2 oct. 2016


La "Guerre au terrorisme" :

Une tromperie Sioniste pour contrôler l’Amérique


Par Christopher Bollyn,



La "guerre au terrorisme" est une fraude et une dangereuse menace pour la république et le peuple Américain.


Elle n’est qu’une tromperie Sioniste utilisée pour entraîner l’armée américaine dans une guerre au profit d’Israël tout en imposant la centralisation du contrôle policier aux Etats-Unis sous prétexte de "sécurité intérieure". Démocrates et Républicains au Congrès se sont querellés récemment concernant l’usage de la phrase "guerre globale à la terreur" dans le budget de 2008 budget pour les dépenses secrètes de millions de dollars en Irak, en Afghanistan, et ailleurs.


"Dis à Bush et Blair que notre test de marketing indique que 92% des Goys réagissent favorablement à l’expression Guerre à la Terreur, alors que Guerre contre Al Qaida et Défendre la Mère Patrie étaient presque inutiles"


Les démocrates disent qu'ils sont fatigués de l'utilisation de l'expression couverture de « guerre à la terreur » par l'administration de Bush pour justifier les budgets énormes pour des opérations militaires non-spécifiques.


Erin Conaton, directeur du personnel Démocrate du House Armed Services Committee, a recommandé à son personnel dans un mémo du 27 mars qu'ils « évitent d'employer des expressions familières », comme le terme « guerre globale au terrorisme ». Le personnel a été averti d'être plus spécifique en préparant le defense authorization bill de 2008.


« La guerre globale à la terreur », une expression d'abord employée par le Président George W. Bush peu de temps après les attaques terroristes du 11 septembre 2001, ne devrait pas être employée, dit le mémo.


Les membres du personnel ont été avertis d'employer des références spécifiques, comme « la guerre en Irak, » la « guerre en Afghanistan, « des opérations dans la Corne de l'Afrique, » ou « des opérations militaires continues dans le monde entier. »


« C'est une question philosophique et politique », a indiqué l'assistant du GOP au Military Times. « Les républicains croient généralement qu'en menant la guerre au terrorisme en Irak, nous empêchons des terroristes de se répandre ailleurs et les maintenons engagés de sorte qu'ils ne nous attaquent pas chez nous. »


Le Représentant Ike Skelton (D-Mo.), le Président du comité, a défendu le bannissement des termes disant dans un rapport que « les objections des Républicains à nos efforts pour clarifier le langage législatif représentent la tendance républicaine typique qui est de rapprocher les mésaventures en Irak et la guerre globale contre les terroristes.


« La guerre en Irak est séparée et distincte de la guerre contre les terroristes, qui ont leur origine en Afghanistan et qui nous ont attaqués le 9/11, et les Américains comprennent cela », a dit Skelton.


QU’EST-CE QUE LA « GUERRE À LA TERREUR »


Bien qu'il soit difficile de dire ce que « les Américains » comprennent, il est très clair que Skelton ne comprend pas qui est vraiment derrière 9/11 et la « guerre à la terreur. »


Ce que « les Américains » comprennent au sujet de la nébuleuse et frauduleuse « guerre à la terreur » est difficile à mesurer, mais d'après la désinformation fournie par les mass media, il s'avère que l'ignorance est très répandue concernant qui ou quoi est derrière la « guerre à la terreur ».


Bien que le 9/11 et les guerres subséquentes en Irak et en Afghanistan aient drastiquement changé la manière que les Américains pensent et vivent, il n'y a aucune évidence, dans les médias ou ailleurs, pour suggérer que « les Américains » comprennent ce qu'est la « guerre à la terreur », comment elle lutte et contre qui, ou qui fournit les informations auxquelles se fient les décideurs comme le Représentant Skelton.


Les scènes incroyables de destruction au World Trade Center et au Pentagone, ont été vues par des millions de téléspectateurs, ont profondément affecté le sentiment de paix et de sécurité que les Américains ont longtemps apprécié.


Créer un changement radical dans la façon dont les Américains regardent le monde était clairement l'un des buts, peut-être le but ultime, des planificateurs de niveau architectural des attaques du 9/11. « Interpréter » ce que signifie le 9/11 pour les Américains est justement où les « experts » Israéliens en terrorisme et les médias contrôlés par les Sionistes ont joué les rôles-clés.


Un mois après le 9/11, par exemple, Arlene Getz du Newsweek a interviewé Shabtai Shavit, ancien directeur du Mossad d'Israël. « Cela peut sembler dramatique, » Shavit dit, « mais la vie en Amérique ne sera plus la même qu'elle l'était avant le 11 septembre. »


Getz a demandé à Shavit quels conseils il donnerait aux Américains qui, après 9/11, ont dû faire face « au genre d'incertitude que les Israéliens ont vécu pendant des années ? » « C'est une bonne question », dit Shavit. « Cela a à voir avec la façon dont vous convainquez votre peuple et la façon dont vous les instruisez à une situation entièrement nouvelle au sein des États-Unis.


Cela peut sembler dramatique, mais la vie en Amérique ne sera plus la même qu'elle l'était avant le 11 septembre. Afin de pouvoir continuer à vivre, vous devez vous rendre compte du fait que vous allez devoir abandonner certaines de vos libertés formelles, et vous devez être prêts à abandonner certaines de vos plaisanteries et convenances. »


Shavit, qui a joint le Mossad en 1964, est le Président de l'institut anti-terrorisme au centre interdisciplinaire (IDC) de Herzliya, Israël. L'IDC est « université du Mossad » où des universités et les programmes sont baptisés du nom de riches Sionistes Américains comme Samuel Zell, Ronald Lauder, et Mark Rich qui commanditent et financent l'université attachée au renseignement israélien.



Marc Rich est né Marc David Reich.


Un politicien Israélien a aide à faire pression sur le Président Clinton pour qu’il pardonne à Marc Rich, tel qu’indiqué dans cet article du Washington Post.


Lewis "Scooter" Libby a aussi aide à le protéger, tel qu’expliqué dans cet article du Washington Post.


SAM Zell, par exemple, le nouveau propriétaire du Wrigley Field et des Chicago Cubs, du Chicago Tribune, du Los Angeles Times, et d’une foule de propriétés des mass media, commandite le Zell Entrepreneurship Program pour 20 étudiants Israéliens spécialement choisis à l'IDC.


La prévision de Shavit est effectivement devenue réalité. Avec sur le dos deux guerres coûteuses et désastreuses et un Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security) de plus en plus intrusif, peut dire avec certitude que la plupart des Américains préféreraient un retour à la manière que les choses étaient avant plutôt que de continuer à vivre dans la crainte et l'insécurité constantes auxquelles les mass media ont soumis la nation depuis le 9/11.


Shabtai Shavit était Directeur Général du Mossad de1989 à 1996. Il est maintenant membre du New York City Fire Department Task Force for Future Preparedness Against Terrorism, parmi d’autres programmes, tel que mentionné ici.


Shavit et les officiels de la direction du Mossad et du renseignement militaire israélien étaient clairement au courant à l’avance des attaques à venir du 9/11:



METTRE FIN À LA "GUERRE AU TERRORISME"


Afin de libérer notre nation de cette onéreuse « guerre à la terreur », qui a été le centre et la préoccupation principale de l'administration de Bush, il est essentiel que nous comprenions ce qu'est vraiment cette « guerre » et qui est réellement derrière elle.


Pour se libérer de la tyrannie de la « guerre à la terreur », nous devons faire plus que l'éliminer sur papier dans le budget de la défense ; nous devons nous informer et comprendre les faussetés et la tromperie sur lesquelles cette fraude est basée.


Exposer la fraude derrière la « guerre à la terreur » est beaucoup plus qu'un exercice d'universitaire ; c'est une question d'importance vitale pour les citoyens - et le futur de la république. Le mode de vie américain et nos libertés constitutionnelles sont menacés par l'appareillage de « sécurité intérieure » qui a été établi en réponse au 9/11 et qui continue à se développer en grandeur et en puissance.


UN FAUX CONSTRUIT


La prétendue « guerre à la terreur » est une construction fausse et artificielle qui a été conçue par les Sionistes extrémistes de droite des niveaux les plus élevés du gouvernement et des militaires israéliens. Elle est basée sur une série d'attaques de terreur « fausse-bannière » (false flag) qui ont commencé à l'étranger dans les années 90, y compris le premier bombardement du World Trade Center, le bombardement du bâtiment fédéral d'Oklahoma City, et les attaques sur des cibles américaines partout dans le monde.


Une brève vidéo d’introduction aux opérations false flag (fausse-bannière) au haut de cette page:HowToHelp.html


Le concept de « guerre à la terreur » est la pierre angulaire d'un agenda qui a été activement favorisé et articulé depuis le milieu des années 80 par Benjamin Netanyahu, l'ancien premier ministre de droite d'Israël.


La « guerre à la terreur » est en fait la guerre conçue par des Israéliens pour que les États-Unis contre-attaquent à une série d’attaques de terreur « fausse-bannière » qui a culminé avec la destruction des tours jumelles du World Trade Center. Elle vise à semer la crainte et la haine contre l'Islam et à entraîner les armées des « démocraties » occidentales au Moyen-Orient pour vaincre et contrôler les ennemis d'Israël.



Aujourd'hui, les Américains sont écrasés sous le poids de cette frauduleuse « guerre à la terreur », qui a été refilée à la nation par M. Netanyahu et un réseau d'extrémistes de droite Israéliens et leurs commanditaires et défenseurs aux États-Unis.


Autant les invasions militaires américaines outre-mer que les appareillages domestiques de sécurité d'état ont été planifiés longtemps avant 9/11. Ces changements radicaux ont été « interprétés » et expliqués aux Américains par les médias contrôlés par les Sionistes.


Des officiels du gouvernement corrompus ou crédules ont vendu au public le discours et l'agenda frauduleux des Sionistes, basés sur une « interprétation » tout à fait fausse du 9/11. Les plus hauts officiels du gouvernement et de l'armée ont accepté cet agenda étranger sans même demander de voir l'évidence et sans même la soumettre à un examen critique.


Tandis qu'il y a des preuves abondantes que des agences de renseignement israéliennes ont été impliquées dans les attaques terroristes du 9/11, cette ligne de recherche est taboue dans les médias traditionnels contrôlés par les Sionistes et le prétendu « mouvement de vérité ».
Plutôt que de réclamer une investigation rigoureuse et indépendante des faits et des preuves, les plus hauts officiels du gouvernement et les médias contrôlés ont accepté et favorisé un conte de fées improuvé dans lequel les coupables sont tous les Arabes et les Musulmans.


Cinq ans après, les mêmes politiciens et officiels du renseignement israélien qui ont interprété le 9/11 pour le gouvernement et les médias des États-Unis commandent maintenant la discussion concernant la façon dont les États-Unis devraient répondre à de futures menaces de terrorisme.
Shabtai Shavit, par exemple, et des hauts dirigeants israéliens de renseignement militaire informent et guident toujours la réponse des États-Unis, la prétendue « guerre à la terreur. »
"Suivez cette voie pour la Guerre à la Terreur"

L’AGENDA DE QUI?


Le récent « rapport du groupe de travail du terrorisme du futur » (Report of the Future of Terrorism Task Force) à Michael Chertoff, le Secrétaire du Département de la Sécurité Intérieure (DHS) Israélien-Américain, illustre comment l'agenda des agences de renseignement militaire d'Israël est efficacement devenu l’agenda du gouvernement des États-Unis. Le rapport, qui a pris 5 mois à produire, a été publié le 25 janvier 2007.


Lien vers le fichier PDF: www.dhs.gov/xlibrary/assets/hsac-future-terrorism-010107.pdf
Concernant le Moyen-Orient, les agences militaires et de renseignement des États-Unis ont dépendu de l'information israélienne pendant des décennies. Le Report of the Future of Terrorism Task Force, une partie du Homeland Security Advisory Council, ne sont aucunement différents.


Le groupe de travail consulte et s'informe auprès « des experts en matière de thèmes-clés ». Les poids lourds les plus évidents parmi les « experts » sur le terrorisme sont deux généraux Israéliens, à savoir Yosef « Yossi » Kuperwasser et Yisrael Ziv de quelque chose appelé Comprehensive Security Transformation ou « CST International ».


Le CST est apparemment une troïka informelle de Kuperwasser, de Ziv, et du Brigadier General Amos Ben-Avraham, un vétéran de l'unité d'élite de l'armée Sayeret Matkal. Le CST fournit « des réponses uniques, complètes et travaillées aux menaces de terreur en évolution », selon sa page Web.



Assez curieusement, bien que plus de 3200 soldats Américains soient morts en Irak dans la prétendue « guerre à la terreur », pas un officiel militaire des États-Unis n’a participé à la production de ce rapport.


La « trouvaille » principale du rapport sur le « Futur du Terrorisme » est que « tout indique que le nombre et l'importance d'attaques contre les États-Unis, ses intérêts et ses alliés augmenteront probablement ». Tout le reste du rapport découle de cette grande présomption.


BRIG. GEN. YOSSI KUPERWASSER


Le Brigadier Général Yossi Kuperwasser est l’ancien chef de police la branche de renseignement de l’armée d’Israël (AMAN) et un ancien directeur de son département de la recherche, qui sert d'assesseur national du renseignement.


Le département de recherches militaires israéliennes travaille étroitement avec les agences de renseignement du Mossad (étranger) et de Shabak (internes). Actuellement il est un camarade de Charles Bronfman au centre de Haim Saban à l'institut de Brookings.


Kuperwasser a dirigé le département de recherches militaires israéliennes de juin 2001 à juin 2006. Il était responsable de l'intelligence stratégique et de former la manière dont Israël comprend les développements régionaux. D'une manière plus importante, Kuperwasser était responsable de la façon dont les développements étaient communiqués aux officiels des États-Unis


Un bref échantillon de son travail révèle que Kuperwasser a fourni à maintes reprises des informations fausses ou fallacieuses aux officiels des États-Unis :


En janvier 2002, Kuperwasser dirige la délégation israélienne qui a informé les États-Unis de ses découvertes concernant une supposée affaire de trafic d'armes iranien-palestinien impliquant un bateau sur la Mer Rouge. De grandes quantités d'armes iraniennes ont été supposément empaquetées pour la bande de Gaza.


En avril 2003, alors qu'aucune arme de destruction de masse n'avait été trouvée en Irak, Kuperwasser a suggéré qu'elles avaient toutes été déplacées en Syrie. Cette idée ridicule était largement diffusée dans les médias américains contrôlés.


En novembre 2006, Kuperwasser a dit à des médias canadiens que l'Iran pourrait produire une arme nucléaire d'ici mars 2007. Pour qu'on mesure bien le risque, il a comparé l'Iran à l'Allemagne nazie.


En décembre 2006, Kuperwasser a dit à Benny Avni du New York Sun que le mouvement Shi'ite libanais du Hezbollah « tolère la présence d'Al Qaida au Liban et coopère même avec lui ». Il a continué en disant que « tout le monde au Liban » sait que Hezbollah « fonctionne au nom de l'Iran. »


MAJ. GEN. YISRAEL ZIV


Le Major General Yisrael Ziv a l’expérience de terrain avec le terrorisme.


Ziv, un commandant des forces israéliennes à Gaza, a un dossier documenté pour avoir posé des bombes dans des voisinages civils et fait explosé d’appartements de logis.

En novembre 2001, le Jerusalem Post a signalé que Ziv « était derrière la décision de poser la bombe » qui a tué cinq écoliers palestiniens à Khan Yunis dans la bande de Gaza occupée. Les forces spéciales Israéliennes sous la commande de Ziv avaient posé la bombe dans un secteur civil la nuit avant.


L’article du Jerusalem Post est disparu, mais le texte non-formaté est reproduit au bas de cette page. Les autres articles à ce sujet sont toujours en ligne, comme ici à oznik.com et ici à Haaretz.com


En octobre 2002, ses forces armées ont tiré un missile dans une foule sur une route de terre à Khan Yunis, tuant au moins 13 civils. Ziv l’a appelée « une opération très importante qui révèle encore une fois qu'il n'y a aucun bastion de terreur qui est sûr contre nos troupes. »


En septembre 2003, Ziv a tenté de tuer cheik Ahmed Yassin, le chef spirituel paraplégique du Hamas, en laissant tomber une bombe de 1100 livres sur un bâtiment de trois étages à Gaza. Plutôt que d’arrêter le cheik, Ziv a décidé de bombarder le bâtiment où il vivait. Cette tentative n'a pas tué Yassin.


Le 22 Mars 2004, Israël a tiré trois missiles Hellfire sur le cheik dans sa chaise roulante, alors qu’il sortait d’une mosquée après ses prières du matin.


Les missiles ont tué Yassin, ses gardes du corps et 8 passants innocents.


ZZiv a été également impliqué dans une masse de bombardements semblables et visé des massacres extrajudiciaires dans lesquels des centaines de civils palestiniens innocents ont été tués. En matière de terrorisme, Ziv a certainement de l'expérience.


LE RAPPORT SUR LE FUTUR DU TERRORISME


Le rapport sur le « futur du terrorisme » au secrétaire Michael Chertoff, un Israélien-Américain, commence, comme l'on a pourrait prévoir, par une pleine page couleur du drapeau des États-Unis. Le rapport de 13 pages, qui a pris 5 mois à produire, a trois objectifs principaux : « évaluer les futures menaces » ; « raffiner les processus pour rencontrer ces menaces » ; et à « recommander comment mieux engager et préparer le public américain pour les défis présents et futurs ».


Le groupe de travail de 21 membres, dirigé par Lee Hamilton, inclut Elliott Broidy, le milliardaire sioniste riche de Los Angeles. James Schlesinger de MITRE Corp., vice-chaire du Homeland Security Advisory Council, est également sur le groupe de travail.
Elliot Broidy a tenu une campagne de levée de fonds pour les Républicains à sa maison de Californie en octobre 2006, et le Président Bush y est allé!


Il a aussi tenu un souper privé pour l’American Ballet Theatre chez lui.. Cliquez ici pour voir les photos des « socialités » adorables de l’Amérique.

James Schlesinger, né en 1929, est entré au gouvernement américain en 1969 durant l’administration Nixon.


Il a travaillé comme directeur de la CIA, Secrétaire à la Défense, et Secrétaire de l’Énergie.
Le Président Carter éventuellement s’en est débarrassé en 1979, et il aide maintenant des compagnies liées au Sionisme.


MITRE technology de Schlesinger est lié aux événements du 9/11 de plusieurs manières significatives.



"Fondé sur notre travail au cours des cinq mois derniers », le rapport a commencé, les « membres croient que tout indique que le nombre et l'importance des attaques contre les États-Unis, ses intérêts et ses alliés augmenteront probablement. Comme le crime ou la maladie, le terrorisme devrait être conçu comme problème chronique exigeant une stratégie soutenue et patiente, avec des tactiques en constante évolution ».


Tandis qu'« il n'était pas dans la portée du groupe de travail d'entreprendre un examen approfondi et détaillé des menaces particulières et des sources desquelles elle émane », le rapport continue en disant que « la menace de terroriste la plus significative pour la patrie provient aujourd'hui d'un mouvement global, soutenu par une idéologie de jihadiste/Salafiste », qui cherche à « subvertir les régimes considérés comme apostasiés. »


Pourquoi un mouvement local moyen-oriental cherchant à renverser des régimes d'« apostasiés » au Moyen-Orient attaquerait la « patrie » américaine à des milliers de kilomètres des régimes qu'il est supposé combattre, cela n'est pas expliqué. La plupart des Américains ne savent pas même ce que signifie une « idéologie de jihadiste/Salafiste ».


"Faites essayer aux gens du marketing les expressions Islamo-Fascistes, Muslo-Nazi, et le Jihado-Terroriste"

UNE FORCE DE POLICE CENTRALISÉE


Le rapport favorise la centralisation des départements locaux de police sous le Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security). Afin de défendre la « patrie » le rapporte en appelle à la création d'une force de police nationale d'état qui coordonne l'état et les forces locales avec le DHS :


Bien que certains progrès aient été accompli en vue d'une coordination parfaite entre les autorités fédérales, de l'état et locales pour assurer la sécurité intérieure, il y a encore des lacunes dans cette coordination qui doit être remplies.


Le groupe de travail a été encouragé par l'initiative du Directeur du Renseignement (DI) de remplir les rangs du personnel des centres de fusion d'état avec des analystes de DHS. Ce programme s'avèrera valable non seulement pour le partage d'informations, mais en instruisant l'état et les agences locales sur ce qu'elles devraient rechercher et rapporter.


Le rapport appelle le secrétaire du DHS [Michael Chertoff] à « travailler directement avec l'état, les gens du pays, le secteur privé et les chefs de la communauté pour les instruire sur la menace de radicalisation, la nécessité de prendre des mesure préventive au niveau local, et pour faciliter le partage des meilleures pratiques des autres nations et communautés.


« En tant qu'élément de ces efforts communautaires visant la compréhension mutuelle et l'élimination des conditions qui permettent à des idéologies extrémistes de prendre racine, le Secrétaire devrait assumer le rôle du « catalyseur » afin de motiver l'état et les autorités locales à considérer pro-activement le potentiel de radicalisation avant que le terrorisme n'évolue au pays.


Spécifiquement, le secrétaire devrait activement travailler directement avec les maires, les gouverneurs, et les chefs de la communauté [police] pour les instruire sur la menace de radicalisation, et pour mieux partager l'information concernant les pratiques des communautés et d'autres nations qui ont agressivement engagé cette menace. » Israël est clairement le premier en importance parmi les « autres nations qui ont agressivement engagé cette menace ».
Le partage de l'information avec le DHS est « une priorité » dans l'état policier centralisé. Des autorités locales se verront refusées les « ressources fédérales » si elles refusent de partager l'information avec le DHS :


La capacité locales et de l'état à recueillir, traiter et partager l'information dans les régions locales et avec le gouvernement fédéral doit demeurer une priorité, et devrait être développée par une association opérationnelle avec le gouvernement fédéral, s'assurant que la formation, les capacités analytiques, et les ressources sont consistantes et satisfassent le besoin national global.
Le Secrétaire devrait continuer ses efforts avec l'état et les autorités locales pour établir des capacités opérantes régionales et des plans de prévention, de protection et de réponse en exigeant des composants du DHS de développer leurs plans et capacités de concert avec l'état et les autorités locales.


Le DHS devrait également rendre les ressources fédérales et les autorités locales dépendantes de la collaboration régionale.Les Américains seront forcés d'apprendre plus sur le terrorisme et comment s'y préparer :


Il est impératif que le public américain s'engage à comprendre et se préparer au terrorisme. Au cours des cinq prochaines années, le public apprendre sur les choix auxquels doivent faire face la nation, les communautés, les familles, et les individus. Il doit s'associer avec son gouvernement, partager le fardeau.On enseignera même aux enfants et aux élèves d'école sur comment réagir aux menaces terroristes et extrémistes contre la « patrie » :


In collaboration with the Department of Education and state and local partners, consideration should be given to implementing developmentally appropriate education at the elementary school, high school and college/university levels.En collaboration avec le Département de l'Éducation et l'état et les associés locaux, la considération devrait être donnée à mettre en application une éducation appropriée au développement à l'école primaire, au lycée et à l'université/aux niveaux d'université. Afin de mettre cet agenda en pratique à un niveau de sécurité nationale, le rapport réclame que le Secrétaire Chertoff soit nommé au Conseil de Sécurité Nationale :


Nous recommandons donc que des considérations soient apportées à l'intégration entière de la perspective de sécurité domestique dans le travail du NSC en nommant le Secrétaire de la Sécurité Intérieure (Homeland Security) au NSC.


LES CANONS D’AOÛT 2007

CHENEY A DÉJÀ LES DOIGTS SUR LA GÂCHETTE

Par Jeffrey Steinberg

Le 16 juillet, le Guardian de Londres rapportait que sous l’influence forte du vice-président Cheney, le président Bush serait en faveur d’une action militaire contre l’Iran avant que son mandat ne finisse. D’après le récit du Guardian, le vice-président a profité d’une série de réunions entre les officiels de la Maison Blanche, du Pentagone et du Département d’Etat pour marteler que l’option diplomatique poursuivie par la secrétaire d’Etat Condoleeza Rice et le secrétaire à la Défense Robert Gates était un échec et que les gouvernements suivants n’auraient jamais le courage de recourir à la force contre Téhéran. Toujours d’après ce compte-rendu, le président Bush s’est aligné sur l’avis de Cheney et les perspectives d’une nouvelle guerre préventive dans le golfe Persique pèsent sur Washington.

Cette fuite dans le Guardian vient de cercles proches de la Maison Blanche qui sont profondément opposés à l’idée de frappes préventives contre des cibles en Iran. Des sources très bien informées contactées par l’EIR ont confirmé que le président Bush penchait finalement pour un soutien à la proposition de Cheney de frapper préemptivement les supposés sites d’armements nucléaires, et que la raison la plus persuasive avancée par Cheney et ses alliés néo-cons est qu’à moins d’une attaque des Etats-Unis sur Téhéran, Israël partira seul à l’offensive, ce qui créerait une situation encore plus désastreuse pour Washington.

Se faisant la voix des patrons londoniens de Cheney, Patrick Cronin, le directeur des études d’un des think tank anglo-américain les plus en vu, l’International Institute for Strategic Studies (IISS) à Londres, est cité par le Guardian : « Cheney n’a plus beaucoup de crédibilité, mais s’il veut l’utilisér entièrement sur cette question, il peut toujours avoir un impact (...) La ligne rouge n’est pas en Iran. La ligne rouge est en Israël. Si Israël est inflexible elle attaquera, et les Etats-Unis devront agir décisivement. Reste trois options : dire non à Israël, laisser faire le boulot à Israël, ou faire le boulot soi-même. »

Et le consensus parmi les stratèges militaires américains c’est qu’Israël n’a pas la capacité d’endommager sérieusement le programme nucléaire iranien, largement dispersé dans le pays, à moins d’avoir recours à des armes nucléaires.

Les deux Liebermans

Alors que Cheney arrangeait son coup au sein du gouvernement, il pouvait compter sur le soutien des “deux Liebermans”. Début juillet, le Ministre israélien des Affaires stratégiques Avigdor Lieberman s’est rendu à Bruxelles pour s’entretenir avec des hauts responsables de L’OTAN. A son retour, il a déclaré à la radio de l’armée israélienne qu’il avait obtenu le soutien des Etats-Unis et de l’Europe pour des frappes préventives sur les sites nucléaires iraniens. Lieberman, qui est connu parmi les analystes israéliens pour être « ce qu’il y a de plus proche d’un National Socialiste en Israël », a expliqué que si Israël venait à lancer une frappe contre les sites nucléaires iraniens, l’Otan s’adjoindrait à la défense d’Israël face à des représailles iraniennes. Lieberman n’aurait pas pu être plus direct « On [l’OTAN] est coincé en Afghanistan, et les troupes européennes et américaines s’engloutissent dans le marécage irakien, ce qui empêchera les dirigeants européens et américains de décider l’emploi de la force pour détruire les installations nucléaires iraniennes », et il conclut « Ainsi, avant la tombée du soir, Israël sera obligé d’écarter la menace nucléaire iranienne avec les moyens dont elle dispose, et elle ne pourra pas compter sur une coopération internationale ». Mais le ministre israélien ajouta ensuite « L’Europe et les Etats-Unis nous soutiendrons ». Le 11 juillet, le même jour où Avigdor Lieberman menaçait de frappes préemptives contre l’Iran, le sénateur indépendant du Connecticut Joseph Lieberman introduit un amendement au programme des dépenses militaires américaines exigeant que les agences de renseignement rapportent au Congrès toutes les activités iraniennes en Irak tous les 60 jours. Bien que l’amendement de Lieberman contenant des affirmations mensongères sur le soutien des iraniens aux combats contre les forces américaines en Irak, visait clairement à faire soutenir par le sénat une politique belliqueuse contre l’Iran, les sénateurs ont voté comme des moutons pour le stratagème de Lieberman, à 97 voix (sur 100) contre 0.

De crainte qu’il y ait quelques soupçons sur la coordination de Lieberman avec Cheney, son amendement citait abondamment le général Kevin Bergner, ancien assistant du néo-conservateur Eliott Abrams au Conseil de Sécurité Nationale, qui était en mission à Bagdad en juin 2007 pour superviser le contrôle de l’information de guerre. Bergner a sorti toute une série d’informations fausses ou exagérées sur l’implication iranienne dans la résistance irakienne. La propagande de Bergner a même rendu furieux le Comité des chefs d’État-major interarmes, qui ont cru voir resurgir les canaux de renseignement frauduleux qui alimentaient le bureau du vice-président depuis le bureau des plans spéciaux au Pentagone dans la période menant à l’invasion de l’Irak. Cette fois, personne ne peut prétendre que la propagande de guerre a été passée au crible par les services de renseignement du Pentagone. Elle a été passée par le général Bergner directement de Bagdad à Cheney, Lieberman et compagnie, et est relayée de plus en plus sur CNN et d’autres médias.

Destituer ou démissionner Cheney immédiatement

Ce virage vers la guerre contre l’Iran qui vient des mêmes habitués à Washington, doit être vu comme s’opposant à l’ouverture issue du sommet entre les présidents Bush et Poutine à Kennebunkport le 1er et 2 juillet dernier. Les deux jours de discussion sous le patronage de l’ancien président Georges H. W. Bush père, représentaient une percée stratégique potentielle dans les relations américano-russe. Le président Poutine a proposé un partenariat stratégique à long terme entre Washington et Moscou, incluant toute l’Eurasie dans une alliance sur la sécurité basée sur une proposition initiale de LaRouche pour une défense stratégique qui devint ensuite l’IDS du président Reagan. Quelques jours avant Kennebunkport, à Yalta en Ukraine, l’ancien président Clinton s’est aussi engagé sur cette proposition, révélant une intervention puissante des institutions de la présidence américaine, au coté de la présidence russe, pour éviter la guerre en Eurasie dans les décennies à venir.

Les initiatives de Cheney sont donc une réponse à cette stratégie, ce qui remet potentiellement les Etats-Unis sur les rails d’une guerre proche. Une guerre se diffusant bientôt depuis l’Asie du Sud Ouest aux autres parties de l’Eurasie, menant finalement à une quatrième guerre mondiale engageant les Etats-Unis contre la Russie et la Chine.

C’est pour cette raison que lors d’une discussion avec des diplomates le 19 juillet, LaRouche a affirmé qu’étant donné la date avancée, la seule manière d’arrêter la guerre avant que les canons d’août retentissent est de destituer ou démissionner Cheney immédiatement.
C’est aussi dans ce contexte que LaRouche a réitéré son message à la sénatrice démocrate Hillary Clinton, la candidate de tête pour emporter la nomination présidentielle démocrate. LaRouche a appelé Clinton à prendre les devants dans la bataille pour éliminer Cheney, promettant que si elle s’éxécutait, elle deviendrait présidente par acclamation grâce à un électorat qui demande massivement l’éviction de Cheney.

Le message de LaRouche raisonne également dans les cercles républicains qui craignent d’être anéantis lors des élections de 2008, si Cheney reste plus longtemps en poste et que les frappes préemptives contre l’Iran ont lieu. Alors que chez les Républicains des voix se font entendre, dont l’ancien du Département de la Justice sous Reagan Bruce Fein, l’ancien candidat présidentiel Pat Buchanan et l’ancien officier de la CIA et actuel éditorialiste de l’American Conservative Phil Giraldi, puisqu’ils ont tous exigé que Cheney soit évincé immédiatement, les dirigeants du parti républicain ont jusqu’ici échoué à confronter le président Bush et à forcer le départ de Cheney. Et les démocrates du Congrès ont décidé de ne pas toucher à Cheney, préférant adopter des postures impuissantes, comme lors de ce débat d’une nuit entière sur la guerre en Irak où le nom de Cheney n’a pas été mentionné une fois. L’acte de lâcheté ultime étant la capitulation face à la manœuvre de Joe lieberman.

LaRouche à fréquemment averti qu’une telle lâcheté et un tel opportunisme peuvent amener à la destruction de la République américaine et à une guerre permanente qui s’emparerait de la planète pour plusieurs générations à venir.

Cheney et Bandar

Pendant que le juke-box du Général Bergner continue à cracher sa propaganda de guerre depuis Bagdad - poussant l’idée d’une action militaire contre l’Iran pour « sauver la vie des GI américains » en combattant les insurgés d’Irak « soutenus par l’Iran » - des spécialistes du renseignement américain ont alerté l’EIR de la tournure inquiétante que prend la résistance irakienne. L’Arabie Saoudite, via le prince Bandar Bin Sultan qui est le meilleur allié de Cheney dans la région et le conseiller à la sécurité nationale du roi Abdullah, a fourni armes et argent aux tribus sunnites de l’Ouest irakien qui deviennent ce que certains officiels du renseignement américain appellent « Al Qaida II ».

Ces réseaux wahabites irakiens, différent de l’appareil Ben Laden/Zawaheri d’ « Al Qaida en Irak » constitué de combattants étrangers, ont émergé dans les derniers mois comme un élément important dans la rébellion irakienne. D’après ces mêmes sources, « Al Qaida II » fait partie duplan de Cheney - conçu à Londres par les semblables du Dr Bernard Lewis - pour promouvoir un conflit régional permanent entre Sunnites et Shiites.

Ces sources avertissent que l’effort de Cheney et Bandar alimente les provocations contre l’Iran et ouvre la possibilité d’une explosion prochaine. Début juillet 2007, un émissaire du prince Bandar a délivré 750 000 dollars aux Moudjahidine du Peuple (MEK), un groupe iranien exilé qui travaillait pour Sadam Hussein et qui est sur la liste des organisations terroristes internationales du Département d’Etat pour avoir assassiné des officiers de l’armée américaine en Iran. Le MEK participe actuellement à des opérations de sabotage et d’assassinat à l’intérieur de l’Iran, avec le soutien intéressé des néo-cons à Washington, qui à l’image de Daniel Pipes ont récemment participé au rassemblement du MEK en Seine-Saint-Denis, où l’argent de Bandar a été remis.

Le département américain de la Justice enquête déjà sur le Prince Bandar pour le rôle qu’il a joué dans le scandale de BAE Systems autour des contrats d’Al Yamamah, portant sur 100 milliards de dollars de fonds secrets destinés à financer des opérations sales. Au moins 2 milliards des fonds d’Al Yamamah ont été transférés directement sur les comptes bancaires de Bandar aux Etats-Unis, et d’après des sources du renseignement américain, une partie de ces fonds est allée aux insurgés wahabites. Ce que les enquêteurs du Département de la Justice devraient chercher à savoir c’est si ces fonds financent le MEK, qui sert aux plans de guerre de Cheney.

http://www.solidariteetprogres.org/spip/article-imprim.php3?id_article=3124

Ici ! boubi-sarkouzy, ana moulek !



Blair Dehors, Sarkozy Dedans ! Changement de Caniches !


"Alors que Tony Blair se dirige vers la Maison Royale pour retraités caniches de Bush, et voilà qu'arrive Nicolas Sarkozy, le pom pom tout hérissé et parfumé, se dressant sur la pointe des pieds pour chausser les délicates petites bottines canines de Tony."




Note de la traductrice: les parties en italique simple sont en français dans le texte original

Alors que Tony Blair se dirige vers la Maison Royale pour retraités caniches de Bush, et voilà qu'arrive Nicolas Sarkozy, le pom pom tout hérissé et parfumé, se dressant sur la pointe des pieds pour chausser les délicates petites bottines canines de Tony.

La différence c'est que les caniches (je crois) étant une race indigène française, nous allons avoir des aboiements encore plus frénétiques, même encore plus lâches, des tours de chien encore plus élaborés que nous n'avions eu jusque là avec Tony de la froide-Britannia (nom romain de la Grande Bretagne ndlt).

Les fanons des maîtres néo – fascistes à Washington doivent en baver des pleins seaux en pensant aux épreuves qu'ils vont faire passer à leur animal domestique :

Assis, Nico, assis ! Brave toutou ! Couchez Nico ! Bien ! N'est-il pas charmant ! Fais le mort Nico ! Fais le mort j'ai dit ! Brave toutou ! Tiens voilà ton nonos.

Youp, alors que nous nous apprêtons à larguer et punir les criminels odieux qui ont amené le déshonneur sur l'exécutif pendant ces six dernières années, les larbins mangeurs de fromage de la droite française ont décidé de commencer à les dorloter.

Une façon de se faire remarquer, laquais mangeurs de fromage. Toujours à l'avant-garde ! Toujours bien loin devant nous anglo-saxons progressifs, pesants, moches. De quel timing politique impeccable faites vous preuve ! Quelle logique cristalline !

Tellement, parfaitement logique de soutenir un enfant d'immigrés qui propose de réprimer, d'emprisonner et de déporter des enfants d'immigrés, dont les parents ont fréquemment été français depuis bien plus longtemps que les siens. Ouais, bien logique ! C'est être admirablement aveugle aux couleurs d'encourager à tirer la conclusion que cela doit être parce que les parents de Sarko (le gratin hongrois) sont blancs, tandis que les français sur lesquels ils crachent ne le sont pas.

