raisons qui font craindre que l’attentat puisse porter l’empreinte de la mafia politico-financière[123] », recourant au vocabulaire codé habituel des périodes où se durcissent les affrontements entre clans du pouvoir.
Un imbroglio comme à l’habitude difficile à décrypter. Mais que nombre d’observateurs avertis interprètent aujourd’hui ainsi : l’attentat du GSPC contre BRC (donc, paradoxalement, d’un instrument du clan Tewfik contre l’une de ses sources d’enrichissement) serait un « message » adressé par le chef du DRS à la fois à ses adversaires algériens du clan Bouteflika et, surtout, à ses partenaires – publics et privés – américains. En substance : démontrer à ces derniers qu’ils vont devoir, pour préserver leurs intérêts économiques en Algérie, continuer à y soutenir les plus forts ; et admettre qu’ils ne peuvent se couper du clan Tewfik, puisqu’il n’existe pas d’autre interlocuteur valable.
De janvier à septembre 2007 (date de rédaction de cet article), le GSPC-AQMI va multiplier les attentats spectaculaires, qui susciteront presque à chaque fois de la part des membres ou tenants du « clan Bouteflika » des questionnements de plus en plus explicites sur la véritable nature de cette organisation – questionnements très rarement relevés par les médias occidentaux, lesquels interprètent au contraire cette nouvelle acmé terroriste comme une menace plus sérieuse que jamais contre les intérêts occidentaux, en particulier français[124]. En bref, plus les Occidentaux mettent l’accent sur la menace islamiste internationale, plus certains officiels algériens la réduisent.
Le 3 mars 2007, dans la wilaya d’Aïn-Defla (au lieudit Hayoun), un attentat à la bombe contre un bus transportant des travailleurs de la compagnie russe Stroitransgaz fait quatre morts, dont un Russe. Revendiqué deux jours plus tard par le GSPC-AQMI, il n’est guère médiatisé, alors qu’il s’agit de la première attaque meurtrière contre des ressortissants étrangers depuis que le GSPC est devenu AQMI.
Le 14 mars 2007, le président Bouteflika lui-même déclare dans une interview : « Des actes terroristes sont encore commis de temps en temps. Ces actes sont le fait du grand banditisme. Ils n’ont rien d’idéologique. Nous nous attelons à les combattre pour y mettre un terme définitif[126]. » Lorsque le journaliste lui demande si les Européens doivent prendre au sérieux les menaces d’un GSPC affichant des ambitions régionales, le président répond : « Il faut faire la part des choses entre la réalité et la propagande, et restituer les choses dans leur juste proportion. Et les Européens le savent, eux, qui sont très bien renseignés sur ces questions. » Étranges assertions, certes codées, mais qui tranchent inhabituellement avec le discours classique des relais médiatiques du DRS et dont le « message » serait le suivant : pour Bouteflika, les responsables du terrorisme doivent être recherchés au sein même du pouvoir algérien (voire chez leurs soutiens aux États-Unis, ce que n’ignoreraient pas les services de renseignements européens). Près de quatre ans plus tôt, le président algérien avait fait une déclaration analogue[127], ce qui semble indiquer que, malgré ses autres discours « langue de bois » sur le terrorisme, il n’a jamais été dupe sur ses véritables commanditaires (comme d’ailleurs, avant lui, le président Liamine Zéroual).
L’expression de ce « doute » par le clan Bouteflika sera plus explicite encore après les terribles attentats d’Alger du 11 avril 2007, revendiqués le jour même par le GSPC-AQMI par un appel téléphonique à la chaîne télévisée arabe Al-Djazira. Présentés par la presse comme des attentats suicides, ils ont ciblé le Palais du gouvernement et le siège de la « Division est » de la Police à Bab-Ezzouar, faisant trente morts et plus de deux cents blessés. Deux jours après, le ministre de l’Intérieur Yazid Zerhouni déclare qu’« il ne faut pas exclure qu’il y ait d’autres intérêts ne voulant pas voir l’État algérien se ressaisir, se restructurer et fonctionner de manière plus efficace[128] ».
De façon très surprenante de la part d’un quotidien qui, jusque-là, n’avait eu de cesse de se féliciter du réchauffement des relations algéro-américaines, El-Watan va enfoncer le clou. Le 15 avril, il accuse explicitement les États-Unis d’instrumentaliser le « terrorisme islamiste », dans un article qui mérite d’être largement cité : « Le Maghreb, notamment l’Algérie, est-il sur le point de faire les frais de luttes géopolitiques que se livrent les USA et la France au moyen du terrorisme islamique ? On assiste depuis environ une vingtaine d’années à une même constante : tous les pays du tiers monde où ont été faites de grandes découvertes de pétrole et de gaz ont été victimes de déstabilisation où le terrorisme islamiste (qu’il soit local ou international avec Al-Qaida) semble être l’acteur le plus souvent impliqué. [...] Il est incontestable que le Maghreb et plus profondément les pays du Sahel (Mali et Nigeria) par où passera l’oléoduc en provenance du Nigéria, intéressent beaucoup les Américains et l’enjeu consistera à évincer l’Europe, et plus particulièrement la France, de cette zone pour laquelle les USA ont un intérêt vital, tout particulièrement depuis la découverte d’hydrocarbures en Mauritanie. [...]
Une analyse globalement fort pertinente, comme on a très rarement l’occasion d’en lire dans la presse algérienne « indépendante ». À l’évidence, comme les déclarations codées de Bouteflika et Zerhouni, il s’agit là d’un « message » aisément décryptable par les habitués du sérail algérien : c’est le DRS (allié aux Américains) qui est derrière les attentats du 11 avril. Ce qui est très probablement la vérité, distillée notamment par… les chefs du DRS eux-mêmes, pour « signer » leur crime aux yeux de leurs adversaires au sein de la coupole.
Vers la fin du GSPC et de la lune de miel algéro-américaine ?
Par ces attentats made in DRS, le clan Tewfik vise ainsi notamment à affaiblir le clan Bouteflika, pour brider ses velléités anti-américaines. Et cette « stratégie de la tension » va se poursuivre au cours des mois suivants. Lors de l’été 2007, le GSPC-AQMI multiplie les attentats, souvent meurtriers, contre les forces de sécurité (mais aussi contre des civils), principalement en Kabylie et dans l’est du pays. Et cela alors même que l’armée conduit sans discontinuer des offensives de grande envergure contre les maquis islamistes.
Le 11 juillet, l’explosion d’un camion piégé dans une caserne militaire de Lakhdaria, à l’est de la capitale, fait au moins dix morts ; il s’agirait d’une opération kamikaze, mais le ministre Zerhouni émet des doutes à ce sujet[130]. Le 27 août, l’un des principaux « décideurs » algériens, le général-major Smaïl Lamari, âgé de 66 ans, meurt d’un infarctus. Mais la disparition du numéro deux du DRS, qui fut comme on l’a vu le grand ordonnateur de la manipulation de la violence islamiste depuis 1990, ne paraît pas changer la donne. Quelques jours plus tard, le 6 septembre, un kamikaze fait exploser sa bombe dans la foule qui attendait une visite du président Bouteflika à Batna : bilan : vingt-cinq morts et plus de cent blessés. Et deux jours après, le 8 septembre, un nouvel attentat kamikaze au camion piégé frappe une caserne des gardes-côtes à Dellys (ville portuaire de Kabylie), faisant trente-quatre morts et plus de soixante blessés. Le jour même, le GSPC-AQMI revendique, par un communiqué à Al-Djazira, les attentats de Batna et Dellys (comme il l’aurait fait le 13 juillet, selon la presse algérienne, pour celui de Lakhdaria – bien que ce communiqué n’ait pas été publié sur le site du GSPC-AQMI).
Et, à nouveau, les ténors du clan Bouteflika désignent explicitement d’autres commanditaires qu’Al-Qaida. Le président lui-même met en cause des « laïques » et des « dirigeants étrangers » : « Nous rejetons aussi bien l’extrémisme des islamistes que celui des laïques […]. Les auteurs d’actes terroristes œuvrent pour le compte de capitales étrangères et de dirigeants étrangers[131]. » Et pour Zerhouni : « Il y a des éléments et des intérêts qui ne veulent pas que l’Algérie revienne sur la scène internationale. […] Je n’exclus pas que les auteurs des attentats ont un contact avec l’étranger, mais je ne peux pas l’affirmer. […] L’attentat de Batna peut être exécuté par des éléments de Batna, mais probablement préparé de l’étranger[132]. » Ce que confirme Bouguerra Soltani, le président du MSP (parti islamiste « modéré » allié à Bouteflika) : « La prise de position de l’Algérie sur certaines questions internationales n’est pas du goût de quelques capitales[133]. »
Alors que certains experts français du terrorisme (mal informés ?) ne veulent voir dans ces dénonciations que le recours à la vieille antienne de la « main de l’étranger », « stratégie assez classique pour se désengager d’un problème et rassurer les partenaires[134] », c’est bien évidemment, comme au printemps 2007, le clan Tewfik et son allié américain qu’elles visent, désormais presque explicitement. Se confirme ainsi à nouveau l’hypothèse que se rejoue le sinistre scénario des massacres de 1997-1998 que nous avons déjà évoqué, quand le DRS utilisait les GIA contre le président Zéroual. Autre similitude avec cette période : comme alors pour les GIA, au cours du printemps et de l’été 2007, plusieurs articles des journalistes sécuritaires algériens évoquent les « lourdes pertes » du GSPC-AQMI, les nombreuses défections et dissensions qui l’affaiblissent, ses sursauts sanguinaires de « bête blessée », tout en mettant en avant de nouveaux groupes armés qui contesteraient l’organisation « salafiste » (de la même façon qu’en 1998, le GSPC était présenté comme un challenger des GIA). Comme si le DRS préparait, au cas où, une relève au GSPC...
Les articles les plus explicites à cet égard sont ceux de l’honorable correspondante du DRS à El-Watan, Salima Tlemçani, qui écrit en mai 2007 : « Pour de nombreux spécialistes, le GSPC est en train de vivre les moments les plus durs de son existence, comme cela a été le cas pour le GIA de Antar Zouabri, entre 1997 et 1999, avant qu’il ne disparaisse pour revenir progressivement avec un autre nom, le GSPC, et maintenant Al-Qaida pour le Maghreb[135]. » Et elle fait état de l’émergence d’un nouveau groupe, qui défrayait très épisodiquement la chronique sécuritaire depuis le déclin du GIA, le Houmat daâwa salafiya (HDS, protecteur de la prédication salafiste, déjà crédité en 2003 d’une centaine d’hommes[136]), opposé au GSPC-AQMI : « [Un] communiqué du HDS, une centaine d’éléments activant entre les wilayas de Médéa, Aïn-Defla et Tipaza, se démarque [du GSPC-AQMI] et dénonce les attentats du 11 avril. [...] Ce communiqué de deux pages, signé par Abou Djaâfar Essalafi, émir de l’organisation, compare les attentats à l’explosif dans des lieux publics à ceux commis “par les déviationnistes du GIA qui ont connu la dépravation par degré […] dans le but d’éloigner les musulmans de l’Islam. […] Avec ces attentats, ce sont le sang et la vie sacrés des musulmans qui ont été bafoués, alors que Dieu a proscrit toute atteinte à leur âme, dans plusieurs versets du Coran. […] Ces déviations devant lesquelles nous ne pouvons nous taire, vont certainement nous porter atteinte et à notre action”. [...] Les salafistes du HDS, d’anciens vétérans de la guerre d’Afghanistan, ont une stratégie différente en matière de terrorisme. Ils sont plus proches des talibans, en matière d’organisation (écoles coraniques, campements fixes d’entraînements, des opérations criminelles dirigées en groupe contre les forces de sécurité, opposés à la tactique des faux barrages et du racket). Ce qui n’est pas le cas pour le GSPC qui agit en faisant le contraire. La réaction du HDS était prévisible et va ouvrir un autre front contre les troupes de Droudkel[137]. »
Quatre mois plus tard, après les attentats meurtriers de Batna et Dellys, ce scénario made in DRS d’un déclin du GSPC-AQMI et de son émir national Abdelmalek Droukdel (en poste depuis août 2004) est confirmé par les « journalistes sécuritaires » : la direction de Droukdel serait contestée en raison de sa politique d’attentats suicides et une rencontre nationale des chefs de l’organisation aurait eu lieu dans la seconde semaine de septembre dans les monts de Lakhdaria pour le destituer et désigner un nouvel émir[138]. Alors qu’on dit Hassan Hattab prêt à la reddition depuis plusieurs années, il aurait écrit une lettre se plaignant de la non-application des décrets de la loi de réconciliation nationale (laquelle, selon lui, devrait permettre à sa famille de bénéficier de dédommagements, puisque plusieurs de ses frères ont été tués au maquis[139]). Il menace de reprendre les armes et les journalistes sécuritaires annoncent qu’il aurait de bonnes chances de redevenir l’émir du GSPC, qui voudrait se défaire de son appartenance à Al-Qaida et de ses méthodes pour redevenir « algérien »[140]...
Au Sahara, il semble que ce soit une autre partition qui se joue. Depuis le printemps 2006, plus aucune action n’est attribuée au groupe de l’émir de la zone sud du GSPC, Mokhtar Belmokhtar ; la presse algérienne n’évoque, épisodiquement, que des accrochages entre ce groupe et les rebelles touaregs, ou quelques opérations de l’armée contre lui. Comme si le DRS avait abandonné ce « front », devenu inutile depuis que l’affaire des otages de 2003 et l’attaque de la caserne mauritanienne de 2005 ont durablement installé le mythe de la présence d’Al-Qaida au Sahel. Est-ce pour cette raison que, début juillet 2007, les États-Unis semblent prendre le relais du DRS pour accréditer à nouveau cette présence ? En effet, alors que, selon plusieurs articles de la presse algérienne, Belmokhtar négocierait « pour se rendre aux forces de sécurité », le directeur du FBI, Robert S. Mueller, en visite au Maroc, annonce qu’un nouveau groupe terroriste serait apparu au Sahara : nommé « Ansar Al-Islam au Sahara musulman », il serait actif « dans la zone mauritanienne dite “Adrar”, située au sud-ouest de la Mauritanie. Les responsables du FBI considèrent que ce groupe s’affaire à recruter des individus des trois pays, le Maroc, la Mauritanie et l’Algérie[141] ». Ce que confirme, le 13 juillet, le site Web du think tank américano-israélien MEMRI (Middle East Media Research Institute), qui cite longuement le communiqué, daté d’avril 2007, que le groupe aurait publié le 28 juin sur divers sites islamistes pour annoncer sa création et ses objectifs (« conduire le djihad contre les régimes nord-africains et le Front Polisario, et en particulier contre le Maroc »)[142].
Une chose est en tout cas certaine : la lune de miel algéro-américaine des années 2001-2005 semble bien terminée. À partir du début 2006, c’est-à-dire au moment même où le clan Tewfik pro-américain commence à voir sa prééminence mise en cause par le clan Bouteflika, plutôt pro-français et pro-russe, l’Algérie officielle prend ses distances avec les États-Unis. En témoignera notamment le long feuilleton du projet affirmé par le Pentagone, fin 2006, d’implanter rapidement en Afrique un commandement régional de l’armée américaine (Africom), qui permettrait le contrôle des armées locales pour coordonner la lutte antiterroriste dans la région[143] : fortement pressentie pour abriter le siège de l’Africom, l’Algérie opposera une fin de non-recevoir à cette demande.
http://www.algeria-watch.org/fr/aw/gspc_etrange_histoire_partie_5.htm
Sarkosy declenche une guerre contre le Maghreb
Reportage terrorisme Algérie gia 3eme partie
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Reportage terrorisme Algérie gia 4eme partie
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La France-Israel seme la guerre du choc des 'civilisations'
A bon entendeur Salaam,
Iran : Que va faire la France dans cette nouvelle guerre américaine ?
Il faut prendre en considération avec attention la montée subite de ce flot de fuites et d’avertissements qui bruissent à Washington et dans les rédactions.
Qu’ils proviennent de fonctionnaires sincèrement inquiets de la nouvelle tournure prise par la situation, ou qu’il s’agisse d’une campagne sciemment orchestrée, comme Jim Lobe l’avait annoncé, ils concourent à créer un état de fait, une accoutumance.
Le Telegraph illustre cet article avec les infographies de sinistre mémoire (pour partie fausses, d’ailleurs - cf infra) où s’alignent les silhouettes des forces en présence et les « cartes d’état major ».
Le décor médiatique est planté. La « justification » de la guerre n’est même plus interrogée. Son spectre est déjà là.
Le raccourci, la perpétuelle confusion entretenue entre programme nucléaire - parfaitement licite faut-il le rappeler, y compris l’enrichissement - et arme nucléaire, résout avant même de l’avoir posée la question du pourquoi.
Nous assistons cinq ans après la campagne hystérique anti-irakienne, qui a conduit aux résultats que l’on sait, à la réédition du même stratagème.
Les accusations fausses, la présentation biaisée du dossier, l’évocation de « terribles menaces » - créées de toutes pièces - destinées à provoquer la peur et paralyser la réflexion, préparent insidieusement à accepter une guerre que certains ne tarderons pas à nous présenter comme la seule solution, déplorable certes, mais nécessaire, attristante mais inévitable.
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A la différence de 2002 où la France a eu le courage de s’opposer au nom de la raison et du droit aux folles aventures concoctées à la Maison Blanche, la nouvelle équipe au pouvoir semble accepter par avance la légitimation de la guerre.
Comment ne pas qualifier d’irresponsables les propos du ministre des affaires étrangères ?
La France, par sa voix, agite la menace des armes contre une nation qui elle, à l’heure actuelle, ne menace personne.
Le différent qui existe au sujet du processus de contrôle international sur le programme nucléaire iranien fait l’objet d’une négociation qui a enregistré sous la conduite d’El Baradei des progrès notables, et qui semble-t-il déplaisent à certains, en permettant l’établissement d’un calendrier contraignant pour l’apurement des griefs de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique à l’encontre de Téhéran.
Agiter la menace d’une intervention militaire en ces circonstances ne peut conduire qu’à amenuiser les chances de succès de la diplomatie.
Quel pays accepterait sans réagir de se voir traité ainsi alors qu’il ne fait - jusqu’à preuve du contraire - que revendiquer l’exercice d’un droit souverain, garanti par les traités dont il est signataire ? La légitimité pour l’Iran de la poursuite du programme nucléaire iranien, initié du temps du Shah, est incontestable.
A de nombreuses occasions l’Iran a fait des appels du pied à l’occident pour normaliser sa situation. En 2003, Téhéran a adressé via les diplomates suisses une note proposant l’ouverture de négociations qui a été délibérément ignorée par le Département d’Etat.
Téhéran - qui à l’époque avait suspendu l’enrichissement de l’uranium - proposait alors de mettre tous les problèmes sur la table, du nucléaire à la coopération anti-terroriste avec les USA, du soutien à l’initiative de paix saoudienne à l’arrêt du financement des groupes palestiniens.
Interrogée par le sénat américain en février de cette année à ce sujet, Mme Rice a eu le front de répondre qu’elle ne se souvenait pas de cette affaire [1].
Comment Mme Rice peut-elle prétendre cela alors que M. Tim Guldimann, l’ambassadeur suisse en Iran qui avait transmis le document iranien au Département d’Etat commentait ainsi le contenu de la proposition :
« J’ai la nette impression qu’il y a une volonté forte de la part du régime de résoudre tous les problèmes avec les USA en ce moment, et que ce document est un essai pour y parvenir »
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La guerre préparée à Washington n’a - encore une fois - rien à voir avec le droit international ou la sécurité collective.
Elle fait partie d’un programme dont l’objectif avoué est de réduire au silence toute opposition à Washington, quelle qu’en soient la forme ou la nature.
L’Iran est dans la ligne de mire américaine depuis la prise d’otage de 1979. Les cercles néoconservateurs ne pardonneront jamais au régime de Téhéran l’humiliation subie alors.
La Maison Blanche est fermement décidée à en découdre, et les progrès de la diplomatie lui importent finalement peu.
Mais au moment où se profile une nouvelle guerre américaine, que vient faire la France dans cette aventure ?
Les écarts de langage de Kouchner sont sans doute la manifestation d’une personnalité vibrionnante aux impulsions mal maîtrisées.
L’homme qui justifiait en 2002 l’invasion de l’Irak n’est de toute évidence pas fait pour la fonction qu’il occupe, qui requiert plus de mesure dans l’expression et moins de fascination pour la lumière vive des plateaux de télévision.
Mais au delà du cas Kouchner, c’est la politique étrangère de la France qui est à la dérive.
Il est temps, grand temps, qu’une voix - tel Védrine pour ne pas le nommer - s’élève pour mettre en garde nos concitoyens sur l’abîme qui menace.
Contre Info
Le déploiement de forces américaines
Depuis le début de la crise, les spécialistes militaires s’accordent à penser que le déploiement de trois porte-avions constituerait le signal annonciateur d’une attaque.
L’infographie du Telegraph reproduite ici recense le porte avion Enterprise et le groupe d’assaut amphibie du Kearsarge, mais elle omet de mentionner celui du Bonhomme Richard, présent sur zone.
D’autre part, le porte-avion Nimitz qui participait il y a peu aux manœuvres « Malabar » avec l’Inde est annoncé en route vers le Golfe, et enfin le Truman est stationné à Norfolk, en l’attente d’un mission dans la région.
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1245
Dans leur résistance contre l’envahisseur, Al-Qassam donne quatre martyrs dont un chef de terrain
Dans le camp de réfugiés palestiniens d’Al-Barij, au centre de la bande de Gaza, le nombre de martyrs s’est élevé à quatre résistants et le nombre de blessés à huit. Parmi les martyrs se trouve un chef de terrain faisant partie des brigades d’Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas.
Des sources médicales palestiniennes ont trouvé deux corps de deux martyrs palestiniens après la retraite des forces de l’occupation sioniste de l’est du camp d’Al-Barij et du quartier de Johr Al-Dik, et après que cette agression a laissé de grands dégâts.
Plus tard, les brigades d’Al-Qassam ont confirmé la tombée en martyre du chef de terrain Emad Reziq Harob Abu Hadjir, 35 ans, qui était tombé en martyre pendant les durs affrontements avec les forces d’invasion israéliennes.
Quelques heures auparavant, le jeune homme Mohammed Ka’ib Al-Kafafi, 17 ans, a été écrasé par un bulldozer militaire israélien. Son corps est arrivé à l’hôpital Chohada Al-Aqsa, dans un tel état qu’il était difficile de l’identifier.
Notons que les tanks de l’occupation israélienne sont arrivés à trois cents mètres seulement de la rue principale du centre de Gaza, Salah Al-Din, épaulés par des bulldozers et des hélicoptères Apache.
La résistance irakienne dispose d’une nouvelle arme meurtrière
Les vidéos récemment diffusées par les groupes d’insurgés montrent des hommes lançant au passage des patrouilles de l’armée américaine des explosifs aux effets dévastateurs.
Ce qui peut sembler surprenant dans ces images, c’est le peu de distance de sécurité dont les lanceurs disposent. Se tenant à quelques mètres du véhicule visé, ils ne subissent apparemment pas la violence de l’explosion.
Un reportage de CBS News, repris par le site Rawstory, révèle la nature de cette arme.
Il s’agit d’une grenade anti-tank RKG-3, d’origine russe, suffisamment petite et légère pour être dissimulée sous un vêtement avant d’être lancée au passage d’un véhicule.
Munie d’un parachute, elle redescend verticalement afin de diriger sur la cible l’impact très concentré provoqué par une charge creuse.
il s’agit là d’une arme extrêmement meurtrière. Un gradé américain interrogé par CBS indique qu’il a perdu cinq hommes fin juillet lors d’une embuscade menée avec ces grenades, et que lui-même a échappé à la mort après qu’un de ces engins ait été jeté, par dessus un mur, sur sa jeep.
Depuis l’apparition de ce nouveau matériel, les patrouilles n’ont plus aucune sécurité. A tout moment, un passant à l’allure innocente peut provoquer la mort.
Sabra et Shatila : 25 ans se sont écoulés
Le 17 septembre 1982, les camps de réfugiés de Sabra et Shatila près de Beyrouth ont été le théâtre d’un terrible massacre, ou d’une série de massacres, accomplis de la part d’Israël par les forces phalangistes "chrétiennes" armées par Israël.
Pendant près de 48 ans, les bêtes cannibales ont frappé les camps, maison après maison et cabane après cabane, tuant, mutilant et violant.
Personne ne connaît le nombre exact de victimes, mais selon divers récits, le nombre se trouve entre 2000 et 3500.
La nature de ces atrocités complètement similaire à celle des Nazis était aussi terrifiante que manifeste. Les corps humains se trouvaient dans tous les coins, toutes les rues, toutes les maisons, partout. Les corps noircis sentaient la chair grillée à cause des décharges électriques qui avaient frappé leur corps, avec les câbles électriques toujours attachés à leurs membres dépourvus de vie. Les parties de leur corps détachées de leur buste étaient éparpillées ici et là. Les femmes horriblement violées, avec leurs jambes honteusement déchirées, se retrouvaient même sans une couverture pour préserver leur dignité au moment de la mort.
De nombreuses femmes ont été tuées alors qu’elles cuisinaient dans leur cuisine. Un petit garçon en lange, sans tête, reposait près de deux femmes tuées. Des nourrissons massacrés étaient entassés, leur corps noirci, commençant à se décompenser. Les gorges des enfants étaient tranchées, et les morceaux de leurs corps putréfiés gonflaient sous la chaleur. Des familles entières ont été exécutées ou hachées jusqu’à la mort, avec leur sang éclaboussé sur les murs de leur maison. C’était une nouvelle mise en scène d’Auschwitz, avec des Palestiniens impuissants pour victimes, et des Juifs insolents pour malfaiteurs.
Le massacre de masse a été fait avec le consentement et la bénédiction d’Israël. Après tout, c’était l’armée israélienne qui avait armé les criminels, qui leur avait permis d’accéder aux camps et qui avaient surveillé le massacre minute après minute, heure après heure. La nuit, l’armée a « aidé » les assassins pour la localisation de plus en plus de victimes en tirant des fusées éclairantes sur les deux camps.
Et lorsque certains réfugiés affolés tentaient de s’enfuir, faisant appel à quelque fragment d’humanité que ce soit qu’ils pensaient que l’armée de l’occupation aurait pu avoir, on les faisait retourner avec le canon de pistolet pour faire face à une mort brutale définitive par les chiens d’Israël.
A Tel Aviv, le gouvernement israélien, aidé par les médias contrôlés par les Juifs en Amérique du Nord, a cherché à se dérober de toute responsabilité et à dévier les reproches. Puis le premier ministre israélien Menahem Begin, le « héro » du massacre de Dir Yassin, a fait la remarque suivante, plutôt confiant : « C’étaient des Arabes tuant des Arabes, qu’est-ce que nous, Juifs, avons à faire de ce qui s’est produit ? ».
J’étudiant pour mon diplôme de Master à l’Université d’Illinois Sud à Carbondale lorsque les massacres ont eu lieu. Et en regardant les médias américains, j’ai remarqué que la façon par laquelle le massacre était traité par les prétendus « poseurs d’agendas » donnait l’impression que la véritable histoire n’était pas le massacre en soi et le crime brutal de milliers de réfugiés sans défense, mais plutôt le massacre « antisémite » contre Israël et les Juifs.
Les massacres de réfugiés palestiniens à Sabra et Shatila n’étaient pas un tonnerre dans un temps clair. Ils avaient été méticuleusement préparés et supervisés par l’armée israélienne, notamment Ariel Sharon, qui était probablement le principal organisateur du massacre. Sharon est maintenant dans un profond comma depuis environ deux ans. Peut-être que Dieu est en train de le punir pour les dizaines de milliers de vies innocentes qu’il a tuées au nom du nationalisme juif absolu. Eli Hobeika, le commandant phalangiste qui a directement supervisé le massacre brutal, en association avec Sharon et Yaron, a été assassiné il y a quelques années de là à Beyrouth. Mais Yaron et plusieurs autres criminels de guerre restent en dehors de la portée de la justice. Qu’ils périssent tous en enfer !
Traduit et résumé par le CPI
Lettre ouverte à M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République
Les plus "jeunes" parmi l'effectif des moudjahidine vivants, de la Guerre de Libération Nationale, ont atteint aujourd'hui – en cette fin 2007 - un âge minimum de 65 / 70 ans, âge vénérable où, dans nos sociétés musulmanes en particulier, l'on se prépare à comparaître devant son Créateur, portant chacun, le poids de ses propres actes. Terrible rendez-vous s'il en est, définitif et sans lendemain, dont l'unique issue est l'Eternité.
Votre vieil ami,
Abdelkader Dehbi
14 septembre 2007
http://www.hoggar.org/index.php?option=com_content&task=view&id=335&Itemid=46
Les USA et leurs mentors israeliens ont perdu leur empire
La guerre en Irak peut provoquer l'effondrement de l'Empire Américain – Apprendre de la Chute de Rome, avertissement du Contrôleur Général US.
« Les points de vue de Mr Walker ont du poids car c'est une personnalité non partisane en charge du bureau de la responsabilité gouvernementale souvent décrit comme le bras chargé des enquêtes du Congrès US. »
Apprendre de la Chute de Rome, avertissement du Contrôleur Général US.
David Walker, contrôleur général des US, a fait une estimation inhabituellement alarmiste du futur de son pays dans un rapport qui expose ce qu'il a appelé « des simulations effrayantes à long terme ».
Celles-ci incluent des augmentations « dramatiques » des impôts, des réductions importantes des services du gouvernement, et des gouvernements étrangers se débarrassant massivement d'avoirs concernant la dette américaine.
Tirant des parallèles avec la fin de l'Empire Romain, Mr Walker a averti qu'il y avait des«similitudes frappantes » entre la situation actuelle et les facteurs qui ont amené à la chute de Rome, dont « le déclin des valeurs morales et de civisme politique au sien de la nation, une armée trop sûre d'elle et sur déployée en terres étrangères et une irresponsabilité fiscale de la part du gouvernement central. »
« Cela semble familier » a dit Mr Walker. « De mon point de vue, il est temps d'apprendre de l'histoire et de prendre des mesures pour s'assurer que la République Américaine est la première à résister au test du temps ».
Les points de vue de Mr Walker ont du poids car c'est une personnalité non partisane en charge du bureau de la responsabilité gouvernementale souvent décrit comme le bras chargé des enquêtes du Congrès US.
Tandis que la plupart de ses études sont commandées par les législateurs, environ 10 % - telles celle contenant ses derniers avertissements – sont à l'initiative du contrôleur général lui-même.