A propos : combien indépendant, combien européen, combien libre de penser, combien troisième voie de la part de vous les français de voter pour un candidat dont l'appel, comme celui des trois derniers occupants républicains de la Maison Blanche, est, une fois que toutes les âneries fiscales et patriotiques ont été écartés, du racisme brut. Combien avant-gardiste de votre part, combien tourné vers le futur ! S'il vous plaît, s'il vous plaît, dés que vous aurez l'occasion, réprimandez nouspour notre racisme brut, pour notre traitement inhumain et nos attitudes à l'égard, disons, des immigrants. Nous pouvons apprendre de votre clarté de vision, O ! Larbins mangeurs de fromage, de votre pureté de motivation, de votre intégrité à nulle autre pareille.

Vive la République Sarkozienne ! Une République dans laquelle nos propres Républicains vont s'amuser comme des fous maintenant qu'ils ont un caniche en place. Les caniches après tout sont très intelligents. Très facile à dresser. Les droitistes rêvent déjà d'une «nouvelle révolution » (Un tel retournement de phrase ! Parce que les français ont déjà eu une révolution une fois avant, vous voyez, excepté que c'était le peuple contre la classe dirigeante et pas l'inverse, alors peut être que cela ne fonctionne pas trop bien… ? Eh bien, c'est pas grave !).

Dans le champ du jamais- jamais qui est la vision de la droite du futur de l'Europe, d'autres bavardent à en perdre haleine sur la fin du socialisme, (cela serait le socialisme qui a été depuis longtemps incorporé dans l'ADN de l'Europe). D'autres encore envisagent la fin de la semaine des 35 heures, ou la fin des syndicats, ou la fin de l'un des programme les meilleurs de système de santé mondial, et … Oh… Une douzaine d'autres fins de rêves fous. Non pas des choses que leur caniche a le moindre espoir de faire bientôt, mais qui s'en soucie ?

Rien de ce que les néo fascistes disent sur la France ou l'Europe n'a à voir avec la réalité actuelle de ces endroits. Cela a seulement à voir avec le fait qu'ils veulent augmenter leurs profits et par conséquent accroître leur influence et leur crédibilité dans ces Etats-Unis continentaux. Quand leur attention se tournera ailleurs parce que leur caniche n'aura pas pu disons, privatiser le système des chemins de fer français pour que leurs potes des multinationales puissent en tirer profits et avantages, ils perdront leur intérêt. Leur caniche sera botté dehors dans la nuit comme tous les autres caniches étrangers le sont plus tôt ou plus tard. (Hey ! Retour en arrière, même Saddam a été l'un de leurs caniches).

Mais bien sûr, le pauvre petit Nico ne sait pas…. Encore cela. Ne gâchons pas son moment de plaisir au soleil.

Assis, Nico, assis ! Brave toutou ! Couchez Nico ! Awwww-- N'est-il pas charmant ! Fais le mort Nico ! Brave toutou ! L'a compris dés la première fois, cette fois ! Bon petit toutou !

Tony Hendra 9 mai 2007

Source : http://www.huffingtonpost.com/tony-hendra/blair-out-sarkozy-in-
th_b_47891.html

Publié sur Axis Of Logic

Traduction Mireille Delamarre pour http://www.planetenonviolence.org/

Sans blague ! Sarkosy preparait un coup d'etat en Algerie !

L'Algérie, entre Alexandre "le gras", l'exégète, et Sarkozy le bref, le conquérant

Cette image d'intello bon teint, calme et maîtrisant bien ses sujets. C'est du moins, l'image que M. Alexandre Adler s'efforce en vain, de donner de lui-même. Pontifiant au gré des piges ou des enveloppes "mossadiques", ici, derrière le petit écran TV ou le micro de France-Culture, là, au fil des tribunes commanditées par Le Figaro ou autres feuilles sionistes. Un vrai magicien de l'esbroufe intellectuelle, cachant mal le mercenaire ordinaire de la propagande israélienne, chargé de "vendre" ici, du Sharon ou du Nethanyahou, là du Bush ou du Sarkozy, le "jockey" de Tel-Aviv à Paris. Un "jockey" très modestement comparé par M. Adler à Napoléon – rien que çà - dans son article intitulé "Avec l'Algérie, Sarkozy a rompu avec les courbettes", et publié ce vendredi 20 juillet 2007 dans le quotidien français Libération où il croit devoir affirmer avec son aplomb habituel:

"Avec l’Algérie, notre autre voisin immédiat, la fermeté mêlée au pragmatisme s’est révélée payante, bien davantage que les courbettes précédentes [...]" C'est à se demander si cet Alexandre "le gras" – se prenant pour le grand conquérant - n'aurait pas tout bêtement vécu une vie antérieure de gros cochon de colon, tenant le fouet et faisant suer le burnous dans les plaines de la Mitidja ! Eh bien non ! Mille fois non, mon pauvre gros monsieur ! L'Algérie n'est tout de même pas une république bananière et encore moins un pays "franchisé" à Israël par Paris interposé.
En juin 2005, après l'article retentissant de Mathias Reymond, paru sur Le Monde Diplomatique mettant à nu et d'une manière irréfutable, les terribles lacunes historico géographiques d'Alexandre Adler et ses dérives propagandistes sionistes, j'avais failli avoir la naïveté de croire que "cette fois-ci", M. Adler allait devoir sérieusement faire – au moins pour son propre compte -, une espèce de "repentance intellectuelle" et ne plus mentir, ni par ignorance ni par souci de manipulation. Or, il semblerait que non et qu'au contraire, "du moment que l'Elysée est à nous". On finira bien peut-être un jour, par apprendre de la bouche de cette nouvelle Cassandre, que M. Sarkozy descendrait en droite ligne de Pierre Deval, le Consul de France qui reçut le fameux coup d'éventail. A moins que ce ne soit de Charles X lui-même, le Roi truand qui partit à la conquête coloniale pour piller les caisses de la Régence, sous prétexte "d'apporter la civilisation aux barbares" Pardon ! On dit aujourd'hui les "pays émergeants", sans préciser de quoi.

Abdelkader Dehbi
21 juillet 2006

L'idée que Ben Laden est mort met la Maison Blanche sur la défensive


D'habitude obéissant, le corps de presse demande comment un homme moribond sur un dialyseur peut survivre depuis six ans dans les lointaines cavernes des collines pakistanaises


Prison Planet, par Paul Joseph Watson, le 19 juillet 2007


Fran Townsend, Conseillère du Homeland Security de la Maison Blanche, a été interrogée lors d'une conférence de presse plus avant cette semaine sur sa preuve qu'Oussama Ben Laden était toujours vivant, compte tenu qu'il a été gravement malade et en dialyse rénale tout en traversant le terrain accidenté de la région de la frontière pakistanaise. La réponse de Townsend a été de refuser de discuter du sujet et de partir immédiatement.


Journaliste : Fran, savez-vous si Oussama Ben Laden est toujours sur un dialyseur, est-il toujours malade ? Hein ? Je veux dire, que pouvez-vous nous dire à ce sujet ? Je veux dire, parce que -- ça peut paraître risible, mais les gens trouvent ça fort, six ans que cet homme malade, se déplace de caverne en caverne, et ne peut pas être retrouvé -- avec une machine à dialyse ?


Mme. Townsend : Avez-vous jamais été dans les régions tribales ? Je soupçonne que non.
Journaliste : Non, j'ai pas fait ça, mais j'ai vu quelques photos géniales de Ken Herman en ce qui concerne le terrain accidenté plus haut par-là. (Rire.)


Mme. Townsend : Ce n'est pas vraiment facile. Si c'était facile il serait mort.
Journaliste : Mais il n'est pas facile pour lui de voyager partout avec des médecins et des machines s'il est malade. Je veux dire, est-il -- savez-vous par vos renseignements s'il est toujours malade ? Que savez-vous de ça ?


Mme. Townsend : Je ne vais pas parler de cela.


Townsend s'est immédiatement mise sur la défensive avant de couper court à la conférence de presse en quittant la salle.


Fran Townsend, la conseillère du Homeland Security de la Maison Blanche, a refusé de parler de l'idée invraisemblable d'un Ben Laden toujours vivant et a quitté la conférence de presse juste après

D'après tous les indices disponibles, [les gens de] la Maison Blanche savent avec certitude, ou au moins soupçonnent fortement, que Ben Laden est mort et que c'est arrivé il y a de nombreuses années, mais ils ont choisi d'entretenir son mythe à des fins de propagande politique et [pour s'en servir] de clou pour punaiser le planning du programme impérial néo-conservateur. La réaction de Townsend à la question est une indication manifeste que l'administration Bush ne veut même pas être mêlée à une discussion sur ce sujet. L'hypothèse qu'il puisse être mort ne peut même pas être considérée parce que ça dépiauterait « Al-Qaeda » d'une grande partie de la menace que les néo-conservateurs ont besoin d'associer à ce groupe afin de maintenir les étasuniens apeurés et dociles.


Selon le journal français Le Figaro, Ben Laden a subi une dialyse de rein après avoir été envoyé dans sa base de Kandahar en Afghanistan en 2000. D'autres récits suggèrent qu'il souffrait aussi d'une hépatite C à l'époque et qu'il lui restait seulement deux ans à vivre.


Les journalistes ayant rencontré Ben Laden avant le 911 ont plus tard déclaré leur incrédulité sur le fait qu'il soit apparu en vidéo après décembre 2001 se vantant de ne pas avoir été capturé. Depuis cette époque, chaque cassette vidéo de Ben Laden diffusée contenait des messages confus non spécifiques et dans beaucoup de cas la séquence était ancienne et réchauffée. La « nouvelle » bande de Ben Laden laissée sortir le week-end dernier était diffusée pour la troisième fois, après l'avoir été en octobre 2001 puis passée à la télévision en mai 2002 avant d'être diffusée de nouveau en octobre 2003.


« Avec un ego de la taille du Mont Everest, Oussama Ben Laden ne serait pas n'aurait pas pu rester silencieux depuis si longtemps s'il était encore vivant. Il a toujours aimé s'attribuer le mérite pour même des trucs qui n'ont rien à faire avec lui. Il resterait silencieux pendant neuf mois et ne claironnerait pas sa propre survie ? » écrivait Amir Taheri du New York Times en juillet 2002.


Une très bonne raison du silence d'Osama après fin 2001 pourrait être qu'il est sans doute mort le 26 décembre de cette année-là, selon un rapport du Pakistani Observer, qui citait un officiel Taliban ayant déclaré que Ben Laden est mort suite à une complication pulmonaire non traitée, et qui a assisté à son enterrement.


De plus, une note secrète française qui a fui du service concluait l'année dernière que Ben Laden était mort de la typhoïde en août 2006. La note citait des sources du service secret saoudien qui était convaincu que Ben Laden était mort au Pakistan. [Chirac avait demandé une enquête et la mort de Ben Laden avait été ensuite démentie dans les médias. Cette affaire pouvait être une savante manœuvre pour faire croire que Ben Laden est toujours vivant car elle a jeté le discrédit sur les autres informations crédibles signalant sa mort. NDT]


« L'information recueillie par les Saoudiens indique que le meneur d'Al-Qaeda est tombé victime, alors qu'il était au Pakistan le 23 août 2006, d'un très grave cas de typhoïde qui a abouti à une paralysie partielle de ses organes internes, » déclarait la note française.

Il est intéressant de noter qu'en premier la rhétorique de l'administration Bush envers la possibilité de la mort de Ben Laden était franchement favorable. Les étasuniens toujours sous le choc et le deuil après le 911 exigeaient un bouc émissaire, alors que les néo-conservateurs voulait parvenir à un équilibre épineux -- entretenir la peur de nouvelles attaques terroristes tout en déplaçant l'attention vers la prochaine invasion de l'Irak. Insinuant que Ben Laden pouvait être déjà mort tout en déclarant l'Irak comme le nouveau front de la guerre contre la terreur adapté à la facture [du 911].


Un fonctionnaire de l'administration Bush a dit que d'après les renseignements US Ben Laden avait besoin d'une dialyse tous les trois jours et « il est assez évident que ça pourrait être un problème quand vous courez d'un endroit à l'autre [sans oublier de tirer la charrette contenant le dialyseur, NDT], et affrontez l'idée de devoir produire de l'électricité dans une planque de montagne, » a rapporté CNN.


Ainsi, puisque l'administration abordait de manière détendue la question de la mort de Ben Laden dans la période qui précédait la guerre en Irak, sa réaction étant maintenant de se mettre sur la défensive et de tenter d'éviter complètement la question, alors la réaction de Townsend est quelque chose à suivre, parce que maintenir le spectre d'Osama en arrière-plan est l'un des derniers faux espoirs restants auxquels se raccrochent les néo-conservateurs afin de justifier la présence continue en Irak tout en attisant les flammes de la paranoïa dans le pays.


Hamdan : les agendas américains et israéliens d’Abbas sont devenus clairs


Beyrouth – Centre Palestinien de l'Information :



Le représentant du mouvement Hamas au Liban, Oussama Hamdan, a condamné fortement les déclarations du président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, hier soir mercredi 18/7, lors de l’ouverture du conseil central de l’OLP en lançant une attaque contre le Hamas.


Hamdan a dit que le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a montré, à travers ses positions et déclarations qu’il n’est pas à la hauteur d'un président ni même d'un quelconque homme d’état, et qu'il est paru comme un chef d’une organisation qui ne possède aucun agenda national, mais des profits pernonnels seulement en personnalisant les questions.


Il a ajouté que ses termes bas et blessants ainsi que son ironie mordante en ne respectant ni les symbôles et leaders du peuple palestinien, ni les martyrs et hommes de la résistance, chose qui n'est pas comode et loin des coutumes des palestiniens ou même de l'usage, culture et langage coutumier des gens respéctés.


Hamdan a souligné également, lors d'une déclaration spéciale au Centre Palestinien d’Information que le président Abbas lance une campagne contre les leaders du peuple palestinien et ceux de la résistance palestinienne, au moment, où il exprime son désir de rencontrer les responsables israéliens qui agressent les palestinien, quotidiènnement.
Il a ajouté que ces mesures montrent aux palestiniens que le président Abbas exécutent des agendas américains et israéliens.


Au sujet de l’appel d’Abbas aux élections anticipées, Hamdan a précisé que cela représente un deuxième pas pris par Abbas pour démolir l’autorité palestinienne et le régime politique palestinien, après son premier pas en promulgant des décisions et décrets inconstitutionnels.
" Pour nous, le dialogue est le seul moyen pour mettre fin aux crises et différences palestiniennes internes et que le refus du dialogue entre les palestiniens représente un rejet au principe de la position d'entente palestinienne et l’unité nationale", a affirmé Hamdan.



Des fissures dans le sionisme

Un des mythes inventés par le lobby sioniste consiste à donner à accroire que les juifs, dans le monde entier, sont unanimes à soutenir Israël, quoi qu'il fasse. Ce n'est pas vrai, et ça n'a jamais été vrai. Le sionisme politique moderne, dont l'idéologie revendique un Etat juif peuplé d'une majorité juive, a été inventé par un journaliste autrichien, et il s'est démené en vain durant des décennies.


Par Charley Reese



Ce n’est pas le Bon Dieu, qui a créé l’Etat d’Israël. C’est le colonialisme britannique, les Etats-Unis, l’Union soviétique et les sionistes.Environ un tiers – seulement – des juifs ont choisi de vivre en Israël et, ce, en dépit de près d’un siècle d’efforts de propagande pour persuader les juifs d’y immigrer. Il y a eu beaucoup de contempteurs juifs du sionisme, dès ses débuts, et il y en a encore, malgré l’adoption par les sionistes contemporains de tactiques fascistes afin d’étouffer tout débat.




Joel Beinin, un juif libéral, qui s’est trouvé en butte à cette campagne visant à réduire au silence les adversaires d’Israël, a déclaré ce qui suit, dans un article récemment repris par le site ouèbe Znet :« Des organisations prétendant représenter les juifs américains sont en train de se livrer à une campagne systématique de diffamations, de censure et de fomentation de la haine, afin de réduire au silence toute critique visant la politique d’Israël. Ils évident la tradition juive de son noyau étique, et se comportent comme si le devoir suprême d’un juif était de défendre Israël, qu’il ait tort ou qu’il ait raison.




« Pourquoi discréditer, diffamer et faire taire ceux qui ont des avis différents ? Je pense que c’est parce que le lobby sioniste sait pertinemment qu’il ne saurait l’emporter en se basant uniquement sur les données de faits. Un débat honnête ne saurait aboutir qu’à une unique conclusion : le statu quo, dans lequel Israël affirme être seul à avoir des droits et a la ferme intention de dicter ses volontés aux Palestiniens, infiniment plus faibles, en les dépossédant de manière permanente de leur territoire, de leurs ressources et de leurs droits, ne saurait conduire à une quelconque paix durable.




« Nous avons besoin d’un débat ouvert, et de la liberté de discuter de faits dérangeants et d’explorer tout un éventail d’options politiques possibles. Ce n’est qu’alors que nous pourrons adopter une politique étrangère qui serve véritablement les intérêts américains. »Avigail Abarbanel, une juive née en Israël, qui a vécu vingt-sept ans dans ce pays avant d’en émigrer, a tenu, quant à elle, des propos encore plus tranchants :« Les citoyens palestiniens d’Israël vivent dans un Etat policier arbitraire et brutal. Leurs déboires avec la bureaucratie israélienne sont non seulement frustrants, mais ils peuvent parfois être extrêmement dangereux."Les Palestiniens des territoires occupés vivent sous un régime à la Pinochet. Ils peuvent disparaître – ils disparaissent, parfois – au beau milieu de la nuit. On leur bande les yeux, on les menotte, on les tabasse, on les humilie, on les emmène vers des destinations inconnues sans leur donner la moindre information, ni à eux, ni à leur famille, on les torture physiquement et psychologiquement, et on les emprisonne sine die, souvent sans procès et sans s’enquérir de savoir s’ils ont commis le moindre délit."Israël n’est pas un pays sympa.




C’est un puissant Etat policier, fondé sur une paranoïa pathologique recouverte d’une mince couche de vernis de civilité, astucieusement composé et entretenu à l’usage de ceux qui s’entêtent à croire à la "démocratie israélienne", qui n’est qu’un mythe.""Ne vous gênez pas pour envoyer ce dernier paragraphe au prochain politicien que vous entendrez répéter comme un perroquet la propagande de l’Aipac [American Israel Public Affairs Committee], selon laquelle « Israël est (entendre : serait) la seule démocratie au Moyen-Orient."Mme Abarbanel est psychothérapeute. Son article a été publié par le site ouèbe ElectronicIntifada.net, que je vous recommande vivement, car c’est une excellente source d’informations sur le Moyen-Orient.L’Amérique a grand besoin d’un débat franc et ouvert, basé sur des faits, exempt de noms d’oiseaux. Nos politiciens sont aussi timides que des enfants introvertis, dès lors qu’il est question d’Israël.




Le lobby sioniste se vante d’avoir dézingué des candidats dès lors que ceux-ci ne suivaient pas la ligne du parti imposée par les partisans inconditionnels d’Israël. Aux hommes politiciens qui ne sont pas totalement des poules mouillées, je file le tuyau suivant : la seule façon de traiter ce problème, c’est de faire de l’Aipac un des points du débat, dans les campagnes électorales.A l’heure où j’écris ceci, un groupe de dirigeants sionistes est réuni, en Israël, inquiets de la montée des critiques à leur encontre, motivées par le fait qu’ils étouffent dans l’œuf tout débat. Ces gens ne sont pas invincibles. Ils ne peuvent, en réalité, réduire au silence les Américains, dès lors que ceux-ci cesseraient d’être terrorisés à l’idée de se voir traité de tous les noms.





Enfant, j’ai appris que des bâtons et des pierres peuvent briser vos os, mais que de simples mots ne sauraient vous atteindre.Lire "Ce que le mot " Paix " signifie, en réalité, pour les Israéliens", par Avigail Abarbanel, 07.12.2005.

Source : Antiwar Traduction : Marcel Charbonnier

Le nouveau président d’Israël : un criminel de guerre par excellence


Par Khaled Amayreh,


Pour beaucoup en Occident, le nouveau président d’Israël, Shimon Peres, est un homme d’Etat respectable et un homme de paix. Pourtant, en réalité, Peres est un raciste répugnant et un criminel de guerre qui a des flots de sang innocent sur les mains.
SZYMON PERES


En 1993, Peres a acquis une image d’homme de paix pour son rôle dans la conclusion de la Déclaration de Principes, plus connue sous le nom d’Accords d’Oslo, avec l’Organisation de Libération de la Palestine (PLO).


L’accord fondamentalement vague, que l’OLP et Israël ont interprété différemment, et même de façon contradictoire, a permis à Israël d’imposer sa propre interprétation et, en conséquence, de consolider son contrôle serré de tous les aspects de la vie palestinienne sous la rubrique décevante de la paix.


Et lorsque feu le dirigeant palestinien Yasser Arafat a dit à son peuple, au milieu des années 90, que l’Accord mènerait finalement à la création d’un Etat palestinien avec Jérusalem Est comme capitale, Peres a fait remarqué, de façon sarcastique : "Je ne peux pas poster un garde sur les lèvres d’Arafat."


Peres, né Szymon Perski à Vishniova, Belarus, en 1923, a une longue histoire au service de la funeste entreprise sioniste en Palestine.


Au milieu des années 1950, il a introduit l’armement nucléaire au Moyen Orient lorsqu’il a signé un accord secret avec le gouvernement français, selon lequel la France s’engageait à fournir à Israël le réacteur de Dimona, dans le but explicite de développer un arsenal de bombes et têtes nucléaires.


L’accord faisait partie d’un marché plus large selon lequel Israël achèterait également à la France les avions de guerre Mirage de Dassault, qu’Israël a ensuite utilisé pendant la guerre contre les Etats arabes en 1967.


Peres, qui fut un protégé de David Ben Gourion et une figure importante du Mapai, prédécesseur du Parti Travailliste, a conspiré avec la France et la Grande-Bretage pour lancer l’invasion tripartite (Angleterre - France -Israël) de l’Egypte, pour renverser le président égyptien Gamal Abdul Naser. Ce qui a permis à Israël de lancer une agression flagrante sur l’Egypte et occuper la Péninsule du Sinaï.


A la suite de l’occupation de la Cisjordanie, Peres a soutenu avec enthousiasme une campagne extrêmement agressive des colons juifs talmudiques, connue sous le nom de Gush Emunim, pour voler la terre palestinienne et construire des colonies pour juifs seulement.


Le but de ce vol de terre à grande échelle était double :


. bâtir une colonie juive près de chaque ville et village arabe, de manière à ce que les colons messianiques harcèlent les palestiniens indigènes et les fassent fuir,


créer d’irréversibles "faits accomplis" en Cisjordanie pour qu’il soit impossible, pour tout futur gouvernement israélien, de les retirer des territoires occupés.


La criminalité et la cruauté de Peres a atteint son summum en 1996 lorsqu’en tant que Premier Ministre, il a ordonné à l’armée israélienne, la Wehrmacht juive, de bombarder les forces de maintien de la paix des Nations Unies, dans le village de Qana, où des centaines de civils libanais avaient cherché refuge contre les bombardements indiscriminés israéliens des villages et hameaux libanais, au sud Liban.


Les bombardements, au cours duquel de lourdes pièces d’artillerie ont été utilisées, a tué au moins 101 enfants et femmes, et blessé et mutilé beaucoup d’autres.


Les écrans de télévision partout dans le monde, sauf probablement dans les médias américains contrôlés par les sionistes, ont montré des images horribles, fantasmagoriques, d’enfants décapités et de civils innocents en morceaux.


Les officiels des Nations Unies au sud Liban ont attesté solennellement que le bombardement gratuit avait été lancé en toute connaissance de cause et délibérément, étant donné le fait que le site était signalé de façon claire et visible.


De plus, un rapport plus complet diffusé ensuite au siège des Nations Unies à New-York a dit très clairement que "le bombardement était une action délibérée".

PERES OU OLMERT, ENTRE CRIMINELS ON SE COMPREND


Comme d’habitude, Israël et son allié-gardien les Etats Unis ont contesté le rapport et ont déclaré que les atrocités étaient "un dommage collatéral" et avaient eu lieu "par erreur".


Il est intéressant de voir que jusqu’à aujourd’hui, ni le gouvernement israélien, ni "Monsieur Paix" (Shimon Peres) n’ont présenté leurs excuses pour le massacre de Qana.


Loin de s’excuser, l’armée israélienne a exécuté un autre massacre à Kfar Qana, l’année dernière, au cours de sa campagne génocidaire contre le Liban, qui a également vu le largage de 3 à 4 millions de bombes à fragmentation partout dans le pays. Presque chaque jour, un enfant ou un fermier ou un berger libanais est tué ou blessé par celles qui n’avaient pas encore explosé.
Au cours des quelques années passées, Peres a agi comme un défenseur éloquent mais absolument mensonger et apologiste du comportement néo-nazi d’Israël contre les Palestiniens.
Lors de ses fréquentes apparitions à la télévision, Peres a défendu tous les crimes israéliens en Cisjordanie, dans la Bande de Gaza et au Sud Liban.


Peres, qui a partagé le Prix Nobel de la Paix avec Yitzhak Rabin et Yasser Arafat en 1995, grâce à la dégénérescence morale de notre monde, a défendu le vol de terre du "Mur de Séparation" construit sur la terre palestinienne volée en Cisjordanie.


Il a défendu la politique israélienne d’exécutions extra-judiciaires des résistants palestiniens, comme la pratique affreuse d’extermination de familles entières de politiciens et combattants palestiniens, comme les familles Abu Queik et Khail al Hayya (voir "Les Juifs ont commis un holocauste contre ma famille", http://www.thepeoplesvoice.com/)


Bien sur, contrairement à d’autres menteurs sionistes professionnels, Peres cherche toujours à améliorer sa défense de l’indéfendable avec de jolies petites phrases et des sentiments qui sonnent humains de chagrin et de regret. Malheureusement, la supercherie vide et insincère peut marcher, en particulier auprès des présentateurs vedettes ou des interviewers crédules et/ou ignorants, qui vont rarement au-delà des causettes sympa, craignant de s’attirer le mécontentement des sionistes.


Après chaque atrocité sur les enfants palestiniens ou libanais, Peres clame que "La paix ne sera en vue que lorsque les Arabes apprendront à aimer leurs enfants plus qu’ils ne haïssent les Juifs".


De tels arguties ne sont que la continuation de l’infâme déclaration de Golda Meir : "Les Juifs peuvent pardonner aux Arabes pour le meurtre de leurs enfants, mais nous ne leur pardonnerons pas de nous obliger à tuer leurs enfants."


Tous les criminels de masse essaient de masquer leurs crimes.


Les Nazis ont probablement dit des choses semblables pour justifier leurs actions de génocide.
Ca ne veut d’ailleurs rien dire parce que l’important n’est pas ce que les criminels, que ce soient les Juifs en Cisjordanie ou les Allemands dans le Ghetto de Varsovie en 1944, disent, mais ce qu’ils font.


En bref, Peres, qui va devenir Président d’Israël et succéder à Moshe Katsav en disgrâce, n’est rien d’autre qu’un criminel de guerre et un tueur d’enfant. Le fait qu’il soit reçu avec respect, et même probablement avec quelque admiration dans le monde, n’y change rien.


Source : Maan News
http://www.maannews.net/en/index.php ?opr=ShowDetails&ID=22944
Traduction : MR pour ISM


Source :
http://www.ism-france.org/news/article.php ?id=6971&type=analyse&lesujet=Sionisme

Al Qaïda sert de prétexte au renforcement des mesures anti-terroristes, en Grande Bretagne


NDLR : Gordon Brown is a mossad terrorist agent !


This morning I had the visit of a terrorist team of the MI5. Brown, this is very unprofessional ! I am sure that the russian are appreciating all the information regarding the terrorist attack, british MI6 led in the school Beslan in september 2005. Brown what did these children done to you ? Let's see now who is going to silence who ? This site is monitored, I had been told thiss morning. Brown you are an Al Qaida puppet, I am challenging you and all your services ! Let's see now how you are going to handle the attack on Beslan !



Les menaces d'Al Qaïda servent de prétexte au renforcement des lois anti-terroristes, en Grande Bretagne. Un haut responsable de la police anglaise, Ken Jones, a proposé des gardes à vue illimitées pour les suspects de terrorisme. Sous la primature de Tony Blair, la justice anglaise était autorisée à prolonger les gardes à vue des suspects de terrorisme jusqu'à 90 jours.

Cette mesure a été un des facteurs du revers de Tony Blair aux législatives. Finalement, le gouvernement a été contraint de rabaisser ce délai à 28 jours. Avec l'arrivée de Gordon Brown au 10 de Downing Street, de nouveaux projets de loi anti-terroristes ont été évoqués au Ministère britannique de l'intérieur. L'"Indenpendent" écrivait, à ce propos, qu'en raison des menaces terroristes grandissantes, les ministres du cabinet de Gordon Brown sont en faveur de la prolongation de la durée des gardes à vue pour les suspects de terrorisme. Selon le quotidien, les noms de 4.000 sympathisants d'Al Qaïda figurent sur une liste dressée par les services de renseignements anglais.


Les associations de défense des Droits de l'homme et des droits civiques, ainsi que l'opposition, ont protesté contre les décisions du gouvernement de Gordon Brown, estimant que ces mesures restreindraient les libertés individuelles et violeraient les Droits de l'homme. Au cours de ces dernières années, plus précisément, depuis que Washington a lancé la vague dite la lutte anti-terroriste, les minorités ethniques et religieuses subissent de nombreuses pressions en Europe et aux Etats-Unis. De nombreuses organisations internationales pour la défense des Droits de l'homme reconnaissent que, depuis les événements du 11 septembre, les droits les plus élémentaires des Musulmans sont bafoués aux Etats-Unis et en Europe. Il y a quelque temps, le représentant du Secrétaire général de l'ONU pour les affaires des minorités a annoncé que le gouvernement britannique faisait subir d'énormes pressions aux Musulmans, sous prétexte de lutter contre les terroristes.


La coalition de la lutte anti-terroriste, dirigée, par les Etats-Unis, disent les commentateurs, ne fait qu'encourager les activités terroristes sur la scène internationale. Le bilan de la Maison Blanche et de ses alliés, en Irak et en Afghanistan, prouve que les Etats occidentaux ont échoué dans cette entreprise, car, en matière de lutte contre le terrorisme, l'administration Bush a adopté une politique dualiste, dont l'exemple le plus flagrant se reflète dans les actes terroristes du régime sioniste contre le peuple palestinien, actes, qui sont passés sous silence par les Etats-Unis.



Ben Laden a découvert la formule secrète arrêtant le cours du vieillissement


Durant ses loisirs entre arpenter la région montagneuse de la frontière pakistanaise et disparaître dans des cavernes, Oussama Ben Laden a miraculeusement trouvé le temps de développer une formule scientifique secrète qui arrête complètement le processus du vieillissement ! Vous ne le croyez pas ? Regardez les photos, Osama n'a pas vieilli d'un jour depuis 2001 !

Regarder les motifs grisés dans sa barbe ! Osama guère plus âgé d'un jour ! En tout cas, il semble plus jeunes six ans après !

Comparer le aux B&B Brothers, qui n'ont évidemment pas eu accès à la remarquable découverte de Ben Laden et qui ont mal vieilli.


Ne vous laissez pas aller à la haine paranoïde d'une folle théorie de conspiration en pensant que la nouvelle bande de Ben Laden diffusée par les néo-conservateurs est juste un bricolage à partir de vieilles vidéos pour justifier la « fixation sur le terrain » en Irak six mois après l'échec de la [fameuse] poussée [de Bush] !


En réalité, Osama a réalisé une percée scientifique étonnante [surtout qu'il a rajeuni après avoir ressuscité, NDT] et doit être capturé immédiatement de sorte que le monde entier puisse bénéficier des avantages de la jeunesse éternelle !
Original : http://www.prisonplanet.com/articles/july2007/160707secretformula.htm
Traduction de Pétrus Lombard pour Alter Info

Massacre à la Mosquée rouge : la « guerre au terrorisme » de Washington ébranle le Pakistan