Dans une interview accordée au Financial Times, Mr Walker a dit qu'il avait mentionné certains des problèmes avant mais que maintenant il voulait « monter le volume « . Certains problèmes étaient trop sensibles pour d'autres personnes au sein du gouvernement pour « qu'ils aient leur nom d'associés avec. »
« J'essaie de sonner l'alarme et de lancer un appel au réveil » a-t-il dit. « En tant que contrôleur général j'ai la capacité de regarder d'une plus grande distance et de m'occuper de problèmes auxquels d'autres peuvent hésiter à se confronter et dans bien des cas ne sont pas en position de la faire. »
« L'une des préoccupations c'est que nous sommes certainement un grand pays mais que nous faisons face à des défis majeurs en terme de viabilité que nous ne prenons pas suffisamment au sérieux » a dit Mr Walker, qui a été nommé à ce poste pour 15 ans pendant l'administration Clinton.
Le déséquilibre de la balance fiscale cela veut dire que les US sont « sur la voie de l'explosion de la dette. »
« Avec le départ imminent à la retraite de la génération du baby boom, des coûts en matière de santé qui montent en flèche, des taux d'épargne en chute libre, et une dépendance accrue des prêteurs étrangers, nous faisons face à des risques fiscaux sans précédents » a dit Mr Walker, un ancien directeur exécutif de la société d'audit PwC.
La politique US actuelle en matière d'éducation, d'énergie, d'environnement, d'immigration et sur l'Irak est aussi sur une « voie non soutenable ».
« Notre prospérité réelle repose sur des demandes plus importantes en matière d'infrastructures physiques. On aura besoin de milliards de dollars pour tout moderniser, des autoroutes et aéroports aux systèmes d'eau et de tout à l'égout. L'effondrement récent d'un pont à Minneapolis a été un réveil salutaire. »
Mr Walker a dit qu'il offrirait aux candidats à la présidentielle de les informer au printemps prochain.
«Ils ont besoin de faire de la responsabilité fiscale et de la participation inter générationnelle l'une de leurs priorités principales. S'ils le font, je pense que nous avons une chance de renverser la situation mais s'ils ne le font pas, je pense que le risque d'une crise sérieuse va augmenter considérablement. »
Jeremy Grant, Washington 14/08/07 – Copyright Financial Times Limited 2007 / FT.com
Traduction Mireille Delamarre pour http://www.planetenonviolence.org/
Qui veut déstabiliser l’Algérie ?
Derrière cet attentat, le président Bouteflika a dénoncé « des capitales étrangères et des dirigeants étrangers », pendant que son ministre de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, précisait que c’est « le retour de l’Algérie sur la scène internationale qui, visiblement, gêne certains intérêts étrangers ». Bien que l’attentat n’ait pas encore été revendiqué, il a eu lieu dans le contexte d’une offensive globale menée par « l’Organisation Al-Qaida au Maghreb islamique », connue sous le nom du GSPC (Groupe salafiste de prédication et du combat) avant sa fusion avec Al-Qaida, le 11 septembre 2006. Le 11 avril 2007, deux attentats suicides avaient visé le Palais du gouvernement à Alger et le quartier général oriental de la Police à Bab Ezzouar, faisant 30 morts et plus de 200 blessés.
Une analyse de ce que M. Zerhouni appelle le retour de l’Algérie sur la scène internationale, révèle, depuis 2006, un fort rapprochement entre le groupe au pouvoir en Algérie, autour de M. Bouteflika, et la Russie et l’Iran, autour de l’idée de créer une nouvelle OPEP du gaz. Les relations entre la Russie et l’Algérie se sont considérablement réchauffées depuis janvier 2007, avec la signature d’un important contrat d’armes entre les deux pays (15 milliards d’euros) et d’un traité de coopération ambitieux au niveau des hydrocarbures. A noter également le fait que, suite à une visite d’Etat du président vénézuélien Hugo Chavez en Algérie, en mai 2006, Bouteflika a décidé d’annuler une loi offrant aux compagnies pétrolières internationales un retour au système des concessions en vigueur avant l’Indépendance.
L’augmentation des attentats coïncide étrangement avec cette réorientation de la politique étrangère algérienne, et des médias telles qu’Al Watan n’hésitent pas à établir un lien entre ces actes de « terrorisme » et les pressions faites par l’administration Bush/Cheney pour obliger les pays du Maghreb à accueillir des bases militaires américaines, sous l’égide de l’Africom (Africa Command), ce que le gouvernement Bouteflika a refusé.
Notons que dans la même période, Bouteflika a lancé une attaque contre Dick Cheney, en démantelant Brown, Root and Condor, une « joint venture » créée en 1994 par un gouvernement précédant, entre la compagnie pétrolière d’Etat Sonatrach et une filiale de Halliburton, Kellog, Brown, Root, pour gérer des contrats pétroliers et d’armement. Ancien PDG de Halliburton, Cheney continue encore à percevoir des revenus importants de cette compagnie.
Des commentateurs pourraient conclure hâtivement à une bataille sur les matières premières algériennes opposant les Etats-Unis à la Russie. Cependant, l’anglophile Cheney, dont la femme Lynne est contrôlée par des intérêts financiers britanniques, ne représente pas les intérêts bien compris des Etats-Unis, mais ceux de l’Empire britannique, qui pousse aujourd’hui à une nouvelle guerre froide entre ces deux pays. Seule une collaboration russo-américaine pourrait rétablir la paix dans cette région, a déclaré Lyndon LaRouche le 7 septembre.
Tueurs d’enfants par excellence
Recherchant à démoraliser les Palestiniens afin qu’ils se soumettent et qu’ils se rendent, l’armée de l’occupation israélienne a tué avec sang-froid, le mercredi 29 août, trois enfants palestiniens au nord de la bande de Gaza.
Selon des témoins oculaires, un tank israélien a tiré un grand obus d’artillerie sur un quartier nord de Gaza, tuant trois enfants de la même famille.
Les enfants, que les médias israéliens, ralliant la désinformation de l’armée, a qualifié d’« adolescents », ont été identifiés comme étant Muhammed Ghazal, 10 ans, Yahya Ghazal, 12 ans, et Sara Ghazal, âgée elle-aussi de 10 ans.
Selon la famille des victimes, les enfants étaient en train de jouer au Tag dans l’arrière-cour de leur maison lorsque l’obus d’artillerie les a frappés, les tuant sur le coup et mutilant leurs corps fragiles.
Ce n'est pas le Sheykh Abu Abdillah
« Teignez cela avec une autre couleur et n’employez pas la teinture noire. »
et dans une version « en évitant la teinture noire. »
« Il y a aura à la fin des temps des gens qui se teindront la barbe en noir comme les gésiers des pigeons. Ceux-là ne sentiront pas l’odeur du Paradis. »2*
1* : Rapporté par Muslim dans le chapitre du vêtement (n° 2102).
2* : Rapporté par Abû Dâwûd dans le chapitre qui se rapporte aux soins des cheveux (n°4212), par An-Nassâ’î dans le chapitre de la parure (n°8/138), et par Ahmad (n°1/273).
Discours Sheikh Ibn Laden en français
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Pourquoi Bouteflika accuse la France-Israel de terrorisme ?
Par : Zahir Benmostepha, Liberté, 8 septembre 2007
Ces accusations prennent tout leur sens, particulièrement, si l’on admet que l’Algérie aujourd’hui constitue une donne à même de gêner d’une manière significative des intérêts étrangers d’ordre politique, économique et énergétique dans la région. Si l’on a à spéculer sur l’identité de ces capitales étrangères et dirigeants étrangers mis en accusation par le premier magistrat du pays, avouons qu’on a un plateau de choix rien que dans l’actualité.
Les propos tenus par le président de la République Abdelaziz Bouteflika juste après l’attentat criminel de Batna, ce jeudi, peuvent avoir l’effet d’une bombe. En effet, les déclarations du chef de l’État tranchent singulièrement avec la littérature officielle développée autour des évènements tragiques qui émaillent une scène nationale résolument tournée vers une paix où les tenants d’un islamisme politique violent n’ont plus de place. Aujourd’hui, si “la main étrangère” est mise en cause, dans le discours du président, elle prend des contours précis.
D’autant mieux que cette sortie de Abdelaziz Bouteflika procède manifestement d’une logique qui veut que l’Algérie est en train de bousculer, par sa réémergence sur la scène internationale à la faveur d’une agressivité diplomatique retrouvée, une carte géopolitique dont elle est l’un des enjeux.
Le président de la République accuse et appelle “un chat par son nom”. “Ces personnes (les auteurs de l’attentat) œuvrent pour le compte de capitales étrangères et de dirigeants étrangers”, devait déclarer Abdelaziz Bouteflika.
Ces accusations prennent tout leur sens, particulièrement, si l’on admet que l’Algérie aujourd’hui constitue une donne à même de gêner d’une manière significative des intérêts étrangers d’ordre politique, économique et énergétique dans la région. Si l’on a à spéculer sur l’identité de ces capitales étrangères et dirigeants étrangers mis en accusation par le premier magistrat du pays, avouons qu’on a un plateau de choix rien que dans l’actualité. À la faveur de l’accession de Abdelaziz Bouteflika à la magistrature suprême, l’Algérie est revenue en force sur la scène internationale. Elle a aujourd’hui des arguments de poids pour dire non !
Elle s’oppose à l’installation de bases américaines sur son sol,
elle agrée du bout des lèvres l’ambitieux projet du président français d’une union méditerranéenne.
Elle n’hésite pas à dénoncer un contrat gazier qualifié volontiers de “contrat du siècle” avec des géants espagnols dans le secteur énergétique.
Elle persiste à défendre le droit d’autodétermination du peuple sahraoui.
Elle refuse toujours la normalisation des relations avec l’État d’Israël.
En somme, elle refuse un ordre établi et se révèle très entreprenante pour le bouleverser. Ce sont donc des raisons, et pas les seules, qui constituent autant de motivations à faire remonter le temps à l’Algérie et faire revivre les années de sang.
La Resistance Islamique d'Iraq detruit les desseins israeliens de guerre sunnites-shias au Moyen Orient
Un Front du Djihad et du Changement en Irak En prévision du retrait des troupes d'occupation, la Résistance Irakienne se réorganise et constitue un Front du Djihad et du Changement composé de 8 groupes de résistance Huit groupes de la Résistance Armée Irakienne ont annoncé le 6 septembre 2007, la constitution d'un nouveau front, « pour faire face à la situation qui sera créée par le prochain retrait des forces d'occupation et répondre à un besoin légitime de réorganisation ».
Escalades des provocations israeliennes au Moyen Orient
Le président US George W. Bush a fait une apparition dans la province irakienne rebelle d'Al-Anbar, hier, en partie afin de souligner le ‘succès' du renforcement militaire là-bas, en prévision de la présentation du Rapport Petraeus à Washington. Dans le (ou les quelques) mois devant nous, c'est à Washington que sera livrée la bataille de/sur l'Irak, et s'il y a un pays dont on ne cessera d'entendre parler, encore et encore, de tous les côtés les plus divers et varié, ce sera bien : Israël. Par George Friedman > analysis@stratfor.com Vous pouvez réagir à cette analyse en écrivant à George Friedman, à l'adresse mél ci-après : analysis@stratfor.com
Israël, en effet, sera convoqué au débat en tant qu'allié dans la guerre contre le terrorisme – qui est la raison principale pour laquelle, ne l'oublions pas, les Etats-Unis se sont embringués dans cette guerre. D'aucuns diront qu'Israël a poussé les Etats-Unis à envahir l'Irak à seule fin de servir ses propres intérêts. D'autres diront même que c'est Israël qui a orchestré les attentats du 11 septembre 2001 à ses propres fins. D'autres encore vous diront que si les Etats-Unis avaient soutenu Israël plus résolument, il n'y aurait pas eu de 11 septembre…Il n'y a sans doute pas d'autre relation bilatérale au sujet de laquelle les gens soient aussi partagés que la question des relations américano-israéliennes. Par conséquent, à partir du moment où l'on sait qu'elle sera soulevée durant les prochaines semaines – d'autant que Bush a décidé de lambiner au sommet Asie-Pacifique de coopération économique, en Australie, sur le chemin du retour – c'est le moment où jamais de prendre en considération la dimension géopolitique des relations américano-israéliennes.Commençons par quelques évidences politiques. Il y a, aux Etats-Unis, une communauté juive relativement peu nombreuse, bien que son influence politique soit magnifiée par son implantation stratégique dans des Etats particulièrement sensibles comme New York, et que cette communauté soit plus activement impliquée dans la politique que certains autres groupes ethniques.La communauté juive (américaine), c'est là d'ailleurs une tendance dans n'importe quel groupe humain, est profondément divisée sur bien des sujets. Elle tend à être unanime, en revanche, sur une question : Israël.
Source : http://www.stratfor.com/ ISM Traduction : Marcel Charbonnier
Jeudi 06 Septembre 2007
George Friedman
Source :
http://www.alterinfo.net
Sarkosy travaille activement a un coup d'etat a Alger, pour maintenir 'ses freres' de la junte et ainsi eviter le TPI
Al-Rachad (http://rachad.org), «Le bon sens», mouvement politique fondé par des Algériens réfugiés en Suisse, au Royaume-Uni et en Allemagne, a été lancé le 18 avril depuis Londres. Le groupuscule veut renverser le président Abdelaziz Bouteflika et son régime. Pour parvenir à ses fins, il drague aussi bien des sympathisants islamistes (MSP, ex-Hamas algérien) que des membres du FLN (ex-parti unique) ou du FFS (socialiste). Et il s’adresse tant à la diaspora qui a jeté l’ancre en Europe qu’aux résidents cantonnés en Algérie.
Le mouvement - et non le parti - aspire à un «Etat de droit et à la bonne gouvernance», et propose «au peuple algérien une alternative pour un changement radical du système politique». Trois des cinq membres fondateurs vivent en Suisse: Abbas Aroua enseigne à la Faculté de médecine de Lausanne; Mourad Dhina est un ancien collaborateur du CERN et de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich; Rachid Mesli travaille pour l’organisation arabe des droits de l’homme Al-Karama à Genève.
Leur charte dénonce «la façade civile» d’un gouvernement contrôlé par «l’oligarchie militaire» et fustige la dislocation sociale et la crise économique qui gangrènent l’Algérie. Les dissidents récusent la «dictature de Bouteflika»: le parlement est réduit à «une simple chambre d’enregistrement», et les institutions sont «asservies» à la Direction des renseignements et de la sécurité (DRS), service de l’armée nationale et colonne vertébrale du pouvoir.
Ces accusations virulentes se nourrissent de la réalité d’un pays en faillite: malgré des ressources naturelles extrêmement riches (50 milliards de dollars issus du seul pétrole dans les caisses de l’Etat en 2006), le taux de chômage est écrasant et plus de 40% des femmes sont encore analphabètes. Ces chiffres incarnent la paupérisation d’un peuple assommé par une décennie de violences: 150000 morts, 2 millions de déplacés et 20000 «disparus forcés».
Les ingrédients sont donc réunis pour battre le rappel des troupes. En deux mois d’existence, Al-Rachad affirme être fort d’un millier d’adhérents algériens, et d’une bonne poignée d’exilés de l’intelligentsia. Le mouvement politique mijote «une action civique symbolique», où il orchestrerait des grèves massives qui paralyseraient le pays et contraindraient le pouvoir à composer avec ses revendications. Voire à «abdiquer».
Dans un français irréprochable, l’ex-leader par intérim du FIS, Morad Dhina, se défend de relayer tout discours propagandiste. Mais il confesse volontiers entretenir des liens «quasi permanents» avec le leader historique du FIS, Abassi Madani, et son bras droit Ali Belhadj.
Quelle influence s’apprête à exercer Al-Rachad, et en tirant quelles ficelles? Une plateforme euro-atlantique chargée de surveiller les cellules islamistes dormantes ayant une vitrine sur Internet garde un œil attentif sur le mouvement.
En attendant, la campagne de recrutement bat son plein et Al-Rachad envisage de se doter de sa propre chaîne télévisée. Directeur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (Cermam) à Genève, l’Algérien Hasni Abidi souligne: «C’est la première fois que des islamistes influents s’ouvrent autant. C’est bon pour leur image. C’est donc un moyen de recruter le plus possible.» A Londres, Mohamed Larbi Zitout, pilote du projet d’Al-Rachad, résume sans détour son objectif: «Nous pensons organiser une sorte d’Intifada, de manifestation nationale […]. Il y aura toujours un prix à payer. L’Algérie, ce n’est pas la Géorgie, on ne peut pas réussir une révolution qu’avec des fleurs.»
A 70 ans, le chef de l’Etat est actuellement en passe de modifier la Constitution pour pouvoir briguer un troisième mandat en 2009, en dépit d’un état de santé affaibli. Abdelaziz Bouteflika a été élu président de la République démocratique et populaire d’Algérie en 1999, après le retrait de ses six adversaires qui dénonçaient un scrutin aux dés pipés. L’état d’urgence, décrété en 1992, est toujours en vigueur. Il permet, entre autres, d’étrangler la liberté d’association et de réunion.
Son cheval de bataille est la très controversée Réconciliation nationale (inspirée par la Concorde civile de son prédécesseur démissionnaire, Liamine Zeroual). Elle a offert l’immunité aux dissidents des années 1990 en échange de leur reddition. Le mois dernier, l’Assemblée issue des urnes des législatives est probablement lachambre la plus mal élue depuis l’indépendance du pays en 1962, avec un taux d’abstention record dépassant 65%, et des irrégularités électorales dénoncées notamment par la Commission politique nationale de surveillance des élections législatives.
http://mecanopolis.wordpress.com/2007/09/03/en-finir-avec-la-dictature-de-bouteflika/
Smain Lamari et Tewfik ont des bureaux a la DST dans Paris
Le général Smaïn était-il un agent de la DST?
En avril 1990, le général Mohamed Betchine, alors patron des services secrets algériens, congédiait le colonel Smaïn Lamari. Il le soumet à un contrôle et une surveillance des plus strictes. L’accusation portée contre celui qui était, alors, son assistant était ignoble : intelligence avec les services français de la DST.
Le général Betchine avait chargé un des ses hommes de confiance, le commandant Abderrahmane dit « le tigre », de son vrai nom Haddad, nouvellement désigné chef de la division de sécurité intérieure, de monter un dossier prouvant la culpabilité du colonel Smaïn Lamari.
Que pouvait-on mettre dans ce dossier ? Que le général Smaïn était en contact avec la DST française? Ce n’était un secret pour personne puisqu’il était l’interlocuteur officiel des services français dans le cadre de la coopération depuis le temps où le général Lakehal Ayat était à la tête des services algériens. Il est vrai que le général Mohamed Betchine, ancien maquisard de l’ALN n’arrivait pas à digérer la coopération algéro-française d’autant que les échanges étaient inégaux et la partie algérienne jouait tout simplement le rôle d’agent exécutant des ordres de son homologue d’outre-mer. Mais, quel était le tort du colonel Smaïn si les Algériens ne faisaient que répondre aux doléances des français sans une grande partie sur le plan du renseignement ? Les grandes lignes de cette coopération algéro-française étaient tracées en haut lieu et les services secrets algériens n’avaient qu’à exécuter les ordres de la présidence.
A l’époque de Chadli, faut-il le rappeler, les généraux Lakehal Ayat et Mohamed Betchine qui se sont succédés à la tête des services secrets algériens n’avaient pas le dixième de la puissance que possède aujourd’hui le général Tewfik.
Comme les contacts officiels qu’avait le colonel Smaïn avec la DST ne suffisaient pas pour l’accabler, il fallait trouver autre chose.
A l’époque, le colonel Smaïn pilotait une opération sous le nom de code « affaire yafa ». Cette opération consistait à soutirer des renseignements de quelques cadres du groupe palestinien d’Abou Nidal sur les otages français et belges arrêtés en novembre 1987 à bord d’un bateau de plaisance que le groupe Abou Nidal disait avoir arraisoné au large de la ville palestinienne Gaza. C’est ce qu’on appelait « l’affaire Silco » du nom du bateau intercepté.
Menacé par son compagnon d’arme, Abderrahmane Aïssa dit Abou Samer, le cerveau des opérations qui ont fait parler du groupe Abou Nidal dans le monde, s’est réfugié en Algérie pour échapper à une mort certaine que lui promettait Abou Nidal. Avant lui, Abou Farah, le porte parole de ce groupe, avait fait de même. C’était une époque où Abou Nidal menait une opération de liquidation des cadres de la résistance palestinienne. Une de ses victimes les plus illustres était son adjoint, Abou Nizar. D’autres chefs palestiniens feront les frais de cette folie meurtrière qui s’était emparée de Abou Nidal, dont Abou El Hawl, le patron des services secrets palestiniens et Abou Iyad, le numéro 3 de l’OLP.
En trouvant refuge en Algérie, Abou Samer et Abou Farah informent les Algériens que le bateau Silco contrairement à ce qu’on croyait avait été arraisonné aux larges des côtes libyennes par les gardes du colonel Kadhafi et que les otages ont été certes transféré dans le camp du groupe Abou Nidal, mais que leur libération dépendait du bon vouloir des autorités libyennes.
Pour le général Smaïn c’était là une aubaine pour les services algériens qui jouaient les intermédiaires depuis trois ans dans cette affaire pour tirer les choses au clair. La libération des otages qui passerait par Alger rehaussera l’image des services algériens et de l’Algérie. Les Algériens se gardaient d’informer les français. Ils préparaient leur coup avec minutie pour éviter toute confrontation directe avec la partie libyenne. Une confrontation qui risquait de déboucher sur une crise diplomatique.
A l’époque, lorsque le général Betchine avait présenté le dossier au président de la république pour lui demander son feu vert pour monter l’opération contre les services libyens, Chadli Bendjedid eut pour seule réponse « Vous ne m’avez rien dit. Je n’ai rien entendu. Faites ce que vous voulez, mais vous n’avez pas droit à l’erreur ». De retour au siège de la DGDS, le général Mohamed Betchine convoqua Smaïn et l’officier en charge du dossier palestinien pour leur répéter ce que lui avait dit le président de la république. Il conclut « C’est aussi ma réponse à vous ».
Une fois sorti du bureau du général, le colonel Smaïn dans un élan patriotique, il faut le lui reconnaître, prit sur lui la responsabilité de mener cette opération qui avait pour finalité de rehausser du prestige des services secrets algériens. Et ainsi, l’opération « yafa » est lancé. C’était au mois d’octobre 1989.
Au mois de novembre, Abou Farah l’ex porte-parole du groupe Abou Nidal quitte Alger pour se rendre à Tunis où l’attendait Abou Iyad. Ce dernier était le patron d’un des services secrets palestiniens « El-Amn El-Mowahed » (La sécurité unifiée). Il était en contact direct avec la DST française. Amine El-Hindi son adjoint était l’interface entre les deux services. Abou Iyad avait invité Abou Farah à une réunion tenue à Tunis avec les services français et à laquelle aurait assisté le colonel Rondot aux dires de Abou Farah. Cette réunion permit aux français de glaner une bonne partie des renseignements obtenus par les Algériens auprès des transfuges du groupe Abou Nidal.
Du coup, les français n’avaient plus besoin des services algériens et entrent directement en négociations avec les libyens. Ils seront aidés par le clan Bourokba, la belle famille de Chadli qui ordonna à Betchine d’arrêter l’opération que menaient ses services. Pour cela, ils le mettent en garde contre le colonel Smaïn et lui demandent de le limoger. Le clan Bourokba mené par le Dr Amine Bourokba, frère de Halima l’épouse de Chadli, avait un énorme complexe des services secrets. Amine Bourokba voulait coûte que coûte faire partie des services secrets. D’ailleurs, en 1990 il se fera désigner par Betchine comme représentant de l’Algérie au siège de l’UNESCO à Paris pour le compte de la DGDS en remplacement du commandant Chafik Mosbah, un des plus brillants officiers.
Le colonel Smaïn avait senti le coup. J’étais l’un des rares à qui il en avait parlé. Il me tenait en estime et quand il voulait tempérer de mon ardeur en me voyant me révolter contre certains anachronismes il me conseillait en me disant « va doucement Hichem. Ecoute-moi, je suis ton grand frère ». Il flairant un sale coup venant du général Betchine, mais il n’avait jamais soupçonné qu’on allait l’accuser d’intelligence avec les services français. Il avait déjà fait l’objet d’un premier limogeage à l’arrivée de Betchine à la tête des services. Mais, recevant un contre ordre d’en haut, Betchine le rappela et lui confia la division opérationnelle avant de le désigner à la tête de la Division de la Sécurité Extérieure .Peu après, il le nommera assistant du DGDS.
A quelques jours de son second limogeage, le général Betchine improvisa une réunion de l’état major de la DGDS un vendredi matin en faisant appeler les officiers chez eux. Moi-même qui n’était que capitaine et sans faire partie de l’état-major je fus convoqué en dernière minute parce que comme l’avait précisé le général Betchine je tenais un dossier sensible, celui des Palestiniens. Seul absent de marque à cette réunion : le colonel Smaïn. Celui qui occupe la fonction d’assistant du général Betchine. Au cours de cette réunion, le patron de la DGDS laissait entendre clairement que les services algériens étaient infiltrés par la DST. L’allusion était faite au colonel Smaïn. Les présents ne bronchaient pas. J’étais offusqué par ces insinuations malsaines. Je prenais la parole pour faire remarquer au général Betchine que les informations que détenaient les services français au sujet de « l’affaire Silco », ils l’avaient obtenues du palestinien Abou Farah. Et que cela avait fait l’objet d’une note qui lui avait été adressé à temps.
A la fin de la réunion, un officier supérieur vint me voir pour me dire « mais ça va pas, Hichem ? Tu contredis le général… » Je lui rétorquais « C’est pour qu'il ne soit pas induit en erreur ». Et ce commandant de me glisser à l’oreille « T’as pas compris ... c’est Smaïn qui est visé ». Pour beaucoup de ces officiers présents, une dizaine, Smaïn était à terre et personne n'osait prendre sa défense. Certains d'entre eux ont certainement marché derrière son cerceuil hypocritement.
Le lendemain, lorsque je l’interrogeais sur son absence, le colonel Smaïn semblait tomber des nus. « Je n’étais pas au courant » me dit-il. Et il me sort une note de service que lui avait adressée le général Betchine. Une note laconique par laquelle il lui est demandé que les comptes-rendus qu’aura à faire l’assistant du DGDS à son patron doivent se faire verbalement et plus par écrit. Autrement dit, le colonel Smaïn peut être déjugé à tout moment. Il n’aura aucune preuve écrite en sa faveur. Et puis, voyant de la fenêtre le Général s’approcher du bâtiment où nous nous trouvions, il me dit « vas y, Hichem, vaut mieux sortir. Il ne faut pas qu’il te voit avec moi. Sinon, il va t’accuser de comploter avec moi ».
Trois jours plus tard, le colonel Smaïn est assigné à résidence surveillée. Une brigade des services opérationnels qui étaient sous ses ordres faisait le fixe devant son domicile. Sa ligne téléphonique est placée sous contrôle. Du jour au lendemain, le numéro 2 de la DGDS est passé de l’autre côté de la barrière. Des officiers larbins et lâches qui lui faisaient carpettes montent sur leurs chevaux et clament tout haut qu’ils ne souhaitent qu’une chose ; faire l’interrogatoire du colonel.
Au lendemain de la mise à l’écart du colonel Smaïn, un certain nombre d’officiers qui ont travaillé avec lui sont convoqués par la police judiciaire de la DGDS. Comme j’étais en charge du dossier palestinien et notamment l’affaire Silco, les adversaire du colonel Smaïn comptaient beaucoup sur moi pour l’accabler.
Mon audition par la, police judiciaire les décevra énormément. Le commandant Haddad dit « le tigre » est allé voir au général pour lui dire que j’avais refusé de parler d’un dossier qui n’a pas à être entre les mains des services de la sécurité intérieure. Et tout ce que j’ai à dire sur ce sujet, je le dirais au général Betchine. « Le tigre » voulait obtenir du général le feu vert pour user de ses sales méthodes fortes pour m’arracher un témoignage contre le colonel Smaïn. Mohamed Betchine connaissant ma droiture et mon franc parler lui déconseilla de me convoquer une deuxième fois et qu’il s’en occupera personnellement.
Le 1er mai 1990, alors que j’étais dans mon bureau, vers les coups de 16 heures alors que je m’apprêtais à rentrer chez moi (nous étions un jour férié), le général Betchine me téléphone et m’invite à aller le voir dans son bureau. Cinq minutes plus tard j’étais face à un homme qui était mal en point. Sur un ton gêné, il me demande « que s’est-il passé avec les gars de Abderrahmane (le pseudo de service du commandant Haddad) ? ». Je lui ai répondu « Mon général, Je ne peux pas admettre qu’un officier de ma génération m’interroge sur l’intégrité d’un officier qui a fait les preuve de son patriotisme en s’engageant dans l’ALN. Je ne peux pas admettre qu’on m’insinue que le colonel Smaïn soit un agent des services secrets français. Si vous avez des conflits entre chefs ne nous impliquez, nous jeunes officiers, dans vos querelles. Si on accuse, aujourd’hui, un ancien Moudjahid d’intelligence avec services ennemis qu’en dirait alors de nous demain ? Pour un oui pour un non on nous traitera de traîtres facilement »
Le général Betchine avec lequel j’ai toujours eu un langage franc et direct m’approuva en faisant signe de la tête et changea de sujet pour me parler de la situation générale du pays. Il parlait avec beaucoup d’amertume. Il faisait le constat de l’échec du pouvoir. Il me parla de son espoir de voir la nouvelle génération prendre les choses en main.
Plus tard, une fois que nous avions tous les deux quitté l’armée, le général Betchine m’expliqua ses actions menées contre le colonel Smaïn. Elles lui étaient dictées d’en haut me dit-il. « Moi, je n’avais aucune intention contre Smaïn en arrivant aux services. Mais lorsqu’on m’a désigné à la succession de Lakehal-Ayat on m’avait dit « il faut assainir les services ». J’ai alors procédé à des changements en mettant à la retraite ceux que j’estimais dépassés par la nouvelle donne. Une fois la restructuration faite, on m’a dit encore qu’il faut assainir. Je leur ai répondu que j’ai assaini et que j’ai changé tout l’encadrement. Ils m’ont dit « pourquoi gardes-tu Smaïn ? » Le lendemain, je l’ai envoyé chez lui. Trois jours plus tard, on m’appelle pour le reprendre sous prétexte qu’il venait de perdre son père et qu’il fallait aller doucement dans son limogeage. Quelques mois après, on me relance en me demandant la tête de Smaïn. Je l’ai limogé. Et voilà qu’ils l’affectent à la sécurité de l’armée. »
Effectivement, une semaine ne s’était pas écoulée sur sa mise à l’écart de la DGDS qu’il est nommé inspecteur général à Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée. C'était ainsi que fut récupéré le colonel Smaïn Lamari par la mafia qui dirige le pays. Il fallait le mettre en conflit avec quelqu'un de son bord (lBetchine et Smaïn étaitent tous deux des anciens de l'ALN qui n'ont jamais appartenu aux DAF) pour qu'ensuite on lui offre sur un plateau un epromotion au moment où il pensait perdre pied.
Moins de six plus tard, j’ai vu de mes propres yeux ceux qui se bousculaient pour l’interroger sur ses « accointances avec les services français » et qui s’étaient empressés de sortir leurs couteaux pour le planter sur un homme qu’il croyait fini, étaient les premiers à aller se mettre au garde à vous devant lui et s’incliner devant lui. Smaïn venait d’être nommé Directeur Central du Contre-espionnage (la sécurité intérieure). C’était en octobre 1990. Je venais de tirer ma révérence en demandant ma radiation des rangs de l’ANP.
Au mois de décembre de la même année, le colonel Smaïn me téléphone à la maison et m’invite à aller le voir dans son bureau à Dely Brahim. Il m’avait reçu chaleureusement en me demandant « qu’est-ce tu fais actuellement ? » Je lui ai répondu « je suis chez moi et je collabore à El-Hadef (seul hebdomadaire sportif à l’époque) par passion. » Il me proposa de choisir une wilaya où je me sentirais à l’aise pour diriger le bureau de sécurité dans le cadre des préparatifs des élections législatives prévues pour avril 1991. N’ayant suivi aucune formation en sécurité et n’étant pas porté sur ce genre d’activités, j’ai décliné l’offre bien qu’ils étaient nombreux ceux qui rêvaient de diriger un bureau de sécurité de wilaya. Cela permettait d’avoir au moins un appartement, un lot de terrain à bâtir et un local commercial. Le tout sera vendu à l’issue de la mission et ça fait un bon petit magot.
Mais, je n’étais pas du genre à chercher à m’enrichir de cette manière. Je suis partisan du slogan "Zawali wefhel" (pauvre mais barve) et je le suis toujours. Cependant, j’avais profité de cette proposition pour lui rappeler « mon colonel, vous m’avez toujours que vous êtes un grand frère pour moi » Il me répondit par l’affirmative. Je lui sors, alors, ma demande de radiation en lui demandant de m’aider à obtenir ma radiation. Une fois assuré que je tenais fermement à quitter l’armée, il me dit « t’en fais pas. Je t’aiderai même quand tu seras dans la vie civile » -« Non, aide-moi juste à obtenir ma radiation et dans le civil je saurai me débrouiller.» lui avais-je rétorqué. « D’accord, va la remettre à El-hadj (le directeur des Ressources Humaines) et je m’en occuperai ». C’étaient les derniers mots échangés avec le colonel Smaïn et c’était la dernière fois que je le rencontrais. C’était en décembre 1990. Cela fait 17 ans.
J’ai tenu à apporter ce témoignage par soucis d’honnêteté pour que la mémoire de l’homme ne soit pas souillée par de fausses accusations. J’ai certes réagi violemment à sa disparition pour la simple raison que le colonel Smaïn que j’ai connu n’avait rien à voir avec le général qui a ordonné l’arrestation, la torture et la liquidation physique de milliers d’Algériens laissant derrière eux des veuves, des orphelins et des pères, mères, sœurs et frères endeuillés à jamais. Le colonel Smaïn que j'ai connu était un patriote qui aimait son peuple. Le général que je n'ai jamasi rencontré a contribué dans l'oeuvre destructrice de l'Algérie menée par les anviens sous-officiers de l'armée coloniale. Des sous-officiers qui resteront mes ennemis à vie pour tout le mal qu'ils ont fait à mon pays.
Hichem ABOUD
le 31/08/2007
'Nous les sionistes, nous controlons la France, et les francais iront mourrir pour Yisrael en Iran'
« Une goutte de pétrole vaut une goutte de sang» disait Clemenceau…
Bernard Kouchner à Bagdad
3 questions à Gilles Munier (*)
Bernard Kouchner vient d’effectuer un voyage officiel à Bagdad. Est-ce un tournant de la politique arabe de la France ?
Apparemment oui. Avec Bernard Kouchner aux Affaires étrangères, il fallait s’y attendre. Une nouvelle politique arabe est en marche. C’est une politique pro américaine.
Alors qu’on parle de désengagement britannique d’Irak, que l’opinion américaine réclame le retour des GI’s, comment expliquer cette main française tendue au gouvernement irakien?
Les Etats-Unis cherchent un pays occidental qui prenne leur relais en Irak, sous couvert d’une mission de paix de l’ONU par exemple. Ils veulent quitter Bagdad sans être humiliés. Mais, il est trop tard, il y a eu trop de massacres. Les Etats-Unis veulent aussi que la France soutienne la création d’un Etat kurde. Pour cela, Bernard Kouchner, ami des chefs féodaux kurdes depuis plus de 30 ans, est « l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ».
Quels intérêts la France peut-elle tirer de ce changement de politique ?
A long terme : aucun, et comme le court terme est miné, je ne vois pas ce que la France irait faire dans cette galère. En revanche, je vois bien à quoi tout le monde pense: au pétrole ! Début août, la compagnie américaine Chevron a accepté que Total prospecte avec elle le champ pétrolifère de Majnoun, attribué à Elf du temps de Saddam Hussein, dont les réserves sont estimées à 12 milliards de barils. La création d’un « Grand Kurdistan », englobant notamment la région de Kirkouk et le Djebel Sindjar, ferait du nouvel Etat une puissance pétrolière de première grandeur, amie de l’Occident et d’Israël.
Georges Clemenceau disait après la 1ère guerre mondiale : « Désormais, une goutte de pétrole a la valeur d'une goutte de sang ». C’est toujours d’actualité. A l’époque, Kirkouk et le Sindjar faisaient partie du wilayet de Mossoul. On s’y battait déjà pour du pétrole. Ce mois-ci, la guerre du pétrole a fait dans ces deux régions près de 650 morts et des centaines de blessés, en quatre attentats non revendiqués.
Si le régime change à nouveau à Bagdad, tous les contrats signés depuis l’invasion de 2003 seront annulés. On ferait mieux de relancer l’idée de Michel Barnier, quand il était ministre des AE, d’organiser une conférence internationale pour la paix en Irak, à laquelle participerait officiellement la résistance irakienne. Et pourquoi pas la tenir à Paris ?
(*) Gilles Munier est Secrétaire-général des Amitiés franco-irakiennes depuis 1986 et auteur du « Guide de l’Irak » paru chez Jean Picollec Ed. – gilmun@club-internet.fr
Djamel Schifouna alias Sifaoui, l'imposteur de la Direction Sioniste du Terrorisme (DST)
Transformé en pourfendeur de « l’islamisme », le dynamique Mohamed est devenu le fournisseur officiel de barbus aux chaînes de télévision françaises qui louent ses services comme on loue ceux d’un traiteur pour une soirée d’anniversaire. C’est ainsi que, dès 2003, son inséparable caméra cachée lui a permis de démasquer, pour France 2 et M6, une prétendue « cellule d’Al Qaida à Paris ». Une étrange affaire qui s’est soldée par « la fuite » du principal protagoniste du « reportage » – un soi-disant militant algérien du GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) – en… Algérie, pays où le « jihadiste » coule, d’après nos informations, des jours assez tranquilles. Il se passe des choses étranges en Algérie.
Mais l’Algérie est un trop petit pays pour satisfaire les appétits de Mohamed Sifaoui qui, auréolé de ce premier succès télévisuel, s’est rapidement lancé « sur les traces de Ben Laden » au Pakistan, pour M6, manquant le chef d’Al Qaida d’un poil de barbe (2003), avant de traquer Abou Moussab Al Zarkaoui en Jordanie, pour la même chaîne, sans plus de succès (2005). Ces derniers temps, c’est principalement pour l’émission du service public Envoyé Spécial que le journaliste en rangers fait chauffer sa caméra cachée, avec des « enquêtes » au bazooka contre les mosquées de banlieues (2004), contre Tariq Ramadan (2004), contre les « émeutiers » de banlieues (2005), contre les « islamistes » danois (2006), etc. Chefs d’œuvre de manipulation, comme cela a été prouvé dans une édition d’Arrêt sur images sur France 5 en 2006, les reportages de Mohamed Sifaoui font exploser l’Audimat, et ont l’odeur âcre de la terre brûlée.
Ceux qui veulent comprendre ce qui s’est tramé lors de la trop fameuse « affaire des caricatures de Mahomet » [1] qui a défrayé la chronique en février dernier perdront leur temps à lire le nouveau livre de Mohamed Sifaoui, sobrement intitulé L’affaire des caricatures. On n’y apprend rien sur cette affaire qu’on ait déjà lu dans les journaux. Les lecteurs qui, par contre, aiment qu’on leur fasse peur – et qu’on les prenne au passage pour des imbéciles – y trouveront sans doute leur compte (18 euros).
Car l’affaire des caricatures danoises n’est pour Sifaoui qu’un prétexte pour seriner, une fois de plus, ses théories farfelues sur le danger qui menace la planète : l’islamisation du monde. C’est en tout cas ce que l’on comprend quand le grand journaliste nous explique que l’affaire des caricatures n’est que la partie immergée d’une offensive généralisée contre « le monde occidental ». Bientôt, prévient-il à demi mot, les athées ne pourront plus blasphémer, les chrétiens seront privés de porc et le prêt à intérêt sera banni des banques occidentales (p 164-165). Mince !
Ceux qui mènent cette offensive sont, bien sûr, très méchants. La preuve : ce sont des « islamistes », décrète Mohamed Sifaoui qui utilise ce concept creux à 225 reprises (sur 178 pages en gros caractères)… sans jamais l’expliquer autrement que par analogie avec « le totalitarisme », « le fascisme » et « le nazisme ». Un amalgame d’une confondante banalité qui évite d’avoir à trop réfléchir (George Bush, qu’on sait être un fin intellectuel, l’utilise régulièrement pour justifier sa « guerre contre le terrorisme ») et qui permet à Sifaoui de cracher impunément sur tous ceux dont la tête ne lui revient pas. Les imams danois qui contestèrent la publication des caricatures ? Nazis ! Les manifestants qui protestèrent contre les dessins dans de nombreux pays ? Les Frères musulmans ? Tariq Ramadan ? Nazis ! Nazis ! Nazis !…
Par ce subtil jeu d’écriture qui transforme à peu près n’importe qui en représentant du mal absolu [2], Sifaoui peut filer la métaphore ad nauseum. Il radote, c’est la tarte à la crème, sur « l’esprit munichois ». Il parle du « fascisme vert [prêt à] défiler sur les Champs-Élysées » (p 19). Et il rappelle aux « esprit libres » d’aujourd’hui l’« exode d’Européens dans les années 1930, quand d’autres esprits libres ont été contraints de quitter l’Allemagne » (p 172)… Il y a évidemment, dans cette guerre contre « l’islamo-fascisme », des « collabo » et des « résistants ». Sachant qu’« être opposé à la publication des caricatures » vous place mécaniquement « du côté des islamistes » (p 116), on distingue facilement les deux camps.
Et on comprend aisément pourquoi les « munichois » sont si nombreux : tous les journaux qui estimèrent inutiles de jeter de l’huile sur le feu, tous les gouvernements occidentaux qui cherchèrent à calmer le psychodrame et même les services de sécurité européens qui, nous explique Sifaoui, brossèrent les « islamistes » dans le sens du poil (la police, c’est bien connu, adore les barbus)… Face à ce collaborationnisme généralisé, les « résistants » ne peuvent qu’être des héros dont le bon Mohamed, c’est la moindre des choses, salue les noms : Daniel Leconte, Bernard-Henri Lévy, Taslima Nassreen, Salman Rushdie, Caroline Fourest, Ayan Hirsi Ali, Philippe Val, Antoine Sfeir [3] … Autant de personnalités anonymes et méprisés des grands médias auxquels il faut ajouter Guilaine Chenu et Françoise Joly, responsables de l’émission Envoyé Spécial (France 2), qui eurent le courage de diffuser, le 23 mars 2006, une « enquête » sur les caricatures réalisée par… Mohamed Sifaoui.
Car la pénible démonstration de Mohamed Sifaoui n’est en réalité qu’un pathétique plaidoyer en faveur de Mohamed Sifaoui himself. Vivement critiqué au Danemark après la diffusion du « reportage » d’Envoyé Spécial par une chaîne locale – au point qu’il a dû « cacher [ses] rushes en lieu sûr » pour éviter la saisie de la police danoise… (p 149), notre Jean Moulin des temps modernes se dépeint en véritable martyr de la cause « anti-islamiste ». Une posture qu’il affectionne particulièrement, et qui lui servira sans doute d’argument marketing pour continuer à vendre à bon prix ses reportages et ses théories à l’emporte-pièce aux mastodontes de l’audiovisuel hexagonal. Et comme le XXIe siècle « sera celui de la connerie », prophétise Sifaoui, qui est aussi poète (p 20), on ne peut que lui prédire une bonne fortune.
L'ÉNIGME DU 9/11 - Qui remplacera Alberto Gonzales - et pourquoi ?
Alberto Gonzales, actuel Attorney General (conseiller juridique), est décrit comme « en conflit » et pourrait être forcé de démissionner sous le feu des accusations des procureurs.
Cela ressemble à un plan bien orchestré pour le remplacer. Qui remplacera Gonzales ?
Les informations sur le 9/11 et le Sionisme se répandent autour du monde.
Le plan Sioniste est peut être de remplacer certaines de leurs marionnettes par des Sionistes convaincus, pour avoir un plus grand contrôle sur nous, et peut diriger la colère vers Bush et David Rockefeller.
Avec des confessions terroriste venant de Guantanamo de personnes comme Khalid Sheik Mohamed, prétendant être le cerveau du 9/11, comment le prochain Attorney General réagira-t-il?
“Je l’avoue. J’étais l’un des cinq Israéliens. Je ne faisait que prétendre être Israélien pour vous trompez et que vous blâmiez les Juifs.”
Comment le Département de la Justice peut-il permettre au « cerveau » du 9/11 d'éviter d’avoir à passer en cour aux États-Unis pour le meurtre de 3.000 personnes le jour du 9/11?
Qui sera le premier parent d’une victime à poursuivre le détenu connu sous le nom de KSM pour le meurtre du leur bien-aimé? C’est seulement en intentant un procès contre KSM que les découvertes et l’évidence sera dévoilée et présentée. C'est la seule manière par laquelle nous pourrions apprendre qui était vraiment derrière les attaques de terreur du 9/11.
C'est l'énigme du 9/11 à laquelle fait face le Département de la Justice et la nation Américaine. Qui sera l'Attorney General quand ces questions seront portées à l’avant-scène ?
The Associated Press spécule au sujet de qui pourrait succéder à Gonzales s’il ne survivait pas au tumulte politique actuel.
L’AP a fait la liste de certains candidats potentiels:
• Homeland Security Secretary Michael Chertoff • Assistant Attorney General Kenneth Wainstein • Federal appeals judge Laurence Silberman • PepsiCo attorney Larry Thompson • White House homeland security adviser Frances Fragos Townsend • Former Solicitor General Ted Olson
La semaine dernière, Gonzales a nommé Chuck Rosenberg procureur fédéral en chef du district de Virginie à Alexandria (chief federal prosecutor for the Eastern District of Virginia in Alexandria), pour servir comme son chef de personnel et le conseiller le plus proche à un moment où plusieurs Démocrates et quelques Républicains ont réclamé au Congrès que l'Attorney General démissionne.
Rosenberg devrait également être considéré en tant que candidat possible. De ces sept candidats nommés, 2 sont très étroitement attachés à la recherche extrêmement défectueuse sur le 9/11 - Michael Chertoff et Chuck Rosenberg. L'épouse de Ted Olson est parmi les passagers disparus du 9/11.
Comme conseiller de l’ancien Attorney General John Ashcroft et avocat-conseil du directeur du FBI Robert Mueller, Rosenberg était au plus haut niveau du processus décisionnel ayant mené à la non-investigation et au cover up des faits du 9/11.
L'épouse de Ted Olson est parmi les passagers absents du 9/11. Comme conseiller à ancien Attorney General John Ashcroft et avocat-conseil à directeur Robert Mueller, Rosenberg de FBI était au de plus haut niveau du processus décisionnel que cela a mené à la non-recherche et cover-up des faits de 9/11.
ROSENBERG & le 9/11
Quand Rosenberg a été nommé en mars 2001, pour diriger le U.S. attorney's office à Alexandria, le Washington Post a indiqué qu'il était responsable « du front central dans la guerre légale du gouvernement contre le terrorisme ». Il a été confirmé par le sénat en juin 2001.
Le rôle de Rosenberg était clairement central à la réponse légale du gouvernement au 9/11. Cette réponse peut seulement s'appeler extrêmement défectueuse parce qu'elle a eu comme résultat une recherche secrète dans laquelle l'évidence cruciale du Pentagone et d'autres sites du 9/11 a été confisquée et cachée. L'évidence du Pentagone était sous le contrôle direct de Rosenberg.
Après que Sam Danner, qui prétend avoir été un témoin oculaire au Pentagone, ait dit avoir été impliqué dans le ramassage des fragments sur la pelouse du Pentagone, j'ai interrogé le porte-parole du Pentagone Cheryl Irwin au sujet de qui commandait la collection de cette évidence dans des sacs de vidanges.
“Je l'avoue. Je suis Sam Danner. J'essayais de faire en sorte que Hufschmid et Bollyn passent aux imbéciles.”
Irwin m’a dit que le FBI avait pris le contrôle du site du crash « presque immédiatement » et que toutes les questions au sujet de la façon dont la recherche avait été conduite devraient être posées au FBI. Je me suis tourné vers Debra J. Weierman, porte-parole pour la force de terrain du FBI à Washington, au sujet de la manière dont les fragments de débris au Pentagone avaient été rassemblés et l'identité de l’agent qui l'a supervisée. Weierman n'a pas répondu à mes questions.
Bill Carter du quartier général national du FBI a défendu la collection précipitée d'évidence dans les sacs lourds de détritus.
L’ÉVIDENCE DU 9/11 "DANS UN ENTREPÔT QUELQUE PART"
Lorsqu’il lui fut demandé où était cette évidence et pourquoi on ne l’avait pas montré à la presse et au public, Carter a dit qu'il était probablement dans « un entrepôt quelque part » et avait été dû être retenue pour le procès de Zacarias Moussaoui, le prétendu 20ème pirate de l'air qui était en prison au Minnesota à l'heure des attaques.
Lorsque je lui ai demandé si je pourrais regarder cette évidence, Carter a dit qu'elle exigerait l'approbation de Chuck Rosenberg, U.S. Attorney for the Eastern District of Virginia. Rosenberg a précédemment servi de conseiller à l’Attorney General John Ashcroft et au directeur du FBI Robert S. Mueller, qui était le directeur nouvellement désigné du FBI le jour du 9/11.
Chuck Rosenberg a été nommé par l’Attorney General Alberto Gonzales en mars 2006 pour servir en tant que United States Attorney pour le District Est de Virginia. Il a été plus tard nommé à ce poste par le Président George Bush et confirmé par le Sénat des Etats-Unis, unanimement, le 13 juin 2006.
L’ARRIÈRE-PLAN DE ROSENBERG
En tant que chef fédéral en chef d'application de loi pour cette zone, qui inclut des bureaux à Alexandria, Newport, Norfolk et Richmond, M. Rosenberg dirige la poursuite de tous les crimes fédéraux, et le litige de tous les sujets civils dans lesquels le gouvernement fédéral a un intérêt.
M. Rosenberg a passé la majeure partie de sa carrière professionnelle dans le service public. À partir de juin 2005 jusqu'à mars 2006, il a servi de U.S. Attorney à la zone méridionale du Texas. Avant cela, il a servi à plusieurs postes senior au Département de la Justice où son travail s'est concentré sur l'anti-terrorisme, le contre-renseignement, et les sujets de sécurité nationale, incluant : Chief of Staff to Deputy Attorney General James B. Comey, Conseiller à l’Attorney General John Ashcroft; et, avant ça, comme Conseiller au Directeur du FBI Robert S. Mueller, III Chef de personnel au député Attorney General James B. Comey, conseiller à Attorney General John Ashcroft ; et, avant cela, comme avocats-conseils à directeur Robert S. Mueller, III.
Avant de joindre le FBI, M. Rosenberg était Assistant United States Attorney in the Eastern District of Virginia, à Norfolk et, plus tard, à Alexandria. Là il a entamé des poursuites pour des crimes pour fraude financières, des crimes violents, et des cas d'espionnage.
Pendant les deux dernières années de son mandat comme procureur fédéral à Alexandria, M. Rosenberg a dirigé le Major Crimes Unit - l'unité qui a entamé des poursuites pour de nombreux cas d'espionnage. Tandis que dans le cabinet privé avec le cabinet juridique de Hunton & Williams, M. Rosenberg a servi comme analyste juridique à NBC, apparaissant fréquemment à la télévision.
Photo: Mr. Chuck Rosenberg
Il est un diplômé de l'université de Tufts (B.A.), l'université de Harvard (M.P.P) et l'université de Virginie (J.D.).
La France-Yisrael en dueil : Smain Lamari est mort, Tewfik le suivra sous peu
En 1973, il suit une formation spéciale pour obtenir le grade de sous-lieutenant. Il a toujours évolué dans les service opérationnel.
En 1989 le général Mohamed Betchine, qui ne le porte pas dans son coeur, le limoge sans raison apparente, le lieutenant-colonel Smain LAMARI va se plaindre auprès de Larbi Belkheir, chef de cabinet du président Chadli. Quelques jours plus tard, il est nommé inspecteur général de la direction de la sécurité de l’Armée, passé sous le contrôle de Tewfik.
Après le départ à la retraite de Betchine, Smain est nommé chef du département du contre-espionnage, sous les ordres directs du général Tewfik, un poste qu’il occupait jusqu’à hier soir.
Pour rappel, en 1999, il est chargé par Belkheir d’organiser la reddition des éléments de l’armée Islamique du Salut (AIS ) dirigée par Madani MEZRAG, et faire passer le projet officiellement sous le nom de la nouvelle politique du président Bouteflika.
Par ailleurs, dans la soirée d’hier, l’ancien ministre de l’Intérieur marocain Idris El Basri a trouvé la mort dans un hôpital parisien.
Vague d'attentats en Europe : Sarkosy organise un attentat contre sa propre personne
Comment une école militaire d'élite alimente les entreprises de haute technologie d'Israël
Le gouvernement de criminels sionistes derriere le terrorisme international
Les médias commandés blanchissent la longue histoire d'Ariel Sharon comme maître du terroriste Sioniste de la même manière qu'ils censurent toute discussion de l'évidence de la participation du renseignement militaire israélien dans les attaques de terreur du 9-11. Il reste néanmoins une question : Sharon est-il le cerveau terroriste derrière le 9-11 ?
Pendant que le premier ministre israélien Ariel Sharon était hospitalisé après une grave crise du cœur le 4 janvier, les journalistes des médias contrôlés ont tenu une vigile en dehors de l'hôpital Hadassah de Jérusalem où le chef d'Israël âgé de 77 ans reposait dans un coma induit par les médicaments.
Les médias ont mis l'emphase sur le coma du commandant militaire vétéran, en évitant toutefois de mentionner la longue carrière de Sharon de maître terroriste et les nombreux massacres et crimes de guerre dans lesquels il a été impliqué.
Le New York Times et CNN, qui décrivent Sharon comme « faucon-devenu-homme d'État, » ont permis à Benjamin Netanyahu, un politicien Israélien du même mouvement Sioniste d'extrême droite que Sharon, de décrire le premier ministre comme une figure héroïque sans soulever la moindre petite question au sujet des milliers des vies Palestiniennes innocentes qui ont été fauchées depuis qu'il est entré au pouvoir en 2001.
Le focus des médias des États-Unis concentré sur le chef Sioniste mal en point ignore l'évidence documentée de l'histoire des 58 ans de Sharon comme maître du terrorisme qui a impitoyablement employé la terreur comme arme et outil pour réaliser ses buts stratégiques et politiques. Le but stratégique primordial de Sharon a toujours été d'établir un ghetto-État juif fortifié en Palestine.
Fils d'immigrés Sionistes Russes de 19 ans, Sharon a combattu dans l'offensive de Latrun pendant la guerre 1948 dans laquelle les forces israéliennes ont saisi un morceau triangulaire stratégique de terre palestinienne menant à Jérusalem.
« Le mythe de l'«héritage de Sharon» commençait déjà à se former » pendant qu'il reposait à l'hôpital, écrivait l'activiste et auteur pacifiste Israélien Uri Avnery dans son article, « le Napoléon Israélien. »
La gauche, indique Avnery, « qui encore hier avait maudit Sharon en tant que le meurtrier de Kibieh [Kibya], le boucher de Sabra et de Shatila, et responsable du pillage et du massacre dans les territoires palestiniens occupés, a commencé à l'admirer comme un « Homme de Paix ».
« Les colons, qui l'avaient condamné comme traître, se sont souvenus que c'était lui qui avait créé les colonies et avait continué à les agrandir jusqu'à aujourd'hui.
« Encore hier il était l'une des personnes les plus détestées en Israël et dans le monde, » écrit Avnery. « Aujourd'hui, après l'évacuation de Gush Katif [dans Gaza], il est devenu chéri du public, presque mur à mur. Les chefs des nations l'ont couronné en tant que « grand guerrier qui s'est transformé en héros de paix ».
« Toutes ces analyses ont seulement un point en commun, » Avnery dit, « elles n'ont rien à faire avec vrai Ariel Sharon. Elles sont basées sur l'ignorance, l'illusion et l'aveuglement.
« Il n'a pas changé du tout », dit Avnery, qui a « une connaissance personnelle » de Sharon. « Il est resté fidèle à son approche fondamentale, adaptant seulement ses slogans aux périodes et aux circonstances changeantes. Son plan d'ensemble est demeuré identique à ce qu'il était au début.
« Sous-jacent à sa vue du monde se trouve un nationalisme simpliste et un nationalisme typique du XIXe siècle, disant : notre peuple est au-dessus des autres, les autres peuples sont inférieurs. Les droits de notre nation sont sacrés ; les autres nations n'ont aucun droit du tout. Les règles de la moralité s'appliquent seulement aux relations au sein de la nation, pas aux relations entre les nations », écrit Avnery.
« Sur cette base morale le but a émergé : établir un état Juif, aussi grand que possible, exempt des non-Juifs. Cela pourrait mener à la conclusion que le nettoyage ethnique, commencé par Ben-Gurion en 1948, privant la moitié des Palestiniens de leurs maisons et terre, doit être complété », écrit Avnery.
« La carrière de Sharon a commencé peu de temps après, quand il a été nommé pour mener l'unité de commando 101, dont les actions meurtrières au-delà des frontières ont été conçues principalement pour empêcher les réfugiés d'infiltrer de nouveau à leurs villages ».
SHARON LE TERRORISTE
Un fait saillant de l'histoire israélienne, généralement ignoré par la presse contrôlée par les Sionistes, est que plusieurs premiers ministres Israéliens étaient des terroristes qui ont bombardé et assassiné leur chemin vers le sommet. Menachem Begin, Itzchak Shamir, et Ariel Sharon étaient tout des terroristes bien connus qui sont devenus plus tard premier ministre.
Il y a 52 ans, par exemple, Sharon a commandé un massacre de terroriste dans Kibya, un village de la Cisjordanie (West Bank), qui était alors Jordanien. Ce raid a eu un impact particulièrement profond sur des relations américano-israéliennes.
Au milieu de la nuit du 14 octobre 1953, Sharon a mené son unité 101 à travers la frontière et dans le village endormi et sans défense. Utilisant des armes automatiques et des grenades, Sharon et ses hommes ont forcé les résidents à fuir leurs maisons et ont employé la dynamite pour faire sauter 41 maisons et une école - avec les gens à l'intérieur. 69 civils ont été abattus. Le massacre et la démolition ont duré sept heures.
Des jours plus tard le US State Department a publié un rapport qualifiant le massacre de Kibya de « choquant » et confirma que l'aide financière à Israël était suspendue. C'était la première et la dernière fois qu'un président américain coupait toute aide à Israël.
Tandis qu'un journaliste israélien sympathique à Sharon le décrivait à CNN comme un « héro biblique », il faut rappeler que le prétendu « faucon-devenu-homme d'État » a été personnellement responsable d'une grande partie du terrorisme, de la violence, et de l'instabilité qui a infesté la Palestine, Israël, et le Moyen-Orient pendant les six dernières décennies.
Sharon, par exemple, en tant que ministre de la défense d'Israël, a commandé l'invasion illégale du Liban en 1982 et plus tard a été évincé de cette position lorsqu'une commission d'enquête israélienne a constaté qu'il avait « la responsabilité personnelle » des massacres qui se sont produits dans les camps palestiniens de réfugié de Sabra et de Shatila en septembre 1982.
On estime que le total des morts du massacre de trois jours, qui s'est produit dans les camps sous contrôle israélien et avec l'appui et l'aide des forces israéliennes, est de plus de 3000, pour la plupart des femmes et enfants.
Sharon était « le plus grand menteur de ce côté de la Méditerranée » et un homme dont la « parole ne vaut rien », disait alors Philip Habib, le délégué spécial des États-Unis au Liban.
Dix-huit ans après, Sharon a provoqué d'une seule main le soulèvement palestinien connu sous le nom d'Intifada d'Al Aqsa en envahissant, avec une masse de troupes israéliennes lourdement armées, l'emplacement musulman le plus sacré à Jérusalem le 28 septembre 2000. La réplique militaire israélienne a eu comme conséquence que 25 civils Palestiniens étaient tués pour chacune des morts Israéliennes.
Censé apaiser la violence, qu'il avait personnellement provoquée, Sharon a alors autorisé le bâtiment d'une affreuse barrière murale fortifié, non point différent de cela qui a séparé l'Allemagne de l'Est de celle de l'Ouest, s'appropriant illégalement beaucoup de terre palestinienne par la même occasion. Dans les semaines et les mois après le 9-11, Sharon était un visiteur fréquent à la Maison Blanche, où il a tenu des discussions secrètes avec le Président George W. Bush. Comme les États-Unis envahissaient et occupaient l'Afghanistan, les militaires Israéliens ont entamé une invasion et une réoccupation brutale des territoires palestiniens de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.
En avril 2002, l'armée israélienne a assiégé et attaqué le camp de réfugiés Palestiniens de Jenin, à l'aide de bulldozers pour détruire les maisons avec les habitants toujours à l'intérieur. L'utilisation fréquente du bulldozer par Sharon afin de détruire les maisons et abris Palestiniens lui a valu le surnom « Le Bulldozer ».
Sharon a ensuite refuse que les inspecteurs des Nations Unies accident au camp dévasté, dans lequel des crimes contre l'humanité ont clairement été commis.