Le siège de Lal Masjid, ou Mosquée rouge, d'Islamabad par l'armée pakistanaise s'est terminé brutalement mardi dernier dans de violents combats qui ont coûté la vie à de nombreuses personnes. Citant des sources au sein de l'armée pakistanaise, le réseau de télévision Dawn News avait rapporté mardi en fin de journée, alors que les combats se poursuivaient, que 88 civils et 12 commandos de l'armée avaient été tués.
Il était cependant impossible à ce moment de déterminer avec exactitude le nombre de morts. Un porte-parole de l'armée, le major général Waheed Arshad, n'a pas voulu donner un décompte précis, affirmant sans mâcher ses mots : « Nous ramasserons les corps lorsque l'opération sera complétée. » On croit que de nombreuses victimes seraient de jeunes étudiants de la madrassa, venant de familles pauvres et des régions déchirées par les conflits comme le Cachemire et la province de la frontière du Nord-Ouest. Pendant que la mosquée était assiégée, des gens très agités se rassemblaient aux coins des rues, à l'extérieur des barricades de fils barbelés érigées par l'armée, espérant des nouvelles de leurs enfants ou de membres de leur famille coincés à l'intérieur. « Il reçoit de l'argent pour chaque étudiant des Etats-Unis, de l'Europe et d'ailleurs », a affirmé Badshah Rehman, dont les deux fils étaient à l'intérieur de la mosquée, parlant du dictateur militaire du Pakistan soutenu par les Etats-Unis, le général Pervez Musharraf. « Il a tué nos enfants pour de l'argent », a-t-il déclaré à l'agence de presse Reuters, poursuivant sa vigile avec d'autres parents.
Mardi, dès le début de la matinée, Islamabad fut secoué par une série d'explosions et de tirs nourris d'armes automatiques. La mosquée assiégée est située au centre de la ville et les combats se sont déroulés à proximité d'édifices gouvernementaux et de quartiers résidentiels où demeurent des représentants de l'Etat. La majeure partie de la capitale pakistanaise était soumise à un couvre-feu, ses habitants n'ayant pas le droit de circuler dans les rues. Certains reportages faisaient mention de civils ayant été touchés par des balles perdues à près d'un kilomètre de la mosquée.
L'opération fut exécutée par plusieurs milliers de soldats pakistanais. Selon certains reportages, Musharraf aurait personnellement coordonné l'attaque, qui était dirigée par un commando d'élite qui avait été précédemment sous ses ordres. Le fait que les combats se poursuivaient toujours, 17 heures après le début de l'assaut, témoignait de la ténacité de la résistance. Les soldats et les policiers pakistanais gardèrent les médias loin de la mosquée et interdirent l'accès aux hôpitaux dans le but de contrôler l'information sur les morts et les blessés, qui pourrait s'avérer encore plus horrible que ce qui a été rapporté jusqu'ici. On menaça même d'abattre les journalistes qui tentaient de franchir ce périmètre. Parmi ceux qui ont été tués à la mosquée de Lal Masjid se trouvait son recteur Abdul Rasheed Ghazi. Le porte-parole du ministère de l'Intérieur, le brigadier Javed Cheema, a déclaré à la presse pakistanaise qu'il avait trouvé ce dernier barricadé au sous-sol de la mosquée en compagnie de femmes et d'enfants. Le brigadier a soutenu que, après que les militants eurent fait feu sur les troupes, « Les soldats répliquèrent et il fut tué dans les affrontements. »
On ne sait pas ce qui est advenu des femmes et des enfants qui étaient avec Ghazi, mais en appelant d'un téléphone cellulaire à l'intérieur de la mosquée, un homme rapporta qu'il y avait « des cadavres partout » et que la mère de Ghazi avait été tuée. L'armée et le gouvernement qualifiaient couramment les femmes et les enfants se trouvant dans l'enceinte de « boucliers humains », mettant ainsi leur mort sur le compte des chefs de la mosquée. Ces derniers ont toutefois insisté que ceux qui étaient demeurés dans l'enceinte l'avaient fait volontairement. Le massacre fut ordonné par Musharraf afin, semble-t-il, d'apaiser les demandes de Washington pour des mesures plus drastiques contre les forces islamiques radicales et pour contenir l'effondrement de sa propre position politique au Pakistan. Cependant, il y a fort à parier que cette violente attaque contre la mosquée et les nombreuses morts déstabilisera encore plus le Pakistan et pourrait ne s'avérer que la première bataille d'une guerre civile. Des centaines de supporters armés des assiégés de la mosquée ont bloqué l'autoroute stratégique de Karakorum dans l'Himalaya, une route commerciale clé entre le Pakistan et la Chine. Les manifestants, beaucoup d'entre eux des étudiants de madrassas locales, ont juré de mener une djihad contre le régime de Musharraf.
Lundi dans la région du Bajaur dans la province de la frontière du Nord-Ouest, à la veille de l'attaque contre la mosquée, 20.000 membres de tribus, dont plusieurs avec des fusils d'assaut, ont manifesté dans les rues en opposition au siège de la mosquée, scandant « Mort à Musharraf ! » et « Mort aux Etats-Unis ! » Selon les reportages de la presse, le régime pakistanais avait déployé une division d'environ 20.000 soldats dans la région agitée, qui borde l'Afghanistan. Les forces d'occupation en Afghanistan, menées par les Etats-Unis, ont procédé à des tirs de missiles sur des cibles dans la région, causant ainsi de nombreux morts, et ont exigé d'Islamabad la permission de mener des opérations de « poursuite » au-delà de la frontière jusque dans le Bajaur et dans d'autres régions du nord-ouest. L'intensification d'une crise entre le régime de Musharraf et les forces islamiques pourrait fournir le prétexte nécessaire à une intervention majeure des Etats-Unis au Pakistan. Un porte-parole du département d'Etat a indiqué que Washington approuvait ce massacre. « Le gouvernement du Pakistan a agi de manière responsable », a-t-il déclaré.
« Tous les gouvernements ont la responsabilité de maintenir l'ordre. » Negroponte livre son message À la veille de la bataille, l'ambassadeur américain aux Nations Unies, John Negroponte, qui avait visité Islamabad le moins dernier, déclara lors d'un interview à Voice of America : « C'est une question qui je crois doit être réglée par le gouvernement et les autorités, y compris les représentants des forces de sécurité du gouvernement pakistanais. Ce n'est pas à nous de le dire. Nous allons donc respecter la décision prise par le gouvernement du Pakistan, quelle qu'elle soit. » Negroponte, un vétéran d'un nombre considérable de massacres organisés par les États-Unis, de l'Amérique centrale à l'Irak, était excessivement modeste. Il ne fait aucun doute que sa discussion avec Musharraf et les autres officiels pakistanais contenait un ultimatum de Washington qu'il termine le travail contre les islamistes. Le Président Bush, lors d'une apparition à Cleveland mardi, a clairement endossé le massacre à Islamabad. « Je l'aime et je l'apprécie, » a dit Bush à propos du dictateur Musharraf, le décrivant comme « un allié fort dans la guerre contre ces extrémistes. »
Le fait que ces « extrémistes » soient en large mesure le sous-produit de la politique poursuivie par Washington et par ses alliés dans la région, dont le régime militaire pakistanais, est passé sous silence. La tension entre la mosquée et le gouvernement Musharraf est devenue de plus en plus aiguë dans les derniers mois en raison, d'une part, d'une campagne gouvernementale pour s'approprier des terrains supposément occupés illégalement par les mosquées, et d'autre part, d'une escalade des demandes soulevées par les islamistes pour que la charia soit imposée dans la capitale et à travers le pays. Les étudiants de la mosquée rouge menaient une campagne pour établir leur propre vigile, attaquant des magasins qui vendaient des DVD et des cassettes vidéo et, dans un incident largement couvert le mois dernier, enlevant un groupe chinois d'un salon de massage. Cet épisode a provoqué des protestations à Pékin ainsi que la colère du gouvernement pakistanais, qui compte la Chine parmi ses partenaires commerciaux et alliés les plus proches. Mais ces relations n'ont pas toujours été aussi empoisonnées. Ce n'est pas par hasard que le centre principal de la mosquée se trouve à quelques coins de rue seulement des quartiers généraux des services de renseignement militaires pakistanais, le ISI. Durant plusieurs années, Lal Masjud était virtuellement une mosquée gouvernementale, profitant du patronage des dirigeants militaires successifs, à commencer par Ayud Khan il y a plus de 40 ans. C'est sous le dernier dictateur militaire, Zia ul Haq, que la mosquée a commencé à être étroitement impliquée dans la politique alors poursuivie par le régime pakistanais et les États-Unis dans la région. Elle servit de base idéologique et matérielle significative aux combattants moudjahidin luttant contre l'Union soviétique en Afghanistan.
En retour, Zia accorda l'exclusivité immobilière à l'endroit même où se sont déroulés les combats d'hier. Maulana Abdullah, le clerc musulman qui a dirigé la mosquée pendant des décennies, a été assassiné en 1998. Ses fils – Abdul Aziz, maintenant sous garde policière, et Abdul Rashid, tué lors de l'Assaut – prirent en charge Lal Masjid, maintenant des liens étroits avec les successeurs des moudjahidin, y compris les talibans afghans et Al Qaïda – une relation qu'ils partageaient avec le régime pakistanais et le ISI. Les relations entre la mosquée et Musharraf se détériorèrent après septembre 2001, lorsque le dirigeant pakistanais appuya l'invasion américaine de l'Afghanistan et le renversement du régime des talibans. Cependant, malgré leurs dénonciations de ses politiques, Musharraf traitait les islamistes avec une relative tolérance, les voyant comme un contre-poids à l'opposition venant de la gauche. Il ne fait pas de doute que le dictateur pakistanais a pris une décision politique calculée en mettant fin au siège de Lal Masjid par un bain de sang. Dans les premières heures de mardi, une équipe de négociateurs de haut niveau dirigée par Chaudhry Shujaat Hussein, un ancien premier ministre et dirigeant de la Ligue musulmane du Pakistan, avait préparé une entente pour l'évacuation de la mosquée. Cependant, lorsque le document a été présenté à Musharraf, celui-ci révisa presque tous les termes de l'entente, la rendant caduque. Peu de temps après, l'attaque de la mosquée commençait.
Si le besoin de rentrer dans les bonnes grâces de Washington était sans doute un facteur décisif dans les calculs de Musharraf, un autre était la crise politique profonde qui frappe son régime. Les soulèvements populaires déclenchés par son limogeage du juge en chef du Pakistan, Chaudhry Iftikhar, avaient entraîné des critiques acerbes de son gouvernement et un questionnement sur sa capacité de rester au pouvoir, particulièrement au sein de l'establishment politique et médiatique américain. L'effusion de sang à Lal Masjid a changé la teneur du débat politique, Musharraf étant maintenant présenté comme un allié clé dans la « guerre à la terreur ». On spécule aussi qu'il pourrait utiliser le siège et les soulèvements qui devraient s'ensuivre comme un prétexte pour imposer un nouvel état d'urgence, contournant ainsi les élections présidentielles et parlementaires prévues dans les prochains mois. Musharraf peut tenter de procéder à un tel coup en alliance avec le Parti populaire du Pakistan (PPP) de Benazir Bhutto, qui a indiqué être prêt à faire cause commune avec le chef militaire au nom du maintien du sécularisme contre les islamistes.
Le quotidien pakistanais Dawn a noté mardi que le PPP avait presque fait dérailler l'adoption d'une déclaration commune lors d'une conférence regroupant plusieurs partis, tenue par l'opposition pakistanaise à Londres le week-end dernier. Alors que d'autres partis avaient prôné la démission en masse de leurs membres des assemblées législatives nationales et provinciales existantes si Musharraf essayait d'utiliser ces organes pour se donner un autre mandat sans élection, « le PPP, qu'on croit déjà en négociations secrètes avec le gouvernement, ne voulait pas s'engager à ce que ses parlementaires quittent les assemblées, comme les autres partis sont apparemment déterminés à faire si le général-président va de l'avant avec ses plans », a fait savoir le journal. Quel que soit l'arrangement que pourraient concocter les factions rivales de l'élite pakistanaise, le massacre de Lal Masjid est un autre signe de la profonde instabilité de toutes les institutions politiques du pays et de la menace montante qu'un important « allié dans la guerre à la terreur » de Washingtion sera plongé dans une crise révolutionnaire.
(Article original anglais paru le 11 juillet 2007) wsws.org

Avigdor Lieberman affirme que les Etats-Unis et l’Europe appuieront des frappes Israéliennes contre l’Iran

14 juilllet 2007 (LPAC) - Le ministre israélien des affaires stratégiques Avigdor Lieberman affirme que les Etats-Unis et l’Europe ont donné le feu vert à Israël pour attaquer l’Iran. Selon un rapport de la Jewish Telegraph Agency, Lieberman est revenu d’une visite au quartier général de l’OTAN à Bruxelles il y a deux semaines, avec l’impression que les puissances occidentales n’ont pas l’intention d’utiliser la force militaire pour mettre un terme au programme nucléaire iranien.

Selon Lieberman, un responsable de l’OTAN lui aurait confié « On [l’OTAN] est coincé en Afghanistan, et les troupes européennes et américaines s’engloutissent dans le marécage irakien, ce qui empêchera les dirigeants européens et américains de décider l’emploi de la force pour détruire les installations nucléaires iraniennes, »« Ainsi, avant la tombée du soir, Israël sera obligé d’écarter la menace nucléaire iranienne avec les moyens dont elle dispose, et elle ne pourra pas compter sur une coopération internationale. »

Newsmax.com, un site d’info très à droite était encore plus provocateur. Il citait Lieberman affirmant le 13 juillet que si Israël lance des frappes contre l’Iran par elle-même, alors « l’Europe et les Etats-Unis nous soutiendront. »

Ancien membre du Likoud, Lieberman dirige le parti nationaliste de droite Israel Beitenou, qui plaide pour le départ des palestiniens d’Israël ainsi que celui des juifs arabes, leur présence étant considérée comme une menace pour « le caractère juif de l’état. »

Sans commenter directement sur les citations attribuées à Lieberman, Ynet.com rapporte qu’il a précisé devant la Knesset le 11 juillet qu’Israël compte finaliser ses préparations pour s’occuper de l’Iran dans un futur proche. « L’état d’Israël doit prendre en compte qu’il devra se charger tout seul [de l’Iran] » disait-il.

Bush aux aboies !

Hamas : L’appel menteur de Bush démasque les leaders de l’autorité palestinienne

Gaza – CPI

Le mouvement de la résistance islamique (Hamas) a affirmé que les déclarations lancées, hier soir, le lundi 16/7, par le président des Etats-Unis, George W. Bush, viennent dans le cadre de la campagne américaine pour soutenir le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, contre la légitimité palestinienne dirigée par le mouvement du Hamas.

Le porte-parole du mouvement du Hamas, Dr. Sami Abou Zouhri, a dit que les promesses du président américain Bush sont fausses au sujet de la création d’un état palestinien, et que ces déclarations n'ont été données que pour tromper l’opinion générale et surtout les Palestiniens.
En riposte à l’appel de Bush, Abou Zouhri a renouvelé, aujourd’hui, le mardi 17/7, dans une déclaration de presse dont le Centre Palestinien d’Information a reçu une copie, le refus du mouvement du Hamas de reconnaître l’état de l’occupation israélienne ou de renoncer à la résistance.

Il a également annoncé que le Hamas refuse les menaces de Bush qui n’effrayent pas le mouvement du Hamas, ni ne le poussent à changer ses positions, en soulignant que le Hamas va poursuivre son rôle de résistance contre l’occupation et contre les projets américains et occidentaux qui visent à frapper le mouvement ainsi que le projet national de résistance.
Abou Zouhri a affirmé que les déclarations de Bush démasquent les positions de la direction de l’autorité palestinienne qui a accepté de faire partie du projet israélo-américain contre le peuple palestinien en disant que toutes ces parties ne pourront jamais frapper la volonté de notre peuple palestinien qui est attaché à ses droits et principes en poursuivant son projet de résistance jusqu'à la fin de l’occupation.

Le mouvement du Hamas a appelé la nation arabe et musulmane à soutenir la question palestinienne et à faire face à la campagne des croisés dirigée par Bush contre les Palestiniens et il a souligné que les gouvernements arabes doivent se relever pour faire face à ces défis qui prennent en cible la nation arabe et islamique, ainsi que le peuple palestinien.

De son côté, le vice-président du bloc parlementaire "changement et réforme" qui appartient au mouvement du Hamas, Dr. Yahia Moussa, a minimisé l’importance de l’appel du président américain, George Bush, à un congrès international en affirmant que la question palestinienne n’a pas besoin de congrès, mais d’un désir réel en pratiquant des pressions contre l’occupation israélienne et en exécutant les décisions de l'ONU qui appellent à la fin de l’occupation et à la création d’un état palestinien indépendant.

Il a appelé l’administration américaine à mettre réellement un terme à l’occupation, sans donner des promesses médiatiques seulement.

Moussa a fortement condamné l’appel de Bush à l'isolement du mouvement du Hamas en soulignant les pratiques agressives des Américains contre le peuple palestinien, voulant le punir pour son choix démocratique.


TE Lawrence avait vu juste à propos de l'Irak


Par Robert Fisk


The Independent,


le 14 juillet 2007



"Pour mener une rébellion, 2% agissants et 98% sympathisants passifs suffisent", Thomas Edward Lawrence, dit Lawrence d'Arabie...


En 1929, Lawrence d'Arabie écrivait la définition de "guérilla" pour la 14ème édition de l'Encyclopaedia Britannica. C'est une lecture effrayante - et j'en profite pour remercier l'un de mes lecteurs préférés, Peter Metcalfe de Stevenage, de m'avoir envoyé ce morceau choisi de TE - parce qu'il contient un message vraiment épouvantable pour les troupes américaines en Irak.
Ecrivant sur la résistance arabe à l'occupation turque dans la guerre de 14-18, [Lawrence d'Arabie] pose une question sur les insurgés (en Irak et ailleurs) : "… supposez qu'ils soient une influence, une chose invulnérable, intangible, sans avant et sans arrière, se répandant comme du gaz ? Les armées étaient comme des plantes, immobiles dans leur ensemble, bien enracinées, nourries à travers de longues tiges jusqu'à la tête.


Les Arabes pourraient être un fluide…"Comme il est typique de Lawrence d'utiliser l'horreur de la guerre chimique comme métaphore de l'insurrection ! Pour contrôler la terre qu'ils occupaient, poursuivait-il, les Turques "auraient eu besoin d'un poste fortifié tous les trois km² ; et, un poste ne pouvait pas compter moins de 20 hommes.


Les Turques auraient eu besoin de 600.000 hommes pour répondre aux rancunes combinées de tous les Arabes locaux. Ils disposaient de 100.000 hommes."A présent, à qui cela vous fait-il penser ? Le "poste fortifié tous les trois km²" est l'écho fantomatique de la "déferlante" [surge] absurde de George W. Bush. Les Américains ont besoin de 600.000 hommes pour répondre aux rancunes combinées des Irakiens et ils n'en disposent que de 150.000. Donald Rumsfeld, l'architecte de la "guerre allégée" est responsable de cela. Pourtant, ces chacals s'en tirent encore !Haut les mains à ces lecteurs qui savent que le Ministre canadien de la Défense, Gordon O'Connor, a vraiment envoyé une lettre à Rumsfeld deux jours avant son départ en disgrâce du Pentagone, louant le leadership de cet homme peu recommandable ! Oui, O'Connor voulait "saisir cette occasion pour vous féliciter de vos nombreux succès (sic) en tant que Secrétaire à la Défense et pour reconnaître la contribution importante que vous avez apportée à la lutte contre le terrorisme."


Le monde, s'est extasié O'Connor-le-ridicule, avait bénéficié du "leadership" de Rumsfeld "pour aborder les questions complexes en jeu."O'Connor a tenté d'ignorer cette note obséquieuse, acquise par l'intermédiaire de la Loi Canadienne d'Accès à l'Information, en prétendant qu'il voulait seulement remercier Rumsfeld pour l'usage des installations médicales en Allemagne dans le rapatriement d'Afghanistan des soldats canadiens blessés. Mais il n'en a fait aucune mention dans sa lettre grotesque. O'Connor, semble-t-il, n'est qu'un autre des illusionnistes de ce monde qui croient qu'ils peuvent ignorer les faits - et louer les imbéciles - en déclarant l'opposé de la vérité. Bush, bien sûr, fait partie des pires de ces créatures factices. Ainsi que l'ex, Tony Blair.Ah !


Que Lawrence nous manque ! "La presse écrite est la meilleure arme dans l'armurerie du commandant moderne (de guérilla)," écrivait-il 78 ans plus tôt, prédisant avec exactitude l'utilisation d'internet par al-Qaïda à l'ère moderne. Pour les insurgés, "les batailles étaient des erreurs … Napoléon parlait en réaction de colère contre la finesse excessive du 18ème siècle, lorsque les hommes avaient presque oublié que la guerre donnait le permis d'assassiner".Vrai ! La révolte arabe de la Première Guerre Mondiale n'était pas identique à l'insurrection irakienne d'aujourd'hui. En 1917, les Turques avaient les forces mais pas assez d'armes. Aujourd'hui, les Américains ont les armes mais pas assez d'hommes. Mais écoutez encore Lawrence !"La rébellion doit avoir une base imprenable …"


Dans l'esprit des hommes convertis à cette croyance. Elle doit avoir un ennemi étranger sophistiqué, sous la forme d'une armée d'occupation disciplinée, trop petite pour satisfaire la doctrine de superficie : trop peu nombreuse pour ajuster les effectifs à l'espace, afin de dominer toute la zone avec efficacité à partir de postes fortifiés."Elle doit avoir une population sympathisante, pas sympathisante active, mais sympathisante au point de ne pas trahir à l'ennemi les mouvements rebelles. Les rebellions peuvent être menée par 2% agissants dans une force d'attaque, et 98% sympathisants passifs … Accédant à la mobilité, la sécurité … le temps et la doctrine …la victoire appartiendra aux insurgés, parce qu'à la fin, les facteurs algébriques sont décisifs, et contre eux, les perfections de moyens et de l'esprit luttent plutôt en vain."Le Général étasunien David Petraeus a-t-il lu ceci ? Et Bush ? Est-ce qu'aucun chroniqueur américain, dont le biais anti-Arabe oscille vers le racisme, n'a pris la peine d'étudier cette sagesse ?


Je me souviens comment Daniel Pipes - l'un des grands illusionnistes du journalisme américain moderne - a annoncé en été 2003 que ce dont les Irakiens avaient besoin (ne rigolez pas, SVP !) était d'un "homme fort à l'esprit démocratique".Evidemment, ils en avaient déjà un : notre vieux pote Saddam Hussein, dont nous disions vraiment qu'il était un "homme fort" lorsqu'il était notre ami et qu'il s'activait à utiliser nos gaz contre l'Iran. Et je me demande vraiment si Bush - vaincu comme il l'est en Irak - pourrait ne pas bientôt autoriser un coup d'état militaire pour renverser le gouvernement ridicule de la "Zone Verte" de Maliki, à Bagdad. Bon ! Ainsi que je le dis souvent : nous verrons !Mais attendez ! Pipes recommence !


Le Directeur du "Middle East Forum" a écrit sur la "Palestine" dans le National Post du Canada. Son papier est plein de son fiel habituel. L'anarchie palestinienne a "vomi" des seigneurs de guerre. Arafat était un personnage "diabolique". Le retrait israélien de Gaza a privé les Palestiniens du seul "élément stabilisateur" de la région. Pff ! Le "Palestinianism" (quelle que soit sa signification) est "superficiel". La "victimisation" palestinienne est un "mythe suprême de la politique moderne". Gaza est à présent une "tête de pont [islamiste] au cœur du Proche-Orient à partir de laquelle infiltrer l'Egypte, Israël et la Cisjordanie". Un jour ou l'autre, Pipes conclut : "peut-être que le savant idiot aux 'unités centrales de paix' remarquera la traînée de désastre que son ouvrage a laissé derrière lui". Pipes fait remarquer - et approuve - que "Ehoud Barak, le tout nouveau ministre de la défense d'Israël, prévoirait d'attaquer le Hamas dans les semaines à venir" et il condamne le Premier ministre, Ehoud Olmert, pour stimuler Le Fatah corrompu et séparatiste de Mahmoud Abbas".


Donc, nous allons encore avoir une autre guerre au Proche-Orient, cette fois-ci contre le Hamas - démocratiquement élu, bien sûr, mais seulement comme conséquence de ce que Pipes appelle "la précipitation irréfléchie de l'administration Bush pour des élections palestiniennes" ? Il est bon de voir que l'ex, Tony Blair, est déjà affublé du titre de "savant". Mais Pipes ne devrait-il pas lui aussi lire Lawrence ? Parce que l'insurrection est un "fluide" plus puissant que celui qui sort de la bouche des illusionnistes. Traduit de l'anglais par [JFG/QuestionsCritiques]




Le Mossad avait planifié d'attaquer et d'enlever des membres de la délégation du Hezbollah et du Hamal à Paris. Israël projette d'assassiner Haniyeh le dirigeant du Hamas

La France a lance un sérieux avertissement à Israël contre toute tentative par le Mossad d'enlever des membres du Hezbollah et du Hamal à Paris. Haniyeh dans le collimateur des militaires sionistes.


MOSSAD : KEE BETACH'BULOT TA'ASE LECH'A MILCHAMA : Avec le terrorisme, nous conduirons des guerres...



Selon le journal Koweitien Al- Seyassah, la France a récemment lancé un sérieux avertissement à Israël de ne pas toucher aux membres de la délégation du Hezbollah qui participent à la rencontre du 14 et 15 juillet à Paris.


Selon le journal koweitien, dont l'information a été reprise par le quotidien israélien Ynet 14/07/07, le gouvernement français a prévenu Israël que toute tentative pour s'attaquer à l'un des membres de la délégation du Hezbollah à Paris provoquerait de sérieux problèmes dans les relations entre les deux pays.


Selon l'article d'Al Seyassah, les services secrets français auraient reçu des informations disant que le Mossad avait planifié d'attaquer des membres des délégations du Hezbollah et du Hamal participant à la conférence. Le Mossad projetait de kidnapper des membres des groupes shi'ite pour les utiliser comme monnaie d'échange pour la libération des deux soldats israéliens capturés l'année dernière au Liban et qui avait servi de prétexte au gouvernement sioniste pour lancer une attaque programmée dés mars 2006, contre le Liban.


Aujourd'hui 14 et demain 15 juillet 2007 les délégations libanaises se réunissent à La Celle-Saint-Cloud, sous l'égide du ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner. Leurs représentants ont été mandatés par les quatorze parties ayant participé l'année dernière aux conférences du Dialogue national, une instance représentative de la mosaïque politique et confessionnelle libanaise. Parmi ces délégations, celles du Hezbollah et du Amal représentant le courant shi'ite libanais, deux partis politiques actuellement dans l'opposition, qui s'opposent au gouvernement américano sioniste de Siniora. Les délégations se réunissent sous la protection de 400 officiers français qui assurent la sécurité de la rencontre.


Le journal Ma'an, en langue arabe publié à Nazareth, rapporte dans son édition de vendredi que le gouvernement sioniste projette d'assassiner Haniyeh le dirigeant du mouvement Hamas. Selon des sources israéliennes, le ministre de la défense Ehud Barak a approuvé la décision, et obtenu l'accord du cabinet ministériel lors de sa réunion de la semaine dernière. Le cabinet a approuvé « sans réserve » cette décision. 13/07/07

http://www.planetenonviolence.org/


Ron Paul dit que les USA sont en « grand danger » de mise en scène d'attaques terroristes


Le représentant au Congrès candidat à la présidence prévient que l'effondrement économique sera accéléré si l'Iran était attaqué.


Le candidat à la présidence Ron Paul dit que les USA sont en « grand danger » de mise en scène d'attaque terroriste ou de provocation du style Golfe du Tonkin [qui engendra la guerre du Vietnam], tout en signalant que l'effondrement majeur de l'économie US qui pointe à l'horizon pourrait être précipité par le bombardement de l'Iran et la fermeture du Golfe Persique.



À l'émission radiophonique The Alex Jones Show, le député [1] du Texas a été interrogé à propos des récentes déclaration de Cindy Sheehan sur les risques de mise en scène d'une attaque contre les États-Unis du style de la provocation du Golfe du Tonkin qui entérinera le programme Néo-conservateur et mènera à la mise en place de l'infrastructure de loi martiale que Bush a récemment signée par l'intermédiaire d'un ordre gouvernemental [2], ainsi que sur les déclarations publiques d'éminents officiels [3] selon lesquelles l'Occident a besoin du terrorisme pour sauver la politique étrangère condamnée [4].


« Je crois que nous sommes face à ce grand risque » a répondu le député, « Nous sommes en danger de plusieurs manières, d'attaque contre nos libertés civiques ici dans notre pays, par la politique étrangère qui est un désastre, et par nos obligations et notre engagement outre-mer qui mettent en danger nos troupes et notre défense nationale. »


« Notre forme empire chaque jour et, comme est orchestrée en ce moment la tentative de rendre responsables les Iraniens de tout ce qui va mal en Irak, nous craignons assez que l'attaque contre l'Iran se fasse et qu'elle mette bien davantage en péril nos troupes, je dirai donc que nous sommes en beaucoup plus grand danger que nous l'étions même il y a quatre ou cinq ans, » a affirmé Paul.


Le candidat à la présidentielle a exprimé son désespoir sur la situation en Irak qui ne changera pas avant l'effondrement total de l'économie US.



« Nous ne pouvons en aucune manière nous permettre ce que nous faisons, que ce soit en dépenses nationales ou internationales, et très peu de gens parlent du vrai coût de cela du point de vue économique....c'est insoutenable et ce sera une menace pour notre dollar, » a dit Paul, ajoutant que le début de la dégringolade pourrait être déclenché par le bombardement de l'Iran et la fermeture du Golfe Persique.



Le député a ajouté que l'effondrement était dans ses prémisses, le principal signe étant la réduction du niveau de vie de la classe moyenne étasunienne, mais « qu'un seul événement mondial majeur » pourrait changer les choses en une nuit et précipiter un ralentissement majeur de économique.


Paul a ajouté qu'il « n'y a eu aucun débat national sur la politique monétaire depuis de nombreuses années » et que les perspectives de plus en plus sombres pour l'économie US soulevaient davantage d'intérêt pour les solutions qu'il a proposé afin de réduire le fardeau du gigantesque déficit national.


Paul a dit que les événements nationaux et mondiaux, surtout la situation dégradante en Irak, lui attiraient du soutien pour sa campagne présidentielle en raison de son attitude résolue à adopter une politique étrangère non-interventionniste.


Le député a conclu en conjecturant que le record du faible taux d'approbation pour Bush, Cheney et le Congrès montrait que, « Les étasuniens sont bien conscients et indignés qu'il n'y ait pas eu encore de bonnes solutions de rechange....c'est légitime, ils recherchent de vraies réponses et des alternatives et je pense tout bonnement que c'est probablement l'une des raisons pour lesquelles notre campagne se développe par bonds et qu'elle est justement en train de rebondir en ce moment. »


Cliquer ici pour écouter [en anglais] le MP3 de l'interview de Ron Paul.

Original : http://www.prisonplanet.com/articles/july2007/130707greatdanger.htm

Traduction de Dany Quirion et de Pétrus Lombard pour Alter Info

Notes des traducteurs
1- Le représentant d'un État au Congrès est l'équivalent d'un député.



2- Executive Order dans le texte. Dans la législation US actuelle il s'agit d'une regulation (item 3), c'est-à-dire un ordre gouvernemental ayant force de loi.



3- Parmi les éminents personnages cités dans cet article il y a par exemple le lieutenant-colonel Doug Delaney et le président du Parti Républicain d'Arkansas Dennis Milligan, ainsi que l'ancien sénateur républicain Rick Santorum qui prie avec ferveur pour que des catastrophes surviennent l'année prochaine afin de transformer en va-t-en-guerre le peuple étasunien.

Cet article parle aussi d'une note de service des républicains en 2005 qui « dépérissent dans l'attente d'une nouvelle attaque qui confirmera le bien-fondé de la guerre contre le terrorisme du président. »



4- Chacun l'aura compris, leur politique étrangère » est un doux euphémisme pour les agressions militaires nécessaires au massacre des populations qui leur pompent l'air.



Le maghreb dans sa nouvelle configuration : La France-yisrael pris dans le guet-apens de la Resistance Islamique


La fin du Harkisme sonne la fin de la domination sefarade sioniste dans le Monde Arabo-Musulman... Sarkosy est entre les mains de la Resistance !


Lettre ouverte à un harki "réactivé"


Voici en préliminaire, la copie in extenso du billet signé ce mercredi 11 Juillet 2007, par Rédha Belhadjoudja, alias Hakim Laâlam, journaliste au quotidien "Le Soir d'Algérie":


***


HIZB FRANÇA !




« A l’issue de leur conclave, les petits partis en colère décident de boycotter les prochaines élections.»


Fnic alors ! Les temps changent ! Un président français qui ne déboule pas à Alger deux heures 32 minutes et 45 centièmes après la clôture d’une élection présidentielle algérienne. Un Président français qui ne vient donc pas claironner «ce scrutin a été le plus transparent et démocratique que j’ai connu !». Un président français qui met sur la table «sa» configuration des relations entre les deux capitales. Pas question de repentance ! Mémoire partagée, certes, mais pas de repentance entre Etats. C’est à prendre ou à laisser ! Un président français qui dessine sur sa carte les contours de son fantasme méditerranéen et y plante à sa guise des punaises de couleurs différentes, symbolisant chacune un des pays de la rive sud de la mer et la place exacte qu’il doit occuper dans ce nouveau dispositif.


Un président français qui trace à grands traits la texture d’une future et inédite fusion entre GDF et Sonatrach. Voilà avec qui il faudra bien s’habituer à travailler. Si l’on veut composer sérieusementavec la France. Parce qu’on a le choix. On peut aussi re-confier le destin de nos enfants aux chantres décharnés de la légitimité historique. Ceux pour qui l’enseignement de la langue française dans nos écoles est un acte de haute trahison passible du peloton d’exécution. Ceux qui plaident pour une Saint-Barthélemy de l’arabisation, nuit durant laquelle toutes les plaques et enseignes en français seraient arrachées et remplacées par des «Sétifis», «Wihran», «Kassentina» et autres «Anatole Al Djazaïr».


Ceux qui voudraient coudre un coq bleu blanc rouge ou une étoile jaune sur les pyjamas rayés de tous les journalistes du pays. Ceux qui transmettent à leurs enfants la république et ses avantages comme un héritage familial, comme allant de soi. On peut choisir ces gus-là. Rien ne l’interdit ! Mais qu’on ne vienne pas ensuite se plaindre que les «frères» marocains, tunisiens et depuispeu libyens tirent beaucoup mieux que nous profit de leur proximité avec la 5e puissance mondiale. C’est tout ! Je fume du thé et je resteéveillé, le cauchemar continue.


***


Commentaire "Bon sang ne saurait mentir" dit le proverbe Et le pedigree de Rédha Belhadjoudja, alias Hakim Laâlam, chroniqueur au quotidien "Le Soir d'Algérie", pourrait en être une excellente illustration. Francophile invétéré - peut-être même bénévole -, cet individu ne rate jamais une occasion pour "casser" dans ses chroniques, de l'arabe, du musulman et du nationaliste, pour complaire à ses commanditaires locaux ou extérieurs….


Il vient de récidiver en ce mercredi 11 juillet 2007, avec le texte reproduit ci-dessus, qui constitue une véritable – et surtout indigne - apologie du colonialisme et de son grand défenseur, M. Sarkozy, le président français, qui n'a jamais fait mystère, ni de ses accointances "communautaristes" avec Tel-Aviv, ni de ses positions de nostalgique du colonialisme, ainsi qu'en témoigné "sa" loi scélérate du 23 février 2005, faisant l'apologie de la colonisation. Ce faisant, ce chroniqueur qui déshonore la profession de journaliste, vient cette fois-ci de dépasser toutes les bornes, en bafouant le patriotisme de tout un peuple, en offensant sa mémoire et en contestant à ce peuple, sont droit légitime d'exiger la reconnaissance par l'Etat français, des crimes commis par la colonisation française en Algérie, aussi bien durant la période coloniale que pendant la Guerre de Libération Nationale. "Pas question de repentance […] C'est à prendre ou à laisser !" croit devoir s'exclamer M. Belhadjoudja, par procuration, au nom de ses maîtres….en rêvant peut-être de se réincarner un jour, dans la peau d'un tortionnaire du genre Aussaresse, pour casser "les chantres décharnés de la légitimité historique"; ou alors en s'imaginant devenir le concierge-en-chef de la filiale à Alger de la nouvelle société de gaz algérien contrôlée depuis Paris par "la future et inédite fusion entre GDF et Sonatrach", telle que l'aurait conçue "son" Sarkozy.


Eh bien non M. Belhadjoudja ! Mille fois non ! Ce ne peuvent pas être des crétins de votre espèce, en perdition d'honneur, de civisme et de morale qui pourront dicter à ce pays ce qu'il a à faire ou à ne pas faire. Pas plus que votre idole politique du moment, le président sioniste français. L'avenir de ce pays ne se décide certainement ni à Paris, ni à Tel-Aviv. Il ne se décide pas non plus, dans les sombres baraquements de la vieille caserne désaffectée qui sert de cadre à vos misérables élucubrations. Je ne désespère pas de vous savoir bientôt interpellé par la Justice Algérienne, pour vous faire rendre gorge de votre outrage à tout un peuple, à toute une nation. Cette fois-ci votre forfait ne restera pas impuni et soyez certain que je m'y emploierai de toutes mes forces. A commencer par diffuser cette dénonciation de la façon la plus large possible, afin que le maximum de patriotes algériens puissent être informés de votre indignité.



Abdelkader Dehbi

14 juillet 2007

Ce que veut l'Aipac, il l'obtient. Les vendus démocrates et le lobby israélien


Jerry Kroth, Ph. D., enseigne la psychologie en Californie. Il est l'auteur de Conspiracy in Camelot : the complete history of the assassination of John Fitzgerald Kennedy. On peut le joindre par mél à l'adresse suivante : anya@sj.zent.com Par Jerry Kroth


En novembre, l’électorat américain a rejeté la débâcle de Bush en Irak, installant des majorités démocrates tant à la Chambre qu’au Sénat, en se jurant de mettre un terme définitif à cette "politique tordue, enveloppée dans l’illusion".


Bush a mis son véto à leur calendrier de retrait (d’Irak), mais les électeurs ont exhorté leurs leaders à tenir bon et à ne pas se laisser avoir. Finalement, toutefois, ce sont non moins de 37 sénateurs démocrates qui ont capitulé et qui ont donné gratuitement (et sans aucune condition) au président Bush son chèque en blanc de 100 milliards de dollars, soit assez d’argent pour financer les études d’un million trois cents mille étudiants du secondaire, durant quatre années complètes ! Profonde déception. Cindy Sheehan, l’icône progressiste, fut tellement démoralisée qu’elle a démissionné et qu’elle est retournée à la vie civile. En juin, un sondage réalisé par CNN indiquant que le "respect envers le Congrès" avait chuté vertigineusement, atteignant le plus bas niveau "jamais encore enregistré".Certains bloggers [il s’agit de personnes qui échangent librement leurs opinions et commentaires politiques sur des sites ouèbes personnels, ndt] les ont traîté de "démocrates traîtres", et ce qualificatif est approprié. Au moment du vote, 62 % des Américains étaient favorable à un calendrier de retrait (d’Irak), mais, plus significatif encore, ce sont 70 % des démocrates qui étaient de cet avis. Aussi, le vote parlementaire contre cette vague de colère grossissante a trahi la volonté des citoyens et du parti qui, précisément, avaient désigné ces (parlementaires) démocrates.Curieusement, la totalité des démocrates traîtres s’avèrent de gros détenteurs de fonds provenant du lobby israélien. Si nous prenons dix de ces Démocrates apostats et si nous les comparons à dix Démocrates n’ayant pas trahi leurs électeurs, les contributions versées par les lobbys locaux pro-israéliens [les ‘pro-Israeli PAC, ndt] à ceux qui ont retourné leur veste sont dix fois plus importantes que celles perçues par les édiles demeurés fidèles à leur électorat (en moyenne : 322 000 dollars, contre 34 000 dollars).


Rentrons dans le détail : Carl Levin, détracteur déclaré de la guerre, et, pensions-nous, soutien loyal du nouveau régime (démocrate, ndt) pour qu’il y mette fin, a fait défection et a effrontément tourné le dos à sa base électorale dans l’Etat du Michigan. En dépit de sa rhétorique anti-guerre stridente, le quotidien Grand Rapids Independent écrit que Levin a soutenu Bush sur toute la ligne, "votant avec constance le financement de la guerre et n’introduisant aucun texte législatif significatif susceptible d’en avancer la fin". Pratiquement inconnu de ses électeurs, Levin est un des principaux bénéficiaires des largesses des "Pro-Israeli PAC" : il a reçu 600 000 dollars en "contributions à sa carrière (politique)", indique le Washington Report on Mideast Affairs.Barbara Boxer, Denis Kucinich et Earl Blaumenauer, tous opposants à la guerre, ont reçu tous les trois ensemble 37 000 dollars ; mais ces démocrates ayant retourné leur veste que sont Dan Durbin, Max Baucus et Frank Lautenberg ont raflé plus d’un million de dollars, auquel il convient d’ajouter des gratifications occultes, tels des voyages à l’œil…


Ce qui part au lavage, c’est le meilleur que puisse acheter le fric de l’Aipac : trois mois avant que nous n’envahissions l’Irak, un sondage du New York Times montrait que seulement 30 % des Américains étaient favorables à une invasion totale ; mais le lobby israélien [Aipac] y était favorable, et il a emporté le morceau. Seule, une petite pincée d’Américains était en faveur de l’"insurrection" - à peine 14 % – mais l’Aipac y était favorable, et l’insurrection, on la voit se produire en ce moment même ! Moins de 30 % des Démocrates étaient favorables à voter des budgets non conditionnés, mais l’Aipac y était favorable. En conclusion s’élève le chœur rebattu : "Ce que veut l’Aipac, l’Aipac l’obtient"… En 1992, le directeur du lobby israélien, David Steiner, a été enregistré à son insu en train de se vanter d’avoir joué un rôle dans le choix du Secrétaire d’Etat et de tout ce qu’il avait obtenu en faveur d’Israël : "En plus des 10 milliards de prêts garantis – ce qui était déjà fabuleux -, (j’ai décroché) 3 milliards en aide militaire à l’étranger, et j’ai eu presque un milliards de dollars, sous forme d’autres friandises dont personne n’a la moindre idée !". L’enregistrement ayant été rendu public, Steiner démissionna. Mais cette histoire n’a fait que souligner l’incroyable pouvoir, le formidable entrisme et l’inimaginable influence qui sont ceux du Lobby.Deux universitaires, Mearsheimer et Walt, ont insinué, récemment, que la démocratie américaine a été subornée par le lobby israélien – faisant, en cela, écho à l’accusation formulée en 1989 par le Sénateur Fulbright contre l’Aipac, d’avoir usurpé le processus électoral et d’être capable de "faire élire ou faire battre n’importe quel sénateur ou n’importe quel membre du Congrès qu’il voudrait éliminer". Ces observations ne sont pas tombées dans l’oreille de sourds. Plus de la moitié du Sénat et un tiers du Congrès ont assisté au congrès annuel de l’Aipac, où ils ont été bien sages (à opposer à moins d’une douzaine venus participer à l’événement organisé par la NAACP [il s’agit de la National Association for the Advancement of Colored People – une sorte de Mrap américain, ndt).