SHARON ET LE 9-11
Comme l'American Free Press le rapporte depuis septembre 2001, il y a une grande quantité de preuves que l'intelligence militaire d'Israël a été impliquée dans les attaques de terreur du 9-11, ce qui soulève la question évidente du rôle personnel de Sharon dans les événements qui ont déclenché la guerre à la terreur.
Logiquement, l'évidence n'offre que deux options : ou bien Sharon comme premier ministre avait une connaissance antérieure du 9-11 et est l'un des architectes en chef des attaques de terreur, ou bien le Mossad, l'agence de renseignement militaire d'Israël, est sous le contrôle d'une autorité extérieure, et a été impliquée dans une opération secrète massive aux États-Unis sans que le premier ministre le sache.
Pour les raisons suivantes, la deuxième option semble fort peu probable:
Le Mossad a-t-il établi de fausses compagnies de déménagement dans la région de la ville de New York et avait-il des douzaines d'agents ayant la connaissance antérieure, comme ceux arrêtés dans le New Jersey le 11 septembre, au large dans le pays dans des fourgons mobiles que le premier ministre le sache ?
Est-ce que les avertissements par messagerie-texte instantanée d'Odigo, qui démontrent une connaissance antérieure des attaques et qui ont été reçus par les employés Israéliens de la compagnie du Mossad quelques heures avant le premier crash d'avion, étaient envoyés entre les agents d'un réseau de terreur dont Sharon n'avait aucune connaissance et sur lequel il n'avait aucun contrôle ?
Puisque l'évidence indique clairement la participation de l'État d'Israël, la presse contrôlée des États-Unis a censuré toute discussion de la participation du Mossad dans les attaques de terreur du 9-11. Par conséquent, on ne pose jamais la question évidente au sujet de Sharon : Est-il le cerveau terroriste derrière le 9-11 ?
Tandis que les médias contrôlés cherchent à blanchir la carrière de maître terroriste de Sharon, l'évidence indique qu'il a été impliqué dans le 9-11 et que les médias contrôlés par les Sionistes sont complices dans une conspiration de cover-up de l'évidence. C'est donc dire que Sharon est en fait l'un des architectes en chef des attaques de terreur du 9-11.
Les agents sionistes dans les positions clé du gouvernement des États-Unis, comme Michael Chertoff au Département de la Justice, le fils d'un des premiers agents du Mossad d'Israël, ont facilité le cover-up du 9-11 en libérant une masse d'agents du renseignement israélien arrêtés et en assignant le blâme aux Musulmans afin de déclencher la guerre au terrorisme.
Ignorer le dossier criminel et de Sharon a mis les intérêts américains en péril, a écrit cet auteur en février 2001. Après que la U.S. House of Representatives ait passé une résolution le 13 février 2001 félicitant le premier ministre Israélien nouvellement élu, j'ai averti que d'ignorer la longue histoire de Sharon en matière de crimes de guerre et de terroristes commandités par l'État met en danger les Américains au nom desquels le congrès avait accordé leurs « meilleurs voeux. »
« Dans un monde minimalement juste, Sharon serait derrière les barreaux », écrivait l'auteur Américain Edouard S. Herman en juin 2002. « Sharon est traité en Occident comme un homme d'État respectable, il a même été appelé « un homme de paix » par George W. Bush à la suite des nouveaux crimes de guerre de Sharon à Jenin, Nablus, Bethlehem, et autres villes de Cisjordanie. Ce traitement de Sharon a un grand mérite », écrit Herman, « il rend clair comme le cristal que la "guerre à la terreur" est une "guerre de la terreur"»
Yisrael est le terrorisme
Le Fugitif Israélien, Odigo, et l’Avertissement du 9/11
par Christopher Bollyn,
Jacob « Kobi » Alexander, un dirigeant militaire Israélien était relié à Odigo, la compagnie de messagerie instantanée dont les employés et les utilisateurs ont reçu un avertissement précoce des attaques du 9/11, est récemment devenu un fugitif de justice des États-Unis et a pris refuge en Israël avec d'autres suspects principaux des attaques terroristes.
Le cas du criminel israélien Kobi Alexander est comme la proverbiale « pointe de l'iceberg ». Tandis que les crimes d'Alexander, par lesquels il est devenu immensément riche, sont maintenant évidents, ils ne représentent qu'un très petit fragment d'un réseau criminel Sioniste beaucoup plus grand - relié aux attaques de terreur du 9/11 - qui reste caché sous la surface.
Alexandre, ancien chef de la technologie la compagnie basée en Israël Comverse Technology, était, jusqu'à ce que ses crimes aient été découverts, l'un des plus hauts cadres payés aux Etats-Unis.
En l'an 2000, par exemple, il a censément gagné quelques $102.5 millions, avec $93 millions venant de « l'exercice des options ». Nous savons maintenant que la majeure partie de l'argent d'Alexander a été faite par « l'exercice frauduleux des options ».
Comverse Technology, la « maison mère » américaine d'une compagnie israélienne plus âgée et beaucoup plus grande du même nom, est le propriétaire des compagnies Verint, Ulticom, Starhome, Mercom et Startel. Toutes les positions principales de ces compagnies sont tenues par des ressortissants Israéliens.
On a récemment permis à Alexander de se sauver des Etats-Unis après que lui et deux autres anciens cadres de Comverse aient été accusés de fraude de valeurs, de courrier et de ligne téléphonique par des procureurs des États-Unis à Brooklyn, New York. Un mandat a été émis pour son arrestation.
Tandis qu'un porte-parole pour le bureau du mandataire des États-Unis pour la zone orientale de New York (U.S. Attorney's office for the Eastern District of New York) disait à l'AFP, le 15 août, qu'il « a prévu » qu'Alexander se rendrait, le New York Times était plutôt moins optimistes. « Il coulera beaucoup d'eau sous les ponts - si jamais il le fait – avant qu'Alexander s'explique dans une cour de justice », écrivait le Times le 21 août. L'avocat d'Alexandre, Robert Morvillo, dit « avoir cru » qu'Alexander et sa famille étaient en vacances en Israël. Alexandre, citoyen Israélien et ancien dirigeant militaire, a déposé $57 millions dans un compte en Israël à la fin juillet et on lui a de toute évidence permis de se sauver des Etats-Unis.
« Étant donné la stature et le service militaire d'Alexander », rapporte le Times, citant des professeurs de loi anonymes, « Israël pourrait être peu disposé à le remettre promptement ». On pourrait raisonnablement demander, « qu'est-ce que ses 54 ans de « service militaire » doivent ont à voir avec Israël refusant de l'extrader pour des crimes commis aux États-Unis? »
Tandis qu'Alexandre est évidemment relié à l'appareillage de renseignement militaire israélien et à George Soros via le fonds d'investissement qu'ils possèdent ensemble, ComSor, ce qui n'est pas largement rapporté est les liens étroits de sa compagnie avec Odigo, une compagnie de messagerie instantanée qui a reçu - et transmis - des messages d'avertissement pressants au sujet de l'attaque terroriste imminente au world Trade Center, plusieurs heures avant le premier crash d'avion.
Le New York Times doit certainement se rendre bien compte de la relation d'affaires personnelle entre Alexander et Odigo puisqu'ils ont fait une entrevue extensive avec Avner et Maskit Ronen, les fondateurs d'Odigo, pour leur magazine du dimanche (Sunday magazine) en septembre 2000.
« Ils ne se sont fait aucun ami en dehors du bureau et n'avaient eu aucun goût pour la gestion de réseau aux parties de Silicon Alley », écrit le NYT Magazine. « Ils n'ont cherché ni permis de conduire ni médecin local ». La photographie bizarre dans l'article montrait deux figures silhouettées cachées dans l'obscurité. C'étaient les Ronen, dirigeants militaires israéliens en mission à New York.
LES MESSAGES INSTANTANÉS D'ODIGO
Il y a des preuves suffisantes que beaucoup d'Israéliens ont été prévenus des attaques par un service israélien de "messagerie" instantané appelé Odigo. Cette histoire, qui présente l'évidence la plus claire de la connaissance antérieure israélienne des attaques, n'a été rapportée que très brièvement dans les médias des États-Unis - puis complètement oubliée et supprimée.
Selon les reportages de nouvelles, au moins deux employés d'Odigo en Israël ont plus tard rapporté avoir reçu des avertissements d'une attaque imminente (dans quelques heures) à New York avant que le premier avion heurt le WTC.
Odigo, une compagnie appartenant à des Israéliens avait ses sièges sociaux américains à seulement deux blocs du World Trade Center, pourtant Odigo a échoué à diffuser l'avertissement qu'il avait reçu des autorités à New York, un geste qui aurait sauvé des milliers des vies.
Deux semaines après le 9-11, Alex Diamandis, le vice-président d'Odigo, a dit, « les messages disaient que quelque chose de gros allait se produire dans un certain laps de temps, et elle s'est produite - presque à la minute près ».
« Il était possible que l'avertissement des attaques soit transmis à d'autres membres d'Odigo, mais la compagnie n'a pas reçu de rapports d'autres destinataires du message », a dit Diamandis.
Selon les chiffres du gouvernement israélien qu'environ 4.000 Israéliens devaient être au World Trade Center au moment des attaques, il semble évident que beaucoup d'utilisateurs Israéliens d'Odigo ont reçu le message.
Odigo, qui offre la transmission de messages en temps réel, a un dispositif appelé le « trouveur de personnes » qui permet à un utilisateur d'envoyer un message instantané à un grand groupe basé sur une caractéristique commune, telle que la nationalité israélienne. Le « trouveur de personnes » permet à des utilisateurs d'Odigo de rechercher en ligne des « copains », avec des filtres comme la nationalité israélienne, tout en maintenant l'intimité de l'utilisateur à tout moment.
L'adresse Internet de l'expéditeur de l'avertissement a été supposément donnée au FBI. Deux mois plus tard on a signalé que le FBI étudiait toujours la question. Depuis lors il n'y a eu aucun autre rapport de médias au sujet de l'avertissement d'Odigo du 9/11.
Come l'AFP a précédemment rapporté, Odigo, comme Comverse et d'autres compagnies de logiciel installées en Israël, a vraiment son quartier général à Herzliya, Israël, la banlieue de Tel Aviv où des sièges sociaux d'intelligence militaire israélienne sont situés.
Typiquement, avec ces devantures liés par le renseignement, la recherche et le développement de la compagnie, et n'importe quelle fabrication, telle que l'équipement de surveillance d'ordinateur « boîte noire » produit par Comverse, est entièrement fait en Israël. Les bureaux des États-Unis fonctionnent simplement comme centres de distribution, de marketing et de finances.
Dans le cas de Comverse, par exemple, la vraie maison mère était la compagnie d'Alexander basée à Tel-Aviv Efrat Future Technology Ltd., qui a exécuté « toute la recherche, le développement, et la fabrication » pour Comverse, selon un article de 1992 dans The Jerusalem Post.
Peu de temps après le 9-11, Odigo a été complètement repris par Comverse Technology, qui avait été copropriétaire d'Odigo depuis début 2000, si ce n'est pas plus tôt encore. Peu de temps après le 9/11, cinq cadres de Comverse ont été rapportés pour avoir profité d'un « délit d'initié » pour plus de $267 millions.
Avner Ronen, le « fondateur » d'Odigo, était vice-président de développement des affaires de technologie de Comverse en octobre 2005. Ceci indique que Ronen et Alexander, tous les deux dirigeants militaires israéliens avec de l'expérience dans le milieu des ordinateurs, ont été d'étroits associés depuis début 2000.
« Comverse et Odigo ont eu une association de longue date et ont développé ensemble les produits de les services de communication instantanée que nous avons récemment commencé à offrir aux opérateurs autour du monde », a révélé Zeev Bregman, Président de Comverse Ltd Israel, à The Jerusalem Post en mai 2002.
Pour entendre l’entrevue avec Bollyn concernant cet article:DarylBradfordSmith_Bollyn_30Aug2006.html
N’oubliez pas de jeter un coup d’oeil à l’article précédent de Bollyn sur le Vol 93: The Hollywood Fantasy of Flight 93
Les liens d’Ehud Olmert avecle 11 septembre 2001 : Yisrael espere frapper l'Europe avant le 20-21 Aout 2007
par Christopher Bollyn,
Les deux premiers mois du mandat d'Ehud Olmert comme premier ministre d'Israël ont été décrits comme « les plus sanglants, les plus mortels et la période la plus criminelle de l'État de 58 ans d'Israël. »
Bien que la presse contrôlée ignore les crimes du nouveau chef israélien, les liens d'Olmert au criminel Israélien condamné qui a contrôlé la sécurité à l’aéroport de Boston le jour du 9/11 ne peuvent être ignorés.
Photo : Du même esprit, Ehud Olmert et Ariel Sharon sont frères d’armes et disciples de Ze'ev Jabotinsky, le fondateur de la plus radicale, raciste et militante forme de sionisme.
Les médias contrôlés par les sionistes continuent à ignorer les crimes de ces hommes et leurs liens directs au meurtre de masse commis le jour du 11 septembre.
Bien que le sionisme soit probablement la force la plus efficace influençant la politique des États-Unis, on peut affirmer sans risque qu'il demeure une philosophie politique malheureusement très mal comprise par la majorité de la population des États-Unis.
Bien que le Président George W. Bush et son coffret de guerre soient clairement des Sionistes avançant l'ordre du jour sioniste, un ordre du jour qui est favorisé et soutenu par presque chaque membre du congrès, le sionisme et son histoire sanglante sont des sujets dont la plupart des Américains ne savent pratiquement rien.
Tandis que les universités américaines offrent des cours et des degrés dans pratiquement chaque imaginable soumis, un programme d'études d'université offrant un examen critique du sionisme et de son histoire n'est pas trouvable.
L'ignorance générale du public concernant le sionisme, de ses buts et de son histoire, est composée par les médias contrôlés, qui distordent et interprètent excessivement mal le sionisme, faisant paraître cette philosophie non-américaine comme quelque chose de familier et bienveillant à l'endroit des Américains.
L'histoire sanglante bien documentée de la terreur sioniste et du nettoyage ethnique, quelque chose qui est bien connu par tous les Israéliens et Palestiniens, est une terra incognita pour la plupart des Américains, principalement à cause de la censure universitaire et médiatique.
Après les attaques de terreur du 11 septembre, dont un large corpus d'évidence indique l'implication d'agents de renseignement israélien, et avec plus de 150000 Américains entraînés dans des guerres coûteuses et désastreuses au Moyen-Orient, il n'est tout simplement plus soutenable pour les Américains que ceux-ci demeurent dans une ignorance béate du Sionisme politique.
SIONISME et COMMUNISME
Le Sionisme comme mouvement politique s'est développé avec le Communisme vers la fin des années 1800 dans les communautés Juives dans les régions occidentales de l'empire russe. En Lithuanie, en Pologne, en Biélorussie, et en Ukraine, en particulier dans les secteurs avec de grandes populations juives, le Sionisme est devenu une nouvelle religion nationale. Dès leurs débuts, les mouvements communistes et sionistes ont été étroitement entrelacés.
Vers la fin des années 1800, l'idéologie religieuse-politique du Sionisme a mené les Juifs en quête d'une identité nationale pour rejeter la langue locale et pour commencer à parler et écrire hébreu, une langue qui n'avait pas été parlée pendant des milliers d'années.
En Union Soviétique, les Juifs ont été considérés un groupe national et la nationalité juive a été marquée en tant que tels dans les passeports soviétiques. Une région autonome juive a été même établie dans l'Union Soviétique dans le secteur de Birobidjan en 1934 avec le Yiddish comme langue officielle.
Bien que les Juifs Européens Russes et Orientaux connus sous le nom d'Ashkenazi ne soient même pas Sémites, mais des Slaves et Asiatiques convertis au judaïsme, l'ardeur Sioniste les a amenés à se prendre pour des « Hébreux », comme par exemple, lorsqu'ils sont entrés aux États-Unis à Ellis Island.
Alors que les Sionistes ont « reconstitué » la langue « hébraïque », le premier objectif politique du Sionisme politique a toujours été la formation d'un état purement Juif en Palestine, quelque chose qui n'a jamais réellement existé dans l'histoire.
Le fait dont le 20ème siècle Palestine était déjà habitée par les Palestiniens, dont plusieurs sont de vrais Sémites, descendant des Juifs originaux, des Arabes, des Grecs, et d'autres races de la Terre Sainte, était quelque chose que les Sionistes ont prévu corriger par la force militaire.
La conquête armée et le nettoyage ethnique de la Palestine ont été vigoureusement favorisés dans les années 30 par Ze'ev (Vladimir) Jabotinsky, un des plus militant Sionistes. Jabotinsky, né à Odessa en 1880, est devenu commandant de la milice Sioniste connue sous le nom d'Irgun en 1937. Jabotinsky dirigea la Nouvelle Organisation Sioniste (New Zionist Organisation), le mouvement de la jeunesse de Betar, et la milice Irgun, trois prolongements du même mouvement extrémiste.
L'idéologie de Jabotinsky maintient que le peuple Juif a des droits exclusifs sur toute la terre d'Israël, qu'elle prétend s'étendre du Nil de l'Egypte au fleuve d'Euphrate en Irak.
OLMERT et JABOTINSKY
Ehud Olmert, comme ses parents d'origine Russe qui ont émigré d'abord en Chine et puis en Palestine, est un enfant idéologique de Jabotinsky. Le père d'Olmert, Mordechai, était un disciple dévoué qui a joint le mouvement de droite de Herut et la milice d'Irgun, alors menée par le terroriste Sioniste notoire Menachem Begin.
La famille intensément de droite d'Olmert a vécu à une ferme coopérative appelée Nahalat Jabotinsky. Étant enfant, Olmert était un membre de Betar, le mouvement de la jeunesse militariste. Begin, le très fanatique premier ministre israélien qui a tenu le credo « dans le sang et le feu la Judée est tombée ; dans le sang et le feu la Judée se lèvera », réfèrera plus tard à Olmert comme « Ehud, mon fils. »
Olmert, un parlementaire depuis 1973, est devenu plus tard maire de Jérusalem, la capitale occupée de la Palestine, et a supervisé l'expansion territoriale d'Israël repoussant les limites de la ville. Le secteur que les Israéliens appellent maintenant Jérusalem s'étend de Bethlehem au Sud, jusqu'à Ramallah au Nord, et Jéricho à l'Est.
Dans la pensée des Sionistes Jabotinsky comme Olmert, il n'y a simplement aucune place pour les Palestiniens sur la Terre d'Israël : « Il n'y a pas de choix : les Arabes doivent faire place aux Juifs d'Eretz Israël », écrivait Jabotinsky. « S'il était possible de transférer les peuples baltiques, il est également possible de déplacer les Arabes Palestiniens. »
La barrière murale qui a été construite à travers la Cisjordanie est une idée tirée directement des écris de Jabotinsky : « La colonisation Sioniste, même la plus restreinte, doit être terminée ou effectuée dans en défiant la volonté de la population indigène.
Cette colonisation peut donc continuer et se développer seulement sous la protection d'une force indépendante de la population locale - un mur de fer que la population indigène ne peut pas traverser », écrivait Jabotinsky dans son livre de 1923, le Mur de Fer : Nous et les Arabes.
Parler de « paix » et le soutien à tambour battant de son plan de réalignement de la colonie, les 8 semaines qu'a passé Ehud Olmert au pouvoir se sont avérées être les plus sanglantes, les plus mortelles et la période la plus criminelle de l'État de 58 ans d'Israël », écrivait Al Baik de Duraid, éditeur étranger de Gulf News dans un récent article, « Olmert : Le criminel qui colporte la paix ».
« Depuis qu'il a été intronisé comme douzième premier ministre d'Israël le 14 avril, les Israéliens ont tué plus de 50 Palestiniens et blessé environ 200, à un taux de presque 1 tué et 4 blessés par jour », écrit Al Baik. « Le nouveau premier ministre a placé un disque, surpassant celui établi par son prédécesseur Ariel Sharon pendant les jours les plus sanglants du soulèvement palestinien ou de l'Intifada. »
Cherchant à fomenter un conflit civil parmi des Palestiniens, Olmert fournit maintenant des armes pour soutenir « l'armée privée » du Président Palestinien d'Autorité Mahmoud Abbas, qui est vu par plusieurs comme un traître Palestinien travaillant contre le gouvernement élu du Hamas.
Le plus insigne de tous les nombreux actes terroristes récemment commis par les forces israéliennes, était le bombardement de la plage de Gaza dans lequel 8 membres d'une famille ont été tués. Cet acte flagrant de la terreur israélienne a été suivi d'un démenti officiel de responsabilité bien que les Israéliens bombardaient la bande de Gaza lorsque la famille sur la plage a été frappée.
Mark Garlasco, un expert militaire travaillant pour le groupe américain Human Rights Watch, était le premier investigateur indépendant à se rendre sur la scène du crime et il a trouvé le shrapnel d'une coquille d'artillerie de 155 millimètres. « Mon évaluation [est] qu'il est probable que c'aient été des tirs d'artillerie entrants qui ont atterri sur la plage et qui ont été tirés par les Israéliens du nord de Gaza », a dit Garlasco.
OLMERT et ATZMON Olmert, qui a été longtemps terni par des allégations de crimes financiers, a été impliqué dans un scandale financier impliquant des reçus forgés pour des donations à la campagne de 1988 du Likud, dont il était co-trésorier. Cette affaire a abouti à l'inculpation en mars 1996 de trois l'autre Likudniks, y compris Menahem Atzmon, le trésorier du Likud. Plus tard Olmert devait également être accusé dans l'affaire du Likud, mais a été acquitté.
Pendant les années 70 Olmert a travaillé dans le cabinet juridique d'un autre Atzmon, Uzi Atzmon. Menahem Atzmon, condamné en Israël, est devenu le fondateur et chef de International Consultants on Targeted Security (ICTS), la compagnie mère de Huntleigh USA, la firme de sécurité d'aéroport qui a fait le travail d'inspection et screening des passager aux aéroports de Boston et Newark le jour du 11 septembre.
Huntleigh USA est une filiale complètement possédée par une compagnie israélienne appelée International Consultants on Targeted Security (ICTS) International N.V., une firme d'aviation et de transport basée en Hollande dirigée par les « anciens commandants militaires [israéliens] et les vétérans du renseignement gouvernemental des agences de sécurité ».
Menachem Atzmon, condamné en Israël en 1996 pour fraude de finances de campagne, et son associé Ezra Harel, ont assuré la gestion de la sécurité aux aéroports de Boston et de Newark quand leur compagnie ICTS a acheté Huntleigh USA en 1999. Les vols UAL 175 et AA 11, qui ont frappé prétendument les tours jumelles, ont tous les deux décollé à Boston, alors que le vol UAL 93, qui s'est soi-disant écrasé en Pennsylvanie, partait de l'aéroport de Newark. Le criminel israélien condamné Atzmon commande et opère également le port allemand de Rostock sur la Mer Baltique.
Des familles de victimes du 11 septembre intenté des procès contre l'agence de sécurité Huntleigh pour avoir été excessivement négligentes lors du 11 septembre. Tandis que ces parents ont droit à la découverte et de savoir ce qu'Huntleigh a fait ou n'a pas fait pour protéger leurs êtres chers le jour du 11 septembre, Huntleigh, avec les autres agences de sécurité, se sont vues accorder la protection complète du Congrès en 2002 et ne sera jamais appelée à s'expliquer pour ses actions le jour du 11 septembre dans n'importe quelle cour des États-Unis.
Atzmon, un criminel condamné, allié politique et co-défendeur du premier ministre Israélien Ehud Olmert, était directement responsable que les passagers et la sécurité de ligne aérienne à l'aéroport de Logan de Boston, d'où les deux avions de ligne qui ont heurté le World Trade Center ont décollé.
Le lien d'Olmert avec Atzmon et l'échec de la sécurité d'aéroport le jour du 11 septembre est évidemment plus qu'une coïncidence, pourtant la presse contrôlée des États-Unis n'a pas étudié ce lien israélien aux attaques de terreur, comme tant d'autres liens.
Comment le Mossad a Trompé l’Armée Américaine le 11 septembre 2001
De manière plus notable, c'était cette infiltration qui a permis aux événements du 11 septembre 2001 de se produire.
Si les crimes du 9/11 avaient été correctement étudiés, ces personnes auraient été étudiées et fichées depuis longtemps. La connexion au Mossad est évidente ; voyez :
Afin de faciliter la pénétration de réseau informatique, Mossad a établi un fournisseur de logiciel et de consultation appelé Ptech en utilisant des Libanais et des Arabes comme financiers et fondateurs de couverture, gardant leur « Sayan » Juif Américain dans une position secondaire, mais critique.
Tout d'abord, prenez note de l’arrière-plan de ce que Ptech a fait, de l'article de janvier 2005 « Michael Chertoff et le sabotage de l’enquête sur Ptech » sur le weblog de Rigorous Intuition :
« Joe Bergantino, un journaliste pour l'équipe investigatrice de WBZ-TV, était déchiré. Il aurait pu faire la lumière sur un scoop basé sur des mois d’investigation sau sujet d’une société de logiciel liée au terrorisme, ou suivre la demande du gouvernement retenir cette histoire pour des raisons de sécurité nationale. À la mi-juin, Bergantino a reçu un conseil d'une femme de New York qui suspectait que Ptech, une compagnie de logiciel d'ordinateur de Quincy, Massachusetts, a eu des liens avec des terroristes. Ptech s'est spécialisé dans le développement de logiciels de gestion de l'information contenue dans les réseaux informatiques.
« La recherche de Bergantino a indiqué que les clients de Ptech incluent plusieurs agences gouvernementales fédérales, y compris la U.S. Army, U.S. Air Force, U.S. Naval Air Command, le Congrès, le Département de l’Énergie, la Federal Aviation Administration, l’Internal Revenue Service, l’OTAN, le Federal Bureau of Investigation, les Services Secrets et même la Maison Blanche.
« Ptech faisait des affaires avec chaque gouvernement fédéral dans la défense et a eu accès aux données-clés du gouvernement », a dit Bergantino.
Source: rigorousintuition.blogspot.com/2005/01/michael-chertoff-and-sabotage-of-ptech.html
Il convient de noter que Ptech « est tombé sur ses pieds en 1994 ». Goff veut dire qu'il a quitté Ptech quand Goff Communications a débuté en 1994 ; ce qui est très certainement faux.
Voici ce que le site Web dit à propos du travail de Michael Goff :
Michael était directeur de vente chez Ptech, Inc., un principal fournisseur de modelage de processus d'affaires, de conception et logiciel de développement. Dans cette tâche, Michael a géré divers programmes de marketing et activités incluant les relations publiques, la publicité par courrier direct, le développement Internet, le collatéral (garantie), les expositions commerciales et les conférences. En plus, Michael a travaillé étroitement avec l'organisation de ventes de Ptech pour faire l'analyse comparative de marché aussi bien que gérer les activités de pointe de tracking et de réalisation.
Quand Michael s’est joint à Ptech, il a partagé des responsabilités entre le marketing et les systèmes d'information pour la compagnie. En tant que gérant des systèmes d’information, Michael a dirigé la conception, le déploiement et la gestion de son réseau Windows et Macintosh de voix et de données. Comme élément de cet effort, Michael a développé le système Lotus de vente et de tracking de marketing de pointe et le service de demande de soutien IS. Michael a aussi participé à la formation du personnel et géré toute la fourniture pour le logiciel, les systèmes et les périphériques.
Voir: www.goffpr.com/about.asp
Sur le site Web de communications de Goff, vous noterez qu'un de ses clients professionnels courants est une compagnie israélienne connue sous le nom de Guardium. Guardium est à au moins 5 milles de Hanscom AFB, emplacement des laboratoires de Lincoln du MIT et à peu près à la même distance de l'aéroport Logan de Boston. Les Israéliens sont partout dans le MIT et la ville de Boston.
Voir: www.guardium.com/
Guardium, une société de « sécurité de base de données », est clairement une opération du Mossad travaillant dans une zone critique - la même où les deux avions qui ont heurté le World Trade Center ont décollé - l'aéroport Logan de Boston.
Ne me croyez pas sur parole, regardez qui finance Guardium : (Ça vient des archives d’Internet archive; l’original a disparu) www.guardium.com/investors.html
Trois sociétés, toutes israéliennes, et toutes remplies d’agents du Mossad. Il convient de noter que les sièges sociaux du Mossad sont à Herzeliya. Il est clair que les trois sociétés, Cedar Fund, Veritas Venture Partners, et StageOne, sont toutes des couvertures de financement du Mossad
Alors donc, avec Ptech, nous avons eu doit à un « Sayan » américain [c.-à-d. un agent Juif qui travaille avec le Mossad si nécessaire], Michael S. Goff, qui a eu des agents du Mossad le fournissant en information et le dirigeant ALORS QU’il travaillait avec ses « associés » Musulmans Libanais de Ptech.
Mais pourquoi un jeune avocat Américain travaillant avec un bon cabinet juridique dans sa ville natale laisserait soudainement la pratique de la loi et travaillerait avec une épineuse compagnie de démarrage de logiciel détenue et financée par un Libanais et un Saoudien? Vous comprenez? Est-ce que de que je dis fait sens?
La famille de Goff est une famille respectée et bien connue à Worcester, Massachusetts. Il s’est parti un bon cabinet juridique après avoir quitté l'école de droit. Pourquoi un tel changement de carrière?
Le Mossad lui a demandé de le faire. Pour le bien du peuple Juif, etc., etc.
Sous Goff, des logiciels de Ptech chargés de trappes et de chevals de Troie ont été vendus et chargés sur les systèmes informatiques les plus sensibles, qui ont échoué malheureux, ou bien perfomé (selon votre point de vue), le jour du 11 septembre 2001.
Le père de Goff et son grand-père, Samuel, étaient des comptables qui ont appartenu à la loge 600 du Worcester's "Commonwealth Lodge 600 of B'nai B'rith", peu importe ce que ce groupe fait pour les Américains. Ils étaient tous les deux francs-maçons de trente-deuxième degré. Est-ce qu'une pomme tombe loin de l'arbre ?
NOTE IMPORTANTE aux agents de police et du FBI non-corrompus: si vous jeter un coup d’œil attentif sur les individus qui dirigent Guardium, et ceux qui se tiennent derrière les trois compagnies qui financent cette couverture, et les interrogez à Guantanamo pour quelques semaines, nous irons au fond des choses à savoir qui a orchestré et exécuté le 9/11. Je vous le garantis.
Mitre Corporation a servi de cheval de troie pour les israeliens lors du 9/11
Photo: Dr. James Rodney Schlesinger
Est-ce qu'une unité centrale de traitement avec des privilèges « de supra-utilisateur » des systèmes de commande et de contrôle du Département de la Défense, NORAD, l'Armée de l'Air, et le FAA, ont commandé les attaques aériennes de 9/11 ?
Il y a seulement une agence qui a cette capacité - une entreprise privée peu connue appelée MITRE Corp.
Il y a fondamentalement deux versions des événements entourant les attaques de terreur du 11 septembre 2001. Il y a la version de gouvernement, propagée par les médias contrôlés, qui soutient que 19 terroristes Arabes, organisés par Oussama Ben Laden en Afghanistan, ont détourné 4 avions de ligne et les ont utilisés pour attaquer le World Trade Center et le Pentagone. Cette version, employée pour lancer la « guerre au terrorisme » et deux invasions dans le Moyen-Orient, est mise au défi par un manque d'évidence.
D'autre part, une foule d'explications officieuses, basée sur l'évidence disponible, composent ce qui peut s'appeler un « travail d'intérieur » (inside job) ou la version anti-gouvernement. Cette version affirme essentiellement que les agents incorporés dans les organismes de militaires et d'intelligence des États-Unis ont conspiré pour effectuer les attaques de terreur.
Les deux nations étrangères le plus souvent impliquées dans les explications officieuses du 9/11 sont Israël et la Grande-Bretagne. Les deux pays sont des défenseurs et des bénéficiaires de la « guerre au terrorisme » de l'administration Bush.
Pour les Israéliens, l'Irak, une menace importante, a été rigoureusement réduit en capacité de puissance et placé sous occupation militaire. Pour les Anglais, un territoire riche en pétrole, la région méridionale de l'Irak appelée Bassora, qui a été originellement occupée en 1914, a été réoccupé et ses immenses capitaux de pétrole ont été mis sous le contrôle de la Couronne britannique.
Royal Dutch Shell et BP, autrefois appelée British Petroleum, sont deux compagnies qui seraient contrôlées par la Couronne, qui ont montré des bénéfices record depuis le 9/11.
Tandis que la Grande-Bretagne et Israël ont des capitaux substantiels et des organismes puissants aux États-Unis, les partisans de la version anti-gouvernement n'ont pas expliqué comment une puissance étrangère pourrait manoeuvrer les systèmes informatiques de l'administration fédérale d'aviation (FAA), de la commande aérospatiale nord-américaine de la défense (NORAD), et de l'Armée de l'Air des États-Unis, et ainsi contrôlé les attaques aériennes du 9/11.
Quand l'American Free Press a interviewé Eckehardt Werthebach, ancien président du service de renseignement domestique allemand, en décembre 2001, il a dit que « la précision mortelle » et « l'ampleur de la planification » derrière les attaques du 9/11 auraient eu besoin d'« années de la planification. »
Une opération si sophistiquée, dit Werthebach, exigerait « le cadre fixe » d'une organisation d'intelligence d'État, quelque chose qu'on ne retrouve pas dans « un groupe lâche » de terroristes comme celui prétendument mené par Mohamed Atta.
Beaucoup de gens auraient été impliquées dans la planification d'une telle opération, dit Werthebach. Il indique l'absence de fuites comme autre indication que les attaques étaient « des actions organisées par l'État ».
Andreas von Bülow, qui a servi sur la commission parlementaire de l'Allemagne et a surveillé les trois branches du service secret allemand, a dit à l'AFP qu'il a cru que le Mossad, le service d'intelligence d'Israël, était derrière les attaques de terreur. Les attaques, dit-il, ont été effectuées pour tourner l'opinion publique contre les Arabes et pour amplifier les dépenses militaires et de sécurité.
« Vous n'obtenez pas les échelons plus élevés », dit von Bülow, référant à « la structure architecturale » qui dirige de telles attaques de terreur. À ce niveau, dit-il, l'organisation faisant la planification, telle que le Mossad ou l'intelligence britannique, est principalement intéressée à affecter l'opinion publique.
Dans un article récent dans AFP, « le plan terroriste parfait pour niveler les tours jumelles créées en 1976 » ("The Perfect Terrorist Plan To Level the Twin Towers Created In 1976") par Greg Szymanski, a signalé que l'armée américaine a conçu un plan en 1976 pour détruire les tours à l'aide d'avions de ligne et de coupeurs de boîte comme armes.
À l'époque, George H.W. Bush était le chef de la CIA et que Martin R. Hoffmann était Secrétaire de l'Armée. Hoffmann a dit à l'AFP qu'il ne se rappelle pas avoir été impliqué dans cette planification censément faite par l'Armée américaine.
Un architecte, même de destruction, a besoin d'un contractant. Les partisans de la version anti-gouvernement du 9/11 fournissent l'évidence pour soutenir leurs assertions, mais n'expliquent pas comment des systèmes de commande d'aviation militaire et civile américaine pourraient avoir été détournés pour permettre aux attaques aériennes de se produire.
Puisque les attaques ont impliqué des systèmes employés par le FAA, NORAD, et l'Armée de l'Air des États-Unis, les conspirateurs auraient eu besoin d'un accès de « supra utilisateur » aux centres de commande et de contrôle de ces trois organisations séparées.
Le supra utilisateur signifie l'utilisateur le plus privilégié sur un système de données automatisé. Celui-ci a accès complet à tous les dossiers sur le système. Pour les agences précédemment mentionnées, et pratiquement tous les autres organismes de la défense et de l'intelligence des États-Unis, il y a un tel « supra utilisateur » possible : l'organisation privée sans but lucratif, basée à Bedford, Mass., connue sous le nom de de MITRE Corp. MITRE a également des sièges sociaux dans McLean, Virginie, sur un campus qu'il partage avec Northrop Grumman.
MITRE Corp. est une organisation contractante majeure de la Défense dirigée par l'ancien Directeur de l'Intelligence Centrale (DCI), Dr. James Rodney Schlesinger. Schlesinger, qui a été censément nommé DCI à la demande d'Henry Kissinger en 1973, a plus tard servi comme Secrétaire à la Défense.
Schlesinger, un ancien directeur des études stratégiques chez RAND Corp., a été décrit dans une biographie de 1973 comme un « Luthérien dévot », bien qu'il soit né à New York en 1929 de parents Juifs immigrés d'Autriche et de Russie. Schlesinger a obtenu trois diplômes de l'université de Harvard.
Le père de Schlesinger, un comptable, a fondé le cabinet d'expert comptable Schlesinger et Haas, et était un administrateur et un Président du budget de la Stephen Wise Free Synagogue. Son père était également un membre de la Grande Loge franc-maçonnique de l'État de New-York.
MITRE Corp., dont Schlesinger est président du conseil d'administration, est reliée au laboratoire du MIT, au MIT's Lincoln Laboratory, et au Mitretek Systems of Falls Church, en Virginie.
Schlesinger est un conseiller en chef pour la société de placement en valeurs mobilières Lehman Brothers et un membre du Defense Policy Board et du comité consultatif pour le département de la sécurité intérieure (Department of Homeland Security, DHS).
MITRE Corp. a fourni la technologie d'informations et d'ordinateurs au FAA et à l'Armée de l'Air des États-Unis depuis la fin des années 50. La MITRE est un centre de développement et de recherche financé par le gouvernement (Federally Funded Research and Development Center, FFRDC) pour le Département de la Défense, le FAA, et le Service de Revenu Interne (Internal Revenue Service).
Le président du conseil d'administration de Mitretek Systems, un à côté de MITRE Corp., est Martin R. Hoffmann, qui a servi comme Secrétaire de l'Armée quand le « plan terroriste parfait » a été censément préparé en 1976.
MITRE's Command, Control, Communications, and Intelligence (C3I) FFRDC pour le Dept. de la Défense a été établie en 1958. Le C3I « soutient un large et divers ensemble de commanditaires dans le Département de la Défense et la Communauté du Renseignement. Celles-ci incluent les départements militaires, des agences de la défense et du renseignement, les commandes combattantes, et des éléments du Bureau du Secrétaire à la Défense et du bureau des Chefs du Personnel Communs (Joint Chiefs of Staff) », indique le site Web de la MITRE. « La technologie de systèmes d'information », indique-t-il, « couplé à la connaissance du domaine, soutiennent le travail du C3I FFRDC ».
L'Armée de l'Air des États-Unis maintient ses centres de systèmes électroniques (Electronic Systems Center, ESC) au Hanscom AFB à Bedford, Massachusetts. L'ESC contrôle le développement et l'acquisition des systèmes électroniques de commande et de contrôle(C2) employés par l'Armée de l'Air.
L'ESC est pour l'Armée de l'Air « le cerveau des systèmes d'information, de commande et de contrôle », selon Charles Paone, un employé civil de l'ESC. C'est le « centre de produit » pour le système aéroporté de l'avertissement et de commande de l'Armée de l'Air (Air Force's Airborne Warning and Control System, AWACS) et le système commun de radar d'attaque de cible de surveillance (Joint Surveillance Target Attack Radar System, J-STARS), affirme Paone.
Interrogé sur le rôle de MITRE à l'ESC, Paone a dit, « MITRE fait la technologie de devanture. C'est au fond notre ingénieur interne. » Les employés de MITRE opèrent les systèmes informatiques chez Hanscom AFB, dit Paonet.
Les laboratoires de Lincoln du MIT, parent de la MITRE, sont situés sur le Hanscom AFB.
Un deuxième FFRDC, le centre pour le développement avancé de système d'aviation (Center for Advanced Aviation System Development, CAASD) fournit le génie informatique et la technologie au FAA. L'appui de MITRE du FAA a commencé en 1958, quand la compagnie a été créée.
Le manuel de gestion du cubage de la FAA (FAA's Airspace Management Handbook) de mai 2004, par exemple, a été écrit et édité par MITRE Corp.
Jennifer Shearman, le directeur de relations publiques de MITRE pour « l'identité de corporation » à Bedford, a dit à l'AFP que MITRE est un « mentor de confiance » pour le FAA et un fournisseur « unique » d'information « objective et indépendante » pour l'autorité d'aviation civile des États-Unis.
Des sièges sociaux de MITRE à Bedford sont situés près de l'aéroport Logan de Boston où les deux avions qui ont heurté le World Trade Center ont censément décollé. Bedford se trouve directement sous le parcours aérien des vols vers l'Ouest en provenance de Logan.
MITRE a développé la technologie « pour faciliter des contrôleurs à résoudre des problèmes tout en gardant l'avion près de leur itinéraire, leur altitude, et les préférences de vitesse ». Shearman ne pouvait pas dire pourquoi la technologie de MITRE a apparemment échoué le jour du 9/11.
Indira Singh, un « conseiller IT» qui précédemment travaillé à un projet de recherche avancé par la Défense (Defense Advanced Research Project) et qui a été utilisé par J.P. Morgan le jour du 9/11, dans la gestion des risques, indique le rôle de MITRE au FAA pendant les audiences de la Commission des Citoyens du 9/11 à New York en septembre dernier.
« Ptech était avec MITRE Corporation dans le sous-sol du FAA durant les deux ans précédant le 9/11 », dit Singh. « Leur travail spécifique est d'étudier les questions d'interopérabilité que le FAA a eues avec le NORAD et l'Armée de l'Air dans un cas d'urgence. Si quelqu'un était en mesure de savoir que le FAA - qu'il y avait une opportunité ou pour insérer le logiciel ou pour changer quoi que ce soit - c'aurait été Ptech avec MITRE ».
Un représentant de Ptech n'a pu être rejoint. [Ptech semble avoir été une compagnie de devanture du Mossad créée pour fournir le logiciel Cheval de Troie peu sûr aux agences militaires et d'intelligence des États-Unis. Ptech a des propriétaires et des financiers typiquement Arabes - et des opérateurs du Mossad.]
Par exemple, voyez Michael Goff, ancient gérant du marketing à Ptech, Inc.http://www.goffpr.com/about.asp
Articles reliés de Bollyn: Comment le Mossad a Trompé les Militaires Américains le 11 septembreBollyn-Ptech-F.html (Français)
Information biographique de Schlesinger: www.mitre.org/about/bot/schlesinger.html
Site Web de MITRE Corp: http://www.mitre.org/
La bande de Gaza face à une réelle catastrophe humanitaire imminente
Des institutions internationales dont l'ONU et des organisations juridiques et économiques palestiniennes préviennent d'un effondrement économique et sanitaire imminent dans la bande de Gaza.
Ces appels avertissent de situations économiques et sociales qui rongent la bande de Gaza, suite à deux mois de blocus total, de fermeture de tous les passages terrestres, pratiqués par l'Entité sioniste en coopération avec l'administration américaine et avec le consentement douteux de la part du duo Abbas-Fayad.
Une réelle catastrophe humanitaire pourra arriver à tout moment. L'économie pourra s'écrouler dans la bande de Gaza qui souffre déjà de situations et d'une pauvreté très graves.
Indications
Les effets nuisibles recensés par lesdites institutions peuvent être résumés dans le fait que la bande de Gaza sera transformé, dans quelques mois et même dans quelques semaines, en "poche isolée et fermée vivant uniquement sur les aides humanitaires", dit Filippo Grandi, commissaire-adjoint de l'UNRWA, dans une conférence de presse organisée à Gaza. Toute l'industrie et toute l'agriculture peuvent s'écrouler, ce qui exige une intervention très rapide, croit-il.
120 mille ouvriers de la Bande peuvent bientôt se retrouver sans emploi, estime un rapport de l'Union des hommes d'affaire palestiniens. Il note que les pertes quotidiennes, depuis la fermeture totale en juin dernier, atteint 500 mille dollars.
Les points de passage continuent leur fermeture, l'économie de la Bande continue sa détérioration. Le bois, les tissus, les matériaux de construction et d'autres choses n'y arrivent pas, beaucoup d'usines mettent la clé sous la porte. Et une petite part de l'industrie travaille aux alentours de 10% de sa capacité.
Du reste, quelque 400 camions, portant des meubles dont la valeur est estimée à 8 millions de dollars, attendent une issue pour l'exportation.
Pire, un grand manque de médicaments commence à se sentir. Le ministre de la santé publique palestinien estime que la situation va vers une pénurie dangereuse. Déjà, les magasins souffrent d'un manque de 25%.
Appels
Les dirigeants arabes et la communauté internationale sont invités à intervenir rapidement afin de mettre un terme à ce siège injuste et d'alléger ses conséquences.
Quant à l'UNRWA, elle appelle l'autorité palestinienne et le gouvernement de l'occupation israélienne à ouvrir le point de passage d'Al-Mintar (Karni, dans l'Entité sioniste) pour laisser passer les produits dont surtout les produits humanitaires.
Les dirigeants arabes
Lorsque l'occupation israélienne ferme les portes de l'économie palestinienne, les dirigeants arabes peuvent mettre un terme à la crise économique en ouvrant le portail sud, le point de Rafah, dit l'Union des industries palestiniennes. Ce n'est pas une demande difficile et exagérée.
Par ailleurs, le Centre palestinien des droits de l'homme appelle à une réaction immédiate obligeant les autorités de l'occupation israélienne à laisser passer les marchandises essentiels dont notamment les produits alimentaires et médicaux dont le manque menace la vie d'un million et demi de civils dont 73% vivant en dessous du seuil de pauvreté.
Il faut donc :
1. ouvrir le passage de Rafah, une ouverture sur le monde extérieur, une liberté de mouvement ;
2. pratiquer la pression sur les autorités militaires israéliennes afin qu'elles arrêtent le siège et la politique de sanctions collectives ;
3. intervenir immédiatement afin d'assurer le respect total de la loi humanitaire internationale et celle des droits de l'homme et afin de freiner la détérioration dangereuse de la vie des civils de la bande de Gaza ;
4. arrêter cette affreuse politique de sanction collective pratiquée contre le peuple palestinien, en laissant arriver les aides dont surtout celles venant d'organisations humanitaires tout en réactivant l'UNRWA dans tous les domaines, humanitaire, éducatif, sanitaire…
5. faire rappeler à l'Entité sioniste ses obligations envers les civils de la bande de Gaza, étant une force occupante. Elle doit se rendre compte de l'article 55 de la convention de Genève de 1947. Cet article oblige en effet tout Etat d'occupation à tout mettre en œuvre pour fournir à toute la population ses besoins en produits élémentaires et médicaux. Il doit en apporter si besoin est. Il ne doit pas, de quelque façon que ce soit, mettre la main sur la nourriture de la région occupée.
Une sanction collective
En fait, le blocus actuel pratiqué contre la bande de Gaza fait partie d'une politique de sanction collective à l'envers du peuple palestinien pour ses choix démocratiques, pour avoir choisi le programme de la résistance et celui de la réforme, pour avoir donné sa voix au Hamas. Depuis le début de 2006, le siège économique a commencé à se renforcer : le transfert de biens ont été interdit, les aides des pays occidentaux ont été freinés…
La fermeture des points de passage, même partiellement, est une image de cet injuste blocus. Cependant, on sait que le Hamas a remporté la majorité des sièges du Conseil législatif palestinien dans des élections dont le monde tout entier reste témoin de leur impartialité. Ce qui arrive actuellement n'est qu'un prolongement de ce qui avait débuté il y a quelque un an et demi par l'administration américaine et par l'Entité sioniste.
Complot
Le but final demeure la liquidation totale de la cause palestinienne et la mise à terme à la résistance légitime contre l'occupation israélienne. Pour ce faire, plusieurs parties s'y mettent. C'est un complot dévoilé et condamné par Ismaël Haniyeh, le premier ministre palestinien en poste.
Ce plan se compose de plusieurs volets. Séparer la bande de Gaza de la Cisjordanie. Renforcer le siège contre la Bande. Délégitimer le gouvernement élu. Frapper les infrastructures de la résistance palestinienne. Entamer des transactions sécuritaires et politiques avec l'Entité sioniste.
Danger
Le vrai danger dans ce blocus total vient de la participation du duo Abbas-Fayad. Ils ne se trouvent même pas gênés par la famine de leur peuple. Ils ne font aucune distinction entre les différences partisanes et les intérêts nationaux suprêmes qui doivent être considérés comme une ligne rouge à ne pas dépasser !
Pour la première fois dans l'histoire, des Palestiniens coopèrent avec les Israéliens pour mettre en échec une décision internationale pouvant servir le peuple palestinien. Il est de moins en moins étonnant qu'une partie locale appelle l'Egypte à ne pas ouvrir le passage de Rafah qui relie la bande de Gaza au monde extérieur !
On a vécu pour voir des ambassadeurs palestiniens et israéliens à l'ONU travailler main dans la main pour contrecarrer une décision présentée par deux pays musulmans : le Qatar et l'Indonésie ! En fait, cette organisation mondiale était sur le point de déclarer la bande de Gaza zone de catastrophe humanitaire afin de mettre en place les dispositifs nécessaires pour alléger les souffrances humanitaires et économiques de la Bande.
Un tsunami !
La situation de la Bande pourra arriver à un niveau similaire à ce que connaît une région frappée par un tsunami, politique et économique. Toutefois, il pourra frapper toute la région et non seulement la bande de Gaza, préviennent des observateurs.
Finalement, le monde tout entier dont la région du Moyen-Orient en particulier doit réagir, poussé au moins par des raisons humanitaires. Il doit regarder de près les dangers du blocus, frapper fort sur les mains de ceux qui mettent de l'huile sur le feu, protéger le peuple palestinien. Se protéger en fin compte.
LE CALIFAT SUR LA VOIE DE LA PROPHETIE
PUIS IL Y AURA LE CALIFAT SUR LA VOIE DE LA PROPHETIE
1 comment:
mais l'application pratique de cette ideé est un veritable casse tete et rencontre une grande opposition de l'ouest qui presente cette ideé comme dangereuse, car l'histoire ne fait pas de pauses, elle continue son bonhomme de chemin, meme dans le monde musulman balkanisé a outrance, peut etre nous faudrait-il un homme comme Alexandre qui devant le noeud gordien a eu le trait de genie de sortire tout simplement son epeé ...
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Netanyahu-Berezovsky-Bush-Brown-Merkel-Sarkosy : La mafia israelienne et le Terrorisme International
Neil Bush, le frère de l’actuel Président des États-Unis, est un partenaire d’affaires avec l’oligarque exilé Boris Berezovsky, un citoyen Israélien recherché pour des accusations de fraude en Russie.
par Christopher Bollyn,
Photo: Neil Bush avec Boris Berezovsky à Riga, Lettonie, en septembre 2005:www.bhhrg.org/mediaDetails.asp?ArticleID=572
Berezovsky affirme avoir cause la guerre en Tchéchénie, dans laquelle des dizaines de milliers de personnes ont été tuées et un pays entier a été dévasté.
Il était intéressé par les ressources minérales et une canalisation éventuelle là-bas. Afin de réaliser cela il a mis un terme à l'accord de paix qui a donné au pays une certaine indépendance.
Les oligarques ont écarté et ont détruit Alexandre Lebed, le général populaire qui a orchestré l'accord, et la guerre s’est poursuivie depuis lors.
Quelques articles plus récents sur ses crimes:• Le Brésil enquête sur le rôle Berezovsky dans le West Ham Deal www.mosnews.com/news/2006/09/14/westhamprobe.shtml
• La télévision russe blâme Berezovsky pour l’empoisonnement au Polonium de Litvinenkohttp://abcnews.go.com/International/wireStory?id=2999355
Au cours d'une visite du 22 septembre en Lettonie, Neil Bush, le frère du Président Américain George W. Bush, est apparu avec son associé, l'oligarque Russe fugitif et citoyen Israélien, Boris Berezovsky. L'apparition de Berezovsky à Riga avec le frère du président des États-Unis a causé une consternation significative pour le gouvernement letton dû aux demandes russes de son extradition pour des accusations de fraude.
Neil Bush a attiré l'attention nationale pour la première fois quand il a été déshonoré lors du scandale d'épargne et de prêt de Silverado, qui s'est produit durant la présidence de son père. Les régulateurs fédéraux ont découvert « de multiples conflits d'intérêt » dans les rapport d'affaires de Bush en tant que membre du conseil de Silverado, qui a échoué en 1988, coûtant aux contribuables Américains plus de $1.3 milliards.
La Russie a demandé l'extradition de Berezovsky quand il est arrivé à Riga. Le procureur général de la Lettonie, a cependant refusé d'extrader Berezovksy clamant que puisqu'il a le statut d'asile en Grande-Bretagne, un Etat Membre de l'Union Européenne, il ne pourrait pas être remis en Russie.
Après la visite de Bush-Berezovsky, le premier ministre Aigars Kalvitis a dit que Berezovsky devrait être empêché d'entrer en Lettonie parce qu'il a constitué une « menace » à la sécurité. Le Président Vaira Vike-Freiberga soutient supposément l'interdiction de visites futures en Lettonie au milliardaire en exil.
Le Moscow Times a rapporté récemment que l'investissement de Berezovsky dans la compagnie de Bush à Austin, Texas, Ignite, Inc., le lie avec un groupe bien-connecté d'actionnaires courants et anciens tels que l'ancien Président George H.W. Bush et des financiers majeurs Asiatiques et du Moyen-Orient. Les dossiers de la Commission de Valeurs et d'Échange des États-Unis (U.S. Securities and Exchange Commission) indiquent que la compagnie de Bush a obtenu $7.1 millions de 53 investisseurs en 2001.
Le produit principal de Ignite inc. est un dispositif de projecteur de salle de classe de la valeur éducative douteuse appelée « La Vache » (programme d'études mobiles) (The Cow, Curriculum on Wheels), qui contient le logiciel qui remplace les manuels traditionnels en projetant des images de dessins animés conçus « pour fournir des leçons de la même manière que les présentateurs professionnels ».
Au cours des derniers mois, Berezovsky a aidé Bush à promouvoir sa compagnie dans les pays de l'ancienne Union Soviétique qui ne sont plus dans la sphère d'influence de Moscou, y compris l'Ukraine, la Géorgie, et plus récemment, la Lettonie.
Berezovsky a dit que ses investissements dans la société de Bush n'étaient que des affaires et un investissement dans un secteur auquel il s'est toujours intéressé. Refusant de révéler la taille de son investissement, Berezovsky a dit : « J'ai investi dans la compagnie parce que je pense que c'était la bonne chose à faire. Je n'ai eu aucun autre objectif pour faire cet investissement. Si la compagnie n'avait pas été possédée par Bush, j'aurais investi dans une autre qui faisait la même chose ».
Un commentaire de Berezovsky suggère qu'il ait été invité à investir à la société de famille de Bush. « Quand j'ai reçu l'offre d'investir, j'ai envoyé des spécialistes pour qu'ils jettent un regard sur ce que la compagnie faisait et ils ont approuvé », a dit Berezovsky.
Berezovsky a indiqué qu'il n'a pu pas obtenir un visa pour voyager aux États-Unis pour discuter de ses entreprises d'affaires avec Neil Bush.
« Il [Bush] m'a demandé de penser aux projets possibles dans les régions que je connais », rapporte le Moscow Times des propos de Berezovsky à propos des plans de Bush pour la compagnie qu'il a fondée en 1999. « J'ai connu pendant longtemps cette région. Le CIS est mon domaine de spécialisation ».
Berezovsky, décrit comme « ancien fabricant de rois du Kremlin », a servi comme secrétaire de direction du Commonwealth des États Indépendants sous l'ancien Président Boris Yeltsin. Les fortunes de Berezovsky ont changé après que Vladimir Putin ait été élu en 2000 et il est devenu un ennemi du Kremlin.
« Pour Putin, ce doit être un point très litigieux que le frère de son ami ait un certain genre d'affaires avec Berezovsky », a dit Vladimir Pribylovsky, la tête de Panorama, un think tank politique russe.
Berezovsky était l'un des oligarques en chef en Russie qui ont acquis une richesse massive en prenant le contrôle des actifs publics de l'Union Soviétique après la chute du communisme. Berezovsky possédait plusieurs banques et stations de TV en Russie lorsqu'il a été accusé d'avoir fraudé un gouvernement régional pour $13 millions. En 2000, il s'est sauvé du pays et s'est installé à Londres, où il vit maintenant sous le nom de Platon Elenin.
« Berezovsky est l'un des sept « oligarquess », comme on les appelle en Russie et ailleurs : les massivement riches et puissants manipulateurs qui par la violence, le vol et la corruption ont acquis un pourcentage gigantesque (les rapports indiquent de 70 à 85 pourcent) des ressources de la Russie, de son pétrole à l'industrie automobile aux mass media », écrivait Alison Weir, directeur exécutif de If Americans Knew, un site Web se concentrant sur l'intervention des États-Unis avec Israël et la Palestine, dans son article, "Russia, Israel and Media Omissions" (« La Russie, Israël et les Omissions des Médias »).
En utilisant leurs ressources financières mal acquises et des ressources extraordinaires et des délits d'initiés, les oligarques ont gagné le contrôle d'une grande partie de l'appareillage politique de la Russie.
« Les Oligarques ont choisi eux-mêmes les premiers ministres et les chefs du gouvernement et n'ont même pas pris la peine de le faire en coulisses », écrit Weir.
Presque tous les oligarques russes ont les liens significatifs en Israël. En fait, Berezovsky a la citoyenneté israélienne, un fait qui a causé un scandale de proportions semblables au Watergate en Russie en 1996 lorsque ce fait a été exposé dans un journal russe.
La citoyenneté israélienne de Berezovsky et les connexions des oligarques avec Israël sont largement connues en Russie et en Israël. En Israël il y a même des séries télé israéliennes populaires appelées « les Oligarques ».
« Certains de ses épisodes », écrit le journaliste Israélien Uri Avnery dans un article du même nom, « sont simplement incroyable ou auraient été, s'ils n'étaient pas venus directement de la bouche des chevaux : les héros de l'histoire, qui se vantent allègrement au sujet de leurs exploits ignobles. La série a été produite par des immigrés Israéliens venant de Russie ».
« C'est une série télé concernant la Russie », écrit Avnery. « Mais elle pourrait concerner Israël – ou les États-Unis ».
« Les oligarques » sont un groupe minuscule d'entrepreneurs qui ont exploité la désintégration du système soviétique pour piller les trésors de l'État et pour amasser un pillage s'élevant à des centaines de milliards de dollars. Afin d'assurer la postérité de leurs affaires, ils ont pris les commandes de l'État. Six sur les sept sont des Juifs, » écrit Avnery dans son article d'août 2004.
« Dans le langage populaire ils s'appellent « les oligarques » - de la signification grecque « le règne du petit nombre ».
« Dans les premières années du capitalisme russe post-Soviétique ils étaient les gens audacieux et agiles qui ont su exploiter l'anarchie économique afin d'acquérir d'énormes possessions pour un centième ou un millième de leur valeur : pétrole, gaz naturel, nickel et autres minerais. Ils ont employé toutes les astuces possibles, y compris la fraude, le corruption et le meurtre. Chacun d'entre eux ont eu une petite armée privée. Dans la série ils sont fiers de raconter en détail comment ils ont fait », écrit Avnery.
« Mais la partie la plus intrigante de la série raconte la manière dont ils ont pris le contrôle de l'appareil politique. Après une période de combat entre eux-mêmes, ils ont décidé qu'il serait plus profitable de coopérer afin de subvertir l'État. »
Les Israéliens ont les clés de la NSA
par Christopher Bollyn,
Les réseaux informatiques et de transmission les plus critiques utilisés par le gouvernement et les militaires Américains sont sécurisés par le logiciel d’encodage conçu par un « décodeur » Israélien attaché à un établissement scientifique géré par l'Etat israélien.
Photo: Amit Yoran, le "Tsar de la CyberSécurité" Israélien nommé par le Président George W. Bush en 2003. Yoran a détenu différents postes depuis les années 1990 pour lesquels il a supervisé la sécurité des électronique des ordinateurs du Département de la Défense.
Bien que lui et son frère aient censément grandi à Pound Ridge, New York dans les années 70 et 80, les dirigeants de la communauté juive ont dit à l’AFP qu'ils n'avaient jamais entendu parler de lui. L’une des dirigeante a dit qu'elle avait recensé les Juifs vivant du petit village de Pound Ridge dans les années 70 et elle s’en serait rappelé si une famille Israélienne riche appelée Yoran y avaient été trouvée.
Pourquoi les gens de Pound Ridge ne rappelent-ils pas des Yoran?
Probablement parce qu'ils n’habitaient PAS à Pound Ridge - mais en Israël. L'adresse de Pound Ridge été employée pour donner l'aspect que les Yoran étaient des Américains. J'ai parlé avec Elad et il a un accent israélien distinctif - pas ce que vous attendriez pour un type qui a grandi dans un village snob de Yankee.
Alors qui sont les Yoran? Qui sont leurs parents et pourquoi sont-ils venus aux États-Unis? Pour élever des taupes de haut niveau pour infiltrer les réseaux informatiques les plus sensibles des États-Unis? Comment pourraient ils avoir vécu pendant 20 années à Pound Ridge et qu’on ne se rappelle PAS d’eux.