Le fait de ne pas assister au congrès de l’Aipac risque de suggérer l’idée que le législateur non assidu pourrait être faible face au terrorisme, voire pire – ce qu’à Dieu ne plaise – être antisémite !Les idéalistes anti-guerre peuvent penser que le crime de guerre en cours, le carnage "choc et tremblement", les tortures et les enlèvements suivis d’internements touchent à leur fin, mais l’agenda de l’Aipac semble fermement axé sur le maintien de troupes américaines au Moyen-Orient, en tant que première ligne israélienne de défense et, ce, jusqu’à un horizon indéfini. Leur principal doberman d’attaque, Joe Lieberman, a récemment donné un avant-goût, à l’émission télévisée Face the Nation, de ce qui risque de nous attendre : des "frappes militaires" contre l’Iran… apparemment, pour s’assurer qu’Israël restera bien l’unique puissance nucléaire au Moyen-Orient.Aussi, si vous pensez que vous avez voté, ou que vous allez voter, afin de ramener les soldats à la maison et de mettre un point final à ce marasme national, sachez qu’à l’extrémité de cet arc-en-ciel, le paxon qui a servi à acheter un parlementaire marron vous attend…


Encore un universitaire qui élève la voix pour exprimer une vérité fondamentale concernant l’Aipac et, de manière générale, le lobby sioniste. Pas étonnant que le lobby, et son ‘Campus Watch’ [organisme de flicage anti-antisioniste sévissant dans les universités américaines, ndt] soient inquiets. Ils perpétuent ce qui est décrit dans cet article depuis des décennies, sans la moindre réaction de gens qui prétendent défendre la cause palestinienne (et il n’y a toujours pas le moindre frémissement de prise de conscience à ce sujet dans les organisations bidons du mouvement anti-guerre. Etonnant, non ?) Jeff Blankfort.


Traduction :

Le cabinet Brown destabilise par les operations barbouzardes sionistes et l'affaire BAE : Brown est entierement sous controle

La justice américaine mène l’enquête sur BAE, Thatcher pourrait être entendue



10 juillet 2007 (LPAC) - La “dame de fer” pourrait bien prendre l’eau dans l’affaire BAE. Ce « scandale du siècle » fait désormais l’objet d’une enquête menée par le Département de la Justice américain portant, d’après le London Times, sur les 25 années de durée des accords d’Al Yamamah entre l’Arabie Saoudite, BAE et le gouvernement Britannique. De nombreuses figures des institutions britanniques pourraient être entendues par la justice américaine.
Le London Times explique que l’enquête du Département de la Justice a été poussée par le Congrès américain. « Le Prince Bandar et BAE nient toutes malversations, mais les assertions et les pressions venant des politiques américains comme l’ancien candidat à la présidentielle, le sénateur John Kerry, sont considérés comme déclencheurs de l’action du Département de la Justice. » Ce que le Times ne mentionne pas, c’est le lobbying intense que le Comité d’action politique de Lyndon LaRouche (LPAC) et son mouvement de jeunes (LYM) ont mené sur le Congrès depuis un mois pour qu’il monte au créneau sur le scandale de BAE. Il est attendu que le Département de la Justice, qui va envoyer prochainement ses enquêteurs à Londres, demande à interroger non seulement Thatcher, mais aussi Lord Heseltine, qui était le secrétaire à la Défense de l’époque, ainsi que Lord Blythe et Sir Colin Chandler, les deux anciens chefs du Defense Export Service Organization.
S’attendant à ce que le gouvernement de Sa Majesté se refuse à coopérer avec le Département de la Justice, le Times prévient qu’ « il risque d’être difficile de collecter des informations puisque les détails sont classés secret par le gouvernement du Royaume-Uni. Les officiels impliqués dans les premières négociations de l’affaire et leurs prolongements ont également tous signé l’Official Secrets Act. »
Le Times cite Howard Wheeldon, analyste de BGC Partners, un des principaux commentateurs de l’affaire dans les médias ces dernières semaines, qui avait sous-estimé la possibilité pour le Département de la Justice américain d’aller si loin. « J’espère que le Département de la Justice réalise ce qu’il est en train de faire. Je trouve inconcevable que les américains puissent faire des poursuites dans une affaire conclue entre les gouvernements britanniques et saoudiens. »


Sarkosy, fermes la ! Va vendre ta femme ailleurs ! Et si t'es pas content, un article bien detaille peut prendre forme, tu piges ?

France – Algérie : Le traquenard nucléaire de M. Sarkozy


Vers le milieu du siècle écoulé, Joseph Staline le maître de la toute puissante URSS d'alors, avait coutume, pour impressionner ses hôtes de marque, de faire mousser en leur présence, son Ministre du Commerce Extérieur, le fameux arménien Anastase Mikoyan en leur assurant : "Anastase est capable de vendre de la glace à des esquimaux !"


Eh bien, il semblerait qu'aujourd'hui, Monsieur Sarkozy veuille faire encore plus fort, vis-à-vis des manchots qu'il croit que nous sommes. puisqu'il s'acharne à vouloir vendre à une Algérie riche en gaz naturel, une technologie électronucléaire lourde, coûteuse et d'un médiocre niveau de sécurité. Ceci, en contrepartie d'une prise d'option avantageuse pour la France, sur le gaz algérien. Un vrai pari de hussard. Car, pour le cas où les nouveaux stratèges bonimenteurs parisiens ne l'auraient pas pris en compte, le point de vue du citoyen algérien ordinaire sur cette question est fort simple, en tant qu'il est frappé au coin du bon sens.



Ce point de vue se résume ainsi : Notre pays est riche en gisements gaziers, avec 11.000 Milliards de m3 de réserves prouvées. Il a présentement devant lui, plus de 60 ans de réserves en gaz naturel, au rythme actuel de production - 80 Milliards de mètres cubes par an - dont 3/4 sont aujourd'hui exportés. Et l'on fait abstraction bien entendu ici, de futures découvertes éventuelles, mettant à jour de nouveaux gisements. Pour satisfaire ses besoins de croissance qui induisent une forte demande d'énergie électrique, le bon sens commande à notre pays de continuer à opter pour la technologie des turbines à gaz, une technologie accessible sur le marché mondial, maîtrisable, propre, sûre et nettement moins coûteuse que la technologie électronucléaire avec un ratio de 1/5, puisqu'une centrale électronucléaire de 1.000 Mégawatts électriques coûte 3 Milliards d'Euros, tandis qu'une centrale de turbines à gaz de même capacité coûte 600 Millions d'Euros.



Mais au-delà même de considérations purement économiques, au demeurant essentielles, il y a le fait patent qu'aujourd'hui, dans le monde entier, le nucléaire civil se trouve à la croisée des chemins :


1) les centrales actuelles dites de 2ème génération - généralement de type PWR et BWR - sont en fin de vie ;



2) les centrales de la 3ème génération qui représentent en fait, plus une évolution qu'une révolution par rapport aux précédentes, n'entreront en service que d'ici 5 – 10 ans. A ce jour, 2 commandes seulement sont en cours d'exécution: 1 pour la Finlande et 1 pour la France ; les Allemands pourtant associés à la construction de ce type de centrale, par le truchement du consortium franco-allemand "AREVA" n'en veulent pas chez eux. Et pas seulement à cause des pressions du puissant lobby écologique outre-Rhin.



3) les centrales de la 4ème génération qui sont regardées par les spécialistes, comme la technologie nucléaire du 21ème siècle, ne sont pas encore sorties des cartons des bureaux d'études à travers le monde. Leur déploiement n'est prévu qu'à l'horizon de 2030, pour les prévisions les plus optimistes….



Ces centrales du futur sont fondées sur des concepts révolutionnaires offrant en particulier tout un registre de verrous de sécurité empêchant la reproduction d'accidents dits "sévères", pouvant entraîner la fusion du combustible nucléaire, comme ce fut le cas par exemple, avec la tragédie humaine et écologique que l'on sait, survenue en 1986 à Tchernobyl en Ukraine. Si les futurs essais devaient s'avérer concluants, alors, - et alors seulement -, le nucléaire pourra faire un retour gagnant dans le domaine de la production de l'énergie.



Mais pour l'heure, nous en sommes encore bien loin et il est urgent pour l'Algérie d'attendre que les options technologiques du nucléaire futur soient définitivement arrêtées et concrètement éprouvées. En refusant catégoriquement par conséquent, de se précipiter dans un véritable traquenard qui l'amènerait à devenir totalement dépendante du bon vouloir de la France, quand il s'agira du rechargement périodique - tous les 3 – 4 ans – de sa ou ses centrales, en combustible nucléaire, c'est-à-dire en Uranium enrichi. Avec en prime, une main sur la télécommande de désactivation installée à Paris, ainsi que s'en est publiquement vanté dans une conférence de presse, un M. Sarkozy qui se voyait déjà sans doute, en position de pouvoir un jour, plonger à distance l'Algérie dans l'obscurité, ce qui serait le comble des combles, avouez-le ! Notre pays serait donc bien inspiré de suivre le sage exemple de l'Allemagne et d'autre pays européens comme l'Italie ou l'Espagne, qui ont résolument écarté – au moins pour le moyen terme -, les technologies électronucléaires actuelles en optant pour les turbines à gaz. Ils sont d'ailleurs parmi les plus gros clients de l'Algérie.



C'est assez dire que notre pays n'a vraiment aucun problème de débouchés pour son gaz comme le laisserait suggérer l'offre de partenariat faussement généreuse de M. Sarkozy; offre qui constitue un véritable marché de dupes et un piège mortel pour notre indépendance en matière de production d'énergie électrique. Qui plus est, le gaz algérien demeurera attractif sur le marché mondial tant que ne prendra pas fin cette instabilité chronique au Proche et Moyen Orient, (Irak, Iran, Liban…etc) créée et entretenue par les Etats-Unis et certains de leurs alliés "va-t-en-guerre" européens – la France de M. Sarkozy l'ami affiché d'Israël, prenant apparemment la relève du Royaume-Uni de M. Blair.



Une instabilité chronique faut-il le rappeler, dont l'objectif majeur est de maintenir par le fer et par le feu, la prédominance stratégique de l'Etat sioniste dans la région. A toutes ces considérations, il y aurait lieu d'ajouter par ailleurs, le facteur de complexité que représente aujourd'hui, la région de l'Europe de l'Est et de l'Eurasie, en particulier l'imprévisibilité de la Russie gros fournisseur de gaz d'une Union Européenne qui s'élargit de plus en plus à l'Est, pour englober les anciens pays satellites.



Tout cela pour souligner avec force que l'Algérie n'a que l'embarras du choix pour pratiquer, comme qui dirait, une politique d' "émigration choisie" pour son gaz. "Charbonnier est maître chez lui", dit le vieux proverbe. Libre à M. Sarkozy d'appliquer en ce qui concerne son pays, son fameux concept "d'immigration choisie" qu'il ne cesse de proclamer. Bien entendu l'Algérie aura l'impératif devoir, de mettre à profit cette longue période de gestation des orientations de la technologie électronucléaire pour former des scientifiques et des ingénieurs de haut standing, capables de prendre en charge notre développement futur dans le domaine de la maîtrise des sciences et des technologies nucléaires qui constituent la voie royale de la connaissance et du savoir faire.



Alors au nom de quelle aberration de l'esprit, au nom de quels "copinages douteux" voudrait-on pousser l'Algérie à se passer elle-même une corde autour du cou en acceptant un véritable contrat léonin, autant au plan juridique que moral ? Encore qu'il soit mal venu de parler de "morale" en politique… C'est pourquoi on aimerait vivement conseiller aux nouveaux stratèges et autres "sherpas" d'importation, souvent des binationaux – franco-israéliens – qui battent aujourd'hui le haut du pavé dans les allées du pouvoir à Paris, de tirer les leçons de l'Histoire en cherchant à mieux connaître l'Algérie authentique. Or, cette Algérie-là on ne la découvre pas dans le tohu-bohu des conversations éméchées dans les cafés du commerce, les bistrots des gares ou les boîtes parisiennes "branchées" - y compris sur les R.G.



On ne la découvre pas non plus, en puisant dans les fichiers de la Place Beauvau ou dans les Valises diplomatiques. Pas plus qu'on ne la découvre, en allant fouiller dans les poubelles du Figaro et autres feuilles de chou, traditionnellement racistes et colonialistes, montant régulièrement en épingle les moindres faits divers, comme récemment à propos des frasques parisiennes de tel chanteur de Raï passé de mode ou de tel autre guignol franco-algérien déraciné et accessoirement délinquant, pour conforter cette image stéréotypée et négative de l'algérien, répandue par la culture colonialiste des "pieds noirs" et autres nostalgiques de "l'Algérie de papa". L'Algérie authentique elle, on va à sa rencontre en visitant le pays profond, ou à tout le moins, en lisant son histoire vraie, dans la sérénité des bibliothèques et dans le silence des caves des Archives d'Etat.



Cette Algérie-là – et au-delà d'une conjoncture socio politique aujourd'hui difficile -, demeurera éternelle, parce qu'elle a pour référents historiques et moraux, d'illustres héros et martyrs ayant nom d'Emir Abdelkader, d'El Mokrani, de Larbi Ben M'hidi, et de bien d'autres encore. Des noms prestigieux, universellement connus et reconnus, symbolisant la résistance à l'impérialisme, le rejet de la domination et le combat pour la dignité et la liberté. Serait-ce fortuit d'ailleurs, que l'Histoire a de tout temps désigné les habitants de nos régions de l'Atlas par le terme de "Amazighs", c'est-à-dire les hommes libres?



Aussi, le président français est courtoisement sommé, en arrivant à Alger, de se départir de cet air de condescendance, de cette morgue à peine voilée, qu'il affectionne tant, car cela n'impressionne pas grand monde. Et en tout cas pas les citoyens Algériens authentiques – et ils sont la majorité, Dieu merci – qui ont parfaitement conscience que leur pays n'est ni une sous-préfecture de Papouasie ni une collectivité des Dom-Tom, mais une Algérie libre et souveraine et qui entend fermement le demeurer, pour avoir mené la Guerre d'Indépendance la plus longue et la plus marquante de l'Histoire de la décolonisation – avec un tribut de plus d'un million de morts. Sans compter un autre million de morts au minimum, que représentent les victimes des crimes de la colonisation. Des crimes de la colonisation que l'Etat français - faut-il le rappeler - , persiste à refuser de reconnaître.



C'est pourquoi l'on se prend à se demander en fin de compte, de quoi parle-t-on quand on évoque ici ou là, la signature d'un Traité d'Amitié et de Coopération entre nos deux pays ou encore tel projet fumeux d'union méditerranéenne, quand la mémoire de tout un peuple reste encore suspendue à un tel acte de reconnaissance de la part de l'Etat français.

Abdelkader Dehbi
7 juillet 2007

http://institut.hoggar.org/modules.php?name=News&file=article&sid=266


Guerre du pétrole en Irak



« MISSION ACCOMPLIE : NOUS AVONS LE PÉTROLE ! »



par Xavière Jardez



Voilà ce que pourront se dire bientôt Bush, Dick Cheney et consorts lorsque le Parlement irakien aura débattu de la nouvelle loi sur le pétrole, dictée par les Etats –Unis, rédigée en anglais, en toute discrétion, approuvée dernièrement par la seule faction chiite du gouvernement de Nouri al Maliki,- les autres composantes ayant tout simplement boycotté la séance, comme le Front Irakien de la Concorde - qui conduit à la « privatisation » du pétrole irakien, ou tout bonnement au pillage des richesses de ce pays par les compagnies pétrolières US par l’intermédiaire des PAS (accords de partage de production).



C’est d’ailleurs dans cette perspective qu’il faut comprendre l’envoi de troupes supplémentaires en Irak exigé par Bush - et l’installation de bases US permanentes- car il se soucie peu de liberté ou de démocratie en Irak ou encore des morts américains – plus de 3500 - ou irakiens : 700 000. Ce qu’il recherche, c’est un gouvernement « stable » capable de « pacifier le pays » pour permettre aux Majors (Exxon, Chevron, Fluor, Halliburton…) de mettre la main sur les champs pétrolifères non encore exploités. Si demain « Al Qaeda en Irak » promettait de leur ouvrir les portes du pays, de « terroristes », ils se transformeraient en « modérés » comme Maliki et son parti al Dawa le furent, il y a peu (1).



Le pétrole, le grand muet



Dans la course à l’invasion de l’Irak en 2002-2003, le pétrole comme cause n’était pas évoqué, ni par les auteurs, ni par les médias, sauf par les opposants lucides à la guerre à venir. Or, Dick Cheney, directeur exécutif d’Halliburton en 1999, constatait qu’« en 2010, nous aurons besoin de 50 millions de barils de plus par jour. Le Moyen-Orient, avec 2/3 du pétrole et le coût le plus bas, c’est là que se trouve le butin ». Paul Wolfowitz, quant à lui, décrivait l’Irak comme un pays flottant « sur une mer de pétrole » qui pourrait financer la guerre américaine et la reconstruction. On sait d’autre part que les premières troupes US à Bagdad eurent pour objectif de protéger le ministère du Pétrole et non le Musée National. Tout comme, dans la même veine, Bremer, le « MacArthur de Bagdad » maintint la loi du précédent régime interdisant la grève aux ouvriers du pétrole !



Mais, il serait erroné de dater de l’ère Bush seule cette faim de pétrole. Déjà en 1980, Jimmy Carter déclarait que le pétrole du Golfe Persique était vital pour les intérêts US. Il mit ainsi sur pied une nouvelle structure de commandement militaire (Rapid Deployment Joint Task Force) qui deviendra le Centcom, (United States Central Command) capable de fournir aux présidents US successifs la capacité d’intervenir rapidement et massivement dans la région.



En 2001, l’Energy Task Force que dirigeait Dick Cheney s’abstint de favoriser les sources alternatives d’énergie lui préférant, pour faire face à une crise énergétique, le Moyen-Orient comme « première cible de la politique énergétique des Etats-Unis », demandant au gouvernement Bush de convaincre les pays du Moyen-Orient d’ « ouvrir certains secteurs de leur production énergétique à des investissements étrangers » , en d’autres termes de renverser 25 ans de contrôle étatique sur l’industrie pétrolière. Cette organisation entreprit d’étudier les cartes des champs pétrolifères de l’Irak avec des compagnies pétrolières non-américaines chargées de les exploiter une fois l’embargo levé. « Elle travailla conjointement avec l’aile de la sécurité nationale du gouvernement pour établir un ensemble compatible de politiques militaire et économique qui injecterait, à cette équation, une force américaine. Selon Jane Mayer, du New Yorker, le Conseil National pour la Sécurité incitait son personnel à « coopérer pleinement avec la Energy Task Force… pour la « fusion » des ces deux courants apparemment éloignés : « réviser les politiques opérationnelles envers les « Etats voyous » comme l’Irak et « les actions concernant la capture des champs de pétrole et de gaz existants ou nouveaux » (2)



Genèse du Projet pour le Futur de l’Irak



Cette Task Force donna naissance, dès 2002, au Projet pour le Futur de l’Irak à l’initiative du Département d’Etat et des 17 groupes de travail à Washington et Londres composés d’exilés irakiens et d’experts internationaux choisis par les Etats-Unis dont Vogler d’Exxon, le directeur exécutif de Shell et Fluor, Philipp Carroll, qui devint, après la guerre, chef du « comité consultatif » pour l’industrie pétrole en Irak (4). L’autre protagoniste dans la préparation de cette législation spoliatrice se nomme BearingPoint (anciennement KPMG) chargée de vérifier en Irak tous les textes et institutions encadrant le commerce, les investissements, de conseiller les ministères et la banque centrale. Quand on sait que BearingPoint a obtenu grâce à l’USAID (Agence US pour le Développement International) - elle aussi partie prenante au Projet -, des contrats en Irak d’une valeur de 240 millions de dollars, on comprend mieux que cette société ait pu arroser les campagnes de Bush pour les élections de 2000 et 2004 à hauteur de 117 000 dollars et 120 000 dollars pour les dernières élections au Congrès et payer un million de dollars aux lobbyistes de Capitol Hill en 2005.



Mais, le peu d’empressement manifesté par les grandes compagnies pétrolières pour investir en Irak poussa l’administration Bush à faire intervenir la communauté internationale via le Fonds Monétaire International pour faire pression sur l’Irak pour l’adoption de cette loi qui livrait les revenus du pétrole aux géants US. Le but était de requalifier l’énorme dette que le régime de Saddam Hussein avait accumulée pour les guerres Iran-Irak et celle de 1991 en dette « odieuse », terme technique de droit international désignant la dette contractée par certains dirigeants autoritaires à des fins personnelles. C’est ce que prétendirent les Etats-Unis pour les 40 milliards de $ de dette auprès de 19 pays industrialisés connus sous le nom de «Club de Paris ». Au lieu d’annuler purement et simplement la dette, James Baker négocia avec le Club de Paris une annulation conditionnelle : 12 milliards de $ disparurent des livres, laissant 28 milliards de $ dont l’abrogation était conditionnée à la signature par le gouvernement irakien d’un « Programme de base du Fonds Monétaire International » pour 12 milliards de $ et à la réalisation de ce programme dans une période de trois ans pour 8 milliard de $, laissant toujours à la charge du Club 8 milliards de $.



Le Programme du Fonds Monétaire International formulait sa politique pétrolière selon les concepts US concernant le pétrole irakien, de la mise en place des PAS à l’ouverture totale de l’économie irakienne aux multinationales. En contrepartie, la mesure garantissant aux familles irakiennes des prix subventionnés pour le combustible et certains produits de base, dans un pays où la guerre a entraîné un chômage variant de 30 à 70%, des salaires d’à peine 100 $ par mois et une inflation galopante, devait être abandonnée. Zaid al Ali, avocat international, décrit cet accord comme « l’illustration parfaite de la manière dont le monde industrialisé instrumentalise la dette pour obliger les pays en voie de développement à abdiquer leur souveraineté sur leur économie » qui, pour l’Irak, perdurerait bien au-delà du retrait des troupes US. (2)



Même l’Iraqi Study Group de James Baker, fin 2006, a proposé à Bush entre autres solutions pour sortir du bourbier irakien, de faire voter au « Parlement » irakien une loi sur les hydrocarbones qui placerait les réserves en pétrole, et les revenus en découlant, entre les mains des principales compagnies pétrolières.



Si elle est moins bien connue, la stratégie pétrolière du gouvernement de Blair s’est caractérisée par la même obsession : s’approprier le pétrole de la région du Golfe comme rappelé dans la Strategic Defence Review : « Hors de l’Europe, nos intérêts seront vraisemblablement affectés par les événements dans la région du Golfe et de la Méditerranée.… L’approvisionnement en pétrole du Golfe est crucial pour l’économie mondiale ». La convergence des buts entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis donna naissance au US-UK Energy Dialogue en 2002 pour « encourager la coordination et la coopération en matière énergétique » et donc s’assurer le contrôle de l’approvisionnement en y impliquant directement leurs compagnies pétrolières. En mai 2003, peu après le triomphal « la guerre est finie» de Bush, la Grande-Bretagne a parrainé avec les Etats-Unis une résolution du conseil de sécurité n° 1483 qui leur donnait total contrôle sur le pétrole irakien, prétendument pour continuer de payer les compensations dues au Koweit.



Le butin convoité



Avec 60% des réserves pétrolières du monde, le Moyen Orient ne peut être qu’un enjeu de taille pour les Américains ou tous ceux qui cherchent à dominer le monde ou à l’influencer de manière irrémédiable. L’Irak, à lui seul, se place au troisième rang pour l’étendue de ses réserves connues après l’Arabie Saoudite et l’Iran, à savoir 115 milliards de barils, soit 10% du total mondial. Les deux tiers de ces réserves sont concentrés dans le sud, notamment autour de Basra, et le tiers restant dans le Kurdistan, au nord de l’Irak. En termes de production énergétique, 10% seulement sont exploités car l’objectif sous le régime de Saddam Hussein était une production de 3,5 millions de barils par jour.



L’Irak dispose aussi d’un potentiel pétrolier non exploré le plus vaste, d’un volume de 100 à 200 milliards de barils principalement dans le désert occidental. Pour certains experts, ce chiffre pourrait même dépasser les 400 milliards de barils. Si tel était le cas, le pactole pétrolier irakien serait le premier au monde. Le pétrole irakien a, de plus, de hautes propriétés chimiques car il est de bonne qualité et facile d’accès ce qui en réduit les coûts d’exploitation.



Avec un prix de baril de pétrole brut à 64 $ ou plus, un coût de production à 1,50$ ou même 1$ par baril, semblable aux coûts de production en Arabie Saoudite, les profits éventuels seront gargantuesques. La question est de savoir qui va les empocher ? L’Irak ou les géants du pétrole ?



Analyse de la loi sur le pétrole



A la surprise générale, la privatisation de l’économie irakienne par Bremer en 2003 et 2004 n’incluait pas le secteur pétrolier dont l’avenir devait dépendre de l’élection d’un gouvernement. Le CPA (Autorité Provisoire de Coalition) n’accorda que des contrats de maintenance ou de réparation pour remettre sur pied l’infrastructure pétrolière dont profitèrent abondamment les compagnies US Halliburton – 27 milliards de $ de contrats exclusifs - et Parsons sans qu’elles y mettent le cœur préférant plutôt attendre la suite des événements, à savoir la « privatisation du pétrole ». L’analyse de la loi montre qu’il ne s’agit pas d’une privatisation au sens strict du mot, à savoir le transfert juridique de la propriété des réserves pétrolières de l’Irak à des organisations privées, mais plutôt la « privatisation des revenus ». Les réserves demeurent légalement selon la nouvelle Constitution la propriété de l’Etat irakien jusqu’à l’extraction du pétrole. La question est de savoir ici, qui reçoit les revenus du pétrole et qui contrôle ce qu’il devient.



Rappelons qu’en 1925, le roi Faysal installé par les Britanniques avait accordé à l’IPC (Iraq Petroleum Company), consortium composé de compagnies pétrolières britanniques, françaises et plus tard, américaines, une concession sur le modèle des colonies britanniques pour 75 ans sans possibilité d’amendement des termes. Privé des revenus dont il avait légalement le droit -20% jamais accordés- l’Irak lança une campagne de nationalisation à l’instar des autres pays producteurs, en deux temps 1961 et 1972.



Une nouvelle mouture de rapine



Cependant, au cours des années 1960, une nouvelle forme de contrat fut conçue et appliquée, notamment en Indonésie : les PSA, accords de partage de production. A l’inverse de la concession où les compagnies possèdent des droits sur le pétrole dans le sol, et paient des compensations sous forme de royalties et taxes à l’Etat concessionnaire, le PSA conserve à l’Etat la propriété du pétrole tandis que les compagnies obtiennent des compensations pour leurs investissements dans l’infrastructure pétrolière et les risques qu’elles encourent. Les PSA ont donc un avantage politique clair selon Thomas Wade, expert en droit pétrolier à l’Université de Dundee : « … le gouvernement apparaît comme le maître du jeu – et la compagnie peut tirer les ficelles, camouflée derrière le titre légal qui symbolise l’affirmation de la souveraineté nationale ». Ces mécanismes juridiques sont couramment en vigueur dans des pays (12%) où les réserves pétrolières sont faibles ou les coûts d’extraction élevés (offshore, Amazone) ou les risques techniques ou d’exploration, importants. Ce qui n’est nullement le cas de l’Irak comme on l’a vu plus haut.



Les PSA tels propulsés dans la loi - sous la pression conjointe US et UK- représentent le viol et le pillage institutionnalisés des richesses de l’Irak puisqu’ils prévoient que les compagnies auront droit à 70% des profits jusqu’à l’amortissement de leurs dépenses de développement (rappelons-le faibles en Irak) et 20% par la suite et ce, pour une durée de 30 à 75 ans. Or, les PSA de plus de 30 ans sont inhabituels sauf en Amazone. Ils signifient de plus, pour le peuple irakien, la perte du contrôle de son industrie pétrolière au profit des grandes compagnies. Selon des projections effectuées par globalpolicy.org : « si on prend pour prix du baril de pétrole 40$, le recours aux PSA pour l’Irak entraînerait une perte de 74 milliards à 194 milliards $, si on le compare à une exploitation publique. Cette perte énorme est l’équivalent de 2800 $ à 7400$ par adulte irakien sur une période de 30 ans, durée du PSA, comparée au PNB actuel de 2100$ par tête ». Avec un prix à 50$ par baril, les pertes pour l’Irak seraient de 94 à 250 milliards de dollars.



En revanche, les taux de profits des compagnie pétrolières sont renversants : selon la taille des champs qui leur seront alloués, ils pourront s’élever de 42% à 62% pour un petit champ (le plus petit en Irak ayant un million de barils), de 98% à 162% pour un grand. Ce que l’Irak perdra sera empoché par les Majors pétroliers (Exxon, BP, Chevron, Shell, ConocoPhilipps).
Quatre autres caractéristiques des PSA priveront les Irakiens de toute souveraineté et contrôle démocratique sur leurs richesses :



- les conditions des PSA sont inchangées pour une durée de 25 à 40ans : une fois signé, le contrat ne peut être modifié et les termes dépendront de la position de force ou de faiblesse de l’Irak à la signature. Or, vu la situation politique en Irak, les compagnies joueront très certainement l’aspect sécuritaire et politique pour obtenir les gains les plus hauts.
- ils privent les gouvernements de tout contrôle sur le développement de leur industrie pétrolière : l’Irak ne sera donc pas en mesure d’évaluer le taux de production des compagnies et donc le taux de raréfaction de ses réserves. L’Irak aura ainsi des difficultés à satisfaire ses obligations de quotas vis à vis de l’OPEP, mettant ainsi l’efficacité de cette dernière en danger, à moins de réduire la production des champs laissés à la Compagnie Pétrolière Irakienne !
- 60% à 80% du secteur pétrolier couvert par les PSA sont couverts par les « clauses de stabilisation » à l’abri, ainsi, de toute nouvelle législation irakienne, que ce soit en matière de taxes, de droit du travail, d’environnement ou autres. N’oublions pas que les gains des compagnies sont garantis puisqu’ils peuvent être entièrement rapatriés dans leur pays d’origine!
- tout différend entre l’Irak et les compagnies sera tranché non pas une Cour nationale mais par l’arbitrage, méthode qui ne soucie guère de l’intérêt public des Irakiens.



Les PSA – qui ne sont pas des documents publics !- étant des textes excessivement complexes techniquement, ce qui avantage les compagnies pétrolières, il faudrait aussi se pencher sur la « Commission Fédérale pour le gaz et le pétrole », notamment sa composition partagée entre gouvernements central et régionaux, franchissant un pas de plus vers l’affaiblissement du gouvernement central ,-voire la division de l’Irak- le partage des ressources entre les Irakiens, le rôle des régions, notamment kurde et les privilèges qui lui sont accordés, la Compagnie Pétrolière Irakienne reléguée à ne gérer que certains puits en production, etc... Mais, il est plus intéressant de se tourner vers la résistance qui commence à s’organiser contre cette loi, élaborée loin des regards indiscrets, même de ceux des parlementaires irakiens, que les journalistes irakiens ont traité comme information de routine.



La résistance



76% des Irakiens estiment que la raison principale de l’invasion de leur pays par les troupes US était la volonté de Bush et de ses alliés britannique et australien de « prendre le contrôle du pétrole ». Le Parlement est la première ligne de défense puisque le texte aurait dû être adopté depuis mars, impératif posé par les Républicains et les Démocrates pour juger de la viabilité du gouvernement al-Maliki. Le ministère du Pétrole, réduit dans la loi à la portion congrue, s’insurge et comme le note un analyste pétrolier, Rafiq Latta, « Toute la culture du ministère s’oppose à (cette loi) ….Ces gens ont géré l’industrie pendant toutes ces années de sanctions. C’était un travail impressionnant et ils étaient fiers de « leur pétrole ».



Mais l’opposition la plus formidable vient de la Fédération des Syndicats du Pétrole forte de 26 000 membres et de ses alliés dans les autres unions. Ils ont fait capoter des contrats instituant un contrôle de multinationales sur certaines installations. Ils ont lancé une vigoureuse campagne dès juin 2005 contre le projet de privatisation US. En janvier 2006, ils ont convoqué une convention réunissant tous les principaux syndicats irakiens à Amman et publié un manifeste où ils dénonçaient l’ensemble du programme néo-libéral US pour l’Irak. En décembre 2006, ils ont affirmé s’opposer à la loi même si elle était adoptée.



La Résistance armée est elle aussi contre cette loi et le Vice Président Adel Abdul Mahdi, partisan de la loi, fut victime d’un attentat, le jour où le projet de loi fut rendu public. Une autre organisation de la Résistance, les Brigades de la Révolution de 1920, (en référence au combat mené contre l’occupant anglais) est prête à frapper tout membre du gouvernement « fantoche » irakien qui voterait la loi. Elles considèrent que la hâte avec laquelle les Etats-Unis ont poussé à l’adoption de ce texte prouve qu’ils sont conscients que leur occupation est de plus en plus hasardeuse. Les Sadristes ne sont pas en reste « nous voulons le développement de notre pétrole, pas qu’il soit volé. Si une mauvaise loi était passée, le peuple irakien y résisterait ». Les Sadristes craignent d’ailleurs que la loi ne fasse voler en éclats l’ « unité de l’Irak ». L’Association des Oulémas Irakiens a émis une « fatwa » (opinion religieuse) interdisant aux députés de voter en faveur du projet de loi sur le pétrole dans son état actuel. Ce qui ne peut qu’alimenter l’opposition des sunnites fondamentalistes.



Pour Bush, ce texte devait consacrer la « réconciliation nationale » entre Sunnites, Chiites et Kurdes - et la crédibilité du gouvernement Maliki auprès des Etats-Unis - puisque « un accord décisif » avait été atteint sur la répartition des revenus du pétrole en proportion de la population de régions et des provinces. En réalité, la loi ne reflète en rien ce compromis mais laisse à des textes législatifs ultérieurs et séparés, le soin de répartir les revenus pétroliers… dans le cadre des PSA. Or, dès la nationalisation du pétrole, les Irakiens n’eurent nul besoin de textes législatifs pour tirer partie de la de la manne pétrolière à des fins de développement puisque le pétrole était leur sans discrimination ethnico-religieuse. Il est d’ailleurs faux de prétendre que l’Irak a besoin d’investissements étrangers pour moderniser son industrie pétrolière. D’autres options financières et juridiques existent sans recourir aux PSA, comme le montrent les cas de l’Algérie ou de l’Iran avec leurs contrats de Risk Service Contract et Buyback Contract.
Il s’agit, en fait, pour les Etats-Unis de mettre la main militairement et économiquement sur l’Irak. Dans cette perspective, la construction à Bagdad de la plus grande ambassade des Etats-Unis du monde se comprend mieux… ou encore qu’Halliburton a transféré son siège social du Texas à Dubai !!!

http://gillesmunier.blogspot.com/

Sarkosy officiellement accuse d'avoir commandite les frappes d'Alger, les fuites le destabilisent, la diversion clearstream ne sert plus a rien !

Tentative de TSarkozy pour prendre en charge les services secrets.


La volonté de TSarkozy de s'emparer de tous les aspects de la politique du gouvernement français s'étend aussi aux fameux services secrets.

Le président a nommé un proche allié à la tête des services de contre espionnage (DST – Direction de la Surveillance du Territoire). Bernard Squarcini, 51 ans, connu sous le nom de « le Requin » a reçu un mandat potentiellement explosif : celui d'absorber l'autre principale agence de sécurité les RG (Renseignements Généraux).