L'agence de sécurité nationale (NSA), l'agence d'intelligence des États-Unis qui a pour mandat de protéger le gouvernement et les réseaux informatiques militaires et de sécuriser les communications pour toutes les branches du gouvernement des Etats-Unis utilise un logiciel de sécurité écrit par le décodeur Israélien dont le siège social est situé à l'institut de Weizmann en Israël.
A. Bedford, une compagnie du Massachusetts appelée la RSA Security, Inc. a publié un communiqué de presse le 28 mars 2006 qui révèle que la NSA utiliserait son logiciel de sécurité : "U.S. Department of Defense Agency Selects RSA Security Encryption Software" (« Le département américain de la défense choisit le logiciel de chiffrage de sécurité du RSA ») était le titre du communiqué de presse de la compagnie qui a annoncé que l'agence de sécurité nationale (NSA) avait choisi d’utiliser son logiciel de chiffrage dans le projet classifié des communications de l'agence. »
RSA représente les noms des fondateurs de la compagnie : Ronald L. Rivest, Adi Shamir, et Leonard M. Adleman. Adi Shamir, chef de file des théoriciens, est un citoyen Israélien et un professeur au Weizmann Institute, un établissement scientifique attaché à l'establishment israélien de la défense.
« Mon domaine de recherche principal est cryptographie - coder et déchiffrer des codes », indique la page Web de Shamir au Weizmann Institute. « Elle est motivée par la croissance explosive des réseaux informatiques et de communication sans fil. Sans protection cryptographique, l'information confidentielle peut être exposée aux oreilles indiscrètes, être modifiée par des intrus, ou être forgée par des criminels ».
Le NSA/Central Security Service se définit comme l'organisation cryptologique de l'Amérique, qui « coordonne, dirige et exécute des activités hautement spécialisées pour protéger des systèmes d'information du gouvernement des États-Unis et produire l'information de signaux de renseignement étrangers ».
Le fait que l'agence fédérale de renseignement responsable de protéger les systèmes informatiques et les réseaux de transmissions les plus critiques employés par toutes les branches du gouvernement et des militaires des États-Unis emploie le logiciel Israélien de chiffrage n’est d’aucune surprise. Le communiqué de presse de RSA est juste le glaçage sur le gâteau ; les clefs des réseaux informatiques les plus critiques aux États-Unis ont été longtemps tenues dans des mains israéliennes.
AFP s'est enquis avec la NSA au sujet de son utilisation du logiciel Israélien de sécurité pour des projets classifiés de communications et a demandé pourquoi une telle source extérieure n'a pas été vue comme une menace de sécurité nationale. Pourquoi « l'organisation cryptologique de l'Amérique » emploie-t-elle des codes de chiffrage israéliens?
Le porte parole de la NSA White a di que l’agence « étudierait » la question et répondrait la prochaine suivante. L’American Free Press a précédemment indiqué qu'une masse de compagnies de « logiciel de sécurité » - engendrées et financées par Mossad, l'agence israélienne d'intelligence militaire - a proliféré aux États-Unis. Les produits de logiciel de « sécurité » de beaucoup de ces compagnies Israéliennes à courte vie ont été intégrés dans les produits informatiques qui sont fournis au gouvernement des États-Unis par des fournisseurs tels qu'Unisys.
Unisys a intégré le logiciel israélien de sécurité, créé par la compagnie israélienne Check Point Software Technologies and Eurekify, dans son propre logiciel, de sorte que le logiciel israélien, programmé par les compagnies liées au Mossad, assure maintenant la « sécurité » des ordinateurs les plus sensibles du gouvernement américain et dans le secteur commercial.
La plupart des firmes de sécurité informatiques créées par le Mossad ont typiquement un bureau principal aux États-Unis tandis que leur recherche et développement est faite en Israël. Les sociétés de démarrage du Mossad ont habituellement une vie très courte avant d’être acquises pour des sommes exagérées d'argent par une plus grande compagnie, enrichissant leurs propriétaires Israéliens dans le processus et intégrant les directeurs Israéliens et leur logiciel du Mossad dans la maison-mère.
RSA, par exemple, une vieille compagnie de logiciel de sécurité, a acquis la compagnie israélienne de logiciel de sécurité, appelée Cyota, à la fin de 2005 pour $145 millions.
En janvier 2005, Cyota, « le principal fournisseur de sécurité en ligne et de solution antifraude pour les institutions financières » avaient annoncé que « l’expert de la sécurité » Amit Yoran, avait joint le conseil d'administration de la compagnie. Avant de devenir un directeur chez Cyota, Yoran, l’Israélien de 34 ans a été le « Tsar de la CyberSécurité », dans son rôle de directeur de la Division Nationale de CyberSécurité du Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security).
Yoran avait été nommé « Cyber Tsar » à l’âge de 32 ans par le Président George W. Bush en septembre 2003. Avant de joindre le DHS, Yoran a été vice-président pour des services de sécurité à la grandeur de la planète chez Symantec. Avant cela, il a été le fondateur, le président et le PDG de Riptech, Inc., une firme de gestion de sécurité de l’information et de la surveillance, que Symantec a acquise en 2002 pour $145 millions.
Yoran et son frère Naftali Elad Yoran sont des diplômés de l'académie militaire américaine de Westpoint. Elad a reçu un diplôme en 1991 et Amit en 1993. Avec leur frère Dov, les frères de Yoran sont les principaux acteurs sur le marché du logiciel de sécurité. Amit a également tenu des positions critiques au gouvernement des États-Unis surveillant le degré de sécurité des ordinateurs pour les mêmes systèmes qui ont apparemment échoué le 11 septembre 2001.
Avant de fonder Riptech en 1998, Yoran a dirigé le programme d’évaluation de la vulnérabilité au sein du Computer Emergency Response Team au département américain de la Défense. Yoran a précédemment servi comme dirigeant dans l'Armée de l'Air des États-Unis en tant que directeur des programmes de vulnérabilité pour le Computer Emergency Response Team du département de la Défense et à l'appui du secrétaire auxiliaire du Bureau de la défense.
En juin 2005, Yoran a joint le conseil d'administration de Guardium, Inc., un autre « fournisseur de solutions de sécurité de base de données » créé par le Mossad, centralisé à Waltham, au Massachusetts.
Guardium est lié à Ptech, une compagnie de sécurité d’ordinateurs de pointe liée au 9/11.
Ptech, une compagnie de logiciel d'ordinateur de Quincy, Massachusetts, était censément une petite compagnie de démarrage fondée par un Musulman libanais et financée par un millionnaire saoudien. Pourtant les clients de Ptech incluent toutes les principales agences gouvernementales fédérales, y compris la U.S. Army, la U.S. Air Force, la U.S. Naval Air Command, le Congrès, le Départment de l’Energie, la Federal Aviation Administration, la Internal Revenue Service, l’OTAN, le Federal Bureau of Investigation, les Services Secrets and même la Maison Blanche.
Le directeur de vente chez Ptech, Inc. quand la compagnie a commencé au milieu des années 90, cependant, n'était pas un Musulman ni un Arabe, mais un avocat Juif Américain a appelé Michael S. Goff qui avait soudainement fermé son cabinet juridique pour aucune raison apparente et joint la compagnie de démarrage Arabe.
Goff était le directeur de la compagnie de gestion de systèmes d'information et avait géré d'une seule main le marketing de la compagnie et « toute procuration » de logiciel, de systèmes et de périphériques. Il a également formé les employés. Goff était évidemment la personne principale chez Ptech.
À la suite de 9/11, pendant les audiences de la Commission des Citoyens à New York, Indira Singh, un conseiller qui avait travaillé au Defense Advanced Research Project, montrait que Ptech et MITRE Corp. étaient impliqués dans les « questions d'interopérabilité » des ordinateurs entre le FAA et le NORAD. Les liens de Ptech avec les Arabes étaient au centre de l’attention, et Goff en était exclu.
« Ptech était avec MITRE Corporation dans le sous-sol du FAA pendant les deux ans avant le 9/11 », a dit Singh. « Leur travail spécifique est de s’occuper des questions d'interopérabilité que le FAA a eues avec le NORAD et l'Armée de l'Air dans un cas d'urgence. Si quelqu’un était en mesure de savoir que le FAA - qu'il y avait une ouverture de possibilité ou pour insérer le logiciel ou pour changer quoi que ce soit - c'aurait été Ptech avec MITRE ».
La compagnie du Mossad Guardium est liée avec Ptech via Goff Communications, firme de relations publiques établie à The Holliston, Massachusetts, autrefois dirigée par Michael S. Goff et son épouse Marcia, qui représentent Guardium. Depuis qu’il a été exposé par l’AFP en 2005, cependant, le nom de Michael n'apparaît plus sur le site Web de compagnie.
Rapport palestinien : Les autorités de l'occupation enterrent des déchets nucléaires en Cisjordanie
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C’EST L’HEURE DE LA RÉVOLUTION
Au niveau international, ce sont des centaines de milliards de dollars qui ont été injectés. Le jeudi 9, la BCE a fourni 95 milliards d’euros, suivis le lendemain par 61,5 milliards de plus. Au Japon et en Australie, les banques centrales ont tenté de leur côté d’arrêter la saignée, et d’autres banques centrales se sont déclarées prêtes à suivre, comme autant de lemmings, le cas échéant. En vain. Les marchés se sont effondrés en Asie, en Europe, en Ibéro-Amérique. Même aux Etats-Unis, le Dow Jones a fini en baisse.
Comme l’a noté Lyndon LaRouche, les Etats-Unis et le monde dans son ensemble entrent dans une phase similaire à celle que connut l’Allemagne en 1923. A l’époque, la bulle hyperinflationniste était relativement isolé, frappant un seul pays, si bien qu’il a été possible d’intervenir de l’extérieur, à l’aide du Plan Dawes, pour rétablir un peu d’ordre, du moins provisoirement. En revanche, la crise actuelle est internationale et nul n’est en mesure de fournir l’équivalent d’un Plan Dawes. L’ensemble du système financier international doit subir une réorganisation générale, avec un retour aux taux de change fixes. Vu le taux d’hyperinflation qui frappe l’économie mondiale, rappelant tout à fait celle de Weimar en 1923, il est urgent de mettre en œuvre une réorganisation du type préconisé par Lyndon LaRouche.
Dans ce contexte, les Etats-Unis doivent faire appel à la Russie, la Chine et l’Inde, en tant que pays centraux, pour traiter le problème. Cela exige bien évidemment l’évincement du vice-Président américain Dick Cheney et un rôle dirigeant pour Lyndon LaRouche.
Vu l’urgence de la situation, l’action - contrairement aux commentaires - est de mise.
L’économiste américain a également précisé des principes qui doivent guider nos actions : nous n’allons pas renflouer les spéculateurs qui sont à l’origine de cette crise. Jim Cramer peut gueuler tant qu’il voudra, nous n’allons renflouer ses amis, ni lui-même, qui sont responsables du problème. Nous allons passer à l’action pour sauver l’économie américaine et pour créer un ordre décent des affaires mondiales. « Les gens feraient bien de s’y habituer, parce que toute autre approche est condamnée. »
Par contre, il faut bel et bien renflouer les gens. L’économie aussi peut et doit être sauvée, si on ne tente pas de renflouer les spéculateurs. Et nous sauverons les banques, moins la spéculation, parce qu’elles sont nécessaires pour faire parvenir le crédit à l’économie physique réelle.
Aujourd’hui, le spectre de Herbert Hoover parle par la bouche de George W. Bush, promettant « une poule dans chaque four ». Le seul problème, c’est qu’il va falloir une brouette pleine de billets pour la payer !
Ne croyez pas, dit LaRouche, qu’il existe des experts quelque part qui connaissent le problème et savent comment le résoudre. Les gens qu’on peut qualifier d’habitude de raisonnables, sont aux abonnés absents. Ils se cachent, ils ne veulent pas s’avancer.
Dans ce type de crise, que LaRouche a été le seul à prévoir et reste le seul à pouvoir traiter convenablement, alors que tous les autres s’esquivent, nous devons indiquer la nature de la crise et la solution. La voix de Lyndon LaRouche doit être entendue. Il sait ce qu’il faut faire, contrairement aux autres. Il n’y a pas de chance pour notre planète sans son leadership.
Comme LaRouche l’a dit : l’heure n’est pas aux commentaires, c’est le moment de la révolution, c’est mon bébé.
Brève contenue dans : Le Krach d’août 2007 : pendant les vacances, le système financier se désintègre
http://www.solidariteetprogres.org/spip/article-imprim.php3?id_article=3199
9/11 : Les reseaux israeliens en Europe sous tres haute surveillance !
Ma recherche et articles originaux ont eu comme conséquence plusieurs découvertes qui sont centrales à la compréhension de ce qui s'est vraiment produit au World Trade Center, au Pentagone, et à la mine de Lambertsville, Pennsylvanie.
Malheureusement, parce que mes découvertes ne soutiennent pas la théorie de la conspiration de la version officielle du gouvernement, j'ai été stigmatisé « un théoricien anti-gouvernement de la conspiration » par ceux qui refusent d'étudier n'importe quelle évidence qui défie la version officielle.
Le 15 août dernier, une troupe de trois policiers est venue à ma maison et m'a assailli au cours d'une arrestation injustifiée. J'étais électrocuté au TASER alors que j'étais immobilisé au sol et mon coude droit a été cassé devant mon épouse et ma fille de 8 ans. Mes écrits m'ont fait une cible de ceux qui sont consacrés à favoriser les mensonges au sujet du 11/9.
Naturellement, cet assaut brutal m'a fait payer cher. J'ai été jeté dans une cellule sans eau et on m'a dit de « boire celle de la toilette ». Quand j'ai demandé pourquoi des policiers habillés en civil rôdaient autour de ma maison, on m'a dit - « nous vous observons ».
J'ai été plus tard inculpé sous deux fausses accusations de méfait et suis immédiatement devenu le sujet d'une campagne internationale bien-orchestrée de critique de ma personne - et par extension mes écrits et ma recherche.
Je fais maintenant face à un procès devant jury le 31 mai à la Cook County Circuit Court et j'apprécierais si vous contactiez le maire et le chef de police des domaines de Hoffman et exprimiez vos inquiétudes pour ce qui m'est arrivé. Aux États-Unis d'aujourd'hui, ce qui m'est arrivé pourrait arriver à n'importe qui. Pour cette raison, cette question doit être adressée par les citoyens inquiets.
L'information du contact est disponible ici : http://www.bollyn.com/index/?id=10451
POURQUOI LES CHERCHEURS DU 11/9 SONT-ILS VISÉS?
Trois semaines après que j'aie été assailli et arrêté, Steven E. Jones, professeur à l'Université Brigham Young et chercheur du 11/9, était calomnié sur l'affiliation locale du NPR comme étant « antisémite » et se fit retirer son poste d'enseignement à cette école mormone prestigieuse.
Jones et moi avions collaboré au printemps de 2006 pour sa recherche sur le métal fondu du World Trade Center. Je m'étais renseigné et j'avais rapporté la découverte de fer fondu dans les sous-sols des trois tours effondrées à l'été de 2002. Ces rapports ont capté l'intérêt de Jones plusieurs années plus tard. Son intérêt scientifique a eu comme conséquence une thèse que des charges de coupe de type Thermite avaient été employées pour faciliter la destruction des tours jumelles et de la tour 7 du WTC, un bâtiment de 47 étages.
J'ai apporté la recherche de Jones à l'université de la Californie à Davis où j'ai rencontré le professeur Thomas Cahill. Cahill avait rassemblé des données et analysé la fumée (avec un TAMBOUR de Davis - DAVIS DRUM) qui s'élevait de la pile de débris du WTC à partir du début octobre jusqu'à Noël 2001. L'abondance extraordinaire de nanoparticules dans la fumée indiquait que le métal fondu sous les tours était plus chaud que le point d'ébullition du fer et les autres métaux trouvés dans la fumée bleuâtre. C'est le genre d'évidence que ceux qui soutiennent la version officielle haïssent.
CAMPAGNE DE PEUR-SALISSAGE
Les attaques contre moi et le professeur Jones sont-elles reliées ? Avons-nous été attaqués, calomniés, et avons-nous été critiqués parce que nous posions trop de questions au sujet du 11/9 ? Dans son article récent "War and the Police State: Complicity of the American People," Donna J. Thorne de Global Research écrit:
« En craignant l'exposition, les tsars de la propagande savent que les 'Chercheurs de Vérité' doivent être stigmatisés et critiqués si la corruption du gouvernement et la fraude des corporations doit s'épanouir sans contrainte. »
« Craignez les tentatives de faire taire les dissidents », écrit Thorne. « Car le mouvement de vérité s'accélère et gagne en crédibilité, les profiteurs de la peur ont commencé à annoncer encore une autre « menace » pour la sécurité nationale - les esprits investigateurs. C'est autant une bonne et une mauvaise nouvelle. Nous ne sommes plus 'ignorable'. Craignant l'exposition, les tsars de la propagande savent que les « Chercheurs de Vérité » doient être stigmatisé et critiqué si la corruption de gouvernement et la fraude de corporation doit s'épanouir sans contrainte. Ceci dit, préparons-nous à une campagne intensifiée de-salissage-et-de-peur. N'importe quel groupe ou individu qui remet en cause verbalement l'histoire officielle du 11/9 ou qui exercent le droit d'exiger la responsabilité de gouvernement sera taxé d'"Anti-Américain et Anti-Patriotique" ».
Permettrons-nous cela ? Nous lèverons-nous pour la vérité - ou nous soumettrons-nous en silence aux mensonges ?
EFFONDREMENT FINANCIER : LES DÉRIVÉS DE CRÉDIT NE SONT PLUS CRÉDIBLES
C’est la voix des banquiers centraux de Londres qui est en train d’admettre qu’ils n’ont pas de solution et comme nous l’annoncions hier, qu’ils n’ont pu que décider de « le laisser (le système) éclater ».
Les dérivés sont des paris sur les performances des autres instruments financiers. Dans ce cas ci, ce sont les contrats Credit Default Swaps (des titres assurant le risque sur les crédits) qui jouent sur la performance des obligations d’entreprises.
Cet été un nouveau produit a émergé sur les marchés, des indices basés sur la performance des dérivés de crédit. Ces indices, iTraxx en Europe et CDX aux Etats-Unis, sont échangés par les investisseurs comme des instruments indépendants, utilisés pour créer de nouveaux produits financiers.
« Ces dérivés de crédit sont désormais un pilier des marchés financiers » déclare le fondateur du fonds d’investissement Cairn Capital de Londres. Sans ce « lubrifiant » dit-il au Financial Times, « le moteur des marchés de crédit se serait grippé il y a plusieurs semaines, dégageant une fumée âcre ».
« Ca me fait peur » a confié un membre du service financier d’une grande entreprise lors d’un séminaire d’investisseurs à Londres. Il préfère le secteur des dérivés au cybermonde virtuel de Second Life, car il est presque entièrement détaché du monde réel des entreprises.
Les faussetés et mensonges de Tariq Ramadan
Il est fort étrange que, durant sa visite conférencière à Maurice [24 juillet au 5 août 2007], Tariq Ramadan a passé son temps à donner des interviews à la presse mauricienne comme un politicien. [v. le Mauricien du 26 juillet 2007, l’Express du 27 juillet 2007, Impact News du 27 juillet et 03 août 2007, Star du 05 août 2007, etc.]. En réalité, l’agenda politique de Tariq Ramadan n’est que trop évident : la politique européenne de la laïcité, une citoyenneté servile, une intégration-assimilation raciste, le féminisme islamique, etc. Les Musulmans doivent savoir que « islamologue » est un titre européen et non islamique et ne fait pas de Tariq Ramadan un Imâm ou un expert en matière islamique. Pour Tariq Ramadan, c’est la laïcité qui est « non-négociable » et non l’Islam. Ceci, il l’a dit et répété.
Selon un ‘tableau publicitaire’ [Star, 22 juillet 2007], Tariq Ramadan viendrait « Réformer notre Cœur », « Réformer notre Éducation », et « Réformer notre Monde ». Si M. Ramadan sait qu’il est de ‘mauvais cœur’ (de mauvaise foi), qu’il réforme son propre cœur. Il n’est pas en position de savoir si les Mauriciens sont de ‘mauvais cœur’ comme lui. Ses insinuations sont révoltantes.
Tariq Ramadan veut corrompre l’Islam
Tariq Ramadan se décrit parfaitement quand il dit dans le Mauricien du 26 juillet 2007 que « Les pires ennemis de l’Islam, ce sont les musulmans eux-mêmes parce que ce sont eux qui dénaturent parfois le message. » C’est bien M. Ramadan qui passe sa vie à dénaturer le Message islamique ! Dans cette liste, on peut ajouter Salman Rushdie, Fouad Laouri, Abdelwahab Meddeb, Rashid Benzine, Malek Chebel et bien d’autres. Ceux et celles qui veulent apprendre l’Islam savent qu’ils doivent se tourner vers le Saint Qur’an, les Ahadith, et les érudits islamiques, et non vers des soi-disant islamologues ! La prétendue réforme islamique de M. Ramadan n’est en fait qu’une tentative malsaine de sa part pour corrompre l’Islam sous le couvert de réforme. [Qur’an : S.II (Al Baqara) v.11 & 12]
« l’Islam n’est pas une culture »
Dans son interview dans Impact News du 03 août 2007, Tariq Ramadan prétend, d’un côté, que « l’Islam n’est pas une culture » et, de l’autre côté, que « L’arabe est la langue du Coran mais, la culture arabe n’est pas la culture de l’Islam ». Bien des Musulmans, arabes ou pas, pourraient le considérer comme un blasphémateur à la manière de Salman Rushdie car il fausse sciemment le Message, car pour les croyants Musulmans, c’est bien Dieu qui, à travers les révélations transmises au Prophète Muhammad (saw) par l’Ange Gabriel, a choisi de donner l’Islam à l’humanité en langue arabe, et dans la culture arabe qui nécessita bien-sûr quelques profondes réformes.
La culture islamique existe bien et elle ne peut être dissociée de la culture arabe qui a traversé quatorze siècles. Tous les Musulmans du monde entier héritèrent conséquemment, et en toute légitimité, cette richissime culture islamique et arabo-islamique qui formèrent dorénavant partie intégrante de leurs propres cultures indigènes ou ancestrales. Nous pouvons citer des milliers d’exemples, depuis la façon de manger, de se vêtir, de parler, de cohabiter avec des gens d’autres religions et cultures, d’apprendre, de chanter, de danser, de jouer de la musique, toute une panoplie du savoir-vivre de chaque peuple ou individu ayant embrassé l’Islam, et qui constituent tous des éléments de la culture de chacun, mais que M. Ramadan se sent incapable de comprendre. Les propos de Tariq Ramadan sont très offensifs et dangereux, et ne peuvent provenir que d’un ennemi de l’Islam, et de la culture islamique qui est une culture très ouverte et sans frontière.
Intégration-assimilation raciste
Quand M. Ramadan parle d’intégration-assimilation, il veut en réalité un Arabe musulman ‘intégré’ par le racisme, soit un Musulman sans culture islamique et sans langue arabe, parce qu’il dit ne vouloir que les versions du Saint Qur’an traduit en langues européennes. M. Ramadan cherche à couper les liens des Arabes français et européens de leurs cultures d’origines et empêcher les érudits islamiques des pays arabes d’enseigner l’Islam en France et en Europe pour les remplacer par des ‘islamologues’ européens égarés comme lui, et des Imâms formés sous strict contrôle de l’État français. C’est dans cette optique que Jacques Chirac (Charles Pasqua et autres) dira haut et fort que la France ne veut pas de « l’Islam en France », mais uniquement « l’Islam de France » qu’il prétend avoir perfectionné avec l’aide du Recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, et d ‘autres collaborateurs, et destiné aux « Arabes » de France, et qu’il s’était proposé d’exporter au reste du monde, plus particulièrement le Maghreb et les pays francophones, l’île Maurice comprise. Dans ce même sillage, M. Ramadan s’est fait le véhicule d’un endoctrinement tous azimuts sous forme de réforme de l’Islam et de l’intégration-assimililation des Musulmans d’Europe dans la culture des gouvernants.
En revanche, les rabbins formés en Israël et les prêtres formés à Rome, en Russie et ailleurs, sont entièrement acceptables pour Ramadan !
« Double langage »
Il est vrai que Ramadan est accusé de double langage (ce qui n’est plus à prouver d’ailleurs), d’islamiste, d’anti-sémite juif quand il ne plait pas aux Sionistes [Ref. Caroline Fourest, Daniel Pipes, Ian Hamel]. Il est même accusé « d’être le petit-fils d’Hassan al Banna », fondateur du mouvement de libération des Frères (Musulmans) en Egypte dans les années 1920. Dans leur premier journal, créé vers 1930, les Frères publient leur profession de foi comme suit : « Je crois que tout est sous l’ordre de Dieu, que Mohammad est le sceau de toute prophétie adressée à tous les hommes... que le Coran est le Livre de Dieu, que l’islam est une Loi complète pour diriger cette vie et l’autre.. ». Mais, étrangement, M. Ramadan ne souscrit pas à ces valeurs islamiques parce que l’organisation de son grand-père est cataloguée comme une organisation terroriste par les Européens et les gouvernements (États clients) arabes pro-européens.
La stratégie sioniste a toujours été d’accuser, de diaboliser et d’attaquer pour mieux recruter. Ceci explique pourquoi Tariq Ramadan clame que les insultes et le blasphème des caricatures dans Jyllands Posten au Denmark et la décoration par le gouvernement britannique de Salman Rushdie, auteur des Versets Sataniques contre le Prophète Muhammad (saw) et l’Islam ne sont pas des propos sérieux et, au nom du gouvernement britannique, il accuse le gouvernement pakistanais qui, récemment, condamna la décoration de Rushdie, de s’ingérer dans les affaires intérieures de la Grande Bretagne. [v. Tariq Ramadan dans BBC2 Newsnight du 18 juin 2007]. Mais M. Ramadan, lui, il se donne tous les droits d’ingérence dans les affaires intérieures d’autres pays, comme Maurice.
La troisième langue de Tariq Ramadan
À Maurice, M. Ramadan parle avec une troisième langue, une langue venimeuse qui a déjà, malheureusement, empoisonné l’esprit de certains jeunes sous les auspices de certaines « organisations islamiques » non-identifiées. Autant que l’on sache, c’est une minorité d’affairistes, dont le financement n’est pas encore connu, qui tentent d’imposer la politique ramadaniste sur la grande majorité des Musulmans, tout en se servant de Maurice comme un laboratoire [v. Dr Khalil Elahee, aussi connu comme Abu Abdallah]. Cette minorité est loin d’être engagée « dans un acte de sacrifice » comme le prétend Ramadan [v. l’Express du 27 juillet 2007]. Ce sont les cobayes mauriciens qui sont les sacrifiés.
Faussetés et mensonges
Tariq Ramadan a donné des centaines d’interviews à travers le monde, y compris à Maurice, et le résultat est toujours néfaste car il ne cesse d’induire les gens en erreur. Il a aussi tendance à répondre à côté et, dans certains cas, soit il ne dit pas toute la vérité ou il ment carrément. Prenons les quelques exemples suivants, en majeure partie provenant de son interview dans le quotidien le Mauricien du le 26 juillet 2007 :
Ramadan cite « l’universalité » de l’Islam, mais en Europe il parle de « European Islam » (« Islam européen »), et il explique que, de la même manière, il existe aussi « Asian Islam » (« Islam asiatique ») et « African Islam » (« Islam africain »), ce que tout vrai Musulman sait que c’est totalement faux. L’universalité de l’Islam veut dire qu’il n’existe qu’un Islam pour toute la Création, celui qui enseigne le « tawhid » (« unicité »). Dire que « l’Islam est une religion française » démontre à quel point M. Ramadan déforme la vérité. Le fait que l’Islam soit une des religions dont les adeptes sont français ou européens ne veut nullement dire que l’Islam est une religion française ou européenne. En ce qui concerne sa vision de l’Islam, Ramadan affirme : « Quand on vient avec d’autres réponses, on dit que cela vient de l’Europe ». Mais, bon sang, sa vision est belle et bien une vision européenne – alors pourquoi nier l’évidence ?
Ramadan ne dit pas que la véritable raison avancée pour le refus de son visa pour les USA n’était pas ses dénonciations concernant les prisons cachées et la situation en Irak, mais parce qu’il fut accusé d’avoir donné environ $940 à des organisations caritatives palestiniennes que les Américains ont considérées ultérieurement comme terroristes. Il serait bien de noter que des milliers d’organisations (sans oublier les synagogues) y compris des États financent l’occupation terroriste et apartheid d’Israël par trillions de dollars sans que le monde ne crie au scandale!
En ce qui concerne les attentats du 11 septembre 2001 (9/11) contre le World Trade Centre (WTC) et le Pentagone aux Etats Unis, Tariq Ramadan lui-même demandait, au début, des preuves pour démontrer si c’était bien les Musulmans qui étaient les coupables, mais, maintenant, à Maurice, il dit que « On sait que les musulmans sont impliqués dans les actes condamnables du 11 septembre » sans produire aucune preuve [v. l’Express, 27 juillet 2007]. Il ne fait en somme que régurgiter la version sioniste alors que la majorité des Américains (et le monde de plus en plus) sait, maintenant, que ces attentats étaient un travail sophistiqué de l’intérieure. L’organisation Al Qaïda n’existe pas ; ce n’est qu’une invention CIA-sioniste. Ramadan ne dit pas non-plus que quand les Catholiques de l’IRA revendiquaient les attentats pour libérer l’Irlande du Nord, ils n’étaient pas identifiés comme Catholiques et ni le catholicisme, ni l’Église Catholique, ni les prêtres catholiques, ni la Bible ne furent diabolisés et leurs églises décrites comme des réseaux terroristes. Ramadan est aussi silencieux sur le terrorisme des gouvernements européens.
Tariq Ramadan parle d’un livre dont il ne cite pas le titre, qui dit qu’il « parle en arabe dans les banlieues » de Paris ce qu’il dément formellement, et prétend que « dans les banlieues, ils ne parlent pas arabe ». Mais, c’est tout à fait faux car, de plus en plus, les Arabes des banlieues apprennent et parlent arabe, surtout en raison de leur retour à l’Islam. Comment peut-on mentir à ce point, et publiquement ? Les lecteurs et lectrices doivent se rendre compte que M. Ramadan ne dit pas qu’il est libre et fier de parler arabe qui est non seulement une très belle langue et la langue du Qur’an, mais aussi la langue de ses parents, ses grands-parents et ses ancêtres, et la langue spirituelle de plus d’un milliard de Musulmans et même des Juifs et des Chrétiens des pays arabophones comme le Liban.
Dans sa réponse sur le port du voile islamique, Tariq Ramadan ment également quand il dit que le Ministre britannique Jack Straw avait tout simplement « posé une question ». Jack Straw avait demandé aux Musulmanes « to remove their veils » (« de retirer leurs voiles ») qu’il considérait comme « a visible statement of separation and of difference » (« une déclaration ostentatoire de séparation et de différence ») [Metro, octobre 6, 2006]. Ce n’était pas « une question » comme le prétend Ramadan, mais un acte délibérément raciste. Par contre, Jack Straw n’a pas de souci envers les femmes qui portent le voile du maquillage, des décolletés ou qui s’exhibent les fesses à l’air, ce qui est considéré comme moderne et progressiste. Bien au contraire, les Européens doivent, dans une société libre et égalitaire, respecter la différence, les religions, les langues et les cultures des autres. Ce sont ces questions-là qu’il faut absolument aborder.
La psychologie inversée de Tariq Ramadan
Quand M. Ramadan dit aux Mauriciens qu’il « ne faut pas que la culture de Maurice soit produite à Washington, à Paris ou à Londres », en réalité, il veut dire que les Musulmans ne doivent pas se laisser influencer par des cultures qui proviennent, par exemple, de l’Afrique, de l’Arabie ou de l’Inde (Hindoustan) ! Sinon, pourquoi se serait-il déplacé de l’Europe à huit reprises pour venir nous dire de nous méfier des Européens, dont la politique il ne cesse de propager? Ce n’est en fait que le « reverse psychology » (« psychologie inversée ») de Nietzche, son guru ainsi que celui de Salman Rushdie ! M. Ramadan, pense-t-il vraiment que les Mauriciens sont des imbéciles parce que c’est un petit pays très accueillant et hospitalier où il a accès libre aux médias ? Son arbre d’endoctrinement n’arrivera certainement pas à cacher la forêt, même quand, à travers ses tentatives de réforme, qui sont d’ailleurs vouées à l’échec, il ne fait que saper la confiance de la communauté musulmane et celle de ses représentants religieux tout en prétendant qu’il les respecte : c’est la méthode sioniste de déception.
Il se pose comme réformateur quand, en réalité, il n’est qu’un corrupteur (al mufssid) (selon le Saint Qur’an), tenant non un double, mais un triple langage avec toutes ses ambiguïtés, ses contradictions, ses mensonges et ses contre-vérités. Polly Curtis du Guardian [October 4, 2005] qualifie Ramadan de « patchwork philosopher » (« philosophe de rafistolage ») qui reconnaît qu’il a « multiple identities » (« de multiple identités »), et Iqbal Siddiqui du Crescent International [April 16-30, 2000] a depuis longtemps exposé la pensée déviante de M. Ramadan comme de la pure abstraction philosophique européenne qui ne reflète pas la réalité [v. « To be a European Muslim » – (« Devenir un Musulman européen ») (1999) de Tariq Ramadan]. Les multiples identités que M Ramadan dit qu’il possède sont souvent vues comme ses ‘multiples personnalités’.
Conclusion
Né en Suisse de parents exilés, Tariq Ramadan semble souffrir d’une crise identitaire et se bat pour construire une identité dite moderniste et progressiste en Europe, mais cela ne lui donne pas le droit d’essayer d’imposer cette identité fictive sur les autres à travers ses cassettes, ses livres, ses conférences, et les médias. Les Mauriciens ne souffrent pas de crise identitaire. Nos diverses communautés majoritairement d’origines hindoustainnaise et africaine se respectent, préservent leurs cultures ancestrales et n’ont nullement besoin de « l’Européen de l’année » Tariq Ramadan pour leur enseigner leur pluri-culture. Il ne fait que diviser les Mauriciens qui ne sont pas comparables aux citoyens de deuxième zone qu’on voit en Europe et dont Ramadan veut contrôler la pensée et le mode de vie par une fausse réforme à l’européenne.
Tariq Ramadan, invité (depuis 2005) de l’ex-Premier Ministre Tony Blair qui est décrit comme avoir sur les mains le sang de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants musulmans de l’Irak et de l’Afghanistan, est considéré par beaucoup comme l’ennemi de l’Islam et des Musulmans. Il défend la politique des Européens qui prétendent que la pensée des Musulmans doit être réformée, voire l’Islam même, quand la vérité est tout à fait le contraire. La « modernité », « l’Islam dans la laïcité », le « féminisme islamique », et le « progressisme social et politique » de Tariq Ramadan ne sont que des mythes émanant d’un émule du philosophe allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche [1844 –1900] - le sujet de la thèse de doctorat de Tariq Ramadan - et qui décéda par cause d’insanité causée par la syphilis. Tariq Ramadan se prétend réformateur parce que ses maîtres européens et les racistes qu’il côtoie le veulent, mais en réalité il n’est qu’un piètre corrupteur.
M Rafic Soormally
Londres, 07 août 2007
VInterview de Mechaal avec le journal "Al-Ahram Al-Arabi" et "Al-Khalij"
Le journal "Al-Ahram Al-Arabi" et "Al-Khalij" ont publié, le samedi dernier 28/7, un entretien avec le président du bureau politique du mouvement Hamas, Khaled Mechaal qui a expliqué les derniers événements dans la bande de Gaza.
Q : Comment expliquez-vous le haut niveau militaire du mouvement Hamas durant les événements de Gaza? D'où sont venues toutes ces armes? Et est-ce que le Hamas était prêt pour cette bataille ?
Mechaal : le Hamas ne possède que des voitures ordinaires et non militaires, mais nos jeunes possède une grande capacité dans les combats à cause de son expérience dans la guerre ouverte avec l’ennemi israélien depuis plusieurs années. Il est donc naturel que tout palestinien sait comment utiliser les armes et d’être prêt à tout affrontement.
Néanmoins, le contrôle des sièges de la présidence et des services de la sécurité est venu après une opération militaire programmée et planifiée. Les éléments du Hamas connaissaient bien les cartes et les lieux qu'ils allaient cibler et ont utilisé les ordinateurs dans cette opération, en conséquence, les éléments qui ont exécuté cette opération étaient prêts à la participation dans des opérations militaires.
Il faut dire aussi que celui qui est capable de mener plusieurs batailles de résistance, est capable de se défendre. Le Hamas a été obligé à prendre ce choix pour défendre sa légitimité et tout le monde sait qu’il n'est pas venu sur des chars mais à travers des élections libres et démocratiques.
Le Hamas a été objet, depuis sa victoire aux élections législatives avant un an et demi, de plusieurs tentatives de coup d’état exécutées par certains services de l’autorité palestinienne et du mouvement Fatah qui s'appuient sur le soutien américain et israélien pour effectuer de tels coups d’état.
Q : On remarque que le Hamas a pris son pas de légitime défense sans lire les données régionales et internationales et sans réfléchir au jour de l'après contrôle de Gaza ?
Mechaal : j’ai dit plusieurs fois et je le répète que nous n’avons pas choisi cette position mais elle a été imposée contre nous, en conséquence, nous avons utilisé le choix qui nous était possible pour faire face aux putschistes qui voulaient exécuter leur coup d'état contre la légitimité palestinienne à travers la création de l’anarchie sécuritaire dans la bande de Gaza.
Nous étions obligés d'utiliser notre légitime défense pour protéger les légitimités de notre peuple et ce n’était pas donc une aventure non planifiée sans savoir lire les résultats régionaux et internationaux.En ce cas, j’appelle tous les côtés régionaux et internationaux à relire leur position et comprendre que le Hamas a obtenu sa légitimité à travers des élections libres démocratiques et que les calculs pour frapper le Hamas sont faux.
Q : Comment expliquez-vous donc les mesures prises par un leader du Hamas qui a informé l’autorité palestinienne et le mouvement du Fatah de l'existence d’un tunnel pour assassiner le président Abou Mazen ?
Mechaal : ces nouvelles ne sont pas vraies et j’appelle toute personne qui prétend que ces informations sont vraies de nous montrer ce leader.
Q : certains personnes doutent des nouvelles qui disent que le Hamas a trouvé des documents des services de sécurité dans leurs sièges après le contrôle de la bande de Gaza et pourquoi ces documents n'ont pas été montrés, jusqu’à maintenant, malgré leur annonce après les événements de Gaza ?
Mechaal : ces dossiers et documents sont nombreux et nous sommes entrain de les étudier et de les classer dans le but de les dévoiler prochainement. Nous allons dévoiler également à plusieurs pays arabes les crimes perpétrés contre notre peuple palestinien en démasquant ceux qui travaillaient contre les intérêts du peuple palestinien et les pays arabes.
Nous allons aussi présenter à tout pays arabe les documents qui le concernent pour qu'il défende ses intérêts et sa sécurité nationale alors que les autres documents vont être diffusés à travers les masses médias.
Q : le Hamas a annoncé plusieurs fois son refus aux négociations avec l’occupation israélienne, mais nous avons été surpris que des représentants du Hamas discutent avec les israéliennes après leur contrôle de la bande de Gaza, est-ce qu’il existe une opposition entre la position politique et la situation sur terre ?
Mechaal : le Hamas a affirmé depuis le premier jour de son arrivée à l’autorité après sa victoire aux élections législatives avant un an et demi qu’il peut effectuer des contacts avec les israéliens si ces rencontres concernant des questions urgentes pour servir les intérêts du peuple palestinien et ses besoins quotidiens nécessaires.ague d'attentats en Europe : Sarkosy a pris connaissance des projets d'attentats et a promis une aide totale des services francais aux operations
Le gouvernement nous dit qu’un Arabe a détourné un avion de transport et l’a envoyé dans le Pentagone.
Le gouvernement nous dit aussi qu’un autre avion de transport s’est écrasé en Pennsylvanie après une tentative de lutte des passagers contre les Arabes.
Cependant, ces dernières années, nous avons découvert que le gouvernement a menti sur divers aspects des attaques du 11 septembre.
Par exemple, il y a des preuves accablantes que les deux tours du WTC et le bâtiment 7 ont été démolis au moyen d’explosifs.
Beaucoup parmi vous savent déjà que des explosifs ont détruit les immeubles du WTC, je ne m’attarderai donc pas trop là-dessus, la preuve des explosifs est maintenant accessible à toute nation dans les livres, les vidéos et sur l’Internet.
• www.EricHufschmid.net/PainfulQuestionsBook.html
Cependant, je mentionnerai deux faits à propos des explosifs dont vous n’avez peut-être pas connaissance:
Le premier est qu’un professeur de physique à la Brigham Young University nommé Steven Jones a récemment obtenu un échantillon de métal du WTC.
Il l’a analysé et a découvert la preuve qu’il y avait un type particulier d’explosifs dans les immeubles.
Le second élément dont je veux vous parler est plus important. Un professeur à la Davis University a analysé l’air dans le WTC les jours qui suivirent l’attaque. Il a découvert d’infimes particules de métal et autre matériau provenant de la pile de décombres.
Ces minuscules particules sont importantes pour deux raisons.
Premièrement, le Professeur dit que la seule façon d’obtenir ces particules est lorsque le métal est en fusion, et ceci requiert des températures extrêmement élevées. Le carburant de l’avion et les incendies ordinaires ne peuvent faire bouillir le métal. Preuve qu’il y avait beaucoup d’explosifs dans ces immeubles.
La seconde chose importante à propos de ces fines particules est qu’elles étaient si petites qu’elles pénétraient les masques des sauveteurs. Elles se sont introduites profondément dans leurs poumons.
Des rapports récents montrent que plus de 8000 personnes conserveront des dommages pulmonaires irréversibles dus à ces particules. Certains en sont déjà morts, et d’autres souffrent de graves problèmes de santé. Beaucoup de chiens de secours sont également morts.
Le gouvernement Américain dit qu’environ 3000 personnes sont mortes durant les attaques du 11 septembre, mais ils ne fait aucune mention des gens qui meurent encore des suites de ces attaques, par les atteintes à leur santé dues à ces minuscules particules.
Qui a placé les explosifs dans les immeubles du WTC?
Cela demande des mois de planification et de préparation pour installer des explosifs dans trois immeubles de cette taille.
Cela signifie que quelqu’un devait savoir des mois à l’avance que les tours du WTC allaient être attaquées.
Si les attaques du 11 septembre étaient l’œuvre de 19 Arabes, cela signifie que quelqu’un avait découvert que les Arabes avaient projeté d’envoyer des avions dans le WTC.
Selon certains rapports, les Israéliens avaient pris les Arabes en filature lorsqu’ils se rendaient aux EU pour suivre des leçons de pilotage.
Il y a également des rapports selon lesquels les Israéliens procédaient secrètement à des écoutes téléphoniques en Amérique. www.informationclearinghouse.info/article7545.htm
Si les espions Israéliens avaient découvert que les Arabes étaient en train de planifier des attentats aériens contre le WTC, ils auraient transmis l’information en Israël. Il y a des rapports selon lesquels le gouvernement Israélien a mis en garde l’Amérique contre cette attaque. Ceci est une preuve que les Israéliens ont découvert que les Arabes entreprenaient d’attaquer l’Amérique.
Beaucoup de gens avancent qu’après avoir été prévenu par Israël, le gouvernement Américain décida de laisser les Arabes mener leur attaque de sorte à pouvoir justifier une guerre contre l’Iraq et l’Afghanistan.
Ceci nous renvoie à la question: qui a mis les explosifs dans le WTC?
Pourquoi le gouvernement Américain voudrait démolir les immeubles du WTC? La démolition de ces immeubles a occasionné une quantité incroyable de dégâts, de décès et de problèmes de santé. Pourquoi s’en préoccuperait-il si son seul objectif était de justifier une guerre?
En outre, comment le gouvernement Américain aurait-t-il pu convaincre des citoyens Américains de placer des explosifs dans ces bâtiments? Pourquoi le peuple Américain voudrait-il faire une telle chose à sa ville, et à ses propres amis et proches?
Une possibilité est que Larry Silverstein, le propriétaire de ces bâtiments, a été prévenu que ces attaques allaient avoir lieu, et que lui et ses amis ont décidé de tirer avantage de la démolition des immeubles pour ramasser des milliards de dollars en assurance.
Comment Larry Siverstein aurait-t-il pu être au courant des attaques? Peut-être l’a-t-il appris par son bon ami Benjamin Netanyahu. Les nouvelles rapportent que Silverstein était si proche de Netanyahu qu’il l’appelait au téléphone tous les dimanches.
Si les Israéliens ont découvert que les Arabes allaient attaquer le WTC, Netanyahu aurait certainement été averti et peut l’avoir dit à son ami Larry Silverstein. Silverstein peut avoir décidé de démolir les bâtiments et se faire des milliards de dollars.
Cette théorie semble plausible, mais pourquoi personne ne se plaint de Silverstein?
Notamment les agences de presse qui ont passé sous silence l’écroulement du bâtiment 7 et qui ont supprimé les preuves d’explosifs à l’origine de ces démolitions. Pourquoi les agences de presse protégeraient L. Silverstein? Pourquoi les agences de presse n’enquêtent-elles pas sur Silverstein pour être les premières à exposer son crime?
Si nous examinons L. Silverstein de plus près, nous découvrons qu’un autre de ses amis est Rupert Murdoch, qui contrôle plusieurs médias.
Ceci expliquerait pourquoi les agences de presse de Murdoch ne révèlent rien sur les explosifs dans les bâtiments du WTC.
Cependant, pourquoi les autres agences de presse n’exposent-elles pas le crime de Larry Silverstein?
Si nous examinons les amis de L.Silverstein, nous trouvons parmi eux Frank Lowy. Silverstein a fait de Frank Lowy le propriétaire du centre commercial souterrain du WTC. Frank Lowy est l’un des Sionistes qui ont aidé à combattre les Arabes lors de l’établissement d’Israël en 1940.
L. Silverstein était aussi un ami d’Ariel Sharon.
Si nous examinons Rupert Murdoch, nous découvrons qu’il travaille avec la famille banquière Rothshild, et les familles Oppenheimer et Bronfman.
Je pourrais continuer, mais j’espère que vous voyez où je veux en venir, L. Silverstein a de nombreuses relations parmi les responsables Israéliens, les Sionistes, le personnel médiatique et les banquiers.
Avant de mettre tout ceci au clair, il faut savoir que L. Silverstein n’a pas l’expérience technique pour démolir les immeubles du WTC, et il ne peut pas avoir installé les explosifs lui-même.
Seule une entreprise experte en démolition pouvait venir à bout d’édifices de cette taille, et assurer l’achat et le transport d’explosifs sans éveiller les soupçons de la police. Cela signifie qu’une entreprise de démolition est également impliquée.
Une des questions les plus troublantes concernant la démolition du WTC est pourquoi des citoyens Américains mettraient des explosifs dans les immeubles?
Presque tout le monde suppose que les explosifs ont été installés par des Américains, mais nous n’avons pas de preuves que des Américains aient été impliqués.
Silverstein est ami avec des Israéliens et des Sionistes haut placés, alors pourquoi demanderait-il à des Américains de détruire leur propre ville? Ne serait-il pas plus sensé qu’il s’adresse à Israël pour la main-d’œuvre?
Des nouvelles rapportent que plus de 200 Israéliens ont été arrêtés pour présence illégale avant et après le 11 septembre. Plutôt que d’enquêter sur eux, ils ont été gentiment rapatriés en Israël.
Il y a des rapports selon lesquels des Israéliens gèrent une compagnie de déménagement près du WTC. Certains de ces Israéliens peuvent avoir été impliqués dans l’installation des explosifs dans les tours. Une fois leur mission accomplie, ils sont retournés en Israël.
De nombreuses personnes décrivent les attaques du 11 septembre de complot intérieur (“inside job”). Ils pensent que cela a été perpétré par des citoyens Américains de l’administration Bush et de l’armée des EU. Mais des preuves accablantes indiquent que les attaques ont été dirigées par L. Silverstein ainsi que par des hauts responsables Israéliens et autres Sionistes.
La plupart des gens n’arrivent pas à concevoir comment Georges Bush et Dick Cheney ont pu démolir les immeubles du WTC. La raison en est que Bush et Cheney ne les ont pas démolis.
Dick Cheney semble être impliqué dans l’attaque contre le Pentagone, mais pas dans les démolitions des tours du WTC.
Le Président Bush ne semble avoir joué aucun rôle dans la planification ou l’exécution des attaques. Il fut plutôt envoyé dans une école pour lire une histoire à de jeunes enfants.
Beaucoup présument que les Israéliens ont découvert que les Arabes étaient sur le point d’attaquer l’Amérique, que les Israéliens ont prévenu le gouvernement Américain, et que le gouvernement Américain a permis à ces attaques de se produire.
Le problème avec cette hypothèse est qu’il n’y a pas de preuve que les Arabes aient joué un rôle quelconque dans les attaques.
Par exemple, les caméras de surveillance ne montrent pas les 19 Arabes embarquer dans les avions.
Le gouvernement nous dit qu’un Arabe a détourné le Vol 77 et l’a envoyé dans le Pentagone. Cependant, aucun pilote n’est capable de faire voler un avion de transport commercial à quelques mètres du sol dans la ville de Washington DC. La preuve est accablante que quelque soit l’objet qui s’est écrasé contre le Pentagone, il était sous contrôle informatique.
Il y a trop de preuves pour en discuter dans une réunion aussi courte, alors si l’un de vous a des doutes sur ce que je présente, qu’il ouvre l’Internet pour plus d’informations.
Nous ne connaissons pas les détails des attaques du 11 septembre, mais nous savons que le gouvernement a menti, et nous savons que les médias couvrent ces attaques.
Personne n’a encore clarifié qui a planifié et exécuté les attaques du 11 septembre, mais il y a des preuves accablantes que les Américains ne l’ont pas fait eux-mêmes. La connexion à Israël et au Sionisme ne peut pas être négligée. En fait, les Sionistes paraissent avoir été les organisateurs.
Les attaques du 11 septembre se révèlent avoir été conçues par les Sionistes afin de créer la colère contre les Arabes. Ceci est dans la lignée de leur bombardement du King David Hotel en 1946, par lequel ils entendaient remonter les Britanniques contre les Arabes.
Que font les Sionistes pour camoufler ce crime?
La réponse est: ils tentent d’embrouiller les gens en publiant des informations trompeuses. Il y a des centaines de personnes qui essaient de mettre la faute sur le Vatican, ou sur Georges Bush, ou sur des groupes mystérieux tels que les Globalistes.
Ils essaient d’écarter les soupçons d’Israël et les porter sur quelqu’un d’autre. Lorsque vous cherchez une information sur Internet à propos des attaques du 11 septembre, s’il vous plaît, gardez à l’esprit que la plupart des informations viennent des personnes dont l’objectif est de couvrir les attaques et mettre Israël à l’abri des accusations.
Les personnes qui parlent de l’implication Sioniste dans le 11 septembre comme Christopher Bollyn, Daryl Bradford Smith et moi-même sont ignorées par la plupart des groupes du 11 septembre.
Les sionistes ne veulent pas que vous m’écoutiez. En revanche, ils essaient de reporter les accusations sur le Président Bush, sur les mystérieux Globalistes ou sur le Vatican.
Nous sommes dans une guerre de tromperie, nous avons donc besoin d’intelligence pour les vaincre. S’il vous plaît, soyez prudents en accordant votre confiance.
Les gens répondent souvent qu’ils ne peuvent rien faire contre cette corruption parce qu’ils sont seulement des gens ordinaires sans influence.
Mais chacun peut aider à rendre ce monde meilleur, simplement en faisant circuler nos livres, vidéos et sites Internet à vous amis.
Alors aidez-nous à informer les gens, faisons de ce monde un monde meilleur.
Interview de Mechaal avec le journal "Al-Ahram Al-Arabi" et "Al-Khalij"
Le journal "Al-Ahram Al-Arabi" et "Al-Khalij" ont publié, le samedi dernier 28/7, un entretien avec le président du bureau politique du mouvement Hamas, Khaled Mechaal qui a expliqué les derniers événements dans la bande de Gaza.
Q : Comment expliquez-vous le haut niveau militaire du mouvement Hamas durant les événements de Gaza? D'où sont venues toutes ces armes? Et est-ce que le Hamas était prêt pour cette bataille ?
Mechaal : le Hamas ne possède que des voitures ordinaires et non militaires, mais nos jeunes possède une grande capacité dans les combats à cause de son expérience dans la guerre ouverte avec l’ennemi israélien depuis plusieurs années. Il est donc naturel que tout palestinien sait comment utiliser les armes et d’être prêt à tout affrontement.
Néanmoins, le contrôle des sièges de la présidence et des services de la sécurité est venu après une opération militaire programmée et planifiée. Les éléments du Hamas connaissaient bien les cartes et les lieux qu'ils allaient cibler et ont utilisé les ordinateurs dans cette opération, en conséquence, les éléments qui ont exécuté cette opération étaient prêts à la participation dans des opérations militaires.
Il faut dire aussi que celui qui est capable de mener plusieurs batailles de résistance, est capable de se défendre. Le Hamas a été obligé à prendre ce choix pour défendre sa légitimité et tout le monde sait qu’il n'est pas venu sur des chars mais à travers des élections libres et démocratiques.
Le Hamas a été objet, depuis sa victoire aux élections législatives avant un an et demi, de plusieurs tentatives de coup d’état exécutées par certains services de l’autorité palestinienne et du mouvement Fatah qui s'appuient sur le soutien américain et israélien pour effectuer de tels coups d’état.
Q : On remarque que le Hamas a pris son pas de légitime défense sans lire les données régionales et internationales et sans réfléchir au jour de l'après contrôle de Gaza ?
Mechaal : j’ai dit plusieurs fois et je le répète que nous n’avons pas choisi cette position mais elle a été imposée contre nous, en conséquence, nous avons utilisé le choix qui nous était possible pour faire face aux putschistes qui voulaient exécuter leur coup d'état contre la légitimité palestinienne à travers la création de l’anarchie sécuritaire dans la bande de Gaza.
Nous étions obligés d'utiliser notre légitime défense pour protéger les légitimités de notre peuple et ce n’était pas donc une aventure non planifiée sans savoir lire les résultats régionaux et internationaux.En ce cas, j’appelle tous les côtés régionaux et internationaux à relire leur position et comprendre que le Hamas a obtenu sa légitimité à travers des élections libres démocratiques et que les calculs pour frapper le Hamas sont faux.
Q : Comment expliquez-vous donc les mesures prises par un leader du Hamas qui a informé l’autorité palestinienne et le mouvement du Fatah de l'existence d’un tunnel pour assassiner le président Abou Mazen ?
Mechaal : ces nouvelles ne sont pas vraies et j’appelle toute personne qui prétend que ces informations sont vraies de nous montrer ce leader.
Q : certains personnes doutent des nouvelles qui disent que le Hamas a trouvé des documents des services de sécurité dans leurs sièges après le contrôle de la bande de Gaza et pourquoi ces documents n'ont pas été montrés, jusqu’à maintenant, malgré leur annonce après les événements de Gaza ?
Mechaal : ces dossiers et documents sont nombreux et nous sommes entrain de les étudier et de les classer dans le but de les dévoiler prochainement. Nous allons dévoiler également à plusieurs pays arabes les crimes perpétrés contre notre peuple palestinien en démasquant ceux qui travaillaient contre les intérêts du peuple palestinien et les pays arabes.
Nous allons aussi présenter à tout pays arabe les documents qui le concernent pour qu'il défende ses intérêts et sa sécurité nationale alors que les autres documents vont être diffusés à travers les masses médias.
Q : le Hamas a annoncé plusieurs fois son refus aux négociations avec l’occupation israélienne, mais nous avons été surpris que des représentants du Hamas discutent avec les israéliennes après leur contrôle de la bande de Gaza, est-ce qu’il existe une opposition entre la position politique et la situation sur terre ?
Mechaal : le Hamas a affirmé depuis le premier jour de son arrivée à l’autorité après sa victoire aux élections législatives avant un an et demi qu’il peut effectuer des contacts avec les israéliens si ces rencontres concernant des questions urgentes pour servir les intérêts du peuple palestinien et ses besoins quotidiens nécessaires.
Le Krach d’août 2007 : pendant les vacances, le système financier se désintègre
A la question de savoir si le krach n’était pas en train de détruire certains fonds et d’en menacer l’ensemble, il a répondu « Biensûr certain tomberont, et même les plus gros, comme Man Group qui a perdu 8 % la semaine dernière. Quelques pertes de ce genre ont été anticipées. Mais les projections statistiques prédisent ce genre d’épisode seulement un fois de temps en temps. Biensûr l’épisode actuel est la troisième crise cette année après février et avril, mais je pense que LaRouche voit juste lorsqu’il dit que rien n’interrompra leurs fantasmes sur les cycles à moins qu’ils ne se fassent tous plumer. »
La source a aussi confirmé que « tout les fonds ont joué de la même manière, et maintenant que la bulle est si grosse, il leur est impossible d’en sortir. Si un seul tente de retirer ses billes, tous suivront et... boom. »
Propagande israelienne : Les videos sont truquees avant de passer sur Al Jazeera
Wired News a rapporté que, Neal Krawetz, chercheur et consultant en sécurité informatique, a fait une intéressante démonstration aujourd'hui à la conférence de sécurité de BlackHat à Las Vegas sur l'analyse des photographies numériques et des images vidéos pour les modifier et les améliorer.
Utilisant un programme qu'il a écrit (et fourni sur le CD-ROM de la conférence), Krawetz pouvait imprimer les tables de quantification d'un fichier au format JPEG (qui indiquent comment l'image a été compressée) et déterminer le dernier outil ayant créé l'image -- c'est-à-dire, la marque et le modèle de la caméra si l'image est originale ou bien la version du logiciel Photoshop ayant servi à modifier l'image.
La découverte la plus révélatrice de Krawetz se présente sous la forme de détails contenus dans une bande de 2006 d'Ayman al-Zawahiri. De son analyse il conclut que le logo d'As-Sahab (le présumé blason médiatique d'Al-Qaeda) et le logo d'IntelCenter (une organisation privée de renseignement basée aux USA qui « surveille l'activité terroriste ») ont été rajoutés à la vidéo tous deux en même temps.
Ça indique clairement qu'IntelCenter elle-même crée directement ou au moins falsifie les bandes d'Al-Qaeda avant leur diffusion. Après tout, pourquoi les terroristes d'Al-Qaeda seraient-ils intéressés par l'étiquetage de leurs vidéos avec le logo d'une organisation basée aux USA qui est dirigée par des individus ayant des liens étroits avec le complexe militaire industriel ?
Dans notre enquête innovante précédente, nous avons exposé IntelCenter, l'intermédiaire entre le « blason médiatique d'Al-Qaeda » et la presse, et l'organisation qui obtient systématiquement les bandes, comme un peu plus qu'un groupe de façade du Pentagone dont le personnel est composé d'individus ayant des liens étroits avec Donald Rumsfeld et la machine de guerre US.
Elle est aussi fortement peuplée d'ex-responsables militaires du renseignement ayant une grande ancienneté.
Le directeur de Threat Intelligence, Jim Melnick, a servi 16 ans dans l'US army et à la Defense Intelligence Agency (DIA) et travaillé à des opérations psychologiques (psy-op). Citation du site Internet iDefense :
Avant de rejoindre iDefense, M. Melnick a servi avec distinction pendant plus de 16 ans dans l'US army et à la Defense Intelligence Agency. Pendant cette période, M. Melnick a collaboré à diverses missions, incluant des psy-op, des problèmes d'alertes internationales avec l'accent sur les affaires étrangères, les opérations de l'information et les affaires russes. Il a aussi servi dans des missions actives du renseignement politique et militaire avec l'accent sur les affaires étrangères. M. Melnick est actuellement colonel de réserve de l'US army avec le renseignement militaire, assignée au bureau du Secrétaire de la Défense. M. Melnick a été rendu public dans de nombreux journaux militaires et des affaires étrangères, et il a reçu des militaires et du DIA de nombreuses décorations. M. Melnick a une Maîtrise en Sécurité Nationale et Études Stratégiques de l'US Naval War College, une Maîtrise en Études Russe d'Harvard University, et est licencié avec mention en science politique du Westminster College.
Nous avons donc là une compagnie qui de son propre aveu a des liens avec un haut militaire des psy-op et officier du renseignement qui travaillait directement pour Donald Rumsfeld. Comme Intelcenter et Ben Venzke sont directement liés à iDefense, ça met Rumsfeld à juste trois pas des vidéos de propagande d'Al-Qaeda.
Le business de diffusion des bandes d'Al-Qaeda est aussi très profitables pour IntelCenter, ils font payer bien plus de 4.000 dollars par an pour le conditionnement destiné aux « agences de renseignement militaires et fédérales.
Ajouter à ça le fait qu'IntelCenter contrefait numériquement les vidéos et rajoute ensuite le logo d'un prétendu groupe terroriste avant leur diffusion et les ramifications deviennent évidentes -- des éléments aux USA éditent, s'ils ne les fabriquent pas directement, les bandes d'« Al-Qaeda » à leurs propres fins.