Ces deux agences qui font partie de la Police Nationale sont tribalement soupçonneuses l'une envers l'autre et détestent l'idée d'une fusion. La ministre de l'intérieur Michèle Alliot Marie s'oppose également fortement à cette fusion et on rapporte qu'elle s'opposera fermement à toute interférence de Sarkozy sur son ministère.

« Le Requin » est un corse officier de carrière dans la police et expert en anti terrorisme. Il a déjà occupé la tête des RG dont la fonction principale et de réprimer les mouvements subversifs intérieurs et le « terrorisme » d'origine nationale. Sa tâche est de fusionner les RG avec la DST principale agence anti-terroriste d'origine étrangère et de services secrets. La DST espionne traditionnellement les étrangers alors que les RG espionnent les français (dont ceux de la DST). Les deux agences sont déjà géographiquement rassemblées sur un même lieu dans un immeuble moderne à Levallois Perret en banlieue parisienne.

L'argument avancé par Sarkozy pour la fusion des deux agences ce serait qu'ainsi on mettrait fin aux rivalités et qu'on rendrait l'action contre le « terrorisme » plus efficace. Ce qu'il ne dit pas, c'est que cela serait aussi plus facile pour le président de les contrôler. Les deux agences ont été accusées par le passé d'avoir été manipulées par les présidents et premiers ministres pour porter préjudice à leurs rivaux en politique. On dit que Sarkozy soupçonnerait la DST d'une tentative pour le salir dans l'affaire de Clearstream.

C'est le « Le Requin », dont les compétences en matière de contre terrorisme ne sont plus à prouver, qui aurait lui-même suggéré à Sarkozy la fusion DST- RG. Mais le fait que ces deux agences, si elles étaient effectivement regroupées soit sous la coupe d'un chef qui a fait allégeance personnelle à Sarkozy, va dans le sens d'un Etat Tzarkozy où le président concentrerait dangereusement tous les pouvoirs, sans parler de son emprise sur les médias contrôlés en grande partie par des amis de Tzarkosy.

Source des infos The Independent http://www.independent.co.uk/ 29/06/07
Tzarkozy le néo con, sous couvert de fusion entre les differents services de renseignements, veut mettre son plan à exécution : une purge stalinienne de ces services par ses loyalistes.

Les services de renseignements français vont subir une purge dictée par les néo cons de Washington, à l'instar de ceux des US, de Grande Bretagne, d'Australie, de Hollande et d'Italie. Ceux qui sont ciblés : des agents suspectés d'être trop proches des socialistes et de ceux qui sont considérés comme « pro arabes ».

L'équipe des loyalistes de Tzarkosy cible aussi des agents qui par le biais d'écoutes téléphoniques ont intercepté des communications de Sarkozy et de ses associés avec des responsables clés d'organisations néo conservatrices aux US, dont l'Américan Enterprise Institute et l'Américan Jewish Committee. Ces écoutes ont permis de prendre connaissance de la politique étrangère secrète de Tzarkosy et des voies de financement de sa campagne. Tzarkozy aurait pris des engagements auprès des néo conservateurs US qui vont à l'encontre de la politique étrangère menée jusqu'à présent par Chirac et de Villepin.


source des informations le site du journaliste américain d'investigation Wayne Madsenhttp://www.waynemadsenreport.com/ 10 mai 2007

CIA partout

Liban : un héritage français de desespoir

Yisrael purge les services avant de frapper les civils et d'accuser les Musulmans : Apres les blouses blanches, les boulangers !

Des Raids de Sarko Secouent l'Elite Dirigeante

Dans le dernier épisode de la Saga qui a divisé le gouvernement conservateur précédent et menace de diviser le nouveau, Michèle Alliot –Marie, la ministre de l'intérieur va être interrogée sur ce qu'elle savait du complot pour diffamer Nicolas Sarkozy il y a 3 ans dans une tentative apparente pour l'empêcher de devenir président.

Un maître espion à la retraite, le Général Philippe Rondot, a affirmé la semaine dernière qu'il avait révélé à Alliot Marie, qui alors était ministre de la défense, les détails d'un soi disant complot pour salir le nom de Sarkozy.

Loyale comme elle l'était à l'époque au Président Jacques Chirac, et au premier ministre Dominique de Villepin, qui tous deux détestaient Sarkozy, elle a prétendument échoué à le mettre en garde qu'il était la cible d'une tentative pour le discréditer.

L'histoire a captivé la France aux prises avec une intrigue machiavélique dans ses hautes sphères politiques. Le complot était centré sur de fausses accusations en 2004 que Sarkozy, parmi d'autres politiciens et hommes d'affaires, avait des comptes en banques secrets offshore via la Banque internationale Clearstream, basée au Luxembourg. De faux documents bancaires ont été forgés pour suggérer qu'ils avaient reçu de vastes pots de vin en lien avec la vente de frégates françaises à Taiwan.

A cette époque, Chirac était déterminé à empêcher Sarkozy de se présenter à la présidentielle. Il se méfiait de l'ambition non déguisée de cet homme plus jeune et éprouvait du ressentiment pour une affaire qu'avait eu Sarkozy avec la fille de Chirac, Claude, que Sarkozy avait ensuite laissé tomber.

» De penser que je l'ai vu dans ses sous vêtements », avait-on rapporté de ce qu'avait dit Chirac commentant la « trahison » de Sarkozy.

En fait, il y a eu deux trahisons. Non seulement Sarkozy a largué Claude, il a aussi plaqué Chirac, son mentor politique, en se ralliant à Edouard Balladur, un rival pour la nomination gaulliste à l'élection présidentielle de 1995. Les Chirac ne le lui ont jamais pardonné.

Uns fois qu'il a su que Sarkozy serait candidat à la présidentielle, Chirac a apporté son soutien à de Villepin, 56 ans, un poète amateur et historien à mi temps, qui a servi comme chef du personnel et ministre des affaires étrangères mais qui n'a jamais été élu à un quelconque poste.

Quand l'affaire Clearstream a fait surface, Sarkozy était furieux. Il a affronté de Villepin, qui était alors ministre de l'intérieur, et l'a réprimandé pour avoir ordonné une enquête du service de contre espionnage, suggérant ainsi qu'il pouvait bien y avoir anguille sous roche.

Par la suite, Sarkozy a dit qu'il attendait de la justice qu'elle lève le voile «sur les tactiques de bas niveau des conspirateurs en herbe. Je veux savoir qui m'a mis sur ces listes, pourquoi et comment ? »

Il a évité de prendre une position publique contre Chirac sur cette affaire, bien qu'il ait été convaincu que le président était derrière elle. « Je ne doit pas confondre la défense de mon honneur avec mes obligations envers le pays » a-t-il dit.

Sarkozy a rêvé d'accéder à la présidence depuis son enfance. Il n'allait pas autoriser de Villepin, un homme qu'il considérait comme un poids plume en politique, à l'évincer. Brillamment, il a inversé les rôles, et utilisé le scandale Clearstream pour discréditer son rival.

Depuis que Sarkozy a été élu président il y a 9 semaines, l'enquête s'est considérablement accélérée. La semaine dernière, un signe qui montre qu'elle approche de sa phase finale, deux juges ont perquisitionné chez de Villepin.

Le raid a été précipité par la découverte de documents informatiques sur l'ordinateur de l'espion en chef Rondot, qu'il avait essayé d'effacer. Dans ces documents, Rondot a noté que deux des conspirateurs de Clearstream lui avaient dit qu'ils agissaient sous les ordres de de Villepin.

Les juges veulent maintenant établir l'étendue de ce que savait de Villepin et s'il avait laissé l'enquête se poursuivre longtemps après qu'il fut clair que les accusations avaient été fabriquées. « Plus il y a de monde après moi, plus proche nous sommes de la vérité » a déclaré de Villepin à un journaliste. « Je refuse de devenir un bouc émissaire, ce serait trop facile. »

Prudent de ne pas jubiler en public, le bureau de Sarkozy a seulement dit qu'il n'avait pas de commentaire à faire « bien sûr » sur un sujet dans les mains de la justice française.

Tout ceci laisse planer le doute sur le fait que des charges puissent être portées contre Chirac, déjà sous le coup d'une enquête, soupçonné dans une affaire de corruption lorsqu'il occupait le poste de maire de Paris. Il affirme que toutes ses actions comme président sont couvertes par son immunité présidentielle et qu'il n'a aucune obligation de répondre d'elles.

Actuellement, apparemment prise dans des tirs de feux croisés, ce serait au tour d'Alliot Marie, 61 ans, qui a été soi disant mise au courant brièvement par Rondot en mai 2004 que de Villepin était impliqué dans le complot Clearstream mais ne l'a pas dit à Sarkozy.

En janvier dernier, Alliot Marie, dont Chirac avait dit une fois qu'elle possède « la plus belle paire de jambes dans le parti » s'est retiré de la course à l'élection présidentielle et a soutenu Sarkozy, presque certainement avec la promesse d'une poste de haute responsabilité.

Il peut penser qu'il a invité un coucou dans son nid. Des preuves que les relations entre les deux sont déjà tendues ont fait surface. Elle a fait savoir qu'elle ferait tout en son pouvoir pour empêcher Sarkozy de se mêler de la façon dont elle gère son ministère.

Il a nommé des personnes qui lui sont très proches aux postes de chef de la police nationale et de la police de Paris. Un autre allié a été nommé à la tête des services de contre espionnage que Sarkozy veut faire fusionner avec l'agence de sécurité intérieure. Alliot Marie a dit au Monde qu'une fusion serait « pour le moins prématurée ».

De Villepin, qui a subi 17 heures d'interrogatoire par les juges chargés de l'enquête en décembre dernier, une première pour un premier ministre en poste, commence a être perçu comme un bouc émissaire dans l'affaire. On dit que les juges sont prêts à engager des poursuites contre lui pour conspiration, pour impliquer Sarkozy dans le scandale.

Il doit publier cet automne un livre sur Napoléon, dont le titre, « Le Soleil Sombre du Pouvoir » a été largement considéré comme des piques à l'égard de Sarkozy. Suite aux révélations récentes, ce qui se murmure à Paris c'est que le titre du livre s'applique aussi à son auteur.

John Follain Paris – 8 juillet 2007 – http://www.timesonline.co.uk/

Traduction Mireille Delamarre pour http://www.planetenonviolence.org/


Lentement, mais sûrement, vers un Holocauste palestinien

par Richard Falk

Cet article a été écrit à l’invitation du quotidien turc Zaman

[Je signale incidemment que le dernier sondage d’opinion de l’institut Pew Global Attitudes, publié la semaine dernière, montre que le pays (sur 47 pays enquêtés) où les personnes se sont avérées avoir l’opinion la plus défavorable des Etats-Unis était leur « allié au sein de l’Otan », à savoir la Turquie – avec seulement 9 % d’opinions favorables. Même en Palestine, 13 % des répondants ont exprimé une opinion favorable des Etats-Unis, bien qu’il soit extrêmement difficile d’imaginer comment, ou pourquoi, un quelconque Palestinien pourrait bien (ou devrait) avoir une telle opinion ?]


Et quelle bête brute, revenue l’heure
Traîne la patte vers Bethléem, pour naître enfin ?”
William Butler Yeats, The Second Coming (1919)
(traduction d’Yves Bonnefoy in Anthologie bilingue de la poésie anglaise, La Pléiade, 2005)


Nul doute que l’Holocauste nazi ait été aussi proche que possible du mal absolu tel qu’il a été révélé tout au long de l’histoire sanglante de l’espèce humaine. Son caractère massif, son intention génocidaire affichée et son recours à la mentalité et aux possibilités techniques de la modernité confèrent à sa mise en œuvre dans les camps de concentration d’Europe un statut spécial dans notre imaginaire moral. Ce statut spécial est exhibé, au moyen de la présentation continuelle de ses réalités sanglantes, par des films, des livres et toute un ensemble d’artefacts culturels, plus de soixante ans après que les événements dont il est question aient cessé. La mémoire permanente de l’Holocauste est maintenue en vie, par ailleurs, par l’existence de plusieurs muséums prestigieux, voués exclusivement à la description des horreurs qui se sont produites durant la période où les nazis étaient au pouvoir en Allemagne.

Dans ce contexte, il est particulièrement douloureux, pour moi qui suis juif américain, de me voir dans l’obligation de décrire les mauvais traitements en cours et croissants infligés par Israël au peuple palestinien en devoir recourir à une métaphore aussi incendiaire que celle de l’ «holocauste ». Ce mot est tiré du grec ‘holos’ (qui signifie « totalement, complètement ») et ‘kaustos’ (qui signifie « brûlé »). Il était utilisé en grec ancien pour signifier la calcination complète d’une offrande sacrificielle sur l’autel d’une divinité. Un tel contexte impliquant une action rituelle, il y a une certaine tendance, dans la littérature juive, à lui préférer le mot ‘Shoah’, en hébreu, qui peut être traduit en gros par « calamité, catastrophe », et qui fut choisi en 1985 pour titre du film d’une durée de neuf heures, relatant les conséquences du nazisme, du réalisateur français Claude Lanzmann. Les Allemands eux-mêmes étaient plus « hygiénistes » dans leur terminologie, puisqu’ils appelaient officiellement leur projet : « Solution finale de la question juive ». Cette désignation, bien entendu, est inexacte, étant donné que plusieurs autres identités furent aussi les cibles de cette agression génocidaire, dont les Roms et les Sinti (les Tziganes), les Témoins de Jéhovah, les homosexuels, les handicaps, les opposants politiques.

Est-ce une exagération irresponsable que d’associer le traitement infligé aux Palestiniens avec ce palmarès criminel d’atrocités collectives perpétrées par les nazis ? Je ne le pense pas. Les derniers développements dans la bande de Gaza sont particulièrement dérangeants précisément parce qu’ils expriment une intention absolument délibérée, de la part d’Israël et de ses alliés, de soumettre une communauté humaine entière à des conditions mettant sa vie en danger de la plus extrême cruauté. La suggestion que ce type de comportement est en réalité un holocauste en devenir représente un appel quasi désespéré adressé aux gouvernements du monde entier ainsi qu’à l’opinion publique internationale leur demandant d’agir urgemment afin d’empêcher que ces tendances génocidaires ne culminent dans une tragédie collective. A supposer que l’éthos d’un « devoir de protection », récemment adopté par le Conseil de sécurité de l’Onu comme fondement des « interventions humanitaires » ait une applicabilité, il consisterait à agir immédiatement afin de commencer à protéger la population de Gaza contre de nouvelles douleurs et de nouvelles souffrances. Mais il serait irréaliste d’attendre de l’Onu qu’elle remue le petit doigt devant cette crise, étant donné le soutien inconditionnel des Etats-Unis à Israël, surtout si l’on prend en ligne de compte l’énergie avec laquelle les gouvernements européens ont prêté main-forte aux récents efforts illicites visant à écraser le Hamas, en tant que force politique palestinienne.

Même s’il était reconnu que les pressions exercées sur Gaza ont une potentialité génocidaire, et même si l’impunité d’Israël, sous le parapluie géopolitique américain était rangée au placard, il est très peu certain qu’une quelconque forme d’action protectrice serait entreprise à Gaza. Il y avait eu de forts signaux avertisseurs, en 1994, d’un génocide à venir au Rwanda, et pourtant, rien n’avait été fait pour l’empêcher ; l’Onu et le monde entier ont regardé sans rien faire, tandis que se déroulait le massacre de Bosniaques, à Srebrenica, en 1995 – incident que la Cour Internationale de Justice a qualifié de « génocide », voici de cela quelques mois ; de même, il y a eu des allégations réitérées d’un comportement génocidaire au Darfour, tout au long des dernières années écoulées, or la communauté internationale n’a pour ainsi dire pas bougé le petit doigt, ni afin de protéger les personnes menacées, ni pour résoudre le conflit en répartissant de manière équitable le pouvoir et les ressources naturelles entre les groupes ethniques en conflit. Mais la situation à Gaza, du point de vue moral, est pire, et de très loin, bien que des décès massifs ne s’y soient pas encore produits. C’est bien pire, car la communauté internationale est en train de regarder le spectacle hideux se dérouler tandis que certains de ses membres les plus influents encouragent et secondent activement Israël dans sa façon de traiter Gaza. Non seulement les Etats-Unis, mais aussi l’Union européenne, sont complices, comme le sont ces piètres voisins que sont l’Egypte et la Jordanie, qui redoutent manifestement que le Hamas ait un rapport, d’une façon ou d’une autre, avec leurs propres problèmes liés à l’ascension des Frères musulmans à l’intérieur de leurs propres frontières. Il est utile de rappeler ici que les démocraties libérales de l’Europe ont rendu hommage à Hitler, lors des Jeux Olympiques de 1936, après quoi elles ont envoyé balader des dizaines de milliers de réfugiés juifs fuyant l’Allemagne nazie. Je ne suggère nullement que la comparaison doive être perçue comme littérale, mais j’insiste sur le fait qu’un certain type de criminalité associée à l’action politique israélienne à Gaza a été, de fait, soutenu et secondé par les grandes démocraties du vingt-et-unième siècle.


Pour étayer ces allégations, il faut prendre en considération le contexte de la situation actuelle. Depuis plus de quarante ans, c’est-à-dire en permanence, depuis 1967, Gaza a été occupée d’une manière qui a transformé cette zone surpeuplée en un véritable chaudron de douleur et de souffrance de toute une population, quotidiennement, avec plus de la moitié des Gaziotes habitant dans de misérables camps de réfugiés, plus nombreux encore étant ceux qui dépendent des secours humanitaires pour satisfaire leurs besoins humains les plus vitaux et élémentaires. A grands sons de tambours et trompettes, sous la houlette de Sharon, Israël a soi-disant mis un terme à son occupation militaire, et démantelé ses colonies, en 2005. Ce processus a été dans une très large mesure une mascarade, Israël ayant maintenu son contrôle total sur les frontières, l’espace aérien, les eaux territoriales, tout en affirmant son contrôle militaire sur Gaza, engageant des incursions violentes, tirant des missiles sur Gaza à volonté, pour des missions d’assassinats ciblés qui sont en elles-mêmes des violations du droit humanitaire international, et trouvant le moyen de tuer plus de 300 civils gaziotes depuis son départ physique supposé.

Tout aussi inacceptable que cette première partie de cette histoire, un tournant dramatique, vers le pire, s’est produit lorsque le Hamas a remporté les élections législatives palestiniennes, en janvier 2006. Quelle ironie amère que le Hamas ait été encouragé, tout particulièrement par Washington, à participer à ces élections afin de faire montre de son engagement vis-à-vis d’un processus politique (en tant qu’alternative à la violence) pour se voir ensuite terriblement puni pour avoir eu la témérité de l’emporter ! Ces élections furent placées sous contrôle international, sous l’autorité de l’ancien président américain Jimmy Carter, et elles furent déclarées totalement libres et démocratiques. Carter a qualifié récemment ce refus israélo-américain de reconnaître l’issue d’un tel verdict électoral démocratique de « criminel » lui-même. Cela discrédite par ailleurs gravement la campagne déployée par l’administration Bush visant à promouvoir la démocratie dans cette région du monde, une initiative d’ores et déjà fortement obérée par le fiasco de la politique américaine en Irak.

Après avoir remporté les élections palestiniennes, le Hamas fut châtié, au prétexte qu’il se serait agi d’une organisation terroriste qui n’aurait pas renoncé à la violence contre Israël et qui aurait refusé de reconnaître l’Etat juif en tant qu’entité politique légitime. De fait, le comportement et l’allure du Hamas sont tout autres. Dès le début de sa création, le Hamas s’est dit prêt à travailler avec d’autres formations palestiniennes, en particulier avec le Fatah et Mahmoud Abbas, afin de créer un gouvernement d’ « union ». Plus encore, ses dirigeants ont fait montre d’une volonté de progresser vers une acceptation de l’existence d’Israël, dès lors que ce pays accepterait, quant à lui, de se retirer à l’intérieur de ses frontières antérieures à 1967, en mettant enfin en application les Résolutions 242 et 338 adoptées à l’unanimité par le Conseil de Sécurité.

Plus théâtralement encore, le Hamas a proposé une trêve de dix ans avec Israël, allant jusqu’à décréter et mettre en vigueur un cessez-le-feu unilatéral qui tint plus de dix-huit mois, et qui ne fut rompu qu’afin, pour lui, de se lancer dans des frappes plutôt pathétiques essentiellement en représailles à de violentes provocations israéliennes dans la bande de Gaza. Comme l’aurait dit Efraim Halevy, ancien chef du Mossad (service de renseignement israélien) : « Ce dont Israël a besoin, de la part du Hamas, c’est d’une fin des violences, et non d’une reconnaissance diplomatique. » Et c’est précisément ce que le Hamas a offert, et qu’Israël a rejeté.



L’arme principale à la disposition du Hamas, et d’autres éléments palestiniens extrémistes, c’étaient les missiles Qassâm, qui causèrent la mort de pas plus de 12 civils israéliens en six ans. Même si chaque mort de civil est une tragédie inacceptable, il y a une telle disparité dans les ratios des morts et des blessés des deux côtés que cela remet en cause la logique sécuritaire consistant à infliger en permanence une force excessive ainsi que des punitions collectives à la toute la population de Gaza en état d’insurrection, laquelle est considérée, à juste titre, comme la population carcérale de la plus grande ‘prison’ du monde.

Bien loin d’user de diplomatie et de respecter les résultats d’élections parfaitement démocratiques, Israël et les Etats-Unis ont pesé de tout leur poids pour renverser le résultat des élections législatives de 2006 en organisant un ensemble d’initiatives internationales visant à faire échouer le Hamas dans sa gouvernance de la bande de Gaza. Ces efforts furent renforcés par la mauvaise volonté associée des éléments vaincus du Fatah à coopérer avec le Hamas en vue de la création d’un gouvernement susceptible de représenter l’ensemble des Palestiniens. La principale tactique anti-Hamas sur laquelle on comptait beaucoup consistait à soutenir Abbas en tant qu’unique dirigeant légitime du peuple palestinien, à imposer un boycott économique aux Palestiniens de manière générale, à envoyer des armes aux milices du Fatah et à impliquer des pays voisins dans ces initiatives, en particulier l’Egypte et la Jordanie. Le gouvernement américain nomma un envoyé spécial, le lieutenant général Keith Dayton, qu’il envoya sur place travailler avec les forces d’Abbas ; celui-ci a contribué à convoyer 40 millions de dollars dans les territoires occupés, afin de mettre sur pied la garde présidentielle [prétorienne] d’Abbas, composée des forces du Fatah fidèles à Abbas.

C’était là, en l’occurrence, une politique particulièrement désastreuse. Les milices Fatah, en particulier à Gaza, étaient depuis fort longtemps largement corrompues, et elles faisaient souvent usage de leurs armes pour terroriser leurs adversaires et pour intimider la population de toutes sortes de manières violentes. Ce sont ces abus du Fatah qui ont joué un rôle non négligeable dans la victoire électorale du Hamas, en 2006, ainsi que le sentiment largement répandu dans la population que le Fatah, en tant qu’actant politique, n’avait ni la volonté ni la capacité d’obtenir des résultats quelque peu positifs pour le peuple palestinien, tandis que le Hamas, au contraire, avait réussi à résister et à mettre à la disposition de la population des services publics quasi unanimement admirés par les Gaziotes.

La phase ultime de cette dynamique interne / externe allait introduire des dissensions proches de la guerre civile à Gaza, qui aboutirent à une prise de contrôle totale par les forces du Hamas. Par une ironie dont l’Histoire a le secret, tout un ensemble de politiques adoptées par Israël en partenariat avec les Etats-Unis, une fois de plus, produisirent un résultat aux antipodes de leurs effets escomptés. L’impact du refus de reconnaître les résultats des élections a rendu (dix-huit mois plus tard) le Hamas bien plus puissant qu’auparavant dans l’ensemble des territoires palestiniens [c’est-à-dire tant en Cisjordanie que dans la bande de Gaza, ndt], et il a eu pour effet de placer celui-ci aux manettes à Gaza. Un tel résultat rappelle un effet similaire de la Seconde guerre du Liban, en juillet 2006, qui avait été déclenchée par la doublette stratégique Israël / Etats-Unis en vue de détruire le Hezbollah, mais qui a eu pour conséquence, en réalité, de faire de celui-ci une force encore plus puissante et respectée, tant au Liban que dans l’ensemble du Moyen-Orient…

Israël et les Etats-Unis semblent empêtrés dans une logique faussée, qui les rend incapables de tirer la leçon de leurs erreurs, et qui leur fait prendre toute déconvenue pour l’indication qu’au lieu de réfléchir et de mettre la pédale douce, leur initiative brouillonne doit au contraire être amplifiée et intensifiée, l’échec ayant résulté (à leurs yeux) du fait qu’ils auraient fait trop peu de ce qui s’imposait, plutôt que de ce qui était pourtant la réalité, à savoir qu’ils venaient de faire une énorme connerie…Ainsi, bien loin de tirer parti de l’appel réitéré du Fatah à la constitution d’un gouvernement d’union, et de ses assurances que son action n’était pas dirigée contre le Fatah en tant que tel, mais bien uniquement motivée par le fait que « nous ne pouvions pas faire autrement que mettre au pas une petite clique en son sein » (Abu Ubaya, commandant militaire du Hamas), Israël semble plus déterminé que jamais à fomenter une guerre civile en Palestine, à faire payer les Gaziotes de leur bien-être et de leurs vies le prix suffisant pour écraser leur volonté, et pour séparer une bonne fois pour toutes les destinées de la bande de Gaza de celles de la Cisjordanie.

La tournure insidieuse prise par l’occupation israélienne est la suivante : pousser Abbas à se raccrocher à une approche dure, sans aucun compromis, vis-à-vis du Hamas, illustrée par la création d’un gouvernement « d’urgence » non élu, en remplacement du leadership (démocratiquement) élu. Le Premier ministre d’urgence désigné, Salam Fayyad, étant nommé afin de remplacer le chef du Hamas, Ismaïl Haniyyéh, en tant que chef du gouvernement de l’Autorité palestinienne. Il est révélateur de se remémorer que lorsque le parti de Fayyad participait aux élections de 2006, ses candidats n’ont remporté que 2 % des voix… Israël, rapporte-t-on, serait par ailleurs disposé à alléger certaines restrictions imposées aux déplacements en Cisjordanie, de manière à convaincre les Palestiniens qu’ils pourraient connaître un avenir meilleur en répudiant le Hamas et en misant sur le canasson Abbas, désormais devenu un personnage politique totalement discrédité, qui a carrément bradé la cause palestinienne pour se gagner les faveurs et le soutien d’Usraël, et pour s’imposer dans la lutte interne pour le pouvoir palestinien. Afin d’atteindre ces objectifs, il est concevable, bien qu’improbable, qu’Israël en vienne à élargir Marwan Barghouthi, le seul dirigeant Fatah crédible, de sa prison, pour peu que celui-ci soit prêt à accepter l’approche israélienne Sharon / Olmert en matière de création d’un « Etat palestinien ». Cette dernière initiative est peu probable, Barghouthi étant le jour et la nuit par rapport à un Abbas : il est extrêmement peu probable que Barghouthi accepte autre chose qu’un retrait total d’Israël jusqu’à l’intérieur de ses « frontières » de 1967, avec, y compris, le démantèlement des colonies sionistes en Cisjordanie et à Jérusalem Est.

Ce dernier revirement dans la politique israélienne doit être compris dans le contexte plus large du refus opposé par Israël à l’obtention d’un compromis raisonnable avec le peuple palestinien, et ce, depuis 1967. La quasi-totalité des observateurs admettent qu’un tel résultat dépend d’un retrait israélien, de la création d’un Etat palestinien doté d’une souveraineté totale sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, dont la capitale serait Jérusalem Est, et d’une aide financière extérieure suffisante pour ouvrir aux Palestiniens la perspective d’une viabilité économique. La vérité, c’est qu’il n’y a aucun dirigeant israélien qui nourrisse cette vision ou qui soit partisan de négocier une telle solution, and c’est la raison pour laquelle le combat va se poursuivre, avec des violences des deux côtés.

L’approche israélienne du défi palestinien est basé sur l’isolement de la bande de Gaza et un saucissonnage de la Cisjordanie conservant intouchés les blocs d’implantation, ainsi que l’appropriation de la totalité de Jérusalem, considérée comme la capitale d’Israël. Cette mise au rencart de la diplomatie a été le trait dominant du comportement israélien pendant des années, y compris durant le processus dit « de paix » d’Oslo, qui avait été lancé dans la roseraie de la Maison Blanche, à Washington, en 1993, par une célèbre poignée de mains échangée entre Yitzhak Rabin et Yasser Arafat. Pendant qu’on bavardait de paix, le nombre des colons israéliens doublait, des sommes énormes étaient investies dans des routes réservées aux colonies et directement reliées au territoire israélien, et le processus ‘colonisation israélienne’ / éviction des Palestiniens’ de Jérusalem Est se poursuivait inexorablement, à grands pas. De manière significative, également, le « modéré » Arafat fut totalement discrédité en tant que dirigeant palestinien capable de négocier avec Israël, étant traité comme quelqu’un de dangereux précisément parce qu’il était impatient d’accepter un compromis raisonnable. Il est intéressant de noter que, jusqu’à tout récemment, dès lors qu’il était devenu (l’idiot) utile pour renverser la victoire électorale du Hamas, Abbas fut traité par les Israéliens comme quelqu’un de trop faible, manquant trop d’autorité pour agir au nom du peuple palestinien dans un processus de négociation – une excuse de plus, pour Israël, pour s’enferrer dans sa tactique unilatérale adorée.

Ces considérations rendent elles aussi hautement improbable que Barghouthi soit relâché, à moins que ne se produise un changement d’attitude spectaculaire du côté israélien. Au lieu d’œuvrer dans le sens d’un forme ou d’une autre d’une solution politique, Israël a érigé une muraille de sécurité aussi technologiquement sophistiquée qu’illégale sur le territoire palestinien, il a étendu les colonies, il a rendu invivable la vie des 1,4 millions de Palestiniens confinés dans la bande de Gaza, et il prétend que ces « faits accomplis » illégaux paveraient la voie en direction de la sécurité et de la paix !

Le 25 juillet prochain, des dirigeants israéliens, égyptiens, jordaniens et ‘autorito-palestiniens’ vont se rencontrer à Sharm El-Sheikh, sur la Mer Rouge, afin d’aller de l’avant dans leur diplomatie anti-Hamas. Israël propose de libérer 250 prisonniers fathaouis (sur les 9 000 Palestiniens qu’il détient, à ce jour), et de refiler les revenus des taxes palestiniennes à Abbas à tempérament, pour peu que pas un centime de ces fonds ne soient utilisés dans la bande de Gaza, où une catastrophe humanitaire est en train de bourgeonner, de jour en jour. Ces dirigeants sont convenus de coopérer dans cet effort visant à briser le Hamas et à imposer une Autorité palestinienne à direction Fatah pur sucre à une population palestinienne rétive. Il faut se souvenir que le Hamas a gagné les élections de 2006, non seulement dans la bande de Gaza, mais aussi en Cisjordanie ! Dénier aux Palestiniens leur droit à l’autodétermination garantit un retour de manivelle similaire à celui produit par des efforts du même acabit, qui ont le don de générer une version radicalisée de ce qu’on souhaiterait voir disparaître… Comme l’ont indiqué certains commentateurs, la seule manière de se débarrasser du Hamas, c’est de le remplacer par Al-Qa’ida !

Actuellement, Israël durcit le boycott économique qui a placé la population de la bande de Gaza au bord de la famine. Cet ensemble de politiques, suivies depuis plus de quarante ans, a imposé une existence infra-humaine à des gens qui ont été continument et systématiquement pris pour cible par tout un éventail de formes particulièrement cruelles de punition collective. La totalité de la population de la bande de Gaza est traitée comme « ennemie » d’Israël, et on se soucie peu, à Tel Aviv, de reconnaître l’innocence de cette société civile martyrisée depuis si longtemps. Persister dans une telle approche, dans les circonstances actuelles, est de fait génocidaire, et risque de détruire une communauté palestinienne toute entière, qui fait partie intégrante d’un ensemble ethnique. C’est cette perspective qui rend appropriée une mise en garde contre un holocauste palestinien en puissance, et qui devait rappeler au monde entier le célèbre vœu de l’ère post-nazie : « Plus jamais ça ! »

Traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier
Richard Falk on shamireaders@yahoogroups.com


Lettre a un president mythomane, raciste et terroriste !


Attentats de Paris en 1995 : Jean Louis Bruguiere, emir juridique notoire du GIA et cervide du CRIF, en France a couvert la DST... en torturant et accusant des innocents


Le 21 Juin 2007

Mr. Rahmouni Slimaneslimane_rahmouni@yahoo.fr
Monsieur le Président de la République

Palais de l’Elysée

55, rue du faubourg Saint-honoré75008 Paris

Monsieur Le Président de la République Française,


Je m’adresse à vous aujourd’hui afin d’en appeler à votre sens des responsabilités et votre devoir de garant de la séparation des pouvoirs.


J’ai été condamné à sept années de prison en 1998 pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, délit qui permet aux juges de la section Saint Eloi, (juges qui me semble-t-il comptent parmi vos amis) d’agir à peu près comme bon leur plait,bien souvent au mépris de toute règle de droit.


Je n’ai jamais digéré cette condamnation qui ne reposait sur rien mais, il en est ainsi, certains faciès sont plus enclin « génétiquement causant » à payer de lourds tributs sans que cela choque outre mesure.


Le seul hic dans cette histoire est que j’ai été physiquement torturé pour des faits auxquels je n’ai jamais participé et que j’ai condamnés et condamnerai toujours avec la plus grande fermeté.
Lorsque des journalistes ont relevé mon cas dans un hebdomadaire, je n’ai point été surpris de votre réaction qui consistait, affairisme oblige, à le noyer dans une prétendue enquête de l’IGPN.


J’ai porté l’affaire en 2005 devant la Cour Européenne des droits de l’Homme et ai été débouté en octobre dernier pour non- respect d’un article qui consistait en gros à ne pas avoir suivi les procédures habituelles, (Cour d’Appel, etc.…), ce qui relève de l’absurde puisque la France n’avait pas les moyens juridiques de me juger pour des faits qui ne la concernaient point.
De plus, la gravité des faits aurait à elle seule pu justifier d’une instruction, mais la corruption étant ce qu’elle est…


J’ai payé pour avoir combattu durant des génocides (Afghanistan, Bosnie) et ma philosophie ne peut en rien, mais vraiment en rien m’être reprochée ou condamnable.


Le silence des ONG dites apolitiques donc supposées former un contre-pouvoir a été plus dramatiques encore puisque certaines sont allées jusqu’à me conseiller d’oublier cette époque et d’aller de l’avant.


Douze années plus tard, les choses n’ont guère changé. Je me retrouve exilé, en quête de justice, mon pays, la France, qui s’est enfoncée dans une dictature policière que vous avez installée, faute de faire mieux ...


Décidément, les vieux démons ont la vie longue, à une époque pas si lointaine, c’était le Juif, aujourd’hui et pour un moment encore le Musulman.


Je vous demande donc, cela pour deux raisons au moins, de laisser la Justice faire toute la lumière sur les attentats de 1995 et de condamner les véritables commanditaires, fussent ils couverts par des services de la République.


Cela, vous le devez d’abord aux familles qui méritent de connaitre la vérité. Vous le devez ensuite pour assainir ces institutions criminelles que sont devenue la politique et la justice en France.


Et enfin, vous le devez à des innocents comme moi qui payons de notre liberté, avec notre noblesse d’Ame aussi notre engagement dans des génocides que des Etats comme le votre couvrent voire appuient.


Je vous donne là l’opportunité de vous démarquer et de vous acheter une crédibilité.


Recevez, Monsieur Le Président de La République, mes respectueuses salutations.

Vague d'attentats en Europe : La France et les generaux clairement mis en accusation !

La viste de Sarkosy a Alger s'annonce tres difficile. Des reglements de comptes et menaces fusent et les emails anonymes reprennent de plus bel.
NDLR : Email anonyme recu et diffuse sur le site. Ces emails semblent venir de personnes impliquees dans les massacres de civils en algerie et d'officiers du DRS qui ont collabore a la mise en place de la guerre civile en Algerie. L'Operation Novembre 1950 a ete revele par ses membres qui affirment avoir ete entraines, programmes et manipules par les service secrets francais au Maroc. La France est clairement mis en cause dans la recente vague d'attentats d'Alger le 11 Avril 2007 et est accusee d'avoir cree le GIA.
Ces emails evoquent une vague d'attentats menee dans plusieurs europeens par la 'structure sioniste'. Il semble que les emails publies auparavent donnent raison a ces auteurs, c'est pourquoi nous les publions. Une partie des informations envoyees se revelent exacte et veridique. Selon toute vraisemblance, ces emails constituent des echanges et des menaces faits entre services francais et leur pantins generaux Larbi Belkheir, Khaled Nezzar, Tewfik , Lamari. Ceux-ci se rejetant la responsabilite de la crise algerienne depuis le coup d'etat de 1991.
Mais nous vous demandons de garder la distance critique necessaire afin d'eviter toute manipulation. Les dates et noms des fichiers sont volontairement effaces par les auteurs.

'Scandale du GIA, les morts parlent...

MESSIEURS MESDAMES MESDEMOISELLES,

EN REPONSE A CES ENVOIS PARVENUS ET EN RAPPELANT CE FICHIER ECRIT SOUS PRESSION AU MAROC EN OCTOBRE XXXX.

NOUS REPETONS ENCORE UNE FOIS QUE LE MIS EN CAUSE VIENS CE JOUR XX XXXXXX XXXX DE SORTIR DE LA PSYCHIATRIE DE TLEMCEN APRES AVOIR DECODE LE PROCHAIN ATTENTAT TERRORISTE DE LA STRUCTURE. AU VUE DE QUOI IL A FAIT DES ENVOIS PAR TELEGRAMMES, PAR LETTRES RECOMMANDEES ET ATTESTATIONS SUR L’HONNEUR STIPULANT AVOIR DECODE LA VERITE.

CES DOCUMENTS SONT A L’ETUDE A SAVOIR QU’IL NE S’AGIT PAS D’UNE FAUSSE PISTE ! CECI EST ETABLI DANS LE BUT DE POUVOIR LES UNIVERSALISER PAR FICHIER ET DEJOUER CES ATTENTATS TERRORISTES EN PREPARATION DEPUIS PARIS!

FIN DE NOTRE ENVOI.

J'ajoute à l' envoi ci dessous parvenu que le mis en cause m'a laissé le fichier de réserve ci dessous envoyé, depuis le XX décembre XXXX se trouvant dans la boite électroniquelaseule_verite@yahoo.fr reflétant toute la vérité sur cette affaire.

Je l'envoi à ce jour XX juillet XXXX considérant sa disparition pour prouver que je fus une culture de la manipulation entre les mains des généraux de hizb franca, dont Khaled Nezzar comme le précise le fichier.

Il faut admettre l'existence d'une usine secrète de fabrication d'armes entre le Maroc et l'Algérie au lieu dit XXXXXXXX à partir de laquelle la structure menace les pays de se taire. Il faut concevoir qu'ainsi neutralisés par le chantage de cette organisation, ces pays (ndlr: Maroc, Algerie touches par le terrorisme en Mars et Avril 2007) sont devenus des proies à toutes sortes de prédateurs terroristes.

L'organisation a donc dit au pouvoir algérien de mettre fin à la vie du mis en cause physiquement ou mentalement pour non dénonciation. fin de l'envoi

Cette histoire ne me regarde pas et au cas ou ces preuves soient mises à jour, je ne manquerai pas d'étaler la matérialisation du contenu de ce fichier devant le nouveau president de la France.

Je suis incapable de décoder les lettres contenues dans ce fichier. Je termine par dire que le président de la république a élevé au rang de généraux d'autres officiers pour briser la connivence existante avec les terroristes, il va sans dire que ce n’est désormais un secret pour personne que ces derniers sévissent sur leur ordre afin de mater le peuple algérien à se taire. Fin de mon envoi

Je rappelle encore une fois ce jour XX juillet XXXX que mon client se trouve toujours à la psychiatrie de Tlemcen partagé entre idiomyl 25 et injection intraveineuse et interrogatoire pour reprendre ces fichiers afin que l’organisation ne donne pas ces cimetières collectifs, afin qu’il n’y aura pas d’attentat contre l’Algérie et afin que messieurs les généraux ne soient pas dénoncés. Qu’on ne vous trompe pas à vous dire c’est pour cerner l’organisation ou pour décoder ces attentats ou que c’est sur ordre des Etats Unis bien, au contraire mon client est traité par l’électrochoc pour orienter ces attentats, ceci parce qu’il a commis l’erreur de dénoncer ses manipulateurs francais en mai XXXX et en octobre XXXX au royaume marocain. Aidez nous pour sortir de cette situation, je précise qu ‘a cause de son fichier XXX, sa femme ma cliente a été convoqué à trois reprises à la gendarmerie locale pour ne plus répéter ses fichiers sous peine de s’exposer à de sévères sanctions, je précise la demande de cette organisation que si l’écriture manuelle de mon client obligatoire pour ces attentats ne sera pas donnée pour l’organisation avant le XX juillet XXXX, date ou devra prendre fin la proposition de la 'structure' faite à l’Europe, cela veut dire que soit l'organisation s’attaquera aux intérêts algériens ou marocains (ndlr: il semble que la structure ait frappe en Mars et Avril 2007), soit qu’elle donnera les preuves en ce qui concerne ces cimetières collectifs,

Les grands et les grandes se sont emparés de la Grande Kabylie, le gouvernement, les comptes en banque bien garni en Suisse et mon client va écrire cette cochonnerie pour répondre aux exigences de cette organisation. Les généraux n’ont pas à lui imposer cette écriture personne ne leur a dit de tuer ces innocents et les enterrer dans les casernes.

La France les a trompés alors qu’ils se démerdent pour les remembrer et les redonner à leurs familles qui les attendent alors que leurs pauvres mères sont assises pancarte en main devant le parti de l’alliance républicaine nationale à Alger, alors que son président ex-chef du gouvernement a fuit aux Etats Unis ou il se la coule douce. Je répète, avocate de mon client que ce dernier est un malade mental agissant sur ordre des généraux. Entre temps le peuple ne vit plus la misère, ce stade est dépassé. Je précise encore une fois que mon client est à ce jour traité par électrochoc pour faire les fichiers d’attentats de l’organisation sioniste et non pour les décoder, sans ça des milliers de disparus politiques à travers toutes les casernes du pays seront donnés, preuves à l’appui à l’opinion internationale.
Fin de l’envoi

A MESSIEURS LES CHEFS D"ETAT AFRICAINS EN COMMUNICATION AVEC LES CHEFS D’ETAT DU MONDE ARABE,

EN REPONSE A CE FICHIER PARVENU ET EN CE QUI NOUS CONCERNE. NOUS VOUS DEMANDONS DE COUPER TOUTE RELATION BILATERALE LA FRANCE, AU RISQUE DE VOUS REVEILLER SUR UN VOLCAN A LA MAURITANIENNE. JUSQU'AU DEMANTELEMENT DE CETTE ORGANISATION DONT LA MENACE EST DIRIGEE CONTRE LES PEUPLES MUSULMANS. VOUS ETES AVERTIS, NE TENEZ COMPTE EN RIEN DES DECISIONS PRISES CE JOUR AU NIVEAU DU NEPAD COMME CELLE DE MOHAMED VI LORS DE SA DERNIERE VISITE. COMME NOUS NE TENONS COMPTE EN RIEN DE SES EXPLICATIONS CE JOUR AUX ETATS-UNIS. NOUS N’AVONS ETE MIS JUSQU’ALORS D’AUCUNE EXPLICATION D’ORIENTATION MALGRE L’ENVOI D’EMISSAIRES OCCIDENTAUX DANS CES PAYS. VOUS ETES AVERTIS BIEN A TEMPS NE VOUS EXPOSEZ PAS UNITILEMENT. QUE LES PRESENTS TRANSMETTENT AUX ABSENTS.


Le lobby israelien a detruit la Grande Bretagne et les USA: defaite militaire, economique et politique des sionistes


Crise systémique globale / Eté 2007 : La Fed perd le contrôle de l'évolution des taux d'intérêts US et la crise commence à toucher la Chine et l'UE...



L'élément fondamental de ce 2° trimestre 2007, et qui va bousculer les anticipations de la majorité des acteurs pour les mois à venir, reste certainement l'échec définitif simultané des deux stratégies clés des dirigeants américains à savoir : . en matière économique, financière et monétaire, l'échec désormais complet de la politique de la Fed (Réserve Fédérale américaine) entamée il y a un an lors de la cessation de la parution de M3, visant à substituer une bulle financière et boursière à la bulle immobilière en implosion pour maintenir la croissance (et donc l'attractivité capitalistique) des Etats-Unis qui conduit à une perte historique de contrôle par la Fed de l'évolution des taux d'intérêts US (une première depuis 1918, hormis période de guerre et de dépression économique et sociale). . en matière militaire, stratégique et diplomatique, l'échec dorénavant avéré du plan de stabilisation de l'Irak qui survient sur fond de paralysie quasi-complète du pouvoir politique à Washington (sur lequel l'équipe LEAP/E2020 reviendra dans le GEAB N°17 - sur abonnement).


Le Printemps 2007 aura ainsi marqué le point d'inflexion de la phase d'impact de la crise systémique globale : entrée en récession de l'économie américaine, rétablissement de la courbe des taux d'intérêts aux Etats-Unis, crise sur les marchés obligataires, premiers impacts de la crise des prêts à risque sur les grands établissements financiers US comme Bear Stearns (1) et Goldman Sachs (2) ou encore Freddie Mac (3), accélération de la crise immobilière américaine (4), paralysie croissante du pouvoir politique à Washington (5), isolement croissant des Etats-Unis sur la scène internationale, échec avéré du plan de sécurisation de l'Irak, impuissance US face à l'Iran, échec de la relance du processus de paix israëlo-arabe, tensions commerciales croissantes entre la Chine et les Etats-Unis, sortie du Dollar d'un nombre croissant de pays arabes (Koweit, Syrie,...), etc... Mais c'est indiscutablement, selon les chercheurs de LEAP/E2020, ce double échec simultané de la Fed et de la Maison Blanche (et du Pentagone) qui affecte directement l'évolution de la crise systémique globale pour les mois à venir, en précipitant notamment l'UE et la Chine dans le « vide » créé par ce double échec US, tout en plongeant les Etats-Unis dans la « recessflation ».


Dans ce communiqué public, l'équipe LEAP/E2020 souhaite présenter au public des extraits duGEAB N°16 (sur abonnement) concernant les conséquences de l'échec de la tentative de relance économique menée par Ben Bernanke et la perte de contrôle par la Fed de l'évolution des taux d'intérêts US par la même Fed, un phénomène historique (6). Ainsi, le discours officiel actuel, porté par la FED, prétend que l'économie américaine va connaître à nouveau une croissance forte dans les prochains mois et réduit à une anecdote l'effondrement de la croissance US au premier trimestre (à seulement 0,6%), en pronostiquant une croissance à 2,5% voire 3% pour l'année 2007 (7) alors que par exemple les dernières prévisions économiques de l'ONU place la croissance américaine à 0,5% 2008 (8). L'équipe de LEAP/E2020 a pour sa part, dès le mois de Mars, anticipé une croissance sous les 1% pour le 3° trimestre 2007 (avec les 0,6% du premier trimestre, cela plaide pour une croissance annuelle inférieure à 2% dans le meilleur des cas; et probablement plutôt une décroissance au final). Pourtant ce discours officiel est contredit par les indicateurs objectifs disponibles (performances des entreprises, emploi, ...), même s'il est soutenu par certains indicateurs soigneusement concoctés par les ministères ou des indices subjectifs qui reflètent en particulier la mise en condition de l'opinion par le discours dominant. LEAP/E2020 a déjà eu largement l'occasion de dévoiler le fonctionnement de ces mécanismes au cours de l'année 2006 ; et dans le GEAB N°16 (sur abonnement), notre équipe de chercheurs détaille plusieurs indicateurs objectifs qui permettent d'anticiper précisément le cours de l'économie américaine pour les trimestres à venir (notamment la montée cachée du chômage, le phénomène de surévaluation de la croissance US grâce au « PNB fantôme » et l'impact de plus en plus structurant de la crise immobilière et des crédits immobiliers à risque). L'action de la Fed, depuis plus d'un an, caractérisée notamment par une opacité quasi-complète sur la réalité des actions engagées en matière de masse monétaire élargie et les évolutions des avoirs mondiaux en Dollars US, comme l'a incarné l'arrêt de la publication de M3 fin Mars 2006 (9), s'avère donc être un échec complet.


La tentative de substituer une bulle financière/boursière à la bulle immobilière, comme Greenspan l'avait fait en substituant la bulle immobilière à la bulle internet, pour maintenir la croissance US n'a pas réussi. Le président de la Réserve Fédérale, Ben Bernanke, peut continuer à inonder de liquidités l'économie US s'il le souhaite, cela n'aura désormais plus qu'un seul impact : accroître l'inflation aux Etats-Unis et renforcer la fuite hors du Dollar et des actifs en Dollars. Le consommateur US, à l'image des troupes US en Irak, enlisées dans un conflit sans fin, est épuisé et insolvable comme l'illustre le parallèle étroit entre l'évolution des ventes de détail et la hausse rapide des délits concernant les prêts à la consommation.


Du coup, la Fed va être confrontée au pire cauchemar d'une banque centrale, la stagflation ou plus exactement la « recessflation » (10). La crise actuelle qui agite les marchés financiers, avec le rétablissement de la courbe « naturelle » des taux d'intérêts replaçant le long terme au-dessus du court terme n'est qu'une illustration d'un phénomène simple : l'absence de clients pour la dette publique US et les bons du trésor américain (11). Ce ne sont pas les risques d'inflation qui font monter les taux des bons du trésor actuellement mais tout simplement le fait que plus personne ne veut les acheter (12) (une situation anticipée par l'équipe de LEAP/E2020 depuis plus d'un an). Ce sont désormais les éventuels acheteurs potentiels étrangers (seulement 11% à la dernière vente de T-Bonds (13)) qui vont de facto fixer le taux et la Fed ne pourra que suivre l'évolution des taux d'intérêts mondiaux à long terme. Elle devra parallèlement accroître ses propres rachats de la dette US, en opérant notamment via ses prête-noms que sont les grandes banques qui lui sont associées, ainsi que l'a décrit LEAP/E2020 a plusieurs reprises. La nouveauté de la situation actuelle, c'est que la Fed est en train de se faire déposséder du seul instrument qui restait encore à sa disposition. C'est donc désormais le reste du monde qui désormais va déterminer le niveau des taux US. Ce rétablissement de courbe illustre aussi le grand retour de l'incertitude systémique sur les marchés financiers. Les opérateurs se rendent compte qu'à moyen et long terme, ils n'ont plus vraiment de garantie sur l'évolution du système global (alors qu'ils croyaient à la pérennité du système actuel il y a encore quelques mois).


Cette situation illustre désormais de manière flagrante que c'est hors des Etats-Unis que se joue l'avenir du pays notamment en matière économique et financière, comme l'a déjà illustré à trois reprises ces derniers 6 mois l'impact de décisions chinoises (Dollar et bourses) sur les marchés américains. C'est une situation inédite depuis la fin de la première guerre mondiale qui illustre concrètement la fin de l'ordre mondial créé après 1945. Cette double faillite simultanée crée ainsi une situation nouvelle qui modifie profondément la perception de l'avenir pour l'ensemble des acteurs, et affecte donc certaines tendances dominantes du début de la phase d'impact de la crise systémique globale (comme par exemple la capacité d'action des Etats-Unis en matière militaire et diplomatique), tout en renforçant considérablement d'autres (notamment l'aspiration de la Chine et de l'UE dans la crise systémique du fait de leur évolution accélérée vers un statut de piliers émergents du nouveau système global, phénomènes porteurs de crise en Chine comme dans l'UE).


Ainsi l'équipe de LEAP/E2020 estime nécessaire d'anticiper, dans le numéro 16 du Global Europe Anticipation Bulletin, l'évolution des 4 tendances suivantes qui vont, dès cet été, façonner la seconde moitié de 2007 tant en terme d'économie, de finances ou de politique internationale. Les quatre tendances à hauts risques à suivre d'ici Septembre 2007 : 1. Finance - La fuite des opérateurs hors des bons du Trésor US, les Sovereign Wealth Funds, la perte de contrôle des taux d'intérêts US par la Fed et le grand retour de la volatilité 2. Economie US - Le PNB « fantôme » inventé par les statistiques US, l'aggravation de la crise immobilière aux Etats-Unis et la montée du chômage réel : la « Très Grande Dépression de 2007 » prend forme 3. Commerce international - Les retombées aux Etats-Unis et en Chine de l'entrée en récession de l'économie US : guerre commerciale accrue et système financier chinois en crise 4. Euroland - La zone Euro en crise avec l'éclatement de la bulle immobilière espagnole et des bulles monétaires spéculatives en Europe de l'Est]b Comme le décrivent les analyses de LEAP/E2020 dans le GEAB N°16 (sur abonnement), l'été 2007 va organiser ces lignes de force qui vont façonner le reste de l'année 2007 et prendre à revers les analyses dominantes de ces trois derniers mois. Les conseils de notre équipe dans ce numéro du GEAB visent à permettre aux acteurs concernés d'éviter les principaux risques de l'été à venir.

Genocide de la France en Afrique, apres le scandale du GIA en Algerie, le Genocide du Rwanda



GENOCIDE RWANDAIS DE 1994 KIGALI ACCUSE LA FRANCE D'AVOIR PARTICIPE EN FOURNISSANT DES ARMES AUX GENOCIDAIRES




Vous avez sans doute entendu parler du génocide sur les Tutsis au Rwanda, de guerres atroces (enfants-soldats au Libéria, congo, ex-Zaïre...) et des dictatures qui secouent le continent africain.


Pourquoi le gouvernement français a-t-il en connaissance de cause, continué de financer les auteurs du généocide du Rwanda ? Comment les responsables politiques français, qui se réclament des droits de l’ Homme, peuvent-ils en arriver à mettre en place ou financer des régimes aussi abominables - Tchad, Congo-Brazzaville, Cameroun, Mauritanie... ?
A qui profite le crime ?


La Françafrique, c’ est une infime minorité de Français qui, aidés au plus haut niveau de l’ état, pillent les richesses des ex-colonies françaises en Afrique, en utilisant l’ argent public et ce au mépris de millions de vies humaines.


C’ est le plus long scandale de la République française.


De nombreux politiciens et partis politiques, des hauts cadres et actionnaires de multinationales françaises ( Elf-TotalFina, Bolloré, Bouygues...) certains militaires, les dictateurs et leur entourage, les marchands d’ armes : en bref, ce sont des réseaux bien organisés qui disposent de nombreux relais dans les médias. Des centaines de milliars détournés en 47 ans. comment quelques centaines de personnes s’ enrichissent sur le dos d’ un continent en soutenant un génocide, des guerres, tortures, en organisant le détournement de l’ aide publique au développement.


Ces informations sont en majorité tirées des ouvrages de François-Xavier Verschave : La françafrique, Noir silence, Noir Chirac


- Reconnaître les aspects négatifs de la colonisation française en Afrique et l’échec des politiques françaises de coopération depuis les indépendances.


- Rendre transparente la politique de la France en Afrique :


Par l’instauration d’un contrôle parlementaire et citoyen de la politique française en Afrique ;


Par l’instauration d’un vote à l’Assemblée nationale pour toute signature d’accords de défense et toute intervention militaire de la France en Afrique ;


Par la publication des accords militaires et de défense liant la France et certains pays africains ;


Par la suppression de la cellule Afrique de l’Elysée, qui agit en toute opacité et en dehors de tout contrôle démocratique, afin de mettre un terme à la politique du "domaine réservé".


Cesser l’ingérence de la France en Afrique et à promouvoir la démocratie :


Par la suppression des bases militaires françaises sur le continent africain ;
Par la suspension des interventions militaires bilatérales de la France en Afrique sans mandat de l’ONU ;


En conditionnant la coopération française au respect de l’État de droit et du principe de la gouvernance démocratique par les États africains ;


En favorisant la supervision des processus électoraux en Afrique par l’ONU ;


En impliquant les organisations des sociétés civiles africaine et française dans l’élaboration de la politique française de coopération.


Instaurer des règles internationales commerciales et économiques transparentes et bénéficiant à toutes les populations africaines :


En demandant à l’Union européenne la suspension des négociations sur les accords de partenariat économique (APE) ;


En obligeant les entreprises françaises opérant en Afrique à respecter les normes environnementales et sociales et à publier ce qu’elles versent aux États africains ;


En améliorant les dispositifs juridiques pour permettre une justiciabilité effective des entreprises françaises pour des actes commis dans les pays où elles opèrent ;


Favoriser les flux financiers en faveur du développement effectif des populations africaines notamment :


Par l’audit et l’annulation de la dette publique des États africains ;


Par la saisie et la restitution des biens mal-acquis et des avoirs détournés par certains dirigeants africains ;


Par une réorientation massive de l’aide publique au développement en faveur d’un accès universel aux services de base et d’un soutien fort aux sociétés civiles dans la construction des Etats de droit.


Mettre un terme aux politiques répressives et sélectives de l’immigration :


Par la remise en cause des visas de court séjour ;


Par la ratification par la France de la Convention des Nations unies sur les droits des travailleurs migrants et des membres de leur famille ;


Par la dépénalisation du séjour irrégulier des migrants. Les organisations présentes au Sommet Citoyen tiennent à manifester leur soutien à la société civile guinéenne qui lutte tragiquement pour sa dignité, le respect de ses droits et l’instauration d’un régime véritablement démocratique.

Source : Survie France

ETOJO CORRESPONDANT ALTERINFO CAMEROUN


http://www.alterinfo.net/GENOCIDE-RWANDAIS-DE-1994-KIGALI-ACCUSE-LA-FRANCE-D-AVOIR-PARTICIPE-EN-FOURNISSANT-DES-ARMES-AUX-GENOCIDAIRES_a9622.html?PHPSESSID=2ae9e149905412f975769d6cfa584ff4

Brisard-Dasquie : Le chantage de la France-Israel a l'Arabie Saoudite

NDLR: Guillaume Dasquie, specialiste en 'terrorisme'... comme c'est pitoyable, tu te caches derriere une note de la DGSE... Ca existe encore la DGSE ? Tu as tente de faire chanter et de sous-tirer de l'argent par millions aux anes sefarades de Riyadh, et tu as du t'excuser mondialement avec ton ami le mythomane Brisard... Toi et tes pantins du GIA/GICM/GSPC... Maintenant que tu reponds aux coups pour coups... Nous allons voir jusqu'ou tu peux aller... On va se concentrer sur ton ami Sarkosy et les attentats d'Alger, rien que ca... Ceux qui te renseignent sont ceux qui ont cree le GIA, le GICM et le GSPC... et ils ont l'air d'avoir un gros probleme !

La DGSE ? Ou la France-Yisrael ?


La note de la DGSE sur les ressources financières d’Oussama bin Laden

Téléchargez cette note d’une page, datée du 13 septembre 2001, présentant les principaux vecteurs de financement d’Oussama bin Laden. Le 28.06.07 www.geopolitique.com a obtenu la note de la DGSE du 13 septembre 2001 qui présente les « ressources financières d’Oussama bin Laden ». Titrée « note de renseignement », et rédigée le surlendemain des attentats contre le World Trade Center et le Pentagone, elle dresse un état des lieux précis du réseau financier grâce auquel Oussama bin Laden a pérennisé ses activités...

Selon les services secrets français (ndlr: t'es sur de ce que tu racontes, les infos viennent du pentagone qui les a recu de Tel Aviv, tu veux les noms des sources ?), trois sources de financement doivent être pris en compte : certains des demi-frères travaillant au sein du groupe de BTP familial, le Saudi Bin Laden Group ; des organisations non gouvernementales islamistes ; et des hommes d’affaires saoudiens.
Au sujet de ces derniers, la note de la DGSE mentionne deux noms, Mohamed Hussein al-Amoudi et Khaled bin Mahfouz, en les citant comme les artisans historiques d’un système bancaire qui a profité à Oussama bin Laden.
Les deux hommes ont en outre été associés dans divers projets industriels en Arabie Saoudite.
Selon une autre note de la DGSE, Khaled bin Mahfouz, ex-président de la National Commercial Bank, a été assigné à résidence en 1999 par le prince héritier de l’époque, l’actuel roi Abdallah bin Abdelaziz al-Saud, après avoir été reconnu responsable du détournement de 400 millions de rials saoudiens.
Les avocats de Khaled bin Mahfouz et ceux de Mohammed Hussein al-Amoudi ont toujours démenti, catégoriquement, que leur client respectif ait pu financer Oussama bin Laden.
Lorsque cette note a été rédigée et transmise aux autorités politiques, les affaires de terrorisme islamiste à la DGSE dépendaient du Service de renseignement de sécurité (SRS), lui-même placé sous la direction d'Alain Chouet. 
Au-delà des données factuelles contenues dans cette note, se pose l’une des problématiques les plus épineuses pour la compréhension des phénomènes terroristes : qui financent les organisations, et surtout, quels paramètres prend-on en compte pour quantifier ces financements ?
À propos d’Al-Qa’ida, une étude du département du Trésor américain, du 23 mars 2005, montre que seulement 1% des sommes engagées dans des activités terroristes sont contrôlées par les exécutants eux-mêmes des actions terroristes. Et ce 1% correspond au coût, en général très modeste, des préparatifs de l’attentat a proprement parlé, tel que celui du 11 septembre, à titre d’exemple.
Le reste des fonds - soit 99% - dépend des chefs militaires et des chefs politiques de l’organisation. Ainsi, entre 1999 et 2001, alors que le commando mené par Mohammed Atta se préparait à frapper les Etats-Unis, l’essentiel des ressources financières d’Al-Qa’ida servait à entretenir les divers camps d’entraînement mis à sa disposition en Afghanistan (hébergement de 3.000 à 4.000 moudjahiddines, coûts d’infrastructures, achats d’armes…).

http://www.geopolitique.com/terrorisme/la-note-de-la-dgse-sur-les-ressources-financieres-d-oussama-bin-laden.html

L'effondrement du dollar : un autre signe de la fin du sionisme

Secousses du système financier : les initiés annoncent « le Big One ».


2 juillet 2007 (LPAC) - Dans le London Telegraph, Ambrose Evans-Pritchard dit que « Les derniers mois ressemblent au percement final de l’énorme ballon de crédit ». Il reprend et étaye les conclusions du dernier rapport annuel de la Banque des Règlements Internationaux (BRI) qui affirment que la bulle financière et monétaire est entrée dans sa phase de désintégration.

L’effondrement actuel des deux Hedge Funds de Bear Stearns a « scellé le sort de notre capitalisme mutant du 21ème siècle (...) lorsque les créditeurs menés par Merrill Lynch ont poussé à une liquidation des actifs ». « Ils ont révélé par inadvertance que les quelques 2000 milliards de dettes liées aux marchés vacillant des « subprime » et « Alt A » étaient surévalués. Même les titres de classe A n’ont rapporté que 85 % de leur valeur nominal. Les classes B, eux, ont plongé. Les banques ont interrompu les ventes avant que cette « découverte des prix » ne déclenche une réaction en chaîne de grande ampleur. »

Evans Pritchard remarque que puisque ces sous-produits n’ont plus d’acheteurs, le marché des obligations poubelles est aussi en danger. « Sur les 20 milliards de dollars d’obligations poubelles prévus à la vente la semaine dernière, seulement 3 milliards l’ont réellement été. » Puis il ajoute ces chiffres dévastateurs sur la croissance de la bulle cette année : « les Fusions/Acquisitions ont atteint 2278 milliards sur le premier semestre, soit 50 % de hausse sur un an. La dette des entreprises a bondi à 1450 milliards, soit 32 % de hausse. Les rachats d’entreprise sont montés de 23 % à 568,7 milliards. Les ventes de CDO (des titres garantis sur les dettes) ont atteint 251 milliards au premier trimestre, soit le double du record de l’an dernier. Les rachats par effet de levier se font à un ratio de dette 5,4 fois supérieur à la capacité d’autofinancement, un record absolu. »

Albert Edwards de la Dresdner Kleinworth est cité disant “C’est le Big One : tous les portefeuilles d’investissement vont être taillés en pièce ».

Cet afflux de liquidités ces dernières années est dû à « la politique ultra relâchée des banques centrales du monde depuis dix ans (...) ne blamez pas le capitalisme. Ce monstre a été crée à 100 % par les gouvernements. Les bureaucrates (oui, Alan Greenspan) ont distordu les indicateurs du marché, menant aux comportements tordus que nous voyons aujourd’hui. Comme la BRI le remarque amèrement dans son avertissement sur cette série d’excès, cette bévue est couverte d’empreintes publiques. »

Pritchard prévient qu’il ne faut pas attendre une solution venant du nouveau chef de la Réserve Fédérale américaine Ben Bernanke, « il va écraser les taux jusqu’à zéro s’il le faut puis, comme il le dit lui même, larguer du cash par hélicoptère ».

Scandale BAE : Le lobby israelien de la City dans la tourmente


VOICE OF TEL AVIV : YOU BLOODY PUPPETS IN LONDON GO TO HELL, NOT ME !

1er juillet 2007 (LPAC) - Le Sunday Times du 1er juillet exprime dans ses colonnes le souci de certains cercles britanniques alors que le système BAE pourrait se retrouver jugé devant les tribunaux américains. Si le scandale de BAE avait été jusque là minimisé, le Times reconnaît que la chute de 8 % des actions BAE reflète un changement d’attitude à la City de Londres. Cette réaction a été déclenchée « par la réputation terrifiante du Département de la Justice américain, et des amendes sévères qu’il peut imposer en appliquant le Foreign Corrupt Practices Act ».

Le Sunday Times avance même l’idée que des dirigeants de BAE pourraient être extradés vers les Etats-Unis comme dans l’affaire Enron, où trois banquiers britanniques étaient passés devant les tribunaux américains. Etant donné que BAE fait 36 % de son chiffre d’affaires sur le territoire américain et que l’argent des contrats d’Al Yamamah avec les saoudiens a massivement transité par la défunte Riggs Bank de Washington, le Sunday Times reconnaît que la justice américaine pourrait être en droit de le faire.

« L’enquête du Département de la Justice pourrait aussi devenir un cauchemar diplomatique pour la Grande-Bretagne. Puisque les accords d’Al Yamamah ont été signés entre gouvernements, des questions embarrassantes pourraient être soulevées sur l’implication du Ministère de la défense et de son agence pour les exportations (DESO) »

Avec les révélations sur le scandale de la BAE, Lyndon LaRouche a mis en lumière le rôle clé de Dick Cheney dans cette affaire. Depuis son intervention publique à Washington lors de son Webcast du 21 juin, les muets retrouvent la parole. Le week-end dernier, le Washington Post a fini par publier son dossier à charge contre Cheney et depuis le vice-président est lynché dans les journaux.

« La nation a besoin d’une intervention pour virer Cheney ». C’est le titre d’un éditorial écrit par Roscoe Born, un correspondant du Wall Street Journal, dans le Baltimore Sun. Born reprend le dossier publié par le Washington Post la semaine dernière en affirmant qu’avec cet « extrémisme de Cheney, son mépris de la loi et de la démocratie constitutionnelle et sa soif d’agression, la nation ne peut plus prendre le risque qu’il devienne président (le vice président remplaçant le président en cas d’indisponibilité - ndt). »

Dans le Des Moines Register, le grand journal républicain du centre des Etats-Unis, Richard Doak s’en prend violemment à Cheney en précisant qu’il fallait le destituer lui et non pas Bush. « Cheney a été au moins profondément impliqué, s’il n’en a pas été l’architecte, dans la plupart des activités de l’administration passible de destitution. Il est le défenseur attitré de la théorie de « l’exécutif unitaire » qui prétend justifier un pouvoir présidentiel illimité (...) Imaginez le précédent que nous laisserions s’installer si « l’exécutif unitaire » de Cheney restait sans contestation : écoutes, tortures sous l’euphémisme d’interrogatoire poussé, tout président serait autorisé à choisir les lois qu’il respecte et celles qu’il ignore. »

Le New York Times s’est joint à la fête lancée par le Washington Post, avec son éditorial du dimanche qui dénonce l’utilisation du « privilège exécutif » par la Maison Blanche pour tenir à l’abri de la justice les éléments sur les écoutes illégales. « Le privilège exécutif ne peut pas être utilisé pour couvrir les actes et les politiques violant littéralement la loi ». Une tribune libre publiée dans la même édition révèle que le 25 mars 2003, quelques jours après l’invasion de l’Irak, le pouvoir du président sur les documents classifiés a été amendé pour donner ce même pouvoir au vice président. L’auteur Frank Rich, rappelle qu’ensuite ces pouvoirs ont permis à Dick Cheney de mener ses opérations pour punir les opposants à la guerre, comme dans le cas Valerie Plame qui a valu au chef de Cabinet de Cheney 30 mois de prison ferme.

Le départ de Cheney ne pourrait être qu’une question de semaines si comme le prédisent de nombreux observateurs, Cheney est forcé de s’en aller, par un acte de pression des républicains sur Georges Bush.

www.larouchepub.com

Les analyses bidons des 'faux experts' de la Francyisrael : L'exemple de l'agent de la DGSE Dominique Thomas

En France, les analyses des mythomanes 'convertis' sont toujours aussi peu credibles, mais tres relayees par la presse sioniste...

Sur la video, l'analyse d'un ancien de la CIA... En dessous l'article de la DGSE online, le journaleux Thomas et ses analyses bidons, un mythomane qui depuis les attentats de Madrid n'est plus credible... tellement les aneries qu'il debite sont ridicules... Il devrait ecrire pour son pote Guillaume Dasquier, de la DST... Quelle honte !
Et la une autre analyse d'un ancien de Scotland Yard... Si vous continuez a penser que Thomas ne travaille pas pour les sionistes, contre les Musulmans, nous ne pouvons splu srien pour vous. Mais Sarkosy et ses liens avec le terrorisme sera expose bien avant le 09 Juillet 2007...


Le commandement d'El Aleda organise la vague de 'terreur' en Grande Bretagne !


Affaire BAE : l’establishment britannique s’agite, le temps de lourder Cheney est venu


NDLR: Les operations de diversion qui se deroulent en Grande Bretagne sont directement supervisees et organisees par les services de Clarke et Ian Blair de Scotland Yard. Elles sont directement liees a l'ambassade d'Yisrael, les criminels de guerre Blair, Gordon, Straw, Reed, Cheney, Bush, Sarkosy, Berlusconi, Aznar et les operations terroristes sionistes qui ont eu lieu depuis 1996. Elles concernent egalement l'enquete sur les operations du 07 Juillet 2005 a Londres ou les preuves de l'implication du gouvernement Blair et les agents israeliens comme Jack Straw ont ete revelees et provoquent un typhon a rebondissements puisque le scandale arrive au dessus de Paris
...

Une bataille de faction autour du scandale BAE a éclaté au grand jour à Londres le 28 juin. Le Financial Times de Londres attaque ouvertement le vice président Cheney dans un éditorial intitulé « Grande-Bretagne honteuse : le département américain de la justice a raison d’enquêter sur BAE Systems ». De son côté, le London Times, journal porte drapeau de l’empire médiatique de Rupert Murdoch, explique que « des sources à Washington indiquent que la Maison Blanche n’a aucun pouvoir d’arrêter les enquêtes du département américain de la justice ». Rappelons que cette enquête porte sur les pots de vin que BAE a versé au Prince saoudien Bandar, l’ancien ambassadeur à Washington et le va-tout des opérations secrètes de Cheney. Lyndon LaRouche, qui a été le premier à révélé l’ampleur internationale et politique du scandale BAE, a précisé que l’essentiel à comprendre ici, c’est que ces attaques ouvertes pour défendre les enquêtes sur BAE « font partie d’une division dans les rangs britanniques. Cette fracture est entre ceux qui pensent qu’il ne vaut mieux pas embêter Sa Majesté et ceux qui disent que ces pratiques sont mauvaises. Et la cible de ces querelles dans les rangs britanniques est Cheney.


« Ces messages avertissent les Etats-Unis, que le temps de lourder Cheney est venu. Et il n’y a que ceux qui haïssent les Etats-Unis qui défendent Cheney. » LaRouche explique qu’en l’absence d’une couverture sérieuse de l’affaire et de son ampleur par la presse américaine, « nous (le LPAC) rendons service aux lecteurs américains en leur rapportant ce que dit le Financial Times, que « le département américain de la justice a raison d’enquêter sur BAE Systems ».


Le London Times dit que « l’enquête de Washington laisse les officiels britanniques dans l’obscurité », que le gouvernement britannique « s’agite pour estimer la gandeur et la profondeur » de l’enquête du Département de la Justice. Un diplomate britannique confie « nous essayons d’estimer s’ils peuvent infliger des dégâts sérieux au gouvernement et à BAE ».
Du côté américain, le London Times dit que le président Bush « n’a aucun désir d’embarrasser M. Blair ou le prince Bandar, qui est un ami de la famille ». Il note que la Maison Blanche est déjà sous pression pour avoir commandité le limogeage de plusieurs procureurs et que toute nouvelle interférence de leur part dans le processus judiciaire rendrait sa position explosive.


Avec la pression venant maintenant du Sénat avec l’initiative de John Kerry pour forcer l’enquête de la Justice américaine sur les opérations malpropres commises à l’intérieur des Etats-Unis dans l’affaire BAE, le système Cheney-Bandar-Blair-Bush est sur l’échafaud. Gordon Brown n’a plus qu’à coopérer avec les enquêteurs s’il veut obtenir la rédemption.





Offensive toute azimut contre la France-yisrael et ses agents au Maghreb


Offensvie sans precedant contre la france-yisrael au Maghreb et en Europe: Comment Sarkosy financera-t-il sa vague d'attentats !!!