Al-Qaeda, ou plus précisément IntelCenter, semble toujours s'efforcer de libérer les vidéos au moment le plus opportun politiquement, aux profits de l'administration Bush.
Qu'il s'agisse de justifier une guerre, de gagner une élection ou de détourner un scandale, on peut toujours compter sur Ben Laden, Al-Zawahiri ou leurs faire-valoir pour proposer la marchandise et sauver la peau de Bush.
Dès que la période d'expectative de 6 mois pour la « poussée » s'est achevée, quand les derniers pom-pom girls républicains restants de Bush l'ont abandonné sur l'Irak, Ben Laden a surgi pour nous rappeler l'entière nécessité de « garder le cap » et d'alimenter le hachoir avec davantage de troupes pour gagner la guerre contre la terreur.
Kerry et Bush ont attribué la réélection du président en 2004 à l'apparition d'Oussama Ben Laden dans une cassette vidéo quelques jours justes avant le vote. Le journaliste expérimenté Walter Cronkite a songé que la farce entière était une machination orchestrée par Karl Rove.
Ces deux conclusions, tout aussi inquiétantes, exigent une enquête immédiate du FBI sur IntelCenter et ses propriétaires.
Original : http://prisonplanet.com/articles/august2007/020807tapesdoctored.htm
Traduction de Pétrus Lombard pour Alter Info
MEMRI, « instrument de propagande d’Israël »
Mais, selon le professeur Norman G. Finkelstein, auteur de l’Industrie de l’Holocauste, c’est un instrument de propagande d’Israël, hautement sophistiqué et dangereux, qui dissémine la haine et la désinformation à une échelle sans précédent. « Ils utilisent les mêmes techniques de propagande que les Nazis. Ils sortent les évènements de leur contexte afin de faire du mal, personnellement et politiquement, à des personnes qu’ils n’aiment pas». En 2006, au cours d’un entretien télévisé, au Liban, il avait commenté sur la manière dont l’holocauste était utilisé pour faire taire les critiques d’Israël mais MEMRI avait réussi à donner l’impression que Finkelstein, dont les parents sont des survivants du génocide, était un révisionniste.
Cette obsession de MEMRI à protéger Israël se comprend si l’on se penche sur sa création : fondé en 1998 par Ygal Carmon, ancien colonel des Forces Armées Israéliennes, de 1968 à 1998, chef de l’administration civile de la Cisjordanie de 1977 à 1982 et Meyrav Wurmser, néo-conservative d’extrême droite, mariée à David Wurmser, apparatchik sous les ordres de Bolton. Tous deux ont collaboré à la rédaction de « A Clean Break : a New Strategy for Securing the Realm », un document qui prônait la fin des négociations avec les Palestiniens et la guerre permanente contre les Arabes. Avec Feith, Abrams, Perle et autres idéologues de droite, ils ont travaillé à la fiction de la collusion de Saddam Hussein aux attentats du 11 septembre. Le financement officiel de MEMRI est de deux à trois millions de dollars venant de fondations et donateurs conservateurs mais plus alarmants sont les liens qu’il entretient avec les services de renseignements israéliens. Ainsi, l’armée israélienne, selon un article de Haaretz de 2005, adresse aux médias arabes de faux reportages qui sont ensuite traduits et envoyés aux journalistes israéliens. MEMRI n’est donc qu’une extension des opérations des forces armées israéliennes. Et le professeur Juan Cole d’ajouter : « combien de ce que nous savons sur le « Hezbollah » de « sources arabes », n’est en fait que le résultat de cette usine de fabrications de Tel Aviv».Pour le responsable du Moyen Orient au Guardian, Brian Whitetaker, MEMRI « est fondamentalement une machine de propagande ». Ken Livingstone, maire de Londres, les accuse tout simplement de « distorsion totale » et un ancien officier de la CIA, Vince Canistraro écrit qu’ils « (MEMRI) sont sélectifs et agissent comme des propagandistes pour leur camp politique, qui est celui de l’extrême droite du Likoud ».
Il est vrai que MEMRI voit le monde arabe comme un monde maléfique, peuplé exclusivement de fanatiques, de monstres et d’intégristes. Tout ce qui fait paraître les peuples du Moyen Orient comme diaboliques, dérangés ou haïssables est traduit. Jamais MEMRI ne publie d’articles sur les souffrances du peuple palestinien, sur les opposants israéliens, sur les islamistes modérés, sur les Chrétiens dans les gouvernements arabes ou sur le mouvement grandissant contre le Mur de l’apartheid dans les territoires occupés, spécialement autour de Bil’in.
« Je pense, dit Finkelstein, qu’il est juste de dire que tout ce que traduit MEMRI du Moyen Orient n’est absolument pas digne de foi ».
Source : Memri is a "propaganda machine", expert says, par Lawrence Swaim
www.infocusnews.net (june 7, 2007) et Washington Report (août 2007).
Rédaction et traduction : Gilles Munier, Xavière Jardez – Logo du Baas p.1 : Wilkipedia
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La mafia israelienne : Exposer le réseau criminel sioniste derrière le 911 et la "guerre au terrorisme"
Le 11 septembre 2001 est une autre date qui vivra dans l'infamie. Comme l'attaque de Pearl Harbor, 9/11 était une attaque surprise pour la plupart des Américains - mais pas tous.
Comme l'attaque japonaise sur la flotte américaine, le 9/11 fut un événement catastrophique et transformateur qui a entraîné les Etats-Unis dans la guerre - la prétendue « guerre au terrorisme ».
À la différence de Pearl Harbor, cependant, le 9/11 n'a pas été commis par un ennemi facilement identifiable. En dépit des déclarations du Président George W. Bush et d’officiels de hauts niveaux du gouvernement, les preuves solides que les attaques terroristes catastrophiques du 9/11 ont été perpétrées par 19 Arabes armés de coupeurs de boîte n’ont toujours pas été vues.
En dépit des divers rapports et commissions commandités par le gouvernement au sujet des événements du 11 septembre 2001, les attaques et la destruction qu'elles ont causée n’ont toujours pas fait l’objet d’enquête. Le Federal Bureau of Investigation n'a pas fourni la preuve qu’il a ou devrait supporter la thèse défendue par le gouvernement à l’effet que 19 Arabes travaillant pour Al Qaida ont effectué ces attaques par eux-mêmes.
À ce jour, le FBI n'a pas même fourni la preuve physique permettant d’identifier l'avion impliqué dans les attaques, bien qu'il doive nécessairement exister un nombre adéquat de pièces identifiables d'avion des quatre lieux d'écrasement pour pouvoir dire cela. Le FBI n'est clairement pas intéressé à prouver n'importe quoi environ 9/11 à la nation ou au public.
Qui est aux commandes ?
Que se passe-t-il ? Pourquoi est-ce que la plupart des attaques catastrophiques de terreur dans l'histoire des États-Unis ne sont pas investiguées et pourquoi l'interprétation des attaques est-elle laissée aux médias et aux politiciens contrôlés ? Qui a la puissance de commander les médias, le gouvernement, et le FBI pour cacher la vérité au sujet de ce qui s'est vraiment produit le jour du 11 septembre ?
Comprendre qui est vraiment derrière le 9/11 exige une recherche complète sur les acteurs principaux qui ont joué un rôle ou qui ont commandé la non-investigation et l’interprétation médiatique de l’attaque terroriste.
Aujourd'hui, cinq ans et trois mois après le 9/11, nous pouvons jeter un regard sur les personnes qui ont joué ces rôles-clés. Ce que nous trouvons est un petit groupe de personnes liées au sein d’un réseau sioniste global, des individus reliés par des liens familiaux, ethniques, et d'affaires à un réseau organisé consacré à soutenir l'État de l'Israël et de son agenda.
En exposant les membres de ce réseau sioniste et leur connexion au 9/11 et à la prétendue « guerre au terrorisme », nous pouvons identifier les architectes, les sous-traitants et les ouvriers en chef qui ont profité des attaques de terreur de fausse-bannière (false flag) du 11 septembre 2001.
LES ARCHITECTES
Peu de temps après le 9/11, j'ai parlé avec Eckehardt Werthebach, ancien président du service de renseignements domestique de l'Allemagne, le Verfassungsschutz. Il a dit que « la précision de mort » et « l'importance de la planification » derrière les attaques auraient eu besoin de plusieurs « années de la planification. »
Une opération si sophistiquée, affirme Werthebach, exigerait « un cadre fixe » d'une organisation d'intelligence d'état, quelque chose qu’on en trouve pas dans « un groupe relâché » de terroristes comme celui prétendument mené par Mohamed Atta.
Beaucoup de gens auraient été impliquées dans la planification d'une telle opération, soutient Werthebach. L'absence de fuite l'indique que les attaques étaient « des actions organisées par l’État », a-t-il dit.
Andreas von Bülow, l'ancien parlementaire Allemand, a travaillé pour la commission qui surveille les trois branches du service de renseignement Allemand de 1969 à 1994. Von Bülow m'a dit en automne de 2001 qu’il croyait que le service secret israélien, le Mossad, était derrière les attaques terroristes du 9/11. Ces attaques, dit-il, ont été effectuées pour retourner l'opinion publique contre les Arabes et pour accroître les dépenses militaires et de sécurité.
« Vous ne découvrirez pas les échelons plus élevés », a dit von Bülow, se rapportant « à la structure architecturale » qui dirige de telles attaques terroristes. À ce niveau, dit-il, l'organisation faisant la planification, telle que le Mossad, est principalement intéressée à affecter l'opinion publique.
Dans une attaque classique de terrorisme de type « fausse-bannière » (false flag), les planificateurs de niveau architectural utiliseront des « pistolets de location » inconscients ou corrompus afin que le blâme soit jeté sur une cible désirée. Les terroristes qui se chargent du crime est ce que von Bülow appelle « le niveau des ouvriers », comme ces 19 Arabes qui ont prétendument détourné les avions du 11 septembre. « Le niveau des ouvriers fait partie de la déception, » a-t-il dit.
« 95% du travail des agences de renseignement autour du monde est la déception et la désinformation », affirme von Bülow. La déception alors est largement propagée dans les médias traditionnels créant une version admise des événements.
Les « journalistes ne soulèvent pas même les questions les plus simples », a-t-il dit. « Ceux qui diffèrent sont étiquetés comme fous. »
« DES ANNÉES DE PLANIFICATION »
Les « années de la planification » auxquelles Eckehardt Werthebach référait sont évident pour n'importe qui qui a lu la vraie histoire du 9/11. Les plus petites attaques de terreur « fausse-bannière » qui ont précédé la terreur catastrophique du 9/11 étaient conçues instiller dans l'esprit du public la crainte d'une attaque massive aux États-Unis.
Les bombardements également suspects et non-résolus du bâtiment fédéral dans la ville d'Oklahoma et de la première attaque au World Trade Center étaient destinées à préparer l'opinion publique pour « l'événement transformant » du 9/11.
Au niveau académique, les architectes du 9/11 ont travaillé sur l'opinion publique des États-Unis depuis le milieu des années 80 pour préparer les élites politiques et des médias à une attaque catastrophique de terreur sur le sol américain, et au-delà de cela pour concentrer l’attention sur la manière dont les États-Unis devraient répondre à une telle attaque.
Benjamin Netanyahu, l’ancien premier ministre d'Israël radical et éduqué-à-l’américaine, est probablement l'architecte le plus remarquable du terrorisme et de la prétendue « guerre au terrorisme ». Netanyahu, un Sioniste Jabotinskyiste du parti de droite du Likud, a publié un livre en 1986 intitulé « Terrorism : How The West Can Win » (Le Terrorisme : Comment l'Ouest peut gagner) dans lequel il présente avec précision le modèle de ce qui deviendra la « guerre au terrorisme » en Irak et en Afghanistan. Le livre de Netanyahu, et sa thèse sérieusement défectueuse et raciste, a été réécrite, réimprimée, et propagée ad nauseam.
La thèse de Netanyahu est qu'Israël est attaqué par des « terroristes » seulement parce qu'il est « occidental et démocratique », comme des nations européennes et les États-Unis. Pour cette raison, Netanyahu indique que les Américains et les Européens doivent joindre le combat contre ceux qui sont opposés à l'État sioniste d'Israël.
Dans la vision tordue que Netanyahu a du monde, les réclamations palestiniennes et les aspirations nationalistes n'ont aucun endroit ni mérite. Les Palestiniens et les Arabes sont simplement des « terroristes », dit-il, que l'Ouest doit combattre, comme nous le faisons maintenant. En lisant la presse contrôlée ou en écoutant les soi-disant experts des mass media étasuniens, il est clair qu'ils ont été les principaux agents de propagande sioniste qui devraient être jugés responsables d’avoir entraîné les Etats-Unis dans des guerres coûteuses et désastreuses contre les ennemis d'Israël.
« TERRORISME CATASTROPHIQUE »
Il y a d'autres agents, bon nombre d'entre eux Américains haut placés, qui ont clairement et spécifiquement promu l’agenda que nous appelons la « guerre au terrorisme » en réponse à une attaque catastrophique de terreur - longtemps avant le 9/11.
Trois hommes ont écrit un article en 1998 dans Foreign Affairs, la publication bimensuelle du Council on Foreign Relations (CFR), dans lequel ils ont présenté quels changements devraient être effectués dans le gouvernement étasunien à la lumière du « terrorisme catastrophique », qui est également le titre de l'article.
L'article « Catastrophic Terrorism » (Terrorisme catastrophique), écrit par Ashton B. Carter, John M. Deutch, et Philip D. Zelikow, est paru dans le dernier numéro de 1998 de Foreign Affairs. Il commence par le sous-titre étrange « imaginer l'événement de transformation », comme si ce qui était vraiment désiré par les auteurs était une transformation du gouvernement des États-Unis et de la manière dont les Américains vivent. Les auteurs de l'article, comme Netanyahu, ne mentionnent même pas les causes politiques du terrorisme. Comprendre les causes du terrorisme dans un effort pour l'empêcher ne leur vient même pas à l’esprit. Et non : ces trois architectes sont occupés à « imaginer l'événement de transformation » - et comment répondre à celui-ci.
Cet article est clairement un document de niveau architectural. Il est censé expliquer ce qui devrait être fait en cas d'attaque catastrophique de terreur tel qu’« imaginé » par ses auteurs. Pour cette raison, les auteurs méritent d'être étudiés pour voir quel genre de rapport ils pourraient avoir avec ceux qui ont exécuté les attaques terroristes « fausse-bannière » du 9/11.
« COMME PEARL HARBOR »
« Le terrorisme catastrophique est passé d'une horreur irréaliste à une éventualité qui pourrait se produire le mois prochain », avertit l'essai. « Bien que les États-Unis prennent toujours le terrorisme conventionnel sérieusement… ils ne sont pas encore préparés pour la nouvelle menace du terrorisme catastrophique.
Les bombardements en Afrique de l'Est ont tué des centaines. Une attaque réussie avec des armes de destruction de masse a pu certainement détruire des milliers ou des dizaines de milliers de vies. Si l’engin explosif qui a éclaté dans 1993 sous le World Trade Center avait été nucléaire, ou avait efficacement disséminé un microbe pathogène mortel, l'horreur et le chaos résultants auraient excédé notre capacité à le décrire.
Un tel acte de terrorisme catastrophique serait un événement de ligne de partage dans l'histoire américaine. Il pourrait impliquer la perte de la vie et de propriété sans précédent en temps de paix et miner le sens fondamental de sécurité de l'Amérique, comme l’a été l'essai atomique soviétique en 1949. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre passé et futur en un avant et un après.
Les États-Unis pourraient répondre avec des mesures draconiennes, érodant les libertés civiles, permettant une surveillance plus large des citoyens, une détention des suspects et une utilisation de la force mortelle. Plus de violence pourrait suivre, que ce soient d’autres attaques terroristes ou des contre-attaques des États-Unis. Après coup, les Américains jugeraient leurs chefs négligents de ne pas avoir posé la question du terrorisme plus instamment.
Avec une précognition étonnante, les auteurs avaient raison au sujet de chacune des huit choses qu'ils disaient « pouvoir » se produire en raison d'une attaque de « terrorisme catastrophique » comme Pearl Harbor.
Les auteurs continuent en recommandant spécifiquement ce que le gouvernement des États-Unis devrait faire à la suite d'un tel événement de « terrorisme catastrophique », qu'ils considèrent comme « une menace éminente. »
• le gouvernement des États-Unis devrait avoir l'autorité pour surveiller n'importe quel groupe et ses commanditaires étatiques potentiels qui pourraient avoir le motif et les moyens d'utiliser des armes de destruction massive;
• les États-Unis ont besoin d'une nouvelle institution pour recueillir le renseignement sur le terrorisme catastrophique - un Centre national de renseignement sur le terrorisme - qui rassemblerait et analyserait l'information de sorte qu’il puisse sonner l’alarme sur les suspects d’actes de terreur catastrophique avant que ceux-ci se produisent;
• Washington doit maintenant travailler avec d'autres pays pour prolonger les prohibitions contre le développement ou la possession des armes de la destruction massive ;
• Les normes internationales devraient s'adapter de telle sorte que les États soient obligés de rassurer les autres États qui sont inquiets et de prendre des mesures raisonnables pour prouver qu’ils ne développent pas secrètement des armes de destruction massive. L’incapacité d'assurer une telle preuve ou de poursuivre les criminels vivant sur leur territoire devrait autoriser des nations inquiètes à prendre toutes les mesures nécessaires pour leur autodéfense;
• Les États-Unis devraient aspirer comme objectif à long terme d’identifier chaque personne et tout le fret entrant dans le pays;
• Les États-Unis devraient soutenir un système pour s'assurer que les passeports de chaque pays sont lisibles électroniquement, et que la station de contrôle du passeport de chaque pays soit liée à une base de données.
Dans le même numéro de Foreign Affairs dans lequel figure l'essai prémonitoire sur le « terrorisme catastrophique », un autre essai porte sur le « permis de tuer » (« License to Kill ») de Oussama Ben Laden, par Bernard Lewis, le cerveau du sionisme britannique académique. Après la lecture de l'article de Lewis, dans lequel il dit qu'Oussama Ben Laden appelle les musulmans « à tuer les Américains et à piller leurs possessions là où ils les trouvent et chaque fois qu'ils le peuvent », il ne peut y avoir aucun doute qui devrait être le suspect principal derrière n'importe quel événement de « terrorisme catastrophique. »
Alors, qui sont les auteurs de cet article si prescient de la façon dont les États-Unis devraient répondre à un acte de « terrorisme catastrophique »?
ASHTON B. CARTER
Ashton B. Carter est Professeur de Sciences et d’Affaires Internationales de la Ford Foundation à la Harvard University’s John F. Kennedy School of Government et un ancien assistant-secrétaire à la Défense. L'essai de 1998 qu'il a co-écrit avec Deutch et Zelikow a été édité dans un livre qu’il a écrit avec William Perry intitulé « Preventive Defense: An American Security Strategy for the 21st Century » (La défense préventive : Une stratégie américaine de sécurité pour le 21ème siècle).
Carter est également membre du comité directeur pour MITRE, où il a été administrateur de 1988 à 1993. MITRE Corp. est une organisation importante de contractants pour la Défense basée à Bedford, au Massachusetts, qui est dirigée par l'ancien Director of Central Intelligence (DCI), Dr. James Rodney Schlesinger. Les systèmes cruciaux de communication, de commande et de système de contrôle de MITRE ont clairement échoués lors des attentats du 9/11, un fait qui mérite d'être étudié.
Voir : Bollyn-MITRE.html
De 2001 à 2002, Carter travaillé pour la National Academy of Sciences Committee on Science and Technology for Countering Terrorism et conseillé dans la création du Department of Homeland Security (Département de la sécurité intérieure).
Carter est également un associé principal d’une compagnie appelée Global Technology Partners, LLC (GTP), dont William J. Perry est le Président. John Mark Deutch, ancien Director of Central Intelligence et co-auteur de l'article, est également un associé principal dans GTP.
FILIALE DE ROTHSCHILD
Qu’est-ce que GTP ? Global Technology Partners, LLC (GTP) est « une filiale exclusive de Rothschild Amérique du Nord, formée pour faire des acquisitions et des investissements de technologie, de défense et de compagnies connexes à l’aérospatial», selon un portrait biographique d'un des associés principaux de la société, Paul G. Kaminski.
Ailleurs elle est décrite comme « boutique de banque d'affaires aérospatiales et de défense affiliée au groupe de Rothschild » ou « une firme de services professionnels associée au Groupe Rothschild d’investissements bancaires. »
Ainsi Ashton B. Carter, John M. Deutch, William J. Perry, et les autres employés de GTP travaillent pour et avec la famille de Rothschild, les financiers Juifs des gouvernements et les fondateurs de l'État d'Israël.
JOHN MARK DEUTCH
Cela explique comment Deutch, qui est né en Belgique, et son père, qui est né en Russie et qui est seulement venu aux États-Unis en 1940, ont pu gravir si rapidement les échelons de la structure de pouvoir de Washington.
Le père de Deutch, Michael J. Deutch, est né à Smolensk, en Russie, en 1907. La famille de Deutch est venue aux États-Unis en 1940, où Michael est rapidement devenu directeur adjoint au War Production Board (conseil de production de guerre), responsable du caoutchouc synthétique.
Un article du 27 décembre 1946 du Chicago Tribune portant sur la « liste des règles étrangères aux États-Unis » a énuméré certains des étrangers nommés dans un rapport secret de 71 pages qui avaient reçu des postes élevés au gouvernement en temps de guerre. Michael J. Deutch était l'un d'entre eux. « La correspondance passant entre le Secrétaire de l'Intérieur et le Bureau de la mobilisation de guerre (Office of War Mobilisation) indiquent que Deutch a été promu en haut de l'échelle avec une vigueur peu commune par on ne sait qui » dit le rapport secret du comité de Chambre des activités « anti-Américaines » (Un-American).
Michael Deutch est un Juif Russe dont la famille s'est supposément « sauvée de la révolution de bolchevique pour se réfugier en Belgique ». En Belgique, où il a étudié le génie chimique, il a épousé Rachel Fischer, la fille de Jean « Yonah » Fischer, un vendeur de diamant d'Anvers qui a dirigé la fédération sioniste de Belgique. Cette connexion pourrait expliquer pourquoi Deutch a été promu si rapidement quand il est arrivé à Washington.
Le grand-père maternel de John Deutch, Yonah Fischer, était un Sioniste et un ami proche du premier président d'Israël, Chaim Weizmann. Fischer était un Sioniste de très haut niveau dans le réseau politique-militaire international centré à Londres. Yonah a eu des arrangements étendus d'affaires en Palestine/Israël et a même établi une ville baptisée en son nom - Kefar Yonah.
John Deutch a été directeur de Citigroup et de Citibank depuis 1987. Il est également professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT).
PHILIP D. ZELIKOW
Philip David Zelikow est impliqué partout dans le 9/11, ses conséquences et les guerres qui ont suivi au Moyen-Orient. Trois ans après l'avertissement du « terrorisme catastrophique », Zelikow est devenu directeur exécutif de la Commission du 11 septembre, l’entreprise de blanchiment du gouvernement qui a systématiquement évité de questionner et d’évaluer les principales preuves des attaques terroristes de 9/11.
Zelikow, de Houston, a fait partie de l'équipe de transition du Président George W. Bush en 2001. Après que Bush ait été élu, Zelikow a été nommé au President's Foreign Intelligence Advisory Board, et a travaillé au National Commission on Federal Election Reform, qui a produit l’extrêmement douteux Help America Vote Act de 2002.
Zelikow a été un officier de service diplomatique de carrière outre-mer et a servi au Conseil de sécurité nationale. Plus récemment, Zelikow a été membre du groupe d'étude de l'Irak, qui a feint d’étudier ce désastre honteux qu’est la guerre en Irak, une guerre illégale et mal renseignée pour laquelle les Néo-Cons Juifs Sionistes, les médias contrôlés et l'administration de Bush ont tant milité.
Zelikow, le fils d'un tailleur immigré Juif Russe, est très près du secrétaire d'État Condoleezza Rice. Il peut être vu comme son maître-manipulateur juridique et sioniste. Zelikow a joint le Conseil de sécurité nationale dans l'administration de George H.W. Bush, en même temps que Condoleezza Rice. Tout récemment Zelikow a démissionné comme conseiller du US Department of State où il a servi comme conseiller politique senior du Secrétaire d’État.
Yisrael et ses pantins Cheney, Brown, Sarkosy, Kaddafi, Debi, Al Saoud pour la guerre totale en Afrique
Dans l’article du 26 juillet qui étaye sur la banque Al Rajhi, le Wall Street Journal dit, « le gouvernement séoudien n’a pas fait montre d’une volonté de s’attaquer à l’infrastructure financière essentielle au terrorisme ». Selon une source bien informée du renseignement américain, cet article fait parti d’un effort coordonné visant à exposer les opérations secrètes de Cheney et Bandar, notamment l’attaque de l’Iran prévue par Cheney, dont LaRouche avertit qu’elle pourrait avoir lieu en août.
Alors que ni le New York Times ni le Wall Street Journal ne mentionnent l’enquête actuellement menée par le Département de la Justice sur les liens d’argent sale entre Bandar et la BAE, des sources du renseignement ont dit à l’EIR que les allégations contenues dans les deux journaux sont reliées au « scandale du siècle » de la BAE. Nous veillons à faire remarquer que ce sont les réseaux proches du Prince Bandar et ses opérations avec Cheney qui sont soupçonnés de financer le terrorisme - et que d’autres soi-disant « exposés » de la famille royale séoudienne qui ne font pas mention de ce lien confirmé entre Bandar et Cheney, devraient être remis en doute.
Deux développements survenus cette dernière journée montrent combien la Maison Blanche est destabilisée par les exposés de ces liens séoudiens à la terreur, et au scandale de la BAE. Le vendredi 27 juillet, le gouvernement Bush s’est empressé de proclamer son soutien à l’Arabie Séoudite, au travers de la Secrétaire Déléguée à la Presse de la Maison Blanche, Dana Perino, qui dit alors, « Nous avons de très fortes relations sur les mesures de contre-terrorisme. Nous avons très étroitement travaillé avec l’Arabie Séoudite ». Ceci était en réponse au rapport du New York Times au sujet du rôle séoudien dans la déstabilisation de l’Irak. Ensuite, le samedi, juste après que le nouveau premier ministre britannique Gordon Brown ne ferme « la tirelire » du gouvernement pour la BAE, connue sous le nom d’Organisation des Services d’Export de la Défense (DESO), le président Bush annonçait un contrat d’armement de 20 milliards de dollars pour fournir le gouvernement séoudien et d’autres pays du Golfe Persique munis de systèmes d’armes sophistiqués. D’après un certain nombre d’informations, le contrat vaut le double de l’estimation qui avait été projettée au printemps 2006 par la Maison Blanche.
30 juillet 2007 (Nouvelle Solidarité) - Au moment où la Grande Bretagne et la France se hâtent, avec le soutien des Etats Unis, pour envoyer une petite armada de 26.000 casques bleus au Darfour pour lutter contre les massacres qui seraient organisés par le gouvernement de Khartoum contre les populations et les groupes rebelles du Darfour, un article de Richard Labévière paru le 3 juin dans le magazine Défense *, révèle les véritables enjeux de la bataille qui a lieu au Darfour.
Selon Richard Labévière, le Prince Bandar ben Sultan d’Arabie Saoudite, s’est rendu au Soudan au mois d’avril dernier pour rencontrer son vieil ami Mahamat Nouri, le dirigeant de l’UFDD, la principale organisation d’opposition au régime d’Idriss Déby au Tchad, ainsi que d’autres organisations de rebelles actives au Darfour.
Le Prince Bandar serait en train de constituer « un front arabe uni, un front sunnite, dans cette partie de l’Afrique », a déclaré un diplomate Egyptien en poste à Khartoum, cité par Labevière. Bandar aurait donné 80 véhicules tout terrains et 4 valises contenant plus d’un million de dollars au dirigeant de l’UFDD. Ces transactions, faites de la main à la main auraient été facilitées par une filiale d’une banque saoudienne ayant pignon sur rue à Khartoum.
Dans ce contexte, des ONG saoudiennes auraient créé deux filiales importantes à Khartoum, et « Celles-ci sont officiellement chargées d’ouvrir des écoles coraniques, de construire des mosquées et des dispensaires dans les zones frontalières de l’ouest du Soudan. Autant de faux nez d’une assistance militaire aux différentes organisations armées du Darfour. »
Notant que Bandar se coordonne avec une partie de l’administration Bush/Cheney (il est en réalité le partenaire de Cheney pour destabiliser toute l’Asie du Sud Ouest, voir ici), Labévière dit que cette politique risque « non seulement d’ajouter de la confusion mortifère à l’Afrique centrale mais aussi de s’étendre à l’ensemble du Sahel et de rejaillir sur le Maghreb qui, les 10 et 11 avril derniers, a été ensanglanté par les attentats meurtriers de Casablanca et d’Alger ».
*Défense est la revue des Associations des Auditeurs de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) dont Richard Labévière est le rédacteur en chef.
Onze mille captifs entament une grève de faim pour protester contre les négligences médicales
Les captifs palestiniens dans les prisons de l’occupation ont exécuté, hier mercredi 1/8 une grève de faim de deux jours pour protester contre les négligences médicales qui ont conduit à la mort du captif Chadi Al-Sa'idi dans les prisons israéliennes.Les services médiaques de l’organisation "Nafha" pour la protection des droits des captifs et de l’homme ont affirmé que 11 mille captifs palestiniens ont annoncé, hier mercredi 1/8 une grève de faim pour condamner les pratiques inhumaines des autorités occupantes israéliennes dans leurs prisons dont les négligences médicales qui ont conduit, dernièrement, à la mort du captif Chadi Al-Sa'idi, l'un des habitants du camp d’Al-Maghazi, au milieu de la bande de Gaza.
Le captif martyr Chadi Al-Sa'idi est tombé en martyr, le mardi dernier 31/7, à cause des négligences médicales israéliennes pratiquées par la direction de la prison contre les captifs palestiniens.
Le "Mouvement des Captifs " a annoncé la mort de Sa'di en rendant la direction de la prison israélienne responsable de ces pratiques criominelles contre les captifs palestiniens.
Le "Mouvement" a appelé la société palestinienne et ses forces à soutenir les captifs palestiniens dans les prisons israéliennes pour empêcher d'autres cas pareils.
Les captifs ont affirmé dans une lettre adressée à la direction de la prison que les conditions de vie dans les prisons israéliennes sont improbables en montrant que la prison de Nafha représente une menace dangereuse contre leurs vies.
Enfin, les captifs ont appelé à l’intervention internationale pour ouvrir le dossier des centaines de captifs palestiniens qui ont été victimes de la négligence médicale et qui vivent des conditions très difficiles dans les prisons israéliennes.