La publication par plusieurs organismes financiers d’une liste des pays où prospèrent les banquiers blanchisseurs et des paradis fiscaux a suscité en Algérie le souvenir amer de l’argent algérien qui a émigré sous d’autres cieux. Des observateurs algériens parfaitement renseignés ont donné des indications précises sur les fortunes mises à l’abri par les généraux. Selon ces informations qui citent des écoutes téléphoniques enregistrées en Algérie par les services spéciaux :



“Le général major Larbi Belkheir possèderait plusieurs comptes bancaires dans une banque à Genève en Suisse qui est le Crédit Lyonnais. Parmi ces comptes, les deux premiers ont été ouverts par Belkheir en personne durant l’année 1988 à la dite banque située à la place Bel Air, Genève 1204 ; l'un nominatif Larbi Belkheir dont le numéro est:104088 C, dans lequel il a fait un premier versement à l’ouverture, d’un montant de 1.220.000 dollars. Son deuxième compte bancaire est un compte numéroté: 5039500321288 qui renferme plusieurs dizaines de millions de dollars issus de diverses transactions avec des firmes étrangères et de commissions de marché. Il aurait un autre compte au Luxembourg qui est aussi en gestion privée. Le général major Smain Lamari : Il possèderait deux comptes numérotés au Crédit Suisse en Private Banking. L’un d’eux est sous le numéro : 72796365197821 SP. Il renfermerait plus de 45 millions de dollars”.

Les noms de presque tous les généraux qui dirigent ou ont dirigé l’Algérie sont cités.


Afghanistan, Iraq : Le genocide silencieux de l'uranium appauvri

Video de l'un des meilleur specialistes des armes nucleaires et uranium appauvri : (Iraq, Afghanistan) : Dr Mohammed Miraki

Abbas est entierement co-responsable du genocide des Palestiniens


LA SOLUTION FINALE : GAZA, UN GENOCIDE A CIEL OUVERT.
Onze martyrs lors d'un raid et bombardement de l'occupation sioniste à Khan Younès


Gaza – Centre Palestinien de l'Information :



Les forces de l’occupation ont tué, ce matin mercredi 27/6, onze citoyens palestiniens dont un enfant lors de plusieurs bombardements et raids aériens contre les hommes de la résistance dans la ville de Gaza et de Khan Younès.


Des sources médicales palestiniennes ont annoncé que onze martyrs sont tombés lors des bombardements israéliens contre la bande de Gaza. Trois sont tombés après les bombardements des chars israéliens qui ont envahi la région située à l’est du quartier de Chouja'ia où plusieurs obus sont tombés sur un groupe de résistants palestiniens qui se trouvaient sur la ligne est de la ville de Gaza, alors que le quatrième martyr est tombé lors des incursions des forces occupantes dans la région de Khouza'a, à l’est de khan Younès.


Dans le même contexte, les avions militaires israéliens ont effectué un raid contre une voiture civile près du centre de police de Chouja'ia à l’est de la ville de Gaza en tuant Raed Fanouna, l'un des cadres des brigades des Saraya d’Al-Qods, la branche militaire du mouvement du Djihad islamique.


Des sources médicales ont dit au correspondant du Centre palestinien d’Information que les forces occupantes qui ont envahi le village de Khouza'a dans la ville de khan Younès ont blessé quatre autres palestiniens.


D’autre part, les brigades d’Al-Qassam ont annoncé qu'elles ont pu cibler un soldat israélien sur un char et détruit un bulldozer après avoir lancer plus de 15 obus sur les forces occupantes.
Des témoins oculaires ont dit que 25 chars et bulldozers israéliens ont envahi le village de khouza'a et la région d’Abou Touaïma à l’est de la ville de khan Younès dans la bande de Gaza en ouvrant le feu vers les maisons résidentielles.


Les hommes des brigades d’Al-Qassam et des Saraya d’Al-Qods ont fait face aux forces occupantes qui ont envahi le village de Khouza'a et ont lancé plusieurs obus sur les blindés des forces occupantes.


Les brigades d’Al-Qassam ont dit dans un communiqué militaire dont le Centre palestinien d’Information a reçu une copie que leurs hommes ont lancé plusieurs obus sur les forces occupantes et ont ciblé un soldat israélien.


De son côté, les brigades des Saraya d’Al-Qods ont dit que leurs hommes se sont accrochés avec les forces occupantes dans le village de Khouza'a en affirmant qu’un résistant est tombé en martyr.


Le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a annoncé une guerre ouverte contre les branches militaires des factions de la résistance palestinienne qui font face aux agressions continuelles des forces de l’occupation israélienne contre le peuple palestinien.


Un seul jour après les réunions de Charm El-Cheikh, le président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a publié, hier, le mardi 26/6, un nouveau décret présidentiel qui interdit tous les groupes de miliciens armés, les branches militaires et paramilitaires qui appartiennent à un mouvement ou à une faction palestinien.


Selon le décret présidentiel, le président Abbas a décidé, selon les articles du chapitre septième de la loi fondamentale modifiée en 2003 et selon le décret présidentiel de l'annonce de l’état d’urgence le 14 de ce mois en cours et de la formation du gouvernement d’urgence sous la direction de Salam Fayyad comme premier ministre, a interdit tous les miliciens armés, les branches militaires ou paramilitaires qui n’appartiennent pas à l’autorité palestinienne.
Il a ajouté que ces groupes et branches ont une interdiction d’effectuer des activités secrètes ou annoncées en menaçant de juger et d'enquêter chaque personne qui aidera ou servira ces branches et groupes militaires.


Le décret a demandé au gouvernement de Salam Fayyad de mettre fin aux phénomènes des groupes armés en disant que le gouvernement doit exécuter les points des lois qui interdisent les armes et confisquer tous types d'armes et toute chose qui représente un danger contre le régime général.


Il a également renouvelé la menace à quelle personne que ce soit qui s’opposerait à ce décret en le considérant comme criminel qui perpétre un crime qui menace le régime.



Dans un discours décisif, Haniya dénonce "la faction traître" à l’intérieur du Fatah


Par Khaled Amayreh


"Ne vous bercez pas d’illusion, et ne courez pas après un mirage. L’Amérique et Israël ne vous donneront rien. Ne courez pas après le mirage, croyant que c’est de l’eau. Les Américains ne vous donneront rien, les Israéliens ne vous donneront rien. Nous ne récupérerons notre patrie usurpée que par la fermeté et la résistance."


Ismail Haniya, Premier Ministre du gouvernement palestinien élu démocratiquement, a déclaré qu’une faction traître à l’intérieur du Fatah, claire allusion au groupe de Mohammad Dahlan, avait tramé un complot et amassé des armes pour faire échec à l’Accord de La Mecque et renverser le gouvernement d’unité nationale.


Dans un discours d’ensemble qui a duré près de deux heures, Haniya a dit avoir prévenu le Président de l’Autorité Palestinienne (AP) Mahmoud Abbas qu’un coup d’Etat soutenu et armé par les USA était préparé par "une faction traîtresse".


Il a précisé que la réelle dichotomie n’était pas entre le Fatah et le Hamas, mais plutôt entre le peuple palestinien d’un côté, et l’occupation israélienne de la Palestine, l’oppression et la persécution continue du peuple palestinien de l’autre.


Ci-dessous quelques extraits de son discours :


"Je veux dire ceci aux fils et aux filles de notre grand peuple : nous ne laisserons pas les problèmes internes et les différences éclipser le problème central, qui est l’occupation sioniste de notre terre.


"Le régime israélien essaie maintenant de manipuler les derniers événements pour accomplir certains buts. Les israéliens versent de l’argent au régime Abbas et rendent les revenus des taxes de douane.

POIGNÉE DE MAIN ALARMANTE


Ils essaient de soudoyer le peuple palestinien pour qu’il se soumette. En même temps, ils resserrent le blocus de Gaza et organisent des conférences au sommet, et, par-dessus tout, ils continuent d’emprisonner notre peuple, comme Sheikh Saleh al Aruri, qui a déjà passé 15 ans dans les prisons israéliennes (Saleh Arura a été kidnappé par l’armée israélienne samedi dernier 23 juin, chez lui, près de Ramallah, ndt.).


"Il n’est pas besoin de dire que tout ce ceci n’est fait que pour permettre à Israël d’être l’ultime acteur des événements, le maître de la situation.


"Toutefois, je veux souligner que je ne suis pas contre la remise de l’argent gelé, c’est un droit naturel, et cela ne me gêne pas. Mais je souhaite que ce transfert d’argent ne soit pas l’objet d’un chantage politique et qu’il soit versé à tous les Palestiniens sans discrimination."


L’Amérique et Israël ne vous donneront rien


Haniya s’est adressé aux dirigeants arabes, y compris Mahmoud Abbas, Président de l’AP, qui vont se réunir avec le Premier Ministre israélien Ehud Olmert à Sharm al Sheikh aujourd’hui lundi.


"Ne vous bercez pas d’illusion, et ne courez pas après un mirage. L’Amérique et Israël ne vous donneront rien. Ne courez pas après le mirage, croyant que c’est de l’eau. Les Américains ne vous donneront rien, les Israéliens ne vous donneront rien. Nous ne récupèrerons notre patrie usurpée que par la fermeté et la résistance."


"Ils ont conspiré contre nous depuis le premier jour"


Haniya a fait un compte rendu détaillé de la conspiration américano-israélienne contre le gouvernement palestinien immédiatement après que l’Hamas ait gagné les élections législatives de janvier 2006.

COMPLICITÉ INQUIÉTANTE...


Il a cité plusieurs éléments du plan soutenu par les USA pour renverser le Hamas et faire échec aux résultats des élections, dont :


1. étranglement économique imposé par les USA, l’Europe et renforcé par Israël et quelques Etats arabes.


2. paralyser le Conseil Législatif Palestinien nouvellement élu en enlevant et emprisonnant 45 députés, dont 40 du Hamas. Les mesures israéliennes, a dit Haniya, ont coïncidé avec les efforts "de l’intérieur" pour paralyser le Conseil.


3. La rébellion interne s’est exprimée de plusieurs façons, en particulier en privant de pouvoir le gouvernement et en le dépouillant de ses principales prérogatives, en lui mettant "des bâtons dans les roues" et en générant l’anarchie, l’insécurité et les troubles. Ce fut une rébellion systématique et bien planifiée.


4. En fournissant à la faction traître du Fatah des armes et de l’argent par l’intermédiaire du Général Keith Dayton. Nous savons que ces armes ont été envoyées à Gaza, quelquefois ouvertement, quelquefois secrètement. Ces armes nous ont fait comprendre que quelque chose se tramait contre le peuple palestinien.


Haniya a révélé qu’un fonctionnaire proche affilié au Fatah lui avait laissé entendre que les Américains ne voulaient pas que le Hamas reste au pouvoir. "Ils voulaient nous virer, par tout moyen nécessaire."


"Nous avons résisté"


Haniya a déclaré que le gouvernement avait résisté parce que "nous ne sommes pas en charge d’un siège, ou d’une autorité, ou d’un conseil législatif. Nous sommes chargés de la cause palestinienne. C’est pourquoi nous avons résisté et que nous avons soutenu toutes les pressions, nous n’avons pas bougé, parce que nous sommes les serviteurs du peuple palestinien."
Haniya a dit qu’il y avait, à l’intérieur du Fatah, une faction qui voyait l’Accord de La Mecque comme un épisode passager, et non comme un agrément durable qui devait être respecté et appliqué.


"Les Américains et les Britanniques n’ont pas accepté l’Accord de La Mecque, et dès le tout début, ils ont cherché à le contrecarrer en armant et finançant la faction traître".
"Dès que nous sommes revenus de La Mecque, les problèmes ont réapparu. Les armes sont entrées dans Gaza, les incitations contre nous venaient de partout, et toutes sortes de provocations ont été faites contre nous. Des frictions ici et là, des rues bloquées et des checkpoints dans les rues. Alors nous avons demandé : est-ce que c’est sur ça que nous nous sommes mis d’accord à La Mecque ?"


"On sentait venir le point d’explosion."


"J’ai envoyé une lettre confidentielle au Président Abbas, lui détaillant ce qui était en train de se passer. Je l’ai informé que des choses très sérieuses étaient en train d’être préparées et que cela aurait des graves conséquences sur l’unité nationale palestinienne et sur les intérêts de notre peuple.


"Ensuite tout est devenu chaotique. Des grèves générales ont réapparu. Qui était derrière ces grèves ? Ceux qui voulaient renverser le gouvernement.


"Les grèves ont continué et aucun dialogue sur une réforme et une restructuration de l’OLP n’a pu avoir lieu. Dans les faits, l’Accord de La Mecque a été désactivé par les mains de la faction traître... et ensuite ils ont attaqué ma maison à la grenade anti-char."


Le Plan Dayton


Haniya a ensuite expliqué le plan Dayton, disant que 80 millions de dollars ont été alloués pour renverser d’abord le gouvernement dirigé par le Hamas, et ensuite le gouvernement d’unité nationale.


Il a déclaré que le plan Dayton avait pour but de ruiner nos efforts de réforme des services de sécurité.


"Lorsque nous avons essayé de réformer les services de sécurité, la situation nous a explosé à la figure. En bref, ils voulaient exclure et supprimer le Hamas, à n’importe quel prix, mais à celui d’une guerre civile sanglante."


"Le problème n’est pas avec le Fatah"


Haniya a répété que le problème n’était pas entre le Hamas et le Fatah.
"Le problème est avec une certaine faction au sein du Fatah, qui est arrivée à contrôler le Fatah et l’Autorité Palestinienne, une faction qui se sert de l’argent, des armes et du soutien américains pour intimider et détruire le gouvernement palestinien légitime pour servir les intérêts israéliens.


"Nous avons découvert de nombreuses preuves révélant l’ampleur des dégâts que ces gens auraient provoqué à la cause palestinienne et au peuple palestinien.
"Je suis sûr que lorsque nous montrerons ces documents, nombreux sont ceux qui seront choqués par l’audace de ces éléments."


Le Conseil Central de l’OLP


Haniya a critiqué les conseils central et national de l’Organisation de Libération de la Palestine, accusant la direction de l’Autorité Palestinienne de s’en servir pour entériner, sans discussion, une politique et des décisions qui vont au détriment des intérêts du peuple palestinien.
"Je ne comprends pas pourquoi ils invoquent le Conseil Central quand ils en ont besoin, et l’oublient quand cela les arrange.


"Le Conseil Central est-il sollicité seulement lorsque l’Autorité Palestinienne veut faire des concessions à Israël au dépens de notre peuple ?


"Pourquoi le Conseil n’intervient-il pas lorsque notre peuple assiégé souffre ?


"Pourquoi ne s’est-il pas réuni pour discuter de l’enlèvement par Israël de nos députés et ministres ?


"Pourquoi n’est-il pas intervenu lorsque Yasser Arafat a été assassiné ?


"Pourquoi n’est-il pas intervenu pour discuter de la tragédie de notre peuple dans le camp de réfugiés de Nahr al Bared ?


"Pourquoi n’est-il pas intervenu lorsque Sheikh Yasin et al-Rantissi ont été assassiné par Israël ?


"Pourquoi se réunit-il seulement pour révoquer la Charte Nationale Palestinienne et dissoudre le gouvernement légitime démocratiquement élu ?"


Haniya s’est moqué de ceux qui accusent le Hamas d’avoir fait un coup d’Etat contre la légitimité.


"Comment pouvons-vous nous faire un coup contre nous-mêmes ? Nous faisons partie de la légitimité palestinienne. Nous avons gagné la confiance de notre peuple par les urnes. Comment peut-on se retourner contre soi-même ?"


Haniya a souligné que le "gouvernement d’urgence" basé à Ramallah et dirigé par Salam Fayyad était illégal et abusif et que le gouvernement basé à Gaza était le gouvernement légitime. Il a dit la Législation Fondamentale Palestinienne ne prévoyait rien qui ressemble à un "gouvernement d’urgence."


Haniya a démenti les déclarations de désinformation d’Israël et du Fatah selon lesquelles le Hamas voulait établir un émirat islamique, ou un Etat de style taliban, à Gaza.


"Gaza est partie intégrante de la Palestine, et les Gazans sont une partie intégrante du peuple palestinien."


Il a accusé Abbas et ses factieux de prendre des décisions et d’émettre des ordres exécutoires qui consolideront la "séparation de Gaza".


Enfin, Haniya s’en est violemment pris à l’Autorité Palestinienne pour avoir permis "cette indécente rupture de la loi et de l’ordre en Cisjordanie."


Il faisait référence aux déchaînements sanglant et violents des gangsters du Fatah contre les militants du Hamas, leurs maisons et leurs commerces.



Source : Palestine Info Traduction : MR pour ISM
http://www.ism-france.org/news/article.php ?id=7009&type=analyse

Vague d'attentats en Europe : Sarkosy frappera-t-il avec des armes bacteriologiques sa 'propre' population ?


Vague d'attentats en Europe, Sarkosy met en place ses reseaux sionistes terroristes dans le sud de la France.


Banlieues, agents provocateurs, Sarkozy...



Qui se souvient des incendies de bus d’octobre 2006 ? Survenus dans un contexte étrangement calme, certains incendies ont laissé une impression “d’organisation” : les incendiaires étaient cagoulés et armés et s’évanouissaient aussitôt leur forfait commis. Inversement, d’autres incendies avaient une allure “amateur” et étaient commis par des jeunes gens qui voulaient imiter les premiers et qui, malheureusement, ont parfois failli tuer des passagers, comme à Marseille.



À l’époque, un communiqué du Parti Communiste Français (PCF) décrit certains incendies comme des actions « manifestement très organisées » (1), tandis que le site d’information alternatif bellaciao évoque une « opération de barbouzage » (2), autrement dit menée par les services secrets. Barbouzage : le mot est lâché. Or, Wayne Madsen, l’un des meilleurs journalistes d’investigation étasuniens (il fut sélectionné pour interroger la Commission d’enquête sur le 11 septembre), révèle sur son site Wayne Madsen Report (WMR) que certains incendies de bus dans les banlieues françaises étaient le fait d’agents provocateurs, financés par une caisse noire alimentée par des saisies dans les affaires de drogue, le tout... sous la houlette de Nicolas Sarkozy (3). À en croire Madsen, le reproche fait à Sarkozy par de nombreux cadres de la gauche d’avoir mis le feu aux banlieues pourrait bien se révéler être à prendre au pied de la lettre ! Madsen tient son information d’une source appartenant aux services secrets français et qui qualifie par ailleurs Nicolas Sarkozy de « petit Hitler français » - chacun appréciera la formule.


Une enquête allemande confirme en partie

En matière de services secrets, la prudence reste de mise : une manipulation est toujours envisageable et on a rarement de certitudes à chaud. Toutefois, un journaliste allemand, Udi Ulfkotte, confirme la présence des agents provocateurs dans les banlieues françaises et Madsen lui-même est fin connaisseur des services secrets et de politique internationale. Par ailleurs, observons le fait suivant : une manipulation ne fonctionne que si elle se propage dans l’opinion. C’est pourquoi les manipulateurs préfèrent s’adresser à la presse nationale plutôt qu’à un journaliste étranger sans relais médiatique national - fut-il bon. Un exemple ? La “petite” affaire Clearstream (l’affaire française) s’est essentiellement propagée grâce à la presse et notamment au journal Le Monde. Si elle s’est propagée si fortement, c’est parce qu’elle émanait d’un grand journal. L’information du Wayne Madsen Report établissant une connexion entre Nicolas Sarkozy et un réseau de barbouzes opérant dans les banlieues n’a pas suivi ce circuit et qui plus est, a été confirmée en partie par une deuxième enquête, celle d’Udi Ulfkotte. Par conséquent, l’évidence est de dire que nous n’avons pas ici la signature d’une manipulation - au contraire.

L’autre examen de l’information du Wayne Madsen Report consiste à se demander si elle s’inscrit logiquement dans ce que nous savons. Selon Madsen, c’est le cas puisque Sarkozy et la politique qu’il s’apprête à mener sont qualifiés de néo-conservateurs. Or, nous savons que la doctrine néo-conservatrice comporte notamment l’idée que la défense de la démocratie s’opère mieux en présence d’un ennemi extérieur et qu’en l’absence d’un tel ennemi, il convient de le fabriquer. La doctrine néo-conservatrice recycle la “stratégie de la tension”, technique bien connue de nos amis des services secrets, ici à peine enrobée pour séduire des gouvernants de plus en plus décomplexés. “Fabriquons la violence pour pousser la population à rechercher l’autorité et la sécurité en échange d’une diminution de leurs libertés”, telle pourrait être la devise des néo-conservateurs qui, outre-Atlantique, excellent en travaux pratiques.

Les émeutes urbaines nourrissent la peur, qui nourrit le vote Sarkozy : tout se tient

Malgré la cohérence de l’information apportée par le Wayne Madsen Report, gardons par prudence l’idée que cette information est vraie avec une chance sur deux. À quoi sert une telle information ? Eh bien, outre sa gravité potentielle, à nous rendre vigilants. Dans l’absolu, une dérive est toujours possible et c’est notre négligence qui la rend possible. Tous les citoyens, qu’ils aient voté ou non pour Nicolas Sarkozy, devraient garder cette information dans un coin de leur tête et se montrer particulièrement attentifs dans les mois et les années à venir. Chaque mois, chaque année qui passera sans débordements de violence « manifestement très organisé(s) » montrera non pas que l’information du Wayne Madsen Report est erronée mais que l’action des barbouzes a été limitée dans le temps. Inversement, si des émeutes se produisent, les citoyens devront s’attacher au moindre détail : le mode opératoire dénote-t-il une grande organisation ? La violence est-elle montée progressivement ou a-t-elle été précédée de “pics” ? (les pétards dans la poudrière...) A-t-on interpellé les fauteurs de trouble et sont-ils crédibles vis-à-vis des faits reprochés ? Le gouvernement présente-t-il à chaud un texte de loi dont la sophistication suggère qu’il était préparé ? Cette vigilance est le devoir sacré de tout citoyen, quel que soit le président de la République élu, et ce devoir ne se résume pas bien entendu aux seules violences urbaines. Tout pouvoir a besoin d’un contre-pouvoir.

Menaces à venir


Poursuivons notre réflexion et supposons vraie l’information du Wayne Madsen Report établissant une connivence entre Nicolas Sarkozy et les barbouzes qui incendiaient les bus en octobre, et tentons d’envisager comment Nicolas Sarkozy se servira demain de son “arme secrète”. Trois scénarios se dégagent : 1. Il ne s’en sert plus (ça y est, il a le pouvoir, il est content). 2. Il continue à s’en servir (pour asseoir son pouvoir). 3. Il passe à l’échelle supérieure : il encourage le plus violent des groupes infiltrés à commettre un attentat majeur sur le territoire français.

Un premier indice en faveur du scénario 3 nous est fourni par les menaces brandies récemment par Al-Qaïda à l’encontre de la France, menaces parvenues par le même canal que les revendications des attentats de Madrid et Londres, deux opérations aux forts relents barbouzards. Le recours à ce canal nous met donc la puce à l’oreille. Dans le même temps, n’exagérons rien car les menaces sans suite sont légion.


Un deuxième indice en faveur du scénario 3 nous est suggéré par le Wayne Madsen Report, lequel rapporte que Nicolas Sarkozy, sitôt élu, a entamé une purge des services secrets français, qualifiée par Madsen de « purge stalinienne » (4) - et notez bien : alors que nous sortons d’un gouvernement de droite. D’après Madsen, les services secrets - notez toujours, ceux laissés par Jacques Chirac, pas par la gauche - sont jugés trop pro-arabes et trop proches de la gauche. Cette purge pourrait annoncer un tournant dans la politique internationale de la France et déboucher sur une politique plus à droite, plus Atlantiste et plus pro-israélienne que ne l’était celle de JacquesChirac, qui en la matière fut fidèle aux traditions française et gaullienne. Comment le président nouvellement élu fera-t-il accepter ce tournant par les français, alors que la politique internationale a été l’une des grandes absentes de la campagne ? Nicolas Sarkozy passera-t-il outre l’avis des français, comme le fit Tony Blair en Grande-Bretagne en défiant un cortège d’un million de manifestants anti-guerre ? Ou, et l’on revient à la nécessité de services secrets “décomplexés”, exploitera-t-il un “événement” intérieur capable de refaçonner l’opinion ?

S’agissant de politique intérieure, il n’aura échappé à personne que Nicolas Sarkozy veut aller vite en réformes. Dans un pays que l’on dit ingouvernable, une diversion, comme un attentat majeur par exemple, tomberait à pic : le temps que l’on se remette de nos émotions et hop, on découvre que les grandes réformes sont passées !


Le scénario 2 comporte une variante astucieuse : les réformes promises pourraient provoquer à la rentrée 2007 un important mouvement social. Les jeunes issus des banlieues défavorisées, particulièrement attaqués tant par le candidat Sarkozy que par le ministre de l’Intérieur Sarkozy, et qui ont voté massivement pour Ségolène Royal, pourraient s’y joindre. Dans un tel cas, la mission confiée aux barbouzes consistant à créer des désordres dans les manifestations afin de rendre le mouvement impopulaire sera odieusement facilitée : il sera facile d’imputer les débordements à ces jeunes, dont l’image est déjà abîmée dans l’opinion.

Enfin, scénario 1 : Sarkozy choisit de compter sur sa seule force politique et sur ses talents de communiquant et entend gagner à la loyale. Compte tenu de l’ego du personnage, ce n’est pas impossible.


Combinaison explosive

Aucun des trois scénarios n’a ma “préférence” et nul ne sait à quoi ressemblera le quinquennat Sarkozy. Mais la présence d’agents provocateurs dans les banlieues en octobre dernier, le soupçon d’une connivence entre ces agents et le nouveau président, la purge des services secrets entamée au lendemain de sa victoire, les besoins d’un calendrier politique à la fois ambitieux et risqué, l’allégeance de Nicolas Sarkozy aux néo-conservateurs étasuniens et à Israël (5) et ses élans de camaraderie envers Tony Blair, qui a fabriqué les faux permettant de déclencher la guerre préventive étasunienne en Irak, forment une combinaison explosive qui éveille ma méfiance à un degré inimaginable sous Jacques Chirac.



Le fatah est sous controle israelien : Dahlan, Abbas


Hamas dévoile des documents dangereux sur l'immoralité de certains leaders sécuritaires


Gaza – Centre Palestinien de l'Information:


Le mouvement du Hamas a dévoilé des documents secrets très dangereux au sujet de certaines vérités et pratiques des services de la sécurité en confirmant qui prouvent l’implication de certains chefs des services de la sécurité ainsi que le courant agent au mouvement du Fatah dans plusieurs affaires honteuses, financières, morales, des rapports directs avec l’occupation israélienne ainsi que la formation des équipes de la mort pour créer l’anarchie sécuritaire.



Dr. Khalil Al-Haya, l’un des leader du mouvement Hamas a dit, hier soir vendredi 22/6, lors d’une conférence de presse que le mouvement du Hamas dévoile ces documents après les accusations du président de l’autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, et sa fermeture à toute occasion de dialogue en déclarant que le mouvement va dévoiler les raisons qui l’ont poussées de nettoyer la bande de Gaza des services de la sécurité préventive qui est accusé de jouer le rôle d’agent en faveur de l’occupation israélienne.


Dr. Khalil Al-Haya a montré un document écrit par la main de Mohammed Dahlan qui a conduit les groupes rebelles, lors d’une réunion d’Abbas avec le premier ministre israélien, Ehud Olmert, où il ont donné aux groupes de Dahlan en Cisjordanie plus de 2500 fusils et deux millions de balles pour faire face au mouvement islamique.


Le leader du Hamas a déclaré que le peuple palestinien a été victime d’une étape de complots à travers la provocation internationale et locale contre le Hamas, le gouvernement palestinien, les manifestations armées des éléments des services de la sécurité et la démolition des sièges du gouvernement et du conseil législatif palestinien à Ramallah.


Dr. Khalil Al-Haya a souligné que les parties qui travaillent pour l’intérêt de l’occupation ont commencé à exécuter un coup d’état par force contre le gouvernement après avoir échoué à frapper le mouvement du Hamas et le gouvernement élu démocratiquement.


Al-Haya a dévoilé que le mouvement du Hamas possède des documents dangereux qui affirment l’implication des services de la sécurité préventive à beaucoup d’opérations d’écoute contre l’ancien président de l’autorité palestinienne, Yasser Arafat, et contre l’actuel président, Mahmoud Abbas ainsi que d’autres personnalités pour pratiquer des chantages en montrant que les services de la sécurité préventive ont fait tomber plusieurs anciens ministres et responsables palestiniens dans le vice.


Il a ajouté que les services de la sécurité préventive et des renseignements généraux possèdent des informations sur des payas arabes et musulmans qui ont aidé à imposer des sièges contre certains pays arabes.


Il a montré également que les services de la sécurité ont pratiqué le commerce de drogue et d’argents falsifiés.


Dans le même contexte, Al-Haya a annoncé que le mouvement du Hamas a confisqué dans les sièges des services de la sécurité des rapports qui comportent des informations sur les leaders du mouvement du Hamas et des brigades d’Al-Qassam qui ont été présentées aux services de l’occupation israélienne avant de cibler assassiner plusieurs d’entre eux dont le dernier raid était le massacre sauvage contre la maison de sa famille ou plusieurs membres de sa famille sont tombés entre martyrs et blessés.


Il a exposé également des plans de certaines parties appartenant au Fatah pour former des groupes de surveillance et d’espionnage contre toute les actions et activités du Hamas ainsi que ses leaders, éléments et sites ainsi que d’autres factions palestiniennes.


Il a dit : « les services de renseignements israéliens ont dit que le mouvement du Hamas a mis la main sur un trésor de renseignements dans la bande de Gaza, en soulignant que le Hamas possède des milliers de documents qui impliquent les services de renseignements d’opérations d’écoute contre les citoyens et autres et que ce qui a été dit par les israéliens au sujets des renseignements aux mains du Hamas ne représente qu’1% de ce que possède le mouvement.
Le leader a dévoilé aussi qu’un officier des services de la sécurité de la présidence a avoué dans un enregistrement que les services de la sécurité du président Abbas ont reçu des ordres d’ouvrir le feu pour assassiner le premier ministre palestinien, Ismaïl Haniyeh au passage de Rafah, tout en soulignant que le mouvement va garder ces documents et vérités dans le but de les présenter à la commission arabe pour l’enquête sur les événements à Gaza.


Al-Haya a montré des dossiers qui condamnent les services de renseignements et de la sécurité préventive qui ont installé des appareils d’écoute dans la maison de l’ancien président de l’autorité palestinienne, Yasser Arafat et de l’actuel président Mahmoud Abbas.


Al-Haya a confirmé lors de la conférence l’implication des chefs de services de la sécurité dans l’enregistrement de certaines informations qui menacent la sécurité nationale arabe et des informations autour des pays arabes, islamique, de certains lieux, de personnalités religieuses et politiques qui entrent dans le département des relations internationales tout en soulignant qu’il a dévoilé ces informations car elles constituent un danger au niveau stratégique et international.


Au sujet du prétendu complot d’assassinat du président Abbas par les brigades d’Al-Qassam, il a dit que le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal a affirmé au président Abbas que les brigades d’Al-Qassam n’ont jamais réfléchi à de telles actions.


D’un autre côté, al-Haya a souligné que le mouvement du Hamas n’a pas l’intention de créer un état islamique dans la bande de Gaza comme le prétend Abbas, mais il affirme l’union de tous les territoires palestiniens occupés en 1967.


Au sujet de la position du Hamas envers les décisions du conseil central de l’OLP qui a accusé le Hamas d’avoir effectué un coup d’état contre l’autorité palestinienne, il a déclaré que le mouvement du Hamas a pris sa légitimité à travers les urnes et qu’il n’attend pas la permission du conseil central de l’OLP.


Enfin, Dr. Khalil Al-Haya a appelé tous les hommes libres dans les territoires palestiniens à s’unir pour reconstruire la bande de Gaza.



La Resistance Islamique de Palestine confirme avoir saisi des documents ultra-secrets a Gaza


NDLR: Selon des sources bien informees, les documents prouvent qu'il y a plus qu'une collaboration entre yisrael et des pays comme l'Egypte, la Jordanie, le Maroc, L'Arabie Saoudite, le Koweit, le Liban, la Lybie, la Syrie. Les dirigeants de ces pays sont directement responsables du genocide des Palestiniens. Des documments explosifs sont en cours de publication... Ils ont permis de demontre que la CIA prevoit de tuer Abbas et d'accuser le Hamas, comme nous vous l'avons decrit la semaine passee. Depuis 1968, le Fatah est sous controle israelien ! L'Arabie Saoudite fournit du petrole gratuitement a yisrael depuis 1967 !!!



Une montagne de renseignements tombe aux mains de la Résistance Palestinienne


Gaza – Al-Nassira – Centre Palestinien de l'Information


Le financement était sans limite, les facilitations douteuses étaient sionistes, les noms et les couleurs de parties impliquées étaient variés ; mais cet appareil sécuritaire est tombé aux mains de la résistance palestinienne, pourtant il avait été mis en place contre elle.


Il s'agit des appareils sécuritaires pour lesquels l'administration américaine et l'Entité sioniste, en coopération avec d'autres partis, avaient beaucoup investi afin qu'ils soient une guillotine visant la résistance palestinienne et un fardeau compromettant toute chance au projet de la libération palestinienne de réussir.


Des bureaux aux services de l'ennemi


En fait, sur plusieurs années, des bureaux ont de plus en plus été protégés et renforcés. Heureusement, du jour au lendemain, ils sont tombés aux mains de la résistance. Au fond, les brigades du martyr Ezzidin Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas, a mené sa rapide campagne contre ces sièges autant pour corriger les situations incorrectes et intenables que pour cerner leurs membres qui devenaient de simples pions servant les agendas américains et sionistes.


La tombée de ces tours a beaucoup de significations quant au projet américain sur la scène palestinienne. L'affaire est plus importante qu'une simple mainmise de la résistance sur des armes, des munitions, des blindés… Tout est bon pour une guerre civile comme celles que l’on voit partout dans le monde notamment en Amérique du Sud.


Une perte considérable


La perte américano-sioniste ne s'arrête pas aux niveaux de systèmes de renseignements et de communications. Elle s'étend vers une mer d'informations et de documents de très haut degré d'importance.


Actuellement, des bureaux de renseignements sionistes s'occupent à étudier les effets de cette mainmise ; pour eux, c'est une catastrophe réelle, la plus grave depuis la deuxième guerre mondiale, après la chute du nazisme, après la chute de l'Union Soviétique dans les années quatre-vingt-dix, selon le site sioniste de Dabka.


Les plaques d'immatriculation sionistes trouvées dans ces sièges et exposées par les brigades d'Al-Qassam indiquent clairement combien ces appareils n'étaient palestiniens que par leurs noms ; ils ne servaient aucunement l'intérêt palestinien.


Les documents compromettent des personnes qui travaillaient avec l'ennemi sioniste, pour ses intérêts. Les informations sont d'autant importantes que l'aviation israélienne voulait bombarder lesdits bureaux après leur tombée aux mains de la résistance palestinienne, les brigades du martyr Ezzidin Al-Qassam, branche militaire du mouvement de la résistance islamique Hamas, en particulier. Tout compte fait, les Israéliens ont changé d'avis pour ne pas compromettre encore plus leurs bras, leurs traîtres.


Investir les documents


Dans la mesure où les brigades d'Al-Qassam sont des brigades très bien organisées qui possèdent déjà un système efficace de sécurité, que l'opération de la capture du soldat israélien Gilad l'a bien confirmé, la mainmise sur ces informations et documents prendront encore plus d'importance. En effet, elles peuvent efficacement investir ces documents.


Finalement, les brigades ont inscrit un point important dans sa guerre avec l'occupation israélienne et surtout avec ces bras qui sont maintenant très courts après le développement important de la bande de Gaza.



La Resistance Islamique humilie yisrael

Des infos secrètes concernant Israël tombent aux mains du Hamas





par Yeni Safak (journal turc)
[Le Hamas s'est emparé de la bande de Gaza. Il s'avère que d'importants documents ultrasecrets, saisis dans le bâtiment des services de renseignement du Fatah, révèlent des relations occultes entre Israël et cette organisation.]
A la suite de la prise de contrôle de la bande de Gaza par le Hamas, la semaine dernière, nous sommes en train de vivre des développements très intéressants. Un site internet proche des services de renseignement égyptiens a révélé que, ces derniers jours, un trafic téléphonique sans précédent a été relevé entre Israël et l’Egypte. Ce site affirme également qu’au cours des discussions en cours depuis deux jours entre ces deux pays, Israël a exigé des responsables des services de sécurité égyptiens qu’ils lui remettent des milliers de documents secrets dont le Hamas s’est emparé, à Gaza. On apprend que le Hamas, en s’emparant du Centre des Renseignements du Fatah, à Gaza, est tombé sur un gigantesque archivage de données de renseignement. Les sources du renseignement israélien ayant donné cette information aux services homologues égyptiens a fait savoir qu’au cas où le Hamas révélerait et diffuserait ces informations, cela représenterait la « plus grande catastrophe du siècle ».

Toutes ces infos vont-elles se retrouver aux mains des Iraniens ?

Le site en question a affirmé que, d’après les sources du renseignement israélien, on n’avait pas vécu des événements d’une telle gravité depuis la chute du régime nazi, à la fin de la Seconde guerre mondiale, ou encore depuis la fin du régime communiste d’Allemagne de l’Est, dans les années 1990. Il fait savoir que les informations saisies [par le Hamas] dans le centre du renseignement palestinien [de Gaza], créé par les Etats-Unis et l’Angleterre, se comptent par millions. Il a été affirmé qu’Israël à demandé au régime égyptien de l’aider à s’emparer immédiatement de ces informations, de peur qu’elles ne tombent aux mains de l’Iran, du Hizbullah et de la Syrie.

Que contiennent lesdites informations ?

Ces documents comportent notamment, a-t-il été indiqué, des informations concernant des opérations conjointes entre services israéliens et étrangers du renseignement, les noms de Palestiniens ayant servi d’intermédiaires avec Israël, les noms de kollabos palestiniens ainsi que des informations relatives aux transferts d’armes et d’argent sale [entre Israël et l’Autorité palestinienne, ndt]

Article original en turc.

Traduit du turc par Marcel Charbonnier.
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=SAF20070620&articleId=6036
http://www.alterinfo.net/


Attentats d'Alger : L'ambassadeur d'Yisrael en France Nicolas Sarkosy en premiere ligne avec l'Alliance Base (CIA+DGSE=mossad)


La CIA à des centres CTICs dirigés conjointement avec les services secrets de plus d'une vingtaine de pays hôtes dont la France



Dans le cadre de sa lutte "contre le terrorisme" la CIA a installé dans plus d'une vingtaine de pays des centres d'opération conjoints où des agents de la CIA ainsi que des officiers des renseignements des pays hôtes travaillent en étroite collaboration. Ces centres de services secrets conjoints sont financés principalement par la CIA et utilisent des méthodes d'espionnage hyper sophistiqués, notamment des systèmes de communication directement liées aux bases de données centrales de la CIA, et donnant aussi accès à des informations classées top secret, que la CIA ne partageait autrefois qu'avec ces plus proches alliés.

Ces centres appelés CTICs ( Counter Intelligence Centers) qui fonctionnent donc sous direction conjointe, prennent des décisions quotidiennes sur comment et quand arrêter des suspects, et s'ils doivent être "convoyés" vers d'autres pays pour y être interrogés et détenus.

Depuis le 11 septembre, la plupart des arrestations et assassinats de présumés terroristes d'al Qaeda (environ 3000) ont été menés avec l'étroite collaboration de ces CTICs. L'agence de renseignements américaine n'a plus besoin de recruter toute une armada d'agents secrets, de diplomates, de faux journalistes, d'attachés militaires, pour s'emparer des secrets des autres pays. La CIA, sous la direction de Georges J. Tenet, a réorganisé ces centres de "contre terrorisme" à l'étranger en demandant la collaboration des services de renseignements des pays hôtes.

Ainsi, en 2003, alors que le gouvernement français prenait position contre la guerre en Irak, dans les coulisses, les services secrets français et la CIA créaient une de ces agences CTICs à Paris. Ces CTICs de la CIA sont installés en Europe, en Asie, au Moyen Orient. Le centre de Paris, quant à lui, seul centre multinational de ce type, nom de code "Alliance Base", comprend des représentants de la Grande Bretagne, de la France, de l'Allemagne, du Canada et de l'Australie et bien sûr des Etats-Unis. Des opérations à l'étranger ont été ordonnées à partir de ce centre ce qui risque de mettre en danger la population française si certains "présumés terroristes" et leurs réseaux visés décident de se venger.

La gestion de ces centres est néanmoins complètement séparée des "goulags" ou "trous noirs" américains ou en "sous traitance" à l'étranger, centres de détention et de torture où sont envoyés des "présumés terroristes" et dont il a été amplement question tout récemment dans les médias, tous illégaux au regard des législations des pays, du droit européen et du droit international. Ce qui ne veut pas dire que ces CTICs ne soient pas au courant de ce qui s'y passe, puisque certains d'entre eux décident vers quelle destinations "convoyer" les suspects arrêtés.

Dans un interview à la BBC du 17 décembre 2005 (Sir David Frost pour the BBC World TV channel retransmis le 18) Colin Powell, l'ancien Secretaire d'Etat américain a fustigé les gouvernements européens pour s'être "offusqués" de ces "extraditions illégales" et l'utilisation de bases européennes pour les " taxis aériens pour la torture". D'apres lui, ces gouvernements sont au courant puisque cela fait déjà plusieurs années que de telles pratiques de collaboration ont cours. " Ce qui est appelé rendition n'est pas nouveau ou inconnu pour mes amis européens" a - t-il déclaré. Raison de plus, pour que les citoyens demandent des comptes aux amis européens de Mr Powell.

Ces CTICs sont présentés comme une extension de la coopération internationale en matière de "contre terrorisme", mais sont-ils légaux ? N'y a-t-il pas là violation de la souveraineté nationale ? Les élus en ont-ils connaissance, ou bien ceci se fait-il dans l'opacité la plus totale

Ces centres ont été crées sur le modèle des centre de lutte anti drogues de la CIA en Amérique Latine et en Asie. Dans les années 80, l'agence américaine avait persuadé les gouvernements en place dans cette région de la laisser payer des individus pour mener la lutte contre les narco trafiquants. Ces agents agissaient de façon tout à fait indépendante des institutions des pays hôtes, avec les débordements que l'on connaît (massacres d'opposants aux régimes en place, de militants des droits de l'homme et de populations civiles).

Les officiers des pays hôtes employés dans ces CTICs sont directement recrutés par la CIA qui leur fait passer des tests de son cru, sont sous direction des chefs de bureaux des services secrets américains et travaillent aussi sous la tutelle d'officiers du centre de contre terrorisme de Langley USA envoyés en mission spéciale dans ces centres. Ceci afin que les équipes soient vraiment sous la coupe du "Big Boss".

Les premiers CTICs ont été crées dans les années 90, pour surveiller et capturer des militants islamistes voyageant d'Arabie Saoudite, du Yémen, d'Egypte, et de Tchétchenie pour aller combattre en Bosnie et dans d'autres parties de l'ancienne Yougoslavie.

Apres les attaques du 11 septembre, G. Tenet, l'ex directeur de la CIA, a proposé un plan d'attaque de l'Afghanistan à G.W. Bush pour détruire les principales bases d'al Qaeda, ainsi qu'une "Matrice Mondiale" pour attaquer des supposés terroristes dans 80 pays, avec en priorité les pays où les responsables d'al Qaeda pourraient trouver refuge lors de cette attaque (Yémen, Arabie Saoudite, Pakistan, Indonésie).

Le 17 septembre 2001 Bush a signé un document présidentiel secret autorisant la CIA à mener de vastes opérations secrètes d'assassinats, mais aussi de transferts de vastes sommes d'argent à des services secrets étrangers coopérant avec cette agence. L'agence a aussi envoyé plusieurs de ces officiers de ces divisions " anti drogues" en Europe, Asie, Afrique et au Moyen Orient, mais aussi des petites unités para militaires de sa "Division Activités Spéciales", et a recruté également auprès des forces spéciales de l'armée américaine pour renforcer les équipes ainsi envoyées. Ceci a été jugé insuffisant, et la CIA s'est alors adressée aux services de renseignements des pays "hôtes" pour demander leur coopération, ce que certains n'étaient pas toujours enclin à faire.

Pour convaincre certains, notamment des pays ou les services de renseignements manquent de tout, la CIA a utilisé les moyens habituels. Apres le 11 septembre les budgets alloués à l'agence ont été multipliés par 2,5 ce qui lui a permis d'offrir à "ses amis" des équipements pour voir la nuit, des armes automatiques, des talkies walkies et autres gadgets high tech pour espionner. La CIA a envoyé des instructeurs pour former sur place à la surveillance, l'analyse de données récupérées, et l'initiation à des méthodes employées par les "forces spéciales d'intervention" pour le sauvetage, la protection rapprochée des dirigeants politiques, et la prise d' assaut dans le cadre d'opérations de "contre terrorisme". Les services secrets de certains pays ont envoyé des officiers dans le centre de formation de la CIA pour des semaines d'entraînement en "contre terrorisme" et analyse de données.

L'Agence de Sécurité Nationale américaine qui dirige analyse et distribue les conversations téléphoniques interceptées est devenue la partenaire privilégiée de ces CTICs et a établi une directive pour les relations étrangères qui fixe les règles du partage de l'information avec 40 pays.

Pour persuader les présidents des pays étrangers ainsi que leurs services de renseignements de gérer ces CTICs conjointement, il a parfois fallu l'intervention de G.W Bush du vice président Dick Cheney et du Secrétaire d'Etat en poste. Mais c'est G. Tenet en son temps qui a mené les pourparlers notamment dans les pays arabes où on lui faisait confiance pour avoir mener certaines négociations entre israéliens et palestiniens et avoir entraîner les forces de sécurité palestiniennes. En relation directe avec les directeurs des services secrets étrangers, il a utilisé ces liens pour s'assurer de leur coopération. Son successeur, J. Goss est moins "amical", mais suit le même plan. Les CTICs se sont incrustés dans les pays "hôtes".

Il est grand temps que les citoyens français soient informés de la présence de cet "hôte indésirable" qui parasite, et est une atteinte à la souveraineté nationale de l'état.

Il est temps de demander des comptes aux élus sur cette agence conjointe "Alliance Base" notamment pour les risques qu'elle fait courir à la population française car qui dit CIA dit éventuellement actes de vengeance des amis de ceux que cette agence sans scrupule aura attaqués et massacrés.


Note
Le Patriot Act, ensemble de lois liberticides pour les citoyens américains a été renouvelé. Sachez que vos conversations téléphoniques et emails en direction des USA peuvent être interceptés. Ceci vaut aussi sur le territoire français avec la nouvelle loi anti terroriste liberticide votée récemment par le parlement croupion français.

Source : un article du Washington Post du 18 novembre 2005 publié sur le site de MSNBC et pour lequel le Washington post a interviewé de nombreux diplomates et anciens officiers des services secrets.




Enfin la fin d'yisrael

Mensonges accumulés et décrets non-respectés !


En un temps où les mensonges accumulés deviennent le critère, et les décrets non-respectés le mode de vie, un arrêt s'impose pour passer en revue les traits composants la situation actuelle en Palestine, à l'occasion du 40e anniversaire de la guerre des six jours, juin 1967.


Avant d'aborder l'attitude des colonisateurs sionistes, à la lumière des fouilles archéologiques récentes, signalons d'abord le rôle des deux principaux pivots sur lesquels et grâce auxquels ces sionistes ont pu s'emparer d'une terre à laquelle ils n'ont aucun droit de tous les point de vues !


Ces principaux pivots sont : la politique américaine et la politique vaticane. Je ne traiterait point ici le troisième principal pivot, à savoir : l'attitude des responsables arabes et musulmans, qui, n'étaient-ce leur concessions répétées, quel que soit le motif imposé par les politiciens occidentaux, et par là, leur traîtrise, il n'aurait jamais été possible à cette catastrophe inhumaine d'avoir lieu, ni à ce génocide d'être réalisé.


Puisse les nouvelles découvertes dues aux fouilles archéologiques menées en Palestine et au Sinaï, lors de son occupation, qui changent catégoriquement la donne des événements, aider ceux qui auront le courage de reconsidérer la situation, dans son ensemble, à la lumière de ces nouvelles données... Il n'est pas lieu d'aborder, ici, tous les mensonges sur lesquels s'élève la politique américaine, ni tous les décrets non-respectés, le long de sa courte existence sur terre, mais il suffit de signaler que tout son édifice et toute sa civilisation reposent sur une suite de génocides, de déracinement des habitants, de boucheries, de ruines, de colonisations, de manipulations médiatiques ainsi que de promesses jamais respectées... C'est la même politique qui se perpétue jusqu'à nos jours, à ne citer que les tout derniers : le massacre de Srebrenica, et l'occupation insolente de l'Afghanistan et de l'Iraq.


Occupation basée sur ce fameux mensonge du 9/11/2001, fomenté par leur propre main, pour se doter d'une légitimité internationale, afin de combattre l'Islam et les musulmans classés sous l'étiquette "axe du mal" ! Il suffit de passer en revue tous les ouvrages qui ont paru depuis, surtout à l'occasion du cinquième anniversaire de ce coup de théâtre… De même, il n'est pas lieu d'étaler ici tous les mensonges sur lesquels s'élève l'institution vaticane, et tout ce qu'elle a commis de massacres, de génocides, de bûchers le long d'une vingtaine de siècles, pour imposer une religion basée sur des mensonges et des textes manipulés … Il suffit de citer la fameuse réhabilitation des Juifs du meurtre déicide, au Concile Vatican II, en 1965, malgré une centaine d'accusations claires et nettes, qui se trouvent encore dans les quatre évangiles. Cette fausse réhabilitation a permis la reconnaissance d'un Etat bâtard, et l'imposition de cette reconnaissance à tous les pays qui refusaient d'admettre cette flagrante occupation.


L'usurpation de la terre de Palestine, basée sur l'idée d' "une terre sans peuple pour un peuple sans terre", n'aurait jamais pu voir le jour. C'est ce que les colonisateurs sionistes sont en train de parachever, grâce à ce génocide qui se mène, au vu et au su de tout le monde, ou plutôt grâce au mutisme de tout le monde, habitué depuis quelques temps à laisser faire laisser passer, selon les poids et les mesures ! Ce n'est pas sans raison d'ailleurs que Libération du 15 mai qualifia le pape Benoît XVI de "menteurs professionnel", vu le nombre d'injustices perpétués par l'établissement qu'il préside, et le tas de mensonges qu'il couvre ou qu'il perpétue ! Il ne parait donc pas étrange que cet Etat bâtard dépasse, en arrogance, les deux bastions qui aidèrent à sa formation.


Cependant, les fouilles archéologiques récentes, menées surtout le long de ces dernières décades, changent catégoriquement la réalité de la situation. Le 23/5/07 l'AFP signale que des soldats et des colons israéliens ont commis des "homicides illégaux" en toute impunité dans les territoires palestiniens, d'après Amnesty International, dans son rapport pour 2006 publié mercredi.


"Les barrages installés par l'armée et les restrictions croissantes imposées par Israël à la liberté des Palestiniens, ainsi que la confiscation par Israël des droits de douane collectés au nom de l'autorité palestinienne, ont provoqué une détérioration importante des conditions de vie des Palestiniens des territoires occupés (…) la pauvreté, la dépendance à l'égard de l'aide alimentaire, les problèmes de santé et de chômage ont atteint un niveau critique". A la suite de cet accablant rapport, suit un commentaire proposant : " le retour dans les frontières de 1967, que le peuple élu ne doit pas à son impuissant dieu, mais à l'ONU " ! Ce qui veut dire : le prétendu prétexte disant que leur dieu leur accorda cette Terre est un leurre, un mensonge que tout le monde connaît, car en fait, ceux qui leur accordèrent vraiment cette terre usurpée c'est l'ONU, grâce à des mensonges accumulés !


Et lorsque cette organisation n'est pas arrivée à imposer son décret de la reconnaissance des colonisateurs de la terre de Palestine à tous les pays, la politique américaine eut recours à son grand partenaire : le Vatican, qui ne tarda pas à créer cette infamie de réhabilitation du meurtre déicide, nonobstant toutes les malédictions proférées chaque messe du dimanche dans toutes les églises du monde ! Quant à ce qui ressort de tous les travaux de recherches, des livres ou des articles spécialisés, basés sur les fouilles archéologiques, il suffit de signaler un de ces principaux ouvrages :"La Bible dévoilée" (2002), d'Israël Finkelstein, directeur de l'Institut d'archéologie de l'Université de Tel-Aviv, et Neil Silberman, directeur historique à l' "Ename Center for Archeology" de Belgique, qui co-signèrent la plus tonique et la plus audacieuse des synthèses sur la Bible et l'archéologie depuis cinquante ans.


Ils puisèrent leurs arguments dans les découvertes les plus récentes, et aboutirent à une vision tout à fait différente sur l'histoire du peuple Juif. Une des premières rectifications, que plusieurs savants partagent dorénavant, c'est la mise en cause de la véracité de la Bible, qu'il n'est plus possible de considérer comme un livre d'histoire, mais un livre de propagande écrit pour des raisons politiques et théologiques post eventum, des récits de mémoire édifiés sur les ruines d'anciennes traditions. La datation d'objets trouvés lors des fouilles montre inexorablement la non véracité de la Bible.


Celle-ci n'est, en fait, qu'une reconstruction littéraire et politique en vue d'une implantation déterminée : "Ce sont des récits qui ont été cousus ensemble à partir des souvenirs, des débris d'anciennes coutumes, de légendes sur la naissance des différents peuples de la région et des préoccupations suscitées par les conflits contemporains", assurent les auteurs pour lesquels la Bible correspond à l'émergence du royaume de Juda (au Sud), comme puissance régional au VIIe siècle av. J.- C. Le royaume d'Israël (au Nord), passe sous la coupe de l'Assyrie voisine qui va amorcer son déclin.


Ce qui mène à dire : " les deux parties n'ont jamais été unifiées et la grandeur antique d'Israël est une invention politique. " ! C'est avec certitude que les auteurs ajoutent : " Il est aujourd'hui évident qu'un grand nombre d'évènements de l'histoire biblique ne se sont pas déroulés ni au lieu indiqué ni de la manière dont ils sont rapportées. Bien plus, certains épisodes les plus célèbres de la Bible n'ont tout simplement jamais eu lieu" ! Des conclusions qui bouleversent, certes, les anciennes visions de la Bible, et c'est ce qui permet de décrire la civilisation de l'Occident chrétien qu'elle s'élève sur des mensonges politiques et théologiques accumulés. La question la plus importante qu'avancent les deux auteurs est la suivante : "Cela est susceptible d'ouvrir des horizons nouveaux, car les Juifs ne sont plus en droit de prétendre que la Palestine leur appartient parce que conquise avec l'appui de Jéhovah.


Certes, leurs ancêtres vivaient sur ces terres il y a plus de 3000 ans, mais ils les partageaient avec les Cananéens, ancêtres des palestiniens. De toute façon, les Juifs ont perdu tout droit à l'exclusivité du fait de leur absence pendant 20 siècles." ! C'est la même idée qu'avait déjà présenté le père Jean Landouzie dans sa thèse de maîtrise, présentée à l'Institut théologique de Paris, publiée en 1978, ayant pour titre : "Le don de la Terre de Palestine". Thèse dans laquelle il prouve, textes en main, que les juifs n'ont aucun droit à cette terre. C'est la même idée qu'il avance dans son intervention au colloque "Les Chrétiens du monde arabes", tenu à Paris en 1987 : "la position sioniste est donc de justifier l'existence de l'Etat d'Israël actuel par le fait que dans la Bible, la Terre de Palestine a été donnée par Dieu à Israël.


Mais là où se pose le problème, c'est lorsqu'on veut entraîner le chrétien à faire la même affirmation au nom de la Bible". Et d'ajouter un peu plus loin : " D'autre part, la réalisation de la promesse est conditionnelle. Il s'agit de vivre dans la fidélité à l'Alliance conclue entre Dieu et son peuple. La Terre sera retirée si le peuple est infidèle". Eh bien, nul n'ignore, d'après la Bible, qu'ils ont trahit l'Alliance, retournèrent à l'adoration du Veau, au polythéisme et tuèrent les prophètes. Puis le père Landouzie ajoute : "La Terre de Palestine ne peut plus appartenir à un groupe d'homme au nom d'un décret divin quelconque, excluant une partie de sa population. La justice ne peut s'appliquer à un peuple au détriment d'un autre, au nom de principes religieux." Ce qui permet d'ajouter que les probes de parmi les ecclésiastiques se sentent gênés entre des textes clairs et nets, et l'enlisement de l'Eglise dans les mensonges politiques. Dans un compte-rendu sur "La Bible dévoilée", J.-P. Chavaz écrit : "Jusqu'aux années 70, l'archéologie en Terre sainte avait une idée fixe, mettre en évidence les preuves de la justesse des récits bibliques. Toutes ces recherches se sont soldées par des échecs … les auteurs bibliques n'avaient-ils pas truffé leur récit de repères historiques, en l'occurrence de référence au Pharaon ou à tel évènement ? Mal leur en prit, car les nouvelles révélations de l'archéologie ont réduit à néant toutes les certitudes concernant le déroulement de l'histoire d'Israël …


Il semble ainsi que nombre de théologiens catholiques et protestants ont cessé depuis longtemps de considérer l'Ancien Testament comme un livre d'histoire ... Les auteurs du Deutéronome ne devaient certainement pas être inspirés par le Tout-puissant ou alors ce dernier avait de sérieux trous de mémoire" ! Le N° 391 de la revue "La Recherche", novembre 2005, comprend une rubrique de 29 pages, des articles écrits par des archéologues ayant participé à ces fouilles en Palestine et au Sinaï, et prouvent les mêmes révélations disant que l'Ancien Testament a été écrit pour un but de propagande politique et théologique... c'est un amalgame de récits et de documents écrits avec préméditation, bien après les évènements dont certains n'ont jamais eut lieu ! Autrement dit, les Juifs n'ont pas le droit de s'approprier la terre de la Palestine.


Pierre de Miroschedji, archéologue, directeur du Centre de recherche français à Jérusalem, assure que les découvertes ont contredit les textes bibliques : " Ainsi, ce que la Bible présente comme une période de conquête de la Terre promise par les israélites apparaît aujourd'hui, à la lumière des découvertes archéologiques, comme une période de bouleversement politiques, économiques et sociaux … Pour les périodes récentes, on est dans le domaine d'une histoire complètement réécrite dans une perspective idéologique...


Il existe des preuves formelles, telle la stèle de Merenptah (-1210) qui contredit la Bible en indiquant que le peuple d'Israël a été détruit. Les archéologues ont prouvé que la conquête de la Terre promise par les Hébreux est une légende… Ces découvertes donnent une interprétation nouvelle aux textes bibliques qui font apparaître la conquête de la Terre promise comme l'écho lointain d'un phénomène historique de grande ampleur, qui a affecté l'ensemble du bassin oriental de la Méditerranée, et à force de réécriture au fil des siècles, à des fins politiques et religieuses, devient une sorte de saga hébraïque, un récit épique et légendaire". La revue "Historia", février 2005, renferme 42 pages ayant pour titre : " La Bible à l'épreuve de l'Histoire ".


Quarante-deux pages de la lecture desquelles on sort avec les mêmes certitudes disant que la Bible a été écrite par une multitude de personnes, à des époques variées, qu'elle regroupe, remanie, reconstruit les faits qu'elle relate. Dans un article intitulé : "La Terre promise était acquise", l'historien Richard Lebeau révèle que le "Livre de Josué, qui raconte la naissance du peuple d'Israël et la conquête de Canaan est une véritable saga digne d'Hollywood !... Les historiens considèrent ces textes comme une légende tout simplement. Car durant cette période, Canaan était sous la tutelle des Egyptiens, qui avaient déjà affronté les Hittites. Leur courage est raconté partout sur les monuments. Comment peut-on donc dire que les Hébreux, après s'être enfouis d'Egypte, émigrèrent justement dans une contrée soumise aux égyptiens ?! Les fouilles archéologiques contredisent les récits du Livre de Josué.


Un autre article, du même auteur, cite un exemple de ces falsifications bibliques avec le récit de la prise de Jéricho. D'après les fouilles, Jéricho n'était qu'un modeste petit village, sans fortifications, contrairement à ce que raconte la Bible, disant que Josué s'est servi de trompettes en cornes de béliers, dont le son est parvenu à faire écrouler les remparts de la cité. Ce qui n'a jamais eut lieu car il n'y avait point de remparts !


Ces quelques citations ne représentent point tout ce qui a été écrit durant les dernières décades, assurant que les Juifs n'ont aucun droit sur cette terre de tous les points de vues, fussent-ils théologiques, juridiques, historiques ou archéologiques. Il n'est pas lieu de citer, ici, tous les ouvrages qui assurent ce non droit, qui les accusent de colonisation ou même d'arrogance ! Ce qui nous importe, ici, c'est de faire parvenir ces irréfutables nouvelles preuves à tous les honnêtes hommes de la terre, à tous ceux qui pourront prendre part à l'arrêt d'un génocide en cours, à l'arrêt d'une usurpation illégitime d'une terre qui revient en toutes lettres aux Palestiniens, à l'arrêt de la judaïsation de Jérusalem et de toute la Palestine.


C'est surtout sous les yeux de ceux qui mènent l'injuste politique américaine et ses institutions, et sous les yeux de cet Occident chrétien et sa direction vaticane, qui fut une des causes directes de cette catastrophe, que nous plaçons ces nouvelles données. C'est pourquoi il est révoltant de voir le pape Benoît XVI s'exprimer, lors de la cérémonie de présentation des vœux du corps diplomatique, le 8 janvier 2007, dire : " Les Israéliens ont le droit de vivre en paix dans leur Etat ; les Palestiniens ont droit à une partie libre et souveraine ".


C'est une honte de voir le plus haut représentant religieux bafouer la vérité avec une telle aisance, lui qui est censé bien connaître les Textes ! Ce que les sionistes ont fait et continue à faire ne peut être justifié sous n'importe quel prétexte. L'embargo économique et politique imposé par les Etats-Unis et l'Union Européenne, depuis plus d'un an, parce que les Palestiniens on légitimement choisi les membres du Hamas comme représentants, vise a leur tordre le cou, à les contraindre à la misère et à les placer sous l'inhumaine merci des occupants. Avancer le fait que les Juifs ont souffert à la Shoah et qu'ils ont le droit à une terre, n'est nullement une raison équitable ou honnête pour déraciner les Palestiniens et les extirper de leur terre pour se débarrasser d'un mea-culpa qui pèse sur la conscience européenne et dont les palestiniens ne sont point responsables… Continuer à maintenir ce glacial et implacable mutisme ne porte atteinte qu'à ceux qui s'y complaisent dans cette machiavélique nonchalance !



Zeinab Abdelaziz

Professeur de civilisation française

11 juin 2007




Le genocide de la bande de Gaza premedite et organise par yisrael

Appel a la nation Musulmane : L'embarguo total decrete contre Gaza est un acte de genocide, tous les Musulmans doivent participer a la liberation de la Palestine, Gaza n'est qu'une etape, si le blocus n'est pas leve, les 2 millions de Gazaouis seront extermines... Les pays diriges par les sefarades sionistes, jordanie, egypte, arabie, liban subiront de plein fouet leur politique pro-israelienne


Israël se prépare à attaquer Gaza pour décimer le Hamas


Le journal britannique The Sunday Times a rapporté que le nouveau Ministre israélien de la Défense et chef du Parti Travailliste, Ehud Barak, prépare une attaque de Gaza dans les semaines prochaines pour décimer la direction du Hamas, qui en a pris récemment le contrôle.

Par Maan News Le projet exposé par le nouveau Ministre de la Défense appelle à une guerre courte à impact élevé, dans laquelle 20.000 troupes israéliennes seront déployées pour détruire le plus gros de la capacité militaire du Hamas en quelques jours. Barak dit que la décision d'invasion a été déclenchée par le lancement des roquettes Qassam sur les villes israéliennes bordant la Bande de Gaza, ainsi que la menace d'attaques suicides en Israël. Barak doit prêter serment comme Ministre de la Défense lundi, mais même avant que sa nomination soit officielle il a planifié le déploiement de deux divisions blindées et d'une division d'infanterie, d'après The Sunday Times, qui seront accompagnées par des drones et des F-16.


Les enquêtes des services secrets israéliens ont révélé que les forces israéliennes peuvent s'attendre à affronter 12.000 combattants du Hamas, équipés d'armes obtenues pendant les clashes avec le Fatah, au cours desquels le Fatah a été défait. Des officiels israéliens ont rapporté que les militaires israéliens peuvent s'attendre à une résistance encore plus féroce que celle qu'ils ont rencontrée dans la guerre au Liban l'été dernier, au cours de laquelle les forces israéliennes ont perdu devant le Hezbollah. La deuxième guerre au Liban est maintenant considérée par de nombreux commentateurs en Israël et à l'étranger comme une grave mésaventure pour Israël. The Sunday Times a cité une source proche de Barak qui a déclaré qu'Israël ne pouvait pas tolérer un "Hamastan" agressif à ses frontières et qu'une attaque était donc inévitable. "La question n'est pas si, mais comment et quand", a-t-il dit.


Source : Maan News Traduction : MR pour ISM


Manoeuvres israéliennes pour isoler Gaza et le Hamas


L'administration israélienne et un certain nombre de compagnies israéliennes qui fournissent de la nourriture et des services à la Bande de Gaza ont commencé à prendre des mesures pour isoler la région côtière et le mouvement Hamas, qui contrôle actuellement la zone. A travers Israël et sur la frontière avec Gaza, les forces et les compagnies israéliennes ont entamé la première de toute une série de démarches visant à isoler le Hamas et la Bande de Gaza. Le vice-ministre israélien de la Défense, Ephrain Sneh, a annoncé hier à la population que des unités de l'armée avaient repris des positions abandonnées auparavant au nord de la région. Réoccupant les sites des anciennes colonies juives du secteur, Sneh a déclaré que la présence militaire était "de nature défensive plus qu'offensive".


En dépit des assurances de Sneh, le Ministre de la Défense nouvellement nommé, Ehud Barak, a parlé, dans une interview au journal britannique "The Sunday Times", de son empressement à lancé une invasion limitée, mais à haut impact, de la Bande de Gaza, vraisemblablement dans quelques semaines. Binyamin Ben-Eliezer, Ministre israélien des Infrastructures, a lui appelé dimanche à une séparation complète de la Bande de Gaza par rapport à la Cisjordanie. "Nous devrions tout simplement augmenter l'isolement de Gaza. Je veux qu'on arrête tout jusqu'à ce que nous comprenions ce qui se passe là-bas." Au moins une compagnie israélienne a pris au sérieux l'appel Ben-Eliezer et a stoppé ses fournitures à la région. Dor Alon, une des compagnies pétrolières les plus importantes en Israël, a annoncé dimanche qu'ils réduisaient la quantité de pétrole qu'ils exportaient à la Bande de Gaza.


"Nous continuons à approvisionner en pétrole les centrales électriques de Gaza, mais pas les petites stations services", a déclaré un porte-parole de la compagnie. Résultant des restrictions, des sources impliquées dans le commerce avec la région ont indiqué que les réserves de certaines denrées à Gaza ne dureraient pas plus de deux semaines. Les restrictions habituelles restant en place, la situation ne peut que s'aggraver. Parlant au Haaretz, un homme d'affaire anonyme du secteur a déclaré "qu'il y a déjà une pénurie de médicaments et de certains aliments, et le problème principal est l'augmentation continue des prix pour la nourriture de base." Aux plus hauts échelons du gouvernement israélien, la politique d'isolement de la Bande de Gaza semble gagner de la popularité. Parlant après une réunion avec Ban Ki-Moon, secrétaire général des Nations Unies, le Premier Ministre israélien Ehud Olmert a indiqué que les Palestiniens vivant en Cisjordanie pouvaient espérer un avenir beaucoup plus brillant sous le gouvernement du gouvernement d'intérim actuel.


"Un gouvernement qui n'est pas un gouvernement Hamas est un partenaire. Nous avons une nouvelle chance depuis quelques jours que nous n'avions pas eu depuis bien longtemps." Olmert et le Président Bush, qui doivent se rencontrer mardi, vont discuter d'une série de mesures qui renforceront la position d'Abbas et isoleront un peu plus le mouvement Hamas. Parmi ces "démarches", il pourrait y avoir le déblocage de tout ou partie des revenus des taxes de douane, actuellement gelés par Israël. Des sources israéliennes haut placés ont rapporté qu'alors qu'Israël n'envahira pas la Bande de Gaza si le Hamas cesse de tirer des roquettes Qassam depuis ses positions, jamais Israël ne prendra la responsabilité des 1,5 million de Palestiniens qui y vivent.


La vision immédiate pour la région n'est pas brillante. En plus d'isoler la Bande en restreignant l'importation des biens, l'administration israélienne a également interdit l'exportation des produits venant de la zone. Des estimations prudentes placent la valeur de ces exportations à 4 millions de shekels par jour. En dépit de ces restrictions, la fourniture en eau et en électricité a été autorisée à continuer. La Bande de Gaza est presque entièrement dépendante, pour sa survie, de d'eau et de l'électricité israéliennes. La majorité de l'approvisionnement en électricité de la Bande vient de 11 lignes construites par la Israel Electric Corporation. Alors que Gaza pourrait, en théorie, produire plus d'électricité pour elle-même, sa capacité à le faire a été sérieusement compromise lorsque les forces aériennes israéliennes ont bombardé l'unique centrale de la région. En ce qui concerne l'eau, la compagnie israélienne Mekorot vend approximativement 5 millions de m3 à la Bande chaque année.


Source : IMEMC Traduction : MR pour ISM

Sarkosy, Tel Aviv, Madrid, Londres, Alger : Les documents qui accablent le nouveau president et la section israelienne de Paris

NDLR : Guillaume Dasquier est connu pour etre l'un des portes paroles mediatiques du lobby israelien en France et plus particulierement de la section israelienne au ministere de l'interieur. La qualite et la fiabilite des 'informations' diffusees sur son site de propagande anti-Musulmane www.geostrategie.com ont toutes ete remises en question et se sont revelees fausses.
Dasquier et les pantins qui le renseignent se sont fait humilies dans la tentative de chantage de 'princes' corrompus saudiens apres le 11 septembre 2001. Dasquier a attire notre attention suite aux attentats d'Alger. En effet, pas mal des 'infos' qu'il a diffuse sur son site provenaient des organisateurs des attentats...
Eux-memes deja impliques dans des proces outre-atlantique, dans les frappes sionistes de Madrid, Londres et le scandale du GIA/GICM/GSPC... Il se trouve qu'en dissequant son site, nous retrouvons les memes personnes, les memes reseaux parisiens qui fomentent le terrorisme d'etat, pour preserver les 'interets vitaux' de leur clans... derriere des paravents comme le GIA, le GICM et le GSPC.
Le 31 Mai 2007, Sarkosy s'est rendu a Madrid pour menacer Zapatero le traitant d'antisemite et refutant les preuves apportees contre lui dans les attentats de Madrid... Sarkosy n'a pu apporter l'once d'un dementi... L'agent israelien Levitte a ete envoye en urgence a Alger le 8 Juin 2007 pour menacer et tenter de desamorcer une crise devenue europeene... Les services espagnols ayant bases leur enquetes sur les revelations faites dans le scandale du GIA/GICM/GSPC ont confirme la piste franco-israelienne... Sarkosy se rend le 09 Juillet 2007 a Alger pour 'officiellement' retablir des relations 'd'exception' entre les deux pays... il va deja sauver sa tete des affres de la justice internationale... Ou sont passes tes discours sur la repentance l'israelien ?
Voici ce que la DST raconte comme aneries sur le site de leur porte-parole... pour se dedouaner d'operations.

Le rapport des services marocains de mars 2007 qui dévoile le GICM


Téléchargez ces 27 pages de notes confidentielles des services de sécurité marocains qui décrivent en détail le GICM. Le 31.05.07 Cette semaine www.geopolitique.com a obtenu l’un des premiers documents à révéler le fonctionnement et les personnalités clés du principal mouvement islamiste en activité au Maroc. Le Groupe islamiste combattant marocain – GICM. Son organigramme, ses cellules opérationnelles, ses modalités de financement, la formation de ses membres et ses liens avec les cadres d’al-Qa’ida y sont présentés de manière circonstanciée.
Une première...

Ce rapport d’enquête a été rédigé le 9 mars 2007, pour le compte du parquet généra lde Rabat, et par la Brigade nationale de la police judiciaire, dépendant de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) marocaine. Ce document est suivi par les auditions de Saad Houssaini, le chef militaire du GICM, interpelé le 6 mars dernier.
Nous vous proposons de télécharger l’ensemble de ces pièces judiciaires, numérisées au format PDF, et accessible en cliquant sur le lien à la fin de cet article. Elles sont présentées dans leur version originale en langue arabe, accompagnée d’une traduction intégrale en français.
Saad Houssaini était la cible des enquêtes de plusieurs services judiciaires et de renseignement maghrébins et européens depuis les attentats de Casablanca du 16 mai 2003, et les attentats de
Madrid du 11 Mars 2004.
Son arrestation parachevait plusieurs mois d’investigation sur le GICM et ses relais à l’étranger. Ces recherches ont démontré l’existence de liens importants entre les fondateurs du GICM et Ayman al-Zawahiri et Oussama bin Laden. Notamment depuis les camps d’Afghanistan accueillant les militants marocains.
Les conclusions de ce rapport d’enquête contredisent sans ambigüité de nombreux prises de position qui tentaient d’accréditer l’idée que le GICM était un groupe à visée locale, agissant sans aucune concertation avec le sommet d’al-Qa’ida.
Au contraire, la portée de ses alliances - notamment avec le Groupe salafiste pour la prédication et le combat - et ses relais à l’étranger décrivent une organisation en prise avec des réseaux islamistes internationaux structurés.

1 comment:

gdamiani said...
Il me semble que vous confondez geostrategie.com avec un autre site. Guillaume Dasquier n'a rien à voir avec ce site qui ne diffuse pas de propagande tout court.